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Jublains,ville romaine
laissez-vous conter
Villes et Pays d’art et d’histoireLe Pays Coëvrons-Mayenne
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A l’extrémité d’un plateau
Jublains se trouve à l’extrémité sud-estd’un plateau au sommet bombé. Placé enrupture de pente, le site domine le bassind’Évron d’environ 40 m. L’horizon estfermé à l’est et au sud-est par une chaînede hautes collines dont les éléments les plusélevés sont le Montaigu, le Mont Rochard,et la butte de Sainte-Suzanne. Une modestevallée, occupée par le ruisseau du Moulin-Neuf, sépare le bourg du village de Doucé,situé à 1,3 km. Le nord et l’ouest n’offrentaucune visibilité car le sommet du plateauest plus élevé d’une dizaine de mètres etforme une barrière.
Un sous-sol granitique
La ville antique repose sur un sol graniti-que. Ce granite à gros grain a fourni l’es-sentiel des matériaux durables pour laconstruction des murs et des voies. Desdépôts d’argile et de sable se trouvent dansla plaine, jusqu’au ruisseau de Bias. LesGallo-Romains ont également fait appel àun grès gris clair à grains grossiers pour laplupart des constructions. Il fut utilisé pourdes colonnes et pour le soubassement de lagrande muraille de la forteresse. À la fin duXIXe siècle, l’ouverture d’une carrière àPierre-Aiguë, sur la commune de Sainte-Gemmes-le-Robert, permit d’en déterminerla provenance. On y découvrit les tracesd’une exploitation ancienne et des fûts decolonne abandonnés.
Jublains ville romaine Situé à 35 kilomètres au nord de Laval, Jublains
l’antiquité, la ville de Noviodunum, capitale des
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ublains était, dans
ale des Diablintes. Carte de la Gaule, 1590
Cette carte d’Abraham Ortelius cherche à situer les peuples
gaulois mentionnés dans les textes antiques.
Elle comporte encore beaucoup d’erreurs.
Elle place les Diablintes dans le Finistère.
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Statère diablinte
(Musée archéologique de Jublains)
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La naissance de Noviodunum
Avant la conquête de la Gaule par lesRomains, la région de Jublains apparte-nait aux Diablintes, un groupe de lanation des Aulerques qui s’étendait de laSeine au Massif Armoricain. Dès le IVe siè-cle avant J.- C., les Gaulois avaient édifiéun sanctuaire à Jublains, à l’extrémiténord de la ville antique. À la veille de laconquête, quelques habitats se trouvaientà proximité mais on ne peut pas encoreparler de ville. L’urbanisation du site com-mença vers le début de notre ère, notam-ment à partir du règne de Tibère (14-37).L’agglomération prit le nom deNoviodunum (« Ville Neuve ») et des
artisans s’y installèrent.s’agissait d’un habitat dschéma d’urbanisme pr
Une capitale de cité
La Gaule fut organisée Auguste (27 av. J.-C. - cités, sortes de micro-étrespondant aux principlois. Noviodunum devincité des Diablintes, qui deux tiers de la Mayennl’Orne. Les magistrats sforum, cœur de la ville.locaux, Orgétorix, offricité.
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Fresque du temple. Pigeon
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Enfants devant la forteresse(Gravure. XVIIIe siècle. Baron de Wisme)
stallèrent. Au départ iln habitat diffus et sansanisme préalable.
de cité
organisée par l’empereurav. J.-C. - 14 ap. J.-C.) ene micro-états autonomes cor-ux principaux peuples gau-num devint le chef-lieu de laintes, qui s’étendait sur lesla Mayenne et le sud deagistrats se réunissaient aude la ville. L’un des notablesorix, offrit un théâtre à sa
Une capitale
disparueAu IIIe siècle, l’empire
traversa une crise quiculmina dans lesannées 260-285. La Gaule fut périodi-quement envahie par des Germains.
Des paysans se révoltèrent contre la pres-sion fiscale. Ils incendièrent et pillèrentdes villes. Un bâtiment fortifié existant àJublains fut entouré d’un rempart de terrepuis il devint une véritable forteresse avecla construction de remparts extérieurs enpierre, restés inachevés. Mais la ville étaiten déclin. Elle perdit son statut de chef-lieu au Ve siècle, lorsque la cité desDiablintes fut rattachée à celle desCénomans : c’est l’origine du Maine, dont la capitale était Le Mans. Au débutdu moyen âge, certains quartiers étaientoccupés par des cimetières. La ville subsista néanmoins jusqu’à l’époque carolingienne. Elle disparut au début du Xe siècle, quand un nouveau lieu de pouvoir s’affirma, à 10 km de là : à Mayenne où un palais réutilisa des pierres venues de Jublains.
Cruches
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Le projet d’urbanisme
Dans la seconde moitié du Ier
siècle après J.- C., les habitantsentreprirent de grands travauxqui transformèrent l’aspect dela ville. Ils commencèrent parremplacer le vieux temple gau-lois par un monument de pier-res, vers 66-68. Le théâtre s’im-planta à l’extrémité sud, auflanc du plateau, à 800 m dutemple. Entre ces deux monu-ments, les rues adoptèrent unetrame géométrique couvrant 25 ha et découpant l’espace en îlots rectangulaires. Deuxautres monuments occupentl’axe nord-sud de la ville : leforum et les thermes. Un bâtiment fortifié fut construit en bordure de l’agglomération. Le projeturbain, mis en œuvre dans ses grandeslignes, ne fut jamais totalement achevé.
NoviodunumLa première agglomération se déve-
loppa sans schéma préconçu. La ville
qui se métamorphosa à la fin du 1er
siècle après J.-C. adopta tous les prin-
cipes d’urbanisme et les équipements
des villes romaines.
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Un monument composite
Cet ensemble fortifié n’a pas été construiten une seule fois. Il résulte de l’additionde trois éléments emboîtés : un bâtimentcentral, puis un rempart en terre précédéd’un fossé et d’une muraille périphérique.Au cour de ces transformations, il est possible que sa fonction ait évolué.
Le bâtiment central
Construit peut-être vers 200 après J.-C., le bâtiment central se compose d’une vastesalle à cour centrale , dotée d’un étage,et de quatre tours carrées au angles . Il s’accompagne de deux petits bâtimentsde bains . L’épaisseur des murs et lesystème de verrouillage des portes par desbarres de bois donnent un caractère défen-sif à l’édifice. À ce jour, les archéologuesne savent toujours pas s’il s’agissait d’unentrepôt civil ou d’un fortin. Des étudesrécentes laissent envisager une présencemilitaire dans la région dès le Ier siècle.
Le rempart en terre
Initialement doté d’un large fossé, il a étéréalisé vers 290 dans un contexte de trou-bles. La multiplication des trésors enfouisà cette époque montre les inquiétudes despopulations face aux rumeurs d’invasion,
aux actes de piraterie leManche ou aux révolte
Le rempart en pierre
La reprise en main sousDioclétien, qui réorgantituant la Tétrarchie (depour gouverner l’Occidpour gouverner l’Orienle début de la constructla muraille périphériquepeut-être de transformevéritable forteresse militaillement des camps qusur les côtes de la Man
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La forteresseLa forteresse gallo-romaine est le monument le plu
Jublains, le mieux conservé, mais aussi celui qui po
problèmes d’interprétation.
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piraterie le long de laux révoltes paysannes.
en pierre
main sous l’empereurui réorganisa l’empire en ins-rarchie (deux souverainser l’Occident, deux autreser l’Orient), coïncida avec construction, vers 295, deriphérique. L’objectif étaitransformer le site en uneeresse militaire pour le ravi-
camps qui s’établissaientde la Manche, afin de lutter
contre les pirates saxons. Toutefois, à lasuite d’un changement de projet, les tra-vaux furent abandonnés avant l’achève-ment de cette muraille. La forteresse futdésertée au IVe siècle, tandis que la ville de Jublains s’enfonçait dans le déclin.
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Des thermes…
Les thermes ont été construits vers la findu Ier siècle. Ils occupent l’un des îlotsdans l’axe de la ville ; leur constructionsuccèda donc à la mise en place de latrame urbaine. Monument marquant de laville et symbole de la romanisation, ilsconstituaient un lieu d’hygiène, de sport,de thérapeutique mais aussi de vie civiqueet culturelle. Le complexe monumentalétait délimité par des portiques, des bouti-ques et des salles aux fonctions variées ;lecture, entraînement au pugilat, etc. Lebâtiment des bains est au centre de cetensemble. L’utilisateur y pénétrait par unecour d’entrée. Ayant laissé ses vêtementsau vestiaire et traversé la salle des bainsfroids, puis la salle tiède, il allait transpi-rer dans une étuve et se laver dans lesbains chauds. Enfin, revenant sur ses pas,il se baignait dans les bains froids. La suc-cession des bains froids aux bains chaudsrésulte d’une utilisation des thermes défi-nitivement établie vers 80 après J.-C.
… À l’église
Après 350, le christianisme pénétra dansl’Ouest, d’abord dans les villes. Vers le Ve
siècle, les thermes de Noviodunum, inuti-lisés, furent transformés en église. Enabattant les cloisons et en bouchant lesbassins, les fidèles obtinrent une salleallongée répondant mieux à leurs besoins
liturgiques que les tempn’avaient jamais été desune assemblée de fidèlecours des siècles, l’églismaçonneries gallo-romamètres de hauteur jusqusa reconstruction totaleromain ne subsistent domurs et les parties en crhypocaustes (dispositifspar le sol).
Les thermesConstruits au moment des transfor-
mations de la ville, ils se trouvent
aujourd’hui sous l’église
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e les temples païens quiais été destinés à contenire de fidèles. Modifiée aules, l’église a conservé desgallo-romaines sur plusieursuteur jusqu’en 1877, date detion totale. Du bâtimentbsistent donc que la base desrties en creux, bassins oudispositifs de chauffage
Le don d’Orgétorix à sa cité
Le théâtre occupe le flanc du plateau surlequel s’étendait la ville. Il profite ainsid’une pente naturelle, complétée sur lescôtés par des remblais, ce qui permettaitau spectateur de dominer la scène. Uneinscription exposée au musée nous révèleque le théâtre a été offert à la cité par unparticulier : Orgétorix, sans doute unriche Diablinte, membre de l’ordre desdécurions qui administrait la cité. Lesnotables antiques justifiaient leur pouvoirpar des cadeaux à la collectivité. De planelliptique, le théâtre d’Orgétorix se distin-gue des modèles classiques romains,notamment par l’absence d’un mur descène, remplacé par un petit bâtimentdemi-circulaire. Il est caractéristique decertains monuments construits en Gauleau Ier siècle après J.- C.
Le théâtreIl marquait la limite méridionale de
ville. Deux constructions se sont suc
cédées à cet emplacement
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Salle des bains froids
Premier état du bains froid
Deuxième état du bain froid
Bassin annexe
Salle tiède
Pilettes de l’hypocauste
Témoin du sol suspendu
Étuve
Tombe du haut moyen âge
Constructions sous la place
Salle des bains chauds
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Le don d’Orgétorix à sa cité
Le théâtre occupe le flanc du plateau surlequel s’étendait la ville. Il profite ainsid’une pente naturelle, complétée sur lescôtés par des remblais, ce qui permettaitau spectateur de dominer la scène. Uneinscription exposée au musée nous révèleque le théâtre a été offert à la cité par unparticulier : Orgétorix, sans doute unriche Diablinte, membre de l’ordre desdécurions qui administrait la cité. Lesnotables antiques justifiaient leur pouvoirpar des cadeaux à la collectivité. De planelliptique, le théâtre d’Orgétorix se distin-gue des modèles classiques romains,notamment par l’absence d’un mur descène, remplacé par un petit bâtimentdemi-circulaire. Il est caractéristique decertains monuments construits en Gauleau Ier siècle après J.- C.
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Le sanctuaire de la cit
Sa reconstruction débutse poursuivit jusque verSitué aux portes de la vde vastes proportions édes Diablintes : ici se pprincipal de la cité, peuculte impérial.
Une divinité indigène
dans un temple classiq
L’enceinte (ou péribole)de 78 m de côté. À l’intportiques constituent uentourant l’aire sacrée, ple qui abritait la statupériptère*, il s’élève suradopte l’ordre corinthiements de statue ont étéIls représentent la Déestraits d’une femme assiteuil. Cette divinité appthéon celtique mais on l’assimilait sans doute àlatine durant l’époque g
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ont suc-
Le templeEn 66-68 après J.-C
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Pourtour du deuxième théâtre
Pourtour du premier théâtre
Couloir d’accès ou vomitoire
Emplacement des gradins
Aire de spectacle du deuxième théâtre
Orchestra du premier théâtre
Stèle de l’âge du fer
Bâtiment de scène du premier théâtre
Angle sud-est du deuxième théâtre
(partie la mieux conservée)
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Le deuxième théâtre
À une date inconnue (peut-être la secondemoitié du IIe siècle), le théâtre fut recons-truit au même endroit. Plus vaste que leprécédent, le nouveau bâtiment adoptaune forme semi-circulaire. Il comprendaussi une aire très vaste, entourée par unepalissade de bois et destinée aux specta-cles. Peut-être ces derniers ont-ils évolué :à côté des représentations théâtrales pro-prement dites, se développèrent les com-bats des gladiateurs, des chasses, etc.
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Le sanctuaire de la cit
Sa reconstruction débutse poursuivit jusque verSitué aux portes de la vde vastes proportions édes Diablintes : ici se pprincipal de la cité, peuculte impérial.
Une divinité indigène
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L’enceinte (ou péribole)de 78 m de côté. À l’intportiques constituent uentourant l’aire sacrée, ple qui abritait la statupériptère*, il s’élève suradopte l’ordre corinthiements de statue ont étéIls représentent la Déestraits d’une femme assiteuil. Cette divinité appthéon celtique mais on l’assimilait sans doute àlatine durant l’époque g
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Le deuxième théâtre
À une date inconnue (peut-être la secondemoitié du IIe siècle), le théâtre fut recons-truit au même endroit. Plus vaste que leprécédent, le nouveau bâtiment adoptaune forme semi-circulaire. Il comprendaussi une aire très vaste, entourée par unepalissade de bois et destinée aux specta-cles. Peut-être ces derniers ont-ils évolué :à côté des représentations théâtrales pro-prement dites, se développèrent les com-bats des gladiateurs, des chasses, etc.
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e de la cité
tion débuta vers 66-68 et jusque vers les années 120.tes de la ville, ce monumentportions était le sanctuaires : ici se pratiquait le cultea cité, peut-être associé au.
indigène
ple classique
péribole) forme un carré ôté. À l’intérieur, quatre stituent une sorte de cloîtrere sacrée, où se situe le tem-it la statue divine. De plans’élève sur un podium ete corinthien. Des frag-ue ont été retrouvés.nt la Déesse-Mère sous lesmme assise dans un fau-vinité appartient au pan-e mais on ns doute à une déessel’époque gallo-romaine.
Péribole
Entrée occidentale
Portique intérieur
Le temple
Structure du podium
Escalier
Puits
Bâtiment pour les ablutions
Bassin demi-circulaire
Entrée orientale
mpleprès J.-C., sa reconstruc-
oint de départ de la
ion du paysage urbain.
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* Périptère :
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abritant la statue est
entourée par une
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sur ses quatre faces.
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Renseignements
Pays d’art et d’histoireChâteau de Sainte-Suzanne
1, rue du Château
53270 Ste-Suzanne
tél. 02 43 68 83 90
Courriel :
coevrons-mayenne@cg53.fr
Musée de Jublains
13, rue de la Libération
53160 Jublains
tél. 02 43 04 30 16
Conception graphique LM communiquer.Photos : © Bertrand Bouflet Reporter et © Service départemental du patrimoine
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Laissez-vous conter Coëvrons-Mayenne, Pays d’art et d’histoire...
... en compagnie d’un guide-conférencier agréé par le ministère de la Culture
Le guide vous accueille. Il connaît toutes les facettes de Coëvrons-Mayenne et vous donne des clefs de lecture pour comprendre l’échelled’un paysage, l’histoire du pays au fil de ses villages.Le guide est à votre écoute. N’hésitez pas à lui poser vos questions. Le service animation du patrimoine
coordonne les initiatives de Coëvrons-Mayenne, Pays d’art et d’histoire. Il propose toute l’année des animations pour les habitants etpour les scolaires. Il se tient à votre disposition pour tout projet. Si vous êtes en groupe
Coëvrons-Mayenne vous propose des visites toute l’année sur réservation.
Coëvrons-Mayenne appartient au réseau national des Villes et Pays d’art et
d’histoire
Le ministère de la Culture et de la Communication, direction de l’Architecture et du Patrimoine, attribue l’appellation Villes et Paysd’art et d’histoire aux collectivités locales qui animent leur patrimoine. Il garantit la compétence des guides-conférenciers et des animateurs du patrimoine et la qualité de leurs actions. Des vestiges antiques à l’architecture du XXe siècle, les villes et pays mettent en scène le patrimoine dans sa diversité. Aujourd’hui, un réseau de plus de 120 villes et pays vous offre son savoir-faire sur toute la France.
À proximité,
Laval, Le Mans, Angers, Rennes, Vitré, Fougères, Nantes, Guérande,
Fontenay-le-Comte bénéficient de l’appellation Villes d’art et d’histoire ;
le Perche Sarthois et la Vallée du Loir bénéficient de l’appellation Pays
d’art et d’histoire.
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