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BRGML'ENTREPRISE AU SERVICE DE LA TERRE
S.E.I.C.
Projet d'embouteillage de sourceCommune de GRANDCHAMP (56)
audit technique
avril 1993R 37266
10. riA!i9a3BIULIOTHÊOUtiJ
BRGML'ENTREPRISE AU SERVICE DE LA TERRE
S.E.I.C.
Projet d'embouteillage de sourceCommune de GRANDCHAMP (56)
audit technique
avril 1993R 37266
10. riA!i9a3BIULIOTHÊOUtiJ
BRGM
S.E.I.C.
Projet d'embouteillage de sourceCommune de GRANDCHAMP (56)
audit technique
B. Grua (agence Bretagne)J.L. Honegger (Ingénierie d'exploitation des eaux)
avril 1993R 37266 (Bre 93-16)
BRGMAGENCE BRETAGNE
4 rue du Bignon - 35000 RENNES - Tél. 99 86 84 84
BRGM
S.E.I.C.
Projet d'embouteillage de sourceCommune de GRANDCHAMP (56)
audit technique
B. Grua (agence Bretagne)J.L. Honegger (Ingénierie d'exploitation des eaux)
avril 1993R 37266 (Bre 93-16)
BRGMAGENCE BRETAGNE
4 rue du Bignon - 35000 RENNES - Tél. 99 86 84 84
SEIC (56 Grandchamp)projet d'embouteillage d'eau de source
audit technique
Table des matières
SYNTHESE 1
1. CADRE HYDROGEOLOGIQUE REGIONAL - GENERALITES 2
2. CONTEXTE LOCAL DE LA RESSOURCE 3
2.1. Contexte géologique local 3
2.2. Qualité de l'environnement 3
3. CARACTERISTIQUES TECHNIQUES DES OUVRAGES 4
4. CARACTERISTIQUES DE LA RESSOURCE 5
4.1. Evaluation quantitative 54.2. Evaluation qualitative 6
5. ADEQUATION DU SITE AU PROJET D'EMBOUTEILLAGE 8
> LISTE DES FIGURES
\. Carte de localisation au 1/250002. Carte de localisation des ouvrages au 1/1000
LISTE DES TABLEAUX
1. Tableau comparatif des différentes eaux de source
ANNEXES 9
1 . Documents consultés2. Descriptif des ouvrages existants (extraits du rapport DDAF, décembre 1988)3. Résultat des analyses d'eau (extrait du rapport DDAF, décembre 1988)4. Résultat de l'analyse d'eau du 27/7/92
SEIC (56 Grandchamp)projet d'embouteillage d'eau de source
audit technique
Table des matières
SYNTHESE 1
1. CADRE HYDROGEOLOGIQUE REGIONAL - GENERALITES 2
2. CONTEXTE LOCAL DE LA RESSOURCE 3
2.1. Contexte géologique local 3
2.2. Qualité de l'environnement 3
3. CARACTERISTIQUES TECHNIQUES DES OUVRAGES 4
4. CARACTERISTIQUES DE LA RESSOURCE 5
4.1. Evaluation quantitative 54.2. Evaluation qualitative 6
5. ADEQUATION DU SITE AU PROJET D'EMBOUTEILLAGE 8
> LISTE DES FIGURES
\. Carte de localisation au 1/250002. Carte de localisation des ouvrages au 1/1000
LISTE DES TABLEAUX
1. Tableau comparatif des différentes eaux de source
ANNEXES 9
1 . Documents consultés2. Descriptif des ouvrages existants (extraits du rapport DDAF, décembre 1988)3. Résultat des analyses d'eau (extrait du rapport DDAF, décembre 1988)4. Résultat de l'analyse d'eau du 27/7/92
SEIC (56 Grandchamp)projet d'embouteillage d'eau de source
audit technique
SYNTHESE
La société S.E.I.C. envisage la création d'une unité d'embouteillage d'eau de source à
Grandchamp (56).
Il est prévu d'exploiter la ressource en eau souterraine en utilisant un ensemble de foragesréalisés en 1988 par la DDAF du Morbihan. Ces ouvrages faisaient parti des travaux réalisésdans le cadre de recherches d'eau souterraine pour le renforcement des possibilitésd'alimentation en eau potable de la commune.
La S.E.I.C. a sollicité le BRGM, agence de Bretagne, pour réaliser un audit technique des
ouvrages existants, préalable à la définition d'un schéma d'exploitation, de traitement et deproduction.
Cet audit technique a été réalisé par le service Ingénierie de l'Exploitation des Eaux de laDirection Technique de l'Eau et par l'agence de Bretagne, du BRGM. L'audit a été établi à lasuite d'une visite de site le 30 mars 1993 et d'une compilation des documents collectés.
Le minimum économique de ce projet est lié à une quantité embouteillée de 10 000 1/heure
sur 8 heures, ce qui correspond environ 20 à 30 millions de litres par an. En ce qui concernela ressource, le besoin minimum en soutirage peut être évalué à 4 ni3/h en continu.
Cependant, comme tout projet industriel, cette unité d'embouteillage doit pouvoir monter en
capacité, aussi, il est nécessaire d'estimer si la ressource présente un potentiel deux voiretrois fois supérieur au débit minimum.
Par ailleurs, le projet comporte une production d'eau de source plate, gazéifiée, ainsi quearomatisée, plate et gazeuse.
Dans le contexte hydrogéologique régional, le site de Lost Er Lenn paraît intéressant. Touteschoses égales par ailleurs, et en fonction des données disponibles, il répond aux critères defaisabilité du projet d'embouteillage du point de vue de la quantité. On dispose d'une seuleanalyse complète sur les eaux souterraines du site. Celle-ci est compatible avec unembouteillage du point de vue bactériologique et physico-chimique, sauf pour la présence
d'un pesticide dont la teneur est supérieure aux normes française et européenne.
La poursuite du projet nécessite la réalisation d'un ouvrage d'exploitation réalisé dans lesrègles de l'art. Les ouvrages existants, compte tenu de leur équipement, ne peuvent êtreutilisés. Cependant, les données des forages déjà réalisés seront utilisées avec profit pourl'implantation du puits d'exploitation. Le forage devra être descendu à une profondeur plusimportante (100 à 150 m environ) pour rechercher des fractures susceptibles d'augmenter lesdébits.
Par ailleurs, ces venues d'eau profondes sont susceptibles d'être bien protégées vis-à-vis des
contaminations superficielles, tout en présentant un faciès chimique naturel semblable à celuidéjà identifié.
Un pompage d'essai longue durée devra être mis en oeuvre sur une durée minimale de 2 moisafin de déterminer les potentialités réelles de l'ouvrage, avec un suivi périodique de la qualitéde l'eau.
Rapport R 37266 (Bre 93-16) 03.05.93
SEIC (56 Grandchamp)projet d'embouteillage d'eau de source
audit technique
SYNTHESE
La société S.E.I.C. envisage la création d'une unité d'embouteillage d'eau de source à
Grandchamp (56).
Il est prévu d'exploiter la ressource en eau souterraine en utilisant un ensemble de foragesréalisés en 1988 par la DDAF du Morbihan. Ces ouvrages faisaient parti des travaux réalisésdans le cadre de recherches d'eau souterraine pour le renforcement des possibilitésd'alimentation en eau potable de la commune.
La S.E.I.C. a sollicité le BRGM, agence de Bretagne, pour réaliser un audit technique des
ouvrages existants, préalable à la définition d'un schéma d'exploitation, de traitement et deproduction.
Cet audit technique a été réalisé par le service Ingénierie de l'Exploitation des Eaux de laDirection Technique de l'Eau et par l'agence de Bretagne, du BRGM. L'audit a été établi à lasuite d'une visite de site le 30 mars 1993 et d'une compilation des documents collectés.
Le minimum économique de ce projet est lié à une quantité embouteillée de 10 000 1/heure
sur 8 heures, ce qui correspond environ 20 à 30 millions de litres par an. En ce qui concernela ressource, le besoin minimum en soutirage peut être évalué à 4 ni3/h en continu.
Cependant, comme tout projet industriel, cette unité d'embouteillage doit pouvoir monter en
capacité, aussi, il est nécessaire d'estimer si la ressource présente un potentiel deux voiretrois fois supérieur au débit minimum.
Par ailleurs, le projet comporte une production d'eau de source plate, gazéifiée, ainsi quearomatisée, plate et gazeuse.
Dans le contexte hydrogéologique régional, le site de Lost Er Lenn paraît intéressant. Touteschoses égales par ailleurs, et en fonction des données disponibles, il répond aux critères defaisabilité du projet d'embouteillage du point de vue de la quantité. On dispose d'une seuleanalyse complète sur les eaux souterraines du site. Celle-ci est compatible avec unembouteillage du point de vue bactériologique et physico-chimique, sauf pour la présence
d'un pesticide dont la teneur est supérieure aux normes française et européenne.
La poursuite du projet nécessite la réalisation d'un ouvrage d'exploitation réalisé dans lesrègles de l'art. Les ouvrages existants, compte tenu de leur équipement, ne peuvent êtreutilisés. Cependant, les données des forages déjà réalisés seront utilisées avec profit pourl'implantation du puits d'exploitation. Le forage devra être descendu à une profondeur plusimportante (100 à 150 m environ) pour rechercher des fractures susceptibles d'augmenter lesdébits.
Par ailleurs, ces venues d'eau profondes sont susceptibles d'être bien protégées vis-à-vis des
contaminations superficielles, tout en présentant un faciès chimique naturel semblable à celuidéjà identifié.
Un pompage d'essai longue durée devra être mis en oeuvre sur une durée minimale de 2 moisafin de déterminer les potentialités réelles de l'ouvrage, avec un suivi périodique de la qualitéde l'eau.
Rapport R 37266 (Bre 93-16) 03.05.93
FIGURE 1: carte de localisation du projet
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FIGURE 1: carte de localisation du projet
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GuirneOé
SEIC (56 Grandchamp)projet d'embouteillage d'eau de source
audit technique
1 . Cadre hydrogeologique regionalgeneralites
Le Massif Armoricain est formé de roche cristallines et cristallophylliennes dont laperméabilité est faible au regard de celle de certains faciès sédimentaires.
Ainsi dans la région, la recherche d'eau souterraine passe par la recherche de zones fracturéesqui confèrent au terrain une perméabilité en grand plus ou moins importante. Antérieurement,les forages (réalisés au marteau fond de trou) étaient descendus à quelques dizaines de mètresde profondeur (rarement au delà de 50 m). Ceux-ci foumissent en général durant la forationdes débits instantanés relativement faibles, de quelques mètres cubes/heure. La tendanceactuelle est de descendre à des profondeurs plus importantes 100 - 150 m de façon à
rechercher des fractures affectant la roche saine et formant un réseau de drainage sous lesfaciès d'altération, pouvant jouer le rôle de réservoir. Les débits instantanés ainsi obtenusdans le cas d'une implantation fructueuse peuvent être de plusieurs dizaines de mètres cubes/heure (mais dépassent rarement la centaine de m3/h).
Les débits instantanés sont significatifs d'une perméabilité locale des terrains traversés.Néanmoins, le débit d'exploitation qui suppose une sollicitation de l'aquifère beaucoup pluslongue dans le temps, est fonction de la ressource : c'est à dire de l'importance de l'aquifèreet de sa capacité de réalimentation. Or, l'extension d'un aquifère en milieu fracturé est trèsaléatoire et hétérogène.
Ainsi, d'une manière générale dans ce type de contexte hydrogéologique, on peut considérerqu'un débit d'exploitation dépassant la dizaine de mètres cube heure présente un intérêtnotable.
Du point de vue de la qualité, les eaux souterraines du massif armoricain se caractérisentfréquemment par des teneurs en nitrates élevées. Celles-ci sont le fait des amendementsagricoles en surface. Cependant, ces dernières années, un processus de dénitrification naturela été observé, dans de nombreux cas en Bretagne, sur les eaux souterraines profondes. Ceprocessus résulte d'une réaction biochimique des nitrates avec la pyrite contenue dans lesterrains. Cette réaction produit du fer que l'on retrouve dans les eaux exhaurées. Pour lasanté, le fer est beaucoup moins néfaste que les nitrates mais entraîne des problèmes deprécipité dans les forages et les installations. Son traitement est plus aisé et moins onéreuxque celui des nitrates.
Rapport R 37266 (Bre 93-16) 03.05.93
SEIC (56 Grandchamp)projet d'embouteillage d'eau de source
audit technique
1 . Cadre hydrogeologique regionalgeneralites
Le Massif Armoricain est formé de roche cristallines et cristallophylliennes dont laperméabilité est faible au regard de celle de certains faciès sédimentaires.
Ainsi dans la région, la recherche d'eau souterraine passe par la recherche de zones fracturéesqui confèrent au terrain une perméabilité en grand plus ou moins importante. Antérieurement,les forages (réalisés au marteau fond de trou) étaient descendus à quelques dizaines de mètresde profondeur (rarement au delà de 50 m). Ceux-ci foumissent en général durant la forationdes débits instantanés relativement faibles, de quelques mètres cubes/heure. La tendanceactuelle est de descendre à des profondeurs plus importantes 100 - 150 m de façon à
rechercher des fractures affectant la roche saine et formant un réseau de drainage sous lesfaciès d'altération, pouvant jouer le rôle de réservoir. Les débits instantanés ainsi obtenusdans le cas d'une implantation fructueuse peuvent être de plusieurs dizaines de mètres cubes/heure (mais dépassent rarement la centaine de m3/h).
Les débits instantanés sont significatifs d'une perméabilité locale des terrains traversés.Néanmoins, le débit d'exploitation qui suppose une sollicitation de l'aquifère beaucoup pluslongue dans le temps, est fonction de la ressource : c'est à dire de l'importance de l'aquifèreet de sa capacité de réalimentation. Or, l'extension d'un aquifère en milieu fracturé est trèsaléatoire et hétérogène.
Ainsi, d'une manière générale dans ce type de contexte hydrogéologique, on peut considérerqu'un débit d'exploitation dépassant la dizaine de mètres cube heure présente un intérêtnotable.
Du point de vue de la qualité, les eaux souterraines du massif armoricain se caractérisentfréquemment par des teneurs en nitrates élevées. Celles-ci sont le fait des amendementsagricoles en surface. Cependant, ces dernières années, un processus de dénitrification naturela été observé, dans de nombreux cas en Bretagne, sur les eaux souterraines profondes. Ceprocessus résulte d'une réaction biochimique des nitrates avec la pyrite contenue dans lesterrains. Cette réaction produit du fer que l'on retrouve dans les eaux exhaurées. Pour lasanté, le fer est beaucoup moins néfaste que les nitrates mais entraîne des problèmes deprécipité dans les forages et les installations. Son traitement est plus aisé et moins onéreuxque celui des nitrates.
Rapport R 37266 (Bre 93-16) 03.05.93
SEIC (56 Grandchamp)projet d'embouteillage d'eau de source
audit technique
2. Contexte local de la ressource
2.1. CONTEXTE GEOLOGIQUE LOCAL
Le secteur de Lost Er Lenn est situé au contact entre deux faciès distincts :
- dans la partie sud : les schistes et arkoses de Bains- dans la partie nord : les granites feuilletés de Lanvaux.
Ces faciès sont disposés suivant une direction WNW-ESE marquant le paysage : les granitesde Lanvaux formant un axe de collines, les schistes et arkoses de Bain étant en dépression.
Les sondages implantés à l'ouest du lieu dit Lost Er Lenn, ont traversé pour la plupart unevingtaine de mètres d'altération plus ou moins argileuse avant de rencontrer la roche fissurée.Les terrains sous-jacents aux altérites, sont constitués par les schistes et arkoses de Bains plusou moins métamorphisés par les granites situés à proximité Nord.
Les prospections géophysiques entreprises en janvier 1988 et 89 (rapports DDA etCALLIGEE) ont mis en évidence l'existence d'une fracturation principale d'axe NlOOrecoupée dans la partie Ouest du site (vers Botségalo) par des fractures d'axe N30 - N50 et à
l'Est par des fractures Nord Sud. Ces fractures, constituant des axes de drainage des eauxsouterraines, sont susceptibles de foumir des débits significatifs.
2.2. QUALITE DE L'ENVIRONNEMENT
Cette première évaluation réalisée lors de notre visite sur site et aux alentours permet de faireles remarques suivantes :
Le site présente l'intérêt d'être à flanc de coteau recouvert d'une prairie (environ 500 x300 m) et d'une forêt en partie haute, le tout sans habitation,
- En dehors de cette zone, on constate un habitat dispersé de propriétés privées avecpobableraent des assainissements individuels,
L'industrie est absente, ainsi que les élevages de gros bétail, U a été cependant mentionnéun élevage industriel de volaille dans un rayon de l'ordre du kilomètre autour du site,
Un ruisseau délimite le site, deux forages de reconnaissance ayant été réalisés à proximitéimmédiate. Ce ruisseau présente une longueur importante sur le bassin versant et recoupeau moins une route.
En ce qui concerne l'habitat dispersé ainsi que l'élevage industriel, il conviendra de vérifierl'efficacité des assainissements mis en oeuvre, ce qui peut engendrer des contraintes deremise aux normes.
Quant à la présence du ruisseau, seules des opérations de traçage (qui seront couplées au suivide qualité des pompages d'essais à mettre en oeuvre sur les ouvrages de production) pourrontconclure sur les interférences possibles entre le ruisseau et la ressource locale. Cependant, lesforages de reconnaissance déjà réalisés montrent la possibilité d'implanter le foraged'exploitation définitif en s'éloignant du thalweg afin de minimiser ce risque.
Rapport R 37266 (Bre 93-16) 03.05.93
SEIC (56 Grandchamp)projet d'embouteillage d'eau de source
audit technique
2. Contexte local de la ressource
2.1. CONTEXTE GEOLOGIQUE LOCAL
Le secteur de Lost Er Lenn est situé au contact entre deux faciès distincts :
- dans la partie sud : les schistes et arkoses de Bains- dans la partie nord : les granites feuilletés de Lanvaux.
Ces faciès sont disposés suivant une direction WNW-ESE marquant le paysage : les granitesde Lanvaux formant un axe de collines, les schistes et arkoses de Bain étant en dépression.
Les sondages implantés à l'ouest du lieu dit Lost Er Lenn, ont traversé pour la plupart unevingtaine de mètres d'altération plus ou moins argileuse avant de rencontrer la roche fissurée.Les terrains sous-jacents aux altérites, sont constitués par les schistes et arkoses de Bains plusou moins métamorphisés par les granites situés à proximité Nord.
Les prospections géophysiques entreprises en janvier 1988 et 89 (rapports DDA etCALLIGEE) ont mis en évidence l'existence d'une fracturation principale d'axe NlOOrecoupée dans la partie Ouest du site (vers Botségalo) par des fractures d'axe N30 - N50 et à
l'Est par des fractures Nord Sud. Ces fractures, constituant des axes de drainage des eauxsouterraines, sont susceptibles de foumir des débits significatifs.
2.2. QUALITE DE L'ENVIRONNEMENT
Cette première évaluation réalisée lors de notre visite sur site et aux alentours permet de faireles remarques suivantes :
Le site présente l'intérêt d'être à flanc de coteau recouvert d'une prairie (environ 500 x300 m) et d'une forêt en partie haute, le tout sans habitation,
- En dehors de cette zone, on constate un habitat dispersé de propriétés privées avecpobableraent des assainissements individuels,
L'industrie est absente, ainsi que les élevages de gros bétail, U a été cependant mentionnéun élevage industriel de volaille dans un rayon de l'ordre du kilomètre autour du site,
Un ruisseau délimite le site, deux forages de reconnaissance ayant été réalisés à proximitéimmédiate. Ce ruisseau présente une longueur importante sur le bassin versant et recoupeau moins une route.
En ce qui concerne l'habitat dispersé ainsi que l'élevage industriel, il conviendra de vérifierl'efficacité des assainissements mis en oeuvre, ce qui peut engendrer des contraintes deremise aux normes.
Quant à la présence du ruisseau, seules des opérations de traçage (qui seront couplées au suivide qualité des pompages d'essais à mettre en oeuvre sur les ouvrages de production) pourrontconclure sur les interférences possibles entre le ruisseau et la ressource locale. Cependant, lesforages de reconnaissance déjà réalisés montrent la possibilité d'implanter le foraged'exploitation définitif en s'éloignant du thalweg afin de minimiser ce risque.
Rapport R 37266 (Bre 93-16) 03.05.93
SEIC (56 Grandchamp)projet d'embouteillage d'eau de source
audit technique
3. CARACTERISTIQUE TECHNIQUE DES OUVRAGES
Les coupes techniques des ouvrages données dans le rapport DDAF de décembre 1988 sontreportées en annexe 2, Leur implantation est précisée figure 2.
Au total, 8 sondages ont été réalisés jusqu'à une profondeur d'une cinquantaine de mètres(SI, S2, S3, S5, S6, S7, S8 et S9). A l'exception du sondage SI, tous les sondages ont étééquipés avec un tube acier de soutènement jusqu'à 6 m de profondeur et un tube PVC pleinsur les 5 à 10 premiers mètres et crépine au delà jusqu'au fond du trou.
La qualité de l'acier des tubages de soutènement et les diamètres des tubages ne sont pas
précisés.
Lors de notre visite, nous avons constaté que les forages n'étaient apparemment pas cimentésen tête et que le tubage acier du sondage S9 présentait une oxydation importante.
Rapport R 37266 (Bre 93-16) 03.05.93
SEIC (56 Grandchamp)projet d'embouteillage d'eau de source
audit technique
3. CARACTERISTIQUE TECHNIQUE DES OUVRAGES
Les coupes techniques des ouvrages données dans le rapport DDAF de décembre 1988 sontreportées en annexe 2, Leur implantation est précisée figure 2.
Au total, 8 sondages ont été réalisés jusqu'à une profondeur d'une cinquantaine de mètres(SI, S2, S3, S5, S6, S7, S8 et S9). A l'exception du sondage SI, tous les sondages ont étééquipés avec un tube acier de soutènement jusqu'à 6 m de profondeur et un tube PVC pleinsur les 5 à 10 premiers mètres et crépine au delà jusqu'au fond du trou.
La qualité de l'acier des tubages de soutènement et les diamètres des tubages ne sont pas
précisés.
Lors de notre visite, nous avons constaté que les forages n'étaient apparemment pas cimentésen tête et que le tubage acier du sondage S9 présentait une oxydation importante.
Rapport R 37266 (Bre 93-16) 03.05.93
FIGURE 2: carte de localisation des sondages
Echelle: 1/4000.
FIGURE 2: carte de localisation des sondages
Echelle: 1/4000.
SEIC (56 Grandchamp)projet d'embouteillage d'eau de source
audit technique
4. CARACTERISTIQUES DE LA RESSOURCE
4.1. EVALUATION QUANTITATIVE
m Débits instantanés relevés en cours de foration
Les débits instantanés relevés durant la foration sont relativement importants au regard des
profondeurs concemées. Les sondages SI, S5, S6 et S7 débitaient en fin de forage (à environ50 m de profondeur) une cinquantaine de m3/h (annexe 2) : notons en particulier le sondageS7 qui débitait 63 m3/h pour une profondeur de 45 m. Celui-ci montre un accroissementprogressif de débit avec la profondeur. Le débit instantané aurait sans doute pu être augmentési le forage avait été descendu au-delà.
Ces débits témoignent de fortes perméabilités aux droits des zones fracturées.
- Débit d'exploitation
Deux pompages d'essais ont été mis en oeuvre en 1988 (rapport DDAF) :
Sur le sondage S5 : pompage à un débit moyen de 13,65 m3/h du 26 mai au 9 juin 1988
(soit 14 jours)
- Sur les sondages S5 et S6 : pompage à un débit moyen de 24,5 m3/h du 15 septembre au
13 octobre 1988 (soit 28 jours)
Les résultats de ces essais concluaient à un débit d'exploitation de 20 à 25 m3/h avec des
réserves toutefois : pour obtenir un tel débit, il fallait que les sondages puissent drainer unecentaine d'hectares.
En 1992, un nouveau pompage d'essai a été mis en oeuvre sur le sondage S5. Le pompages'est déroulé du 10/07 au 1 1/08/92 (soit 32 jours) à un débit moyen de 12, 12 m3/h.
Le rapport de la DDAF d'Août 1992 au vu des résultats obtenus, stipule qu'en réalité, ledébit d'exploitation possible des ressources existantes à Lost Er Lenn serait de l'ordre de 12 à
14 m3/h, compte tenu des possibilités de réalimentation et de l'existence de limites. Il est
précisé par ailleurs, que l'extension réelle du bassin de réalimentation reste indéterminée,ainsi que les relations entre la nappe et le ruisseau de Kerrivalain,
Ainsi, même s'il reste certaines incertitudes concernant les conditions de réalimentation del'aquifère, il semble que le site soit à même de foumir un débit d'exploitation nettementsupérieur (2 à 3 fois) au seuil de rentabilité du projet (estimé à 4 m3/h par la SEIC),
Rapport R 37266 (Bre 93-16) 03.05.93
SEIC (56 Grandchamp)projet d'embouteillage d'eau de source
audit technique
4. CARACTERISTIQUES DE LA RESSOURCE
4.1. EVALUATION QUANTITATIVE
m Débits instantanés relevés en cours de foration
Les débits instantanés relevés durant la foration sont relativement importants au regard des
profondeurs concemées. Les sondages SI, S5, S6 et S7 débitaient en fin de forage (à environ50 m de profondeur) une cinquantaine de m3/h (annexe 2) : notons en particulier le sondageS7 qui débitait 63 m3/h pour une profondeur de 45 m. Celui-ci montre un accroissementprogressif de débit avec la profondeur. Le débit instantané aurait sans doute pu être augmentési le forage avait été descendu au-delà.
Ces débits témoignent de fortes perméabilités aux droits des zones fracturées.
- Débit d'exploitation
Deux pompages d'essais ont été mis en oeuvre en 1988 (rapport DDAF) :
Sur le sondage S5 : pompage à un débit moyen de 13,65 m3/h du 26 mai au 9 juin 1988
(soit 14 jours)
- Sur les sondages S5 et S6 : pompage à un débit moyen de 24,5 m3/h du 15 septembre au
13 octobre 1988 (soit 28 jours)
Les résultats de ces essais concluaient à un débit d'exploitation de 20 à 25 m3/h avec des
réserves toutefois : pour obtenir un tel débit, il fallait que les sondages puissent drainer unecentaine d'hectares.
En 1992, un nouveau pompage d'essai a été mis en oeuvre sur le sondage S5. Le pompages'est déroulé du 10/07 au 1 1/08/92 (soit 32 jours) à un débit moyen de 12, 12 m3/h.
Le rapport de la DDAF d'Août 1992 au vu des résultats obtenus, stipule qu'en réalité, ledébit d'exploitation possible des ressources existantes à Lost Er Lenn serait de l'ordre de 12 à
14 m3/h, compte tenu des possibilités de réalimentation et de l'existence de limites. Il est
précisé par ailleurs, que l'extension réelle du bassin de réalimentation reste indéterminée,ainsi que les relations entre la nappe et le ruisseau de Kerrivalain,
Ainsi, même s'il reste certaines incertitudes concernant les conditions de réalimentation del'aquifère, il semble que le site soit à même de foumir un débit d'exploitation nettementsupérieur (2 à 3 fois) au seuil de rentabilité du projet (estimé à 4 m3/h par la SEIC),
Rapport R 37266 (Bre 93-16) 03.05.93
SEIC (56 Grandchamp)projet d'embouteillage d'eau de source
audit technique
4.2. EVALUATION QUALITATIVE
Cette ressource n'ayant pas fait l'objet d'une exploitation, et donc d'un suivi qualité globalsur une longue période, seules les quelques analyses sommaires des pompages d'essais etl'analyse complète de juillet 1992 permettent cette évaluation.
Le tableau de l'annexe 3, issu des suivis de pompage d'avril/mai 1988 montre :
Une conductivité assez homogène sur les différents sondages effectués. Cependant, cetteeau très faiblement minéralisée se différencie difficilement des eaux superficielles par ce
seul paramètre.
Une variation conséquente du paramètre sensible que représentent les nitrates (de 1 à
17 mg/l).
Des variations de concentration en fer et manganèse.
Ces variations peuvent être mises sur le compte de l'équipement de production des foragesn'assurant que peu de sélectivité de zone productrice (pas d'étanchéité des tubages, zone decrépines importante).
En ce qui concemé l'analyse de juillet 1992 (annexe 4), le tableau 1 permet de positionner ces
faciès d'eau par rapport à des sources connues.
Il s'agit d'eau de sources très faiblement minéralisées et, en dehors du paramètre localiséN03, on remarque que :
Isabelle, comparable en concentration de Nacl présente des minéralisations trèslégèrement inférieures.
MONTJOIE comme Spa Reine sont aussi très comparables au faciès chimique deGrandchamp, hormis la concentration en Nacl.
Cette analyse ponctuelle est compatible avec un embouteillage d'un point de vubactériologique et physico-chimique, sauf pour la présence d'un pesticide organo-azoté(Simazine 0,14 /ig/l) dont la réglementation française, comme les directives CEE, limitent laprésence par substance de ce type à 0,1 /ig/l et au total à 0,5 /ig/l.
Aussi, l'évolution de ce paramètre devra être suivie précisément au cours des pompagesd'essais.
La présence de fer et manganèse, en faible quantité sur cette analyse mais de concentrationassez variable suivant les pompages précédants, est un paramètre moins sensible dans lamesure où, une fois stabilisé, il est possible de le ramener à un niveau compatible avecl'embouteillage par traitement autorisé.
Rapport R 37266 (Bre 93-16) 03.05.93
SEIC (56 Grandchamp)projet d'embouteillage d'eau de source
audit technique
4.2. EVALUATION QUALITATIVE
Cette ressource n'ayant pas fait l'objet d'une exploitation, et donc d'un suivi qualité globalsur une longue période, seules les quelques analyses sommaires des pompages d'essais etl'analyse complète de juillet 1992 permettent cette évaluation.
Le tableau de l'annexe 3, issu des suivis de pompage d'avril/mai 1988 montre :
Une conductivité assez homogène sur les différents sondages effectués. Cependant, cetteeau très faiblement minéralisée se différencie difficilement des eaux superficielles par ce
seul paramètre.
Une variation conséquente du paramètre sensible que représentent les nitrates (de 1 à
17 mg/l).
Des variations de concentration en fer et manganèse.
Ces variations peuvent être mises sur le compte de l'équipement de production des foragesn'assurant que peu de sélectivité de zone productrice (pas d'étanchéité des tubages, zone decrépines importante).
En ce qui concemé l'analyse de juillet 1992 (annexe 4), le tableau 1 permet de positionner ces
faciès d'eau par rapport à des sources connues.
Il s'agit d'eau de sources très faiblement minéralisées et, en dehors du paramètre localiséN03, on remarque que :
Isabelle, comparable en concentration de Nacl présente des minéralisations trèslégèrement inférieures.
MONTJOIE comme Spa Reine sont aussi très comparables au faciès chimique deGrandchamp, hormis la concentration en Nacl.
Cette analyse ponctuelle est compatible avec un embouteillage d'un point de vubactériologique et physico-chimique, sauf pour la présence d'un pesticide organo-azoté(Simazine 0,14 /ig/l) dont la réglementation française, comme les directives CEE, limitent laprésence par substance de ce type à 0,1 /ig/l et au total à 0,5 /ig/l.
Aussi, l'évolution de ce paramètre devra être suivie précisément au cours des pompagesd'essais.
La présence de fer et manganèse, en faible quantité sur cette analyse mais de concentrationassez variable suivant les pompages précédants, est un paramètre moins sensible dans lamesure où, une fois stabilisé, il est possible de le ramener à un niveau compatible avecl'embouteillage par traitement autorisé.
Rapport R 37266 (Bre 93-16) 03.05.93
SEIC (56 Grandchamp)projet d'embouteillage d'eau de source
audit technique
Tableau 1 :Comparatifde différentes eaux de sources
SOURCE
Grandchamp
(56)
Isabelle
(29)
Mon^oie
(50)
Spa Reine
(Belgique)
Ca
mg/l
2,8
1,4
3,2
3,3
Mg
mg/l
2,9
1.8
1,7
L3
K
mg/l
0,6
0,2
0,8
0,5
Na
mg/l
15
11.3
8,1
2,5
HCOj
mg/l
11.6
6,1
15,3
10,6
Cl
mg/l
25
20
17,4
2,7
SO4
mg/l
4
4.4
2,6
5,8
NO3
mg/l
10
5
13.6
1,9
SIO2
mg/l
14,6
20
pH
6
6.3
6,3
5,8
NB : valeurs moyennes.
Rapport R 37266 (Bre 93-16) 03,05.93
SEIC (56 Grandchamp)projet d'embouteillage d'eau de source
audit technique
Tableau 1 :Comparatifde différentes eaux de sources
SOURCE
Grandchamp
(56)
Isabelle
(29)
Mon^oie
(50)
Spa Reine
(Belgique)
Ca
mg/l
2,8
1,4
3,2
3,3
Mg
mg/l
2,9
1.8
1,7
L3
K
mg/l
0,6
0,2
0,8
0,5
Na
mg/l
15
11.3
8,1
2,5
HCOj
mg/l
11.6
6,1
15,3
10,6
Cl
mg/l
25
20
17,4
2,7
SO4
mg/l
4
4.4
2,6
5,8
NO3
mg/l
10
5
13.6
1,9
SIO2
mg/l
14,6
20
pH
6
6.3
6,3
5,8
NB : valeurs moyennes.
Rapport R 37266 (Bre 93-16) 03,05.93
SEIC (56 Grandchamp)projet d'embouteillage d'eau de source
audit technique
5. ADEQUATION DU SITE AU PROJET D'EMBOUTEILLAGESUITE A DONNER
Le site de Lost Er Lenn paraît donc intéressant dans le contexte régional. Toutes choses
égales par ailleurs, et en fonction des données disponibles, il peut répondre aux besoins duprojet d'embouteillage, tant du point de vue de la quantité que de la qualité.
Cependant, la poursuite du projet nécessite la réalisation d'un ouvrage d'exploitation réalisédans les règles d'art. Les ouvrages existants, compte tenu de leur équipement ne peuvent êtreutilisés.
Ce forage sera implanté à partir des résultats des études déjà réalisés. Il sera descendu à uneprofondeur plus importante (100 à 150 m) de façon à rechercher d'autres venues d'eau, au
droit de fractures affectant la roche saine susceptibles d'augmenter le débit de façonsignificative
Par ailleurs, ces venues d'eau profondes sont susceptibles d'être bien protégées vis-à-vis des
contaminations superficielles, tout en présentant un faciès chimique naturel semblable à celuidéjà identifié.
L'équipement de l'ouvrage sera défini afin de permettre la descente d'une pompe compatibleavec les débits escomptés (à priori pompe 4"), Il sera cimenté sur les premiers mètres afind'isoler les eaux pompées des venues d'eau superficielles, sources de contaminationspossibles.
Un pompage d'essai longue durée sera mis en oeuvre sur une durée minimale de 2 mois afinde déterminer les potentialités réelles de l'ouvrage ; un suivi de la qualité de l'eau seraeffectué périodiquement durant le pompage.
Par ailleurs, il conviendra d'établir une protection du forage ; des mesures de sécuritédevront être définies et mises en application (vis à vis des épandages d'engrais, de lisier, des
systèmes d'assainissement , . .) selon les règles de l'art pour ce type d'ouvrage,.
Rapport R 37266 (Bre 93-16) 03.05.93
SEIC (56 Grandchamp)projet d'embouteillage d'eau de source
audit technique
5. ADEQUATION DU SITE AU PROJET D'EMBOUTEILLAGESUITE A DONNER
Le site de Lost Er Lenn paraît donc intéressant dans le contexte régional. Toutes choses
égales par ailleurs, et en fonction des données disponibles, il peut répondre aux besoins duprojet d'embouteillage, tant du point de vue de la quantité que de la qualité.
Cependant, la poursuite du projet nécessite la réalisation d'un ouvrage d'exploitation réalisédans les règles d'art. Les ouvrages existants, compte tenu de leur équipement ne peuvent êtreutilisés.
Ce forage sera implanté à partir des résultats des études déjà réalisés. Il sera descendu à uneprofondeur plus importante (100 à 150 m) de façon à rechercher d'autres venues d'eau, au
droit de fractures affectant la roche saine susceptibles d'augmenter le débit de façonsignificative
Par ailleurs, ces venues d'eau profondes sont susceptibles d'être bien protégées vis-à-vis des
contaminations superficielles, tout en présentant un faciès chimique naturel semblable à celuidéjà identifié.
L'équipement de l'ouvrage sera défini afin de permettre la descente d'une pompe compatibleavec les débits escomptés (à priori pompe 4"), Il sera cimenté sur les premiers mètres afind'isoler les eaux pompées des venues d'eau superficielles, sources de contaminationspossibles.
Un pompage d'essai longue durée sera mis en oeuvre sur une durée minimale de 2 mois afinde déterminer les potentialités réelles de l'ouvrage ; un suivi de la qualité de l'eau seraeffectué périodiquement durant le pompage.
Par ailleurs, il conviendra d'établir une protection du forage ; des mesures de sécuritédevront être définies et mises en application (vis à vis des épandages d'engrais, de lisier, des
systèmes d'assainissement , . .) selon les règles de l'art pour ce type d'ouvrage,.
Rapport R 37266 (Bre 93-16) 03.05.93
SEIC (56 Grandchamp)projet d'embouteillage d'eau de source
audit technique
O.C.I .v^ t
projet d'embouteillage de sourcecommune de GRANDCHAMP (56)
audit technique
ANNEXES
Avril 1993R 37266
BRGMDIRECTION REGIONALE ATLANTIQUE
AGENCE BRETAGNE4 rue du Bignon - 35000 RENNES - Tél. 99 86 84 84
Rapport R 37266 (Bre 93-16) 03.05.93
SEIC (56 Grandchamp)projet d'embouteillage d'eau de source
audit technique
O.C.I .v^ t
projet d'embouteillage de sourcecommune de GRANDCHAMP (56)
audit technique
ANNEXES
Avril 1993R 37266
BRGMDIRECTION REGIONALE ATLANTIQUE
AGENCE BRETAGNE4 rue du Bignon - 35000 RENNES - Tél. 99 86 84 84
Rapport R 37266 (Bre 93-16) 03.05.93
SEIC (56 Grandchamp)projet d'embouteillage d'eau de source
audit technique
Etude des ressources en eaux souterraines des sites de Lost Er Lenn et Kerbouleven.Commune de Grandchamp - D.D,A,F, du Morbihan, décembre 1988.
Etude de la fracturation d'un massif cristallophyllien par la méthode électromagnétiqueVLF, commune de Grandchamp - Application pour l'hydrogéologie - CALLIGEE,janvier 1989.
Reconnaissance hydrogéologique - Site de Stang En Avelen, Commune de Grandchamp -GEOARMOR, juin 1989.
Ressources en eaux souterraines du site de Lost Er Lenn en Grandchamp. Compte-rendudes nouveaux pompages d'essai - D.D.A.F. du Morbihan, juillet-août 1992.
Annexe 1: documents consultés
Pftnnnrt P 17266 ffírp 91-16) 03.05.93 m
SEIC (56 Grandchamp)projet d'embouteillage d'eau de source
audit technique
Etude des ressources en eaux souterraines des sites de Lost Er Lenn et Kerbouleven.Commune de Grandchamp - D.D,A,F, du Morbihan, décembre 1988.
Etude de la fracturation d'un massif cristallophyllien par la méthode électromagnétiqueVLF, commune de Grandchamp - Application pour l'hydrogéologie - CALLIGEE,janvier 1989.
Reconnaissance hydrogéologique - Site de Stang En Avelen, Commune de Grandchamp -GEOARMOR, juin 1989.
Ressources en eaux souterraines du site de Lost Er Lenn en Grandchamp. Compte-rendudes nouveaux pompages d'essai - D.D.A.F. du Morbihan, juillet-août 1992.
Annexe 1: documents consultés
Pftnnnrt P 17266 ffírp 91-16) 03.05.93 m
Sondages exécutés à LOST ER LPni> et ÏKIBOULBYEH' en CRANCHAKP
en Hars Avril 1983
r
SI)
S2»^^^
S3<
sr
S5>
Date
d'eiécution
28-3-88
29-3-88
31-3-88
1-4-88
26-4-88
10-5-88
Profondeur
(cn b)
ii
t5
48
50
48
Equipeient
Tubage
Nature Profondeur
(en BJ
0
[«possible à tuber
Acier 0-6
PVC plein 0-9
crépine 9-45
Acier 0-6
PVC plein 0-
crépiné -48
Acier 0-G
PVCpleii 0-25
cri'pifié 25-50
Acier 0-6
PVC plein 0-18
crépine 18-48
En cours
Profondeur
1ère arrivéed'eau
(en i)
3
puis > à 12
3
6
5
puis sec
puis 21
18
de foration
Débit en fonction
de la profonfeur
profond.
en a
18
27
48
10
18
21
27
33
3S
42
12
21
24
30
36
48
21
22
26
27
33
39
42
45
50
18
21
. 24
27
30
39
42
46
débit
en B3/h
> = 20
36
50
2
5
8
12
15
18
30
2
3,5
5
6,5
8
8
1
3
3
8
10
13
16
19
24
14
29
42
42
50
)42
>45
>46
Kature des terrains traversés
0-18 : altération 4- argileuse
18-48 : schistes Hétai. très
fracturés
0-24 : altération 1- argileuse
t niveau caillouteux et
sableux
24-45 : schistes gréseux
0-18 : altération t- argileuse
18-42 : schistes gris bleu
Í- fissurés42-48 : schistes gréseux
quartr
0-21 : altération «-argileuse
21-50 : schistes gréseux
4- fracturés
0-15 : altération í- argileuse
15-22 : granit, Hétai. trèsfracturé f filon quartz
22-40 : schistes Kétaa.
4 filon quartz
40-48 : schistes Hétai. « soibre
Qualité des eaux
En cours de forationPrélèveaents
N*
1
2
3
4
1
2
3
4
Prof.
en 1
21
27
34
42
48
12
21
33
42
21
24
33
48
18
22
42
46
^^olution des teneurs
K03
<1
<1
11
11
9
17
13
10
3
14
13
12
9
7
9
9
7
Per
en Bg/1
0,09
0,27
0,32
<0,05
<0,05
0,40
0,75
0,85
1,58
5,50
0.97
0,20
0,23
0,71
0,39
Kn
1,98
0,22
0,28
0,19
0,12
0,29
0,35
0,10
0,13
0,23
0,13
0,09
0,12
0,13
0,08
Annexe 2: coupes technique et hydrogélogique des ouvrages existants ( extraits durapport DDAF, décembre 1988)
Sondages exécutés à LOST ER LPni> et ÏKIBOULBYEH' en CRANCHAKP
en Hars Avril 1983
r
SI)
S2»^^^
S3<
sr
S5>
Date
d'eiécution
28-3-88
29-3-88
31-3-88
1-4-88
26-4-88
10-5-88
Profondeur
(cn b)
ii
t5
48
50
48
Equipeient
Tubage
Nature Profondeur
(en BJ
0
[«possible à tuber
Acier 0-6
PVC plein 0-9
crépine 9-45
Acier 0-6
PVC plein 0-
crépiné -48
Acier 0-G
PVCpleii 0-25
cri'pifié 25-50
Acier 0-6
PVC plein 0-18
crépine 18-48
En cours
Profondeur
1ère arrivéed'eau
(en i)
3
puis > à 12
3
6
5
puis sec
puis 21
18
de foration
Débit en fonction
de la profonfeur
profond.
en a
18
27
48
10
18
21
27
33
3S
42
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18
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30
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débit
en B3/h
> = 20
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)42
>45
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Kature des terrains traversés
0-18 : altération 4- argileuse
18-48 : schistes Hétai. très
fracturés
0-24 : altération 1- argileuse
t niveau caillouteux et
sableux
24-45 : schistes gréseux
0-18 : altération t- argileuse
18-42 : schistes gris bleu
Í- fissurés42-48 : schistes gréseux
quartr
0-21 : altération «-argileuse
21-50 : schistes gréseux
4- fracturés
0-15 : altération í- argileuse
15-22 : granit, Hétai. trèsfracturé f filon quartz
22-40 : schistes Kétaa.
4 filon quartz
40-48 : schistes Hétai. « soibre
Qualité des eaux
En cours de forationPrélèveaents
N*
1
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Prof.
en 1
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21
33
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21
24
33
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18
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^^olution des teneurs
K03
<1
<1
11
11
9
17
13
10
3
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9
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9
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Per
en Bg/1
0,09
0,27
0,32
<0,05
<0,05
0,40
0,75
0,85
1,58
5,50
0.97
0,20
0,23
0,71
0,39
Kn
1,98
0,22
0,28
0,19
0,12
0,29
0,35
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0,13
0,23
0,13
0,09
0,12
0,13
0,08
Annexe 2: coupes technique et hydrogélogique des ouvrages existants ( extraits durapport DDAF, décembre 1988)
Sondages executes i LOST BR lEKN» et KEREET* en GRAKDCHAKP
en Juillet 1988
3»
n
8«
»
0*
r
Date
d'eiécution
22-7-88
25-7-88
26-7-88
26-7-88
-88
Profondeur
(en b)
50
45
42
50
12
40
Equipeoent
Tubage
Kature Profondeur
(en b)
Acier 0-6
PVC plein 0-12
crépine 12-50
Acier 0-6
PVC plein 0-9
crépine 12-39
Acier 0-6
PVC plein 0-12
crépine -42
Acier 0-6
PVC plein 0-12
crépine 12-50
non tube
non tube
En cours
Profondeur
Icre arrivéed'eau
(en b]
12
12
21
de foration
Débit en fonction
de la profonfeur
profond.
en B
18
21
24
33
36
39
45
48
50
18
21
24
27
30
33
36
39
42
45
12
15
18
24
27
30
42
24
30
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42
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débit
en b3A
12,5
21
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36
42
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17
21
21
36
42
42
50
63
5,5
6,5
7
8
11,5
16,8
16.8
2,T
3,9
4,S
8,4
8,4
0
Nature des terrains traversés
0-12 : altération argileuse
12-21 : schistes létaa. trèsfracturés
21-30 : schistes télut.i granit
en très gros lorceaui30-51 : schistes aétaa. gris39-51 : U fractures
0-18 : iltération 4- argileuse18-24 : arène 4 r.iétai.4 quartz
24-30 : schistes lustrés4 quartz interstratifié44 pyriteen gros korceaux
30-39 : id en très gros lorceaui44 fractures
39-45 : id 4 clair, encore plus
fractoré.'c&illoutis
0- 9 : altération argileuse
9-15 : schistes altérés15-42 : schistes ardoisiers
bleu-coir
0-27 : altération 4-argileuse
27-50 : quartzite hoBogène
0-12 : altération 4- argileuse
altérationgranit hosogène
Qualité des eaux
Kn cours de forationPrélèveBents
N* 1 Prof.
en 1
Solution des teneuiL
N03 Fer Hn
en Bill
Sondages executes i LOST BR lEKN» et KEREET* en GRAKDCHAKP
en Juillet 1988
3»
n
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0*
r
Date
d'eiécution
22-7-88
25-7-88
26-7-88
26-7-88
-88
Profondeur
(en b)
50
45
42
50
12
40
Equipeoent
Tubage
Kature Profondeur
(en b)
Acier 0-6
PVC plein 0-12
crépine 12-50
Acier 0-6
PVC plein 0-9
crépine 12-39
Acier 0-6
PVC plein 0-12
crépine -42
Acier 0-6
PVC plein 0-12
crépine 12-50
non tube
non tube
En cours
Profondeur
Icre arrivéed'eau
(en b]
12
12
21
de foration
Débit en fonction
de la profonfeur
profond.
en B
18
21
24
33
36
39
45
48
50
18
21
24
27
30
33
36
39
42
45
12
15
18
24
27
30
42
24
30
39
42
50
40
débit
en b3A
12,5
21
36
36
42
45
45
50
50
4
13
17
21
21
36
42
42
50
63
5,5
6,5
7
8
11,5
16,8
16.8
2,T
3,9
4,S
8,4
8,4
0
Nature des terrains traversés
0-12 : altération argileuse
12-21 : schistes létaa. trèsfracturés
21-30 : schistes télut.i granit
en très gros lorceaui30-51 : schistes aétaa. gris39-51 : U fractures
0-18 : iltération 4- argileuse18-24 : arène 4 r.iétai.4 quartz
24-30 : schistes lustrés4 quartz interstratifié44 pyriteen gros korceaux
30-39 : id en très gros lorceaui44 fractures
39-45 : id 4 clair, encore plus
fractoré.'c&illoutis
0- 9 : altération argileuse
9-15 : schistes altérés15-42 : schistes ardoisiers
bleu-coir
0-27 : altération 4-argileuse
27-50 : quartzite hoBogène
0-12 : altération 4- argileuse
altérationgranit hosogène
Qualité des eaux
Kn cours de forationPrélèveBents
N* 1 Prof.
en 1
Solution des teneuiL
N03 Fer Hn
en Bill
Of.At^tCHAI\f LOST tr Le^jfj OO'wJé .get
SI
y
V I I I
Jfí
I^O-
« . '!> . V . ««»Vi.
\
\\
\\
53
y
is.wt
e ! * i*V*)
S^^
u-'A
^6
« -. t» ««.yl
- l4
.ri--
\\\.
t^f- \
\/.KÍ/W
51 Si
/^ -_- i»U,Vij ^ Fr»c4.ri»/ .... on'â Graa^K
. /S.J.l5t<
tl.3 - lilt
Of.At^tCHAI\f LOST tr Le^jfj OO'wJé .get
SI
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53
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51 Si
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. /S.J.l5t<
tl.3 - lilt
LOST-ER-LENN EH GMDCHAH?
RESULTATS DES ANALYSES D'EAU
DATE
JJKHAA
POINT D'EAU Prof
en B
Ph Résis. Dh TAC NH4 H02 N03 Cl 02 Fer Hn Fer S04
ohfls/ca 'F ag CaC03 ag/l ag/l ag/l ag/l ag/l ag/l ag/l 4 Kn ag/lOBSERVATIONS
4373
4374
4411
4412
4413
4582
4583
4584
4585
4595
4596
4597
4598
5565
5566
5567
S568
5833
5932
10881
4 12 87
28 3
28 3
29 3
29 3
29 3
1 4
1 4
1 4
1 4
1 4
1 4
1 4
1 4
10 5
10 5
10 5
10 5
26 5
27 5
1 6
S 6
10878
11275
11393
11276
10879
10880
9 88
12 10 88
14 10 88
12 10 88
9 88
9 88
Source Lost
Sondage 1
Sondage 1
Sondage 1
Sondage 1
Sondage 1
SI
SI
SI
SI
SI
Sondage 2 S2
Sondage 2 S2
Sondage 2 S2
Sondage 2 S2
Sondage 3 S3
Sondage 3 S3
Sondage 3 S3
Sondage 3 S3
Sondage 5 S5
Sondage 5 S5
Sondage 5 S5
Sondage 5 S5
Sondage 5 S5
Sondage 5 S5
Sondage 5 S5
Sondage 5 S5
Sondage 5 S5
Sondage 5 S5
Sondage 5 S5
Sondage 6 S6
Sondage 7 S7
Sondage 8 S8
Sondage 9 S9
21
27
34
42
48
12
21
33
42
21
24
33
48
18
22
42
46
7036 -0,05 18 24,8 -0,05
10555
10555
10204
9896
9596
-0,05
-0,05
-0,05
-0,05
-0,05
0,01
0,01
0,01
0,03
0,04
-1,0
-1,010,5
10,5
3,0
0,09
0,27
0,32
1,98
0,22
0,28
2,07
0,49
0,60
6,50 9047
6,70 7723
6,70 7723
7,35 7539
-0,05
-0,05
-0,05
-0,05
0,01
0,01
0,01
0,01
17,0
13,0
10,0
3,0
-0,05 0,13 0,08
-0,05 0,12 0,07
0,40 0,29 0,69
0,75 0,35 1,10
6,90 7916
7,35 8796
7,15 9047
7,45 8796
0,45 0,06 14,0
0,38 0,05 13,0
0,28 0,08 11,5
0,31 0,04 9,0
0,85 0,10 0,95
1,58 0,13 1,71
5,50 0,23 5,73
0,97 0,13 1,10
12657
11493
10989
9896
7,0
9,0
9,0
Î.O
0,20 0,09 0,29
0,23 0,12 0,35
0,71 0,13 0,84
0,39 0,08 0,47
-0,5 0,25 0,25 0,50
4
En cours de forage
5,75 9896 1,50 1,30-0,05-0,01 10,0 21,3 0.10 0,10 0,02 0,12 7
6,0 -0,05 0,02-0,0311,0 -0,05 0,04 -0,01
10,0 0,07 0,03 0,10
6,00
6,00
6,00
8017
8119
8017
2,50
2,00
2,50
2,15 -0,05 -0,01
1,90 -0,05 -0,01
2,15 -0,05 -0,01
3,0
2,5 19,5
2,5 19,4
1,0 19,5
0,5
9,5
0,90 0,09 0,99
0,50 1,00 0,08 1,08
0,95 1,45 0,08 1,53 8
0,32 1,00 0,07 1,07
1,05 0,17 1,22
0,02 0,13 0,15
En cours de forage
En cours de forage
En cours de forage
Poapage S'I 70'
r Joui
6* Joui
11* Joui
Poapage N*2 13*Jour
27* Jou!
29' Joui
Poapage K'2
Poapage N'2
Poapage N*2
Poapage N*2
knnexe 3: résultat des analyses d*eau ( extrait du rapport DDAF, décembre 1988)
LOST-ER-LENN EH GMDCHAH?
RESULTATS DES ANALYSES D'EAU
DATE
JJKHAA
POINT D'EAU Prof
en B
Ph Résis. Dh TAC NH4 H02 N03 Cl 02 Fer Hn Fer S04
ohfls/ca 'F ag CaC03 ag/l ag/l ag/l ag/l ag/l ag/l ag/l 4 Kn ag/lOBSERVATIONS
4373
4374
4411
4412
4413
4582
4583
4584
4585
4595
4596
4597
4598
5565
5566
5567
S568
5833
5932
10881
4 12 87
28 3
28 3
29 3
29 3
29 3
1 4
1 4
1 4
1 4
1 4
1 4
1 4
1 4
10 5
10 5
10 5
10 5
26 5
27 5
1 6
S 6
10878
11275
11393
11276
10879
10880
9 88
12 10 88
14 10 88
12 10 88
9 88
9 88
Source Lost
Sondage 1
Sondage 1
Sondage 1
Sondage 1
Sondage 1
SI
SI
SI
SI
SI
Sondage 2 S2
Sondage 2 S2
Sondage 2 S2
Sondage 2 S2
Sondage 3 S3
Sondage 3 S3
Sondage 3 S3
Sondage 3 S3
Sondage 5 S5
Sondage 5 S5
Sondage 5 S5
Sondage 5 S5
Sondage 5 S5
Sondage 5 S5
Sondage 5 S5
Sondage 5 S5
Sondage 5 S5
Sondage 5 S5
Sondage 5 S5
Sondage 6 S6
Sondage 7 S7
Sondage 8 S8
Sondage 9 S9
21
27
34
42
48
12
21
33
42
21
24
33
48
18
22
42
46
7036 -0,05 18 24,8 -0,05
10555
10555
10204
9896
9596
-0,05
-0,05
-0,05
-0,05
-0,05
0,01
0,01
0,01
0,03
0,04
-1,0
-1,010,5
10,5
3,0
0,09
0,27
0,32
1,98
0,22
0,28
2,07
0,49
0,60
6,50 9047
6,70 7723
6,70 7723
7,35 7539
-0,05
-0,05
-0,05
-0,05
0,01
0,01
0,01
0,01
17,0
13,0
10,0
3,0
-0,05 0,13 0,08
-0,05 0,12 0,07
0,40 0,29 0,69
0,75 0,35 1,10
6,90 7916
7,35 8796
7,15 9047
7,45 8796
0,45 0,06 14,0
0,38 0,05 13,0
0,28 0,08 11,5
0,31 0,04 9,0
0,85 0,10 0,95
1,58 0,13 1,71
5,50 0,23 5,73
0,97 0,13 1,10
12657
11493
10989
9896
7,0
9,0
9,0
Î.O
0,20 0,09 0,29
0,23 0,12 0,35
0,71 0,13 0,84
0,39 0,08 0,47
-0,5 0,25 0,25 0,50
4
En cours de forage
5,75 9896 1,50 1,30-0,05-0,01 10,0 21,3 0.10 0,10 0,02 0,12 7
6,0 -0,05 0,02-0,0311,0 -0,05 0,04 -0,01
10,0 0,07 0,03 0,10
6,00
6,00
6,00
8017
8119
8017
2,50
2,00
2,50
2,15 -0,05 -0,01
1,90 -0,05 -0,01
2,15 -0,05 -0,01
3,0
2,5 19,5
2,5 19,4
1,0 19,5
0,5
9,5
0,90 0,09 0,99
0,50 1,00 0,08 1,08
0,95 1,45 0,08 1,53 8
0,32 1,00 0,07 1,07
1,05 0,17 1,22
0,02 0,13 0,15
En cours de forage
En cours de forage
En cours de forage
Poapage S'I 70'
r Joui
6* Joui
11* Joui
Poapage N*2 13*Jour
27* Jou!
29' Joui
Poapage K'2
Poapage N'2
Poapage N*2
Poapage N*2
knnexe 3: résultat des analyses d*eau ( extrait du rapport DDAF, décembre 1988)
CENTRE DE GENIE INDUSTRIELGuidel-Plages - 56520 GOIDEL
LABORATOIRE D'HYGIENE PUBLIQUEET INDUSTRIELLE
Tel : 97.05.95-61 ou 97.05.95.22Fax : 97.05.95.52
page n° 1
n/>
VORIGINE DE L'ECHANTILLON.NATUREPRELEVE LEPARREF DDASS/HPI
GRANDCHAMP, pompage Lest er Len
27.07.92Ir-EARS
H /24I
B3 ANALYSE BACTERIOLOGIQUE
Bactéries aérobies revivifiables / ml- après 24 h à 37« : 0- après' 72 h à 22° : 1
Coliformes / 100 ml : 0Coliformes thermotolérants / 100 ml : 0Streptocoques fécaux / 100 ml : 0Spores de bactéries anaérobiessulfito-réductrices / 20 ml : 0
C3 ANALYSE PHYSICO-CHIMIQUE COMPLETE page 2
C4 ANALYSES PHYSICO-CHIMIQUES PARTICULIERES pages 3 à 5
Fait à Guidel, le 27 août 1992Le Directeur du Laboratoire
\' vD«
J.J. PERON.
Annexe 4: résultat de l'analyse d'eau du 21m 191
CENTRE DE GENIE INDUSTRIELGuidel-Plages - 56520 GOIDEL
LABORATOIRE D'HYGIENE PUBLIQUEET INDUSTRIELLE
Tel : 97.05.95-61 ou 97.05.95.22Fax : 97.05.95.52
page n° 1
n/>
VORIGINE DE L'ECHANTILLON.NATUREPRELEVE LEPARREF DDASS/HPI
GRANDCHAMP, pompage Lest er Len
27.07.92Ir-EARS
H /24I
B3 ANALYSE BACTERIOLOGIQUE
Bactéries aérobies revivifiables / ml- après 24 h à 37« : 0- après' 72 h à 22° : 1
Coliformes / 100 ml : 0Coliformes thermotolérants / 100 ml : 0Streptocoques fécaux / 100 ml : 0Spores de bactéries anaérobiessulfito-réductrices / 20 ml : 0
C3 ANALYSE PHYSICO-CHIMIQUE COMPLETE page 2
C4 ANALYSES PHYSICO-CHIMIQUES PARTICULIERES pages 3 à 5
Fait à Guidel, le 27 août 1992Le Directeur du Laboratoire
\' vD«
J.J. PERON.
Annexe 4: résultat de l'analyse d'eau du 21m 191
REF DDASS/BPI :M /24I page n° 2
C3 ANALYSE PHYSICO-CHIMIQUE COMPLETE
Température CO : -Oxygène dissous (mg/l). : 7.0Anhydride carbonique . .
libre (mg/l) : 34
Couleur (mg/l de Pt) : < 5
Turbidité (NTU) : 0.60
STR UCTURE NATURELLE DES EAUX
¿}n *«««««
Conductivité (iiS/cm) ... .
Calcium (mg/l . Ca^ ) . . . .Magnésium (mg/l.Mg**) .. :
Potassium (mg/l.K*) . . . . ;
: 6.00115
: 2.82.9150.6
^ Résidus secs (mg/l) Chlorures (mg/l . Cl" ) Sulfates (mg/l.SO<^-) Carbonates (mg/l.COa*-) ...H. carbonates (mg/l.HCOs-)Silice (mg/l.SiOz) Aluminium (mg/l)
9225
4
11.614.30.01
ESSAI AU MARBRE : Avant
pH : 6.00TAC (dgF) : 1.0TH (dgF) : < 1
Après
7.7010.210.6
SUBSTANCES INDESIRABLES
Nitrates (mg/l.NOa-) . . .Nitrites (mg/l.N02-)...Ammonium (mg/l . NH4 ) . . .
Oxydabilité (mg/l O2).,Phosphore (mg/l . P2O3 ) . .
Chlore résiduel (mg/l) ,
BILAN IONIQUE
10: < 0,01
< 0.01: < 0.2
< 0.10
"
Total cations (me/1)Total anions (me/1) .
1.041.14
Fer (ug/l) Manganèse (yg/l)Cuivre (mg/l) . .
Zinc (mg/l) ....Fluor (ug/l)
14014< 0,1< 0,250
REF DDASS/BPI :M /24I page n° 2
C3 ANALYSE PHYSICO-CHIMIQUE COMPLETE
Température CO : -Oxygène dissous (mg/l). : 7.0Anhydride carbonique . .
libre (mg/l) : 34
Couleur (mg/l de Pt) : < 5
Turbidité (NTU) : 0.60
STR UCTURE NATURELLE DES EAUX
¿}n *«««««
Conductivité (iiS/cm) ... .
Calcium (mg/l . Ca^ ) . . . .Magnésium (mg/l.Mg**) .. :
Potassium (mg/l.K*) . . . . ;
: 6.00115
: 2.82.9150.6
^ Résidus secs (mg/l) Chlorures (mg/l . Cl" ) Sulfates (mg/l.SO<^-) Carbonates (mg/l.COa*-) ...H. carbonates (mg/l.HCOs-)Silice (mg/l.SiOz) Aluminium (mg/l)
9225
4
11.614.30.01
ESSAI AU MARBRE : Avant
pH : 6.00TAC (dgF) : 1.0TH (dgF) : < 1
Après
7.7010.210.6
SUBSTANCES INDESIRABLES
Nitrates (mg/l.NOa-) . . .Nitrites (mg/l.N02-)...Ammonium (mg/l . NH4 ) . . .
Oxydabilité (mg/l O2).,Phosphore (mg/l . P2O3 ) . .
Chlore résiduel (mg/l) ,
BILAN IONIQUE
10: < 0,01
< 0.01: < 0.2
< 0.10
"
Total cations (me/1)Total anions (me/1) .
1.041.14
Fer (ug/l) Manganèse (yg/l)Cuivre (mg/l) . .
Zinc (mg/l) ....Fluor (ug/l)
14014< 0,1< 0,250
REF DDASS/HPI. : N /24I pago n'
C4 ANALYSES PHYSICO-CHIMIQUES PARTICULIERES
C4a SUBSTANCES INDESIRABLES
Azote Kjeldhai (mg/l de N) . . . : < 0.5Hydrocarbures dissous (pg/l) : < 10
C4c SUBSTANCES TOXIQUES
Arsenic (ug/l) : 8
Chrome total (ug/D : < 5
Cyanures (pg/l) : < 20
Indice phénol (pg/l) : < 2
Agents de surface (ug/lde lauryl sulfate) : < 10
Mercure (ug/l) : < 0,5Selenium (ug/l) : < 5
AUTRES PARAMETRES
1 - Composés organohalogénés volatils
* Chloroforme (ug/l) * Dichloromonobromométhane (ug/l) * Dibromomonochlorométhane (ug/D * Bromoforme (ug/l) * Tétrachlorure de carbone (ug/l) * 1,2 - dichloroethane (ug/l) * Tétrachloréthylène (ug/D * Trichloréthylène (ug/l)
1
1
1
10,310
< 1
< 1
REF DDASS/HPI. : N /24I pago n'
C4 ANALYSES PHYSICO-CHIMIQUES PARTICULIERES
C4a SUBSTANCES INDESIRABLES
Azote Kjeldhai (mg/l de N) . . . : < 0.5Hydrocarbures dissous (pg/l) : < 10
C4c SUBSTANCES TOXIQUES
Arsenic (ug/l) : 8
Chrome total (ug/D : < 5
Cyanures (pg/l) : < 20
Indice phénol (pg/l) : < 2
Agents de surface (ug/lde lauryl sulfate) : < 10
Mercure (ug/l) : < 0,5Selenium (ug/l) : < 5
AUTRES PARAMETRES
1 - Composés organohalogénés volatils
* Chloroforme (ug/l) * Dichloromonobromométhane (ug/l) * Dibromomonochlorométhane (ug/D * Bromoforme (ug/l) * Tétrachlorure de carbone (ug/l) * 1,2 - dichloroethane (ug/l) * Tétrachloréthylène (ug/D * Trichloréthylène (ug/l)
1
1
1
10,310
< 1
< 1
REF BRI - ff ^241 page n '
2 - Insecticides, herbicides et fongicides
Par référence aux listes types données en annexe :
* P.e3.ti.ci.des_orgâno-a_zotés_(]^is^te n°l)
Teneurs inférieures aux limites de détection sauf
Simazine : 0.14 pg/l
* P.hény.l_urées llist.e_nl2]_
Teneurs inférieures aux limites de détection
* Divers :
Carbofuran : < 0.05 u?/l
Alachlor : < 0.05 pg/l
Métolachlor : < 0.05 ug/l
3 - Polychlorobiphényls (PCB)
Pas de profils chromatographiques (détection ECO)pouvant être attribués aux PCB à des teneurs supérieuresà 0,1 pg/l.
CONCLUSION DDASS
REF BRI - ff ^241 page n '
2 - Insecticides, herbicides et fongicides
Par référence aux listes types données en annexe :
* P.e3.ti.ci.des_orgâno-a_zotés_(]^is^te n°l)
Teneurs inférieures aux limites de détection sauf
Simazine : 0.14 pg/l
* P.hény.l_urées llist.e_nl2]_
Teneurs inférieures aux limites de détection
* Divers :
Carbofuran : < 0.05 u?/l
Alachlor : < 0.05 pg/l
Métolachlor : < 0.05 ug/l
3 - Polychlorobiphényls (PCB)
Pas de profils chromatographiques (détection ECO)pouvant être attribués aux PCB à des teneurs supérieuresà 0,1 pg/l.
CONCLUSION DDASS
REF BPI. /24I page a° 5
ANNEXE
Liste n°l
Pesticideslorganoazotés
lllmites de détection!en u?/l
i AtrazineH
I Simazine
1 Prométrine
1 Prometen
I Amétrine
i Terbutrine
I Propazine
1 Terbuthylazine
0,03 1
0,03 1
0,03 1
0,03 1
0,03 1
0,03 1
0,03 1
0,03 1
Liste n°2
Phényl-urées jlimites de détection |
1 en ug/l
Isoproturon
Chlortoluron
Linuron
Diuron
0,05
0,05
0,05
0,05
REF BPI. /24I page a° 5
ANNEXE
Liste n°l
Pesticideslorganoazotés
lllmites de détection!en u?/l
i AtrazineH
I Simazine
1 Prométrine
1 Prometen
I Amétrine
i Terbutrine
I Propazine
1 Terbuthylazine
0,03 1
0,03 1
0,03 1
0,03 1
0,03 1
0,03 1
0,03 1
0,03 1
Liste n°2
Phényl-urées jlimites de détection |
1 en ug/l
Isoproturon
Chlortoluron
Linuron
Diuron
0,05
0,05
0,05
0,05
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