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Albus Commère Le journal pour les lycéens par les lycéens

- Astuces plantes de chambre : page 15-16 - Les outils d’une bonne musique : page 17 - Les sorties à distance de films et séries et bien d’autres : page 18-19 - Point histoire : La vérité sur le communisme de l’URSS : page 20-21 - Les préjugés féministes : page 22-23 - Dernière touche poétique : page 24

Rédacteurs en chef du journal : Léo MONTACLAIR-COLLETER Aziliz SAUVAGE

Le journal du lycée ouvre ses portes, et VOUS êtes les bienvenus !

26/03/2021

Dessin de Stéphane Torossian

- Qui est Arsène Lupin, le voleur héroïque ? : page 8 - La nouvelle génération, création et continuité : page 9-10 - L’astrologie pour les nuls: page 11-12 - Recettes de cuisine facile pour les étudiants actuels ou futurs: page 13-14

- Interview avec un ingénieur en opération spatiale : page 2-3 - Astuces et conseil « seconde main » : page 4 - Présentation des « éco-délégués » + hôtels à insectes : page 5, 6-7

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Interview avec un ingénieur en opération spatiale 

L’industrie spatiale regroupe tout ce qui traite de l’espace comme la fabrication de véhicules spatiaux et d’équipements spécialisés tels que des simulateurs de vol et des stations pour satellites. Nous avons pu interviewer Benjamin Breyer, un ingénieur en opérations spatiales afin qu’il nous parle de son métier hors du commun.

Quel est votre métier ?

Je suis ingénieur en opérations spatiales. Concrètement, il s'agit d'une sorte de pilote de satellite, dont le rôle est de donner les ordres nécessaires au bon fonctionnement de la mission, et surveiller la santé du satellite en orbite.

Quelles sont vos activités / missions principales ?

Mes activités principales sont divisées en deux parties : Avant le lancement d'un satellite, je m'occupe de la préparation des opérations en mission. Cela consiste à concevoir les procédures à utiliser en vol, que ce soit pour le déroulement normal de la mission ou pour résoudre les cas de panne du satellite. Il faut également préparer la séquence globale des opérations, depuis le lancement jusqu’à la fin de la mission et la fin de vie du satellite.

Après le lancement, je surveille le satellite en vol grâce à la remesure qu'il transmet vers la Terre, et je lui transmets des commandes depuis des stations sol pour lui faire accomplir sa mission. Tout cela est fait selon le plan défini pendant la préparation avant le vol. En cas de problème sur le satellite, un ingénieur aux opérations est en première ligne pour mener une investigation dessus et le résoudre aussi vite que possible.

Où travaillez-vous ?

Je travaille à Oxford, au Royaume-Uni. Mon lieu de travail est situé sur le campus de Harwell, un technopôle consacré au secteur spatial principalement. Avec l'épidémie de covid-19, je travaille surtout depuis chez moi, mais je passe de temps en temps au bureau pour profiter du centre de contrôle.

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Quels sont les avantages du métier ?

Avantages : on touche à tous les aspects d'un satellite pendant l’intégralité de la préparation des opérations et des phases de mission et, une fois qu’il est lancé en orbite, on joue un rôle primordial pendant toute sa durée de vie. C'est un métier passionnant et central pour une mission spatiale, ce qui fait qu'on peut en apprendre énormément. Humainement, on est en contact avec toutes les équipes, que ce soient les ingénieurs qui conçoivent le satellite, les responsables de la mission, ou les ingénieurs du segment sol.

Et inconvénients ?

Inconvénients : une fois la mission commencée, il faut surveiller le satellite en permanence, ce qui implique du travail de nuit en début de mission, puis des périodes d'astreinte pendant les phases suivantes. Au cours de ces périodes, il faut être joignable constamment et rester à une heure en voiture du centre de contrôle. A cela s’ajoute la pression d’être responsable de la santé d’un satellite qui coûte plusieurs dizaines de millions d’euros, et qui a demandé les efforts de dizaines, voire de centaines de personnes !

Quelles sont les qualités requises ?

Une bonne gestion du stress et de la pression est nécessaire pour prendre des décisions rationnelles à des moments critiques, sur des sujets techniques pointus. Une excellente connaissance de tous les aspects techniques d'un satellite est primordiale, ainsi qu'un bon sens du détail et une grande rigueur, de façon à penser à tous les cas d'erreur possible, et détecter la moindre anomalie.

Quelles sont les perspectives d'évolutions/promotions ?

Au sein de l’équipe des opérations, un ingénieur peut monter en responsabilité et superviser des contrôleurs de vol, qui sont des techniciens consacrés aux opérations spatiales. Il est possible de devenir manager des opérations et s'occuper de l'organisation globale des opérations spatiales.

Si l'on veut se réorienter dans le domaine spatial, il est plutôt aisé de le faire depuis l’équipe des opérations, car on touche vraiment à tous les aspects techniques d'un satellite dans ce métier. On peut ainsi passer à la conception de sous-systèmes tels que le contrôle d'attitude, les télécommunications, l'aspect thermique, etc.

Quelles études avez-vous faites?

Après un bac S, j'ai passe deux ans en classe préparatoire scientifique (MPSI-MP pour être précis) au lycée Jeanne d'Albret de Saint Germain en Laye. J'ai ensuite passé les concours d’entrée aux grandes écoles d’ingénieur et ai obtenu d’étudier à l'ISAE-SUPAERO (Institut Supérieur de l’Aéronautique et de l'Espace) à Toulouse. Là-bas, j'ai été formé durant trois ans à l’ingénierie aéronautique et spatiale. D'autres écoles d’ingénieurs permettent cependant de travailler ensuite dans le secteur spatial, bien sûr.

Était-ce difficile ?

La classe prépa était difficile car on demande beaucoup de travail en classe et personnellement, sur des sujets difficiles et très théoriques, avec beaucoup d'abstraction. Les concours demandent une excellente préparation et un rien de chance, ce qui fait qu'on risque de ne pas tomber sur l’école d’ingénieurs qu'on souhaite.

Après la classe prépa, l'ambiance en école d’ingénieurs était beaucoup plus détendue, mais il faut encore beaucoup travailler, que ce soit en cours ou sur son temps personnel. Il y a beaucoup de projets techniques à faire en groupe, et on touche beaucoup plus au métier d’ingénieur de façon concrète à mesure qu'on avance dans ses études.

Un article d’Aurore BOTTON

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Le neuf peut aller se rhabiller ! Envie de nouveaux vêtements, envie de changer de style, de suivre les nouvelles tendances mais il y a un souci…

Les vêtements coûtent cher et sont très vecteurs de pollutions !

Nous avons sûrement trouvé la solution : la seconde main. Ce processus qui est l'achat ou l'acquisition de produits ayant déjà servi connaît une grande expansion ces dernières années. En effet ces dernières années la consommation par le biais de la seconde main a augmenté de 24 % depuis 2009 pour atteindre aujourd'hui 39% d'adeptes. Selon l'Institut français de la mode, le marché de l'occasion représente 1 milliard d'euros en France !

Ce mode de consommation est poussé par différentes motivations.

Tout d'abord l'aspect économique donne son attractivité à ce mode d'achat. En effet en achetant en seconde main le coût des produits, des articles baissent largement par rapport au prix d'achat de base. Nous pouvons même trouver moins cher sur certains sites des vêtements encore vendus dans les grandes enseignes !

Cette évolution de la consommation est également due aux nouvelles préoccupations de notre société et notamment la question environnementale. Nous vivons aujourd'hui dans un monde qui valorise le côté écologique, le non-gaspillage… Grâce à la seconde main, les objets ne sont donc pas jetés mais réutilisés, ce qui permet de diminuer les déchets.

Nous pouvons également noter que, dans le domaine de la mode, la seconde main permet de s'adapter à la tendance actuelle qui tire un petit peu vers le vintage. Les particuliers ont donc l'occasion de ressortir de vieux habits qui redeviennent à la mode. Ils les vendent moins cher qu'en magasin ce qui tourne la population vers ces achats là.

De nombreuses boutiques et de nombreux sites ont été développés pour permettre cette vente entre particuliers. Tout d'abord Vinted qui a été créé en 2008 et comptabilise aujourd'hui plus de 37 millions d'utilisateurs. Chacun peut y mettre en vente des habits à prix bas et y acheter aussi les articles d'autres utilisateurs. Les utilisateurs de Vinted représentent 56% des acheteurs de seconde main. Emmaüs a également lancé un site dit solidaire : Trëmma. On peut y retrouver des aspects de Vinted mais il y a une différence marquante, les vêtements ne sont pas vendus mais donnés. Il suffit de poster une annonce par rapport à un article dont on veut se séparer et ensuite de sélectionner un projet de solidarité qu'on souhaite soutenir. L'argent reviendra à ce projet. Cela permet d'encourager les dons et de créer des emplois car les personnes mettant en ligne les objets qui sont vendus sont en insertion professionnelle.

Nous sommes aussi allés à la visite d'un magasin qui vient d'ouvrir à Nantes : Troc et Chic. Ce magasin se trouvant 10 Rue Kléber, à Nantes, vient tout juste d'ouvrir. Nous pouvons y trouver toutes sortes d'articles de mode que ce soit des bijoux aux chaussures. On peut à la fois y déposer nos anciens vêtements pour les vendre et en récupérer 55% du prix ou acheter soi-même des vêtements !

En conclusion la seconde main a connu une grande expansion ces dernières années. Cela est dû aux changements des motivations de chacun dans le mode de consommation et à l'ouverture de plateformes ou magasins permettant ce type d'achat.

TROC ET CHIC 10 rue Kléber – 44000 Nantes 02 40 69 13 95. Du mardi au samedi : 10h30/13h – 14h/19h.

Un article de Capucine DUMONT

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Le saviez-vous — Les éco-délégués Un article en écriture inclusive (pour plus d’infos voir l’article « Actu ciné »)

Eco-délégué(e)s :

Dans votre lycée Albert Camus vous avez ce qu'on appelle des éco-délégué(e)s. Il y a un représentant dans chaque classe, à chaque niveau. Tous les ans en septembre vous avez la possibilité de vous engager sur l'année. Vous êtes tous.tes les bienvenu(e)s qui que vous soyez dans le lycée (élèves, professeurs, assistants pédagogiques, personnels, etc).

Mais qu'est ce que c'est qu'un éco-délégué(e) ? Un éco-délégué(e) est à la fois un éco-pilote et un ambassadeur des projets pédagogiques menés au sein de votre lycée. Iel participe au comité de pilotage des projets, informe ses camarades sur les avancements et les poussent à s'y engager.

Les projets des éco-délégué(e)s 2020-2021 :

Récolte du papier dans chaque classe de l'établissement afin qu'il soit recyclé

Récolte des masques afin d'être recyclé en plastique pour être ré-utilisé par la suite

Sensibilisation cinématographique

Récolte des fournitures afin d'être recyclé

Poubelles jaunes (recyclables) et bleues (papiers)

Panneaux d'affichages

Ramassage des déchets devant le lycée

Un Hôtel à insecte

Un article de Sarah LARDEUX

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Les Hôtels à Insectes

Les insectes en voie de disparition :

Plus de 40% des espèces d'insectes sont en déclin dans le monde et un tiers d'entre elles sont en voie de disparition. Les insectes pourraient disparaître de la surface de la Terre d'ici 100 ans, d'après un vaste méta-étude publié en février 2019. Les populations d'insectes ont diminué de 2,5% par an, en moyenne, sur ces 30 dernières années. Leur taux d'extinction est 8 fois plus élevé que chez les mammifères, les oiseaux ou les reptiles.

Pourquoi ?

La principal raison est la perte de l'habitat causé par une agriculture intensive, par l'urbanisation, par la pollution (pesticides et fertilisants principalement), par les maladies et le changement climatique

Conséquence ?

De toute évidence la biodiversité est atteinte et cela est la principale inquiétude. Mais c'est surtout le fait qu'ils sont les principaux pollinisateurs pour les plantes. Ils sont à la base de la chaîne alimentaire. Ainsi leur raréfaction cause un danger direct pour les oiseaux, les amphibiens (vertébrés tétrapodes) ou reptiles.

Bonne nouvelle ?

Certaines espèces d'insectes ont de meilleures capacités d'adaptation que d'autres et celles-ci sont en hausse.

Solution ?

L'hôtel à insectes, appelé aussi nichoir à insectes, est un dispositif qui vise à faciliter la survie d'insectes et d'arachnides, notamment dans des écosystèmes où la pollinisation et la biodiversité sont recherchées. Par exemple le jardin potager, le verger etc.

Ce qu'il faut savoir avant d'installer un hôtel à insectes dans un jardin :

Cette construction permet aux insectes de passer l'hiver et ou de pondre des œufs en été. Il complète les abris naturels que peuvent déjà trouver les insectes dans le jardin (tas de pierres, bois morts, troncs et écorces, branches, souches, y compris les petites branches mortes sur les arbres sains...).

Un article en écriture inclusive (pour plus d’infos voir l’article « Actu ciné »)

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Quels matériaux pour mon Hôtel à insectes ?

Paille ou bois : un matériau qui pourra accueillir des chrysopes dont les larves se nourrissent de bien des parasites (pucerons, cochenilles farineuses, mouches blanches, œufs d'acariens, etc.)

Tiges de bambous : un matériau qui pourra servir d'abri aux osmies, abeilles solitaires qui pollinisent les premières fleurs des arbres fruitiers dès le mois de Mars.

Pots de fleurs retournés et remplis de foin : cela attire les perce-oreilles qui aiment les nuisibles comme les pucerons.

Planchettes de bois : des xylophages viendront s'y loger et participeront à la décomposition du bois mort.

Bûches percées : un abri très convoité par les pollinisateurs comme les abeilles ou les guêpes solitaires dont les larves se nourrissent de pucerons.

Briques : appréciées des osmies (abeilles solitaires).

Planchettes bien rapprochées et abritées : elles attirent les coccinelles qui viennent y passer l'hiver. Leurs larves consomment énormément de pucerons.

Un article de Sarah LARDEUX

Construction : Etape 1 : Repérez des matériaux naturels pour constituer le refuge des insectes : rondins de bois, briques, paille, tiges de bambou. Il faut choisir des matériaux locaux de préférence qui offrent des trous plus ou moins gros pour correspondre aux différentes préférences des insectes. Etape 2 : Fabriquez l'ossature en bois en la renforçant suffisamment pour porter un poids important. Privilégiez du bois résistant : douglas, mélèze, châtaignier... Ménagez la taille de vos espaces en fonction du volume de matériaux dont vous disposez. Placez les matériaux les plus lourds en premier de préférence. Puis prévoyez une couverture imperméable pour la structure (toit en ardoises par exemple). Etape 3 : Installez l'ossature à son emplacement définitif avant de la remplir. Surélevez l'ensemble d'environ 20 cm pour maintenir à l'abri de l'humidité et ou d'un potentiel animal de compagnie qui risque de lever la patte sur votre jolie maison à insectes. Pensez à fixer votre structure au risque qu'elle se couche à cause du vent (pieux enfoncés dans le sol, câble à un mur etc.) Etape 4 : Coupez vos matériaux selon la longueur désirée et remplissez chaque espace. Et voilà le tour est joué, vous obtenez un joli petit abri pour les petites bêtes. A vous de jouer !

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Qui est Arsène Lupin ?

Récemment, Netflix a sorti une nouvelle série : Lupin, Dans l’ombre d’Arsène, créée par George Kay et François Uzan. La série présente les aventures d’Assane Diop (joué par Omar Sy), jeune homme ayant perdu son père à cause d’un crime qu’il n’avait pas commis et cherchant à se venger. Grand fan d’Arsène Lupin, Assane s’en sert comme modèle pour réaliser sa vengeance... La série devient rapidement très populaire partout dans le monde, faisant plus de 70 millions de vues en moins d’un mois, et faisant un immense succès aux Etats-Unis. De plus, un effet secondaire a été de relancer la célébrité du personnage Arsène Lupin. Mais qui est au juste Arsène Lupin ? Le personnage est créé par l’écrivain Maurice Leblanc, en 1905, dans le roman l’Arrestation d’Arsène Lupin, et devient rapidement très populaire auprès du public. Il affronte « Herlock Sholmès » et gagne dès sa deuxième aventure ; il vole la fortune des rois de France dans l’Aiguille Creuse, résout l’énigme de la dalle des rois de Bohème dans l’Île aux trente cercueils, et lutte contre la comtesse de Cagliostro dans une petite dizaine d’aventures. A la fois cambrioleur et détective, anarchiste et patriote, Arsène Lupin est aussi un planificateur de génie, un maître du déguisement, et un expert en arts martiaux. Le personnage devint incroyablement populaire (en rendant même jaloux son auteur !), et fut adapté au théâtre (dans notamment Le retour d’Arsène Lupin), en feuilleton (Arsène Lupin joue et perd), en film (Les Aventures d’Arsène Lupin) … et il y a peu, en série Netflix.

Un article de Léo MONTACLAIR-COLLETER

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La nouvelle génération, source créative ou reprise des générations passées ?

On le sait de nos jours beaucoup de mouvements, de « nouvelles vagues » se créent mais alors cela est-il dû à notre génération, aux influences des années passées, une mode éphémère… ? Dans cet article nous verrons les différents courants passés qui a pu inspirer ceux de notre génération ! On commence avec un courant qui semble assez évident : celui des 70’s! Dans ces années, le monde rend compte d’une grande vague verte et féministe. Ces mouvements féministes nés principalement aux États-Unis (au Women's Rights Movement réformiste des années soixante succède en 1968, le Women's Liberation Movement, beaucoup plus radical), ces mouvements n'exposent plus seulement, comme les rassemblements précédents, des objectifs de lutte contre l'inégalité des sexes, mais s'efforcent aussi d'affirmer et de représenter la « différence féminine », différence, disent les féministes, de sexualité, de perception du corps, d'expérience et de langage, si bien que la question culturelle se trouve d'emblée au centre du mouvement. Certaines personnes estiment qu’aujourd’hui nous n’avons plus besoin du féminisme, mais rien ne saurait être moins vrai et encore actuel. Depuis des siècles, les femmes se battent pour l’égalité et contre l’oppression. Si sur certains fronts – comme le droit de vote et l’égalité d’accès à l’éducation –, les combats ont été remportés, les femmes restent affectées de manière disproportionnée par toutes les formes de violence et par la discrimination dans toutes les sphères de la vie.  Dans certains domaines et sur certaines questions, il y a effectivement eu des avancées : par exemple, en Arabie saoudite, pour la première fois en 2015, les femmes ont été autorisées à voter et à se présenter aux élections. Cependant, sur d’autres questions, force est de constater que les progrès sont minimes, voire inexistants : ainsi, les cas de violence contre les femmes n’ont diminué que de façon insignifiante ; les femmes continuent de toucher un salaire inférieur pour le même travail que les hommes, et ce, dans toutes les parties du monde ; il existe encore des pays qui sont dépourvus de législation contre le viol conjugal et qui autorisent les mariages d’enfants. Les blagues sur le féminisme et les stéréotypes sur les féministes continuent de circuler ; beaucoup d’entre elles sont même homophobes. Or, être féministe n’est pas propre à un sexe ou à un genre : il y a des femmes, mais aussi des hommes qui se considèrent féministes. Certaines de ces personnes sont gays ou lesbiennes, d’autres hétérosexuelles, bisexuelles ou transgenres, et d’autres encore s’identifient différemment. Le concept de féminisme couvre l’histoire de luttes différentes. Le terme a été interprété de façon plus complète et plus complexe au fur et à mesure que sa compréhension a évolué. D’une manière générale, le féminisme peut être considéré comme un mouvement visant à mettre fin au sexisme, à l’exploitation et à l’oppression sexistes et à réaliser la pleine égalité de genre en droit et en pratique.

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Il arrive que des personnes, des historiens décrivent les 70’s comme : L'âge d’or des luttes. Mais il n’y a pas que dans les années 70’s que des mouvements ont été utilisés pour continuer certaines luttes. Et l’on remarque que si les années 70’s ont été riches en mouvements sociaux c’est vers les années 60’s que les premiers combats se sont formés. Pendant l’Occupation ainsi que sous le régime de Vichy, les associations féministes déclinent en France. Mais à partir de 1955, la lutte reprend. Dans les années 60’s, les femmes reprennent confiance et continuent à se battre pour défendre leur droit à disposer de leur corps. Les mouvements féministes luttent alors contre l’oppression des femmes et la misogynie. Ils revendiquent aussi l’égalité de tous les droits entre les hommes et les femmes. ________________________________________________________________________________

- Il y a aussi d’autres mouvements autres que le féminisme qui à cette période prennent de l’importance en France. Les évènements de mai-juin 1968, ou plus brièvement Mai 68, caractérisent une période durant laquelle se déroulent, en France, des manifestations d'étudiants, ainsi que des grèves générales . Dans le pays, près de dix millions de personnes ont fait grève juste avant la négociation des accords de Grenelle qui actent un relèvement de 35% du SMIC, la révolte étudiante parisienne, ayant gagné le monde ouvrier et pratiquement toutes les catégories de la population sur l'ensemble du territoire, pour constituer le plus important mouvement social de l'histoire de France du xxe siècle.

_____________________________________________________________________________ Il serait alors trop long de vous faire une liste de tous les mouvements, français ou à l’échelle Internationale. Mais alors qu’en est-il du lien avec la nouvelle génération ? C’est maintenant qu’un simple rappel de la différence d’époque doit se faire. De nos jours les réseaux sociaux et plus généralement internet ont bousculé nos vies, nos codes en société. Mais dans cette nouvelle génération qui est née avec ces technologies les mouvements et combats se forment de plus en plus grâce aux réseaux sociaux et internet. Des combats ont pu prendre plus d’ampleur grâce à la radio et les médias télévisés ainsi que plus récemment les réseaux sociaux et même le fait de pouvoir faire des dons sans être sur le même continent, ce qui est une réelle révolution ! Des causes venues d’autres continents peuvent aujourd’hui être soutenues aux quatre coins du monde ce qui, en même temps que l’évolution de la population dans le monde, permet d’avoir une plus grande échelle au sein des associations, combats, etc. et alors peut amener à une visibilité qu’apportaient déjà les médias et internet. Bien que les causes à défendre soient toujours d’actualité, maintenant vous savez qu’une grande majorité d’entre elles s’inspire de légendes, de cultures, d’évènements historiques et qu’il y a un flambeau qui se passe de générations en générations pour continuer des luttes qui on l’espère n’auront plus besoin d’être, dans le futur ! Mais attention ce n’est pas parce que des mouvements peuvent s’inspirer de combats passés que cela fait une généralité puisque comme vous l’avez vu les époques varient et les problèmes dans nos sociétés avec, il y aura toujours de nouveaux mouvements qui se mettront en place et qui si le problème n’est pas résolu pourront en inspirer d’autres dans le futur et leur donner une continuité de propos et de valeurs à défendre !

Un article d’Aziliz SAUVAGE

Remontons dans le temps quelques instants :

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L’astrologie

“L’astrologie est une science en soi, illuminatrice. J’ai beaucoup appris

grâce à elle et je lui dois beaucoup. Les connaissances

géophysiques mettent en relief le pouvoir des étoiles et des planètes sur le destin terrestre. A son tour, en un certain sens, l’astrologie le renforce. C’est pourquoi c’est une

espèce d’élixir de vie pour l’humanité.” Albert Einstein

L’astrologie est un ensemble de systèmes de croyances qui est né grâce à l’observation des mouvements dans le ciel, en corrélation avec des événements terrestres. Etymologiquement, l’astrologie n’est qu’un “discours sur les astres”: elle s’intéresse principalement au soleil et aux planètes. Aujourd’hui on peut donner plusieurs sens au terme d’astrologie. En effet, certains astrologues considèrent leur pratique seulement capable de décrire des traits de personnalité d’un individu, tandis que d’autres pensent qu’elle permet de décrire la vie de chaque individu. En astrologie, le signe solaire permet de savoir la position du soleil en fonction du lieu de naissance et de la date de naissance. Le signe solaire peut être considéré comme le masque que nous aimons porter en société. Ensuite, il y a l’ascendant, c’est le signe zodiacal qui se lève à l’est, au lieu et au moment précis de la naissance. Il marque l’entrée de la première maison* (qui est également la plus importante). Elle donne à son porteur des caractéristiques précises : son tempérament, son apparence, la conscience qu’il a de lui-même, son comportement extérieur mais aussi la façon dont il est perçu par les autres.

Puis, nous avons le signe lunaire qui correspond à la position de la lune lors de notre naissance. Il façonne nos émotions, notre âme, nos pensées subconscientes, nos besoins les plus profonds, notre sensibilité. Le signe lunaire agit différemment en fonction du sexe de chaque individu. Ainsi, une femme est connectée à son signe lunaire depuis l’enfance alors qu’un homme c’est à partir de l’âge adulte qu’il sentira les effets de son signe lunaire.

Enfin, il existe le descendant. Le descendant montre la marque de séparation entre le jour et la nuit. Il va nous informer sur ce qu’il en est de nos relations (conjoint, associé, amis, ennemis, notre opposé...). L’objectif du descendant est donc de nous renseigner sur le type et la qualité de nos ententes, notre comportement avec les autres et nos partenaires qu’ils soient affectifs ou professionnels.

Pour conclure, nous avons remarqué qu’il existe un lien entre les phénomènes célestes et terrestres. L’astrologie tente d’associer la destinée des hommes et en trouver une cause. D’un côté, certains astrologues recherchent la précision, font des calculs et utilisent des outils informatiques. D’un autre côté, d’autres astrologues utilisent le ciel comme un outil de lecture symbolique. Ils partent du principe que tout a un sens et une signification. Des débats se forment à la suite de ce qu’engrange l’astrologie, qui n’est pas une science mais plutôt une croyance, où chacun serait libre d’émettre son hypothèse afin d’y trouver du sens ou non.

L’astrologie est un ensemble de systèmes de croyances qui est né grâce à l’observation des mouvements dans le ciel, en corrélation avec des événements terrestres. Etymologiquement, l’astrologie n’est qu’un “discours sur les astres”: elle s’intéresse principalement au soleil et aux planètes. Aujourd’hui on peut donner plusieurs sens au terme d’astrologie. En effet, certains astrologues considèrent leur pratique seulement capable de décrire des traits de personnalité d’un individu, tandis que d’autres pensent qu’elle permet de décrire la vie de chaque individu. En astrologie, le signe solaire permet de savoir la position du soleil en fonction du lieu de naissance et de la date de naissance. Le signe solaire peut être considéré comme le masque que nous aimons porter en société. Ensuite, il y a l’ascendant, c’est le signe zodiacal qui se lève à l’est, au lieu et au moment précis de la naissance. Il marque l’entrée de la première maison* (qui est également la plus importante). Elle donne à son porteur des caractéristiques précises : son tempérament, son apparence, la conscience qu’il a de lui-même, son comportement extérieur mais aussi la façon dont il est perçu par les autres.

Puis, nous avons le signe lunaire qui correspond à la position de la lune lors de notre naissance. Il façonne nos émotions, notre âme, nos pensées subconscientes, nos besoins les plus profonds, notre sensibilité. Le signe lunaire agit différemment en fonction du sexe de chaque individu. Ainsi, une femme est connectée à son signe lunaire depuis l’enfance alors qu’un homme c’est à partir de l’âge adulte qu’il sentira les effets de son signe lunaire.

Enfin, il existe le descendant. Le descendant montre la marque de séparation entre le jour et la nuit. Il va nous informer sur ce qu’il en est de nos relations (conjoint, associé, amis, ennemis, notre opposé...). L’objectif du descendant est donc de nous renseigner sur le type et la qualité de nos ententes, notre comportement avec les autres et nos partenaires qu’ils soient affectifs ou professionnels.

Pour conclure, nous avons remarqué qu’il existe un lien entre les phénomènes célestes et terrestres. L’astrologie tente d’associer la destinée des hommes et en trouver une cause. D’un côté, certains astrologues recherchent la précision, font des calculs et utilisent des outils informatiques. D’un autre côté, d’autres astrologues utilisent le ciel comme un outil de lecture symbolique. Ils partent du principe que tout a un sens et une signification. Des débats se forment à la suite de ce qu’engrange l’astrologie, qui n’est pas une science mais plutôt une croyance, où chacun serait libre d’émettre son hypothèse afin d’y trouver du sens ou non.

Citation pour illustrer l’article

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*Les maisons : il existe 12 maisons en astrologie représentant chacune un des “secteurs” de la vie (sa vie pratique et ses préoccupations journalières). Le tout formant un cycle dépendant de la rotation axiale de la Terre. Ce cycle des maisons est vraiment personnel à chaque individu.

Les 12 maisons :

Maison 1: L’ascendant, l’ego, la personnalité sociale apparente… Maison 2: Les possessions, les biens matériels, l’agent… Maison 3: La communication, les études primaires, les frères et sœurs… Maison 4: Le foyer, la famille, la vie privée… Maison 5: Les passions, les plaisirs, le jeu… Maison 6: Les obligations, les devoirs de la vie quotidienne… Maison 7: Les autres, l’union, l’association, le mariage, les ennemis Maison 8: Les choses cachées, la sexualité … Maison 9: La religion, les études supérieures, les voyages… Maison 10: La célébrité, le destin professionnel… Maison 11: Les amitiés, les objectifs, les projets collectifs… Maison 12: La solitude, le secret, la retraite, les maladies…

Un article de Emma COIFFARD

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Un petit creux ?

Ingrédients pour un croque :

-2 tranches de pain de mie

-1 avocat

-1 mozzarella

-1 tomate

-de l’huile d’olive

-du beurre

-sel & poivre

1)Découpez l’avocat et la tomate en morceaux et la mozzarella en tranches.

2)Chauffez une poêle à feu moyen.

3)Beurrez légèrement un côté des tranches de pain (le côté qui touchera la poêle).

4)Placez une première tranche dans la poêle.

5)Par-dessus, ajoutez l’avocat, la mozzarella et la tomate. Versez un peu d’huile d’olive et assaisonnez à votre guise.

6)Refermez le tout avec l’autre tranche.

7)Dès que le premier côté est doré ( environ au bout de 2-3 minutes), retournez et laissez cuire l’autre côté 3 minutes également.

(Faites attention à ne pas renverser les aliments en retournant votre croque-monsieur)

Nous vous proposons un menu facile, accessible et surtout délicieux ! Il sera parfait pour une entrée en matière dans la cuisine, en particulier pour les étudiants.

Recette croque-Monsieur mozzarella, avocat, tomate :

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1)Préchauffez votre four à 200°C et déposez du papier sulfurisé dans 6 moules à muffins.

2)Dans un saladier, mélangez le beurre et le sucre jusqu’à obtenir une consistance homogène. Ajoutez les œufs et continuez à mélanger pendant 5 minutes.

3)Faites fondre le chocolat et versez le dans le saladier. Ajoutez ensuite le cacao, la levure et la farine tous les trois tamisés ensemble ; puis les pépites de chocolat. Mélangez jusqu’à que tous les ingrédients soient incorporés dans la préparation.

4)Laisser au frais pendant 2heures.

5)Enfin, versez la préparation dans les moules, jusqu’aux trois-quarts, et faites cuire 15 à 20 minutes….

6)Retirez du four, laissez refroidir et dégustez !

Pour finir une petite soif ?

Recette smoothie banane :

Ingrédients : -2 bananes -1 yaourt nature

1)Épluchez les bananes et coupez les en rondelles. 2)Mettez les bananes ainsi que le yaourt dans un mixeur et mélangez jusqu’à obtenir un mélange fluide sans grumeau. 3)Versez dans des verres et appréciez !

BON APPÉTIT !!!

Un article de Lise SCHWARTZ

Et après ça une petite envie de sucré ? Recette muffins au chocolat :

Ingrédients pour 6 personnes : -125g de farine -90g de sucre -120g de beurre doux -2 œufs -50g de cacao -100g de chocolat -1/2 sachet de levure chimique -30g de pépites de chocolat

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Nature Peinture

Envie de décorer votre chambre ? Des soucis pour dormir le soir ? Vous trouvez que votre air est trop pollué ? La plante verte est la solution parfaite pour vous… En effet celle-ci possède des vertus apaisantes. En plus de purifier votre air (idéal après avoir passé une journée dans la pollution des villes), grâce à son odeur une plante peut vous calmer et relaxer votre système nerveux. Le dicton comme quoi il est mauvais pour le sommeil de garder de la végétation dans sa chambre est donc une idée reçue. En suivant le phénomène de la photosynthèse, une plante va absorber le CO2 le jour et produire de l’oxygène la nuit. Pensez tout de même à rester vigilant, car certaines plantes ne sont pas appropriées pour réaliser ces fonctions et ne feront qu’empirer les choses. Pas de panique nous allons vous guider. Si vous souhaitez passer le cap, pour vous éclairer dans votre choix nous vous proposons notre top 4 des plantes à mettre dans votre chambre, même si une ou deux plantes suffisent pour assainir la pièce.

1- La lavande Nous connaissons tous la bonne odeur de cette plante, mais saviez -vous que son parfum possède des effets sédatifs ? Des études ont également prouvé que la lavande serait efficace pour ralentir le rythme cardiaque et baisser la tension artérielle : un parfait combo pour aller se coucher plus sereinement. En effet, cette plante va vous permettre d’être moins agité avant de dormir et d’avoir un sommeil plus profond.

Une des particularité de la lavande est qu’on peut en faire des petits sachets qui sentent très bons. Il suffit uniquement de coudre des feuilles de lavande en morceaux dans un petit sac. Après cela, vous pouvez le disposer partout dans votre maison, comme par exemple dans votre armoire ou dans votre lit pour que les tissus s’imprègnent de l’odeur et gardent une sensation de fraîcheur!

Le saviez-vous ?

2- Le lys de la paix/ le spathiphyllum Autrement appelé la fleur de Lune, le lys de la paix filtre les substances toxiques et donc participe à l’assainissement de l’air ambiant. Cette purification amènera alors une atmosphère de détente et de sérénité.

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3-Le chlorophytum chevelu Aussi connu sous le nom de la plante araignée, il possède de grande capacité d’absorption de polluants. Ces polluants, potentiellement cancérigènes, peuvent se trouver dans des produits ménagers, la fumée de tabac, des tissus, des meubles…

l’aloe vera est aussi utilisé dans les domaines du cosmétique et de la

dermatologie. En effet, en plus de tout ce qui a déjà été énoncé, son gel s’est vu

remarqué comme réparateur et hydratant. Il est notamment reconnu pour protéger, cicatriser et apaiser les

brûlures et les maladies de peau comme l’eczéma et le psoriasis.

Le saviez-vous, bis

Conseils d’entretien : -aérer régulièrement la pièce pour renouveler l’air des plantes. -penser à ouvrir vos volets ou rideaux pour leur apporter de la lumière. -pour les personnes allergiques ou asthmatiques, entretenez bien votre pot pour éviter les moisissures.

Ne jamais arroser votre plante lorsque la terre est déjà mouillée. Ceci est indicateur qu’elle n’a pas besoin de plus. En effet un trop plein d’eau pourrait la faire mourir. Pour la fréquence des arrosages, cela varie en fonction des espèces.

Maintenant, à vous de jouer :)

Un article de Lise SCHWARTZ

4-L’aloe vera Cette plante aussi va dépolluer l’air de votre pièce en éliminant la pollution des produits chimiques présents. En effet, l’aloe vera a des vertus filtrantes qui vont permettre un rafraîchissement de votre chambre et une qualité de sommeil supérieure (car plus réparateur dans de bonnes conditions). De plus, cette plante est également connue pour lutter contre les ondes électromagnétiques et les acariens. Mais l’aloe vera ne s’arrête pas là ! C’est aussi un excellent indicateur de pureté de votre environnement, puisqu’en cas de présence trop élevée de polluants, cette dernière va développer des tâches brunes sur ses feuilles.

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Créer une musique en 5 leçons : Nous allons vous parlez de cette magie du quotidien qui nous accompagne tous les jours, pour notre sport, dans les transports en commun ou même juste profiter. La musique est omniprésente dans notre vie, mais savez vous comment elle est créée ?

1ère étape : la prod ou l’instrumentale pour certains.  En effet, une bonne musique est accompagnée d’une bonne mélodie. Elle peut se faire grâce à des instruments de musique par exemple un orchestre ou un ou plusieurs instruments acoustiques , mais les temps changent et arrivent les instruments virtuels.   Pour créer ces instrumentales, il faut

utiliser un logiciel de composition musicale, les plus connus sont en partie fl studio et ableton.  La prod, c’est la base de tout, elle est, la plupart du temps faite par des beatmakers mais peut aussi être faite par le chanteur lui même.

2ème étape : le texte/ l’écriture : Poser sa voix sur une instrumentale ; nous avons besoin d’un texte. Pour chaque type de chant, il y a un type d’écriture différent. Généralement, les rimes, jeux de mots et phases techniques sont au rendez-vous pour attendrir nos oreilles. Pour être dans le rythme, l’auteur doit faire en sorte que ses paroles rentrent dans les temps.

3ème étape : le studio  Pour n’importe quel chanteur ou chanteuse professionnelle la phase de studio est obligatoire, pour avoir une bonne qualité de son, pour enregistrer sa voix, mais rien n’empêche d’acheter un micro et de vous lancer. Une session studio n’est pas forcément donnée pour tout le monde car cela coûte

en moyenne 80€, surtout qu’il va sûrement vous en falloir plusieurs.

4ème étape : le mixage C’est l’étape où un nouveau métier est sollicité, la personne a comme tâche de mixer les voix comme la prod, c’est-à-dire mettre à niveau tous les sons (instruments, voix, …) pour que tout soit égalisé et que la musique soit parfaite, sans qu’un son soit plus fort que l’autre.

5ème étape : la mise en ligne sur plateformes (YouTube, Deezer, ...)  Une fois la musique finie, il faut la mettre sur différentes plateformes de streaming comme spotify, deezer, soundcloud… Mais le chanteur peut aussi faire un clip pour faire vivre totalement la musique, pour cela, le chanteur fait se qu’il veut et, une fois fini, sort le clip sur YouTube. Cela donnera encore plus de visibilité.

Nous pouvons donc voir que produire une musique n’est pas si simple à composer et pleins de métiers sont sollicités pour réaliser une musique entièrement. Mais certaines personnes arrivent très bien à tout faire eux-mêmes. Maintenant que vous en savez un peu plus sur la musique et la chanson, allez-y, lancez-vous, même si vous pensez que ce n’est pas votre domaine, maintenant vous savez que ce n’est pas si facile de produire une musique mais n’hésitez pas à vous amuser !

Un article de Diego VINCHON et Martin ORNH

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Cela fait maintenant un an que les cinémas sont fermés, je ne vous apprends rien, mais ce n'est pas pour autant que les séries, films et documentaires cessent de sortir. En effet, les plateformes de vidéos à la demande ont connu un boom de leur nombre d'abonnements pendant le premier confinement français. Pour ne parler que de Netflix, leur nombre d'abonnements a augmenté de 26 millions lors du premier semestre de l'année 2020, ce qui correspond à peu près au nombre de nouveaux abonnements de 2019 qui était de 27,8 millions. Et aujourd'hui ces plateformes de vidéos à la demande sortent des séries, films et documentaires pour permettre à leurs abonné·e·s de s'évader. Voici quelques-unes des sorties de janvier et février 2021 :

Les documentaires

Le média Brut. s'associe à Amazon Prime pour sortir le 29 janvier une série documentaire feel good sur plusieurs jeunes militant·e·s français·e·s qui portent des causes actuelles. Génération Brut, série en cinq épisodes de 55 minutes traite différents sujets tels que l'écologisme, le véganisme, la transidentité, les amours ou encore le féminisme. On y retrouve de nombreux·ses invité·e·s notamment Camille Aumont Carnel, du compte Instagram @jemenbatsleclito, mais aussi le célèbre couturier Jean-Paul Gaultier, le navigateur et skippeur François Gabart, Julie Gayet, actrice française, mais aussi Elvire Duvelle-Charles (@elviredcharles) qui tient le compte Instagram @clitrevolution et Shanley Clemot McLaren (@shanley_mc) du collectif @stop.fisha, créé lors du premier confinement français face à l'augmentation sans précédent de cybersexisme. D'un tout autre genre, une légende internationale franco-américaine de basket et le réalisateur Florent Bodin donnent un bon mélange puisque Netflix sort le 6 janvier un documentaire de 1h38 sur Tony Parker , The final shot, qui retrace son parcours et sa carrière qui ont fait de lui l'un des plus grands joueurs de basket. Sur la même plateforme sort le 5 février Pole dance : Haut les corps !. Michèle Ohayon montre dans son documentaire des femmes suivre toutes ensemble un programme intensif de pole dance afin de se réapproprier leur corps et leur vie.

Les films :

C'est la nouvelle plateforme de vidéos à la demande, Disney+, qui commence bien l'année en sortant une adaptation datant de 2014 d'un livre de John Green mêlant drame et romance. Shailene Woodley et Ansel Elgort arrivent le 1er janvier dans le rôle d'Hazel et Augustus dans Nos étoiles contraires. À la même date mais sur Salto sort Les Affranchis, un thriller du célèbre Martin Scorsese. Ce film récompensé de nombreuses fois ravira les fans de Mafia. C'est encore et toujours le premier jour de l'année que 120 battements par minutes arrive sur Amazon Prime. Ce film sorti en 2017 relate l'histoire de militant·e·s d'Act-Up Paris dans les années 90 qui tentent de lutter contre l'indifférence générale alors que le Sida tue depuis plus de 10 ans. Il va vous faire plonger au sein de l'association et en faire pleurer plus d'un·e. Un autre film français sort le 10 janvier sur Netflix, En passant pécho, et raconte l'histoire des deux pires dealers de Paris, Hedi et Cokeman. Complètement délirants et déjantés, on finit par s'attacher à ces deux dealers en herbes et amateurs de placo.

Actu Ciné sur le canapé Un article en écriture inclusive

Dans un souci d'inclusivité j'ai fait le choix d'écrire de manière inclusive. L'écriture inclusive se caractérise par la combinaisons de la version féminine et masculine d'un mot.

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Sur la même plateforme sort le dernier film de la trilogie A tous les garçons. Basé sur un roman de Jenny Han, Pour toujours et à jamais sort le 12 février et suit toujours les aventures de Lara Jean et Peter, joué·e·s par Lana Condor et Noah Centineo. Les deux amoureux vivent leurs derniers moments au lycée et doivent faire face au dilemme du choix de leur université. Sur un tout autre thème, MyCanal sort le 16 février un film qui va vous ramener tout droit au 19è siècle. Radioactive retrace l'histoire de Marie Skłodowska, plus connue sous le nom de Marie Curie, comment elle a fait pour imposer ses idées et ses découvertes au sein d'une société dominée par les hommes. Et c'est avec le même esprit féministe que sort Birds of prey, un film sur l'émancipation d'Harley Quinn suite à sa séparation avec le Joker. Le personnage incarnée par Margot Robbie arrive dès le 26 février sur MyCanal.

Les séries :

« L'amitié ce n'est pas une seule chose, c'est un million de petites choses ». C'est l'adage sur lequel est basée la série A million little things. Cette série met en avant un groupe d'amis qui va remettre de l'ordre dans leurs vies suite au suicide de l'un d'entre eux. Les 3 saisons arrivent sur Salto le 8 janvier. Omar Sy arrive aussi le 8 janvier sous le nom d'Assane Diop pour vous emmener dans ses aventures. Inspiré de celles bien connues d'Arsène Lupin écrites par Maurice Leblanc, Netflix produit Lupin : Dans l'ombre d'Arsène qui raconte l'histoire d'Assane Diop qui s'inspire du célèbre gentleman cambrioleur pour venger la mort de son père. Netflix encore vous fait retourner en enfance le 22 janvier en sortant Destin : La saga Winx, une adaptation libre de la série d'animation Winx Club, co-produite par des studios britanniques et le studio italien à l'origine du dessin animé. Il reste tout de même important de signaler la controverse autour de cette série accusée de whitewashing, autrement dit, de faire incarner par des acteur·rice·s blanc·che·s des personnes ou personnages qui ne le sont pas. La plateforme OCS sort le 25 janvier un épisode spécial de la série Euphoria. La série avec un monde bien à elle revient avec Fuck Anyone Who's Not a Sea Blob, quarante-cinq minutes qui se concentreront cette fois sur Jules et sa relation avec sa mère et sa petite-amie Rue. C'est trois jours plus tard, le 28 janvier, que MyCanal sort Your Honor, une série américaine adaptée de sa version israélienne, Kvodo. Cette série en 10 épisodes raconte l'histoire d'un juge, incarné par Bryan Cranston ( Malcom, Breaking Bad ), dont le fils est reconnu coupable d'un délit de fuite dans un accident de voiture dont la victime n'est autre que le fils d'une grande famille de mafieux. Et le 4 février sort une série belge complètement déjantée sur Salto. Callboys raconte l'histoire de quatre gigolos qui s'associent pour monter une affaire au service de femmes en quête de galanterie. Lorsqu'ils se considèrent enfin comme de vrais hommes d'affaires et qu'ils décident de vendre leurs godes personnalisés, tout ne se passe plus comme prévu. De retour en 1899, dans un Paris pris en étau entre les ligues nationalistes et antisémites et la menace anarchiste, le cadavre d'une inconnue risque de révéler un lourd secret d’État. C'est le pitch de Paris Police 1900, la série originale de MyCanal sortie le 8 février. Entre meurtre, vérole à la Préfecture, espionnage et coup d’État, cette série en 8 épisodes risque de mettre l'eau à la bouche aux amateur·rice·s de séries policières. La célèbre série de zombies à l'ambiance post-apocalyptique sort la 2ème partie de sa saison 10 le 24 février et c'est encore et toujours sur OCS que l'on retrouvera les célèbres personnages de The walking dead.

Un article de Léa CHATELLIER

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La Grande Arnaque de Staline

Qu’est-ce que le communisme ? Il s’agit d’une doctrine politique et économique, basée sur l’égalité entre les hommes, la fin de la propriété privée, et surtout la fin des classes, c’est-à-dire l’abolition de la hiérarchie entre nobles et paysans, riches et pauvres, capitalistes et ouvriers. Développé par Karl Marx, philosophe socialiste du XIXème siècle, ce concept a pour but de renverser le pouvoir bourgeois, d’instaurer une dictature le temps de réformer la société, puis à terme d’instaurer un gouvernement démocratique, et pourquoi pas de lancer la révolution internationale s’il reste du temps.

La mise en commun des biens est un concept très ancien. Platon et Sénèque vantaient dans l’Antiquité le partage des possessions, Thomas More au XVIème siècle décrivait une cité idéale où chacun aurait ce dont il a besoin pour vivre, et Rousseau affirmait que la propriété privée était une des pires choses qui soit arrivé à l’homme. De même, l’idée d’égalité entre les hommes est vieille comme le monde, et est apparue à toutes les époques et dans de nombreuses sociétés. Quant à la fin des classes et à l’égalité, on a souvent essayé de la mettre en place. Toutefois, aussi idéaux soient-ils ces concepts n’ont pratiquement jamais réussi en pratique. Athènes, le berceau de la démocratie, était esclavagiste, la Révolution française qui avait abattu la monarchie avait vite lancé la Terreur, et l’égalité entre les hommes n’a jamais été réussie, la mise en pratique de la théorie échouant toujours pour de nombreuses raisons. Puis vint le XIXème siècle, et le duo Marx/Engels qui lança le développement des théories socialistes, et le XXème siècle et la première Guerre Mondiale. Durant cette guerre, la Russie impériale connaît la pire crise de son histoire, et est frappée par révoltes et guerres civiles. Puis, en 1922, la poussière retombe, le gouvernement se stabilise enfin. Joseph Staline arrive au pouvoir, c’est le début de l’Union des Républiques Socialistes Soviétiques, premier Etat autoproclamé communiste.  

Le tandem à belle barbe a développé des théories socialistes au 19ème siècle

Engels & Marx

Mais est-ce vraiment le cas ?

Le point histoire

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Sur le plan économique, on pourrait le croire. L’URSS collectivise les terres, met fin à la propriété privée, et abolit les classes : plus de noblesse et de serfs, que des « camarades ». Les réformes économiques sont nombreuses et violentes, et pas toujours bien reçues. La collectivisation est de son côté un échec, et est très mal reçu par la population qui sabote volontairement la production. Niveau social, l’URSS semble être assez novateur : la collectivisation et l’abolition des classes ont théoriquement mis tout le monde sur un pied d’égalité, et hommes et femmes sont traités en égaux, autorisant ces dernières à travailler, produire, même combattre… mais pas voter. A vrai dire, personne ne peut voter, l’URSS étant une « dictature populaire ». Si ce point correspond bien à la pensée marxiste, comme vu plus haut, il faut noter que chez Marx la dictature ne doit être que transitionnelle. En outre, les libertés individuelles n’étaient pas vraiment respectées, les dirigeants n’hésitant pas à purger leurs opposants directs, et à déporter dans les tristement célèbres goulags tout ce qui était vaguement opposé au régime. Quant aux classes dont on a tant attendu la fin, elles sont toujours là, mais sous une autre forme : il n’y a plus de nobles, plus de bourgeois… mais il y a la nomenklatura, la bureaucratie, toute-puissante et corrompue. Ainsi, l’URSS est un échec idéologique. Le pays n’est guère socialiste, a échoué à être une république, et en fait d’Union des Républiques la « république socialiste fédérative de Russie » dominait toutes les autres. Le pays est avant tout un régime totalitaire, avec un culte de la personnalité, un parti unique et une répression violente. Le terme de « communisme », trop souvent employé pour désigner le modèle soviétique, est donc incorrect, et même abusif, et on lui préfèrera celui de « marxisme-léninisme », autrement dit la lecture et l’interprétation que Lénine a faite de Marx, ou encore le terme de stalinisme, du nom du créateur de l’un des pires modèles étatiques de l’histoire.

Un article de Léo MONTACLAIR-COLLETER

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Les stéréotypes sur le féminisme

1,féminisme = femmes On pense souvent que puisque le mot féminisme est dérivé du mot femme, alors cela concerne seulement et uniquement les femmes. C'est totalement faux puisqu'il existe des hommes qui se revendiquent féministes. En effet la définition du féminisme n'est pas « un combat de la femme pour la femme » mais plutôt : un mouvement prônant l’égalité du traitement des genres, ce qui vaut autant pour les hommes que pour les femmes. C'est donc pour cela que les acteurs de ce mouvement peuvent appartenir à n'importe quel genre. 2,c’est un phénomène de mode récent Et bien non, même si ce mot est beaucoup utilisé dans les médias ces derniers temps, le féminisme n'est pas un phénomène de mode récent. Ce n'est pas un phénomène de mode tout court d’ailleurs. Il faut savoir que depuis longtemps on trouve toutes sortes de combats pour les droits des femmes. On peut citer par exemple le mouvement des Suffragettes (droit de vote) au Royaume-Uni au début du siècle dernier. Le mot « féminisme » quant à lui a été utilisé pour la première fois en 1882 sous la plume d'Hubertine Auclert pour définir la lutte pour améliorer la condition féminine. Cela nous montre que même si notre société évolue, le féminisme est un combat qui perdure dans le temps. 3,c’est un combat d’extrémistes Il n'y a rien d’extrémiste à vouloir lutter pour les droits des femmes. Il n'y a rien d’extrême dans le fait de vouloir un monde plus juste. Même si aujourd'hui les féministes sont présentées comme allant trop loin dans leurs actions, il faut savoir que les féministes ont toujours dérangé. Le féminisme du siècle dernier n'était pas moins violent. Si on reprend notre exemple des suffragettes, vous saviez qu'elles crachaient sur les policiers, qu'elles brisaient les vitrines, qu'elles faisaient des grèves de la faim, et organisaient beaucoup de manifestations illégales ? (PS : le sujet est vraiment passionnant, je t'invite fortement à aller y jeter un coup d’œil par toi-même) Aujourd'hui on s'accorde à dire que leur combat était légitime. 4, ces « féministes » sont toutes hystériques, poilues avec des cheveux bleus Il est vrai que quand on dit « féminisme » bien souvent on a en tête cette image d’une femme qui crie, qui ne se rase pas et qui a les cheveux colorés. Mais après ce qu'on vient de dire, pourquoi a-t-on cette image là précisément ? Malheureusement, quand il s'agit de féminisme, les médias—ici je parle de la télévision en particulier - ne montrent que ce qui pourrait choquer, ce qui pourrait faire parler. Pour eux, ce n'est donc pas intéressant d'inviter une personne lambda, alors qu'une féministe aux opinions extrêmes oui. Ce qui pose problème ici c'est que l'image du féminisme, dans la tête de n'importe qui, s'arrête à la première personne qu’on a vu en défendre les intérêts.

(l'utilisation des mots «hommes » et « femmes » dans cet article a pour but une meilleure compréhension du sujet et ne cherche en aucun cas à exclure les personnes trans, non binaires,... )

Si je te dis féminisme, à quoi penses-tu ? Moi je pense à quelque chose qui est ancré dans notre quotidien, un mouvement dont tout le monde entend parler sans pour autant savoir exactement ce que c'est. Et quand on parle de ce sujet il y en a toujours pour faire la grimace ou sortir un tas de préjugés. Donc, l'objectif aujourd'hui est de parler de féminisme en rétablissant la vérité sur ces préjugés qu'on peut facilement entendre au coin de la rue ou même dans les médias afin de bien comprendre de quoi il s'agit. Voici donc 8 préjugés sur le féminisme

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5,les « féministes » n’aiment pas les hommes Pourquoi ? Pendant très longtemps, les femmes étaient considérées comme inférieures aux hommes, elles n'avaient pas de droits, étaient souvent confrontées à la violence masculine. Cet argument historique est le plus courant mais pas le seul. Il se trouve que certaines femmes en ont marre qu'on (= une majorité d'hommes) ne prenne pas leur mouvement au sérieux. Donc elles développent une forme de retenue envers eux. On peut aussi imaginer que certains hommes prennent mal l'émancipation de la femme dans le sens où cela bouleverse les traditions et la société patriarcale. Donc les féministes ne vont logiquement pas les apprécier à première vue. Il faut retenir que ces femmes ne sont pas la majorité des féministes. Point définition : La misandrie est une réaction à la violence masculine, elle est un moyen de défense en réaction à une oppression. C'est une réponse à la misogynie. 6,les femmes veulent diriger le monde Bien souvent, nous confondons « surpasser les hommes » et être à l'égalité avec ces derniers. Au pire, certaines féministes se sentent plus en sécurité sans les hommes, elles recherchent des espaces de non-mixité pour pouvoir se sentir bien et parler librement sans risque d'être interrompues, contredites, humiliées. Ce qui est totalement légitime et compréhensible. Sinon, les femmes en général commencent à pouvoir occuper de plus en plus de postes à responsabilités. Déjà qu'on est très loin de la parité dans ces fonctions là, ce n'est pas une raison de penser que les femmes veulent remplacer les hommes. Se libérer de la domination masculine oui, mais pas échanger les rôles. 7, leur combat est inutile puisqu’il y a l’égalité entre les hommes et les femmes aujourd’hui Même si l'égalité des sexes prend une place importante dans nos sociétés, [ lois, médias,...] elle n'est toujours pas présente et loin de là ! Faisons une liste : -le nombre de femmes ministres ou présidentes (vraiment très peu) -le nombre de femmes envoyées dans l'espace (seulement 65) -le nombre de femmes s'occupant des taches ménagères à la maison (beaucoup trop) -le nombre de femmes touchant le même salaire qu'un homme au même poste (aïe le sujet qui fâche : l'écart se réduit mais il est toujours présent !) Ça additionné à la lutte contre les violences conjugales et sexuelles, ce n'est pas assez utile comme combat ?!! 8, « Je ne suis pas féministe mais… » Avec tout ce qu'on a pu voir dans les points précédents, nous pouvons dire qu'il y a différentes formes de féminisme, dans le sens où toutes ces personnes n'entendent pas lutter de la même manière. Et cette phrase « je ne suis pas féministe mais.. » ressort car certaines personnes ne cautionnent pas toutes les manières de lutte du mouvement et ne veulent pas que cette image, souvent négative, leur colle à la peau. Pourtant il n'est pas difficile de dire que ces personnes là sont aussi pour l'émancipation des femmes. Pour finir, le féminisme est un combat qui dérange et qui a toujours dérangé. Néanmoins il est nécessaire à la bonne évolution de la société, nécessaire à un meilleur vivre ensemble. Cela passe par une meilleure compréhension du mouvement et par l’invalidation des préjugés que peut donner la société.

Un article de Philomène STABROWSKI

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Proposition de poème de la part d’ALBUS COMMERE

Ho toi petit lecteur, Le vent t’as porté jusqu’à ce qu’on espère une certaine sagacité , Maintenant sort la grande voile, Ce n’est que le début de ton long périple, L’univers est trop vaste et trop grand pour qu’à toi seul tu puisses le parcourir dans sa globalité, C’est alors avec générosité que certains t’offriront leur amitié, Fais en bon usage dans cette quête que tu t’es lancé, Les mots seront là pour te guider, En espérant que ces lignes t’auront aidé, Ne serait-ce qu’à moitié, Dans ta quête de la spiritualité, Sans te moraliser mais plutôt t’épauler, Remplis de douzaines de petits conseils, Peu importe ta situation, prêt à l’emploi, N’oublie pas de t’aimer toi, cela va de soi, Vogue, vogue petit lecteur vers le chemin d’un jour meilleur… Aziliz Sauvage

Petit poème rempli de mots choisis par l’équipe de rédaction du journal, suite aux lectures des articles, saurez-vous les trouver il y en à 9 !!

Petit lecteur...

Remerciements particuliers aux professeures qui ont mis en place ce journal : Madame DAURES et Madame OUISSE. Un grand merci à l’équipe de rédaction de ce journal : Aurore BOTTON, Capucine DUMONT, Sarah LARDEUX, Léo MONTACLAIR-COLLETER, Emma COIFFARD, Lise SCHWARTZ, Diego VINCHON, Martin ORNH, Léa CHATELLIER, Philomène STABROWSKI, Aziliz SAUVAGE ! Et aussi un grand MERCI à vous chers lecteurs de nous avoir donné la motivation de produire un journal qu’on espère divertissant et instructif !