français ap – unité 2

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Français AP – Unité 2. La famille et la communauté L’amitié et l’amour Qu’un ami véritable est une douce chose Michel de MONTAIGNE. Partie 1 – Avant de lire. Posez les questions suivantes à une autre personne et marquez leurs réponses en bas. Révisons!. Partie II – À propos de l’auteur. - PowerPoint PPT Presentation

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Français AP – Unité 2La famille et la communauté

L’amitié et l’amourQu’un ami véritable est une douce chose

Michel de MONTAIGNE

Posez les questions suivantes à une autre personne et marquez leurs réponses en bas.

Révisons!

Partie 1 – Avant de lire

Montaigne est un écrivain du XVIe siècle. Il est né en 1533 au château de Montaigne,

en Périgord dans le sud-ouest de la France et meurt en 1592.

Partie II – À propos de l’auteur

Aîné de sa famille, il prendra le nom du château en héritant du domaine à la mort de son père.

Son vrai nom était Michel Eyquem.

Dans Les Essais, son œuvre principale, il raconte sa vie à travers des réflexions sur l’éducation, sur l’amitié et sur la colonisation du Nouveau Monde.

Partie II – À propos de l’auteur

Ce texte ne respecte pas l’ordre chronologique des événements de sa vie parce que Montaigne l’a constamment édité afin de refléter le mouvement de la pensée.

C’est pourquoi le texte se présente comme une supposition de strates successives.

Partie II – À propos de l’auteur

Cette lecture s’intitule Qu’un ami véritable est une douce chose! Selon le titre et ce que vous savez de l’auteur, qu’imaginez-vous dira cette réflexion. Réfléchissez avec un partenaire, écrivez ce que vous pensez.

Révisons!

Partie III – À envisager

Partie IV – Vocabulaire actif français

 fonction synonyme

français anglais

 exemple d’usage

 une âme 

       

 conseiller 

       

 la couture 

       

 dérober 

       

 dès lors 

       

 doux/douce 

       

nom l’esprit

verbe donner del’avis

nom la norme

verbe voler

conj. depuis cetemps-là

adj gentil

 effacer 

       

 se joindre 

       

 languissant 

       

 se mêler 

       

 partout 

       

 la perte 

       

 sauf 

       

 tromper

       

Partie IV – Vocabulaire actif verbe supprimer

verbe se rattacher à un groupe

adj très triste

verbe mettre ensembledes choses diverses

adverbe en tous leslieux

nom la séparation

prép excepté

verbe décevoir

Partie V – À la pratique du vocabulaire

te joindre

conseiller

douce

perte

dérober

« Ce que nous appelons…parce que c’était moi ».

À quoi sert-il ce paragraphe d’introduction? Comment décrit-il Montaigne « l’amitié” »?

Pour faire une distinction entre les sortes d’amitiés.

Il y en a deux; ordinaire et profonde.

À lire

« Il y a, au-delà…par quelque ordonnance du ciel ».

Montaigne pour d’une « force ». D’où vient-elle?

A votre avis, que fait-elle, cette force?

La force, elle vient du surnaturel (Dieu, l’extérieur de l’homme)

Relier les âmes dans une grande amitié

À lire

« Nous nous embrassions…que l’un à l’autre».

Selon Montaigne, qu’est-ce qui déclenche l’intérêt d’une personne dans une autre?

Que passe-t-il après la première rencontre?

Le nom de la personne Les deux amis se trouvent une forte

connection.

À lire

« Qu’on ne me mette…à s’en défier».

Que conseille-t-il Montaigne à faire à l’égard d’une amitié commune?

À ne pas confondre avec une grande amitié et à procéder avec précaution.

À lire

« L’ancien Ménandre…s’il en avait tâté».

Expliquer le sens de « l’ombre d’un ami ».

L’ombre d’un ami est une amitié qui est presque une grande amitié mais à cause des défauts personnels n’est pas.

À lire

« Car, à la vérité…obscure et ennuyeuse».

Quelles deux périodes de sa vie compare-t-il, Montaigne?

Laquelle était pire? Que dit-il pour vous indiquer ça?

Le reste de sa vie et la période pendant laquelle il connaissait son grand ami.

La deuxième. « …ce n’est qu’une nuit obscure et ennuyeuse. »

À lire

« Depuis le jour…que je lui dérobe sa part».

Que lui apportent-ils, les plaisirs du monde? Que ressent-il, Montaigne, vers son ami

maintenant qu’il est mort?

De la peine. Il lui vole ce qu’il aurait dû avoir.

À lire

« J’étais déjà si fait et accoutumé à être deuxième partout qu’il me semble n’être plus qu’à demi. »

Que pensez-vous de la conclusion?

À lire

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