academie de dijon le budget outil de pilotage formation des personnels de direction
TRANSCRIPT
ACADEMIE DE DIJON
Le Budget
outil de pilotage
FORMATION DES PERSONNELS DE DIRECTION
Jeudi 15 Octobre : 9h00 Accueil
Les principes budgétaires
Mise en œuvre d’un Budget d’EPLE-Préparation-Notification des subventions par la collectivité territoriale et par l’état-Construction-Les différentes sections (Fonctionnement – Investissement)-Les chapitres (notion de ressources affectées)-Le Service à Comptabilité distincte-légalisation (Commission permanente - Conseil d’administration - Autorités de contrôle)
12h30 : Repas
14H00 : Etude de casconstruction d’un budget pour le service général et les services spéciaux
Synthèse
Vendredi 16 octobre : 8 h 30 Accueil
Présentation du Lycée des métiers
Politique budgétaire d’un établissement, communication et pilotage
L’Exécution d’un budget : Les recettes et les dépenses
Les modifications du budget : information ou vote du CA
Le contrôle interne
12h30 : Repas
13h30 : Etude de cas : Construire un budget autour des thèmes :Voyages Paye
Synthèse et bilan
Les lois et décrets de la décentralisation
La loi du 22 juillet 1983 relative à la répartition des compétence entre les collectivités territoriales et l ’Etat dote ces collectivités d ’un certain nombre de compétences à l ’égard des établissements scolaires. La région et le département se voient confier :
• la planification scolaire• la construction, l ’équipement et le fonctionnement des EPLE• Certaines activités des EPLE (Conseil d ’Administration, contrôle des actes administratifs, activités éducatives complémentaires).
La Région a la charge des lycées, le Département a la charge des collèges.
Cadre juridique – les textes
Les lois et décrets de la décentralisation
La loi du 25 janvier 1985création des EPLE : Etablissements Publics Locaux d ’Enseignement l ’EPLE est une personne morale de droit public •La personnalité morale s ’exerce par l ’intermédiaire du Conseil d ’Administration et du Chef d ’Etablissement•Il dispose de l ’autonomie budgétaire et financière
Cadre juridique – les textes
Le décret 85 - 924 du 30 août 1985
La loi du 13 août 2004
- Il définit le rôle et les compétences de chacun des organes décisionnels et de chacune des instances délibératives ou consultatives de l ’établissement
- Il précise les règles de gestion administrative et financière de l ’EPLE
-Transfert de compétences aux collectivités en matière de Service Annexe d ’Hébergement
Application
Circulaire 88 - 079 du 28 mars 1988 portant sur l ’organisation économique et financière
des E.P.L.E. (modifié, complété..)
Définition de l ’E.P.L.E. dans le second degréLe Lycée - Le Collège
Personne morale de droit publicPersonne morale de droit public
• Personnalité morale qui s ’exerce par l ’intermédiaire du Conseil d ’Administration et du Chef d ’Etablissement (les décisions prises sont des actes d ’autorité administratives et susceptibles de recours)
• peut ester en justice, acquérir des biens, contracter, recevoir des dons et legs,• sa responsabilité pénale peut être mise en cause• doit respecter le code des marchés publics
PRINCIPES BUDGETAIRES :
le principe d’annualité le principe d’unité le principe d’universalité le principe de spécialité le principe de sincérité
PRINCIPES BUDGETAIRES :
Le principe d’annualité :
Le budget de l ’EPLE doit être voté chaque année.L’exercice budgétaire coïncide avec l’année civile.Il retrace les recettes et les dépenses qui s’y rattachent.Une période d’inventaire permet de clôturer l’exercice.Suivant le principe de continuité des exercices, le report de crédits non consommés reste possible.
Exceptions au principe de l’annualité
OPERATIONS PLURIANNUELLESOPERATIONS PLURIANNUELLES Contrat de crédit bail, marchés de chauffage) : chaque année concernée, apparaît au budget la part de l ’opération pour la période (1/3 par an du montant d ’un contrat de chauffage passé pour 3 ans).
PROVISIONSPROVISIONSIl s ’agit de prévoir, chaque année, une somme qui, par cumul, permettra de réaliser une opération dont le montant dépasse les possibilités d ’un seul exercice.
DECISIONS MODIFICATIVESDECISIONS MODIFICATIVESPour informationPour vote
PRINCIPES BUDGETAIRES :
Le principe d’unité :
Le budget est retracé dans un document unique.Toutes les charges et tous les produits doivent être retracés dans un document unique.
Pourquoi ?- nécessité de transparence vis à vis des instances délibérantes- faciliter le contrôle des autorités
PRINCIPES BUDGETAIRES :
Le principe d’universalité :
L’ensemble des recettes couvre l ’ensemble des dépensesselon deux règles :- non compensation entre les dépenses et les recettes afin d’en éviter la dissimulation partielle.- non affectation d’une recette à une dépense règle qui connaît cependant quelques dérogations.
* Respect de la nomenclature* Notion de crédit ouvert (crédit limitatif)- une activité dotée ne peut être exercée que dans la limite des crédits inscrits- une activité non dotée ne peut être exercée (d ’où l ’importance de la prévision dans l ’ouverture de crédits)
Incidences :
PRINCIPES BUDGETAIRES : Le principe de spécialité :
Les opérations sont retracées selon une nomenclature budgétaire appropriée.Les crédits sont ouverts de manière détaillée (spécialisés par chapitres avec une évolution par programme depuis la Loi Organique relative aux Lois de Finances).Ils sont rattachés à des objectifs spécifiques de dépense qui ne doivent pas être dénaturés lors de l’exécution.A terme, la nouvelle nomenclature sera fondée sur la destination des crédits en remplacement de la nature des dépenses (enseignement scolaire du second degré, vie de l ’élève, …).
Le principe de spécialité :
Le budget est voté par chapitre : La ventilation à l ’intérieur des chapitres n’est, en principe, qu’indicative
Conséquences du vote par chapitre
- Décisions budgétaires modificatives légères quand elles ne modifient pas les crédits des chapitres(ex : virement à l ’intérieur d ’un chapitre)- Décisions budgétaires modificatives lourdes (vote du CA) quand elles modifient les crédits inscrits pour le chapitre (ex : virement entre chapitres, prélèvement, affectation d ’une ressource nouvelle non affectée)
PRINCIPES BUDGETAIRES :
Le principe de sincérité :
Nouveau principe depuis la LOLF.Il implique l’exhaustivité, la cohérence et l’exactitude des prévisions budgétaires.Son application reste cependant limitée du fait du caractère prévisionnel d’un budget.
Le principe de sincérité :
La règle de l ’équilibretotal des charges = total des produits
Application :Recettes = Dépenses à l ’intérieur de chaque sectionRecettes = Dépenses au sein de chaque service spécial
Aménagements : Quand ‘il n ’est pas possible d’obtenir un équilibre strict, on peut utiliser différentes techniques :Dépenses > recettes. L’équilibre du budget est réalisé par prélèvement sur fonds de réserves. Excédent section fonctionnement ==> section investissement. L ’équilibre du budget est réalisé par virement entre sections
Le budget
DéfinitionDéfinition
•Il est constitué de l ’ensemble des comptes qui décrivent, pour une année civile, toutes les ressources et les charges(ordonnance du 2 janvier 1959)
•Il est l ’acte par lequel sont prévues et autorisées les recettes et les dépenses des organismes publics. (décret du 29 décembre 1962)
.
Le budget
Le budget est un acte de prévision et d ’autorisation. On pourra, à sa lecture, déterminer les orientations de l ’établissement
(notamment matière d ’investissement). La politique est déterminée
par l ’Ordonnateur.
Annexes au budget :Le rapport du Chef d ’EtablissementL ’état prévisionnel de la commande publique (EPCP)
Gestion financière de l ’EPLE
Les principaux intervenantsLes principaux intervenants
• L e Conseil d ’Administration• Le Chef d ’Etablissement• Le Gestionnaire• L ’Agent Comptable
•Le principe de la séparation des ordonnateurs et des comptables
Autonomie budgétaire et financièreAutonomie budgétaire et financière
• Dispose d ’un budget propre, détaché de la collectivité qui l ’a créé
• Soumis à l ’ensemble des règles de la comptabilité publique et au respect des ses grands principes :
principe de la séparation des ordonnateurs et des comptablesprincipe de la comptabilité en partie doubleprincipe de l ’ordonnancement préalable
LA
PREPARATION
Préparation Préparation
Paramètres nécessitant un acte du CONSEIL D’ADMINISTRATION - Tarifs de pension et d’hébergement
- Taux de participation aux charges communes- Conventions et contrats
Rassembler les informations indispensables
Paramètres spécifiques à l ’établissement
Nombre d ’élèves par catégorie - par régime Nombre de commensaux : statistiques des années précédentes adaptées si des éléments nouveaux interviennent Tarifs : demi-pension : prix encadrésinternat et hébergement : prix libres % des produits scolaires affecté aux charges communes (30 à 35 % pour l ’internat, 10 à 25 % pour la demi-pension, 10 à 25 % pour les hébergements le taux de participation des familles aux frais de personnel (fixé annuellement par arrêté ministériel : 22,5 % de longe date).
Comment asseoir ses prévisions ?
L ’examen de l ’exécution du budget N -1 - les dépenses réalisées, le disponible - les recettes réalisées, les + ou - value - la situation du fonds de roulement
Les spécificités de l ’exercice à venir - Fluctuation du nombre d ’élèves (chap R2, A1 notamment)
- Opérations spécifiques (contrats de matériels en fin de garantie, nouveaux contrats, isolation pouvant diminuer les charges d ’énergie,…)
- Recensement des besoins auprès des différentes catégories d ’usagers et des personnels
LA
NOTIFICATION
LA NOTIFICATION DE LA COLLECTIVITE
LES DOTATIONS :
La dotation globale de fonctionnement.Les dotations spécifiques (Elles traduisent la politique de chaque collectivité) :
- Travaux urgents - Sections spécifiques (Enseignement technique, classe relais, SEGPA, ...) - Acquisition mobilier, matériel, véhicule - Activités sportives (location d ’installation, transport …) - Actions éducatives - Sorties et voyages - Manuels scolaires (Régions pour les lycées)
LA NOTIFICATION DE LA COLLECTIVITE
LES ORIENTATIONS BUDGETAIRES
La convention d’objectifs et de moyensLes recommandations budgétaires pour : - L’hébergement (tarifs, remise d’ordre, paiement,fonds de rémunération du personnel de l’internat, fonds de compensation service d ’hébergement). - La gestion de la restauration (R2 autonome) - L’entretien (nature des opérations à réaliser en priorité) - Les dépenses obligatoires (contrats, opérations à réaliser en priorité) - L’identification des opérations (codes de gestions) - Les logements (valeurs prestations, loyers)
LA NOTIFICATION DE L ’ETAT http://mode.in.ac-dijon.fr/
Programme 0141 Enseignement scolaire du second degré :
COLLEGES
Droit de copie.Maintenance et logiciels pédagogiques.Manuels scolaires.Carnets de correspondance.Projet d ’établissement.Education artistique et culturelle.Stages en entreprises (SEGPA, DP3 et 3ème d ’insertion)Ouverture internationale
LA NOTIFICATION DE L ’ETAT Programme 0141 Enseignement scolaire du second degré :
LYCEES LP et EREA
Droit de copie (2nd degré et post bac).Maintenance et logiciels pédagogiques.Ouvrages pédagogiques (sections professionnelles).Projet d ’établissement.Education artistique et culturelle.Stages en entreprises (2nd degré et post bac)Ouverture internationale dont : - bourses de stages à l ’étranger des élèves de BTS - bourses de mobilité des élèves de section Europro, …pour les 4ème et 3ème technologiques en lycée : - carnets de correspondance - manuels scolaires
LA NOTIFICATION DE L ’ETAT
Programme 0230 Vie de l ’élève :
Fonds de vie lycéenneComité Education Santé Citoyenneté (CESC)Fonds social Collégien et Lycéen.Fonds social restauration.Bourses nationales collège.Bourses nationales et primes lycée.
LA NOTIFICATION DE L ’ETAT
Opérations spécifiques :
TICE.Mission Générale d’Insertion (MGI)Office Franco Allemand Jeunesse.Projet scientifiques ….
LA
CONSTRUCTION
LA CONSTRUCTION :
Estimation des recettes Les dépenses obligatoires Les dépenses souhaitables Les arbitrages Les crédits d ’enseignement
Déterminer les produits
Dotation globalisée de la collectivitéElle doit couvrir les besoins de la section de fonctionnement (service général et parfois partie serv. Spécial ex : J1)
Ressources propres Locations Taxe d ’apprentissage Objets confectionnés Produits annexes Participation autres services Produits financiers
Dotation globalisée de l ’EtatElle doit couvrir des besoins spécifiques identifiés :manuels scolaires, carnets de liaison, droit de copie...
Chapitre 744
Chapitre 741
Prélèvement sur fonds disponibles
Activités éducatives financées sur ressources
spécifiques - chap. A2Manuels scolaires, droit de copie, carnet de liaison, informatique pédagogique, …
(répartition des crédits globalisés)
Dépenses pédagogiques - chap. A1• fournitures pédagogiques dont CDI (ouvrages, abonnements)• entretien du matériel pédagogique• transports scolaires (piscine, petites sorties pédagogiques obligatoires• contrat photocopieur si réservé à la pédagogie• part des accompagnateurs de sorties scolaires facultatives (donc payantes et gérées dans un service spécial)
Déterminer les charges
Viabilisation - chap. B• Electricité - fuel - gaz - eau Chapitre le plus important après celui du S.A.H. Tenir compte des éventuelles modifications de locaux ou de structure• Calcul de base : consommation moyenne des 3 dernières années X coût unitaire actualisé
Entretien - chap. CIl s ’agit de faire face à :• L ’ensemble des contrats du service général • La maintenance des matériel• L ’entretien locatif• L ’acquisition de petit matériel d ’entretien (outils mais pas serpillère !)
• L ’acquisition de matériel et mobilier (du PC à la chaise…) dont le coût < 800 € H.T.)
Charges générales - chap. DEnsemble des charges concernant :• les carburants (tondeuses, véhicules…)• les dépenses administratives (dont documentation administrative)• les produits d ’entretien • les dépenses d ’infirmerie• les frais timbres, téléphone, internet• les réceptions• les honoraires (visites médicales CAE ou encore huissier)
Aides et transferts - chap. FBourses nationales et autres Aides aux élèves - fonds sociauxRemise de principe
SERVICES SPECIAUXIls sont utilisés pour identifier et suivre budgétairement tant en charges qu ’en produit : • un service de l ’établissement • une mission avec financement affecté ou spécifique
Exemples :
chap. J1 - Enseignement technique
chap. L2 ou R2 - Restauration et internat
Il doit décrire l ’ensemble des charges spécifiques à l ’enseignement technique - organisation des stages, fournitures des ateliers, force motrice, maintenance du parc « machines »
Il doit retracer toutes les charges spécifiques à la restauration et à l ’internat : achat de denrées, entretien des locaux et des matériels, charge de personnel, participation aux charges communes, petits matériels...
chap. ZD - Opérations en capital
Tous les achats de matériel d ’une valeur > 800 € H.T.(des opérations pour ordres concernant les stocks ou sorties d ’inventaire)
STRUCTURE
du
BUDGET
LES DIFFERENTES SECTIONS :
Fonctionnement Investissement
LES CHAPITRES
OU PROGRAMMES
Le service général Les services spéciaux
LE SERVICE
A COMPTABLITE DISTINCTE
(SACD)
GRETA Divers
Rapport du Chef d ’établissementRapport du Chef d ’établissement
Retrace les grandes lignes des choix budgétaires pour
l ’année (en fonction des évolutions d ’effectif , des ressources prévues, des contraintes nouvelles, des projets de
l ’établissement…)
L’ E.P.C.P. (ETAT PREVISIONNEL A LA COMMANDE PUBLIQUE)
.En application au décret du 30 août 1985 modifié, la passation d’un marché public, d ’un contrat ou d ’une convention par le Chef d ’Etablissement doit avoir recueilli l ’accord préalable du Conseil d ’Administration. Toutefois, le Chef d ’établissement, personne responsable des marchés (PRM) peut signer, sans autorisation préalable, tout marché respectant l ’une des 3 conditions suivantes
1 - s ’il figure sur l ’EPCP annexé au budgetfigure sur l ’EPCP annexé au budget ou à une DM soumise au vote du C.A.
2 - s ’il est financé par des ressources affectéesfinancé par des ressources affectées qui n ’on pu être inscrites au budget initial et qui font l ’objet d ’une DM
3 - en cas d ’urgenceen cas d ’urgence, s ’il se rattache à des opérations de gestion courante dont les montants sont inférieurs à 5 000 € HT ou 15 000 € HT pour les travaux ou équipements. Le Chef d ’Etablissement devra certifier, sous sa responsabilité, le caractère urgent de la passation du marché et d ’in informer le CA dès la séance suivante.
Son élaboration :
Le Budget est préparé par section, par service et par chapitre.
L ’ensemble des dépenses est évalué de façon sincère et inscrit dans les différents comptes.
Les dépenses sont ensuite réexaminées de façon différente. Chacune d ’entre elles sera déclinée selon une nomenclature propre à l ’établissement.
Pour les fournitures et services : il s ’agit d ’estimer la valeur totale des fournitures et des services considérés comme homogènes soit en raison de leurs caractéristiques propres, soit parce qu ’ils constituent une unité fonctionnelle. Cette notion recouvre la satisfaction d ’un besoin concourant à la réalisation d ’un même projet.
Pour les travaux : il s ’agit de prendre en compte la valeur globale des travaux se rapportant à une opération sur un ou plusieurs ouvrages.
Les dépenses seront retracées par famille selon une classification propre à l ’établissement qui devra pouvoir justifier de ses choix. La classification (subdivisions excessives) ne devra en aucun cas servir à soustraire les marchés aux règles de publicité et de mise en concurrence.
L ’EPCP annexé au budget retracera toutes les intentions de marché classées par catégories homogènes ou par unités fonctionnelles pour les achats de fournitures et de services, par opération pour les travaux, en fonction des procédures d’achat retenues :
Procédure adaptée - Groupement de commandes - Centrale d ’achats - Appel d’offres...
Pièces du Budget à adresser aux autorités de contrôle
dans les 5 jours suivant la séance du C.A :
Le budgetLe budget :
issu de G.F.C
pièce B1 : - Situation estimée des réserves - Prévisions budgétaires - dépenses - Prévisions budgétaires - recettes - Extrait de la délibération du Conseil d ’Administration
pièce B2 : - Développement par chapitre de dépense - S.G.pièce B3 : - Développement par chapitre de recette - S.G.pièce B4 : - Calcul détaillé de
l ’hébergementpièce B5 : Développement par chapitre de dépense - S.S.
pièce B6 : - Développement par chapitre de recette - S.S.
pièce B8 : - Développent par chapitre de dépense - OPERATIONS EN CAPITAL
pièce B9 : - Développent par chapitre de recette - OPERATIONS EN CAPITAL
pièce B14 : - Etat annexe récapitulatif des emplois
L ’E.P.C.P.L ’E.P.C.P.
LA
LEGALISATION
LA LEGALISATION :
Le Conseil d ’Administration Les Autorités de contrôle L’Etat Prévisionnel de la
Commande Publique (EPCP)
L e Conseil d ’Administration
C ’est l ’organe central de l ’établissement, son parlement.
Composé de 24 ou 30 membres selon l ’importance de l ’établissement.
C ’est une assemblée tripartite :
en cours d ’année
mars /avril
• compte financier
• Projet de budget• EPCP
Octobre
• fixation des tarifs• contrats, conventions• sorties pédagogiques et voyages
fin novembre
•décisions modificatives
CALENDRIER THEORIQUE
Approbation - CalendrierApprobation - CalendrierNotification
Préparation – Vote du C.A.
Adoption par
C.A. Non-Adoption par
C.A.
TransmissionAA – RE - CL
Transmission AA – RE - CL
Accord CL § AA
DésaccordCL § AA
Règlement conjoint
Transmission Préfet
Saisine de la CL §AApar le Préfet
Pas d ’accorddans les 2mois
Saisine de la CRC par Préfet
Règlementpar Préfet Transmission Préfet
Transmission Préfet
Règlement conjoint CL et AA
1 mois
Saisine de la CRC
Pas d ’accordentre AA et CL
Le budget est éxécutoire
5 jours 5 jours
30jours
30jours
ETUDE DE CAS 1
Estimation recettes :
Bourses nationales : 16500 € Caisse de solidarité : 60,00 Contribution Formation Continue : 1900 € Contribution groupement de commande : 200 € Contribution SACD : 7 350 € Dégradations manuels scolaires : 350 € Dotation globalisée Etat prg 141 : 13 620 € Dotation globalisée Etat prg 230 : 4 600 €
Estimation recettes :
Location gymnase associations : 2600 € Location appartement : 1700 € Notification CG fonctionnement : 11 509,26 € Notification CG équipement : 14 996,46 € Notification CG instal. sportives : 25 189,14 € Objets confectionnés : 5 250 € Produits financiers : 4 000 € Remises de principe : 1100 € Reversements téléphone : 300 €
ETUDE DE CAS 2
Pourquoi
UN label délivré pour une durée de 5 ans par le ministère sur proposition du recteur
à l’issue d’une évaluation conduite par le groupe académique Lycée des métiers (GALM) composé des membres
des corps d’inspection et de représentants de la communauté éducative
et du monde professionnel.
Pour Qui
Pour les Equipes Educatives : formation adaptée aux réformes activités participatives avec le
monde professionnel aides participatives des
collectivités territoriales une mobilisation de la
communauté éducative, enseignement général, technologique et professionnel
Pour les Parents et Elèves :- offre de formation adaptée aux besoins du monde du travail- des lieux de vie, des activités culturelles et sportives - suivi pour un accompagnement à l’insertion professionnelle- des stages, des journées portes-ouvertes, mini-stages- accompagnement de la réussite éducative- des projets Européens, des attestations Euro pro
Pour les Entreprises et les Collectivités :un établissement de formation identifié sur des critères de qualités
un centre de ressources de formation initiale, continue et en alternance
des pôles d’excellenceslieu d’échange entre ingénierie de formation, entreprise et
collectivitésvalidation d’acquis professionnels
des partenariats européens
Comment Pour obtenir le label, les établissements doivent
remplir les critères suivant : -Offre de formation construite autour d’un ensemble
cohérent de métiers, -Accueil de publics de statuts différents, -Une gamme de diplômes allant du CAP à
l’enseignement supérieur, -Validation des acquis de l’expérience, -Partenariats avec les collectivités territoriales, les
milieux professionnels et universitaires, -Des actions visant à améliorer l’orientation des
collégiens et les conditions de leur accueil,
-Ouverture européenne ou échanges avec des pays étrangers,
- offre de services d’hébergement, Dispositif d’aide à l’insertion
professionnelle ou des publics sortant de formation,
Le label « lycée des métiers » est délivré sur décision du recteur de l’académie. Il permet d’identifier des pôles de compétences en matière de formation professionnelle, de certification ou d’accompagnement, d’information ou de services techniques aux entreprises.
La demande de délivrance du label présentée par l’établissement doit comporter l’accord de leur conseil d’administration.
COMMUNICATION et PILOTAGE du BUDJET
Depuis pl. années, les constats convergent mettant en lumière la complexification, l’alourdissement des tâches des PD qui rendent le service plus difficile.Gestion des ressources humaines, répartition du budget, complexité des structures d’établissement, …….
Francois Dubet a utilisé une expression assez humoristique ; il souligne que jusque dans les années soixante –dix, le CE n’était qu’un « notable avec une bonne secrétaire, et rien d’autre ».
Dans toutes les enquêtes qui ont pu être consacrées au métier, le poids de la communication revient toujours comme essentiel.
En 1985, création des EPLE, dans les établissements les Personnel de direction deviennent des personnalités
Morales pour diriger des établissements publics.
Un pari juridique et administratif
- l’état fait confiance à celui qui le dirige,-l’état ne s’occupe pas de tout,
-L’état confie le budget, le projet, le règlement-L’état ne s’occupe pas de tout,
C’est un établissement Public Local d’Enseignement
Mais l’état impose la gratuité, les lois, les objectifs,…
Mais depuis 1985, deux lois d’orientation 1989 et 2005Sur l’autonomie pédagogique et le projet d’établissement
-Évolution des réglementations budgétaires (LOLF)- évolution des processus
-Évolution des outils
En 2004 la décentralisation-Contractualisation des établissement
-Convention avec les collectivités
Il en découle l’effet établissement:-autonomie, responsabilisation et performance
-Autonomie pédagogique-Autonomie budgétaire-Autonomie éducative
-Autonomie avec les collectivités
Par des actes en cohérence avec le projet d’établissement
GERER UN BUDGET EST UN ACTE DE POLITIQUE PUBLIQUE, LE REFLET DU PROJET D’ETABLISSEMENT
Le gestionnaire est membre à part entièreDe l’équipe de direction, il est associé
A la vie éducative, pédagogique, culturelleDe l’établissement.
Il faut débattre avec son gestionnaire.L’un et l’autre construit, évalue, définie
Les limites, mesure les marges de manœuvre
Tous pour un budget
Tout le monde s’accorde aujourd’hui à reconnaître le rôle fondamental que la communication a pris dans nos établissements plus particulièrement pour l’élaboration du budget ou d’un budget
Il s’agit donc pour les chefs d’établissement de développer une
politique de communication
Faire des choix!
Mais de nombreuses questions se posent :
- pourquoi faire ? - en direction de qui ? - comment ? - avec quelles ressources ? - sur quelles valeurs ?
Projet d’établissement
De la rigueur, une pédagogie
- une volonté affichée - un mode de management - des choix politiques forts - rendre lisible les objectifs des
choix de répartition - de fédérer à l’interne - de renvoyer une image forte à
l’extérieur
LES LIMITES
- la transparence - les résistances aux
changements - les habitudes - le désintérêt
Politique de l’établissement
Projet d ’établissementCONSEIL D ’ADMINISTRATION / CHEF D ’ETABLISSEMENT
CHOIX PEDAGOGIQUES
CHOIXBUDGETAIRES
CHOIX EDUCATIFS
Moyenshumains
Moyensfinanciers
Moyensfinanciers
Moyenshumains
Dotation en personnelsDotation en moyens d ’enseignement (DHG)
BUDGET DEL’ETABLISSEMENT
LA PREPARATION :
Les projets culturels :
Projet d ’établissement.Actions spécifiques.
LA PREPARATION :
La concertation :
Equipes pédagogiques disciplinaires.Conseil pédagogique.Documentaliste.Vie scolaire.Equipe administrative.Equipe TOS.
Organisation d’une Concertation disciplinaire: - désignation d’un coordonnateur de discipline - besoins pédagogiques (photocopies,…) - projets(voyages linguistiques, sorties culturelles, …) - Investissements pour la discipline - travaux…., aménagements divers
Information de la préparation Du budget en assemblée générale
Synthèse des besoins avec lesCoordonnateurs de disciplines, la vie scolaire,
Le documentaliste, le chef de travaux
Première approche budgétaire
En réponse aux besoinsLimites possibles
(chef d’établissements, gestionnaire, chef de travaux)
Commission permanente
Relecture du budget globale avant présentation au C.A.
Présentation du budget au conseil d’administration(acte administratif)
Conseil pédagogique:Présentation de la ventilation sur les différentes lignes budgétaires
(projet d’établissement, budget pédagogique, …….)Arbitrage sur les clés de répartition, définition des priorités
-direction-gestionnaire-vie scolaire
-Documentaliste-Coordonnateur
Membres élus
L ’EXECUTION
Le principe de la séparation des
ordonnateurs et des comptables
Décret du 29 décembre 1962 : les opération financières et comptables résultant de l ’exercice du budget de prévisions de recettes et de dépenses
des organismes incombent aux ordonnateurs et aux comptable publics.Les fonctions d ’ordonnateur et de comptable sont incompatibles.
Il s ’agit de garantir une honnête utilisation des deniers publics en dissociant les fonctions de
décideur et de payeur et d ’instaurer des mécanismes de contrôle.
Cas particulier de l ’Agent Comptable-gestionnaire :- en tant que comptable, il agit sous sa propre autorité et en toute indépendance du Chef d ’Etablissement ;- en tant que gestionnaire, il est, dans le domaine de la gestion matérielle et de la comptabilité administrative, sous l ’autorité du Chef d ’Etablissement.Par conséquent il est amené à exécuter le budget et à décrire l ’intégralité des écritures budgétaires, phase administrative et phase comptable.
Le principe de la comptabilité en partie doubleEn comptabilité, toute opération de recette ou de
dépense doit s ’inscrire dans sa cause et dans son effet.
RECETTE=
constatation d ’un produit(droit à recevoir)
augmentation de la trésorerie
DEPENSE=
consécutive à une charge(obligation de payer)
diminution de la trésorerie
Chaque opération va s ’enregistrer en 2 phases
Opération cause effetCompte produit - compte tiers /compte tiers - compte trésorerie Compte charge - compte tiers /compte tiers - compte trésorerie
Le principe de l ’ordonnancement préalable
l ’ordonnateur doit enregistrer le produit ou la charge préalablement au
paiement par l ’agent comptable.
Décisions Modificatives au Budget
Il s’agit de modifications apportées au budget initial en cours
d’exécution. Elles sont adoptées et deviennent
exécutoires dans les mêmes conditions que le budget (mais
exécutoire 15 jours après dernier AR)La DBM va permettre de corriger les prévisions budgétaires et de faire face à des situations
nouvelles en cours d’exercice (nouvelles ressources, nouveaux besoins)
Elles sont classées par niveaux et selon leur influence sur l’équilibre budgétaire,
elle donne lieu ou non au vote du C.A. :
Niveau 1 : DM sans modification du montant du chapitre
Niveau 2 : DM avec modification du montant du chapitre
DM présentées pour information au C.A.
- virement dans un chapitre
- Ressources sur contrats et conventions (conventions de formation continue, contrats aidés,..)- Recettes pour rétablissements de crédits
- Décisions attributives de subventions spécifiques (crédits d ’Etat, Fonds sociaux, subv. Travaux, subv …)- Utilisation de la taxe d ’apprentissage- Constatation produits scolaires- Autres ressources spécifiques (Onilait…)- Mouvements de stocks
Niveau 3 : DM soumise au vote du Conseil d ’Administration
- Virements entre chapitres- Prélèvement sur fonds de roulement- Ressources nouvelles non affectées et non spécifiques (location nouvelle, objets confectionnés, dons, subvention complémentaire de la CL, recettes exceptionnelles)- Ecritures comptables concernant le patrimoine de l ’établissement (sorties d ’inventaire …)
DM soumises au vote du C.A.
Adressée dans les 5 jours qui suivent la tenue du C.A.Exécutoire 15 jours après la date du dernier accusé de
réception des autorités de contrôle (Préfet, Collectivité, Autorité
Académique)
LES DEPENSES
LES RECETTES
QUALITE FINANCIERE EN EPLE
« La société a le droit de demander compte à tout agent public de son administration. »
Art. 15 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26
août 1789
définition
Le contrôle interne relève d’une démarche qualité : Stratégie de prévention et de maîtrise
des risques Risque : tout évènement qui ne permet
pas d’atteindre l’objectif général de qualité
Objectif : Comptes réguliers et sincères Image fidèle du patrimoine et de la
situation financière
définition
Un ensemble de procédures destinées à faire progresser la qualité et la sécurité des opérations financières
Une démarche qui associe étroitement tous les personnels: de l’ordonnateur au comptable
Un principe d’assurance raisonnable (et non d’assurance absolue)
contexte
La gestion publique est en mutation - LOLF
L’audit des procédures se substitue progressivement au contrôle des actes
Les contrôles par sondages ciblés remplacent les contrôles exhaustifs
La nécessité pour les autorités publiques de s’assurer de la qualité des comptes - Certification
contexte
Un déploiement récent mais rapide dans la sphère publique : Le MEN est engagé dans la démarche Les EPN et les Universités le sont
également Ainsi que le réseau du Trésor Public Sous l’impulsion de la Cour des Comptes
objectifs Un contrôle interne de qualité
permet de : faire avec l’objectif d’établir des
comptes annuels faire sans erreurs ni gaspillage
avec l’objectif de sauvegarder le patrimoine
faire mieux avec l’objectif d’ améliorer les performances
démarche
Ces objectifs sont-ils tous atteints
dans tous les EPLE ?
La qualité administrative et financière est reconnue comme
globalement satisfaisante
démarche
Mais suite aux observations des corps de contrôle, la démarche de contrôle interne vise à : Améliorer la communication mutuelle
entre ordonnateur, comptable et autorités de contrôle
Éviter les enregistrements comptables irréguliers
Réduire les dysfonctionnements
démarche Les zones à risques :
Méconnaissance de la réglementation (marchés publics, voyages scolaires, ateliers, …)
Insuffisance de formalisation des procédures, ou de respect des procédures formalisées
Chèques et numéraire
démarche
Les facteurs de risques :
Confiance parfois excessive accordée aux agents dans la gestion des opérations
Absence de séparation des tâches (et donc l’absence de contrôles mutuels)
Défaut de vérification
démarche La qualité comptable : une attente des
corps de contrôle
Auditeurs des trésoreries générales : l’audit s’appuie sur la description par elle-même de l’entité auditée
Chambres régionales et Cour des Comptes
démarche La qualité comptable concerne près de
8 000 EPLE Donc 8 000 ordonnateurs Et 2 560 comptables publics MEN et
leurs équipesLa maîtrise du risque est l’affaire de tous
les intervenants Donc pas seulement des « financiers » Car le CIC consiste à fiabiliser tout le
processus débouchant sur une prise en charge comptable
A quoi sert ?
Mesurer les risques sur la comptabilité budgétaire et générale par un auto diagnostic Ne pas confondre % de risque élevé et
inefficacité du service Définir un plan d’actions après analyse
des risques Mettre en place les procédures
permettant de maîtriser ces risques
C’est un outil de management et d’anticipation des audits du Trésor public
De quoi se compose-t-il ?
D’un guide méthodologique D’un questionnaire d’auto diagnostic D’exemples d’organigramme
fonctionnel et de plans d’actions De fiches de procédures adaptables
Le questionnaire d’auto diagnostic Tableur à 12 onglets qui correspondent :
aux cycles de l’activité comptable, à des procédures spécifiques aux EPLE à l’organigramme fonctionnel
A l’intérieur de chaque onglet les réponses à une liste d’item (certains pondérés) permettent d’évaluer le risque lié au cycle considéré
Tous les EPLE ne sont pas nécessairement concernés par tous les cycles ni par tous les items d’un cycle. C’est donc un outil qui doit être adapté à chaque situation.
Le périmètre de l’auto diagnostic
COMPTABILITE GENERALE
COMPTABILITE GENERALE
RĖGIERĖGIE
CAISSE- TRESOR- VALEURS
CAISSE- TRESOR- VALEURS
RECOUVREMENTRECOUVREMENT
PATRIMOINEPATRIMOINE
STOCKSSTOCKS
MARCHĖSMARCHĖS
RĖMUNERATIONSRĖMUNERATIONS
AIDES FINANCIÈRE
S
AIDES FINANCIÈRE
SVOYAGES
SCOLAIRES
VOYAGES SCOLAIRES
OBJETS CONFECTIONNĖS
OBJETS CONFECTIONNĖS
Pour quels utilisateurs ?
Ordonnateurs et gestionnaires Comptables
En liaison étroite avec leurs équipes
Un outil personnalisable
Chaque équipe, de l’ordonnateur au comptable, doit :
se l’approprier l’adapter à sa structure et à ses
préoccupations le faire vivre dans la durée
Quelques exemples En comptabilité budgétaire :
les voyages les objets confectionnés les fonds sociaux les marchés les rémunérations …
En comptabilité générale : la caisse les régies le recouvrement …
A l’issue de l’auto diagnostic
Les risques sont hiérarchisésLa cartographie des risques est établie
document de synthèse qui permet d’avoir une vision globale
et consolidée des risques existants
De cette cartographie découlera le plan d’actions
Plan d’actions
Décline l’ensemble des risques attachés à chaque processus
Fixe les actions à mener pour les couvrir Arrête un calendrier de contrôle et un suivi des
contrôles effectués
L’approche par les risques permet de déterminer les actions à entreprendre en fonction de :
Leur gravité (impacts en termes d’enjeux financiers, humains, d’image…)
Leur fréquence
Plan d’actions
Quelles questions se poser pour élaborer le pland’actions :
La correction est-elle urgente ? De quels moyens dispose le service pour mener à bien
cette action ? Les mesures sont-elles pertinentes et de nature à corriger
les risques ? Est-il possible d’envisager des étapes intermédiaires? Quel planning ? Quels agents sont impliquées dans cette action ? Quel suivi de la mise en place du dispositif est à réaliser ?
Fiches de procédures
OBJECTIF : Rationaliser le fonctionnement des services administratifs et financiers des EPLE Valoriser l’existant Formaliser les pratiques Identifier les contrôles courants Permettre une meilleure compréhension par les acteurs de leur rôle dans l’organisation Harmoniser les tâches au sein de l’équipe …
Fiches de procédures
DESCRIPTION
Quel est le fait générateur ? Qui instruit ? Comment ? Quels délais ? Quels contrôles ? Quelles procédures en cas d’erreur ? Quels justificatifs à l’appui ? Quel mode de conservation ? …
Fiches de procédures disponibles sur l’intranet de la DAF …à adapter à votre organisation
Fiches de procédures
En comptabilité générale : (caisse – régie…)
ConclusionOrganiser Documenter Tracer
Fiabiliser Sécuriser Maîtriser
Le dispositif de contrôle interne comptable ne peut se limiter à un ensemble de manuels, de procédures et de documents
Son organisation et sa mise en œuvre reposent sur la sensibilisation et l’implication de tous
La démarche qualité Odicé : outil de diagnostic sur les cycles et l’organigramme ; Recensement des risques par les « signaux »
AGIR
PLANIFIER
Plan d’action : organigramme fonctionnel, mise en place de procédures et de délais
FAIRE
VERIFIER
ETUDE DE CAS 3