actions 2015/2016

76
Assemblée Générale du SEPM 7 juillet 2016

Upload: ledat

Post on 13-Feb-2017

221 views

Category:

Documents


3 download

TRANSCRIPT

Page 1: Actions 2015/2016

Assemblée Générale du SEPM 7 juillet 2016

Page 2: Actions 2015/2016

Un contexte économique tendu

Page 3: Actions 2015/2016

3

Un marché publicitaire difficile

• 2015 : -5.6% (PQN à -6.7%, « médias historiques »*stables). IREP

• 2016 : 1er trimestre à -4.9% (PQN à -10.5%, « médias historiques »* à -0.1%. IREP)

• Prévisionnel -8.2% sur l’ensemble de l’année. Zenith

Diffusion print : vente au numéro et abonnements en baisse en 2015

• DFP : Baisse de 6.9% , -20% en 3 ans.

• VAN : -6.7% en volume, -2% en valeur. Baisse d’1/3 en volume en 5 ans et d’1/4 en valeur.

• Les abonnements jouent moins leur rôle stabilisateur : -5.8% , -13.6% en 3 ans.

* « Médias historiques » : TV, radio, cinéma, presse, publicité extérieure

Page 4: Actions 2015/2016

4

Numérique : des ventes en hausse mais encore peu significatives

• Près de 3% de la diffusion, des ventes qui ont plus que doublé en 2015, en incluant les ventes tiers.

Audience : des audiences tirées par le numérique

• Toutes les familles de presse magazine profitent de l’apport de la mesure tablette dans One Global V1 2016.

• Total magazines : +5.1% avec tablette, -2.8% sans. One Global V1 2016.

• Les Français lisent en moyenne 5.6 titres de presse, dont 4.3 magazines. (4.6 en 2014). ONE 2015

Page 5: Actions 2015/2016

La tension du marché crée les conditions d’un travail de rationalisation de la filière. Un SEPM solidaire y montre sa totale détermination par sa pugnacité et l’efficacité de ses actions.

Page 6: Actions 2015/2016

6

1. Rationalisation des outils de mesure : la création de l’ACPM

La fusion Audipresse/OJD : le projet d’une « maison des études » qui assure :

• Une promesse d’efficacité pour les utilisateurs

• Une gouvernance qui permet à la presse magazine de peser (41 % de part de voix au CA, 43 % au comité Audience et sa présidence, 25% au comité Diffusion)

• L’obligation d’organiser en amont la position de chaque famille de presse

• Une réflexion prospective sur l’évolution des études (le think tank)

• La simplification et la dématérialisation des procédures de contrôles

• Des économies de fonctionnement

Déjà d’importantes décisions sur les ventes numériques (tarif minimum abonnements, ventes tiers, notamment)

Page 7: Actions 2015/2016

7

Le SEPM déménage … pour participer à la création de la « maison de la communication »

La création de l’ACPM a été l’élément déclencheur du déménagement du SEPM

Périmètre du projet : ACPM/ SEPM/ IAB/ Affimétrie… au moins

Plus de partage et d’échanges, et des économies

44 rue Cambronne ( XVe), 1er novembre 2016

Prise à bail par l’ACPM

35 % d’économies pour le SEPM sur les frais de location

Page 8: Actions 2015/2016

8

2. Tarifs postaux et barèmes messageries : 2 dossiers où la solidarité et la détermination de la presse magazine s'expriment

La perspective d’une discrimination par les contenus portait en germe le risque d’une rupture de solidarité entre magazines

L’enjeu politique et économique a permis de souder le CA du SEPM et de construire une réponse puissante, signe de détermination

Même unité et fermeté de la position dans le débat sur les barèmes, au sein du CA Presstalis. Pour le SEPM, les deux familles de presse doivent tendre vers le même taux d’intervention, ce qui ne signifie pas que les quotidiens doivent couvrir leur déficit

Page 9: Actions 2015/2016

9

3.Réforme de la distribution : un grand pas en avant … que menace la crise des MLP

La nouvelle gouvernance MLP avait permis, tout en maintenant une saine concurrence, d’engager les réformes structurelles et de dégager les économies nécessaires à la filière distribution

Des projets stratégiques ont avancé grâce au dialogue industriel entre les deux messageries : schéma directeur et décroisement des flux; SI commun; référentiel réseau

De très nombreuses interrogations suite à l’AG MLP du 21 juin

Une nouvelle équation sociale difficile ?

Page 10: Actions 2015/2016

4.Les Magazines de l’Année nouvelle formule : une démonstration d'énergie et de confiance dans l'avenir du média

Une mobilisation plus importante de la profession

Institutionnels et partenaires impressionnés par l’énergie et la passion de la profession

10

Un message fort dans tous les magazines, et en affichage chez Relay :

« Avec du recul la presse magazine vous donne de l’avance »

Page 11: Actions 2015/2016

11

5.Publicité : création d'une filière communication

Périmètre : SEPM/AACC/Udecam/SRI/IAB/SNPTV/UPE/IREP/Syntec RP

Un travail collaboratif inédit, emmené par Mercedes Erra

Visée : présenter à E . Macron en novembre un projet de « contrat de filière » Catalogue de mesures destinées à répondre aux objectifs partagés

La publicité, levier de croissance, d’innovation, de transformation sociale, et de valeur pour les entreprises

Nécessaire stabilité des modèles économiques, environnement juridique et fiscal, enjeux de la propriété intellectuelle et de la rémunération

Une quinzaine de propositions concrètes, qui vont de la création d’un observatoire de la publicité à une « pause réglementaire » …

Page 12: Actions 2015/2016

La Poste, priorité n°1 du SEPM

Page 13: Actions 2015/2016

Le contexte

Quelle équation tarifaire pour l’après-Schwartz ?

Sur le papier, le déficit postal est « réputé réglé »

Mais la baisse de la dotation publique vs/ les accords et la question du moratoire donnent des leviers à la Poste

Baisse des volumes postaux dans une économie de coûts fixes

La Poste bénéficie du soutien de l’Etat-actionnaire, sans parler de son poids politique et social

Le rapport Giannesini, jamais publié, ne remet pas en cause la construction du déficit du transport postal de presse. Il aurait préconisé des augmentations de tarifs ahurissantes, déclarées irréalistes par l’ensemble des parties

13

Page 14: Actions 2015/2016

Les arguments du SEPM

Les coûts affectés au transport et à la distribution de la presse sont pour partie artificiels. La Poste ne veut (peut) pas en convenir car il en va du maintien de la dotation publique

Le magazine est un produit postal idéal : volumes, régularité, prévisibilité, homogénéité et niveau de préparation

Pour les magazines, la Poste française est la plus chère d’Europe (objet moyen tarifé 8 % au dessus de la moyenne UE) hors cas GB atypique

Les hausses tarifaires prévues sont mortifères pour la Poste elle-même (compétitivité du portage pour un nombre croissant de titres)

Nécessité d’un accord industriel avec la Poste

Page 15: Actions 2015/2016

Juin 2015 : les arbitrages gouvernementaux ruinent une discussion de 18 mois menée avec la Poste, proche d'aboutir

Après 18 mois d’intenses négociations incluant la remise à plat des process

postaux, le SEPM et la Poste étaient proches d’un accord :

- à 2,5% (SEPM) ou 3% (La Poste) inflation comprise

- assorti d’un principe de forfait (engagement sur des volumes à l’année)

pour les gros volumes, et d’une livraison en vrac pour les fichiers les moins

préparés (liasses département, toute France à trier)

15

Page 16: Actions 2015/2016

Décision de classer les titres non IPG en 2 catégories : « loisir et

divertissement », et « connaissance et savoir »

Une commission de magistrats aurait procédé au premier classement

Trajectoires tarifaires différenciées : + 5 % et + 3 % respectivement, hors

inflation, de 2017 à 2022 (ie + 38 % et + 23 % sur la période, incluant 2016)

IPG : + 1 %/an (soit + 7,2 % sur la période). QFRP sans augmentation

16

Page 17: Actions 2015/2016

Le SEPM engage des actions puissantes, inédites dans leur ampleur

Recours à des conseils extérieurs à l’expertise reconnue :

• O. Salesse sur l’économie postale

• Cabinet Fréget sur les aspects juridiques / concurrence

• Agence Madame Bovary pour le projet de campagne

L’investissement du SEPM et l’engagement budgétaire sont à la hauteur de l’enjeu

Page 18: Actions 2015/2016

Une riposte du SEPM en deux axes : 1. Le volet politique

18

Combattre la discrimination entre genres éditoriaux qui signe une ingérence de l’autorité publique dans les contenus (la « bonne » et la « mauvaise » presse) :

• Par un recours en excès de pouvoir basé sur l’atteinte aux libertés fondamentales :

‒ Rupture d’égalité devant le Service Public sans motif d’intérêt général

‒ Atteinte à la liberté d’expression

‒ Atteinte au pluralisme de la presse

‒ Violation des règles de concurrence

Page 19: Actions 2015/2016

19

• Par une campagne de communication très puissante dans tous les titres de la presse magazine, mettant en lumière le mépris manifesté à l’égard de la presse populaire.

Page 20: Actions 2015/2016

2. Le volet économique : définir une équation tarifaire acceptable Convaincre les pouvoirs publics (dont Bercy) de l’aberration des hausses

tarifaires prévues

Le SEPM obtient de la DGMIC la commande d’un benchmark tarifaire européen incontestable

Maintenir la pression sur La Poste par une action juridique puissante, inspirée du modèle Telecom :

• Demande d’ « offre spécifique » dégroupée, les éditeurs agissant en tant que clients mais aussi en se constituant opérateur postal (lettre AR du 01/06)

• Si offre insatisfaisante, saisine de l’ARCEP en « règlement de différend »

• Possibilité d’action devant l’ Autorité de la concurrence ou la Commission UE

Page 21: Actions 2015/2016

21

Abandon du projet de segmentation des titres confirmé officiellement par le cabinet de la Ministre de la Culture le 24 juin

Intenses discussions autour de la fixation du niveau des augmentations postales (La Poste, la Culture, Bercy, Matignon)

Quelques sujets résiduels dans l’équation tarifaire générale (moratoire, suppléments)

Le SEPM maintient sa pression et engage la constitution d’un transporteur postal alternatif (travail engagé avec Presstalis, France routage)

Aboutissement à la fin de l’été ?

Une première victoire, mais beaucoup reste à faire…

Page 22: Actions 2015/2016

Les conditions d’une accélération de la réforme du système de distribution sont-elles encore réunies ?

Page 23: Actions 2015/2016

Les avancées à date, permises par un nouveau dialogue entre messageries

23

Contexte : VAN - 11% en volume pour les deux messageries en cumul à fin avril, effet Charlie compris. -8,28 en CA

Plusieurs chantiers menés de façon concertée, dans l’intérêt de l’ensemble de la filière :

• La finalisation du schéma directeur

• Le SI commun

• Le projet de redéploiement de la presse dans les centres-villes où les points de vente traditionnels ferment

Page 24: Actions 2015/2016

Economies, évolution du chiffre d'affaires et barèmes : l'équation économique de Presstalis

24

Les plans d’économie ont été tenus, synonymes d’une baisse considérable d’effectifs (1100 personnes)

En perte jusqu’en 2012, Presstalis est in boni depuis 2013

Le résultat annuel doit être porté à 15-20M€. Cet objectif est repoussé de 2017 à 2018 (retard S.I)

L’enjeu des barèmes : un même taux d’intervention pour les quotidiens et les magazines. Puis, si nécessaire, une hausse très réduite qui permettrait de préserver les équilibres fondamentaux de la messagerie

Une question délicate en cours de traitement. Le CSMP et l’ARDP sont garants des équilibres généraux du système.

Page 25: Actions 2015/2016

SI commun

Un objectif à 10 M€ d’économies par an pour la filière, reporté à 2018. Coût d’investissement (build) et d’exploitation (run) pour chaque messagerie à traiter dans le cadre de la SCIDP sous le contrôle du CSMP

Un sujet très complexe, du fait des spécificités de la presse :

• TMS (gestion du transport) et WMS (gestion de la répartition au N2) mis en place

• APS (prévision des ventes et réglage par PDV) a pris du retard : S2 2016 pour les quotidiens, 2017 pour les magazines (Prisma Media et Uni-Editions en test en septembre 2016)

• Facturation N3 / portail diffuseurs : 2018

Page 26: Actions 2015/2016

Rémunération N3 : la demande pressante de l'UNDP

26

Contexte : 24 800 points de vente actifs à date. 1000 PdV perdus par an (-4% en 2015)

Le plan rémunération voté en 2014 : +0,5 point en 2015, +0,5 en 2016, +0,7 en 2017, ce dernier sous condition de réalisation d’économies suffisantes dans la filière

Sur la base d’une grille établie à partir des travaux du SEPM, ces augmentations ont commencé à bénéficier aux éléments les plus performants du réseau

L’UNDP rappelle les éditeurs, les messageries, le CSMP et les pouvoirs publics à leurs engagements

Le respect du calendrier nécessite de lancer dès septembre 2016 l’analyse :

• de l’évolution des charges assurées par les différents acteurs du N2

• d’un système de rémunération par unité d’œuvre tenant compte de ces évolutions

Page 27: Actions 2015/2016

Le SEPM ouvre une réflexion sur la capillarité de centre-ville

27

25 % de la baisse de CA en VAN est imputable à la fermeture des points de vente

Le centre-ville concentre la clientèle de la presse magazine

La proposition : identifier les opportunités d’un retour de la presse à travers le réseau du commerce organisé (Monop’, A2Pas, Carrefour Market…)

Un groupe de travail est lancé à l’initiative du SEPM, en concertation avec le CSMP

Page 28: Actions 2015/2016

Loi de transition énergétique : les actions du SEPM diminuent l’impact pour les éditeurs

Page 29: Actions 2015/2016

Un contexte politique sensible

29

La LTE en discussion pendant la préparation de la COP 21

Une loi portée par Ségolène Royal, ministre de l’Ecologie et du Développement Durable

Nécessité de dépasser les oppositions entre les familles de presse

Le sujet des plastiques (blisters) jugé non négociable

Des risques particulièrement lourds :

• Eco-contribution papier : risque évalué aux alentours de 24M€ annuels sur l’ensemble du tirage de la presse magazine

• Interdiction des blisters non biocompostables au 1er janvier 2017 : risque de multiplication de la facture emballages par 3 ou 4 (+ 6 à 9M€ annuels pour la presse magazine)

Page 30: Actions 2015/2016

Eco-contribution papier : de gros risques évités

30

La mise en place par le SEPM de campagnes volontaires d’incitation au tri dès 2009 a été décisive

Un lobby du SEPM efficace au moment du vote de la loi et au sein de la mission parlementaire Bardy-Miquel :

• Le principe d’une contribution « en tout ou partie » en nature pour la presse est inscrit dans la loi

• Assujettissement de la presse sur des critères environnementaux et non de contenu (décision du Conseil constitutionnel)

• La sur-pondération du papier recyclé n’a pas été retenue. Elle aurait handicapé les magazines.

• Les invendus sont sortis de l’assiette de contribution

• Application d’un abattement forfaitaire de 10 à 15% sur le tarif du barème éco-différencié (54€/tonne) pour les exemplaires lus en entreprise

Page 31: Actions 2015/2016

Le décret publié hier au JO confirme les propositions du rapport Bardy-Miquel

31

La base : BED d’Eco-Folio et système de bonus-malus (10% max de bonus / 15% max de malus) + abattement forfaitaire presse

4 critères pour déterminer la part en nature/en cash. Chacun valorisé à 25 % :

1. Papier 100% recyclés ou issus de forêts durablement gérées. A partir de 2020 : au moins 50% de papier recyclé.

2. Pas plus d’un élément perturbateur de recyclage (vernis UV, colle, échantillons…). A partir de 2020 : le blister abonnés sera considéré comme un élément perturbateur de recyclage

3. Distance papetier imprimerie plateforme de distribution (Presstalis, STP…)

< 1500 KM.

4. Transparence sur les caractéristiques environnementales des produits (logo Triman, indication de l’origine du papier…)

(Les pages de publicité sont valorisées à 50% du montant brut pour calcul de la contribution en nature)

Page 32: Actions 2015/2016

La facture finale est allégée pour les éditeurs

32

Pour la presse magazine dans son ensemble : 13M€ (vs 24)

Pour les titres : une estimation réalisée par le SEPM (11 éditeurs, 70 titres) donne une répartition nature/finances à 80%/20%

Corrélativement, nombreuses pages de publicité à prévoir (20-25 pour certains titres TV)

Deux dossiers techniques à constituer d’ici 2020

• Pour sortir les blisters de la liste des éléments perturbateurs de recyclage

• Pour démontrer que l’objectif de 50% de fibres recyclées en 2020 est inatteignable

Un outil SEPM qui vous permet de calculer l’impact pour vos titres

• Constitué en deux volets : le premier pour la situation entre 2017 et 2020 et le second anticipant l’après 2020

Page 33: Actions 2015/2016

Blisters : le SEPM travaille à des solutions alternatives

33

La sensibilité du sujet impose des réponses techniques :

• Le SEPM parvient à réorienter la stratégie de la filière vers une approche technique globale vs/ la recherche d’une impossible modification législative d’ici fin 2017

• Présenter à la Direction générale de la prévention des risques (Ministère de l’Ecologie et du Développement durable) un plan de montée en charge graduelle des emballages respectant la législation afin d’obtenir un moratoire des sanctions, que la loi ne prévoit d’ailleurs pas

Deux pistes principales identifiées par la commission DD du SEPM :

• L’offre à découvert de la Poste (acheminement sans emballages)

N’intéresse pas tous les titres (bloc adresse = ¼ de page, problème des encarts jetés, question de la protection des exemplaires)

• L’emballage papier, une piste prometteuse à approfondir :

- Bons résultats des tests réalisés par Bayard

- Négociations en cours avec la Poste sur la neutralisation du surpoids

- La question de l’investissement pour les routeurs (10M€ pour l’ensemble des acteurs)

Page 34: Actions 2015/2016

Au plan social

Page 35: Actions 2015/2016

Le SEPM continue à animer le dialogue social, là où la situation de la branche le permet

35

Création d’une complémentaire santé dédiée aux journalistes pigistes :

• Signature en septembre d’un accord collectif par l’ensemble des syndicats de journalistes et des organisations patronales de presse, après 18 mois de négociation, étendu à l’audiovisuel :

- En réponse à l’obligation légale d’une couverture santé pour tous (01.01.2016)

- Pour sécuriser le principe d’un traitement différencié au regard de la notion de « catégorie objective » (validation du dispositif par la DSS )

• Evolution corrélative du régime de prévoyance (complément de financement de 0,327 %) :

- Mutualisation entre formes de presse, et cofinancement par tous les employeurs

- Le régime de santé intègre le maintien des garanties (portabilité)

- Création d’un fonds collectif pour la santé : démarches allégées pour l’entreprise, et régime piloté par la profession

- Un dispositif ouvert à tous les pigistes…mais la prise en charge par le fonds varie selon le montant de cotisations versé par l’employeur (0,08% PASS = 7608 € de piges /an)

Page 36: Actions 2015/2016

..

Adoption d’un nouveau cadre conventionnel pour la formation professionnelle pour les journalistes rémunérés à la pige

• Signature d’un accord interbranche presse avec le SNJ, la CFTC et la CFE-CGC (09.03.2016) après 4 mois de négociation permettant une entrée en vigueur dès 2016. La procédure d’extension est en cours.

• Adaptation de l’application de la loi du 5 mars 2014 aux spécificités des pigistes, dans l’esprit de l’ancien accord de 2009 devenu obsolète :

- Faciliter leur accès à la formation et sécuriser les fonds dédiés

- Maintien d’un dispositif mutualisé et d’une gestion externalisée par l’AFDAS

- Reconstitution de la commission paritaire dédié, avec un budget dédié

• Prise en compte de la réaffirmation de l’obligation légale de formation de l’employeur et de la baisse de la contribution légale de 1,6 % à 1% :

- Instauration d’une contribution conventionnelle de 0,3 % (montant annuel brut des piges)

- Création d’un « suivi de parcours de professionnel personnalisé »

- Allocation pour l’indemnisation des formations sous la forme d’un forfait horaire versé aux pigistes.

Page 37: Actions 2015/2016

Mais la situation économique l'oblige à dénoncer les conventions collectives et à ouvrir des négociations

Dénonciation des conventions collectives des cadres et des employés, des annexes (barèmes). Organisation d’une réunion le 6 avril pour exposer le contexte aux syndicats :

− Situation économique, tous les autres leviers de coûts ont été actionnés

− besoin d’adaptation du cadre social pour préparer l’avenir et rebondir

Les points ouverts à la négociation :

• Les indemnités de licenciement

• Les indemnités de départ et de mise à retraite

• La période d’essai

• Le champ d’application des conventions

• Le remplacement

Les négociations, ouvertes le 21 juin, se déroulent selon un calendrier déterminé (une réunion/mois sur douze mois) dans un climat très tendu.

37

Page 38: Actions 2015/2016

Le statut du journaliste reste sanctuarisé..

• Une Convention collective interprofessionnelle (presse écrite, radio, audiovisuel)

• Le code du travail (montant des indemnités de licenciement, Commission arbitrale clause de cession)

Vers un renforcement des principes déontologiques dans la loi de 1881 ?

‒ La proposition de loi « liberté, indépendance et pluralisme des médias » dite Bloche instaure un droit de refus du journaliste et oblige chaque entreprise à se doter d’une charte de déontologie

‒ A ce stade de la discussion la notion d’« intime conviction » du journaliste a été évitée, au profit du recours aux principes déontologiques de l’entreprise

‒ Le sénat plus à l’écoute des arguments des éditeurs que l’Assemblée nationale (échec de la CMP)

‒ Le SEPM reste vigilant pour maintenir une solution équilibrée et respectueuse des organisations de travail et des modes de collaboration dans les entreprises

‒ Les avancées sur le secret des sources seront en revanche intéressantes, compte tenu de la position de l’Assemblée nationale (sur le délit de recel de violation de secret de l’instruction notamment )

Page 39: Actions 2015/2016

Améliorer le modèle économique du web

Page 40: Actions 2015/2016

L’enjeu de la création d’un droit voisin pour les éditeurs de presse

• Etudiée au niveau européen (réforme de la directive « société de l’information » de 2001)

• La France s’est également emparée du sujet (« mission Franceschini »)

• Constat : les droits des éditeurs ne sont plus suffisamment protégés dans l’univers numérique

• Demande d’un droit voisin attaché au « titre de presse », sur le modèle de l’audiovisuel

Créer un véhicule juridique pour :

- Maîtriser l’autorisation d’utilisation des contenus

- Faire reconnaître qu’au-delà du droit d’auteur qui rémunère les contenus existe une valeur additionnelle qui doit être rémunérée (id. radio, événements sportifs)

- Dans ce schéma-là, peuvent être traités les agrégateurs, la copie privée…

Page 41: Actions 2015/2016

La question des cookies

41

Intervention de la CNIL pour faire respecter ses recommandations « cookies » issues de la loi de 2011 (modifiant la loi de 1978)

Enjeu principal : le consentement préalable au dépôt de cookies

• Risque maximum évalué à 20% du CA publicitaire (d’après taux de rebond hors scroll)

• Absence de maitrise de l’éditeur en raison de la forte intermédiation (programmatique…)

• Inflexibilité particulière de la CNIL française

La profession multiplie les initiatives :

• Rencontre avec la présidente de la CNIL. Engagement sur un moratoire relatif à la question du consentement préalable, dans l’attente d’un benchmark européen

• Rendez-vous avec le cabinet Lemaire

La révision de la directive « e-privacy », occasion de faire évoluer la législation européenne

Néanmoins, tendance de l’UE à un durcissement de la protection des données personnelles

Page 42: Actions 2015/2016

La question des adblockers

42

Une menace grandissante pour le modèle économique numérique qui oblige à une réaction collective

• Le taux d’utilisation des adblockers est estimé en France entre 15% et 30%, avec une projection de 50% dans 3-4 ans.

• Mi-2015, un manque à gagner évalué à 20% des recettes publicitaires. Un taux de pages bloquées de l’ordre de 25%.

Une opération du Geste soutenue par le SEPM

• 30 sites d’éditeurs du SEPM ont participé à l’opération lancée le 21 mars.

• plusieurs formes : du simple message pédagogique soulignant l’importance de la publicité, au blocage partiel ou total de l’accès au contenu.

Baisse moyenne du taux d’adblocking comprise entre 10 et 20%

Pas de « bad buzz » significatif

Pas de baisse d’audience observée

Un renouvellement de ce type d’opération

S’engager sur des formats non intrusifs…?

Page 43: Actions 2015/2016

Comment appréhender les nouvelles formes de diffusion numérique de la presse ?

43

L’enjeu des audiences déportées (Facebook Instant Articles, Google AMP…)

• Question posée à l’ACPM et à Médiamétrie : faut-il comptabiliser l’audience réalisée par les éditeurs sur ces plateformes dans leurs chiffres d’audience ?

• Décision ACPM : Courbe d’expérimentation insuffisante pour une décision à date

L’enjeu de la convergence contenus-réseaux : SFR Presse

• Les exemplaires diffusés via SFR Presse (17M d’abonnés au total, dont 14M pour lesquels l’offre est incluse dans le forfait) doivent-ils être considérés comme de la diffusion individuelle ou de la diffusion par tiers ?

Apres discussion, recommandation d’une qualification de « diffusion par tiers » (facture TTC inchangée, absence de consentement explicite)

• Les éditeurs estiment majoritairement que cette évolution ouvre des perspectives intéressantes

• Nécessité d’accompagnement et d’adaptation en fonction de la courbe d’expérience

Page 44: Actions 2015/2016

La sécurisation des contenus

Page 45: Actions 2015/2016

La sécurisation des contenus : un objectif pour le SEPM

45

La prestation de veille contre le cyber-piratage avec Leak ID depuis 2012

Aujourd’hui 14 éditeurs, 38 titres

• 525.000 liens supprimés au total, 200.000 cette dernière année. • plus de 1.2 million de liens Google notifiés • Dépasser 50 titres permettrait de bénéficier de tarifs encore plus

avantageux…

… partagé avec la filière photo

Implication particulière du SEPM dans le comité de suivi des accords Brun-Buisson (recommandations sur champs IPTC, solutions technologiques de protection des photos)

Page 46: Actions 2015/2016

Une nouvelle formule des MDA qui implique le réseau de vente

Page 47: Actions 2015/2016

Le partenariat avec Relay mobilise les gérants et apporte dynamique et visibilité aux MDA

47

Le palmarès tenu secret permet de conserver le suspense et l’intérêt de tous les participants jusqu’à la remise

Les 12 participants Relay au Jury apportent de l’enthousiasme, de la fraicheur et une plus forte sensibilité commerciale

Important relais affichage et écrans de la campagne presse magazine dans 750 points de vente, en plus des 113 titres qui l’ont publiée

Forte communication de Relay sur le Prix auprès de son réseau de gérants

Une image très positive du média transmise à Relay, réseau de vente majeur pour la presse magazine, et au-delà.

Mise en avant des lauréats via :

• Un totem dans 200 points de vente Relay

• Une animation sur les écrans extérieurs de ces points de vente

Page 48: Actions 2015/2016

48

Les Magazines de l’Année : reflet de la diversité et des talents du média presse magazine

Prix de l’innovation

Magazine de l’année

Meilleure enquête

Meilleur coup éditorial

Meilleure couverture

Meilleur développement

de marque

Magazine passion

Coup de cœur SEPM

Coup de cœur Relay

Page 49: Actions 2015/2016

Le SEPM organise la visibilité de la presse magazine auprès de différents publics

Page 50: Actions 2015/2016

Le mois de la presse culturelle – 6e édition

50

Une opération du groupe de la presse culturelle

Juillet/août 2016 : mise en avant d’un « espace culturel » en points de vente via deux opérations sur les réseaux de diffusion Relay et Nap, au moment stratégique des départs en vacances d’été :

‒ Relay : 8 titres dans 120 points de vente

‒ Nap : 8 titres dans 200 points de vente

Une opération supplémentaire est à l’étude avec le réseau traditionnel et GMS pendant les vacances de la toussaint 2016.

Le mois de la presse culturelle 2015 avait permis de constater :

‒ une augmentation moyenne des ventes de 17% vs/ les parutions homologues

‒ +25,8 points d’impact promo

Page 51: Actions 2015/2016

L’enjeu de la lecture des jeunes

51

Deux initiatives du groupe de la presse jeunesse du SEPM :

Un « kiosque de la presse jeunesse » au Salon du livre et de la presse jeunesse de Montreuil (décembre 2015) :

‒ 139 000 visiteurs malgré le contexte post-attentats

‒ des conférences pour les professionnels, un atelier de dessin et plusieurs animations

‒ visite du stand par Fleur Pellerin, Ministre de la Culture

Un livre numérique « La presse jeunesse ! » pour valoriser la richesse et les engagements de ce segment de presse, exception culturelle en Europe.

Le SEPM à nouveau partenaire de la semaine de la presse et des médias à l’école

• Une exposition numérique sur le thème « Le dessin de presse : de la conquête de la liberté d’expression au rempart contre l’obscurantisme », incluant une réflexion sur le jugement critique

• La semaine de la presse et des médias dans l’école touche 200 000 enseignants et plus de 3,5M d’élèves

Page 52: Actions 2015/2016

Le SEPM remercie les présidents de ses groupes et commissions

Commission Retail / Distribution : Serge HAYEK - Directeur Commercial réseau et Marketing PRISMA MEDIA

Commission Juridique : Sabine MADELEINE - Directrice juridique GROUPE BAYARD PRESSE

Commission Sociale : Jusqu’en mars, Florence GUEMY - Directeur des Ressources Humaines et du Développement Projet GROUPE BAYARD PRESSE

Commission Développement Durable : Véronique FAUJOUR - Directrice générale UNI EDITIONS

Commission Poste / Abonnements : Philippe MENAT - Directeur commercial GROUPE NOUVEL OBSERVATEUR

Groupe Stratégique Numérique : Arnaud de SAINT SIMON - Président du Directoire, PSYCHOLOGIES MAGAZINE

Groupe Presse Culturelle : Philippe CLERGET

Groupe Presse Jeunesse : Pascal RUFFENACH - Directeur Publics Jeunesse GROUPE BAYARD PRESSE

Page 53: Actions 2015/2016

3. Bilan d’activités du SEPM Marketing & Publicité

Bilan & Perspectives

Page 54: Actions 2015/2016

Le contexte publicitaire

Page 55: Actions 2015/2016

LE CONTEXTE PUBLICITAIRE

Page 56: Actions 2015/2016

LE CONTEXTE PUBLICITAIRE

Page 57: Actions 2015/2016

LE CONTEXTE PUBLICITAIRE

Page 58: Actions 2015/2016

PRINCIPALES

ACTIONS 2015-2016

Page 59: Actions 2015/2016

Dans un marché fortement baissier les membres du Sepm M&P ont décidé une réduction des cotisations 2016 de -27% (en moyenne) avec une réduction significative du budget alloué au fonctionnement et aux actions.

La valorisation du média magazine auprès des utilisateurs annonceurs et agences par :

- La continuité du Grand Prix de la Publicité, dans une nouvelle forme

- Une participation active à la « reconquista » de la presse menée par l’ACPM

- La communication notamment sur les opérations spéciales

La mise en œuvre du référentiel presse/digital pour instituer les normes des nouveaux modes de commercialisation du média

Le SEPM M&P fait l’unique interface entre l’ensemble des régies/titres adhérents et les acteurs du marché : les annonceurs (UDA; Club des Annonceurs), les agences (UDECAM; AACC), les études d’audience (ACPM).

Mission du SEPM Marketing & Publicité

Page 60: Actions 2015/2016

Le SEPM Marketing & Publicité Actions 2015-2016

Page 61: Actions 2015/2016

Le Grand Prix Les opérations spéciales

Les partenariats NetIndex

I- Valorisation du média

Page 62: Actions 2015/2016

La com

Constat

Après un millésime exceptionnel marquant 30 décennies du prix, le

Sepm M&P renouvelle le 31ème Grand Prix qui est la référence en

matière de création publicitaire pour les annonceurs et les agences.

Le nouveau Grand Prix

Page 63: Actions 2015/2016

La com

Donner envie aux agences de création et aux annonceurs d’utiliser les marques magazines

Véhiculer la modernité du média

Faire du Grand Prix un outil de promotion en amont et en aval de l’événement

Intégrer le digital et la « marque presse » dans sa globalité

Améliorer la qualité des débats

Optimiser le budget

Le nouveau Grand Prix - Objectifs

Page 64: Actions 2015/2016

La com

Date de la sélection : 13 & 14 octobre à Trouville

Pré-Jury /Présélection réalisée par un jury d’experts dont l’objectif est de présenter au

Jury final moins de campagnes pour la sélection avec plus de débats.

Un palmarès intégrant un prix créatif digital

Un nouveau logo pour une nouvelle génération (4ème décennie) de Grand Prix (en cours)

A l’issue du palmarès, un book/magazine avec du contenu sur les tendances observées

et à venir en publicité magazine sera distribué au marché.

Campagne offerte pour le lauréat et son agence en créant une page de « contenu »

permettant au binôme de s’exprimer sur la campagne gagnante et sur le rôle de la

presse magazine dans la stratégie de com.

Le nouveau Grand Prix

Durée du Grand Prix : 1 jour/1 nuit

Page 65: Actions 2015/2016

Actions 2015/2016

Le SEPM M&P adresse à 17 000 contacts des eflashs sur ses actions et sa newsletter des « Opé Spé. » qui renvoient sur le site.

Depuis 2015, plutôt qu’un édito, c’est une interview d’annonceurs qui a été mise en avant avec les témoignages de Carte Noire, YSL, Ponant et en 2016 de The Story Lab (agence) et La Poste.

Ces témoignages mettent en exergue l’objectif et le choix de l’annonceur

Enrichissement de la base de données opérations spéciales par une fonction recherche par secteur/annonceur/marque magazine (fin 2016)

Les Opérations Spéciales des Marques Magazines

Page 66: Actions 2015/2016
Page 67: Actions 2015/2016

Actions 2015/2016

2015, le 3 septembre : « D Day For Value »

2016, le 6 septembre : « Repenser le temps » & le « Solutions Forum »

Des rencontres avec un niveau élevé d’intervenants où le marché publicitaire (annonceurs- agences -médias) se retrouve avant la préparation de l’année suivante.

2 000 participants en 2015

Les partenariats

Page 68: Actions 2015/2016

Actions 2015/2016

Prix récompensant l’efficacité des campagnes publicitaires

Participation du Sepm M&P au jury et à la remise des prix

2015 : Jury final le 2 septembre (gagnant LACOSTE) - remise des Prix le 23 novembre

2016 : Jury expert le 8 juillet - Réponse lors de la Remise des prix le 21 novembre

Les partenariats

Page 69: Actions 2015/2016

La com

NetIndex est l’indicateur mensuel qui permet de suivre les investissements nets

des régies déclarés à l’huissier de justice pour les magazines, la PQN, le digital dont

mobile, le digital presse dont mobile presse.

Le Sepm M&P est l’unique coordinateur de cet outil.

Le périmètre 2016 a été revu au 1er trimestre afin de tenir compte des

changements de publications dans les régies et de préserver le périmètre constant

avec une rectification 2015. En 2016, une nouvelle régie a intégré l’indicateur :

Uni-Editions

NetIndex Le suivi mensuel des investissements nets

Page 70: Actions 2015/2016

Relations agences, annonceurs Développement des nouveaux modes de

commercialisation Les actions institutionnelles

II- L’interface du marché pour la presse

Page 71: Actions 2015/2016

Les relations agences Simplifier l’accès au média avec une « seule

voix »

Missions

La commission « RA » est l’interlocutrice des agences afin d’éviter la dispersion entre les régies et de limiter la pression des acheteurs.

Le rôle du sepm M&P est d’assurer la mise en place d’un référentiel des échanges commerciaux pour homogénéiser les flux utiles aux différentes plateformes (print/digital) en développement sur le marché.

La commission mixte s’est réunie 2 fois en 2015 et 3 fois en 2016. La commission inter-régie a eu lieu 2 fois.

Page 72: Actions 2015/2016

Le SEPM M&P est gère et coordonne la publication des tarifs sur le site « tarifspresse.com » (plus de 400 marques de presse) et la base « codipresse » qui est le socle des échanges EDIpub pour la presse.

Principales actions et améliorations

2016 Création des dates de bouclage commercial

et technique essentielles pour les agences Modification des délais de confirmation des

Premium

2017 :- publication des tarifs le 10 novembre Recherche par numéros

thématiques/spéciaux Automatisation des données chiffres clés

pour actualiser les résultats sur le site (source acpm) pour l’instant saisis une fois par an

Un site très consulté dès la publication des tarifs et tout au long de l’année

Juillet 2015 à Juin 2016 107 013 utilisateurs actifs 910 290 pages vues 230 176 sessions/5,25 minutes 3,95 pages/session 1er mois publication tarifs (6/11/15) 12 232 utilisateurs actifs 4,13 pages/session Juin 2016 10 361 utilisateurs actifs

Le référentiel des échanges – Tarifspresse.com

Page 73: Actions 2015/2016

Le référentiel des échanges Les groupes de travail

Actions 2015/2016 des groupes de travail

Groupe de travail « lexique », créé en 2015 - Lexique commercial revu entièrement pour

HARMONISER le plus possible la terminologie et les process à l’usage de tous (y compris

pour les non utilisateurs de l’EDI).

Groupe de travail « table des remises/codipresse », créé en septembre 2015

Continuer à simplifier les remises/modulations pour faciliter les échanges (-18 items au

total) :

1ère étape réalisée par les régies -12 items (de 48 items à 36)

2ème étape, régies/agences : -6 soit 30 items voire moins (en cours)

Groupe de travail « devis universel », créé en juin 2016

Dans le cadre du développement des plateformes d’échanges (print/digital), définir un devis

dont le contenu sera commun.

Permettre aux agences pour une campagne multi-régies d’obtenir les mêmes informations

et faciliter les échanges. C’est une demande forte afin d’éviter de complexifier les offres.

Page 74: Actions 2015/2016

Relations avec les institutionnels

Novembre/décembre 2015

- Participation aux réunions et discussions sur le décret publicité digitale avec le SNPTV,

le SRI, le bureau de la Radio, L’UDECAM et l’UDA

Avril/novembre 2016 – La Filière Communication

- Le Sepm M&P est actif dans 2 groupes de travail de La Filière Communication : la

transformation digitale et les intérêts économiques de la filière.

- Parmi les propositions faites 1 nouvel axe défini : « Les nouveaux enjeux et

équilibres entre les acteurs du marché de la communication publicitaire » sur

lesquels les régies doivent apporter leur réflexion et leur valeur ajoutée avant

novembre.

Page 75: Actions 2015/2016

La com

Les enjeux de la mesure d’audience de la presse sont fondamentaux pour l’avenir du média afin de rendre les données plus adaptées aux besoins actuels des annonceurs et des agences pour faire face à l’évolution du marché et notamment face aux GAFA qui accélèrent une nouvelle structure de marché.

le Sepm M&P, actif au sein de l’ACPM, a décidé de ne pas poursuivre l’initiative

d’une étude collective (fin 2015/2016) afin d’attendre les résultats des projets « ONE NEXT » de l’ACPM.

Participation au Think Thank ACPM et au groupe de travail ONE NEXT

Relations avec les institutionnels La Mesure

Page 76: Actions 2015/2016

Merci de votre attention