autour du vieux poêle
Post on 07-Apr-2017
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LE VIEUX POÊLE DE MON PÉPÈRE
Dès les premiers signes de l'hiver Apparaît tourbillonnant dans le ciel
La fumée sortant de la cheminée chez mon vieux pépère Pour moi, un signe providentiel
Car la maison de mon vieux pépère En cette froide matinée, m'accueille
Me réchauffant près du vieux poêle à bois de mon pépère Confortablement assise dans son vieux fauteuil
M'abreuvant des récits de mon vieux pépère Du passé qui ne semble le quitter
Au son du ronflement du vieux poêle de mon pépère Me berçant sans roupiller
Du coin de l'oeil, regardant mon vieux pépère
Fumant sa pipée de tabac canayen M'enivrant de son arôme de bruyère
Me transportant vers des pays lointains.
Puis un matin d'hiver Plus de fumée chez mon vieux pépère
Ce vieux poêle ronflant, d'habitude M'envahit d'une vive inquiétude
Le poêle s'est éteint...plus de vie chez mon pépère Un clin d'oeil pour me dire
Qu'il était parti rejoindre mémère Vers d'autres cieux sans souffrir...
Carmelle Levasseur (Carmella)
Le vieux poêle
Que souffle le vent comme un ventilateur, Que craquent les arbres par le glacial froid,
Que tombe la neige à tous, faire peur, Dans l’étable gèle l’eau par manque de chaleur,
Sur la montagne hurlent les loups engourdis par le froid, Des maisons, tombent les glaçons, créant la terreur.
Je m’en fou, à l’intérieur je suis, bien entouré des miens,
Mon épouse , mes enfants , papa, maman. La maison des ancêtres , c’est moi qui la détient,
Tout est là comme avant au temps de grand-maman, Les meubles, les armoires, les murs un peu dépeints, Autour du vieux poêle, la chaleur nous enveloppant.
Ce vieux poêle, vieux poêle de grand-papa, Comme il en a rendus, des services à grand-maman,
Sans lui, comment elle aurait préparés ses si bons repas, Comment se seraient réchauffées toutes les familles d’antan.
Et les parents et les amis, et notre cher grand-papa, Que seraient-ils devenus, sans ce vieux poêle si charmant.
Comme il en a brulé du bois, comme il en a fait de la fumée,
Du bois fait de vieux érables, trop vieux pour donner son eau, Cette eau, si cher à nos cœurs et qui fait du si bon sirop.
Bouillie dans la cabane, construite par l’arrière-grand-père, Là-haut au trait-carré, quand, encore enfant, était maman.
Combien de petits becs il a sucrés, avec sa tire, cher grand-papa.
Mais le temps passe, grand-maman, grand-papa n’y sont plus, Maman, papa, sont si vieux, si malades, ils leurs reste si peu.
Moi, ma femme, mes enfants, qui vivent avec eux. J’entretiens cette vieille maison, je répare et je fais de mon
mieux, Pour qu’elle me survive et pour que mes enfants soient heureux. Et quand, un jour viendra, je serai impotent, ce sera au tour de
mon plus vieux.
Marcel Lebrun (Doyen)
Poème d'amour pour mon poêle
Je sais que dans mon sommeil et votre thunks clunks Le pêle-mêle tôt le matin, secoué la grille
les cendres de la nuit dernière, tombant en dessous Un bruit sourd métallique, le projet d'ouverture.
Swish-plongeur, l'amortisseur étant tiré Pour ouvrir le conduit de fumée, sucer le vent à travers
Le feu crépite nouveau, rapide Warm la cuisine - puis la maison.
Un rituel du matin, la musique de couvercles cliquetis - La proximité de levage, le poker aussi, sur
Crochets sur une étagère. Correspondances dans une boîte de Noël
Avec oiseaux de Chine et de la branche de prunus
L'épreuve du feu. Mes casseroles en fer préférée, Shining noire, haut plateau réchauffement.
Avant que mon temps avec vous, vous avez soulevé
Une famille de sept enfants Né à votre chaleur, Baigné
Dans votre eau chaude. Vous cuire leurs aliments. Fabriqué leur maison un souvenir heureux.
Les poussins occasionnels veau Panco ou bébé Maintenu en vie derrière, dans des lits ou des boîtes -
Les chiens et les chats, et les enfants aussi. Un jour, mon Greyboy réveillé
Fur brûlée et le tabagisme De sa sieste ci-dessous vous.
Je me souviens de deux ex-maris
Qui n'a jamais compris: Pour allumer un feu, l'utilisation du bois de petite taille. On a toujours couper le bois d'un pouce trop longtemps
Pour l'amour de ma difficulté, avant le divorce Résolu que et d'autres problèmes.
Quand j'étais jeune, je haché Embrasement avec mon pied de karaté.
Maintenant, dans mes jours arthritiques, Une hache fait le travail.
Se baigner 3 garçons sale, a pris 7 gallons, d'ébullition Et un autre 7, du bien et froide.
En hiver, nous avons déménagé la baignoire à côté du fourneau, serviettes posés sur le dos des chaises de cuisine, de se
réchauffer. La pudeur d'une moindre prise en considération, De discernement et de la chaleur des objectifs.
Vous avez cuit, Dieu sait combien de repas de Noël, Thanksgiving dindes nous nous soulevées
Conserve un millier de pots de pêches, Compote de pommes, les tomates, le piment
Réchauffé nos cœurs, nos estomacs et nos orteils. La semaine dernière, en l'honneur de nos 37 ans ensemble,
Plus que les mariages, des amitiés, des emplois - Je t'ai acheté un cadeau. Un panier de bois neuf
Made in Africa, une autre femme à Les mains et l'imagination douce, l'orange Et le bleu, vert et crème - vous accessoirise
Dit votre embrasement, dans l'attente Heureusement, pour le feu de demain matin -
Le pot de café, le cliquetis dans Un nouveau jour, une vie nouvelle, lumineuse et chaude,
Sparks et craquant, la cuisine Petit-déjeuner et les oeufs pain fait maison
Avec vous, mon vieil ami, mon vert South Bend.
Denise Pelletier (Généalpha) (Santa-Maria de la Géorgie)
Le vieux poêle de grand-père
Que souffle le vent comme un ventilateur, Que craquent les arbres par le glacial froid,
Que tombe la neige à tous, faire peur, Dans l’étable gèle l’eau par manque de chaleur,
Sur la montagne hurlent les loups engourdis par le froid, Des maisons, tombent les glaçons, créant la terreur.
Je m’en fou, à l’intérieur je suis, bien entouré des miens,
Mon épouse , mes enfants , papa, maman. La maison des ancêtres , c’est moi qui la détient,
Tout est là comme avant au temps de grand-maman,
Les meubles, les armoires, les murs un peu dépeints, Autour du vieux poêle, la chaleur nous enveloppant.
Ce vieux poêle, vieux poêle de grand-papa,
Comme il en a rendus, des services à grand-maman, Sans lui, comment elle aurait préparés ses si bons repas,
Comment se seraient réchauffées toutes les familles d’antan. Et les parents et les amis, et notre cher grand-papa,
Que seraient-ils devenus, sans ce vieux poêle si charmant.
Comme il en a brulé du bois, comme il en a fait de la fumée, Du bois fait de vieux érables, trop vieux pour donner son eau,
Cette eau, si cher à nos cœurs et qui fait du si bon sirop. Bouillie dans la cabane, construite par l’arrière-grand-père, Là-haut au trait-carré, quand, encore enfant, était maman.
Combien de petits becs il a sucrés, avec sa tire, cher grand-papa.
Mais le temps passe, grand-maman, grand-papa n’y sont plus, Maman, papa, sont si vieux, si malades, ils leurs reste si peu.
Moi, ma femme, mes enfants, qui vivent avec eux. J’entretiens cette vieille maison, je répare et je fais de mon
mieux, Pour qu’elle me survive et pour que mes enfants soient heureux. Et quand, un jour viendra, je serai impotent, ce sera au tour de
mon plus vieux.
Marcel Lebrun (Doyen)
FEU D'ENFER
J’ai fait un feu d’enfer
Dans ma belle cheminée C’est peu souvent qu’elle sert
Vive l’électricité
Mais de quoi aurai-je l’air Quand viennent des invités
Si le feu qu’on espère Ne s’écoute pas chanter
Autrefois des prières
M’aidaient à l’allumer Mais des bûchettes mystères
Facilitent cette corvée
Et avec de belles stères De bois bien découpées
Mon joli feu d’enfer Ravi mes invités
D’apéro au dessert
Ses flammes endiablées
Font chauffer l’atmosphère Ils partiront comblés
Au milieu de l’hiver
C’est chouette une cheminée Elle embaume tous les verres
Qui célèbrent l’amitié
Carmelle Levasseur (Carmella) (Robert)
VEILLÉE AU COIN DU FEU
Une cheminée en pierre qui trône, Dans une pièce sombre,
La braise qui rougit craque. Sous les murmures des anciens,
Une histoire qui voyage, de mémoires en mémoires, Un sourire au coin des lèvres,
Et soudain ! Une larme qui coule le long de la joue.
L'horloge marque les heures, Son tic-tac résonne.
Comme un battement de coeur ! Assis sur des chaises basses, L'oreille tendue, qui attend !
Un parfum de chocolat chaud plane dans l'air, Des châtaignes éclatent sous la braise,
Des coques de noix sont écrasées au sol,
Des mains couvertes de sillons, Ecrasent deux noix entre-elles,
Les châtaignes gémissent, demandant grâce ! Enfin, elles craquent sous la dent,
Des souvenirs trottent, Une bougie qui éclaire un portrait,
Une histoire qui se brode, comme une dentelle, Entre les doigts habiles d'une femme,
La veillée sans sommeil, Poursuit sa course, Jusqu'à la fatigue,
Le crépuscule n'est plus très loin, La maison dort !
Sous un silence de paix !
Carmelle Levasseur (Carmella) (Ysmers)
LA FLAMBÉE
Le feu crépite dans la cheminée
Magnifiques flammes qui se mettent à danser
Chaleur diffuse et pénétrante
Le bois brûle et tout à coup chante
Une mélodie rythmée et ronronnante
Apparaissent déjà des braises rougeoyantes
Entre les chenets de fonte noircis
Que ce spectacle est joli
Alors vous qui êtes transis de froid
Entrez, n'hésitez pas
Approchez-vous, venez vous réchauffer
Au feu qui brûle dans ma cheminée
Et quand il se calmera
Que les braises seront là
A la crémaillère nous pendrons
Un grand et large chaudron
Et la soupe ainsi réchauffée
Comblera vos ventres affamés
Un feu dans une cheminée
Dispense une douce chaleur
Qu'il est bon de partager
Cette flambée qui réchauffe nos coeurs.
Carmelle Levasseur (Carmella) (Anonyme)
Les déjeuners du 4 chemins.
Ce matin j’suis allé déjeuner, Près du vieux poêle j’étais attablé.
Au resto-bar Le 4 chemins, Je crois bien, y retourner demain.
Sur ce vieux poêle, les toasts sont faites De pain d’ménage, toujours bien frais.
Dans le poêlon, près du chaudron, Des œufs, bacon ou du jambon.
Les déjeuners toujours servis,
Jusqu’au cœur de l’après-midi. Toujours bien bons toujours bien frais,
De jolies dames qui nous les faits.
Ce mois-ci, c’est carnaval, Venez tous remplir la salle.
Que vous soyez mariés ou veuves, Toujours bien reçu, par Yves Villeneuve.
MarcelLebrun (Doyen).
Voici mon histoire truffée de faits vécus dans ma famille vers 1955:
Une nuit, lorsque j’étais toute petite, le poêle ronronnait tout doucement, le ventre plein de belles bûches fendues par mon
père quelques jours auparavant. C’était une longue nuit d’hiver, la nuit la plus froide de la contrée.
Vous ignorez sans doute que j’habitais un petit village forestier
au nom étrange de Clova, nom emprunté à l’Écosse de mes origines. Ce petit coin de pays se situait en quelque part sur la ligne de partage des eaux, entre l’Abitibi et la Mauricie. Clova, en ces temps-là, était reconnu pour héberger de temps à autres
les bûcherons qui descendaient du train au petit matin et provenant des quatre coins de la belle province. Parfois, dans
leur bagage, on y trouvait d’étranges êtres invisibles aux habitants du village.
Donc, la veille, après un arrivage de bûcherons étrangers voire même étranges, un être maléfique, tapi dans un recoin de la gare, attendait que tout le village soit endormi pour faire son ravage. Il choisit notre maison et se glissa subtilement par la cheminée pour se cacher dans le vieux poêle tout bedonnant. Monsieur Feu, puisqu’il faut le nommer, était gourmand. Mon
père n’en finissait plus de le nourrir jusqu'à ce qu’il tombe, mort de fatigue, dans la chaise berçante qui accompagnait toujours le
vieux poêle en hiver.
«Enfin, se dit Feu, je peux me mettre à l’œuvre.» Il attendait cet instant depuis un bon moment. Les feux, c’est reconnu, sont forts patients. Il se pourlécha les pointes rougies car, dans ce logis, se trouvaient de fort jolies filles à brûler. Il s’installa donc dans le
repli du tuyau par lequel s’échappait la fumée du vieux poêle. Ce
dernier toussa, crachota, mais rien n’y fit. Feu s’accrochait. Le tuyau, quant à lui, n’en pouvait plus. On aurait dit qu’il était en
colère tant il était rouge de chaleur.
Ricanant de plus en plus, Feu se frotta les flammes l’une contre l’autre, puis s’échappa du tuyau malgré les protestations du vieux poêle qui n’arrivait pas à réveiller mon père. Feu glissa
lentement sur le tuyau et s’arrêta au-dessus de ses proies : deux belles jeunes filles, amies de ma grande sœur. Ce que Feu
ignorait, c’est qu’il avait affaire à forte partie. Ma mère, à qui on ne la faisait pas, veillait sur la maisonnée. L’odeur malveillante
de Feu lui chatouilla le nez et elle s’éveilla dès cet instant. De bonnes grosses «chaudiérées» d’eau furent jetées sur le tuyau et
Feu sortit précipitamment du vieux poêle à toute vapeur. Ce dernier, tout piteux, pleurait maintenant à chaudes larmes, mais
le pire était passé. Doris Long (Dodo)
La visite.
Bonsoir Timise pi Absalon, bonsoir tout l’monde.
Ha ben si sé pas Polyte avec sa belle Marie-Louise. Wais, on a décidé d’v’nir fére un ti bout d’soirée avès vous zote.
Bla bla bla bla. Bla bla bla
Bla bla bla bla. Coudon Timise pi b,salon, faut qu’vous conte ça.
Le soir du réveillon, on a été réveillonner chez mon frére Abraham dans l’rang double à St-Zidor.
C’é bin à 20-25 milles d’icite ch’cré ben, y é v’nu nous charcher avec son snow neu.
Ça fa que,,,,,,,,,,,,,,, y éta pour arriver vers les sept heures j’cré ben, fa que jé fait mon train d’bonne heure pour pas l’fére attendre, après on sé lavé
l’winwin , marie-Louise à habillés lé p’tis Avec el bo linge qu’ava fabriquer s’totonne, pi là j’ai mis du bois dans
l’poèle pi on s’é assis pour pas s’salir. Pi là, attend, pi attend, pi attend, yéta 8heures dan vingt pi mon Braham
était pas encore arrivé. J’ai dit coudon la Louise, j’sé pas diable quosqu’y à eu lui-là.
Y a fini par orsoude yéta neuf heures. J’ai dit coudon, té tu pardu en v’nant?
Y di non, jé délayer en tournan l’rang croche à St-Zidor, y a un torrieu d'ban d'nége dans s'croche là, ça m’a pris deux heure à me radouer.
Mais là, on é près à r’partir. Je m’met à penser à ça, si faut que ça seille pareille en r’venant, on va
arriver tor s’te nuitte. On sais jamais, s’té machine là, ça bo être neu, mais cé tout nouveau, ça peut brisé nimporte quand. Pi si on r’vien trop tor, y va fére frette dans à maison. Wo wo j’me dit, j’veux pas qu’leau gèle dans l’bâleur. Ça fa que
j’décent dans cave pi j’me trouve un bon gros dormeux qui brule longtemp j’ormonte pi j’met ça dans l’poèle, avec ça, ça va chauffer jusqu’à demain
avant-midi. Là, on port pi on s’en va à St-Zidor, l’cœur tranquile.
Quand on é r’venu, y fesa déjà jour. En débarquand du snow, j’madonne à
lever à tête et j’aparçoé su à couvarture un grand rond autour du tuyau, ousque la nége éta toute fondue.
J’ai dit à ma famme, cou don cé quoi qui cé passer là ? cé Braham qui m’a répondu, pour moé, ton tuyau a flambé.
On a rentrer pi l’vieux poèle éta encore chaud, mais y ava pu d’bois ‘dans . Dans avant midi, j,me dit j’va ban l’savoir m’a aller voir Samuel, mon
voisin, voir si yaura pas eu connaissance de quec chause ? Comme défaite, j’em va là, pi j’lui d’mande ça. Y dit oui, vers trois heures, j’me su l’vé pour ch’ter d’leau pi j,ai vu la flâme su à maison ché vous. J’mé habiller pi j’su
aller voir, l’tuyau éta rouge, on voyait quésiment au travert, mais sa diminua trenquilement. J’sava qu’téta pas la, sa fa que j’ai rentrer pour
voir l’poèle, pi y s’amortissa trenquilement, j’ai attendu qui a pu d’danger, j’ai surveiller l’tuyau en d’dant pi en d’ouors pi quand j,ai vu que l’poèle se
dérageait, pi qu’y ava pu danger, j’su arvenu m’coucher. En toué cas Timise pi Absalon, la prochaine fois, j’or pactré pus l’poèle de
même. Cé moé qui vous l’dit.
Bon ben là, habrille toé sa mére on va s’coucher, les enfants sont tuceux.
Marci pour ton thé pi té galettes Timise. Bonsoir tout l’monde.
À la r’voyure
Marcel
Quelle que soit l'heure d'arrivée de l'hôte imprévu, on pouvait lui servir de la soupe ou
du tiré, ou simplement un bon jus pour accompagner la conversation. Certains préféraient un demi canon, ou une petite goutte suivant l'heure. En tout cas, on ne
pouvait pas ne rien prendre.
Pensées
Le rire est un tranquillisant sans effet secondaire. Etre en paix avec soi-même est le plus sur moyen de commencer
à l'être avec les autres. Une véritable amitié, c'est comme une étoile. Elle ne brille
vraiment que lorsque nous traversons les périodes sombres de notre vie.
La plus petite action vaut mieux que la plus grande intention. Les meilleurs médicaments du monde seront toujours les paroles
de réconfort administrées au bon moment. Les fleurs existent pour être belles. Les hommes existent pour
être bons. Il faut faire en sorte que les joies l'emportent sur les peines.
(Lory) Auteur inconnu.
Chanson.
JE REVIENS CHEZ NOUS paroles et musique: Jean-Pierre Ferland
Il a neigé à Port-au-Prince Il pleut encore à Chamonix
On traverse à gué la Garonne Le ciel est plein bleu à Paris Ma mie l'hiver est à l'envers Ne t'en retourne pas dehors Le monde est en chamaille
On gèle au sud, on sue au nord
Fais du feu dans la cheminée Je reviens chez nous
S'il fait du soleil à Paris Il en fait partout
La Seine a repris ses vingt berges Malgré les lourdes giboulées Si j'ai du frimas sur les lèvres C'est que je veille à ses côtés
Ma mie, j'ai le coeur à l'envers Le temps ravive le cerfeuil
Je ne veux pas être tout seul Quand l'hiver tournera de l'oeil
Fais du feu dans la cheminée
Je reviens chez nous S'il fait du soleil à Paris
Il en fait partout
Je rapporte avec mes bagages Un goût qui m'était étranger
Moitié dompté, moitié sauvage C'est l'amour de mon potager
Fais du feu dans la cheminée
Je reviens chez nous S'il fait du soleil à Paris
Il en fait partout
Fais du feu dans la cheminée Je rentre chez moi
Et si l'hiver est trop buté On hivernera
Carmella.
FEU DE CAMP...
Son train n'avait de frein que le crépuscule, Alors, il allumait le feu de quelques brins.
Puis de branche amassée au bord du chemin Qu'il avive la flamme un peu moins minuscule.
En tailleur, au plus près, son index articule
À la cendre les traits d'un visage serein. La bouche est attendrie et chaque oeil en son sein Brille empli d'un tison, qui forme un monticule.
Il entendra peut-être un crépitement sourd,
Il lui faudrait caresse à son front bien trop lourd, Plus léger que les doigts d'un potier sur la glaise.
Un peu comme le bruit d'éclosion d'une fleur,
Au contraire du poids, dans ses yeux, de ses pleurs, Mes larmes grésillent en éteignant les braises.
Carmella (Anonyme)
De quand date le Poêle à bois:
C’est Seulement en 1735 que le premier poêle complètement fermé est apparu (le poêle à bois de l architecte français François
Cuvilliés)Il s’agit d’une construction en maçonnerie avec plusieurs plaques de fer perforée. Il est également connu comme
un poêle à cuire (fourneau).
En 1742, Benjamin Franklin a breveté une poêle à bois en métal avec des portes pliantes.
Vers la fin du 18e siècle, la conception a été améliorée par la suspension de « pots » dans des trous à travers la plaque de fer
haute, améliorant ainsi l’efficacité.
Début du 19e siècle, c’est l’arrivé du vrais poêle néo- classique en céramique émaillée au Schloss Wolfshagen , Prignitz , dans le
Brandebourg (Allemagne).
Depuis les poêles a bois ont acquis une grande efficacité, le contrôle de la combustion et la baisse des émissions de fumée
sont aujourd’hui très différents de simples feux ouvert, en effet a l’air libre les combustibles solides comme le bois brûlent à une température de seulement 270 ° C, une température bien trop basse pour des réactions chimique de combustion parfaite , la
chaleur produite est en grande partie perdue, la fumée remplie d’imbrulée et de particules sont évacué sans être complètement
brûlé de plus l’alimentation en air de combustion ne peut pas être contrôlé.
Un deuxième étape a été l’amélioration de la chambre de
combustion: le feu est entouré sur trois côtés par des briques ou chamottes . Plus récemment de nouveaux poêles à bois ont été
construits avec une vitre pour laisser sortir la lumière et permettre à l’utilisateur de voir la progression du feu.
En enfermant le feu dans une chambre de combustion avec sa
connexion à une cheminée, le concept est prévu pour aspirer l’air frais au niveau du combustible. Cela provoque une température de combustion idéale (600 ° C minimum) le réglage d’admission
d’entrée d’air permet le réglage de la combustion. Il devient également possible, avec un système ingénieux, de diriger le flux de gaz brûlés dans le poêle à bois de telle sorte que les particules
de fumée sont chauffées et détruites. C’est la double combustion.
Un foyer fermé ou poêle à bois empêche également l’air de la
pièce d’être aspiré dans la cheminée. Cela peut représenter une perte importante de chaleur, un conduit de cheminée peut en
effet évacuer un grand nombre de mètres cubes d’air chauffé par heure. Certains poêles à bois utilise un convertisseur catalytique qui permet la combustion des particules de gaz et des in-brulé.
D’autres modèles utilisent l’isolation du foyer, et un ensemble de chicanes pour produire une plus longue voie d’écoulement du
gaz de fumée (poêles de masse).
Dodo
Merci à toutes celles qui ont participées à la rédaction de ces écrits. C’était un plaisir de vous lire.
Montage : Marcel Lebrun
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