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Introduction : l’image n’est rien…

Les visibilitésQuelque chose qui s’offre à la vue

Une visibilité ne peut être « image » si elle entretient avec le sujet un rapport de consommation ou d’absorption

Si c’est le cas, elle est mortifère pour la pensée.

L’image : c’est le mot par lequel, dans le visible, se dit l’exigence d’un regardPrésence tierce d’un sens qui se construit entre l’image et le sujetNécessité d’un sujet pensantNécessité d’un écart entre l’œuvre et le sujet

Eduquer à l’image

Amener des « images » dans un monde envahi par les « visibilités »

Permettre aux élèves de percevoir cet espace de liberté qui lui est offert par l’œuvre d’art

Lui permettre de construire un lien avec l’œuvre là où il pourrait en être séparé.

I – Le film documentaire construit un lien entre lui et le spectateur – l’exemple de Promesses

II – L’enfant dans le film, l’enfant qui voit le film

III – Pistes pour accompagner  le film Promesses 

L’anti-documentaire : quand la télé filme le réel.

Les images sont plates, pauvres

cadre ce qu’elle veut montrer, un seul objet à la fois (pas d’image composite ni composée) plan d’ensemble, plan plus rapproché

Angle pas compliqué, épouse un regard naturel sur les choses (caméra à auteur d’homme

Elles montrent ce qu’elles montrent, mais il n’ y a rien à chercher dedans : elles montrent mais ne disent rien.

L’anti-documentaire : quand la télé filme le réel.

Les images sont subordonnées à la voix offElles n’ont pas de sens toutes seules : c’est la voix off qui les « contextualise », les interprète, qui dit ce qu’il faut y voir, qui en impose la signification

Elles ont une fonction illustrative, parce que la télé, ce n’est pas de la radio !

Aucun silence ne permet au cerveau de vraiment appréhender les images, ni pendant, ni avant, ni après (la télé a peur du vide)

En même temps, les images absorbent l’attention de par leur pouvoir hypnotique, et le spectateur ne peut pas non plus trop réfléchir, ni retenir ce que dit la voix off.

Le rythme (la télé a peur de la lenteur) accentue encore cette impossibilité de distanciation. Un plan par phrase, donc des plans très courts.

L’anti-documentaire : quand la télé filme le réel.

Observation d’un « sujet » télébrièveté des plans

redondance image/voixVoix off qui dit au spectateur ce qu’il doit voir Images prétexte qui pourrait être interchangeable avec une autre, simplement pour illustrer, voire pour combler ce que dit la voix off.Voix off qui dicte ce que doit ressentir le spectateurVoix off qui traduit à l’avance la parole des gens interviewés (on a donc plus besoin de les écouter, ils ne sont là que pour « faire vrai »)Anticipation par la voix off des changements de plan.

L’anti-documentaire : quand la télé filme le réel.

Conséquence : l’univocité;…L’image est placée au rang d’accessoire, donc le spectateur ne prend pas en charge la construction du sens. Donc ce sens est celui imposé par la voix off

Le présentateur impose lui aussi sa vision des choses, oriente la perception des reportages

Les différents journaux télévisés des différentes chaînes utilisent souvent les mêmes images … et cherchent à faire pareil que le voisin.

L’anti-documentaire : quand la télé filme le réel.

… le stéréotype; toujours la même façon de voir (visualiser et envisager) les choses.

… l’illusion d’appréhender le réel.Si on ne pense pas le réel, on est comme un bébé qui ne comprend rienParce qu’on est en temps réel ou légèrement différé, qui en réalité nie le temps parce qu’il l’écrase

L’anti-documentaire : quand la télé filme le réel.

… et la mise au repos du cerveau ! La télé signifie au spectateur qu’en aucun cas il n’aura besoin de réfléchir, que recevoir de l’image se passe de penser.

cf. les émissions de téléréalité

et certaines séries télé.

Le temps

LE TEMPS EXTERNE (extra diégétique): un emboîtement qui justifie le film

l’Histoire : on ne peut comprendre ce film sans l’inscrire dans son contexte historique à plusieurs échelles :

• les années 2000 = entre les 2 intifada;• L’histoire du conflit israëlo-palestinien• L’histoire de la Palestine

L’histoire personnelle de BZ Goldberg, • Enfant de Jérusalem• Journaliste à Deheishe lors de la première intifada en 1987, il travaille pour de

nombreuses télévisions (CNN, BBC, NHK..). C’est le traitement audiovisuel du conflit, et la monstration de la violence dont les enfants étaient à la fois victimes et auteurs, qui a fait naître chez lui le désir d’une approche différente du conflit

Le temps…

LE TEMPS EXTERNE : un emboîtement qui justifie le film

L’histoire professionnelle de Justine Shapiro : co-réalisatrice et animatrice de la série « Lonely Planet », elle se trouve en Israël pour cette émission en 1994 et est bouleversée par la force et la violence de la parole des enfants qu’elle rencontre

L’histoire du projet « Promises Film Project», organisation créée pour prolonger le processus de paix au Proche Orient grâce à la force de l’image. Projet né de du même désir de BZ Goldberg et de Justine Shapiro de faire un film basé sur la parole des enfants : un travail avec les images pour donner une place à la parole.

Le temps…

LE TEMPS du tournage

le temps passé sur place : plusieurs séjours de l’équipe sur 3 ans (1997-2000) qui permet une vraie rencontre avec les personnages

La quantité des rushs, 200 heures, qui va permettre un choix. Puisqu’il reste 1h46 à la fin, on sait qu’aucune image n’a été choisie au hasard lors du montage.

Le temps…

LE TEMPS de réception du filmLa durée du film qui permet au spectateur d’approfondir le sujet (contraintes de format de la télé, même pour les documentaires :13, 26 ou 52 minutes)Le temps de la projection : le fait d’aller au cinéma, de consacrer un moment spécifique à l’œuvre, la place que prend le film dans notre vie n’est pas la même quand on fait cette démarcheLe rythme, les respirations laissées au spectateurs pour assimiler les informations, gérer ses émotions, raccrocher les choses à ce qu’il sait, faire des ponts à l’intérieur du film…(les trajets par exemple) [5] [6]L’après film : la résonnance, le film qui continue à vivre en nous

Le temps…

LE TEMPS interne (diégétique) le montage prend en charge les images tournées, pour les inscrire dans la chronologie du film qui n’est plus la chronologie réelle

Le montage… le montage va inscrire le propos du film dans une géographie qui lui est propre (cf découpage), il dessine sa propre carte. Cette carte est ponctuée de trajets au début, et de check-points, puis elle se dessine en cut au fur et à mesure qu’on va vers la rencontreLe montage organise la façon dont le spectateur va recevoir les témoignages des enfants : à travers les échos qui jalonnent le film

• Pour traiter de la question de la propriété du pays• Pour montrer ce qui rapproche les enfants en tant « qu’enfants dans le

conflit » La perte d’un ami L’école dont le discours va être relayé Le rejet de l’autre (y compris au sein de la même « communauté »)

• Pour mettre en scène la rencontre des enfants avant la rencontre réelle

Une remarque de Yarko [7] Les larmes de Daniel (compétition de volley) / les larmes de

Faraj (100 m) commentaire des jumeaux [8] Le débat à distance (sur Jérusalem)[9] Le concours de rot Le montage alterné matérialise une pré-rencontre entre les

enfants, même dans le refus, quand la vraie rencontre est évoquée de chaque côté (chapitre 23 24)

L’appel téléphonique placé entre l’enregistrement de la proposition de Yarko et la discussion dans la famille des jumeaux.

Le montage …

Dans Promesses, qu’est-ce qui fait du spectateur un sujet pensant ?

C’est que le réel n’est pas montré, il est pris en charge, organisé, façonné à travers les images, par les choix des auteurs.

Les choix de réalisation : les personnages

Enfants et adultesCasting des enfants et des adultes : l’histoire ne s’écrit pas avec n’importe qui, profil « politique », épaisseur, gueule, voix, présence, photogénie

Grâce à tout çaIncarnation d’un morceau de la situationla confrontation des points de vue dessine à son tour une carte dans le film.(le personnage est un outil pour nourrir le propos)

Les choix de réalisation : les personnages

BZ dans le film : personnage• Il fait partie des personnages, il est mis en scène,

Mais il n’est pas en connivence avec nous, mais avec les personnages du film. Il n’y a pas un seul regard caméra dans tout le film + position du corps signifie son écoute des enfants, et sa complicité avec eux. A ce titre, il est un « il ».

Les choix de réalisation : les personnages

• Même si il semble dire à la caméra, « je suis avec les enfants, je ne te prends pas en compte », dans le film, il est le « je » de la voix off, Un narrateur présent pour dire son implication et incarner le propos du film, mais toujours de profil, en chemin, pour nous dire, je t’emmène, je t’accompagne, sans tenir le premier rôle.

•BZ dans le film : narrateur

Les choix de réalisation

BZ hors du film :auteur Ce rôle de je + il signifie au spectateur la force de l’énonciation de l’auteur cinéaste

• responsable du projet• interviewer, maïeuticien des enfants• médiateur entre les enfants• artisan de l’histoire : provocation de la rencontre, de la visite de

Faraj et la grandmère, peutêre d’autres parties de l’histoire• co-réalisateur : choix et agencement des images et des sons.

Et l’affirmation d’un point de vue d’homme:• Pédagogique : expliquer, aider à comprendre• Militant : la paix est possible

Dans Promesses, qu’est-ce qui fait du spectateur un sujet pensant ?

Paradoxe apparent : la force de cette énonciation n’est pas univocité, parce que le spectateur est invité à penser grâce au traitement des images et du son. Il nous donne à penser, mais ne nous dit pas quoi penser.

-temps, montage, personnages, maintenant, traitement des images et du son

Les choix de réalisation :images et sons

Des plans qui ne font pas que montrerLa présence de plans symboliques,

L’utilisation de supports pédagogiques (cartes, cartons, images d’archives) qui installent une mise en perspective avec les autres images.

Gros plans, qui nous invitent à nous rapprocher du sujet.

Les choix de réalisation :images et sons

Des plans qui ne font pas que montrerLa présence de plans symboliques, qui montrent autre chose que ce qu’ils montrentL’utilisation de supports pédagogiques (cartes, cartons, images d’archives) qui installent une mise en perspective avec les autres images.Gros plans, qui nous invitent à nous rapprocher du sujet.Des plans « esthétiques »

Les choix de réalisation :images et sons

Une façon de tourner proche du reportage TV, mais une utilisation de ces images non-télévisuelle.

Les choix de réalisation :images et sons

Une façon de tourner proche du reportage TV, mais une utilisation de ces images non-télévisuelle.

L’utilisation de la musique [13] le décalage entre le son et l’image : trajet en bus vers la prison, lecture de la lettre du pèreLe rapprochement en cut de deux séquences qui produit du sens [14]; fin du chap 10 début du 11; [19]Le tournage de scènes sur le mode télévisuel mais en « injectant » sans prévenir des personnages du film [16] [17]L’utilisation de vraies images de télé confrontées à celles du film [18 chap6]la télé s’invite au cinéma, mais pas n’importe comment…

Les choix de réalisation :images et sons

« the chair girl » : l’anti-télé ! [12] pas de rapport entre ce qu’on voit et ce qu’on entend, encore que…

c’est un plan séquence de 1’50

Un plan qui fait sens

et qui renvoie à un autre aspect du film : un film qui filme l’enfance

L’enfant dans le film

Une vraie rencontreHumaine (cf temps de tournage, posture de BZ) L’équipe fait vraiment connaissance avec eux.

Cinématographique : une grande partie du film filme non pas la Palestine vue par les enfants, mais les enfants tout court :

• Vie quotidienne (toilette, transports…)• Loisirs• Rapports entre eux et avec les adultes, rapports dans les fratries• Attitudes, détails, quand l’enfance nourrit le plan

L’enfant dans le film, n’est pas un prétexte pour créer du pathos, ou du « mignon »

Une guerre d’enfants les jumeaux et Schlomo en tant que civils à Jérusalem

Moishe qui vit dans une colonie, sorte de « camp retranché » en zone ennemie

les enfants de Deheishe • l’intifada, lutte dont ils sont les soldats et les victimes

• Ils ont leur propre manifestation dans la grande manifestation, Faraj est interviewé par la télé

• Leur génération est héritière du combat des adultes, passage de responsabilité symbolisé par la clé.

L’enfant dans le film, n’est pas un prétexte pour créer du pathos, ou du « mignon »

Une guerre d’enfants les jumeaux et Schlomo en tant que civils à Jérusalem

Moishe qui vit dans une colonie, sorte de « camp retranché » en zone ennemie

les enfants de Deheishe • l’intifada, lutte dont ils sont les soldats et les victimes

• Ils ont leur propre manifestation dans la grande manifestation, Faraj est interviewé par la télé

• Leur génération est héritière du combat des adultes, passage de responsabilité symbolisé par la clé.

L’enfant dans le film, n’est pas un prétexte pour créer du pathos, ou du « mignon »

Un statut particulier de la parole les enfants relaient la parole des adultes, mais la violence des ces mots, 100 fois entendus par ailleurs, résonnent de façon nouvelle.L’Autre a une existence extrêmement forte dans la vie des enfants à travers leur discours. Il y a séparation physique, mais dans le discours, ces enfants se construisent contre (en opposition, à côté, en négatif…) de l’autre. Le film capte une intelligence propre aux enfants, qui n’est pas de la candeur après tout ce qu’on a vu de leur vie :

• Lors du débat à Deheishe avant la rencontre [18]• Lors du bilan après la journée passée ensemble• La rencontre génère une parole renouvelée.

L’enfant dans le film, n’est pas un prétexte pour créer du pathos, ou du « mignon »

Filmer les enfants ne rend pas les choses simplistes et sans nuance, au contraire, leur spontanéité, mais aussi leur épaisseur génère du sens.

Le concours de rots qui suit un discours très radical de Schlomo sur l’impossibilité de se fréquenter entre Juifs et Arabes scène du check point avant la prison : le sourire de Senabel désamorce le pathos de la scène [15] Faraj, le plus opposé à la rencontre déplore l’ineluctable séparation.Mais à l’inverse, le frère de Bassam qui plaidait pour la rencontre pleure son frère à la fin de la journée. Pas de bilan angélique de l’expérience.L’un des jumeaux, lors de l’épilogue, porte un regard critique sur l’expérience.

L’enfant qui voit le film

Par rapport au point de vue habituel sur le conflit (zaiment pas l’actualité, la politique, l’histoire, la géo…), c’est le « pas de côté » qui va permettre d’apporter un autre discours, un autre angle, un regard nouveau. Nous fait entrer dans l’humain. les enfants du film sont considérés en tant que personnes. On peut donc faire le pari que les enfants récepteurs se sentiront aussi considérés comme de vraies personnes. Identification possible avec les enfants du film ? Présence bienveillante, humanité de BZ auprès des enfants meilleure écoute du BZ narrateur et du BZ auteur : ok, tu peux m’emmener

L’enfant qui voit le film

Un documentaire qui dit la violence sans la montrer« Notre société ne cesse de raconter la violence comme pour la mettre à distance, l’apprivoiser et l’exorciser. Mais son ancrage dans le réel, par l’information, nous en ravive la peur » Benoît Grévisse In  La violence dans l’information Télévisée, Bruxelles, 2003L’habitude de la violence récréative (jeux, séries avec des scènes de torture…) fait que la violence de la réalité (historique ou actuelle) les divertit aussi. Il y a atténuation de la perception de la violence montrée. Hypothèse : il vaut mieux la dire autrement, et surtout pas la montrer.

 

Exploitation pédagogique du film

Pourquoi : parce que le documentaire de cinéma, pour toutes les raisons évoquées, offre au spectateur :

une invitation à réfléchir

une invitation à aller vers l’ailleurs, vers l’autre

Une invitation à entrer en soi

Exploitation pédagogique du film

CommentEn percevant le terrain laissé libre pour la pensée

En étant acteur sur ce terrain

En mettant la parole de l’élève au premier plan, pour que la parole du prof ne vienne pas se superposer au film comme une voix off…

Avant la projection

Des représentations vers les connaissancesTravail sur l’affiche pour faire des hypothèses sur son contenu

Recueil (individuel/collectif) des connaissances des élèves sur le conflit Israélo-Palestinien : noter et conserver leurs formulations.

Les élèves prennent connaissance de la chronologie

Avant la projectionAppropriation des connaissances

Questionnaire; schéma à compléter; vrai/faux; spatialiser la chronologie des évènements dans la salle… tout cela en fonction des capacités des élèves à se contenter ou non des explications données par le film lui-même. Retour sur les formulations premières des élèves. S’assurer que les mots « Juif », « israélien », « Arabe », « palestinien », « cisjordanie » « territoires occupée »; « camps de réfugié », « Intifada » et « hamas » « colonies »ont du sens.Prendre un keffié dans la salle, demander si ce symbole leur est connu…

Pendant la projectionbien retenir l’identité des 7 enfants, et se rappeler une scène ou une image pour chacun d’eux (les noter en rentrant à la maison.)Dessiner son « bonhomme » du film

tête = l’histoire racontée le ventre : ce que j’ai appris Un bras : la musiqueL’autre bras : les personnagesUne jambe : le message L’autre jambe : les images, ou un autre aspect au choix : mes sentiments pdt le film, des souvenirs personnels, des rapprochements avec ma vie…)

Après la projectionLe film et moi : ma parole personnelle

En groupe, chacun présente son bonhomme aux autres, explique ses choix. On peut envisager que chaque groupe dessine le bonhomme du groupe sur transparent ou très grande feuille afin qu’un rapporteur le présente à la classe, éventuellement. Le prof circule dans les groupes pour entendre les élèves. Il pourra présenter à la classe son propre bonhomme.

Après la projectionJe prend conscience de ce qui compose le film (comme si le film était une symphonie)

Les objets du film : chaque groupe reçoit une feuille avec un objet symbolique du film, et écrit ce que cet objet évoque. Les feuilles tournent pour passer chez tout le monde, et chaque groupe complète ce qui a déjà été écrit. Au fur et à mesure de la mise en commun, le prof peut commencer à lister, par exemple sur une grande feuille, les grandes composantes du film, à mesure que les élèves les évoque par leurs remarques : la narration, l’évocation symbolique, l ’explication historique, l’humanisme, la référence à l’actualité, le militantisme. Ainsi, le prof met des mots sur ces aspects du documentaire que les élèves ont perçus.Une fois la liste terminée (ou en évaluation), on peut passer des extraits choisis aux élèves pour leur demander de trouver de quelle composante il s’agit, et éventuellement compléter la liste. Chaque composante pourra être approfondie. On insistera sur la prise de conscience de la mise en scène, ce qui rapproche le film d’une fiction (casting, provocation de la rencontre, rencontre, montage), par rapport au matériau des images qui filment la réalité.

Après la projectionJe comprends ce que raconte le film : les grands thèmes

Le prof a ramassé ce que chacun a retenu des 7 personnages. Une fois mis en commun, ce relevé peut permettre de dégager quelques grands aspects du film, en regroupant ce que chacun a retenu dans des grands ensemble, correspondant aux thèmes abordés dans le film.

Là encore, des extraits peuvent être soumis aux élèves pour être replacé dans telle ou telle thématique.

Après la projection

Et après avoir bien exploré le film, un petit coup de télé pour observer les différences !

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