8 mort du prophete psl

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Après avoir loué et remercié Dieu, le prophète (paix soit sur lui) dit : "O peuple ! Prêtez-moi une oreille attentive, car je ne sais pas si je serai encore parmi vous l'an prochain. Alors, écoutez ce que je dis avec beaucoup d'attention et transmettez ces mots à ceux qui ne pouvaient être présents aujourd'hui. O peuple ! Tout comme vous considérez ce mois, ce jour, cette cité sacrée, considérez aussi la vie et la propriété de tout Musulman comme sacrées. Rendez les biens qu'on vous a prêtés à leurs propriétaires de droit. Ne faites de mal à personne de façon à ce qu'on ne vous fasse pas de mal. Souvenez-vous qu'un jour vous rencontrerez votre Seigneur et Il vous demandera des comptes sur vos actions en ce monde. Dieu vous a interdit l'usure. Alors, toute obligation usuraire doit désormais être annulée. Votre capital est à vous. Vous n'infligerez ni souffrirez d'aucune inéquité. Dieu a jugé qu'il n'y devait pas y avoir d'intérêt et que tout intérêt du à Abbas Ibn 'Abda'Al Muttalib (l'oncle du prophète) doit être annulé. Tous les droits (à la vengeance) découlant des homocides de la période pré-islamique sont désormais annulés et les premiers que j'abolis sont ceux qui découlent du meurtre de Rabiah Ibn Al Harith (un proche du prophète) O peuple ! Les incroyants jouent avec le calendrier afin de rendre permissible ce que Dieu a interdit et interdire ce que Dieu a permis. Selon Dieu, les mois sont au nombre de douze. Quatre d'entre-eux sont saints. Trois d'entre-eux sont successifs et un survient entre les mois de Jumada et de Shaban Faites attention au Diable, pour le bien de votre religion. Il a perdu tout espoir de vous égarer par les grands péchés, alors faites attention de le suivre dans les petits péchés. O peuple ! Il est vrai que vous avez des droits sur vos femmes, mais elles ont aussi des droits sur vous. Souvenez-vous que vous les avez prises comme femmes seulement avec la permission de Dieu et en remplissant un pacte avec Lui. Si elles vous restent fidèles, alors il leur revient le droit d'être nourries et vêtues dans la gentillesse. Traîtez bien vos femmes et soyez gentils avec elles, car elles sont vos partenaires et vos assistantes dévouées. Et c'est votre droit qu'elles ne fréquentent pas des gens que vous n'approuvez pas, ainsi que de ne jamais être infidèles. O peuple ! Écoutez-moi avec sincérité. Adorez Dieu, Accomplissez vos cinq prières quotidiennes, Jeûnez pendant le mois du Ramadan et Donnez de votre bien en Zakat (charité). Faites le Hajj (pèlerinage), si vous le pouvez. Toute l'humanité descend de Adam et Eve. Un Arabe n'est pas supérieur à un non-Arabe et un non-Arabe n'est pas supérieur à un Arabe. Un blanc n'est pas supérieur à un noir et un noir n'est pas supérieur à un blanc - seulement par la piété et la bonne action. Sachez que chaque Musulman est le frère de chaque Musulman et que les Musulmans constituent une fraternité. Le bien d'autrui n'est pas légitime pour un Musulman excepté celui que son frère lui donne de plein gré. Alors, ne vous faites pas d'injustice à vous-mêmes. Souvenez-vous qu'un jour vous rencontrerez Dieu et répondrez pour vos actions en ce monde. Alors faites attention ! Ne vous égarez pas du chemin de la piété après mon départ. O peuple ! Aucun prophète ou messager ne viendra après moi et aucune nouvelle croyance ne naîtra. Raisonnez bien alors, O peuple, et comprenez les mots que je vous transmets. Je laisse derrière moi deux choses : le Coran et ma Sounna et si vous les suivez, vous ne vous égarerez jamais. Tous ceux qui écoutent devront transmettre mes paroles aux autres et les autres, à d'autres encore, de façon à ce que les derniers comprennent mes paroles encore mieux que ceux qui m'écoutent directement. Sois témoin, O Dieu, que j'ai tran

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Dr. Mohamed Aziz ChraibiAMMN, CKL, AEMUDM, AL-RAWDAH

2008

Après avoir loué et remercié Dieu, le prophète (paix soit sur lui) dit :

"O peuple ! Prêtez-moi une oreille attentive, car je ne sais pas si je serai encore parmi vous l'an prochain.

O peuple !

Tout comme vous considérez ce mois,

ce jour,

cette cité sacrée,

considérez aussi la vie et la propriété de tout Musulman comme sacrées.

Rendez les biens qu'on vous a prêtés à leurs propriétaires de droit.

Votre sang et vos biens sont sacrés,

comme le sont ce jour,

ce mois et cette ville.

Ne faites de mal à personne de façon à ce qu'on ne vous fasse pas de mal.

Souvenez-vous qu'un jour vous rencontrerez votre Seigneur et Il vous demandera des comptes sur vos actions en ce monde.

Dieu vous a interdit l'usure.

Alors, toute obligation usuraire doit désormais être annulée.

Votre capital est à vous.

Vous n'infligerez ni souffrirez d'aucune iniquité.

Je proscris tout ce qui se rapporte à l'ère pré-islamique,

la vengeance propre à cette

période est désormais interdite,

à commencer par celle d'Ibn Rabiâ Ibn Al Hareth,

l'usure propre à la Jahiliya (ère

de l'ignorance) est également interdite,

à commencer par celle d'Al Abbas Ibn Abdelmottaleb.

"Ô Musulmans,

le démon n'espère plus être adoré sur votre terre.

Mais s'il est écouté,

il se satisfera de celles de vos actions que vous méprisez.

Craignez le pour votre religion."

O peuple ! Les incroyants jouent avec le calendrier afin de rendre permissible ce que Dieu a interdit et interdire ce que Dieu a permis.

Selon Dieu, les mois sont au nombre de douze. Quatre d'entre-eux sont saints. Trois d'entre-eux sont successifs et un survient entre les mois de Jumada et de Shaban

Faites attention au Diable, pour le bien de votre religion.

Il a perdu tout espoir de vous égarer par les grands péchés, alors faites attention de le suivre dans les petits péchés.

O peuple ! Il est vrai que vous avez des droits sur vos femmes, mais elles ont aussi des droits sur vous.

Souvenez-vous que vous les avez prises comme femmes seulement avec la permission de Dieu et en remplissant un pacte avec Lui.

Si elles vous restent fidèles,

alors il leur revient le droit d'être nourries et vêtues dans la gentillesse.

Traitez bien vos femmes et soyez gentils avec elles, car elles sont vos partenaires et vos assistantes dévouées.

Et c'est votre droit qu'elles ne fréquentent pas des gens que vous n'approuvez pas, ainsi que de ne jamais être infidèles.

O peuple ! Écoutez-moi avec sincérité.

Adorez Dieu,

Accomplissez vos cinq prières quotidiennes,

Jeûnez pendant le mois du Ramadan et

Donnez de votre bien en Zakat (charité).

Faites le Hajj (pèlerinage), si vous le pouvez.

Toute l'humanité descend de Adam et Eve.

Un Arabe n'est pas supérieur à un non-Arabe et un non-Arabe n'est pas supérieur à un Arabe.

Un blanc n'est pas supérieur à un noir et un noir n'est pas supérieur à un blanc -seulement par la piété et la bonne action.

Sachez que :

chaque Musulman est le frère de chaque Musulman

et que les Musulmans constituent une fraternité.

Le bien d'autrui n'est pas légitime pour un Musulman

excepté celui que son frère lui donne de plein gré.

Alors, ne vous faites pas d'injustice à vous-mêmes.

Souvenez-vous qu'un jour vous rencontrerez Dieu et répondrez pour vos actions en ce monde.

Alors faites attention !

Ne vous égarez pas du chemin de la piété après mon départ.

O peuple ! Aucun prophète ou messager ne viendra après moi et aucune nouvelle croyance ne naîtra.

Raisonnez bien alors,

O peuple, et comprenez les mots que je vous transmets.

Je laisse derrière moi deux choses :

le Coran

ma Sounna si vous les suivez,

vous ne vous égarerez jamais.

Tous ceux qui écoutent devront :

transmettre mes paroles aux autres et les autres,

à d'autres encore,

de façon à ce que les derniers comprennent mes paroles encore mieux que ceux qui m'écoutent directement.

Sois témoin,

O Dieu,

que j'ai transmis Ton message à Ton peuple.

Ô gens, celui à qui j’ai tapé le dos, voici mon dos qu’il prenne sa revanche;

ô gens, celui à qui j’ai insulté l’honneur, voici mon honneur qu’il prenne sa revanche,

ô gens, celui à qui j’ai emprunté de l’argent, voici mon argent qu’il prenne son dû

Mais craignant que les gens soient embarrassées, le prophète (PSL) dit :

Ô gens,

ne craignez point de ressentiment de ma part,

je veux seulement rencontrer mon Seigneur sans aucune dette envers quelqu’un ici-bas .

Alors un homme se leva et dit :

«Ô messager d’Allah, Vous me devez trois dirhams. »

Le prophète (PSL) dit :

« Qu’Allah te récompense »

Et il ordonna qu’on lui paie son dû.

Le prophète reprit son discours:

« Ô gens,

j’ai l’impression que vous êtes inquiets pour moi….

Les gens se mirent à pleurer, Le prophète attendri continua :

« Ô gens,

votre rendez-vous avec moi n’est pas ici,

ma rencontre avec vous est près du bassin,

c’est comme si je le voyais de l’endroit où je suis !

Ô gens, Par Allah! Ce n'est pas la pauvreté que je redoute

pour vous;

je redoute plutôt que les biens de l'ici-bas ne vous soient largement offerts comme ils l'ont été à vos prédécesseurs,

et que, dans votre émulation à les acquérir, vous ne trouviez, comme eux, votre perte !....

Ô gens,

soyez pieux

et ne manquez jamais la prière,

craignez Allah

et soyez bienveillants à l’égard des femmes…..

Ô gens,

Allah a demandé à un serviteur de choisir entre la vie ici-bas et Sa rencontre,

il a choisi la rencontre d’Allah.

Personne ne devina qui était ce serviteur dont le prophète parlait excepté Abu Bakr, qui se mit à pleurer si fort que les gens ne pouvaient plus entendre ce que disait le prophète, puis ne pouvant plus se retenir il se leva et se mit à répéter ses mots :

« Nous donnons nos vies en échange pour toi ;

Nous donnons la vie de nos enfants en échange pour toi

Je te protège avec la vie de mes enfants, ….. »

Les gens surpris que quelqu’un ose interrompre le sermon du prophète

Et regardèrent Abu Bakr, rd, avec dureté,

mais le prophète (psl) ému par son ardeur prit sa défense :

Ô gens, laissez Abu Bakr,

il n’est personne qui m’aie rendu un service sans que je l’aie largement récompensé sauf Abu Bakr, rd,

je n’ai pas pu le récompenser alors j’ai laissé sa récompense à Allah…

Que toutes les portes qui donnent sur la mosquée se ferment sauf la porte d’Abu Bakr .

A la fin de son sermon, le prophète se mit à prier

pour ses compagnons :

Qu’Allah vous protège,

Qu’Allah vous garde,

Qu’Allah vous récompense…

Ô gens, transmettez mon (Salam) pour quiconque me suit et croit en moi jusqu’au jour de Résurrection.

Le prophète rentra chez lui exténué,

Il reçoit Fatima Zohra, rd, chez lui,

Mais cette fois ci alité ne peut l’Accueillir comme d’habitude

Il lui confie un 1er secret :

Elle va pleurer

Pour la consoler,

Il lui confie un 2ème secret :

Elle va sourire !!!

Qu’est ce qui a fait pleurer sa fille Fatima Zohra ?

Quelle a été la consolation ?

le frère de Aicha, rd, Abderrahman, rd, vint voir le prophète,

il s’assit près de lui,

le prophète vit dans ses mains un morceau de siwâk,

Aicha, rd, comprit que le prophète voulait

Mais tellement malade, qu’il n’y parvenait pas,

Elle prit le siwâk,

le mit dans sa bouche pour l’amollir

puis le tendit au prophète.

Pendant toute sa vie,

le prophète a honoré sa femme et même la façon dont il allait mourir est un témoignage de respect et de tendresse à son égard !

Le prophète (psl) ordonna qu’on le laissât seul avec sa femme.

Ce sont les derniers instants de sa vie,

Il mit sa tête dans les bras de sa femme Aicha (Qu’Allah soit satisfait d’elle).

Ce sont les derniers instants de sa vie,

on pourrait penser qu’il mourra en faisant sa prière, en priant ou en lisant le Coran…

mais non,

il mourra dans les bras de sa femme!

Aicha (rd) dit également :

Il y avait devant le prophète psl, un récipient plein d’eau.

Il y trempait la main et se la passait sur le visage en disant :

La Ilaha Illa Allah, la mort à ses affres...

Puis Aicha entendit le prophète dire : « Qu’Allah te salue ô Gabriel »,

Elle comprit que Gabriel était présent.

Gabriel dit au prophète : « L’ange de la mort demande la permission d’entrer »

Le prophète lui accorda la permission.

L’ange de la mort vint près du prophète et dit :

Allah te donne le choix entre la vie ici-bas et Sa rencontre ?

Le prophète répéta :

Avec le compagnon Le plus Élevé (Allah) , Plutôt Sa rencontre….

L’ange se mit derrière la tête du prophète (psl), puis dit :

Ô toi, âme apaisée,

âme de Mohamed ibn Abdillah, psl, retourne vers ton Seigneur,

satisfaite et agréée.

Aicha sentant la tête du prophète alourdie dans ses bras comprit que c’était fini,

Le prophète, psl, est mort.

Elle fut prise d’une terrible panique,

Ne sachant quoi faire,

Elle remit la tête du prophète sur le lit

Et s’élança hors de sa chambre en s’écriant :

« Le prophète est mort,

le prophète est mort !»

Toute la mosquée explosa en sanglots !

Ali (rd),

voulait se lever

mais n’en eut pas la force,

il était comme paralysé

Outhman (rd)

allait

et venait

ne sachant quoi faire

Omar (rd)

brandissait son épée

et s’écriait au milieu de la mosquée :

je couperai la tête à celui qui ose dire que le prophète, psl, est mort ! Il est simplement

parti rencontrer Allah comme Moïse et il

reviendra…

Le seul qui garda son sang froid fut Abu Bakr, rd,

il entra voir le prophète,

lui découvrit le visage

et l’embrassa sur son front.

Puis il le serra affectueusement dans ses bras

et dit en pleurant :

Ô mon ami,

ô mon prophète,

ô mon bien aimé…

Ô Prophète bien aimé,

parfumé (Tibta)

et illiuminé

vivant

et mort...

Ensuite il retourna dans la mosquée et dit à haute voix :

Ô gens, Celui qui adorait Muhammad,

certes Muhammad est mort ;

et celui qui adorait Allah,

certes Allah est Vivant et ne meurt point »

Et il récita le verset :

Certes, Muhammad n'est qu'un messager – parmi

d’autres messagers qui sont passés avant lui -.

S'il mourait, donc,

ou s'il était tué,

retourneriez-vous sur vos talons?

Quiconque retourne sur ses talons ne nuira en rien à Allah;

et Allah récompensera bientôt les reconnaissants.

Verset 144, Al-Imran

Anas a dit,

le jour ou le prophète psl

vint au monde

tout avait été illuminé,

et le jour de sa mort

(un lundi, à 63 ans)

tout s’est assombri.

On lui a dit :

Que Souhaites tu Anas ?

Il répond, Rien de ce bas monde,

Mais de le rencontrer dans l’Au-delà et je lui dis ton petit serviteur Ounaiss,

et il me reçoit tout content et il me dit viens Anas et entre au paradis...

Oumou Ayman, s’est mise à pleurer

Abu Bakr & Omar Rd lui demandent :

Qu’est ce qui te fait pleurer ?

Elle répondit,

Je sais que le prophète psl allait mourir,

mais je pleure car la révélation a cessé suite à sa mort....

Ce fût la journée la plus triste qu’ait connu la Médine.

Au moment du Adane (appel à la prière) du Fajr,

BILAL (rd) se mit à pleurer quand il prononça le mot Mohamad Messager d’Allah.

Tous les fidèles furent encore plus peinés,

au point qu’Oumou Salama, rd, mère des croyants,

dit à ce sujet,

Ce fut un grand malheur après lequel tous les malheurs sont supportables, suite au rappel de la mort du prophète psl.

Quatre choses vous aideront à aimer profondément le prophète (psl) :

Beaucoup prier pour lui ;

Étudier sa Sunna ;

Suivre sa Sunna et son modèle;

Visiter sa ville ;

Prêcher pour la foi et l’amour de Dieu.

Ali (rd) a décri le prophète ainsi :

Il n’était jamais grossier dans ses paroles ni dans ses actes

Il détestait l’indécence

Jamais il n’élevait la voix en public

Il ne répondait pas à une mauvaise action par une autre

Il était indulgent et savait pardonner et jamais il n’a frappé de ses mains qui que soit, sauf quand il combattait pour la cause de Dieu.

Jamais il n’a battu un esclave, ni une femme

Jamais il n’a été injuste envers une personne qui respectait les limites imposées par Dieu

Il ne se mettait pas en colère et quand on lui proposait un choix, il optait pour le plus facile à condition que cela ne mène pa à un péché.

Quand il rentrait chez lui,

il se comportait simplement, comme tous les êtres humains.

Il dépouillait ses vêtements,

Trayait sa brebis,

S’occupait de ses besoins

Jamais il ne se levait ni ne s’asseyait avant d’avoir invoqué Allah

Quand il était avec les gens, il leur tenait compagnie jusqu’à la fin de l’assemblée ou bien il levait la séance

Lorsqu’il était avec des gens, à chacun il accordait tant d’intérêt que tout le monde se croyait mieux considéré que les autres.

Lorsque quelqu’un venait traiter avec lui, il avait tellement de patience que la personne qui vient le voir était toujours la première à repartir

Quand à ceux qui venaient lui adresser une prière, ils ne repartaient jamais les mains vides, ne serait ce qu’avec des paroles douces.

Tout le monde prit tellement l’habitude de sa clémence et de sa simplicité qu’il devint bientôt un père pour tous et tous les fidèles étaient égaux devant lui.

Sa compagnie était une assemblée de science, de pudeur et de loyauté.

C’était l’homme le plus généreux, le plus véridique dans ses paroles, de la nature la plus souple, et la personne de la meilleure compagnie.

Ceux qui le fréquentaient et le connaissaient l’aimaient et l’estimaient.

Jamais on ne vit avant lui,

ni après lui un homme qui lui ressemblât.

Ma mission est de parfaire les valeurs humaines

La balance la plus forte du croyant dans l’Au-delà est le noble comportement

Grasphisme:Salwa Chraibi

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