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ACCIDENTS DUS AU SOLEIL ACCIDENT DE PHOTOSENSIBILISATION SIGNES CLINIQUES: ? super coup de soleil aprs des expositions modres de quelques heures, favori s par des substances locales ou gnrales photosensibilisantes. rythme mais aussi phlyctnes dans les cas graves au niveau des rgions exposes au l. ? dermite des prs: ruption vsiculo-bulleuse, prurigineuse, reproduisant l'emp reinte du vgtal. ? dermite pigmentaire en breloque: pigmentation en coule au niveau du cou e t des aisselles aprs application de parfum. ETIOLOGIE: ?

les photosensibilisants par voie externe: vgtaux: bergamote, persil, figue, cleri, lichens, artichauts, chicore. cosmtiques: parfums, filtres solaires, baume du Prou,... antiseptiques: osine, fluorescine, Septal,... topiques: peroxyde de benzoyle, trtinode, phnergan, Neuriplge, AINS, goudrons, Lo psoralnes. contacts professionnels: rsines poxy, nickel, chrome, cobalt, insecticides, vermif uges,... ? les photosensibilisants par voie interne: cyclines, sulfamides, grisofulvine, quinolones. Cordarone, quinidines, diurtiques. Largactil, Tgrtol, tricycliques, Nautamine. AINS, Trolovol, Acadione, antimitotiques, No-mercazole, phnothiazines, psoralnes. TRAITEMENT: ? ? ? ? suppression des produits photosensibilisants. protection solaire. Biafine mulsion, corticodes locaux. antalgiques, Aspirine.

URTICAIRE SOLAIRE SIGNES CLINIQUES: ? 15 mn aprs exposition solaire. ? ruption rythmato-papuleuse urticairienne avec prurit important, sur les zon es dcouvertes. ? parfois: cphales, vertiges, malaise. ? disparition en moins de 5 heures ds la mise l'ombre. ? priode rfractaire. ? affection rare qui touche plutt la femme de 30 40 ans. ETIOLOGIE: ? ? UVA, UVB. porphyries.

EXAMENS COMPLEMENTAIRES: ? ? reproduction au simulateur solaire dans des grands centres. AC antinuclaires ngatifs.

TRAITEMENT: ? ? protection solaire par des crmes externes. antihistaminiques per os.

LUCITE ESTIVALE BENIGNE SIGNES CLINIQUES: ? affection assez frquente qui touche la femme jeune de 25-35 ans, rcidivant e chaque anne. ? ruption moins de 12 heures aprs exposition solaire: papules rythmateuses par fois vsiculeuses. ? touche seulement le dcollet, face postrieure des mains et des avant-bras ma is pas le visage. ? prurit important. ? ne se produit pas si hle cutan. EXAMENS COMPLEMENTAIRES: ? aucun.

TRAITEMENT: ? aucun en curatif. ? prvention par protection externe, carotnodes, antipaludens, exposition trs pr ogressive au soleil. LUCITE POLYMORPHE SIGNES CLINIQUES: ? ? ? . ? affection assez rare qui survient entre 10 et 30 ans surtout. ds les premiers ensoleillements au printemps. prurit et ruption rythmato-papuleuse sur les zones dcouvertes dont le visage rcidive chaque exposition solaire.

EXAMENS COMPLEMENTAIRES: ? exploration photobiologique dans des grands centres.

TRAITEMENT: ? ? aucun en curatif. protection externe, antipaludens en prventif.

AUTRES MALADIES INDUITES PAR LE SOLEIL ? ? ? ? herps labial: Cf. porphyrie cutane: Cf. lupus rythmateux. coup de soleil, brlures.

BULLES CUTANEES SIGNES CLINIQUES:

? collection de liquide clair ou hmatique sur la peau ou les muqueuses. ? si bulles tendues: dtresse cutane aigu comme lors des brlures ou un Lyell ave c risque de retentissement gnral. ? rechercher systmatiquement le signe de Nikolsky: dcollement pidermique obte nu par la pression du doigt en zone pribulleuse apparemment saine. ETIOLOGIE : ?

pemphigus vulgaire: bulles sur peau saine et muqueuses. ulcrations douloureuses. Nikolsky positif. ? pemphigode bulleuse: chez personne ge. bulles de grande taille sur placards rythmateux et prurigineux. Nikolsky ngatif. ? dermatite herptiforme: trs petites bulles en bouquet sur placard rythmateux du dos, du sacrum, de la face d'extension des membres. prurit important. ? rythme polymorphe: chez l'adulte jeune ou l'adolescent. suite la prise d'AINS ou suite une infection virale. papules rythmateuses associes de petites bulles donnant un aspect en cocarde au eau des extrmits, des genoux, des coudes, des paumes, des plantes et des muqueuses . si atteinte pluri-orificielle: syndrome de Stevens-Johnson. ? Lyell (Cf): suite une prise mdicamenteuse. dbut brutal. altration de l'tat gnral, fivre. grandes bulles sur rythme sombre, atteinte des muqueuses. grands dcollements. Nikolsky positif. ? porphyrie cutane tardive: bulles du dos des mains et de la face. aprs exposition solaire, prise d'alcool ou de mdicament. urines porto. ? imptigo bulleux: chez l'enfant. crotes mlicriques. ? pidermolyse staphylococcique: chez l'enfant. suite une infection ORL banale voire inapparente. tableau de Lyell avec Nikolsky positif sans atteinte des muqueuses. ? photodermatose: bulles localises aux rgions exposes au soleil . suite la prise de photosensibilisants. Nikolsky ngatif. EXAMENS COMPLEMENTAIRES: ? ? aucun en urgence. biopsie cutane aprs avis spcialis.

TRAITEMENT: ? ? avis spcialis en ambulatoire. hospitalisation si suspicion de Lyell ou dermatose svre et tendue.

CELLULITE SIGNES CLINIQUES: ? cellulite ncrosante sous-cutane: chez le sujet g. au niveau d'une jambe (90%): peau rouge, chaude, dme. fivre: 38-39C. puis bulles hmorragiques, ncrose cutane en plaques, purpura ncrotique. douleurs deviennent intenses. volution vers gangrne gazeuse (crpitations au toucher) avec choc septique. cellulite cutane superficielle: rysiple. cellulite cervico-faciale secondaire une infection stomatologique.

? ?

ETIOLOGIE: ? ? idiopathique. facteurs favorisants: lymphoedme. diabte. AINS ou corticodes.

EXAMENS COMPLEMENTAIRES: ? hmocultures, prlvements cutans. ? NFS: hyperleucocytose, VS: syndrome inflammatoire, cratininmie: insuffisan ce rnale. TRAITEMENT: ? cellulite ncrosante sous-cutane: hospitalisation en ranimation. voie veineuse, oxygnothrapie au masque. incision et drainage. antibiothrapie en fonction du germe suspect: Pni G: 5 M UI/6 h + Tibral: 1,5 g/j ou Augmentin + aminoside. si allergie aux bta-lactamines: Clindamycine + fluoroquinolones. macromolcules. oxygnothrapie hyperbare. anticoagulation efficace. rquilibration hydro-lectrolytique.

? ?

ERYSIPELE SIGNES CLINIQUES: ? dbut brutal avec fivre 39 ou 40 C et frissons. ? placard rouge, chaud, tendu, douloureux la palpation, bien limit avec par fois bourrelet priphrique, parfois bulleux ou purpurique. ? adnopathies satellites rgionales inflammatoires et parfois trane de lymphang ite. ? localisations prfrentielles: membre infrieur le plus souvent, parfois visag e (5-10%). ? rechercher une porte d'entre (50-70%): intertrigo, piqre, plaie minime. DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL: ? staphylococcie maligne de la face.

? ? ? ? ?

prichondrite de l oreille. eczma de la face. phlbite des membres infrieurs. lymphangite. cellulite ncrosante au dbut.

ETIOLOGIE: ? ? streptocoque bta-hmolytique A, parfois surinfection avec le staphylocoque. facteurs favorisants: femme obse, insuffisance veineuse.

EXAMENS COMPLEMENTAIRES: ? ). ? chodoppler veineux si doute diagnostic (risque de phlbite dans 15% des cas ventuellement: protinurie, hmaturie, NFS (hyperleucocytose), VS (trs leve).

TRAITEMENT: ? suivi ambulatoire si forme modre: Pyostacine 50 mg/kg/j per os ou Bristopen: 2 g/jour. pansement avec Oxythiol pour calmer les phnomnes inflammatoires. ? hospitalisation si forme svre (bulles extensives, ncrose): voie veineuse. Pnicilline G: 3 M UI dans 125 ml x 4 fois/24 h en 1 heure jusqu' l'apyrexie (10000 0 UI/kg/8 h chez l enfant) puis Clamoxyl: 1 g x 3/j (100 mg/kg/8h chez l enfant). ou Bristopen: perfusion 1 g dans G5% en 30 mn x 3 par 24 heures. macrolides si allergie: Rovamycine, 1,5 M UI passer en 60 mn dans 125 ml G5% x 3 fois par 24 heures. ? hparinothrapie: HBPM dose prventive si sujet risque de phlbite. ? dsinfection de la porte d'entre si elle est dcouverte. ? prophylaxie antittanique. ? bandes de contention. ERYTHRODERMIE SIGNES CLINIQUES: ? . ? ? ? dermatose rouge, inflammatoire, gnralise tout le corps, parfois desquamante forme sche et forme suintante. prurit d'intensit variable, frilosit, frissons, gne cutane. signes de gravit: troubles de la thermorgulation (hypothermie). collapsus d l'hypovolmie. dshydratation, troubles hydro-lectrolytiques. infections pulmonaires, septicmie. ge, mauvais tat gnral, cardiopathie sous-jacente.

ETIOLOGIE: ? dermatoses rythrodermiques (60%): psoriasis. eczma. lichen plan. affections malignes (lymphocytose T) (20%): syndrome de Sezary. toxidermie mdicamenteuse (10%). infections cutanes, microbiennes ou parasitaires (gale norvgienne) (1%).

? ? ?

? ?

causes non identifies (10-15%). maladie de Leiner-Moussus chez le nourrisson.

EXAMENS COMPLEMENTAIRES: ? ? ? ? SpO, temprature. NFS, ionogramme sanguin et urinaire. hmocultures, prlvements cutans. ECG, radiographie thoracique.

TRAITEMENT: ? ? ? ? ? ? hospitalisation. voie veineuse, oxygnothrapie si signes de gravit. rgime hypercalorique, hyperprotidique. rchauffement, antiseptiques, antipyrtiques. corticodes locaux. si collapsus: macromolcules, Dobutamine.

FURONCLE ET FURONCULOSE SIGNES CLINIQUES: ? ? ? . furoncle: stade inflammatoire: tumfaction cutane douloureuse centre sur une pustule, centre sur un poil. stade de ramollissement: collection du pus (bourbillon), douleur plus ou moins intense, pulsatile

stade de fistulisation et d'vacuation. complications: ? thrombophlbite des sinus caverneux ou staphylococcie maligne de la face. ? lymphangite. ? arthrite distance. ? sepsis. ? furonculose: forme rcidivante de furoncle. ? anthrax: furoncle touchant plusieurs follicules contigus, sigeant souvent la nuque et souv ent associ au diabte. DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL: ?

hidrosadnite: nodule douloureux avec coulement purulent et induration de voisinage. sige aux aisselles et aux plis inguinaux. traitement: ttracyclines associs ou non avec le drainage chirurgical, exrse chiru cale pour les formes svres. ? folliculites. ? kyste pidermique surinfect. ETIOLOGIE: ? infection due au staphylocoque dor pathogne.

EXAMENS COMPLEMENTAIRES: ? uniquement si furonculose: prlvement narine, pri-anal, du furoncle.

NFS, VS, glycmie, fer srique. TRAITEMENT: ?

stade inflammatoire: ne pas manipuler ni presser un furoncle. antibiothrapie facultative: Pyostacine 500, 2 cps x 2/j, Fucidine 2 cps x 2/j, Br istopen 2 g/j. ? obligatoire si immunodprim, inflammation importante, furoncle mdio-facial. compresses d'alcool 60 ou Hexomdine solution ou Fucidine crme ou Flammazine pour rmettre la collection. ? stade de ramollissement-fistulisation. antalgiques. incision du furoncle et vacuation du bourbillon. dsinfection avec Btadine solution puis mchage. ? si formes rcidivantes (furonculose): dsinfection des gtes et des anciens furoncles. savonnage du corps entier. antibiothrapie. ? si anthrax: incision chirurgicale et vacuation + Pyostacine ou Bristopen. HERPES SIGNES CLINIQUES: ? ? incubation: 2-12 jours, moyenne: 6 jours aprs contage. formes gnitales: sige au niveau des organes gnitaux externes, l'anus, le col utrin. sensation de cuisson ou de prurit. bouquet de vsicules fugace, puis rosion rapide, sur une zone rythmateuse. douleur parfois intense. adnopathies satellites sensibles. rcidives frquentes au mme endroit. si primo-infection: signes locaux: muqueuse rouge, oedmatie, vsicules ou ulcrations. signes gnraux: fivre, douleurs importantes chez la femme. dysurie, brlures mictionnelles. si immunodprim: lsions plus frquentes, plus extensives, ulcro-ncrotiques. formes non gnitales: sige au niveau des lvres, de la cavit buccale, plus rarement en peau glabre. gingivo-stomatite aigu: chez enfant entre 6 mois et 3 ans. altration de l'tat gnral. fivre 39C et douleurs rendant l'alimentation difficile. muqueuse buccale inflammatoire. ulcrations buccales et pribuccales, adnopathies satellites douloureuses. formes cutanes: petites vsicules en bouquet sur placard rythmateux, prcdes par un prurit ou de brlures. puis rosions, puis croutelles, rcidives frquentes au mme endroit. atteinte oculaire: kratite superficielle chez le nouveau-n (brlures, larmoiement, photophobie) mningite lymphocytaire aigu. panaris herptique: ruption rythmato-vsiculeuse du doigt avec fivre et adnopathies.

? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? s ? ? . ?

ETIOLOGIE: ? herps simplex virus type I pour l'herps buccal, type II pour l'herps gnital. ? favoris par les infections, le stress, la menstruation, le soleil, les ra pports sexuels. EXAMENS COMPLEMENTAIRES: ? ? inutiles dans la plupart des cas. ventuellement cytodiagnostic et srologie du VHS2.

TRAITEMENT:

? soins locaux: osine, drivs de la Chlorhexidine, Hxomdine solution, bains de b ouche. ? si forme simple: Zovirax crme: 1 application x 5/j pendant 5 jours commencer ds les premires heur de la pousse. ? si primo-infection: Zovirax 200: 1 cp x 5/j. pendant 10 jours si stomatite. Zlitrex: 1 g/j si atteinte gnitale. ? si rcurrence importante ou si forme tendue, hyperalgique: Zovirax 200: 1 cp x 5/j pendant 5 jours. ? si rcidives frquentes (> 6 fois par an) et invalidantes: Zovirax 200: 4 cps par jour (2 matin, 2 soir) pendant 6 mois ou Zovirax 200: 4 cps par jour, 2 jours avant et pendant l exposition au facteur dc lenchant si celui-ci est connu et prvisible. ? si gingivo-stomatite: bains de bouche, alimentation semi-liquide, Sucralfate, Aspirine et Zovirax susp ension: 1 mesurette 5 fois par jour pendant 10 jours. ? si atteinte oculaire: avis spcialis. ? chez les immunodprims, dans les formes graves: hospitalisation et Zovirax IV: 5 mg/kg/8 h voire plus dans du srum physiologique. ? ne pas embrasser autrui si herps labial, pas de rapport sexuel sans prserv atif si herps gnital. ? ne pas mettre en contact des porteurs d'herps avec des eczmas constitution nels. SYNDROME DE LYELL SIGNES CLINIQUES: ? ? ? ?

dbut brutal, chez un sujet en bonne sant, par un rythme rouge sombre. hyperthermie 39-40C. altration de l'tat gnral. dcollement pidermique en lambeaux, mettant le derme nu, comme une brlure du second degr. ? bulles claires, parfois volumineuses touchant 10 100% de la superficie c orporelle. ? signe de Nikolsky positif. ? atteinte muqueuse: rosions douloureuses de la bouche, du pharynx voire de l' sophage entranant une dys hagie. rosions de la conjonctive: conjonctivites, kratite. rosions de l urtre: brlures mictionnelles, rtention d'urines. ? complications: infections graves, troubles hydro-lectrolytiques (comme les brls), ou atteintes vi crales (hpatite).

DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL: ? autres maladies bulleuses: Cf.

ETIOLOGIE: ? prise ou reprise rcente d'un sulfamide antibactrien ou antidiabtique, d'un AINS, ou d'un anti-pileptique... EXAMENS COMPLEMENTAIRES: ? biopsie cutane en cas de doute, si analyse avec lecture possible dans les 6 heures. ? ionogramme sanguin, ionogramme urinaire, cratininmie, transaminases. ? radiographie pulmonaire. TRAITEMENT: ? ? ? hospitalisation. arrter tous les mdicaments en cours. le traitement est celui d un brl: manipuler le patient prudemment avec des gants striles. antiseptiques cutans incolores (Hibitane), Flammazine. pas d'antibiothrapie gnrale systmatique. voie veineuse en peau saine: remplissage avec des macromolcules. rquilibration hydro-lectrolytique. rchauffer le malade. antiseptiques oculaires (Biocidan, Vitabact) puis consultation ophtalmologique. anxiolytiques, antalgiques, anti-acides. anticoagulation prventive.

? ?

LYMPHANGITE SIGNES CLINIQUES: ? frissons, fivre. ? cordon rouge, chaud, douloureux et infiltr le long du trajet d'un vaissea u lymphatique de la porte d'entre vers une adnopathie. ? adnopathie douloureuse en aval. ? signes cliniques de la porte d'entre. DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL: ? ? ? thrombose superficielle. rysiple. grippe.

ETIOLOGIE: ? ? plaie septique d'un membre. intertrigo, rysiple, imptigo, furoncle, ulcration cutane, piqre d'aotat.

EXAMENS COMPLEMENTAIRES: ? ? aucun. ventuellement: NFS, prlvement de la porte d'entre.

TRAITEMENT: ? ? ? ? Osmogel ou application d un mlange alcool 50%-glycrine 50%. dsinfection de la porte d'entre. contention lastique. ventuellement: AINS si inflammation tendue ou hyperalgie. Pyostacine ou Bristopen per os. anticoagulation prventive avec des hparines de bas poids molculaire.

NECROSE CUTANEE DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL: ?

pyoderma gangrenosum: ulcration cutane, destructrice, extensive, peu profonde, hyperalgique, bien limite par un bourrelet violine infiltr. s'associe avec une entropathie, une polyarthrite rhumatode, une pathologie hmatolo ique. ETIOLOGIE: ? ? ? ? ? si fivre et altration de l'tat gnral: survenant sur un placard cellulitique: cellulite ncrosante. associe du purpura: purpura infectieux. associe des ulcrations ncrotiques indolores de la rgion gnitale et axillaire:

ecthyma gangrenosum, septicmie pyocyanique. si absence de fivre chez femme ge: ulcrations bilatrales, ncrotiques, trs douloureuses des jambes: angite ncrosant si 5 10 jours aprs le dbut d'un traitement par AVK, Hparine, HBPM: ncrose cutane due aux anticoagulants. aprs une injection intramusculaire d'aminoside, d antimitotique.

EXAMENS COMPLEMENTAIRES: ? NFS, plaquettes, glycmie, bilan hmostase, prlvements bactriologiques (cutans, hmocultures), cryoglobulinmie, protinurie, hmaturie, cratininmie. ? doppler artriel, ECG, radiographie du thorax selon le contexte. TRAITEMENT: ? ? hospitalisation et avis spcialis. chirurgie pour la cellulite ncrosante.

OEDEME ANGIONEUROTONIQUE HEREDITAIRE SIGNES CLINIQUES: ? maladie rare qui apparat dans l'enfance ou l'adolescence et qui se finit avant 50 ans, notion d'antcdents familiaux. ? dbut brutal. ? dmes rcidivants de Quincke, avec dme pharyngo-laryng (50%). ? dme d'autres muqueuses: ilale avec syndrome occlusif ou douleurs abdominales (50%), diarrhes, vomissements . parfois pleurale ou utrine. ? pas de lsion urticairienne.

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spontanment rsolutive en 1 3 jours.

ETIOLOGIE: ? dficit permanent, congnital ou acquis, en inhibiteur de la C1 estrase. ? facteurs dclenchants: traumatisme local, chirurgie, infections, stress, a spirine, AINS extraction dentaire, rgles. ? lupus systmique, lymphomes, dysglobulinmies. EXAMENS COMPLEMENTAIRES: ? ? aucun en urgence. taux de l'inhibiteur de la C1 estrase absent ou effondr.

TRAITEMENT: ? hospitalisation. ? administration de la C1 estrase purifie (distribu en France par le laborato ire Immuno): 1000-1500 UI. ? intubation si asphyxie par dme. ? l'Adrnaline, les corticodes et les anti-histaminiques sont peu efficaces d ans cette forme d' dme. ? transfusion de plasma frais. ? Danatrol: 400 600 mg par jour per os. OEDEME DE QUINCKE SIGNES CLINIQUES: ? ? ? ? ? dbut brutal. dme blanc des paupires ou des lvres, intressant le larynx. dme de la luette avec gne respiratoire. parfois dme digestif: douleurs abdominales, vomissements, diarrhes. complications: choc anaphylactique. dtresse respiratoire.

DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL: ? ? ? trichinose. syndrome cave suprieur. syndrome nphrotique.

ETIOLOGIE: ? aliments ou mdicaments (30-50%), absorbs dans les minutes ou les heures prcd entes. ? piqre d'hymnoptre. ? dme angioneurotonique hrditaire. ? une fois sur deux: pas de cause vidente. EXAMENS COMPLEMENTAIRES: ? ? ? aucun en urgence. scope, SpO si complications. recherche de l'allergne dans un second temps.

TRAITEMENT:

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? ?

arrter tout traitement en cours si cela est possible. en cas d' dme oro-pharyng: voie veineuse, oxygnothrapie au masque. Adrnaline 1 mg: ampoule SC ou IV. Polaramine: 2 ampoules IM ou IV. Solumdrol: 80 mg IV x 3 par jour. bronchodilatateurs en spray. et hospitalisation au moins 24 heures. dans les autres cas: Polaramine: 2 ampoules IM par jour pendant 2-3 jours. Solupred 20: 3 cps par jour ou Solumdrol: 80 mg IV x 3 par jour. Dyspn-Inhal si survenue d'une gne larynge. suivi ambulatoire. choc anaphylactique: Cf. remise bote d'Anahelp ou d'Anakit si forme grave ou si pisode rcidivant.

PORPHYRIE AIGUE SIGNES CLINIQUES: ? ?

coloration anormale des urines: couleur porto. troubles digestifs: douleurs abdominales violentes continues ou paroxystiques (95%), localisation va riable contrastant avec un examen normal. constipation (70%) ou diarrhe, vomissements (90%). tympanisme, pas de dfense. ? troubles neurologiques aprs les douleurs abdominales: paresthsies puis paralysies des extenseurs des membres, volution possible vers ttr plgie. abolition des rflexes osto-tendineux. paralysie faciale. atteinte des muscles respiratoires et de la dglutition. ? troubles vgtatifs: tachycardie, HTA ou hypotension, parfois sudation. ? troubles psychiques: irritabilit, anxit, parfois dlire, hallucinations, confusion, pilepsie. DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL: ? ? ? ? ? syndrome de Guillain-Barr. abdomen chirurgical . troubles psychiatriques. intoxication au plomb. pilepsie rfractaire ou agrrave par certains antipileptiques.

ETIOLOGIE: ? iatrogne: de nombreux mdicaments peuvent dclencher une crise. ? facteurs dclenchants : alcool, infections, stress, jene, cycle menstruel, grossesse. EXAMENS COMPLEMENTAIRES: ? ? ? %). porphyrines dans les urines, dans les selles. NFS: anmie hmolytique possible, ionogramme sanguin: hyponatrmie, calcmie. couleur rouge-porto des urines exposes 30-60 minutes la lumire du jour (70

TRAITEMENT: ? ? ? ? ? gu. arrt des mdicaments suspects. rgime riche en glucides. traitement symptomatique des douleurs abdominales ou des neuropathies. rquilibration hydro-lectrolytique. ventilation aprs intubation ou trachotomie si insuffisance respiratoire ai

PURPURAS PURPURA RHUMATOIDE DE SCHONLEIN-HENOCH SIGNES CLINIQUES: ? ? ? tique. souvent dme de la face, du dos des mains et des pieds. atteinte articulaire: douleurs articulaires (60%) migratrices, symtriques atteignant surtout les genoux et les chevilles. ? atteinte digestive: douleurs abdominales paroxystiques qui parfois prcdent le purpura (douleurs pseudo -chirurgicales) avec souvent maelena. ? atteinte rnale: hmaturie, protinurie d'emble ou retardes. parfois syndrome nphrotique ou glomrulonphrite aigu, HTA. ? parfois: convulsions, douleurs testiculaires. ? DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL: ? ? ? ? invagination intestinale aigu si douleurs abdominales. torsion du testicule si douleurs testiculaires. priartrite noueuse. autres douleurs abdominales de l'enfant.

le plus souvent chez un enfant de 4 10 ans. dclench par une infection des voies respiratoires hautes. atteinte cutane: purpura ptchial prdominant aux membres infrieurs et aux fesses, symtrique et ort

EXAMENS COMPLEMENTAIRES: ? ? ? plaquettes, temps de saignement et temps de coagulation: normaux. bandelettes urinaires. bilan rnal, compte d Addis, protinurie/24 h.

TRAITEMENT: ? ? ? ? repos: aucun intrt. antalgiques. corticodes (1 mg/kg/j) si douleurs abdominales importantes. hospitalisation si: insuffisance rnale svre, protinurie > 1 g/24 h, syndrome nphrotique, HTA. mlna, rectorragies. altration de l tat gnral.

PURPURA INFECTIEUX AIGU (Cf) SIGNES CLINIQUES:

? ? ? ? ?

installation brutale, volution rapide. syndrome infectieux svre. purpura: parfois discret, parfois ecchymotique. dfaillance circulatoire. signes de mningite.

ETIOLOGIE: ? ? mningocoque B, pneumocoque, Haemophilus, staphylocoque, streptocoque. c est le purpura fulminans du jeune enfant.

EXAMENS COMPLEMENTAIRES: ? bandelettes urinaires, ponction lombaire, hmocultures, NFS.

TRAITEMENT: ? Clamoxyl: 15 mg/kg IV lente. ? et hospitalisation immdiate par SMUR si dlai d'intervention court sinon pa r vhicule personnel. PURPURA FEBRILE DES VASCULARITES NECROSANTES SIGNES CLINIQUES: ? aspect polymorphe. ? purpura + nodules + taches rythmateuses en cocarde, urticaire, livedo, bul les hmorragiques, ulcrations ncrotiques. ? fivre. ETIOLOGIE: ? prise mdicamenteuse: sulfamides, antibiotiques, AINS, furosmide, allopurin ol, cimtidine, aspirine, srums, thiazidiques. ? infections. ? connectivites: lupus, polyarthrite rhumatode, Gougerot-Sjgren, Wegener. ? hmopathies malignes: leucmies, lymphomes, mylome, Waldestrm, cancers. ? priartrite noueuse, hpatite,... EXAMENS COMPLEMENTAIRES: ? NFS, VS, bilan hmostase, rnal, hpatique, hmocultures, protinurie. ? radiographie pulmonaire. ? examen anatomo-pathologique avec immunofluorescence qui fait le diagnost ic positif. PURPURA THROMBOTIQUE THROMBOCYTOPENIQUE SIGNES CLINIQUES: ? ? ? s. ? femme de moins 40 ans. purpura, fivre. troubles de la conscience avec ou sans signe de localisation, convulsion insuffisance rnale, hmaturie.

EXAMENS COMPLEMENTAIRES: ? NFS: anmie hmolytique, thrombopnie.

TRAITEMENT: ? ? AUTRES ? Solumdrol: 200 mg IV. passage en ranimation, plasmaphrses.

? ? ?

purpura des thrombopnies: grave quand hmorragies associes par la quantit ou la localisation: crbro-mning fivre. traitement par transfusion de plaquettes. purpura des aplasies mdullaires: fivre, aplasie mdullaire. embolie de cholestrol: purpura distal des membres infrieurs + orteil pourpre. cellulite ncrosante sous-cutane des membres: Cf.

STAPHYLOCOCCIE MALIGNE DE LA FACE SIGNES CLINIQUES: ? furoncle ou lsion d acn de la face au niveau du sillon nasognien ou de la lvre suprieure. ? tumfaction lie de vin, inflammatoire, dme tendu et douloureux de la face et des paupires, pas de bourrelet priphrique. ? fivre 40C, frissons, malaise gnral. ? palpation de veines thromboses. ? complications: thrombophlbite crbrale. septicmie.

DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL: ? ? rysiple de la face. sinusite ethmodale ou maxillaire purulente.

ETIOLOGIE: ? manipulation abusive d'un furoncle ou d'une lsion d acn.

EXAMENS COMPLEMENTAIRES: ? ? prlvement de la pustule. hmocultures.

TRAITEMENT: si forme mineure: Bristopen ou Orbnine: 1 g x 3/j ou Pyostacine: 1 g x 3/j per os en ambulatoire. ? si forme svre: hospitalisation. voie veineuse. Bristopen 1g ou Orbnine 1 g: 2-3 g en perfusion par jour (100-150 mg/kg/8h chez l e nfant) pendant 5 jours + aminosides IV puis relais per os pendant 10 jours. si allergie aux pnicillines: quinolone + Rifampycine ou Vancocine + aminosides. anticoagulation curative. ULCERATION GENITALE ?

CHANCRE SYPHILITIQUE SIGNES CLINIQUES: ? ? ? ? ? ples. ? y penser devant toute ulcration gnitale. incubation: 3 semaines environ aprs le rapport contaminant. ulcration indolore, bien limite, indure, unique. sige: le plus souvent sur le sillon balano-prputial chez l'homme. le plus souvent au niveau vulvaire chez la femme, parfois difficile voir. adnopathie unilatrale satellite, indolore, non inflammatoire parfois multi lsion souvent plus profonde, plus extensive chez l'immunodprim.

EXAMENS COMPLEMENTAIRES: ? trponme l'examen direct, VIH, HVB, srologies TPHA, FTA se positivent au 1015me jour. ETIOLOGIE: ? syphilis due au trponme.

TRAITEMENT: ? Biclinocilline: 1 M UI/j IM pendant 15 jours ou Extencilline: 2,4 M UI I M/semaine x 3 ou si allergie: ttracyclines: 200 mg/j pendant 21 jours. ? traiter les partenaires. CHANCRE MOU SIGNES CLINIQUES: ? affection rare, incubation courte, de moins de 5 jours aprs le rapport co ntaminant. ? ulcration profonde, souple, douloureuse la pression. ? adnopathies satellites unilatrales, inflammatoires, parfois fistulises. EXAMENS COMPLEMENTAIRES: ? examen direct et culture (haemophilus ducreyi), srologies TPHA, VIH, HVB.

TRAITEMENT: ? rs. ? macrolides: 2 g/j pendant 7 jours ou Bactrim Fort: 2 cps/j pendant 7 jou traiter les partenaires.

CHANCRE DU LYMPHOGRANULOME VENERIEN (maladie de Nicolas-Favre) SIGNES CLINIQUES: ? ? ? incubation de 3 jours 12 semaines. ulcration trs petite, fugace, indolore. adnopathie majeure voluant vers la fistulisation.

EXAMENS COMPLEMENTAIRES:

?

srologie du chlamydia, TPHA, VIH, HVB.

TRAITEMENT: ? ours. ? ttracyclines: 200 mg/j pendant 30 jours ou macrolides: 2 g/j pendant 30 j traiter les partenaires.

CHANCRE DU GRANULOME INGUINAL (Donovanose) ? ? en milieu tropical, larges ulcrations gnitales souvent destructrices. faire une biopsie.

APHTE GENITAL ? ? ? ulcration trs douloureuse, parfois gante, parfois rcurrente. liminer une maladie de Behet quand bipolaire. biopsie souvent utile pour faire le diagnostic.

HERPES (Cf) SIGNES CLINIQUES: ? ? ? ? classiquement c'est un bouquet de vsicules sur une base rythmateuse. puis laissent place des ulcrations douloureuses. adnopathies satellites souvent prsentes, sensibles. soit primo-infection, soit rcurrence.

EXAMENS COMPLEMENTAIRES: ? immunofluorescence indirecte, dosage des IgM si primo-infection, srologie s TPHA, VIH, HVB. TRAITEMENT: ? si primo-infection: Zovirax 200, 1 cp x 5/j pendant 10 jours. ? si rcurrence: Zovirax 200, 1 cp x 5 pendant 5 jours. ? si rcidivants: Zovirax 200, 2 cps x 2/j pendant 6 mois ou 2 jours avant e t pendant l exposition au facteur dclenchant si celui-ci est connu et prvisible. AUTRES ULCERATIONS: ? ulcration traumatique: traumatisme, utilisation d'antiseptiques caustique s, grattage, ... ? maladie de Crohn, pemphigus, lichen plan rosif, rythme polymorphe, carcinom e, Bowen, URTICAIRE COMMUNE SIGNES CLINIQUES: ? ruption faite de plaques rythmato-papuleuses, contours figurs nets, en nombr e variable et de taille variable, d'installation rapide. ? prurit important mais sans lsion de grattage trop visible. ? aspect fugace et mobile des lsions. ? formes cliniques: urticaire margine, cholinergique, la pression, dermogra phisme, urticaire de contact. ? complications: choc anaphylactique.

dme de Quincke. DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL: ? ? ? dme angio-neurotonique hrditaire. toxidermie mdicamenteuse. pityriasis ros de Gilbert.

ETIOLOGIE: ? prise rcente de mdicaments (30-50%): antibiotiques, aspirine, AINS, antalg iques,... ? infection bactrienne, parasitaire ou mycosique en cours. ? aliments: uf, poisson, lait, cleri, soja, crevette, fruits, colorants, con servateurs,... ? piqre d'hymnoptre. ? au dbut d'une hpatite virale (triade de Caroli). ? contact avec animaux marins, chenille, araignes, poils d'animaux, vgtaux, a liments, cosmtiques, textiles, mdicaments en topique. ? souvent, on ne retrouve aucune cause. EXAMENS COMPLEMENTAIRES: ? ? aucun en urgence. recherche de l'allergne dans un second temps.

TRAITEMENT: ? arrt de tous les mdicaments en cours si possible ou suppression de l'aller gne si connu. ? si forme bnigne: antihistaminiques H1 per os, Atarax per os, Hypostamine chez la femme enceinte. ? si forme aigu grave: Solumdrol: 120 mg IM ou IV puis relais per os. Polaramine IV. ? si choc anaphylactique: Adrnaline et Dyspn-Inhal, Plasmion, oxygnothrapie, Solumdrol. ZONA SIGNES CLINIQUES: ? dbute par des douleurs. type de brlure ou constrictives, parfois intenses. pouvant faire garer le diagnostic. pendant 3 4 jours, avant l'ruption. on retrouve ce stade juste une adnopathie satellite. puis ruption rythmateuse . puis apparition de vsicules au bout de 24 heures. topographie unilatrale, en bande radiculaire, souvent 3 zones d'mergence d vsicules: les zonas rachidiens sont les plus frquents (90%). souvent plusieurs pousses successives dans les premiers jours. douleurs pnibles type de cuisson, de nvralgie, de constriction, lancinante nocturnes, avec des paroxysmes. complications: forme gnralise ou hmorragique chez l'immunodprim. penser au zona devant une otalgie ou une dysphagie.

? ? ? ? es ? ? s, ? ?

DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL:

?

la phase douloureuse: abdomen aigu, infarctus, crise de colique nphrtique, sciatique, cruralgie,...

ETIOLOGIE: ? ractivation du virus varicelle-zona sans cause dclenchante vidente.

EXAMENS COMPLEMENTAIRES: ? ? aucun. ventuellement srologie HIV.

TRAITEMENT: ?

zona simple: antiseptiques: solution de Milian, bleu Trypan, osine, fluorescine et protection p ar compresses Tulle gras ou Btadine tulle. antalgiques. ? si forme hyperalgique: Rivotril 10-20 gouttes/j, Laroxyl, Tgrtol, Tercian. anti-inflammatoires non strodiens ou corticodes chez le sujet g: 30 40 mg/j (d chez le sujet de plus de 50 ans: ? Zlitrex 500: 2 comprims x 3/j pendant 7 jours si donn dans les 72 premires h eures. ? ou Oravir: 1 comprim 3 fois par jour pendant 7 jours si donn dans les 72 p remires heures. ? si zona ophtalmique, si immunodprim ou si zona tendu: avis spcialis, hospitalisation. Zlitrex 500: 2 cps x 3/j pendant 7 jours. ou Zovirax IV: 10 mg/kg (500 mg/m chez l enfant)/8 h en perfusion pendant 7 10 jou s. viter tout contact avec femme enceinte ou un immunodprim.

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