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FORUm SEIn 2014 jeudi 18 & Vendredi 19 septembre 2014 FORUm SEIn 2014 Pavillon Dauphine Place du maréchal de Lattre de Tassigny - 75116 Paris Pavillon Dauphine Place du maréchal de Lattre de Tassigny - 75116 Paris PROGRAmmE SOUS LE HAUT P ATROnAGE DE mADAmE Marisol Touraine Ministre des Affaires Sociales et de la Santé PRéSIDEnT D’HOnnEUR : mARC SPIELmAnn PRéSIDEnTS ORGAnISATEURS DU COnGRÈS : mARC ESPIé ET AnDRé GORInS SECRéTARIAT SCIEnTIFIQUE : DR mARC ESPIé (CEnTRE DES mALADIES DU SEIn) - HôPITAL SAInT -LOUIS 1, AVEnUE CLAUDE VELLEFAUx 75010 PARIS - TéL. : 01 42 49 92 93 jeudi 18 & Vendredi 19 septembre 2014 Les Evénements et Avancées de l’Année en Sénologie jOURnéES DU CEnTRE DES mALADIES DU SEIn DE L HôPITAL SAInT -LOUIS Les Evénements et Avancées de l’Année en Sénologie Des journées organisées par le Centre de Formation des Editions ESKA - C F E E : n° 11753436775 Inscriptions à adresser au CFEE - Editions ESKA COnGRÈS - Serge KEBABTCHIEFF – Flora DEnIAU, Emilie BERTRAnD 12, rue du Quatre-Septembre, 75002 Paris - Tél. : 01 42 86 55 69/79 - Fax : 01 42 60 45 35 E-mail : inscriptions et renseignements : [email protected] - Site : 30 MU/0,5 ml - 48 MU/0,5 ml Solution injectable ou pour perfusion en seringue pré-remplie a Novartis company PPR 052 02 13 - Septembre 2013 - Visa n°13/03/60670037/PM/003 ZARZIO ® 30 MU/0,5 ml et 48 MU/0,5 ml, solution injectable ou pour perfusion en seringue préremplie COMPOSITION* : filgrastim G-CSF produit dans E. coli par la technique de l’ADN recombinant. INDICATIONS : Réduction de la durée desneutropénies et de l’incidence des neutropénies fébriles chez les patients traités par une chimiothérapie cytotoxique pour un cancer (à l’exception des leucémies myéloïdes chroniques et des syndromes myélodysplasiques) et réduction deladurée des neutropénies chez les patients recevant une thérapie myélosuppressive suivie d’une greffe de moelle osseuse et présentant un risque accru de neutropénie sévère prolongée. L’innocuité et l’efficacité du filgrastim sont similaires chez l’adulte et chez l’enfant recevant une chimiothérapie cytotoxique. Mobilisation de cellules souches progénitrices (CSP) dans le sang circulant. L’administration à long terme de filgrastim est indiquée chez les enfants et les adultes atteints deneutropénie sévère congénitale, cyclique ou idiopathique avec un taux de polynucléaires neutrophiles (PNN) 0,5 x 10 9 /l et des antécédents d’infections sévères ou récurrentes, afin d’augmenter le taux de neutrophiles et de réduire l’incidence et la durée des épisodes infectieux. Traitement des neutropénies persistantes (PNN 1,0 x 10 9 /l) chez les patients infectés par le VIH à un stade avancé, afin de réduire le risque d’infection bactérienne quand les autres options thérapeutiques sont inadéquates. POSOLOGIE ET MODE D’ADMINISTRATION* : Le traitement ne doit être administré qu’après avis d’un centre d’oncologie ayant l’expérience de l’utilisation des G-CSF. Les procédures de mobilisation et de cytaphérèse doivent être effectuées en collaboration avec un centre d’onco-hématologie adéquat. Après chimiothérapie cytotoxique : Injection S.C. ou perfusion IV de 30 min. Dose recommandée de 0,5 MU (5μg) /kg/jour. 1 ère injection effectuée au plus tôt 24 h après la fin de la chimiothérapie. L’administration doit être poursuivie jusqu’à ce que le nadir attendu soit dépassé et que le nombre de PNN soit revenu à la normale. Après chimiothérapie myéloablative suivie d’une greffe de moelle osseuse : Perfusion IV de 30 min ou S.C ou IV continue sur 24 h. Dose initiale recommandée de 1,0 MU (10 μg )/kg/jour. 1 ère dose au minimum 24 h après la chimiothérapie et dans les 24 h précédant la greffe. Une fois le nadir des neutrophiles dépassé, la dose quotidienne devra être adaptée en fonction de la réponse des neutrophiles. Mobilisation des CSP : Injection S.C. Chimiothérapie myélosuppressive ou myéloablative suivie d’une autogreffe de ces CSP : Injection S.C ou perfusion S.C continue sur 24 h. Dose recommandée de filgrastim utilisé seul : 1,0 MU (10 g) /kg/jour pendant 5 à 7 jours consécutifs. 1 ou 2 cytaphérèses aux jours 5 et 6 sont souvent suffisantes. La dose doit être maintenue jusqu’à la dernière cytaphérèse. Mobilisation après chimiothérapie : Dose recommandée : 0,5 MU (5 μg) /kg/jour à partir du 1 er jour suivant la fin de la chimiothérapie et jusqu’à ce que la date attendue du nadir soit dépassée et que le taux de PNN se soit normalisé. La cytaphérèse doit être réalisée quand les PNN sont entre 0,5 et 5 x 10 9 /l. Donneurs sains pour greffe allogénique de CSP : 1,0 MU (10 μg)/kg/jour pendant 4 à 5 jours consécutifs. Les cytaphérèses doivent être commencées au jour 5 et jusqu’au jour 6 si nécessaire.Neutropénie chronique sévère (NCS) : Injection S.C. Neutropénie congénitale : 1,2 MU (12 μg) /kg/jour en dose unique ou doses fractionnées. Neutropénie idiopathique ou cyclique : 0,5 MU (5 μg) /kg/jour en dose unique ou doses fractionnées. Ajustement des doses : Après 1 ou 2 semaines, la dose initiale peut être doublée ou diminuée de moitié selon la réponse du patient. Par la suite, la dose doit être ajustée au cas par cas toutes les 1 à 2 sem. pour maintenir le taux moyen de PNN entre 1,5 et 10 x 10 9 /l. Infection par le VIH : Injection S.C. Dose initiale recommandée : 0,1 MU (1 μg )/kg/jour; elle peut être augmentée par paliers jusqu’à un maximum de 0,4 MU/kg/jour (4 μg/kg/jour) pour obtenir et maintenir des PNN > 2,0 x 10 9 /l. Maintien d’un taux normal de PNN : Ajuster la dose initiale en administrant, 1 jour sur 2, 30 MU (300 μg) /jour .Selon la réponse, unajustement supplémentaire pourra être nécessaire. Une administration au long cours peut être nécessaire. Utilisation pédiatrique en cancérologie et dans la NCS : NCS : bénéfice du traitement clairement apparu dans les essais cliniques. Profil de tolérance comparable aux adultes. Les doses recommandées chez l’enfant sont identiques à celles préconisées chez l’adulte après chimiothérapie. CONTRE-INDICATIONS : Hypersensibilité à la substance active ou à l’un des excipients. MISES EN GARDE SPECIALES ET PRECAUTIONS D’EMPLOI* : Le filgrastim ne doit pas être administré en cas de neutropénie congénitale sévère (syndrome de Kostmann) avec anomalies cytogénétiques.Après chimiothérapie cytotoxique : Lefilgrastim n’est pas indiqué dans le syndrome myélodysplasique et la leucémie myéloïde chronique. Il doit être administré avec précaution en cas de LAM secondaire. Il est souhaitable q’une numération leucocytaire soit effectuée régulièrement pendant le traitement. Si les leucocytes sont > 50 x 10 9 /l après la date attendue du nadir, le filgrastim doit être arrêté immédiatement. En cas de mobilisation des CSP, arrêt ou diminution de la posologie si les leucocytes sont > 70 x 10 9 /l. Aucours de chimiothérapies à doses élevées, il est recommandé de surveiller régulièrement les plaquettes et l’hématocrite. La réponse au traitement peut être diminuée en cas de baisse des précurseurs des neutrophiles (par exemple, après radiothérapie étendue ou chimiothérapie prolongée ou en cas d’infiltration médullaire de la tumeur). Des cas de réaction du greffon contre l’hôte, avec dans certains cas une issue fatale, ont été observés chez des patients recevant le G-CSF après une greffe allogénique de moelle osseuse. Mobilisation des CSP :Une attention particulière doit être portée au nombre de cellules souches recueillies avant l’administration d’une chimiothérapie à haute dose. Si des rendements insuffisants sont constatés (2,0 x 10 6 cellules CD34 + /kg), il faut envisager d’autres schémas de traitement. Donneurs sains : La cytaphérèse ne doit pas être effectuée si les plaquettes sont < 75 x 10 9 /l, en cas de traitement anticoagulant ou d’anomalies de l’hémostase. Le filgrastim doit être arrêté ou la dose diminuée si les leucocytes sont > 70 x 10 9 /l. Un suivi hématologique des donneurs est nécessaire jusqu’à normalisation. Une surveillance clinique du volume de la rate doit aussi être instituée.). Le risque de développement d’un clone de cellules myéloïdes malignes ne peut être exclu. Chaque don devrait faire l’objet d’un enregistrement et d’une surveillance par les centres de cytaphérèses pendant au moins 10 ans. Receveurs de CSP allogéniques obtenues après mobilisation par le filgrastim : Risque accru et chronique de réaction du greffon de CSP contre l’hôte, en comparaison avec la greffe de moelle osseuse. NCS : Surveillance étroite de la numération sanguine, plaquettes en particulier, à effectuer au cours des 1 ères semaines de traitement. Arrêt provisoire du filgrastim ou baisse de la posologie si une thrombopénie (plaquettes <100 000/mm 3 ) survient. Autres précautions : Le filgrastim devra être arrêté en cas de survenue d’un syndrome myélodysplasique ou d’une leucémie. La splénomégalie étant un effet direct du filgrastim (observée chez 31% des patients), une surveillance du volume de la rate doit être effectuée régulièrement. Une baisse de la dose permet un ralentissement ou un arrêt de l’évolution de la splénomégalie. En raison de risques d’hématuries/protéinuries, des analyses d’urines doivent être faites régulièrement. L’efficacité et tolérance chez le nouveau-né et dans la neutropénie auto-immune n’ont pas été établies. Infection par le VIH :Le taux de PNN doit être étroitement surveillé en début de traitement : tous les jours au cours des 2 et 3 premiers jours, puis, au moins 2x/sem. pendant les 2 premières semaines, puis 1x/sem. ou 1 semaine sur 2, durant la poursuite du traitement. Les effets du filgrastim sur la neutropénie due à une infection opportuniste ou à une affection maligne envahissant la moelle osseuse n’ont pas été déterminés avec précision. Autres précautions : L’apparition de signes pulmonaires, tels que toux, fièvre et dyspnée, associés à des signes radiologiques d’infiltration pulmonaire avec détérioration de la fonction pulmonaire, peuvent être des signes préliminaires d’un syndrome de détresse respiratoire de l’adulte (ARDS). Le filgrastim doit être arrêté et un traitement approprié doit être instauré. Il est souhaitable de surveiller la densité osseuse en cas de terrain ostéoporotique et un traitement par le filgrastim prévu > 6 mois. En raison de crises drépanocytaires rapportées, parfois fatales, le filgrastim devra être utilisé avec prudence en cas d’anémie falciforme, et uniquement après une évaluation rigoureuse du rapport bénéfices/risques. Excipients : contient du sorbitol. Ne pas utiliser en cas de maladie héréditaire rare d’intolérance au fructose. INTERACTIONS AVEC D’AUTRES MEDICAMENTS ET AUTRES FORMES D’INTERACTIONS*. GROSSESSE ET ALLAITEMENT* : En cas de grossesse, lebénéfice thérapeutique attendu devra donc être estimé au regard du risque potentiel pour le fœtus. Ne pas utiliser chez la femme qui allaite. EFFETS SUR L’APTITUDE A CONDUIRE DES VEHICULES ET A UTILISER DES MACHINES*. EFFETS INDESIRABLES* En oncologie : Fréquents: douleurs musculo-squettiques, augmentation des PAL, LDH, gamma-GT, de l’uricémie. Chez le sujet sain dans la mobilisation des CSP : Très fréquents : douleurs osseuses, céphalées, hyperleucocytose, thrombopénie transitoire. Fréquents : splénomégalie généralement asymptomatique, augmentation des PAL, LDH. Chez les patients atteints de NCS : Très fréquents : anémie, splénomégalie, epistaxis, douleurs musculosquelettiques générales, douleurs osseuses, augmentation des PAL, LDH, de l’uricémie (transitoire), diminution de la glycémie (transitoire, modérée) Fréquents : diarrhées, trombopénie, céphalées, hépatomégalie, vascularite cutanée, alopécie, éruption cutanée ostéoporose, arthralgie, douleur au site d’injection Chez les patients infectés par le VIH : Très fréquents : troubles spléniques, splénomégalie. Fréquents : douleurs osseuses. SURDOSAGE*. PROPRIETES PHARMACOCINETIQUE. PROPRIETES PHARMACODYNAMIQUES* SECURITE PRECLINIQUE*. INCOMPATIBILITES*: Ne pas diluer dans des solutions salines. CONSERVATION*: Durée : 36 mois. Après dilution : le produit doit être utilisé immédiatement. À conserver au réfrigérateur (entre 2°C et 8°C). Conserver la seringue préremplie dans l’emballage extérieur à l’abri de la lumière. Pendant sa durée de vie et pour l’usage ambulatoire, le patient peut sortir le produit du réfrigérateur et le conserver à température ambiante (ne dépassant pas 25°C) durant une période unique pouvant aller jusqu’à 72 h. A l’issue de cette période, le produit ne doit plus être remis au réfrigérateur et doit être jeté. PRECAUTIONS PARTICULIERES D’ELIMINATION ET MANIPULATION* : La solution doit être inspectée visuellement avant utilisation. Si nécessaire, Zarzio peut être dilué dans une solution de glucose à 5 %. TITULAIRE DE L’AMM : Sandoz GmbH Biochemiestrasse 10 A-6250 Kundl Autriche. REPRESENTANT LOCAL : Sandoz, 49 avenue Georges Pompidou 92593 Levallois-Perret cedex- Tél : 01 49 64 48 00. NUMERO D’AMM/PRIX : Seringues préremplies 0,5 ml (verre de type I) avec une aiguille d’injection (acier inoxydable), munie d’un dispositif desécurité. Zarzio 30 MU/0,5 ml, solution injectable ou pour perfusion en seringue préremplie : EU/1/08/495/001- CIP : 34009 393 544 1 5 (B/1). Prix : 95,44 . CIP : 34009 393 546 4 4 (B/5). Prix : 450,47 . Zarzio 48 MU/0,5 ml, solution injectable ou pour perfusion en seringue préremplie : EU/1/08/495/005 (06.02.2009) CIP : 340009 393 548 7 3 (B/1). Prix : 150,18 . CIP : 34009 393 550 1 6 (B/5). Prix : 703,74 . PRESCRIPTION/PRISE EN CHARGE/DELIVRANCE : Liste I. Médicaments soumis à prescription initiale hospitalière trimestrielle. Agrées Coll. Remb. Séc. Soc. à 100% dans toutes les indications thérapeutiques. (ML 12/12/10) *Pour une information complète, consultez le texte intégral du RCP, soit sur le site Internet de l’ANSM, soit sur demande auprès du laboratoire. . . s e t a u q é d a n i t n o s s e u q i t u e p a r é h t x u e i t c e f n i s e d o s i p é s e d e é r u d a l t e e c n e d i c n i l u o e u q i l c y yc c , e l a t i n é g n o c e r è v é s e i n é p o r t u e n e d m i h c e n u t n a v e c e r t n a f n e l z e h c t e e t l u d a l z e h c s t ts n e i t a p s e l z e h c s e i n é p o r t u e n s e d e é r u d a l e d p o r t u e n s e d e c n e d i c n i l e d t e s e i n é p o r t u e n s e d 1 N N P ( s e t n a t s i s r e p s e i n é p o r t u e n s e d t n e m e t i a r T t u e n s e r i a é l c u n y l o p e d x u a t n u c e v a e u q i h p t a p o i d i u u o s s e l u l l e c e d n o i t a s i l i b o M y . e u q i x o t o t y c e i h a r é h t o i m e n u d e i v i u s e v i s s e r p p u s o l é M m e i p a r é h t e n u t n a v ev c e r m i h c e n u r a p s é t i a r t s t ts n e i t a p s e l z e h c s e l i r b é f s e i n é p l é u à H I V e l r a p s és t c e f n i s t n e i t a p s e l z e h c ) l / ( 9 0 1 x 0 , d s t n e d é c é t n a s e d t e l / 9 0 1 x 5 , 0 ) N N P g / P s e l i h p o r t a L . t n a l u c r i c g n a s e l s n a d ) P S C ( s e c i r t i n é ( o r p s e h g c u c a e u q s i r n u t n a t n e s é r p t e e s u e s s o e l l e o m e d p e f f e r h e o i t p e c xc e l à ( r e c n a c n u r u o p e u q i x o t o t y c e i d a r é h t o i m l h n o i t c e ec f n i d e u q s i r e l e r i u d é r e d n i f a , é c n a v a e d a t s n u e t n e m g u a d n i f a , s e t n e r r u c é r u o s es r è v é s s n o i t c e f n i d e é u q i d n i t s e m i t s a r g l i f e d p e m r e t g n o l à p n o i t a r t s i n i m d t e é t i u c o n n i L . e é g n o l o r d e r è v é s e i n é à o r t u e n e d u r c c r d n y s s e d t e s e u q i n o r h c s e d ï o l é y m s e i m é c u e l s e d n o d é d s n o i t p o s e es r t u a s e l d p n a u q e n n e i r é t c a b n e r i u d é r e d t e s e l i h d o r t u e n e d x u a t e l r s t n i e t t a s e t l u d a s e l t e s t ts n a f n e s e l z e h c e s e r i a l i m i s t n o s m i t s a r g l p i f u d é t i c a c i f f e l t n o i t c u d ) é r t e ) l s e u q i s a l e l s y ys d o l é y m s e es m o r é r u d a l e d n o i t c u d é R

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Pavillon Dauphine Place du maréchal de Lattre de Tassigny - 75116 Paris

Pavillon Dauphine Place du maréchal de Lattre de Tassigny - 75116 Paris

PROGRAmmE

SOUS LE HAUT PATROnAGE DE mADAmE Marisol Touraine

Ministre des Affaires Sociales et de la Santé

PRéSIDEnT D’HOnnEUR : mARC SPIELmAnnPRéSIDEnTS ORGAnISATEURS DU COnGRÈS : mARC ESPIé ET AnDRé GORInS

SECRéTARIAT SCIEnTIFIQUE : DR mARC ESPIé (CEnTRE DES mALADIES DU SEIn) - HôPITAL SAInT-LOUIS1, AVEnUE CLAUDE VELLEFAUx 75010 PARIS - TéL. : 01 42 49 92 93

journées organisées par le Centre de Formation des Editions ESKA - CFEE : n° 11753436775

jeudi 18 & Vendredi 19 septembre 2014

Les Evénements et Avancées de l’Année

en Sénologie

jOURnéES DU CEnTRE DES mALADIES DU SEInDE L’HôPITAL SAInT-LOUIS

Les Evénements et Avancées de l’Année

en Sénologie

Des journées organisées par le Centre de Formation des Editions ESKA - CFEE : n° 11753436775Inscriptions à adresser au CFEE - Editions ESKA COnGRÈS - Serge KEBABTCHIEFF – Flora DEnIAU, Emilie BERTRAnD12, rue du Quatre-Septembre, 75002 Paris - Tél. : 01 42 86 55 69/79 - Fax : 01 42 60 45 35 E-mail : inscriptions et renseignements : [email protected] - Site :

30 MU/0,5 ml - 48 MU/0,5 mlSolution injectable ou pour perfusion en seringue pré-remplie

a Novartis company

PPR 052 02 13 - Septembre 2013 - Visa n°13/03/60670037/PM/003

ZARZIO® 30 MU/0,5 ml et 48 MU/0,5 ml, solution injectable ou pour perfusion en seringue préremplie COMPOSITION* : filgrastim G-CSF produit dans E. coli par la technique de l’ADN recombinant. INDICATIONS : Réduction de la duréedes neutropénies et de l’incidence des neutropénies fébriles chez les patients traités par une chimiothérapie cytotoxique pour un cancer (à l’exception des leucémies myéloïdes chroniques et des syndromes myélodysplasiques) et réductionde la durée des neutropénies chez les patients recevant une thérapie myélosuppressive suivie d’une greffe de moelle osseuse et présentant un risque accru de neutropénie sévère prolongée. L’innocuité et l’efficacité du filgrastim sont similaireschez l’adulte et chez l’enfant recevant une chimiothérapie cytotoxique. Mobilisation de cellules souches progénitrices (CSP) dans le sang circulant. L’administration à long terme de filgrastim est indiquée chez les enfants et les adultes atteintsde neutropénie sévère congénitale, cyclique ou idiopathique avec un taux de polynucléaires neutrophiles (PNN) ≤ 0,5 x 109/l et des antécédents d’infections sévères ou récurrentes, afin d’augmenter le taux de neutrophiles et de réduirel’incidence et la durée des épisodes infectieux. Traitement des neutropénies persistantes (PNN ≤ 1,0 x 109/l) chez les patients infectés par le VIH à un stade avancé, afin de réduire le risque d’infection bactérienne quand les autres optionsthérapeutiques sont inadéquates. POSOLOGIE ET MODE D’ADMINISTRATION* : Le traitement ne doit être administré qu’après avis d’un centre d’oncologie ayant l’expérience de l’utilisation des G-CSF. Les procédures de mobilisationet de cytaphérèse doivent être effectuées en collaboration avec un centre d’onco-hématologie adéquat. Après chimiothérapie cytotoxique : Injection S.C. ou perfusion IV de 30 min. Dose recommandée de 0,5 MU (5µg) /kg/jour. 1ère injectioneffectuée au plus tôt 24 h après la fin de la chimiothérapie. L’administration doit être poursuivie jusqu’à ce que le nadir attendu soit dépassé et que le nombre de PNN soit revenu à la normale. Après chimiothérapie myéloablative suivie d’unegreffe de moelle osseuse : Perfusion IV de 30 min ou S.C ou IV continue sur 24 h. Dose initiale recommandée de 1,0 MU (10 µg )/kg/jour. 1ère dose au minimum 24 h après la chimiothérapie et dans les 24 h précédant la greffe. Une foisle nadir des neutrophiles dépassé, la dose quotidienne devra être adaptée en fonction de la réponse des neutrophiles. Mobilisation des CSP : Injection S.C. Chimiothérapie myélosuppressive ou myéloablative suivie d’une autogreffe de cesCSP : Injection S.C ou perfusion S.C continue sur 24 h. Dose recommandée de filgrastim utilisé seul : 1,0 MU (10 �g) /kg/jour pendant 5 à 7 jours consécutifs. 1 ou 2 cytaphérèses aux jours 5 et 6 sont souvent suffisantes. La dose doit êtremaintenue jusqu’à la dernière cytaphérèse. Mobilisation après chimiothérapie : Dose recommandée : 0,5 MU (5 µg) /kg/jour à partir du 1er jour suivant la fin de la chimiothérapie et jusqu’à ce que la date attendue du nadir soit dépasséeet que le taux de PNN se soit normalisé. La cytaphérèse doit être réalisée quand les PNN sont entre 0,5 et 5 x 109/l. Donneurs sains pour greffe allogénique de CSP : 1,0 MU (10 µg)/kg/jour pendant 4 à 5 jours consécutifs. Les cytaphérèsesdoivent être commencées au jour 5 et jusqu’au jour 6 si nécessaire. Neutropénie chronique sévère (NCS) : Injection S.C. Neutropénie congénitale : 1,2 MU (12 µg) /kg/jour en dose unique ou doses fractionnées. Neutropénie idiopathiqueou cyclique : 0,5 MU (5 µg) /kg/jour en dose unique ou doses fractionnées. Ajustement des doses : Après 1 ou 2 semaines, la dose initiale peut être doublée ou diminuée de moitié selon la réponse du patient. Par la suite, la dose doit êtreajustée au cas par cas toutes les 1 à 2 sem. pour maintenir le taux moyen de PNN entre 1,5 et 10 x 109/l. Infection par le VIH : Injection S.C. Dose initiale recommandée : 0,1 MU (1 µg )/kg/jour; elle peut être augmentée par paliers jusqu’àun maximum de 0,4 MU/kg/jour (4 µg/kg/jour) pour obtenir et maintenir des PNN > 2,0 x 109/l. Maintien d’un taux normal de PNN : Ajuster la dose initiale en administrant, 1 jour sur 2, 30 MU (300 µg) /jour .Selon la réponse,un ajustement supplémentaire pourra être nécessaire. Une administration au long cours peut être nécessaire. Utilisation pédiatrique en cancérologie et dans la NCS : NCS : bénéfice du traitement clairement apparu dans les essais cliniques.Profil de tolérance comparable aux adultes. Les doses recommandées chez l’enfant sont identiques à celles préconisées chez l’adulte après chimiothérapie. CONTRE-INDICATIONS : Hypersensibilité à la substance active ou à l’un des excipients.MISES EN GARDE SPECIALES ET PRECAUTIONS D’EMPLOI* : Le filgrastim ne doit pas être administré en cas de neutropénie congénitale sévère (syndrome de Kostmann) avec anomalies cytogénétiques. Après chimiothérapie cytotoxique :Le filgrastim n’est pas indiqué dans le syndrome myélodysplasique et la leucémie myéloïde chronique. Il doit être administré avec précaution en cas de LAM secondaire. Il est souhaitable q’une numération leucocytaire soit effectuée régulièrementpendant le traitement. Si les leucocytes sont > 50 x 109/l après la date attendue du nadir, le filgrastim doit être arrêté immédiatement. En cas de mobilisation des CSP, arrêt ou diminution de la posologie si les leucocytes sont > 70 x 109/l.Au cours de chimiothérapies à doses élevées, il est recommandé de surveiller régulièrement les plaquettes et l’hématocrite. La réponse au traitement peut être diminuée en cas de baisse des précurseurs des neutrophiles (par exemple, aprèsradiothérapie étendue ou chimiothérapie prolongée ou en cas d’infiltration médullaire de la tumeur). Des cas de réaction du greffon contre l’hôte, avec dans certains cas une issue fatale, ont été observés chez des patients recevant le G-CSFaprès une greffe allogénique de moelle osseuse. Mobilisation des CSP : Une attention particulière doit être portée au nombre de cellules souches recueillies avant l’administration d’une chimiothérapie à haute dose. Si des rendements insuffisantssont constatés (≤ 2,0 x 106 cellules CD34+/kg), il faut envisager d’autres schémas de traitement. Donneurs sains : La cytaphérèse ne doit pas être effectuée si les plaquettes sont < 75 x 109/l, en cas de traitement anticoagulant ou d’anomaliesde l’hémostase. Le filgrastim doit être arrêté ou la dose diminuée si les leucocytes sont > 70 x 109/l. Un suivi hématologique des donneurs est nécessaire jusqu’à normalisation. Une surveillance clinique du volume de la rate doit aussi êtreinstituée.). Le risque de développement d’un clone de cellules myéloïdes malignes ne peut être exclu. Chaque don devrait faire l’objet d’un enregistrement et d’une surveillance par les centres de cytaphérèses pendant au moins 10 ans. Receveursde CSP allogéniques obtenues après mobilisation par le filgrastim : Risque accru et chronique de réaction du greffon de CSP contre l’hôte, en comparaison avec la greffe de moelle osseuse. NCS : Surveillance étroite de la numération sanguine,plaquettes en particulier, à effectuer au cours des 1ères semaines de traitement. Arrêt provisoire du filgrastim ou baisse de la posologie si une thrombopénie (plaquettes <100 000/mm3) survient. Autres précautions : Le filgrastim devra être arrêtéen cas de survenue d’un syndrome myélodysplasique ou d’une leucémie. La splénomégalie étant un effet direct du filgrastim (observée chez 31% des patients), une surveillance du volume de la rate doit être effectuée régulièrement. Une baissede la dose permet un ralentissement ou un arrêt de l’évolution de la splénomégalie. En raison de risques d’hématuries/protéinuries, des analyses d’urines doivent être faites régulièrement. L’efficacité et tolérance chez le nouveau-né et dansla neutropénie auto-immune n’ont pas été établies. Infection par le VIH : Le taux de PNN doit être étroitement surveillé en début de traitement : tous les jours au cours des 2 et 3 premiers jours, puis, au moins 2x/sem. pendant les 2 premièressemaines, puis 1x/sem. ou 1 semaine sur 2, durant la poursuite du traitement. Les effets du filgrastim sur la neutropénie due à une infection opportuniste ou à une affection maligne envahissant la moelle osseuse n’ont pas été déterminés avecprécision. Autres précautions : L’apparition de signes pulmonaires, tels que toux, fièvre et dyspnée, associés à des signes radiologiques d’infiltration pulmonaire avec détérioration de la fonction pulmonaire, peuvent être des signes préliminairesd’un syndrome de détresse respiratoire de l’adulte (ARDS). Le filgrastim doit être arrêté et un traitement approprié doit être instauré. Il est souhaitable de surveiller la densité osseuse en cas de terrain ostéoporotique et un traitement par le filgrastimprévu > 6 mois. En raison de crises drépanocytaires rapportées, parfois fatales, le filgrastim devra être utilisé avec prudence en cas d’anémie falciforme, et uniquement après une évaluation rigoureuse du rapport bénéfices/risques. Excipients :contient du sorbitol. Ne pas utiliser en cas de maladie héréditaire rare d’intolérance au fructose. INTERACTIONS AVEC D’AUTRES MEDICAMENTS ET AUTRES FORMES D’INTERACTIONS*. GROSSESSE ET ALLAITEMENT* : En cas de grossesse,le bénéfice thérapeutique attendu devra donc être estimé au regard du risque potentiel pour le fœtus. Ne pas utiliser chez la femme qui allaite. EFFETS SUR L’APTITUDE A CONDUIRE DES VEHICULES ET A UTILISER DES MACHINES*. EFFETSINDESIRABLES* En oncologie : Fréquents: douleurs musculo-squettiques, augmentation des PAL, LDH, gamma-GT, de l’uricémie. Chez le sujet sain dans la mobilisation des CSP : Très fréquents : douleurs osseuses, céphalées, hyperleucocytose,thrombopénie transitoire. Fréquents : splénomégalie généralement asymptomatique, augmentation des PAL, LDH. Chez les patients atteints de NCS : Très fréquents : anémie, splénomégalie, epistaxis, douleurs musculosquelettiques générales,douleurs osseuses, augmentation des PAL, LDH, de l’uricémie (transitoire), diminution de la glycémie (transitoire, modérée) Fréquents : diarrhées, trombopénie, céphalées, hépatomégalie, vascularite cutanée, alopécie, éruption cutanéeostéoporose, arthralgie, douleur au site d’injection Chez les patients infectés par le VIH : Très fréquents : troubles spléniques, splénomégalie. Fréquents : douleurs osseuses. SURDOSAGE*. PROPRIETES PHARMACOCINETIQUE. PROPRIETESPHARMACODYNAMIQUES* SECURITE PRECLINIQUE*. INCOMPATIBILITES*: Ne pas diluer dans des solutions salines. CONSERVATION*: Durée : 36 mois. Après dilution : le produit doit être utilisé immédiatement. À conserver au réfrigérateur(entre 2°C et 8°C). Conserver la seringue préremplie dans l’emballage extérieur à l’abri de la lumière. Pendant sa durée de vie et pour l’usage ambulatoire, le patient peut sortir le produit du réfrigérateur et le conserver à température ambiante(ne dépassant pas 25°C) durant une période unique pouvant aller jusqu’à 72 h. A l’issue de cette période, le produit ne doit plus être remis au réfrigérateur et doit être jeté. PRECAUTIONS PARTICULIERES D’ELIMINATION ET MANIPULATION* :La solution doit être inspectée visuellement avant utilisation. Si nécessaire, Zarzio peut être dilué dans une solution de glucose à 5 %. TITULAIRE DE L’AMM : Sandoz GmbH Biochemiestrasse 10 A-6250 Kundl Autriche. REPRESENTANT LOCAL :Sandoz, 49 avenue Georges Pompidou 92593 Levallois-Perret cedex- Tél : 01 49 64 48 00. NUMERO D’AMM/PRIX : Seringues préremplies 0,5 ml (verre de type I) avec une aiguille d’injection (acier inoxydable), munie d’un dispositifde sécurité. Zarzio 30 MU/0,5 ml, solution injectable ou pour perfusion en seringue préremplie : EU/1/08/495/001- CIP : 34009 393 544 1 5 (B/1). Prix : 95,44 €. CIP : 34009 393 546 4 4 (B/5). Prix : 450,47 €. Zarzio 48 MU/0,5 ml,solution injectable ou pour perfusion en seringue préremplie : EU/1/08/495/005 (06.02.2009) CIP : 340009 393 548 7 3 (B/1). Prix : 150,18 €. CIP : 34009 393 550 1 6 (B/5). Prix : 703,74 €. PRESCRIPTION/PRISE ENCHARGE/DELIVRANCE : Liste I. Médicaments soumis à prescription initiale hospitalière trimestrielle. Agrées Coll. Remb. Séc. Soc. à 100% dans toutes les indications thérapeutiques. (ML 12/12/10) *Pour une information complète, consultez le texte intégral du RCP, soit sur le site Internet de l’ANSM, soit sur demande auprès du laboratoire.

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Page 2: a Novartis company - ESKA - Congres & Séminaires Louis 2014 programme.pdf · L’administration doit être poursuivie jusqu’à ce que le nadir attendu soit dépassé et que le

08h15 - 08h45 ACCUEIL DES PARTICIPAnTS

08h45 - 09h00 Allocution du Président d'Honneur m. SPIELmAnn

09h00 - 10h15 Cas Cliniques - Système Interactif : 3 cas m. ESPIé, m. LALLOUm, S. FRAnKAvis du Public et des Experts E. BOURSTYn, C. DE BAZELAIRE,

A. DE ROQUAnCOURT, L. CAHEn-DOIDY, L. TEIxEIRA,A. GORInS, C. CUVIER, S. BOnFILS, C. mAYLIn

10h15 - 10h45 PAUSE - VISITE DES STAnDS

10h45 - 11h15 Conférence du Président d’Honneur m. SPIELmAnn

11h15 - 11h45 Cancer du sein révélé par une adénopathie axillaire C. CUVIER

11h45 - 12h15 Pathologie dite bénigne du canal galactophore S. BOnFILS, A. DE ROQUAnCOURT

12h15 - 12h45 Les référentiels en sénologie et la vraie vie en clinique E. BOURSTYn

12h45 - 13h30 SYmPOSIUm GSK - STRATéGIES ACTUELLES DAnS LE CAnCER DU SEInméTASTATIQUE HER2 +Président : m. ESPIé

• Données fondamentales et moléculaires du double blocage des récepteurs HER2 G. mILAnO• Quelles stratégies thérapeutiques dans le cancer du sein métastatique HER2 + ?

Comment optimiser la prise en charge ? S. GIACCHETTI

13h30 - 14h30 DéjEUnER

14h30 - 15h30 Table Ronde sur « l’Os »modérateur : B. TOURnAnT

• Les mécanismes de formation des métastases osseuses P. CLéZARDIn• Différencier métastases ou pas en imagerie V. BOUSSOn

• Conduite à tenir devant une ostéopénie et/ou une ostéoporose sous inhibiteurs de l’AROmATASE P. ORCEL

• Situation de fracture métastatique F. ZADEGAn

Avec le soutien des laboratoires AMGEN

15h30 - 16h00 A chacun son Everest C. jAnIn

16h00 - 17h30 ATELIERS DE TRAVAIL

ATELIER 1 Imagerie du sein m. ALBITER, C. DE BAZELAIRE, F. COHEn-SCALI,S. GIACCHETTI, m. SUISSA

ATELIER 2 Face aux mastopathies bénignes m. ESPIé, S. FRAnK, A. GORInS,m. LALLOUm, B. TOURnAnT

ATELIER 3 Cas rares en sénologie S. BOnFILS, C. CUVIER, A. DE ROQUAnCOURT

ATELIER 4 Sein et Psychisme D. CAnO, m. FAFOUTI, n. ESPIé, K. mEBRAKF. PERRET, D. WInAVER

xVIIes jOURnéES DE SénOLOGIE InTERACTIVEJournées du Centre des Maladies du sein de l’Hôpital saint-louis

Pavillon Dauphine - Place du maréchal de Lattre de Tassigny - 75116 ParisjOURnéES PRéSIDéES PAR mARC ESPIé ET AnDRé GORInS

jEUDI 18 SEPTEmBRE 2014 VEnDREDI 19 SEPTEmBRE 2014

08h30 - 09h00 ACCUEIL DES PARTICIPAnTS

09h00 - 09h30 Les tumeurs du sein type BRCA m. mARTY

09h30 - 10h00 Imagerie du sein après chirurgie plastiqueDétection des accidents et complications C. DE BAZELAIRE, C. OZIL, S. mAZOUZ-DORVAL

10h00 - 10h30 Résultats des traitements conservateurs du cancer du sein avec la curiethérapie à haut débit(Expérience de l’Hôpital Saint-Louis) S. GUILLERm

10h30 - 11h00 PAUSE - VISITE DES STAnDS

11h00 - 11h30 Estetrol et Sein j. DESREUx

11h30 - 12h30 Table Ronde - La mastectomie prophylactique• Pour quoi, pour qui, quand, comment ?

E. BOURSTYn, A. DE ROQUAnCOURT,O. COHEn-HAGUEnAUER, j. RAUSKY

12h30 - 13h15 SYmPOSIUm ROCHE - EnjEUx ET OPPORTUnITéS DAnS LA STRATéGIETHéRAPEUTIQUE DU CAnCER DU SEIn

Président : m. ESPIé

• Cancer du sein en situation précoce HER2+ C. CUVIER• Cancer du sein métastatique HER2+ et HER2-, quelle stratégie thérapeutique optimale en 1ère et 2ème ligne ? jP. SPAnO

13h15 - 14h15 DéjEUnER

14h15 - 14h45 Les tests génomiques : utilité ou esbroufe ? S. GIACCHETTI

14h45 - 15h15 Du nouveau sur la maladie de Cowden n. SéVEnET

15h15 - 15h45 Les syndromes paranéoplasiques dans le cancer du sein F. COUSSY

15h45 - 16h15 PAUSE - VISITE DES STAnDS

16h15 - 16h45 Actualités, récents congrès, nouveautés en sénologie C. CUVIER, S. GIACCHETTI

16h45 - 17h15 Le point actuel sur les cellules tumorales et l’ADn circulantdans le cancer du sein L. TEIxEIRA

17h15 - 17h30 Discussion des Posters et remise des prix F. COUSSY, AS. HAmY, S. FRAnK

17h30 Conclusions des journées Remise des prix du jeu « Suivez le sein » A. GORInS, m. ESPIé

Tout au long des journées :

Exposition des Posters S. FRAnK

Animation autour du mur du Sein F. PERRET