changement climatique: des tendances globales aux réalités locales

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Si la mer monte, Ile Tudy, 7 juin 2014. Changement climatique: des tendances globales aux réalités locales. Paul Tréguer IUEM-UBO, Brest. Remerciements: Christophe Cassou (CERFACS, Toulouse), Eric Goberville (Lille 1), Nicolas Barrier (IUEM), SOMLIT-CNRS. - PowerPoint PPT Presentation

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Changement climatique: des tendances globales

aux réalités locales

Paul Tréguer

IUEM-UBO, Brest

Si la mer monte, Ile Tudy, 7 juin 2014

Remerciements: Christophe Cassou (CERFACS, Toulouse), Eric Goberville (Lille 1), Nicolas Barrier (IUEM), SOMLIT-CNRS

Introduction: bilan thermique de la planète Terre

Bilan (hypothèse de l’état stationnaire à l’échelle annuelle): flux reçus = flux émis-Terre + Atm : 342-107 = 235 = 390-324+67+24+78 = 235 W m-2

-Terre: 168 = 390-324+24+78 = 168 W m -2

342 W m-2

1-Le climat à l’échelle globale

1-1-Les faits

1-2-Hypothèses et modèles

1-3-Prévisions climatiques

2-De l’échelle globale à l’échelle locale, du climat à la météorologie

2-1-Séries d’observations océanographiques à 48°N (rade de Brest et Roscoff)

2-2-Tempêtes de décembre 2013 à mars 2014

1-Le climat à l’échelle globale

1-1-Les faits

1-2-Hypothèses et modèles

1-3-Prévisions climatiques

1-Les faits

10 000 stations réparties dans le monde ; 7000 sur des navires, 300 sur des bouées et 9 sur des satellites.

Comment calcule t-on la température moyenne globale à la surface? cf Le Monde 22 janvier 2011.

Goddard Institute for Space Studies (GISS), de la NASA (www.giss.nasa.gov): données des stations météorologiques terrestres, mesures satellite de la température de surface des océans et mesures depuis une station de recherche en Antarctique. Ces données sont combinées en une analyse globale produite par un algorithme accessible sur le site internet et décrit dans des publications scientifiques.

NCCD/NOOA (USA) & Met Office East Anglia University (UK) calculent également la température moyenne globale:

La plus grande différence réside dans la manière dont l'Arctique est traitée.

La NASA extrapole les températures dans cette région en utilisant les stations météorologiques des zones alentour. NOOA et East Anglia excluent l'Arctique, ou estiment ses fluctuations différemment.

Les données sont en bon accord en ce qui concerne les tendances de long terme. Les différents modes de calcul de la TMG affectent seulement le résultat global de quelques centièmes de degré.

Kintisch, Science, 25 April 2014

GIEC, 2014

GIEC, 2014

GIEC 2014

GIEC 2014

http://www.globalcarbonatlas.org/?q=outreach

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