le courrier de uaanjiib l'emigration la rÉgion sde...
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LE COURRIER DE UAANJiib
L'EMIGRATION
Sous lo litre « Emigration européeni
en Amérique et en Australie » M. Bodi
directeur do la statistique du royauc
d'Italie, vient de réunir en un volume 1
différents articles M»- ce sujet qu'il
publiés dans le Bulletin de "Instit
international de statistique de Rouit
D'après M. BCRUO, l'émigration
beaucoup augmenté en 1SST et en 188t
mais elle a fléchi pendantl'amide dernier.
Le développement de l'émigration da
les deux premières années est dû plus
l'énorme développement de certains Eia
de l'Amérique du Sud Qu'à la crise cor
merciale et industrielle de l'Europe.
Par compensa (ion, pendant l'ann
1889, la reprise des affaires, d'une pai
et les obstacles mis par l'Italie à l'émigra-
tion de l'autre, ont diminué le nombr
des Européens allant s'établir de l'aui
côté de l'Atlantique.
Voici en résumé, d'après un article (
M P = Leroy-Beaulieu, de YEconomis
Français, un tableau comparatif del'én
gration des principaux pajs d'Europ
depuis 1885.
Gde-JlrctagneAnnées, et Irlande. Allemagne. Italie
307.644232.900
28Î.487
279.92S
253.795
107.23879.875
99,712
98.515
00.250
78,9187 4
133.1
207.7
125.7
candïn Espagne.
1889
30,793 24-315 G.06:J9.792 34=04376.098 37.20075.975 49.283 23,33!
D 'au t r e s nations fournissent égalemeni
leur coutigent à ce courant d'émigration,
mais leur chitTre n'a qu'une imporu
restreinte relativement à celui des j
sus-menliounés.
Néanmoins, la Suisse a fourni en 188£
envirou8,500émigrants,alors qu'en 188Ï
il n'y eu avait pas 7,000.
Les chiffres donnés plus haut sont ceu
des statistiques officielles ; ils ne peuven
donc être absolument exacts; car beau
coup de personnes, surtout dans la class
moyenne, s'expatrient sans se faire ins-
crire comme émigrants. lî faut ajoulei
que, par compensation, les statistique
ne nous apprennent pas Je nombre d<
gens qui reviennent en Europe.
Pour Ja Russie, dit M. Leroy-Beadlîeu
U y a deux sortes d'émigrations, le mou-
•cemenî-i- l'taîérieiiF poiu'iu uiloeisa
des immenses territoires incultes di
vaste empire el celui de l'exlérieur qui a
fourni 35,874 âmes aux Etals-Uais pen-
dant l'année 1889.
De même, l'Autriche-Hongrie, à donné
en 1888 et 1889 une émigration de 40 à
50,000 personnes.
Quand au Portugal,M, Bodio ne donne
pas de chiffre, quoique le nombre des
éraigrauts ne soit guère inférieur à une
quinzaine de mille.
Le total des émigrations pendant les
années 1888-1889, varie donc entre
800,000 et 850,000 âmes.
Le goût de l'inconnu, l'esprit d'avan-
. ture, la lassitude du joug militaire, de
certaines sujétions administratives, des
déboires et des mécomptes, quelquefois
mérités,sont, tout aussi bien que la mieere
et le manque d'espice, les stimulants
habituels de l'émigration.
Seules les perturbations politiques des
Etats de l'Amérique du Sud pourront,
peut-être, à un moment donné", diminuer
ce courant.
Maintenant, se demande-l-on, que de-
viennent les 900,000 Européens, qui,
chaque année, traversent l'Atlantique
pour trouver les moyens de gagner leur
vie loin de ia mère-patrie.
Les chiffres suivants d'émigration,
constatés dans les principales contrées, en
donneront une idée assez exacte en
remarquant simplement :
1° Que ces chiffres s'appliquent aussi
bien à l'émigration des Européens qu'à
celle des habitants d'un pays dans un
autre ;
2" Qu'en Australasie les statistiques
comprennent le mouvement des habitants
dans les sept colonies :
Années. ÈtatJ-Unw. Canada. Bre.il.
360.252
416.075
538.243
54(5.000
452.122
Argentine.
79.169 30.135? 35.741•' 54.990•> 131.745
V 05.161
l'rugay. Avistrnlasîc.
1885 108.722 15.079 05-5851886 93.110 13.292 G-i.0471887 120.842 12.W53 65,0111888 155.632 10,581 05.5901889 200,909 27.349 -15.710
On voit que ces chiffres sont supérieurs
à ceux donnés par le tableau d'émigration.
Ainsi, pour 1888, en supposant que l'im-
migration du Canada soit demeurée égale
(et îl est probable qu'elles été supérieure)
au chiffre de l'année 1SS5, ou arrive à un
total de plus de 980,000 immigrants
pour tout ce groupe de pays,
Comme on voit, les États-Unis sont de
beaucoup les plus favorisés par le mouve-
ment d'immigration,
La République Argentine vient ensuite,
suivie du Brésil.
La crise quô subit en ce moment la pre-
mière de ces républiques, fera sans aucun
doute baisser le chiffre des Européens
qui s'y rendent, et la révolution qu'a tra-
versée la seconde, nuira sans aucun
doute à la rapidité de son développement.
Que reste—t-il à l'Afrique dans ce mou-
vement d'immigration ?
M. Bodio, lui-même, ne nous donne
lucuu chiffre , on peut estimer cependant
à 25,000 âmes eu tout, le nombre d'Eu-
Jens et d'Australiens ayant émigré
dans l'Afrique du Sud.
Et que deviennent dans tout ceci l'Al-
gérie et la Tunisie ?
M. Bodio nous apprend qu'il y a eu
pour l'Italie, eu 1883, 902 émîgranls à
destination de la Tunisie et 751 pour
l'Algérie, et, eu 1889, les chiffres cor-
respondants sont de 639 à 7G5.
En France et en Espagne, l'émigration
pour ces deux pays n'est pas connue, ou
peut seulement l'évaluer à 7,000 Euro-
péens environ, pour l'Algérie, et de
1,200 à 1,500 pour la Tunisie, déduction
lite des départs.
Citons, pour terminer, le curieux tra-
vail de M. Bodio, le tableau suivant qui
prouve que pour aucune des contrées qui
' sont comprises, l'émigration n'éj
'excédent intérieur des naissances si»
LA RÉGION
PAYS
mnde-Bretagne
Irlande..
liemngne
ilie. f t n c c
, ; s a c
lède
irvÈgc . . .
i n e m f l rk
nnde-Iiretagnc
Irlande
\emag ne
lie
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5<lc
rvige .riemark
Excéi.
par
1885
et
. . . 12.3
. . . 11 3
... 11.5. . . 23. . . 6.4. . 11.8
. . . 14.9. . . 14.7
1
par
1885
et5,7
2,2
. . 2.70.1
.. 2.34.0
7,2
2.1
lent desur les décès1,000 habita.
1886
12.210.98.11.47.013.214.914.3
1887
11.012,710.92.37.013 514,813.6
ration pourlcslors d'
nts.
1883
11.9
12.9
9.8
1.1
7.8Y
13.8
13.4
paya
Europo1,000 habita!
18HG
0,3
1.0
2 90.2
2 ,0
6.0
7.8
3.0
1687
7,62.14.4
0 .32 .0
9.8
J0.5
4.1
îts.
1888
7.52.06.80,62..89.7
ILS4 . 0
AURIBEAULes fêles de Notre-Dame.— Voici le pro-
gramme des fêtes de NoLrc-Paino-de-Val-ci use.
Lo 8 septembre, a ï> heures du malinexcursion a l'ermitage ; de 3 â "' heures (lisoir, grand bal ; de 9 heures a ininuil, reprise du bal
Le 9 septembre, a 0 heures du malin,concours de boules blaiiches.prïx 100 francel les mises en sus fixées ti i francs pajoueur ; dans l'après-midi el le soir, réou-verture du bal ; u neuf heures du soïr,cours de quaitrelfe, prix : W francs el lesmises en sus fixées il 1 fr. par joueur.
Le 10 septembre, a 9 heures du malin,concours de boules blanches pour les enfanls au-dessous de 15 ans, pris: 8 francscl les mises en sus fixées ;i 50 centimes pujoueur; l'après-midi el le soir, reprise dibal.
MONACOLii société monégasque des bals champe
très, fidèle aux Iradilions de bienfaisantde ses dovanriwes, a voulu clôturer se;réunions qui se son! terminées avant-hierel qui ont obtenu un réel succès, par untfête au profil des incendies de Fort-deFrance eL des famille des victimes de Saïnt-Etîenne.
Aujourd'hui dimanche, 7 septembre, celtefoie aura lieu sur la promenade de Sainle-Harbe, avec le concours gracieux des So-ciclés Chorales et Plulgarmonïque; UG l'Or-chestre du Casino, avec l'aulorisatioii dil'Administra lion des Bains : d'un groupe dgymnastes amateurs ; de il . le docteur dGago, prestidigitateur ; de M. Camatleede plusieurs maitres d'escrime. Le pro-gramme no nous esi pas encore connumais en voici les grandes lignes :
A deux heures, concerl par la SociétéPhilharmonique, exercices de gymnastiqueséance de physique el de prèstidigalionassaut d'armes, kennesso= Le soir, la So-ciété Chorale de VAvenir, accompagnée pail'orclieslrp, chantera la Chanté, de Kossinîot Donnez, donnez 1 cantate de Sain lis ; ïliuminalions, bal à grand orclieslre, etc.
La sociélé des Bains de Mer, qui prêtetoujours son concours aux œuvres de chanié, conlribue largement à l'organisalionde celle fiMc, dont les inspirateurs trouve-ront, nous en sommes persuadé, dans notrepopulalioji cl la colonie étrangère, l'accueile plus sj nipalliique,iious souhaitons à cetliclianlable entreprise une complète réussite.
Les lois el dons pour la kermesse seronrenis avec reconnaissance a la pharmacieBotta, rue du Milieu.
La société des ltégales a fait parvenir aM. le consul de Fronce la somme de 63francs, produit d'une collecte faile par unde ses membres à l'issue du déjeuner, ledimanche M août, à Beaulîeu,
Ces (î3fr. sont deslincsalii souscriptionpour les victimes du cyclone de Dreux,
CHOSES ET AUTRESLe grand problème qui consiste à prédire
la pluie, les variations de tempéra turc et lescyclones au moins trois jours à l'avance,sérail parait-il résolu.
L'abbé Fortin, bien connu pour ses re-cherches météorologiques a présenté le 25août, a l'Académie des sciences, un appa-reil d'une délicatesse extrême, que lesmoindres variations magnétiques de l'at-mosphère niellent en mouvement.
Cet instrument, se compose d'une bobineenverra entourée de deux condensateurs àlarge surface d'élahi. Entre ces deux con-densaleurs so trouve un fil de fer recuit quimesure moins d'un dixième de milli-mètre et qui s'enroule en hélice. Ce lîl ad'ailleurs, une longueur de plusieurs kilo-mètres. Au centre de la bobine qui esl creu-sée d'une cavHé se trouve l'aiguillo aiman-tée, A l'aide de-celte ingénieuse disposition,les déplacements de l'aiguille sont considé-rablement augmo'ilèiî Trois jours avantun changement de temps, J'aiguille se meten marche, el suivant l'angle d'écart onpeut prédire très exactement l'intensité dola variation du lemps.
C'est inappréciable pour les cullivaleursel les marins.
La semaine dernière, en creusant lus fon-dalions du perron du nouvel hôtel de villed'Evreux, les ouvriers oui trouve une gran-de quantité de pièces de monnaies mililaï-res romaines,en br.onze, du troisième siècle
; iSde1oUn5inolivcnientii SIX) kilogrammes.
On suppose ,u'el!cs ont (MO-lre enfou»,en col JLuo'rs do lésion do,; «Elles avaient clé enfermas dans des s.ics,puis dans une caisse de bois donl on a re-trouvé des débris.
Quelques-unes sont assez bien conser-vées, les autres devront subir un sérieuxnettoyage avant de pouvoir être déchiffrées.
L'autre soir, vers sepl heures el demie.aumoment de l'averse donl on se souvienl, unphénomène singulier et émouvant uobservé par plusieurs personnes.
La lune brillait dans un ciel absolumentclair. Toula coup, des espèces de flammesdorées, sembables à celle que produit ladéflagration d'une pincée de poudre, com-mencèrent à lécher d'abord la circonférencedu disque.
Celte sorte d'incendie augmente de minu-te en mînulo el, au boul d'un quart d'heure,la surface enlièrc de l'astre des nuits sem-blait recouverte d'un océan de flanidorées, ondulant, pendant que des aigret-tes d'étincelles tout a fail semblables auxpluies d'or des fetixel'artifees s'échoppaientdelà circonférence.
Le phénomène a duré environ un quarld'heure. Puis lit lune a clé recouverte ;d'unnuage el, a sa réapparition, le ciel avait repris sa physionomie accoutumée.
L'impression produite par ce phénomène,très beau, d'ailleurs, peut se résumer dansce mot d'un enfant: «Tiens, la lune quibrûle ! »
LA SÉRICICULTURENous avons quitté le cocon du ver-à-
soie :iu moment où, sortant de chez leséducateurs, on le transportait dans lesétablissements de Imrnhmr dins lesquelsdoit s'opérer lo u i.i vc l.i IIP.I-I.HI en co-cons qui no pcm. m inli-i- que
graines celles qui sont aptes IÏ produiredes vers de bonne quali té.
Si nos lecteurs et aussi nos gracieuseslectrices lo veulent bien, nous allons su i -vre les diveiijes phases du grainage, puiscelles du tissage de la soie. Nous ne pou-vons mieux faire pour cela que de noustransporter dans un établissement spécialet d'observer avec attention tout ce qui sepasse devant nos yeux . C'est dans ce bu tque nous nous sommes rendu chez un ba-cologtie distingué de notre région à quinous avons demande la permission devisiter son établissement et qui non cou-lent de satisfaire a notre demande a bienvoulu nous accompagner on nous donnanttous les détails que nous allons transcrireici. De Cannes à Seillans (Yar) iî H') - ;qu'un pas. Nous prenons lo train jusqu'iGiasse . de là iu\o voiture nous conduiten trous heures et nous arr ivons cliez n o -t re cicérone qui nous reçoit avec la plusgrande amabi l i t é ; nous sommes chez M.le baron de Claviers. Dés la grille de ré ta -blissement nous apercevons un immeublegrand comme certains de nos grands h ô -tels do Cannes, au devant- s'étend unecour avec jardin au milieu de laquelle t r a -vaille, en chantant , une nuée de jeunesfilles r ieuses et , pour la plupart , jolies ;nous nous approchons assez pour voirqu'elles enfilent des cocons, les piquantdans leur plus peti t diamètre , mais seule-ment par !e bord, et en formant ainsi desrhîipelets longs de trois mètres environ.Notre entrée tourmente quelque peu lesjeunes travailleuses, do petits rires a demiétouffés e t des chuchotements mont ren tqu'on s'occupe de nous et aussi que nousavons troublé le gazouillis de ces fillettes.
Votre voix est douce, doux est votreregard, laisser courir l 'aiguille au traversdu cocon, vos petites mains rosés ^ ont etviennent r i thmanî vos jo\eiiHcs chansons ;reprenez vos» gais caquet âges, nous cu-rons dans l ' intérieur de lVtaljhs.sem.ent
[andis que monsieur le baron de Cimiersnous explique que le travail auquel
ns venons d'assister a pour but de dis-er les cocons de façon à faciliter leur
dissecation à la sortie < j ^Avant ce travail a eu liçll . 'triage des cocons qui sont j 'filatures, on les jette dans des ~et on envoie aux onlî!enses t
première vue semblent s';mplus do la perfection soit par],.,soit par leur couleur et aussi «,,moto plus ou moins grande. J;rjau rez-de-chaussée ou notre aWj.nous montre ces mêmes chai isuspend a de longues travers^disposées parallèlement à mi m.'de l'autre jusqu'au tond de la p..bien quatre-vingts mètres de !„les cocons qui sont de\ant n o s ^étudies en vue du gnùnage.\jmvendons de \k a l'étine où 1 J Tdestinés à l'industrie soitminutes de séjour a une t70° u 80- sulliaont pour cela. Au t]quatre à cinq mois cent kilos J,perdent de 66 ù 67 kilo* et se >par conséquent îi 3â ou 33 k. r jsecs ils -sont débourres el assemont suivant leur qualité : )îns jfaibles, fondus, doubles,depuis l'éioLuTemeiU jusqu'aiUt (ilaturo les cocons deexposes ckirs-semés sm- de.sùclient comme nous n\ ons dit.
Nous montons au premiernous nous trouvons (installation identique à celle du Jchaussée. Lo parquet est isciure de bois, sur laquelle on nles papillons qui sortent des cocons4Ces papillons sont portés dans uattenante ;t cclie où nousà laquelle nous nous rendons pour Jà leur accouplement. La féconddénient faite, des jeunes filles agées du divorce, elles choisissent»nuptial, je veux dire sur les petitstendues, les femelles qui viennefécondées et le-, plu i nide- tarlatane ranlh '|m i.suc en papier, c'c-i -m . ila jeune merc va pondre .son œufs, Jverte par un petit entonnoir de tajqui empêche tout mélange, cetrminé on l'emprisonne dans lepapier, a côte doses œufs, elleserarjbientôt, broyée dans un mortier dmou de porcelaine, puis unliquide produit sera soumi*cope pour vérifier la vigueur du JL;i ponte produite dans lt?fnous venony do parler est dite : dc'est la seule qui puisse donnentrésultats, c'est celle qui se pratiquMonsîeurle baron de Claviei"s,qileurs, ainsi que nous avons pu le c<pendant notre visite dans son (ment, un fervent disciple de Pasfc
Nous voici maintenant un labcc'est là que se fait le travail de nueplue, le plus délicat, assurément,après lo choix de la forme, de lade la finesse et de la vigueur ; ceteau microscope montre si, parmi lcss|sélectionnés, il ne s'en trouve \malgré In plus belle apparence, >nent des germes des maladies dont iêtre atteint !c ver a soie.
Les employés chargés de ce trnvaacquittent avec toute l'habileté qune longue pratique, aussi peut-on 4assuré que les sujets déclarés exempt'ltout indice do germes parasitaires, vibunaux ou cryplogamiques donnant Dsauce it des vers sains, \igotueuxet^ù produire de beaux cocons et de la*soie.
Les papillons mâles rejoiés aprèsïicouplemen t sont employés comme eng"et constituent une fumuro très riclietfazotéo.
Nous avon« dît plus haut que le ver-soie peut êtro atteint par plusieurs mdies parasitaires qui causent parfoisterribles ravages. Avant, les travail'immortel Pasteur, il n'était pas
qu'une région tout entière vit sn Psérteîcole détruite par la Mnscarô[Boli-\ tis lîassiaiui), par la Pébrine*llacheiie. D'autres maladies telles i\«Grasserie affaiblissent le ver-ù-soie.tuent quelquefois, mais assez soiivenl'permettent de finir son cocon. Les «
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