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Avis Technique 3/10-651 Annule et remplace l’Avis Technique 2/06-1205 Constructions modulaires Prefabricated Building Units Mobile Raumsysteme Modulaire architecturé Titulaire : Société Yves COUGNAUD SA Mouilleron Le Captif Parc d’Activité Beaupuy 2 F-85035 La Roche sur Yon Cedex Tél. : 02 51 34 12 76 Fax : 02 51 34 11 12 E-mail : [email protected] Internet : www.yves-cougnaud.fr Commission chargée de formuler des Avis Techniques (arrêté du 2 décembre 1969) Groupe Spécialisé n° 3 Structures, planchers et autres composants structuraux Vu pour enregistrement le 10 août 2010 Secrétariat de la commission des Avis Techniques CSTB, 84 avenue Jean Jaurès, Champs sur Marne, F-77447 Marne la Vallée Cedex 2 Tél. : 01 64 68 82 82 - Fax : 01 60 05 70 37 - Internet : www.cstb.fr Les Avis Techniques sont publiés par le Secrétariat des Avis Techniques, assuré par le CSTB. Les versions authentifiées sont disponibles gratuitement sur le site internet du CSTB (http://www.cstb.fr) © CSTB 2010 Annulé le : 01/09/2014 Avis Technique non valide

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Note technique du CSTB

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Avis Technique 3/10-651 Annule et remplace l’Avis Technique 2/06-1205

Constructions modulaires

Prefabricated Building Units

Mobile Raumsysteme Modulaire architecturé Titulaire : Société Yves COUGNAUD SA

Mouilleron Le Captif Parc d’Activité Beaupuy 2 F-85035 La Roche sur Yon Cedex

Tél. : 02 51 34 12 76 Fax : 02 51 34 11 12 E-mail : [email protected] Internet : www.yves-cougnaud.fr

Commission chargée de formuler des Avis Techniques (arrêté du 2 décembre 1969)

Groupe Spécialisé n° 3 Structures, planchers et autres composants structuraux

Vu pour enregistrement le 10 août 2010

Secrétariat de la commission des Avis Techniques CSTB, 84 avenue Jean Jaurès, Champs sur Marne, F-77447 Marne la Vallée Cedex 2 Tél. : 01 64 68 82 82 - Fax : 01 60 05 70 37 - Internet : www.cstb.fr

Les Avis Techniques sont publiés par le Secrétariat des Avis Techniques, assuré par le CSTB. Les versions authentifiées sont disponibles gratuitement sur le site internet du CSTB (http://www.cstb.fr) © CSTB 2010

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Le Groupe Spécialisé n° 3 de la Commission chargée de formuler les Avis Techniques, a examiné, le 12 mai 2010, le procédé Modulaire architecturé présenté par la Société Yves COUGNAUD. Il a formulé sur ce procédé l'Avis Technique ci-après. Ce document annule et remplace l’Avis Technique 2/06-1205. Cet Avis est formulé pour les utilisations en France européenne.

1. Définition succincte

1.1 Description succincte Cellules tridimensionnelles destinées à la réalisation, par juxtaposition ou superposition, de constructions à usage courant.

L'ossature de ces cellules est constituée de profilés en acier laminé à chaud ou en tôle galvanisée pliée à froid.

Les murs extérieurs sont constitués de panneaux sandwiches tôle d'acier, mousse de polyuréthanne, plaques de parement en plâtre.

Les planchers sont constitués de panneaux à base de bois liaisonnés aux solives métalliques.

La toiture est réalisée à l’aide d’un revêtement d’étanchéité en PVC plasti-fié fixée mécaniquement sur panneau sandwich.

Les dimensions standard des cellules sont :

• Longueur maximale : 13,24 m,

• Largeur : 2,480 et 2,995 m

• hauteur maximale : 3,55 m

1.2 Identification Les modules portent une plaque indiquant :

• Société Yves COUGNAUD

• Numéro de série

2. AVIS

2.1 Domaine d'emploi accepté Constructions R0, R+1 et R+2 pour bâtiments régis par le code du travail ou ERP pour lequel aucune stabilité au feu n’est exigée, ayant une durée de vie escomptée comparable aux constructions métalliques préfabri-quées (de 20 ans).

Le domaine d’emploi vise les locaux à faible et moyenne hygrométrie (W/n ≤ 5 g/m3).

Les bâtiments sont destinés à répondre aux sollicitations maximales suivantes à justifier par un dimensionnement au cas par cas :

• Charge d’exploitation selon NF P 06-001 (600 daN/m² maximum),

• Charge de vent et neige selon dimensionnement, hors zone de climat de montagne (H < 900 m),

• Zone de sismicité Ia, Ib et II pour des ouvrages de classe B ou C moyennant des déplacements différentiels entre 2 niveaux consécutifs de hauteur h, limités à h/100(*).

(*) Seule la sécurité est visée dans ce cas de figure, dans le cas où les constructions ne comportent pas de bardage extérieure ou respectant les prescriptions du Dossier Technique § 4.6 (bardage).

Le présent Avis est formulé pour une utilisation en France Européenne.

2.2 Appréciation sur le procédé

2.21 Aptitude à l’emploi

Stabilité La stabilité des bâtiments réalisés avec ce procédé est convenablement assurée dans la mesure où : les configurations de superposition et de juxtaposition des modules ainsi que l’ancrage en sol respectent les dispo-sitions du Dossier Technique,

La stabilité est assurée par l’ossature des modules, dimensionnée selon les règles en vigueur.

Stabilité en cas de séisme La stabilité en cas de séisme est assurée par l’ossature en forme de cadres métalliques tridimensionnels soudés entre eux. Les panneaux de particules n’assurent pas la fonction diaphragme, la transmission des efforts étant assurés par les solives métalliques. Moyennant le respect des règles PS 92, le procédé est utilisable en zone sismique (Ia, Ib, II et III) pour des ouvrages de classe B et C.

Il est précisé que seule la fonction structurale est visée par le respect des règles PS 92 et que le maintien des performances thermiques, acous-tiques et de protection contre l’incendie n’est pas visé. La sécurité est assurée malgré les dégradations attendues des éléments de second œuvre moyennant des déplacements différentiels entre deux niveaux consécutifs de hauteur h, limités à h/100.

Sécurité en cas d'incendie Le domaine d’emploi du procédé est limité aux constructions pour les-quelles aucune exigence de stabilité au feu n’est requise (code du travail et règlement de sécurité du 25 juin 1980 modifié).

En l’état de la réglementation incendie en vigueur au moment de la for-mulation de l’Avis, cela correspond aux bâtiments de moins de 8 m tant en Code du travail qu’en ERP. Pour les panneaux intérieurs (panneaux sandwichs à âme isolante en PU ou PE, la disposition de l’AM8 impose que les parois soient doublées de part et d’autre d’un écran thermique.

Le comportement au feu du système de couverture « RHENOFOL CV-F » est classé Broof(t3) (Procès-verbal de classement au feu du CSTB n° RS06-060).

Dans le cadre du domaine d’emploi les panneaux sandwiches à âme isolante en laine minérale n’apporte pas de limitation d’emploi particu-lière

Ces prescriptions ne présument pas de l’application de l’ensemble des exigences réglementaires associées aux ERP et aux bâtiments soumis au Code du Travail.

Sécurité en cas de chocs La sécurité aux chutes des personnes est normalement assurée.

Isolation thermique Le système permet de satisfaire en partie courante aux exigences de transmission thermiques maximales fixées par la réglementation ther-mique pour chacune des parois pour les panneaux d’épaisseur supérieure ou égale à 80 mm en polyuréthanne et 100 mm en laine minérale.

Le tenant de système doit pouvoir produire sur demande les calculs thermiques exigés par la réglementation en vigueur.

Isolement acoustique Les différentes configurations des constructions permettent d’obtenir divers niveaux de performance d’isolation acoustique. La justification est à apporter au cas par cas en fonction des exigences applicables.

Étanchéité des parois Le système présente des dérogations par rapport aux règles d’usage de traitement de l’étanchéité. Toutefois les opérations des étanchéités étant effectuées en atelier, les performances d’étanchéité à l‘eau et à l’air doivent être convenablement maintenues.

Etanchéité de la toiture-terrasse : la Société Yves COUGNAUD SA est une entreprise qualifiée et agréée pour la mise en œuvre des membranes en PVC-P, dans les conditions fixées par le fabricant FDT.

Finition, suspension d'objets La paroi intérieure des murs ne permet pas la fixation d’équipements.

Celle-ci doit être réalisée sur une ossature spécifique prévue à la concep-tion des modules.

2.22 Durabilité La durabilité des constructions est subordonnée à une maintenance et à un entretien réguliers de l’ouvrage.

Les matériaux utilisés pour la fabrication des éléments et leur mise en œuvre ne présentent pas d'incompatibilité.

L’ossature métallique est protégée de la corrosion par galvanisation et/ou couche de protection rapportée en fonction de l’agressivité du milieu. Une inspection et entretien fréquents des ossatures extérieures, et plus parti-culièrement des points de soudure et mastics d’étanchéité, sont néces-saires pour s’assurer de la durabilité des constructions.

Dans le cas des descentes d’eaux pluviales situées à l’intérieur des po-teaux structuraux métalliques, un entretien et une maintenance renforcés sont nécessaires. En effet, un défaut d’évacuation peut entraîner une corrosion prématurée des poteaux.

Les chocs conventionnels de corps durs provoquent des empreintes ris-quant d'endommager l'aspect des constructions sans toutefois altérer le revêtement protecteur.

Les encadrements de fenêtres et les rives de plancher bas risquent d'être le siège de condensations qui, compte tenu de la destination des locaux, devraient n'être que passagères et ne pas avoir de conséquences défavo-rables sur le comportement des ouvrages.

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2.23 Fabrication La fabrication est effectuée à l'usine Yves COUGNAUD de la Roche sur Yon où est regroupé le personnel compétent pour l’ensemble des corps d’état.

Les mêmes dispositions doivent être retenues lors de l’assemblage sur site des modules préfabriqués. Elle s'accompagne d'un contrôle de pro-duction, de nature à assurer une constance de qualité suffisante.

2.24 Mise en œuvre La mise en œuvre est effectuée par la Société Yves COUGNAUD qui dis-pose des moyens nécessaires.

Les modules sont transportés finis ou semi-finis sur le site. La manuten-tion et le levage sont réalisés à l’aide d’élingues.

Les déformations attendues lors de ces opérations, sont compatibles avec les éléments de second œuvre.

Dans le cas de soudures au solvant, la mise en œuvre de la membrane RHENOFOL CV fixée mécaniquement implique le strict respect des con-signes de prévention et de sécurité prévues d’une part dans le mémento Formation aux Etanchéités à base de monocouche synthétique édité par la CSFE, et d’autre part à la fiche technique de sécurité du fabricant.

2.3 Cahier des Prescriptions Techniques

2.31 Conditions de conception La Société COUGNAUD doit apporter son assistance technique lors de la conception de bâtiment notamment vis à vis du dimensionnement des modules.

Le titulaire doit fournir au bureau d’étude chargé de dimensionner les fondations l’ensemble des efforts à transmettre aux fondations (y compris les efforts de soulèvement et horizontaux). Il doit aussi s’assurer que les systèmes d’ancrages posés par le lot « maçonnerie » soient compatibles avec le montage des éléments modulaires.

Les profilés minces doivent être calculés suivant les règles CM66, en excluant les parois inefficaces.

Lorsque la superstructure est simplement posée sur les fondations, la justification du non-glissement doit s’effectuer en prenant un coefficient de frottement de 0,42 dans le cas d’une utilisation du système résiliant décrit dans le Dossier Technique, et de 0,3 dans le cas contraire, et en prenant un coefficient de sécurité de 1,5 sur le glissement.

Dans le cas où le non glissement n’est pas justifié, un système d’ancrage ou de butée est nécessaire.

En cas de soulèvement sous la combinaison la plus défavorable, un an-crage aux fondations est obligatoire.

En zone sismique :

• Compte tenu des bardages et des cloisons utilisés, les déformations horizontales différentielles entre deux niveaux consécutifs de hauteur h doivent être limitées à h/100.

• la superstructure doit être reliée par un système d’ancrage.

• Le coefficient de comportement doit être pris égal à 1.

Le choix des composants entrant dans la constitution des modules doit être examiné au cas par cas par le maître d’ouvrage et la Société Yves Cougnaud en fonction de la destination des locaux et de l’ensemble des exigences applicables.

2.32 Conditions de fabrication Compte tenu des dispositions spécifiques adoptées pour la réalisation des étanchéités des parois verticales (en pied et en tête de panneau, en périphérie de baie), un soin particulier doit être apporté pour leur réalisa-tion pour permettre une durabilité suffisante.

2.33 Conditions de mise en œuvre Une attention particulière est nécessaire pour la superposition ou la juxtaposition des modules afin d’éviter toute dégradation de l’enveloppe

et des revêtements extérieurs (reprise des soudures, continuité des étanchéités, …).

Les opérations réalisées sur chantier sont réalisées avec la même cons-tance de qualité qu’en usine moyennant la formalisation de l’autocontrôle.

2.34 Condition d’entretien et de maintenance Conformément à ce qui est indiqué au § 2.22, la durabilité de l’ouvrage est subordonnée à un entretien.

Celui-ci doit être assuré par le maître d’ouvrage et respectant les pres-criptions du § 9 du Dossier Technique.

Conclusions

Appréciation globale L’utilisation du procédé Bâtiment Modulaire architecturé dans le domaine d’emploi accepté, est appréciée favorablement.

Validité Jusqu’au 31 mai 2013.

Pour le Groupe Spécialisé n° 3 Le Président

JP. BRIN

3. Remarques complémentaires du Groupe Spécialisé

Ce procédé est vendu et mis en œuvre directement par la société COUGNAUD dans cadre d’un contrat d’ouvrage avec obligation d’assurance. Il n’est pas loué ni destiné à une mise sur le marché directe. A ce titre il n’est pas obligé à être marqué CE.

Le Groupe rappelle que pour les fondations les combinaisons à prendre en compte doivent minimiser le poids propre (cf. Directives Communes) : 0,9 k V > 1,5 H avec k le coefficient de frottement.

Le Rapporteur du Groupe Spécialisé n° 3 N. RUAUX

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Dossier Technique établi par le demandeur

A. Description

1. Principe Procédé constructif destiné à la réalisation de bâtiments d’usage cou-rant jusqu’à R+2, de hauteur maximale 10 m à faible et moyenne hygrométrie.

Ils sont constitués de modules tridimensionnels fabriqués en usine, juxtaposés et/ou superposés sur site et comportant une structure métallique, des parois à base de panneaux sandwiches et une toiture avec membrane d’étanchéité.

2. Matériaux et Composants

2.1 Structure métallique • Poteaux en tube en acier de construction en tube rectangulaire ou

carré S275JOH selon la norme EN 10219 galvanisé à chaud (NF EN 180 1461) recevant 1 couche époxy 40 μm et 1 couche PU/AC 60 μm,

• Longeron en acier en tube rectangulaire S275JOH selon la norme EN 10219 grenaillé SA2.5 ou galvanisé dans les situations agressives recevant 1 couche d’apprêt époxy à teneur en zinc (40 μm), 1 couche d’apprêt riche en zinc (20 μm), 1 couche époxy (40 μm), 1 couche PU/AC (60 μm),

• Dans le cas des surfaces inaccessibles (au droit des fondations), une précouche (couche supplémentaire de polyuréthanne 60 μm) est ap-pliquée sur ces zones. Le système de traitement est étendu sur une distance d’au moins 30 mm dans l’interface sur la longueur du lon-geron (selon XP P 22-505-1 : 10.4.).

• Solives en tube en acier de construction 100 x 50 S235JRH galvani-sé Z 275 selon la norme XPA 49646 qualité A5,

• Pannes en tube en acier de construction 80 x 50 et 50 x 50 S235JRH selon la norme EN 10219 recevant 1 couche de peinture riche en zinc (40 μm),

• Cornière en tôle pliée galvanisée S250GD + Z 275 selon la norme EN 10327,

• Chéneau en tôle pliée galvanisée S250GD + Z275 selon la norme 10327 recevant 1 couche époxy (40 μm) et 1 couche PU/AC (60 μm),

• Boulonnage :

- Entre modules BO 12 x 45 classe 6-8

- Entre modules M 12 x 45 HR 10-9

- Entre niveaux BO 16 x 50 classe 6-8

- Entre niveaux M 16 x 70 HR 8-8

2.2 Parois verticales

Tableau 1 Panneaux sandwiches métalliques d’origine Monopanel

Ame Epaisseur

(mm) Tôles

Ext. Int.

MONOWALL (matériaux selon AT 2/07-1260)

PU injecté 60, 80, 100 0,63

0,50

MONOLAINE (matériaux selon AT 2/08-1306)

Laine minérale

100 0,63

0,63

Les tôles sont en acier galvanisées Z 225 et revêtues selon les Avis Techniques précités.

Les charges utiles sous vent normal en daN/m² sont données dans le tableau 1bis ci-dessous :

Tableau 1bis –

Charge en daN/m²

Epaisseur (mm)

60 80 100

MONOWALL 150 150 150

MONOLAINE / / 120

Le choix des revêtements de tôles dépend des atmosphères exté-rieures selon le tableau 2 en fin de dossier.

• Accessoires de poses

- Cornières 38 x 28 x 3 S 235 prélaqué polyuréthanne 25 μm autres profils S 235 galvanisé Z 225 + peinture de finition,

- Cornière PVC : 23 x 23 x 5

- Profil U de pied : selon largeur de panneaux 20 x … x 25 x 2

- Vis autotaraudeuses Ø 6,3 à raison de 2 par largeur de panneau (pince de 20 mm)

Complément d’isolation par laine minérale.

2.3 Plancher • Panneau de particules ou bois ciment posé à joint non décalé dans le

sens transversal du module, systématiquement au droit d’une so-live.

• Panneau de particule NF CTBH d’épaisseur 25 ou 30 mm pour locaux E2 selon classement UPEC de type NOVODAL CTBH M3 (en option M1) d’origine ISOROY. Panneau 2 rives rainuré bouveté 2480 x 910 2995 x 910

• Panneau de particules liées au ciment conforme à la norme EN 634 DURIPANEL d’origine ETERNIT, hydrofugé, classement de réaction au feu : M1, traitement fongicide insecticide. Panneau 2 rives rainu-ré bouveté 2480 x 1250 2995 x 1250

• Fixations pour panneaux de particule

- Vis autoperceuse TF P02 5,5 x 55 pour fixation des panneaux de particule

Module 2995 = 5 vis par largeur et par solive,

Module 2480 = 4 vis par largeur et par solive,

• Isolation

- Plaque de polystyrène de 60 et 100 mm d’épaisseur UNIMAT Th 38 d’origine LAFARGE PLATRES certifié ACERMI I1 S2 O2 L3 E3, de classement de réaction au feu M1,

- Laine de verre de 60 et 100 mm d’épaisseur revêtu d’un kraft de type IBR revêtus Kraft d’origine ISOVER ou équivalent de caracté-ristiques supérieures ou égales.

• Autres Fixations et accessoires

- Feuillards en tôle d’acier galvanisé Z 275 largeur 50 x 1 mm pour tenue de la première couche d’isolant,

- Tôle d’acier galvanisé Z 275 d’épaisseur 0,75 mm,

- Vis autoperceuse Ø 6,3 x 90 pour fixation de la tôle sous l’isolant,

- Sapin plastique pour fixation des plaques de PSE longueur 150 mm.

• Revêtement de sol

- Dalles textiles 50 x 50 cm de type ESCO TEMPRA d’origine ESCO, classement U3 P3 E1 C0,

- Revêtement PVC en lés de largeur 2 m de type SARLON TRAFIC 33/43 d’origine FORBO SARLINO, classement U3 P3 E2 C2,

- Autres revêtement de sol de caractéristiques supérieures ou égales.

2.4 Cloisons intérieures • Panneaux de type FONTEX, 29dB, d’épaisseur 50 mm, finition brute

ou revêtue PVC.

• Cloison monobloc CLIPSOBLOC d’origine CLIPS, d’épaisseur 70 mm à base de parements aggloméré bois collé sur une ossature agglo-mérée âme en laine minérale, revêtement 2 faces PVC ou brut, iso-lation acoustique 38 dB.

• Panneau sandwich métallique d’épaisseur 50 mm, parements tôle 0,5 mm S 250 GD Z 150 prélaqué polyester 25 μm, âme en polysty-rène expansé collée ou laine de roche.

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• Cloison de largeur 145 mm constituée de 2 cloisons précédentes associées.

2.5 Toiture étanchée • Feuille d’étanchéité en PVC plastifié armée RHENOFOL CV fabriquée

par Flachdachtechnologie (FDT) dans son usine de Manheim, arma-ture par grille de fibres synthétiques au centre :

- La couleur du dessus de la membrane est gris, anthracite, blanc, bleu vert ou brique au choix, lisse et mat ; le dessous est gris foncé et mat. L’armature de type tissé présente des mailles d’environ 4 x 4 mm qui s’imprime sur la surface.

- La membrane est composée de PVC-P souple avec plastifiants, pigments et stabilisants. L’armature se compose de fibres synthé-tiques polyester, 1100 dtex, 70g/m3.

- Caractéristiques spécifiées de la feuille RHENOFOL CV : cf. tableau 5.

- Epaisseurs de la feuille RHENOFOL CV : 1,2 mm en terrasse inac-cessible.

• Feuille RHENOFOL CS de FDT : membrane de RHENOFOL C, épais-seur 1,5 mm, de couleur anthracite, qui à subi lors de la fabrication un embossage superficiel procurant à celle-ci une bonne rugosité. La profondeur de cet embossage est d’environ 0,3 mm. Utilisation : les chemins de circulation et les zones techniques.

• Visserie

- Vis autoperceuse SC5/66-DS 2 Ø 5,5 x 80 mm de SFS Intec, pour fixation à travers les pannes et les panneaux sandwiches,

- Vis autoperceuse EVB 2C Ø 4,8 x 75 mm de LR Etanco, pour fixa-tion à travers des panneaux sandwiches.

• Tôle plastée RHENOFOL

- Elle est utilisée pour l’exécution des points particuliers en rive et en tête de relevés. Elle est constituée d’une tôle d’acier galvanisée épaisseur 0,60 mm, sur laquelle est colaminée une feuille de RHENOFOL C épaisseur 0,85 mm. Tôles de couleur gris, anthra-cite, blanc ou brique.

• Colles

- Colle contact FDT n°20 (principe du double encollage) de FDT.

• Confirmation des soudures

- Pâte RHENOFOL (PVC liquide) de FDT.

• Toiles mat de verre : voile de verre de 120 g/m². Utilisation : couche de séparation chimique entre isolant et membrane PVC (étanchéité + isolation en jonction des modules).

• Panneau sandwich d’épaisseur 50 mm MONOWALL ou MONOLAINE d’origine MONOPANEL avec tôle supérieure de 0,50 mm et tôle infé-rieure de 0,63 mm, en acier galvanisé Z 225 prélaqué polyester 15 μm.

• Feuillard en tôle d’acier 0,75 mm de 40 mm de large, galvanisé Z 275.

2.51 Toiture intermédiaire • Bac acier COBACIER 1004 de type MONOPANEL d’épaisseur

0,63 mm, galvanisé Z 275 ou équivalent de caractéristiques supé-rieures ou égales,

• Fixation

Cavalier et vis Ø 6,3 x 75 mm avec rondelle d’étanchéité EPDM à cheminée sous cavalier, de type LR ETANCO ou équivalent.

2.6 Plafond • Profil pour pose du plafond et cloison en acier S 235 galvanisé Z275

et peint en usine.

• Isolation par laine de verre revêtue alu IBR revêtu alu de type ISOVER ou équivalent de caractéristiques supérieures ou égales.

• L’épaisseur de l’isolant dans le plenum est telle que le point de rosée ne se situe pas à l’intérieur du module mais dans l’épaisseur du panneau sandwich de toiture.

2.61 Plafond par dalles acoustiques • Dalles de type FERIA d’origine ARMSTRONG (αw = 0,55),

• Porteur dans le sens longitudinal du module au pas de 600 mm pour la stabilité pour le transport et sécurité des luminaires,

• Entretoise au pas de 600 mm perpendiculaire aux porteurs,

• Suspentes en tôle d’acier galvanisé d’épaisseur 1,20 mm, Z 275 au pas de 1200 mm maximum.

• En zone sismique, plafond dalles acoustiques suivant DTU 58.1.

2.62 Plafond en bac acier Tôle d’acier S 320 GD + Z + EN 10326, galvanisé Z 225 prélaquée polyester.

2.7 Menuiseries

2.71 Menuiserie extérieures • Menuiserie PVC de type OXXO « Clarté » ouvrant à la française ou

0B (AT 6/03-1487) A*3 E*7A V*A2 minimum ou équivalent de ca-ractéristiques supérieures ou égales de dimensions maxi 2 x 1,95 m ou 2,785 x 1,20 m.

• Menuiserie aluminium de type ARCHITECTURAL SYSTEMS « Abys » ouvrant à la française ou OB (Homologation n°081-01-049) A*4 E*9A V*C4 ou équivalent de caractéristiques supérieures ou égales.

• Volet roulant

2.72 Bloc porte intérieur Bloc porte de type BERKLONDO-CD d’origine BERKVENS ou PORTAPHONE d’origine MALERBA ou équivalent de caractéristiques supérieures ou égales.

2.8 Bardage rapporté • Ossature par profilé de type oméga 25 x 60 x 60 x 60 x 25, épais-

seur 2 ou 3 mm de conception bridée en acier galvanisé Z 275, en-traxe maximal 1,20 mm, selon le Cahier du CSTB 3194.

• Tôle d’acier galvanisé 0,75 mm S 350 GD + Z 225 prélaqué selon P 34-301HACIERBA 6-175-25 HB d’origine HAIRONVILLE selon les règles professionnelles bardage.

• Lames métalliques en tôle d’épaisseur 1 mm galvanisé et prélaqué selon la norme P 34-301, SAUTERNE 300 C d’origine PMA Groupe ARCELOR (non visé dans le présent Avis Technique).

• Visserie

- Pour l’ossature : GOLDOVIS Ø 6 x 35 mm de type LR ETANCO ou équivalent.

- Pour la peau : FAT 6 + VA14 Ø 6,3 x 22 de type LR ETANCO ou équivalent.

3. Éléments Les éléments fabriqués en usine sont des modules dont les dimensions standard sont :

• largeur : 2,480 et 2,995 m,

• hauteur maximale : 3,55 m,

• longueur maximale : 13,24 m.

Les modules se juxtaposent et se superposent pour réaliser un bâti-ment R+2 maximum.

3.1 Structure (Partie 1 – fig. 1 et 2) Chaque module est constitué d’une structure auto stable. Les longe-rons de plancher et arbalétrier de toiture sont soudés sur les poteaux formant des cadres dans les deux directions.

3.2 Enveloppe extérieure Les éléments d’enveloppe du module ne participent pas à la stabilité de la structure.

3.21 Paroi verticale (Partie 5 – fig. 11) Les panneaux sandwich de paroi verticale sont mis en œuvre avec leurs rives longitudinales disposées verticalement.

Ils sont maintenus en pied, en tête et le long des poteaux par des profils en U ou double cornière soudées sur la structure avec interposi-tion de bandes de mousse alvéolaires et mastic SIKA 11FC.

Les panneaux sont également maintenus par 2 vis autoperceuses Ø 6,3 avec tête Ø 12 mm par largeur de panneau ou au pas de 600 mm maxi.

En pied, les profils en U sont percés de trous de drainage Ø 9 mm tous les mètres.

3.211 Intégration de menuiseries (Partie 8 – fig. 15 et 16)

Pour l’intégration des menuiseries, les panneaux sont découpés sur toute leur largeur en atelier pour constituer une baie.

Pour les menuiseries en aluminium : le précadre est emboîté par l’intérieur et fixé par rivets intérieurs au pas de 500 mm.

Pour les menuiseries en PVC : le précadre est emboîté par l’extérieur ; la fixation est réalisée par vis autoperceuses avec bouchon par l’intérieur au pas donné par le fabricant.

Dans les deux cas, une étanchéité est réalisée entre le précadre et le panneau par cordon de mastic SIKA 11FC et fond de joint mousse.

3.212 Bardage extérieur (Partie 9 – fig. 17 et 18) La mise en place du bardage n’est pas systématique. Une étude est réalisée au cas par cas suivant la région de vent, la hauteur du mo-dule, l’espacement, la hauteur d’acrotère, etc…

Annulé le : 01/09/2014

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Le profil support, fixé sur les longerons de structure est dimensionné avec une flèche 1/200.

3.22 Toiture étanchée (Partie 3 – fig. 5 à 8) La toiture est constituée d’une membrane PVC fixée mécaniquement sur les panneaux sandwiches métalliques isolants. Ces panneaux sont disposés parallèlement aux pannes et fixés par vis sur celles-ci.

Les panneaux sont de longueur égale à la largeur du module moins 160 mm. La membrane disposée longitudinalement est fixée par l’intermédiaire des feuillards, au travers des panneaux par vis EVB 2C d’origine LR ETANCO et au travers des panneaux sandwich et pannes métalliques par vis SC5/66-D5 de SFS Intec.

3.221 Jonctions Les feuilles sont déroulées sans tension, à recouvrements longitudi-naux de 12,5 cm. Les éventuels recouvrements transversaux sont de 5 cm, décalés entre eux d’au moins 0,30 m, les jonctions en croix sont interdites et seules les jonctions en T sont admises. Les feuilles d’étanchéité RHENOFOL CV s’assemblent entre elles de façon homo-gène et étanche à l’air chaud, ou au solvant. Les surfaces à assembler doivent être sèches, propres, exemptes de résidus de colle.

Soudures à l’air chaud La soudure s’effectue en passant la buse à air chaud (d’un appareil automatique ou manuel) entre les bords à assembler. La température de l’air distribué doit être réglée pour qu’à la vitesse de progression pratiquée, il n’y ait ni combustion du matériau (qui se manifesterait par un dégagement de fumée noire), ni fusion insuffisante (qui se manifesterait par un manque d’adhérence).

Soudures au solvant THF Le solvant est introduit entre les surfaces à assembler avec un pinceau plat avec réservoir. La soudure se fait par dissolution superficielle du matériau. La largeur de soudure effective est de 50 m. Elle peut s’utiliser jusqu’à une température d’air ambiant ≥ ± 5° C et une humi-dité relative de ≤ 85 %. Si ces conditions ne sont pas réunies, les surfaces à assembler doivent être préchauffées à l’air chaud. Il est interdit de diluer le solvant THF au moyen d’eau ou d’un autre solvant.

La soudure est effective après 6 heures au minimum.

L’emploi du solvant est subordonné au respect des consignes d’hygiène et de sécurité du travail, en conformité au mémento de formation aux Etanchéités à base de monocouche synthétique édité par la CSFE.

Contrôle des soudures Toutes les soudures doivent être soigneusement contrôlées, lorsque la soudure est effective, avec une pointe sèche métallique que l’on dé-place le long de la jonction.

Les défauts sont notés au passage, puis réparés, éventuellement par empiècement.

Dans le cas de soudure au solvant, il faut attendre au moins 6 heures avant le contrôle de ces soudures.

Finition des soudures Elle est obligatoire : on dépose un cordon PVC liquide RHENOFOL (∼10 g/m) le long de la jonction, après autocontrôle et le jour même.

3.222 Pose du revêtement en partie courante Les laizes sont disposées perpendiculairement aux panneaux sand-wiches. Elles sont fixées en lisière sous le recouvrement de la laize suivante. On se reporte aux tableaux 3 et 4 qui donnent, en fonction du nombre de rangée de fixations en partie centrale des modules (figure 5 : 1 rangée centrale ou figure 6 : 2 rangées centrales), l’intervalle entre deux fixations : pour la ou les rangée(s) en partie centrale, et pour les rangées de fixation le long des acrotères.

3.223 Relevés Les relevés utilisent les feuilles RHENOFOL CV en bandes distinctes des feuilles de la partie courante. Des pièces en RHENOFOL C (non armé) peuvent être utilisées pour habiller les angles rentrants ou sortants et des formes contournées. Les feuilles de relevés se recouvrent entre elles de 5 cm au moins, soudées à l’air chaud ou au solvant (5 cm mini) et recouvrent la partie courante par un talon de 15 cm au moins, soudé à l’air chaud ou au solvant (5 cm mini), ce talon doit dépasser d’au moins 5 cm le bord du feuillard métallique.

Dispositions particulières complémentaires Les relevés sont libres, fixés mécaniquement en tête ou soudés en tête sur une tôle plastée de largeur 5 cm, elle-même fixée mécaniquement. Les relevés peuvent aussi être collés, avec la colle n°20 de FDT. Les jonctions entre feuilles sont réalisées par soudure.

3.224 Evacuation d’eaux pluviales Elles sont toujours au nombre de deux au minimum par modules. Les raccordements aux tuyaux de descente et aux canalisations s’effectuent au moyen d’une platine en RHENOFOL C.

Les évacuations pluviales sont soit réalisées en pignon avec passage EP en tête de poteau, soit en partie centrale de module avec préper-çage du complexe, préparation des sorties EP, pose des naissances PVC et soudure.

Dans ce deuxième cas, la collecte EP est visitable

3.225 Dimensionnement Le nombre de feuillard et la densité de fixation sont calculés en fonc-tion de la zone et du site de vent par référence :

• aux Règles V 65 avec modificatif n°2 de décembre 1999, en vent extrême,

• à la localisation de chaque ensemble modulaire,

• aux dispositions du Groupe Spécialisé n°5 « Résistance au vent des systèmes d’étanchéité de toiture » (Cahier du CSTB 3229 de juin 2000).

Les tableaux 3 et 4 déterminent les écartements maximaux (en cm) dans les conditions simplifiées des Règles V 65 (avec modificatif n°2 de décembre 1999), qui prennent en compte :

• Des bâtiments d’élancement courant, fermés, à versants plans de hauteur 10 m au plus, et dont les dimensions respectent les propor-tions suivantes, qui conduisent à un élancement = 1 selon les règles V 65 :

- hauteur : h ≤ 0,5 x a et h ≤ b, a = longueur – b = largeur du bâ-timent,

- flèche : f ≤ 4h / 5 dans le cas de versants plans.

• Une charge dynamique admissible par fixation Wadmsr = 583 N / fixation.

• Les pentes des toitures sont au minimum de 1 %

3.3 Planchers (Partie 4 – fig. 9 et 10) Les planchers sont constitués de panneaux à base de bois fixes sur les solives :

• CTB-H : 25 ou 30 mm,

• DURIPANEL : 22 mm.

L’isolation est réalisée par 2 couches de panneaux isolants respective-ment de 100 mm entre solives et 60 mm sous les solives :

• En polystyrène avec feuillards acier de maintien en sous-face,

• En laine minérale avec tôle de maintien de 0,7 mm galvanisée selon la norme NF P 34-310 (Z 275 minimum).

Le module du rez-de-chaussée est posé sur vide sanitaire de 100 à 300 mm suivant les zones techniques.

La surface totale de ventilation du vide-sanitaire : 1/500e de la surface totale du bâtiment.

Les planchers sont revêtus de PVC en lés collés ou de dalles textiles.

4. Dimensionnement Dimensionnement des ossatures réalisé au cas par cas par la Société Yves COUGNAUD suivant règlement en vigueur (CM66-NV65-PS92).

4.1 Fondations • La Société Yves COUGNAUD fournit des plans guides précisant les

descentes de charges pour un dimensionnement au cas par cas.

• Les fondations sont réalisées par une entreprise de maçonnerie suivant les plans d’un bureau d’étude béton.

• Les fondations doivent présenter une tolérance de planéité de ± 0,00 m à – 0,02 m sur l’ensemble du bâtiment avec une vérifica-tion supplémentaire de 5 mm sous la règle de 2 m.

• Pour limiter le glissement au niveau des fondations, les éléments suivants sont mis en place :

- Soit des bandes résiliantes entre les différentes couches du sup-port

- Soit des butées sur chaque angle, soudées ou vissées aux mo-dules.

4.2 Ossature principale (Partie 1 – fig. 4) • Arbalétrier-longeron plancher, pignon plancher, pignon toit, poteau

ossature sont encastrés par soudure formant un module autostable (cadre sur les 6 faces du parallélépipède rectangle).

• Les poteaux renforts sont articulés par soudure sur l’arbalétrier et longeron plancher.

• Les panneaux de mur ne participent pas au contreventement du module.

• Assemblage réalisé à l’atelier avec reconstitution matière minimum des profilés.

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4.3 Ossature secondaire • Les pannes et les solives sont articulées par soudure sur l’ossature

principale.

• Assemblage réalisé à l’atelier.

4.4 Stabilité pendant le transport • Brin d’élinguage de 6 à 8 m

• Flèche admissible des éléments horizontaux sous charges perma-nentes L/250.

• Porteur du plafond dalles acoustiques au pas de 600 mm.

4.5 Assemblage des modules entre eux La configuration du bâtiment final est examinée par la Société Yves Cougnaud au cas par cas.

Selon les règles CM 66, la longueur maximale d’un bâtiment constitué de modules juxtaposés est de 50 m pour des constructions courantes.

• Zone non sismique

- Boulonnage entre module par BO 12 x 45 classe 6-8 à chaque po-teau.

- Emboîtement des modules par tube 100 x 60 x 3, S235 pour évi-ter le glissement entre module.

- Soudure entre niveaux des poteaux si soulèvement.

• Zone sismique

La valeur du coefficient de comportement est pris égal à q = 1 selon les règles PS 92, en restant dans le domaine élastique pour les sec-tions (mode non dissipatif).

- Boulonnage remplacé par soudure entre module ou justification au cas par cas des boulons BO 12 x 4,5, classe 6-8.

- Emboîtement des modules par tube 100 x 60 x 3, S235 pour évi-ter le glissement entre module.

- Soudure entre niveaux des poteaux.

4.6 Liaison fondation-superstructure (Partie 2 – fig. 3)

• Zone non sismique

Lorsque la structure est simplement posée sur les fondations, la jus-tification du non-glissement doit s’effectuer en prenant un coefficient de 0,3 entre fondations en béton et superstructure métallique.

Si le non-glissement est non vérifié, le système résiliant est mis en place avec un coefficient de frottement pris égal à 0,42.

Si le non-glissement n’est toujours pas vérifié, un système de butée au sol est mis en place, dans la direction du glissement.

Dans le cas de soulèvement, un système de fixation au sol par sou-dure sur site est mis en place.

Les chevilles utilisées doivent bénéficier d’un ATE, être marquées CE et être dimensionnées dans les conditions prévues à l’annexe C du guide EOTA 001.

• Zone sismique

- Fixation au sol par soudure sur site sur platine posée par le ma-çon.

• Les chevilles utilisées doivent bénéficier d’un ATE visant l’utilisation en béton fissuré, être marquées CE et être dimensionnées dans les conditions prévues à l’Annexe C du Guide EOTA 001 sous les forces statiques équivalentes résultant du calcul du bâtiment sous séismes et avec les deux conditions supplémentaires suivantes :

- La capacité résistante en cisaillement sous action sismique doit être limitée à la moitié de celle annoncée dans l’ATE pour le cisail-lement statique.

- Le diagramme d’interaction à prendre en compte sous action combinée de cisaillement et de traction doit, sous action sismique, être un diagramme linéaire en lieu et place du diagramme d’interaction quadratique utilisé sous sollicitations statique.

• Eléments secondaires en zone sismique

- Tout déplacement différentiel entre 2 niveaux consécutifs est strictement limité à h/100 suivant règlement en vigueur (PS92).

- Plafond dalles acoustiques suivant DTU 58.1.

• Bardage dimensionné en respectant les règles PS92 § 7.1.

- Ossature fractionnée à chaque niveau,

- Justification de l’ossature dans les trois directions sous combinai-son poids propre + S = 1,8 x m x an.

Les montants ont :

- Une section support Ω 25 x 60 x 60 x 60 x 25, d’épaisseur 2 mm minimum.

- Une hauteur maximale de 3,20 m.

- Un espacement de 0,60 m.

- Justification des fixations sous combinaison de charges poids propres + Sƒ = 1,5 x 1,8 x m x an.

- La fixation de la peau sur les montants est justifiée pour des vis FAT 6 + VA14 – 6,3 x 22, d’origine LR ETANCO.

- La fixation des montants Ω au support est justifiée pour des vis GOLOVIS 6 x 35 mm, d’origine LR ETANCO.

5. Fabrication et contrôle

5.1 Etapes de fabrication • Bureau d’étude

- APS : dessin architecturé,

- Commande : dessin technique détaillé suivant les options.

- Le dessin est créé en utilisant des couches par corps d’état (génie civil avec les différents réseaux, plancher, toit, poteau, plafond, plomberie, VMC, climatisation, électricité).

- Vérification des plans entre collaborateur et ensuite par le respon-sable de chaque pôle.

• Vérifications par un technicien Yves COUGNAUD de la maçonnerie et des réseaux sur le site :

- Contrôle de la planéité et dimensionnelle en plan de la maçonne-rie.

- Contrôle des réseaux d’alimentation en attente pour les modules.

• Fabrication Atelier Yves COUGNAUD

- Réception et contrôle quantitatif et qualitatif des matières pre-mières.

- Chaque module est entièrement fabriqué en atelier Yves COUGNAUD à la Roche sur Yon.

- Les éléments de structure sont assemblés sur différents postes de fabrication en fonction des plans et fiches suiveuses propres à chaque module.

- Les éléments sont ensuite assemblés entre eux pour constituer des modules tridimensionnels.

- En fonction des destinations, les revêtements intérieurs et les équipements sont également disposés en atelier par les équipes spécialisées de la Société Yves COUGNAUD.

5.2 Contrôle A toutes les étapes de fabrication, auto contrôle par l’exécutant et vérification par l’encadrement, test d’électricité, plomberie et des équipements divers.

6. Transport • Attaches des modules sur plateau camion

• Protection aux intempéries par le toit du module et bâchage plas-tique des parties verticales.

7. Mise en œuvre Montage des modules sur site par les propres équipes Yves COUGNAUD

• Mise en place des modules au moyen d’une grue télescopique (la construction s’effectue par juxtaposition et superposition des mo-dules).

• Assemblage des modules entre eux (cf. schémas partie 10).

• Etanchéité entre modules : mise en place de la coque d’isolation, mat de verre et soudure d’une membrane RHENOFOL CV en jonction des toitures en longs pans sur modules. Mise en place d’une mem-brane RHENOFOL C, sur la tôle plastée en jonction des toitures en pignon des modules, fixation par soudure. Installation des crapau-dines. Nettoyage de la toiture terrasse de l’ensemble modulaire.

• Raccordement de réseaux et mise en place des finitions.

A toutes les étapes du montage, autocontrôle par l’exécutant et vérifi-cation par le chef monteur selon la fiche de contrôle Yves COUGNAUD.

8. Identification des modules Chaque module est identifié par une plaque indiquant :

• Adresse Yves Cougnaud,

• N° de série

9. Entretien - Maintenance Les dispositions d’entretien et de réparation définies dans les différents DTU et Avis Techniques s’appliquent selon chaque ouvrage.

Les fiches techniques d’entretien – maintenance sont données par la Société Yves COUGNAUD dans le DOE (Dossiers ouvrages exécutés)

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et/ou rédaction par le coordinateur SPS d’un DIUO (Dossier d’intervention ultérieur sur l’ouvrage).

Nécessite d’un entretien régulier auquel est subordonné la durabilité de l’ouvrage sur les points suivants :

• Nettoyage périodique de la toiture et vérification de l’état de l’étanchéité,

• En cas de blessure accidentelle, le revêtement d’étanchéité peut être facilement réparé, après nettoyage de la membrane dans les zones concernées, par des pièces de membrane, découpées de forme ap-propriée (5 cm en périphérie plus grande que la blessure) et sou-dées selon la technique utilisée pour la jonction des membranes,

• Vérifications périodiques et si des chocs accidentels entraînent une dégradation sur la structure ou les panneaux sandwiches, assurer une remise en état suivant les règles de l’art.

B. Résultats expérimentaux • ATEx n°1209 du 29/10/03 relative au système de toiture avec étan-

chéité fixée mécaniquement.

• Résultats d’essais de résistance au vent de la toiture T004-023.

• Note de calcul de la structure.

• Note de calcul thermique.

• Essais acoustiques.

• Essai AEV sur mur pignon avec menuiserie CL06-025.

• Essai de brouillard salin sur système de peinture.

C. Références Fabrication : 200.000 m²/an.

.

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Tableaux et figures du Dossier Technique

Tableau 2 – Choix des revêtements en fonction de l’atmosphère extérieure

NATURE DU REVETEMENT

Catégories selon

P 34-301

ATMOSPHERES EXTERIEURES

Rurale non polluée

Urbaine et Industrielle Marine Spéciale

Normale Sévère 20 à

10 km 10 à 3

km Bord de mer (< 3 km) (*)

Mixte Forts U.V

Particulière

Polyester 25 µm III à IV — — — —

PVDF 25 µm IV — — —

PVDF 35 µm VI

PUR 35 µm V à VI

PLASTISOL 100 et 200 µm IV à V —

: Revêtement adapté : Revêtement dont le choix définitif ainsi que les caractéristiques doivent être arrêtées après consultation d’accord du fabricant

─ : Revêtement non adapté

(*) : A l’exception du front de mer

Tableau 3 – Toiture – Une rangée de fixations centrales et une rangée de fixations en rive

Zone 1 Zone 2 Zone 3 Zone 4

Hauteur Position normal exposé normal exposé normal exposé normal Exposé

Courante ≤ 23 cm ≤ 23 cm ≤ 23 cm ≤ 23 cm ≤ 23 cm ≤ 23 cm ≤ 23 cm ≤ 23 cm

≤ 10 m Rive ≤ 23 cm ≤ 20 cm ≤ 23 cm < 17 cm ≤ 18 cm ≤ 14 cm ≤ 15 cm ≤ 12 cm

Angle ≤ 19 cm ≤ 14 cm ≤ 16 cm ≤ 12 cm ≤ 13 cm ≤ 10 cm ≤ 11 cm ≤ 9 cm

Tableau 4 – Toiture – Deux rangées de fixations centrales et une rangée de fixations en rive

Zone 1 Zone 2 Zone 3 Zone 4

Hauteur Position normal exposé normal exposé normal exposé normal Exposé

Courante ≤ 29 cm ≤ 29 cm ≤ 29 cm ≤ 29 cm ≤ 29 cm ≤ 29 cm ≤ 29 cm ≤ 29 cm

≤ 10 m Rive ≤ 29 cm ≤ 29 cm ≤ 29 cm < 27 cm ≤ 29 cm ≤ 22 cm ≤ 23 cm ≤ 19 cm

Angle ≤ 29 cm ≤ 22 cm ≤ 24cm ≤ 19 cm ≤ 19 cm ≤ 15 cm ≤ 16 cm ≤ 13 cm

Tableau 5 – Propriétés Rhenofol CV

Caractéristiques Unité Norme d'essai Valeur spécifiée Valeur spécifiée

Épaisseur mm UEAtc 1,2 ± 5 % 1,5 ± 5 %

Masse surfacique g/m2 1 550 – 100 1940 – 120

Allongement à rupture % SIA 280/ DIN 16734 > 10 > 10

Résistance en traction N/50 mm UEAtc > 900 > 900

Retrait libre après séjour à 80 °C % UEAtc 2 stabilisations < 0,5 < 0,5

Résistance à la déchirure amorcée N DIN 53363 (membrane armée)

> 200 > 200

Résistance à la déchirure au clou N UEAtc 310 310

Résistance au poinçonnement statique UEAtc L4 L4

Résistance au poinçonnement dynamique NF P 84-353 D3 D3

Pliage à basse température °C UEAtc aucune fissure à - 20 aucune fissure à - 20

Teneur en plastifiant % UEAtc 33 33

Résistance au pelage entre couches N/mm UEAtc ≥1,6 ≥1,6

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Partie 1 – Vues d’ensemble

Figure 1 – Vue d’ensemble – Coupe de Principe

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Figure 2.1 – Vue d’ensemble – Coupe de principe

Figure 2.2 - Protection des ossatures

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Partie 2 – Structure

Figure 3.0 – Interface module-fondations : système résiliant

Figure 3.1 – Butée au glissement suivant 2 directions orthogonales

béton

Résiliant

Résiliant

Tôle Galvanisée

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Figure 3.2 - Butée au glissement suivant 2 directions orthogonales

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Figure 3.3 - Butée au glissement suivant 1 directions

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Figure 3.4 – Ancrage au glissement soulèvement ou soulèvement seul

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Figure 3.5 – Ancrage au glissement soulèvement ou soulèvement seul

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Figure 3.6 – Principe DC

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Figure 3.7 – Ancrage au glissement soulèvement ou soulèvement seul

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Figure 3.8 – Ancrage au glissement soulèvement ou soulèvement seul

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Figure 3.9 – Ancrage au glissement soulèvement ou soulèvement seul

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Figure 3.10 – Ancrage au glissement soulèvement ou soulèvement seul

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Figure 3.11 – Ancrage zone sismique (Principe 1)

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Figure 3.12 - Ancrage zone sismique (Principe 2)

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Figure 4.1 - Assemblage des éléments d’ossature

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Figure 4.2 - Assemblage des éléments d’ossature

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Figure 4.3 – Assemblage des éléments d’ossature

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Partie 3 - Toiture

Figure 5 – Toiture – Schéma de principe

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Figure 6.1 – Toiture – Une rangée de fixations centrales

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Figure 6.2 – Toiture - Deux fixations centrales

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Figure 6.3 – Toiture – Réparation des fixations

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Figure 7.1 – Toiture – Evacuation EP en pignon

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Figure 7.2 – Toiture – Jonction entre pignons avec EP

Figure 7.3 – Schéma de principe EP

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Figure 7.4 – Toiture PVC - Récupération EP central

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Figure 7.5 – Toiture – Schéma de principe avec EP central

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Figure 8.1– Toiture intermédiaire

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Figure 8.2 – Bac acier pour couverture intermédiaire

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Partie 4 - Plancher

Figure 9.1 – Plancher en panneaux de particules – Isolation polystyrène + sous-face galva

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Figure 9.2 – Plancher en panneaux de particules – Isolation polystyrène

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Figure 9.3 - Plancher en panneaux de particules – Isolation laine de verre

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Figure 10 – Plancher en panneaux de particules entre de 2 modules

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Partie 5 – Panneaux verticaux

Figure 11.1 – Implantation des panneaux de paroi verticale

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Figure 11.2 – Tête et pied de panneau – Coupe sur pignon

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Figure 11.3 – Panneaux – Coupe horizontale

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Figure 11.4 – Détail d’assemblage des panneaux – Coupe sur long pan

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Figure 11.5 – Pied de panneau – Coupe sur long pan

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Partie 6 – Cloisons

Figure 12.1 – Cloison à la jonction de 2 modules

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Figure 12.2 – Principe de liaison en tête de cloison

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Figure 12.3 – Principe de liaison en pied de cloison

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Figure 13 – Configurations des cloisons

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Partie 7 - Plafonds

Figure 14.1 – Plafond suspendu sans plenum – Coupe de principe

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Figure 14.2 – Plafond suspendu sans plenum – Coupe de principe

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Figure 14.3 – Plafond en bac acier – Coupe de principe

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Figure 14.4 – Plafond en bac acier – Coupe de principe

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Figure 14.5 – Plafond suspendu avec plenum – coupe de principe

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Partie 8 – Intégration de menuiseries

Figure 15 - Elévation

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Figure 16.1 – Exemple de jonction sur bloc baie PVC

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Figure 16.2 – Exemple de jonction sur menuiserie aluminium

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Partie 9 – Bardage rapporté

Figure 17 - Bardage extérieur – Implantation des ossatures

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Figure 18.1 - Bardage extérieur en bac acier – Coupes de détail

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Figure 18.2 - Bardage extérieur en bac acier – Coupes de détail

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Figure 18.3 - Bardage extérieur en bac acier – Coupes de détail

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Figure 18.4 - Bardage extérieur en bac acier – Coupes de détail

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Figure 18.5 - Bardage extérieur en bac acier – Coupes de détail

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Partie 10 – Assemblage entre modules sur chantier

Figure 19.1 – Juxtaposition modules hors zone sismique

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Figure 19.2 – Emboîtement entre niveaux

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Figure 19.3 – Soudure entre niveau (vent et séisme)

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