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A LA MEMOIRE DES 1 500 000 VICTIMES ARMENIENNES 24 Avril 2010 : 95ème anniversaire du génocide arménien de 1915 perpétré par le gouvernement Jeune-Turc 95 ans de déni : ça suffit ! --------------------------------------------------------------- ---- VEILLE MEDIA Jeudi 15 juillet 2010 Retrouvez les news sur : http://www.collectifvan.org SOMMAIRE Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN [Vigilance Arménienne contre le Négationnisme] vous propose une revue de presse des informations parues dans la presse francophone, sur les thèmes concernant la Turquie, le génocide arménien, la Shoah, le génocide des Tutsi, le Darfour, le négationnisme, l'Union européenne, Chypre, etc... Nous vous suggérons également de prendre le temps de lire ou de relire les informations et traductions mises en ligne dans notre rubrique http://www.collectifvan.org/rubrique.php?r=0&page=1. Par ailleurs, certains articles en anglais, allemand, turc, etc, ne sont disponibles que dans la newsletter Word que nous générons chaque jour. Pour la recevoir, abonnez-vous à la Veille-Média : c'est gratuit ! Vous recevrez le document du lundi au vendredi dans votre boîte email. Bonne lecture.

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A LA MEMOIRE DES 1 500 000 VICTIMES ARMENIENNES24 Avril 2010 : 95ème anniversaire du génocide arménien de 1915

perpétré par le gouvernement Jeune-Turc95 ans de déni : ça suffit !

-------------------------------------------------------------------

VEILLE MEDIA

Jeudi 15 juillet 2010

Retrouvez les news sur :http://www.collectifvan.org

SOMMAIRE

Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN [Vigi-lance Arménienne contre le Négationnisme] vous propose une re-vue de presse des informations parues dans la presse franco-phone, sur les thèmes concernant la Turquie, le génocide armé-nien, la Shoah, le génocide des Tutsi, le Darfour, le négationnisme, l'Union européenne, Chypre, etc... Nous vous suggérons égale-ment de prendre le temps de lire ou de relire les informations et traductions mises en ligne dans notre rubrique http://www.collec-tifvan.org/rubrique.php?r=0&page=1. Par ailleurs, certains ar-ticles en anglais, allemand, turc, etc, ne sont disponibles que dans la newsletter Word que nous générons chaque jour. Pour la rece-voir, abonnez-vous à la Veille-Média : c'est gratuit ! Vous recevrez le document du lundi au vendredi dans votre boîte email. Bonne lecture.

L’ANCA émet des réserves quant à la nomination de Matthew Bry-za à Bakou Info Collectif VAN - www.collectifvan.org – Le Collectif VAN vous livre la tra-duction de l'article en anglais de la Radio Publique d’Arménie parue sur le site de la Fédération Euro-Arménienne pour la Justice et la Démocratie du 13 juillet 2010. "Le Comité National Arménien d’Amérique (ANCA) partage avec les membres de la commission des relations extérieures du Sénat américain les réserves émises suite à l’examen d’un document de sept

pages concernant la nomination par le président Obama de Matthew Bryza comme ambassadeur des Etats-Unis en Azerbaïdjan."

Le message des organisations non gouvernementales de la RHK Info Collectif VAN - www.collectifvan.org – Le Collectif VAN vous livre ce Communiqé de presse mis à notre disposition par la Représentation de la République du Haut-Karabagh en France. "Suite à la déclaration faite le 26 juin dernier par les Présidents des pays assurant la co-présidence du Groupe de Minsk de l'OSCE, D. Medvedev, B. Obama et N. Sakozy, sur le conflit du Karabagh en marge du sommet du G8 tenu à Muskoka (Canada), nous tenons à saluer les efforts de la communauté internationale et des pays co-présidents en vue d'un règlement pacifique du conflit opposant le Karabagh à l'Azerbaïdjan".

Turquie: Le blocage de YouTube reconduit, les motivations des au-torités douteuses Info Collectif VAN - www.collectifvan.org – Le Collectif VAN vous présente cette information publiée sur le site de Reporters Sans Frontières en date du 8 juillet 2010. "Le 7 juillet 2010, la première chambre du tribunal de po-lice d’Ankara a rejeté la demande de déblocage de 44 adresses IP permet-tant d’accéder à YouTube. Le blocage de ces adresses avait entraîné, en juin 2010, la perturbation de plusieurs services de Google comme Google Maps ou Google Analytics. Ce dernier est toujours affecté. L’affaire a été transmise à la 13e chambre du tribunal d’Ankara pour évaluation."

Revue de la presse turque 13.07.2010 Info Collectif VAN - www.collectifvan.org – Le Collectif VAN vous propose la revue de la presse turque du 13 juillet publiée sur la TRT (Télévision & Ra-dio de Turquie). Cette revue de presse n'est pas commentée de notre part. Elle peut contenir des propos négationnistes envers le génocide arménien ou d'autres informations à prendre sous toute réserve.

La Turquie épinglée à Strasbourg pour rétention d'un réfugié ira-nien La Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) a épinglé mardi la Tur-quie pour avoir retenu pendant près de deux ans, dans un centre de réten-tion pour étrangers, un Iranien qui a finalement obtenu le statut de réfugié politique en Suède.

Cercle Diplomatique et Economique International consacre plu-sieurs pages à l’Arménie Plusieurs pages sur l’Arménie et la nation arménienne sont montrés dans le magazine autrichien “ Cercle Diplomatique et Economique International ” à destination des diplomates, des hommes d’affaires, les membres du gouvernement.

Turquie : un officier accusé de conspiration sera jugé par l'armée

Un officier supérieur jugé par un tribunal civil pour avoir préparé un projet de conspiration contre le gouvernement islamo-conservateur turc, devra aussi comparaître devant la justice militaire, rapporte mercredi l'agence de presse Anatolie.

L'info vue par la TRT (3) Le Collectif VAN vous propose cet article publié sur la TRT (Télévision & Ra-dio de Turquie). Les articles de ce site ne sont pas commentés de notre part. Ils peuvent contenir des propos négationnistes envers le génocide ar-ménien ou d'autres informations à prendre sous toute réserve. "Les opéra-tions contre l'organisation terroriste PKK se poursuivent".

Pallone relance son appel à la reconnaissance du génocide armé-nien après la visite de Clinton à Erevan Le représentant américain Frank Pallone, (D-NJ) co-président du Comité électoral du Congrès sur les questions arméniennes a recommandé à la Secrétaire d’Etat Hillary Clinton après sa visite du complexe du mémorial du génocide arménien de Dzidzernagapert en Arménie a officiellement re-connaître le meurtre systématique de 1,5 million d’arméniens entre 1915 et 1923 comme un génocide.

Les ex-rebelles du Sud-Soudan veulent favoriser la paix au Dar-four Les ex-rebelles du Sud-Soudan veulent établir le contact entre le président Omar el-Béchir et la rébellion du Darfour afin de favoriser la tenue de pourparlers de paix, a affirmé mercredi la formation, qui a aussi fait état d'une tentative de meurtre contre l'un de ses membres.

La Turquie risque de perdre son rôle d'intermédiaire dans la ré-gion En s'aliénant Israël et en mécontentant les Etats-Unis comme elle vient de le faire, la Turquie risque de perdre le rôle de facilitateur de paix qu'elle re-vendique dans la région, notamment auprès de ses voisins musulmans.

L'info vue par la TRT (2) Le Collectif VAN vous propose cet article publié sur la TRT (Télévision & Ra-dio de Turquie). Les articles de ce site ne sont pas commentés de notre part. Ils peuvent contenir des propos négationnistes envers le génocide ar-ménien ou d'autres informations à prendre sous toute réserve. "M. Gül a été accueilli par les responsables slovènes à l'aéroport de Ljubljana".

L'armée turque brûle les forêts En utilisant les incendies de forêts dans sa lutte contre le PKK, l'armée turque continue à commette des crimes de guerre. Elle a, tout récemment, mis le feu aux forêts d'Ilicilar, un village de la province de Bingol. Essayant d'éteindre le feu par leurs propres moyens, les villageois n'ont pas su pro-téger certains vergers, ravagés par le feu.

À Sainte-Anne, faune et flore à la fête scolaire La kermesse de l'école Sainte-Anne s'est déroulée samedi dans la cour de l'école. ... La première partie était consacrée à la faune et la flore, la se-conde à divers artistes qui se sont engagés dans des associations carita-tives ou pour une autre cause.

Turquie: terroriste présumé extradé La Turquie a extradé vers l'Allemagne un citoyen allemand de 28 ans soup-çonné de faire partie d'une organisation considérée comme terroriste, a in-diqué le parquet fédéral allemand aujourd'hui.

Tour Eiffel : feu d'artifice du 14 juillet avec l'Arménie et Aznavour Pour le feu d’artifice du 14 juillet à Paris, c'est un voyage dans les pays de la Francophonie qui a été préparé, à travers les couleurs mais aussi par le choix des chansons. Charles Aznavour nous a emmenés en Arménie, Cé-line Dion au Canada, Jacques Brel en Belgique ou encore Youssou N Dour au Sénégal : une liste de seize chansons et pays, entrecoupés de bruits de trains et d’avions pour faire le tour du monde tout en étant au pied de la Tour Eiffel.

Darfour : la pression s'accentue sur Omar el-Béchir Le procureur de la CPI ajoute l'accusation de génocide à celle de crime contre l'humanité. Pour le procureur de la Cour pénale internationale (CPI), l'Argentin Luis Moreno Ocampo, il existe encore «une dernière chance d'ar-rêter le génocide au Darfour». Car c'est bien pour génocide qu'est désor-mais poursuivi le président soudanais Omar el-Béchir.

La Turquie et l'UE entament le dialogue politique La Turquie et l'Union européenne entament ce mardi un dialogue politique au niveau ministériel à Istanbul. La Turquie est représentée par le ministre des Affaires étrangères Ahjmed Davutoglu et le ministre d'Etat et le princi-pal négociateur Egemen Bagis.

Erdogan cherche une tête de Turc Le président turc veut des excuses ! Il veut des excuses parce que per-sonne ne l’a retenu d’armer avec ses amis islamistes de l’IHH, un groupe d’une mouvance connue (Cf. Juge Bruguière et justice allemande) un gros cargo et l’envoyer avec des terroristes dont certains fichés[1] contre l’em-bargo (il n’y a pas de blocus mais une limitation du passage d’armes, de matériaux entrant dans la composition d’explosifs ou de bunker) appliqué par un pays supposé allié.

Rencontre-projection avec Jean-Pierre Séférian Une projection du film documentaire « Les khatchkars (pierres sacrées) entrent au Louvre » d'Alain Tyr, co-auteur avec Jean-Pierre Séférian, est or-ganisée, avec la participation de ce dernier, samedi 18 juillet à 18heures

salle de la mairie de Castelnau-Montratier.

Une sous-commission du congrès maintient l’aide américaine au Karabakh Une sous-commission clef de la Chambre des représentants américains a rejeté une proposition de la Maison Blanche de mettre fin à l’aide directe américaine au Nagorno-Karabakh, vieux souhait de l’Azerbaïdjan.

Béchir poursuivi pour génocide : la Chine appelle à « tenir compte de l'intérêt général » La Chine a réagi ce mercredi à l'annonce par la Cour pénale internationale de la poursuite pour « génocide » du président soudanais Omar el-Béchir. Qin Gang, le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, a déclaré lors d'une conférence de presse que « la Chine espère que les or-ganisations concernées pourront tenir compte de l'intérêt général, en écoutant attentivement les opinions de l'Union Africaine, de la Ligue des Etats arabes et des pays concernés. Cela pourra contribuer au maintien de la paix et de la stabilité durables du Soudan ».

Des images et des traditions d'ailleurs au menu de Festicers Cette année, au stade de Cers, Festicers se déroulera en deux soirées gra-tuites ce vendredi et ce samedi à 21 h. Trois groupes seront à l'affiche : le groupe basque Leinua Ttiki, les Corréziens de l'école de danse de bourrée de Davignac et, venu tout spécialement d'Arménie, le groupe Aravot.

L’Azerbaïdjan nie toutes les nouvelles propositions de paix au Ka-rabakh L’Azerbaïdjan a nié que les affirmations arméniennes prétendant que le Président russe Dmitry Medvedev a présenté un nouveau plan internatio-nal pour mettre fin au conflit du Nagorno-Karabakh lors de la réunion à Saint Pétersbourg mois dernier.

L'info vue par la TRT (1) Le Collectif VAN vous propose cet article publié sur la TRT (Télévision & Ra-dio de Turquie). Les articles de ce site ne sont pas commentés de notre part. Ils peuvent contenir des propos négationnistes envers le génocide ar-ménien ou d'autres informations à prendre sous toute réserve. "Au Parle-ment français, le projet de loi sur le soi-disant génocide arménien a été abordé au Sénat pour être débattu à la Commission mixte."

Kurdistan, la seconde Palestine du Moyen-Orient ? En pleine crise de la flottille, après l'assaut sanglant mené par les troupes israéliennes contre un navire turc qui tentait de briser le blocus imposé aux Palestiniens de Gaza, la question kurde a refait surface, comme ré-veillée par l'onde de choc régionale.

Guerre sur Facebook : les sites web arméniens attaqués par des

azéris lors de la visite de Clinton à Erevan Des pirates informatiques azéris ont attaqué sept sites web arméniens les 3 et 4 juillet, quelques heures avant la visite de la Secrétaire d’Etat améri-caine Hillary Clinton à Erevan et à la veille de la journée de la Constitution de l’Arménie.

Darfour-Rivalités tribales: 221 morts en juin Les violences ont fait 221 morts en juin au Darfour, région de l'ouest du Soudan en proie à la guerre civile, la plupart d'entre elles étant attribuées à des affrontements entre tribus arabes rivales, a annoncé dimanche la mission de paix ONU-Union africaine (Minuad).

Turquie : " Les efforts doivent se continuer pour le rapprochement Turquie-Arménie" Il n’y a aucune certitude quand la Turquie et l’Arménie ouvriront leur fron-tière et établiront de pleines relations diplomatiques, mais des efforts offi-cieux dans le renforcement des liens entre les deux communautés doivent continuer ont déclaré des observateurs des deux côtés lors d’un rassem-blement pour un débat politique à Istanbul la semaine dernière.

RSF appelle les bailleurs de fonds à suspendre leur soutien au Rwanda Reporters sans frontières (RSF) a appelé mercredi l'Union européenne et les autres bailleurs de fonds à "suspendre leur soutien au régime de Kigali" et à "cesser leur appui financier" au scrutin présidentiel du 9 août.

Les Etats-Unis apprécient le rôle de la Turquie dans les négocia-tions nucléaires avec l'Iran Le ministre turc des Affaires étrangères Ahmet Dovotoglu a démenti jeudi les informations selon lesquelles les Etats-Unis souhaitent voir la Turquie rester à l'écart des négociations nucléaires avec l'Iran.

Le problème de l'autonomie des Kurdes Avec Feyhan, ma compagne, nous lisons les journaux. Gros titre dans Taraf : “les Kurdes vont proclamer l’autonomie”. (25.06.10). Feyhan se tourne vers moi avec un regard d’incompréhension. Les mairies tenues par le BDP (Parti pour la Paix et la Démocratie, pro-kurde) ont décidé que “l’on lutte pour rompre totalement la dépendance vis-à-vis de l’Etat central”.

Turquie : le chômage continue de baisser Le taux de chômage en Turquie a baissé à 12% de la population active au cours du trimestre finissant en mai, contre 14,9% pour la même période de l'an dernier, selon les données officielles publiées jeudi.

Un génocide à la légère L’inculpation, hier, du président soudanais Omar el-Béchir pour «géno-cide» au Darfour sert peut-être la cause de la justice internationale, mais

pas celle de cette province ni la vérité historique. Certes, des atrocités y ont été commises, surtout en 2003-2004. Ces exactions ont valu à El-Bé-chir un premier mandat d’arrêt en 2009 pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité.

Crimes de guerre : la France, trop frileuse donneuse de leçons En pointe pour défendre le droit international humanitaire, la France s'ap-prête pourtant à adopter une loi qui, en l'état, pourrait paralyser les pour-suites sur son sol contre les criminels de guerre et autres responsables de génocides.

Shavarsh Kocharyan réfute la déclaration du ministère azéri Le vice-Ministre arménien des Affaires Etrangères Shavarsh Kocharyan a réfuté les déclarations du Ministre azéri des Affaires Etrangères que pen-dant la réunion à Almaty le 16 juillet les Ministres des Affaires Etrangères des deux pays discuteront du retrait des troupes de Lachin et Kelbajar.

Azerbaïdjan: un consortium mené par BP accorde 814 M USD de contrats pour un gisement Un consortium international mené par le géant britannique BP a annoncé vendredi avoir accordé des contrats pour le développement d'un vaste gi-sement pétrolier en Azerbaïdjan pour un montant de 814 millions de dol-lars.

La frontière arméno-turque pourrait être ouverte pendant la pé-riode des exercices de l’OTAN en Arménie Du 11 au 17 septembre, l’Arménie accueillera les exercices de l’OTAN - Ar-ménie 2010, pendant lesquels les manoeuvres des unités de soutiens hu-manitaires dans les zones de désastres seront mis en pratiques.

Uranium iranien: Brésil et Turquie pas formellement invités aux discussions Les Etats-Unis, la Russie et la France n'ont pas formellement accepté la participation du Brésil et de la Turquie aux négociations sur un échange d'uranium avec l'Iran, ont indiqué des diplomates lundi, sans exclure caté-goriquement une telle éventualité.

Quel stade pour l’UJA ? Si le club val-de-marnais est amené à monter en National, il devra se trou-ver un nouveau stade. Malgré les contacts avec Créteil et La Courneuve, Sarcelles semble tenir la corde.

Ashton reconnaît à Istanbul le rôle régional de la Turquie La chef de la diplomatie européenne Catherine Ashton a reconnu mardi à Istanbul l'importance du rôle que joue la Turquie au Proche et au Moyen-orient, et a assuré qu'Ankara et l'Union européenne partagent les "mêmes buts".

L’Arménie veut augmenter ses relations avec Israël Le président Serge Sarkissian a appelé à l’approfondissement des relations de l’Arménie avec Israël alors qu’il rencontrait mardi un haut fonctionnaire israélien.

INFOS COLLECTIF VAN

Le message des organisations non gouvernemen-tales de la RHKInfo Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN vous livre ce Communiqé de presse mis à notre disposition par la Re-présentation de la République du Haut-Karabagh en France.

Le message des organisations non gouvernementales de la RHK adressé aux Présidents des Etats-Unis, de la Fé-dération de la Russie et de la France, et aux co-prési-dents du Groupe de Minsk de l'OSCE

Mardi, 13 Jullet 2010

Suite à la déclaration faite le 26 juin dernier par les Présidents des pays assurant la co-présidence du Groupe de Minsk de l'OSCE, D. Medvedev, B. Obama et N. Sakozy, sur le conflit du Karabagh en marge du sommet du G8 tenu à Muskoka (Canada), nous tenons à saluer les efforts de la com-munauté internationale et des pays co-présidents en vue d'un règlement pacifique du conflit opposant le Karabagh à l'Azerbaïdjan.

Toutefois,

• dans une situation, où le régime de cessez-le-feu est systématiquement violé par la partie azérie, sans compter les attaques de diversion répéti-tives des groupes armées, qui causent des pertes humaines des deux cô-tés, où la course aux armements sans précédent et l'hystérie politico-mili-taire battent leur plein en Azerbaïdjan, où l'arménophobie est portée au rang d'une politique d'Etat construite sur le mensonge, la calomnie et la désinformation ;

• dans un contexte, où la position et les droits constitutionnels du peuple de la RHK sont constamment ignorés par la communauté internationale et les médiateurs ; où 16 ans après la signature de l'accord de cessez-le-feu, les structures internationales n'ont toujours pas désigné le véritable agres-seur et le responsable de cette guerre qui a détruit des centaines de mil-

liers de vies, où la RHK, tout en étant reconnu comme une partie du conflit, ne participe pas aux négociations ;

nous adressant aux Présidents des trois pays co-présidents du Groupe de Minsk, nous tenons à souligner :

Dans leur dernière déclaration commune, les Présidents américain, russe et français reprennent point par point le «Document de Madrid», dont les principes ne peuvent pas être appliqués, comme nous l'avons déclaré à de nombreuses reprises.

Dans nos déclarations, nous avons exprimé notre opinion de manière argu-mentée sur l'inadmissibilité des « principes de Madrid » comme une base de règlement du conflit du Karabagh. Le document de Madrid ne tient pas compte des réalités historiques, juridiques et des réalités de l'après-guerre, et son application risque de déstabiliser toute la région par une nouvelle guerre de grande envergure avec des conséquences imprévi-sibles non seulement pour le Caucase du Sud.

Tous ceux qui tentent d'imposer au peuple du Karabagh des décisions qu'il estime inacceptables, des décisions qui représentent un danger pour la sé-curité nationale, doivent être conscients de porter une responsabilité poli-tique et morale devant le peuple arménien, de l'escalade inéluctable de tensions et de la guerre, dont le but est d'exterminer le peuple de l'Art-sakh.

Une telle évolution sera considérée comme une continuation du Génocide perpétré par l'Etat turc à la fin du 19ème et au début du 20ème siècles, des massacres et des expulsions des Arméniens de Sumgaït, de Bakou, de Kirovabad dans les années 1988-1990, de l'opération appelée «Anneau» visant le nettoyage ethnique des Arméniens de la RHK et menée par les milices azéris et les troupes soviétiques.

Les tentatives de priver le peuple du Karabagh de son droit à l'avenir sont doublement injustes et dépourvues de toute morale dans un contexte de prise de décisions relatives à d'autres conflits dans l'espace postsoviétique et en Europe. Le monde entier doit prendre en compte le fait qu'au cours des années qui ont suivi la victoire des forces armées arméniennes dans une guerre déclenchée par l'Azerbaïdjan, nous avons relancé notre écono-mie, avons construit notre Etat et nous nous sommes engagés sur la voie de la démocratie, nous basant sur la Loi, conforme à toutes les normes fondamentales du droit international.

La société civile de la RHK a toujours salué toute initiative pacifiste, mais nous sommes en faveur d'une paix réelle et durable et non d'une imitation de la paix, nous sommes en faveur de négociations dans un format com-plet et représentant toutes les parties, mais n'acceptons et n'accepterons

jamais une violation totale de nos décisions constitutionnelles et de nos droits naturels.

Nous nous adressons aux Présidents américains, russe et français, aux co-présidents du Groupe de Minsk, pour dire encore une fois que les décisions proposées ne sont pas viables pour les raisons suivantes :

- La méfiance du peuple du Karabagh envers la classe politique dirigeant l'Azerbaïdjan, vu sa politique anti-arménienne, vu l'instauration d'un ré-gime totalitaire dans le pays et la violation des droits des minorités eth-niques de l'Azerbaïdjan, mais aussi des Azerbaïdjanais de souche qui luttent contre le régime. Pour nous les intentions criminelles des dirigeants azéris à l'égard des Arméniens de la RHK sont plus qu'évidentes.

- Nous ne faisons pas confiance aux forces de maintien de la paix, car nous avons tiré des leçons non seulement de notre propre histoire, mais aussi des évolutions des dernières années dans la région et dans le monde. Seules les forces armées de la RHK peuvent assurer la sécurité de nos concitoyens.

- Nous sommes prêts à soutenir toutes les forces dans leurs efforts de mé-diation en vue d'instauration d'une paix durable tant attendue. En même temps, nous vous prions de prendre en compte qu'aucun pays ni force au monde n'a le droit d'interdire au peuple du Karabagh de défendre son droit légitime à la vie, à la liberté et à l'indépendance.

Signataires :

Hasmik Arouchanian - membre du conseil des organisations non gouverne-mentales de la RHK Irina Grigorian - Institut de la diplomatie populaire, membre du conseil des organisations non gouvernementales de la RHK Valéry Balayan - «Tradition», membre du conseil des organisations non gouvernementales de la RHK Manouchak Tekhranian - «L'art au nom de la paix et du développement», membre du conseil des organisations non gouvernementales de la RHK Gaguik Bagounts - «Union de l'intelliguentsia de l'Artsakh», membre du conseil des organisations non gouvernementales de la RHK Guéorgui Shaakian - membre du conseil des organisations non gouverne-mentales de la RHK Arminé Pétrossian - organisation non gouvernementales «Descendants de Haïk» Stéphane Grigorian - «Club des jeunes politologues» David Melkoumian - «Communauté des jeunes chrétiens», membre du conseil des organisations non gouvernementales de la RHK Véra Grigorian - «Union des parents des disparus de la guerre»

Galina Aroustamian - «Union des parents des disparus de la guerre» Saro Sarian - Organisation non gouvernementale des réfugiés Gayané Hambardzoumian - «Centre-resource de femmes» Hasmik Mikaëlian - «Maternité» Alvard Grigorian - «Société ouverte» Vardan Tadévossian - membre du conseil des organisations non gouverne-mentales de la RHK Mher Haroutunian - Centre d'études «Katchar» Djoulietta Aroustamian - «Harmonie» Hmayak Dadamian - Union « Aparaj» Eléonore Barseghian - Organisation de jeunesse «Zepyur» Ellada Sahakian - membre du conseil des organisations non gouvernemen-tales de la RHK Véra Aharonian - Club de débat de Hadrout Areg Balayan - « Tradition»

http://www.haut-karabagh.com/newsletter/2010-07-10/166/

http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=45968

L’ANCA émet des réserves quant à la nomination de Matthew Bryza à BakouInfo Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN vous livre la traduction de l'article en anglais de la Radio Publique d’Ar-ménie parue sur le site de la Fédération Euro-Arménienne pour la Justice et la Démocratie du 13 juillet 2010.

13 juillet 2010

***

Traduction Gérard Merdjanian – Commentaires du site de la Fédéra-tion Euro-Arménienne :

La liste des reproches faits au diplomate Bryza, en tant que secrétaire d’Etat adjoint pour les Affaires européennes et eurasiennes, de 2005 à 2009, chargé de coordonner la politique énergétique des États-Unis dans les régions de la Mer Noire et de la Mer Caspienne, et en même temps re-présentant des États-Unis à la coprésidence du Groupe de Minsk, est suffi-samment longue pour se poser des questions quant à sa nomination fin Mai comme Ambassadeur en Azerbaïdjan. Son mariage à Istanbul en août 2007 avec une universitaire américaine d’origine turque, ne fait qu’ajouter à la confusion.

Si avant tout un Ambassadeur se doit d’appliquer la politique étrangère décidée par son pays, il existe de nombreux cas où les opinions person-nelles peuvent venir fausser les déclarations officielles voire les actions du diplomate. Ce fut le cas des ambassadeurs pro-turcs tels M. Bryza et R. Hoagland (pressenti mais non confirmé), ou à l’inverse, pro-arménien, J. Evans (démis de ses fonctions).

***

Le Comité National Arménien d’Amérique (ANCA) partage avec les membres de la commission des relations extérieures du Sénat américain les réserves émises suite à l’examen d’un document de sept pages concernant la nomination par le président Obama de Matthew Bryza comme ambassadeur des Etats-Unis en Azerbaïdjan.

Dans des lettres adressées à chacun des 19 membres de la commission, le président de l’ANCA, Ken Hachikian, présente les préoccupations de la communauté arméno-américaine quant à la nomination de M. Bryza, les-quelles se divisent en deux grandes catégories : - les potentiels conflits d’intérêts ; - et les lacunes dans l’exécution des priorités de la politique étrangère de notre nation."

"Il y a des raisons valables, à notre avis, pour que la commission des rela-tions extérieures du Sénat se penche sur la façon dont les activités profes-sionnelles de l’épouse de M. Bryza, l’universitaire Zeyno Baran, peuvent créer un potentiel conflit d’intérêt lié à la nature de ses activités. Il est de notoriété publique, que Mme Baran est engagée dans la défense des droits en ce qui concerne les mêmes champs d’actions, politiques et pratiques américaines que M. Bryza, lequel a eu un rôle de par sa fonction, dans leurs formulations et leurs mises en œuvre. L’Institut Hudson, employeur de Mme Baran, est connu pour recevoir des fonds d’entreprises locales et de l’étranger, y compris les entreprises d’énergie, qui sont impactées fi-nancièrement par les décisions de la diplomatie américaine supervisées par M. Bryza, et qui de surcroît jouera un rôle central dans la coordination que si elles sont approuvées par l’Ambassadeur des États-Unis en Azer-baïdjan."

En plus des questions de conflits d’intérêts, les réserves de l’ANCA couvre les manquements de M. Bryza quant à son activité diplomatique sur les su-jets suivants : - Avoir donné une réponse évasive quant à la vidéo sur la destruction du cimetière arménien de Djoulfa, vieux de 1300 ans, au Nakhitchevan. - Ne pas avoir appliqué pleinement les Crédits votés par le Congrès des États-Unis au Haut-Karabakh. - Ne pas avoir lutté sérieusement contre les déclarations belliqueuses per-manentes de la Géorgie et de l’Azerbaïdjan.

- Avoir déclaré que l’Arménie excluait le Haut-Karabakh du processus de paix. - Avoir déclaré que pour l’Arménie, l’autodétermination primait sur l’inté-grité territoriale. - Avoir accusé l’Arménie "d’occuper" le territoire azerbaïdjanais. - Avoir interdit les communications entre les États-Unis et le gouvernement du Haut-Karabakh. - Avoir fait pression sur l’Arménie pour qu’elle fasse des concessions unila-térales sur le Haut-Karabakh. - Avoir fait pression sur l’Arménie pour qu’elle accepte la feuille de route sur les relations Turquie-Arménie. - Etre à l’origine du rappel de l’Ambassadeur John Evans.

"compte tenu du rôle essentiel que jouera le prochain ambassadeur améri-cain à Bakou, notamment concernant la résolution du conflit du Haut-Kara-bakh, nous croyons fermement que les préoccupations que nous avons soulevées au sujet des potentiels conflits d’intérêts et sur la liste des ques-tions politiques indiquées dans nos documents de référence, méritent une attention particulière par votre service, par l’ensemble de la commission des relations extérieures, ainsi que par l’ensemble du Sénat américain," a conclu K. Hachikian dans sa lettre.

Radio Publique d’Arménie

http://eafjd.eu/spip.php?breve2556

http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=46010

Turquie: Le blocage de YouTube reconduit, les moti-vations des autorités douteusesInfo Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN vous présente cette information publiée sur le site de Reporters Sans Frontières en date du 8 juillet 2010.

Turquie

Publié le 8 juillet 2010

Le 7 juillet 2010, la première chambre du tribunal de police d’Ankara a re-jeté la demande de déblocage de 44 adresses IP permettant d’accéder à YouTube. Le blocage de ces adresses avait entraîné, en juin 2010, la per-turbation de plusieurs services de Google comme Google Maps ou Google

Analytics. Ce dernier est toujours affecté. L’affaire a été transmise à la 13e chambre du tribunal d’Ankara pour évaluation.

Reporters sans frontières demande aux autorités de mettre fin totalement le blocage de YouTube et de revoir leur stratégie de filtrage du Web par le gouvernement. "La loi sur Internet permet de d’interdire l’accès à des mil-liers de sites. Le blocage de YouTube a un impact particulier. Les autorités perdent en crédibilité en empêchant leur population d’utiliser un moyen de communication et d’information aussi répandu dans le reste du monde. Cette forme de censure archaïque doit être abandonnée. D’autant qu’elle est l’instrument d’un véritable chantage financier.En effet, les autorités ont laissé entendre que cette décision était liée à la volonté de faire payer des impôts a Google", a déclaré l’organisation.

YouTube est bloqué depuis le 5 mai 2008, date à laquelle la première chambre du tribunal de police avait jugé qu’une dizaine de vidéos por-taient atteinte à la mémoire d’Atatürk. Le site a été bloqué en vertu de la loi 5651 sur Internet, relative à “l’organisation des publications en ligne et au combat contre les délits commis par le biais de ces publications“. Appli-quée depuis novembre 2007, elle permet à un procureur, dans un délai de 24 heures, d’interdire l’accès à un site si son contenu est susceptible d’in-citer au suicide, à la pédophilie, à l’usage de stupéfiant, à l’obscénité, à la prostitution et de contredire « la loi d’Atatürk ».

Mi-juin, 44 nouvelles adresses ont été bloquées suite à une décision de justice à la demande du procureur général d’Ankara chargé des enquêtes sur les délits de presse et afin de renforcer le blocage de YouTube.

Le 5 juillet, les médias turcs ont souligné l’ambiguïté des discours des au-torités concernant le blocage. Le juge Hayri Keskin a soutenu que le site était censuré car toujours contraire à la loi sur Internet, tandis que le mi-nistre des transports, Binali Yildirim a laissé entendre que le motif relevait d’une volonté d’imposer des impôts à la direction de YouTube sur ses res-sources publicitaires.

Dunja Mijatovic, la représentante de la liberté des médias de l’OSCE, a de nouveau exigé le rétablissement des services de Google et du site Youtube dans une lettre du 22 juin adressée aux autorités turques.

http://fr.rsf.org/turquie-le-blocage-de-youtube-reconduit-08-07-2010,37902.html

http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=46013

Revue de la presse turque 13.07.2010Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN vous propose la revue de la presse turque du 13 juillet publiée sur la TRT (Télévision & Radio de Turquie). Cette revue de presse n'est pas commentée de notre part. Elle peut contenir des propos néga-tionnistes envers le génocide arménien ou d'autres informations à prendre sous toute réserve.

Nous vous présentons la revue de la presse turque du mardi 13 juillet 2010

Posted 13.07.2010 08:41:17 UTC Updated 13.07.2010 08:41:17 UTC

Nous vous présentons diverses nouvelles parues dans la presse turque d’aujourd’hui.

Le quotidien Vatan fait part dans son article consacré à la visite du Chef d’Etat zambien Rupiah Bwezani Banda réalisée sur l’invitation officielle du président Abdullah Gül, que ce dernier a été accueilli par son homologue turc avec une cérémonie officielle au Palais de Çankaya, ainsi qu’ont été signés entre la Turquie et le Zambie un accord sur le transport aérien et des mémorandums pour la création d’un mécanisme de consultation poli-tique et la formation de diplomates entre les deux pays. D’après la nou-velle, le président Abdullah Gül, qui a pris la parole lors de la conférence de presse conjointe tenue à l’issue de la signature des accords, a indiqué que l’un des Ambassades, dont l’ouverture est projetée dans le cadre de l’ouverture de la Turquie vers l’Afrique, sera en Zambie.

Le quotidien Sabah titre “Sceau à l’amitié dans les Balkans” son article se portant sur la première visite en Serbie du premier ministre Recep Tayyip Erdoğan, qui après avoir assisté à la cérémonie commémorative historique à Srebrenica, a indiqué leur souhait de voir se développer la prospérité et l’économie.

Le premier ministre Recep Tayyip Erdoğan a rencontré le Chef d’Etat serbe Boris Tadic et le premier ministre Mikroc Cvetkovic. Six accords y compris celui sur l’exemption de visa ont été signés entre les deux pays, est-il indi-qué.

Milliyet informe que le ministre des Affaires étrangères Ahmet Davutoğlu a réalisé un entretien téléphonique, hier, avec la secrétaire d’Etat améri-caine Hillary Clinton. Accompagnant le premier ministre Recep Tayyip Er-doğan à Srebrenica, M. Davutoğlu s’est entretenu près d’une heure avec Mme Clinton entre autre sur la coopération dans la lutte contre la terreur, mais également sur les prochains pas à entamer concernant le programme

nucléaire iranien et le processus diplomatique, ont été abordés. M. Davu-toğlu a mis l’accent sur la constitution d’une commission d’enquête inter-nationale pour investiguer sur l’assaut israélien contre le bateau d’aide destinée à Gaza.

Une autre nouvelle du même quotidien figure sous le titre “Louange du Parlement européen à l’économie turque” dans laquelle il est relaté le rap-port élaboré par le Parlement européen faisant part de sa satisfaction d’avoir constaté que l’économie turque s’était orientée vers la croissance, et félicité la Turquie du fait de ses réformes sérieuses adoptées dans le secteur bancaire.

Dans le rapport, qui sera voté demain, par la Commission internationale du commerce du Parlement européen, il est exposé les relations écono-miques et commerciales sans évoquer les relations politiques entre la Tur-quie et l’UE, est-il noté.

Selon l’article publié par Zaman, le premier rapport élaboré par l’armée is-raélienne sur l’assaut contre le bateau Mavi Marmara, il est reproché à la flotte israélienne de ne pas avoir collaboré suffisamment sur le potentiel des passagers du bateau avant l’opération avec les services de renseigne-ment Mossad.

Malgré les erreurs de planification, le rapport de 100 pages fait les louanges des commandos, qui ont réalisé l’assaut, sans évoquer les viola-tions nécessitant une poursuite judicaire, est-il informé.

Le quotidien Hürriyet titre “Le pays le plus heureux du monde” pour relater que les célébrations suite à la victoire de l’Espagne, qui a remporté pour la première fois la Coupe du monde, se sont poursuivies jusqu’au matin, ainsi qu’il y a eu des débordements de temps à autre durant lesquels 21 per-sonnes ont été interpellées.

De même que les joueurs ont été accueillis à leur arrivée par une affiche avec l’inscription “Bienvenue au pays le plus heureux du monde” et ont entamé leur parcours triomphal à bord d’un autobus découvert.

http://www.trtfrench.com/trtworld/fr/newsDetail.aspx?HaberKodu=62e1fdbf-389b-434f-b3a3-440d5fc80a59

http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=46022

GENOCIDE ARMENIEN

France

L'info vue par la TRT (1)

Le Collectif VAN vous propose cet article publié sur la TRT (Télévision & Radio de Turquie). Les articles de ce site ne sont pas commentés de notre part. Ils peuvent contenir des propos négationnistes envers le génocide arménien ou d'autres informations à prendre sous toute réserve.

France: projet de loi arménien

Le projet de loi sur le soi-disant génocide arménien a été abordé au Sénat

Posted 10.07.2010 07:08:21 UTC Updated 10.07.2010 07:08:21 UTC

Au Parlement français, le projet de loi sur le soi-disant génocide arménien a été abordé au Sénat pour être débattu à la Commission mixte.

Le projet de loi prévoit une peine d'emprisonnement de cinq ans et une amende de 45 000 euros à ceux qui disent "qu'un génocide arménien n'a pas eu lieu".

Le projet de loi apporté à l'ordre du jour à l'Assemblée nationale française sur la proposition du Parti socialiste en date du 12 octobre 2006, avait été accepté par le vote de 110 parlementaires puis envoyé au Sénat français.

Depuis cette date, le projet de loi temporisé par le gouvernement français en prenant en considération les relations avec la Turquie, a été abordé au Sénat en vue d'être débattu à la commission mixte le 5 juillet avec l'initiative de 30 sénateurs.

Il est improbable que le projet de loi, auquel le gouvernement français s'oppose toujours, soit approuvé par la Commission, a-t-on annoncé.

http://www.trtfrench.com/trtinternational/fr/newsDetail.aspx?HaberKodu=ea183871-9e26-40b4-88eb-da899d7e395c

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=46012

USA

Pallone relance son appel à la reconnaissance du génocide arménien après la visite de Clinton à Erevanjeudi15 juillet 2010, par Stéphane/armenews

Le représentant américain Frank Pallone, (D-NJ) co-président du Comité électoral du Congrès sur les questions arméniennes a recommandé à la Secrétaire d’Etat Hillary Clinton après sa visite du complexe du mémorial du génocide arménien de Dzidzernagapert en Arménie a officiellement re-connaître le meurtre systématique de 1,5 million d’arméniens entre 1915 et 1923 comme un génocide.

“ Le voyage de la Secrétaire Clinton dans la région du Sud Caucase dé-montre l’importance de notre rapport avec la région ” a dit Pallone dans une déclaration écrite. “ La visite de la Secrétaire au mémorial du géno-cide était un acte respectueux et une exposition de progrès dans la diplo-matie américaine aux niveaux les plus hauts vers la reconnaissance du génocide arménien. ”

http://www.armenews.com/article.php3?id_article=62601

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=46033

ARMENIE/TURQUIE

Turquie : " Les efforts doivent se continuer pour le rapprochement Turquie-Arménie"

Il n’y a aucune certitude quand la Turquie et l’Arménie ouvriront leur frontière et établiront de pleines relations diplomatiques, mais des efforts officieux dans le renforcement des liens entre les deux communautés doivent continuer ont déclaré des observateurs des deux côtés lors d’un rassemblement pour un débat politique à Istanbul la semaine dernière.

Présentant l’approche de la politique étrangère de la Turquie sur la question, Joost Lagendijk, conseiller au Centre de la Politique de l’université Sabanci à Istanbul, a dit que la Turquie n’était pas capable d’aboutir à des résultats bien qu’elle ait de bonnes intentions.

“ Le gouvernement turc a de bonnes intentions, mais les décisions n’ont pas été exécutées ” a-t-il dit jeudi après-midi lors d’une réunion-débat sur le thème “ les discussions politiques Turquie-Arménie ” à l’Université Kültür.

“ La signature des protocoles a eu du sens à la fois pour la Turquie et pour l’Arménie ” a dit Lagendijk. “ Mais une semaine après cela, le Premier ministre [Recep Tayyip Erdogan ] a fait une liaison avec la question du Nagorno-Karabakh. C’est un retour à la vieille politique étrangère turque. ”

L’ancien ambassadeur arménien David Hovhannisyan, qui a partagé le plateau avec Lagendijk, a dit que la suspension des protocoles était sans fondement.

“ Ils sont suspendus, mais pourquoi ? Il y a des références aux questions du génocide et au Nagorno-Karabakh, qui ne sont pas dans les protocoles ” a-t-il dit.

Pour Lagendijk et Hovhannisyan la meilleure chose à faire à l’heure actuelle est de continuer les efforts en vue de renforcer les liens entre les communautés turque et arménienne.

Mais Hovhannisyan a ajouté que les deux sociétés ne seraient pas capables d’aller en avant même sur ce front s’ils n’évaluent pas leur passé et trouvent “ des valeurs communes. ” La plupart des participants ont reconnu que les décideurs venaient derrière la société civile et ont dit que les états ne sont pas préparés pour rattraper la position publique.

Ils ont aussi dit que les protocoles, bien qu’ils soient gelés à l’heure actuelle, ne doivent pas être abandonnés en tant qu’ils représentent le meilleur progrès obtenu autant qu’un résultat du dialogue officiel.

Quotidien turc Zaman

10 Jullet 2010

YONCA POYRAZ DOÐAN

ÝSTANBUL

http://www.armenews.com/article.php3?id_article=62712

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=46006

La frontière arméno-turque pourrait être ouverte pendant la période des exercices de l’OTAN en Arménie

jeudi15 juillet 2010, par Stéphane/armenews

Du 11 au 17 septembre, l’Arménie accueillera les exercices de l’OTAN - Ar-ménie 2010, pendant lesquels les manoeuvres des unités de soutiens hu-manitaires dans les zones de désastres seront mis en pratiques.

La frontière arméno-turque sera ouverte pendant la période des exercices de l’OTAN pour permettre le passage de la colonne militaire de la Turquie a annoncé le journal turc Radikal.

19 pays participeront aux exercices qui se tiendront dans la cadre du pro-gramme partenariat de la paix avec l’OTAN. Le journal turc a mentionné des scénario d’exercices fictifs, selon lesquels les militaires doivent sauver des civils après un tremblement de terre semblable au tremblement de terre de 1988 en Arménie. Le journal a ajouté que l’Azerbaïdjan s’est ab-stenu de participer aux exercices.

http://www.armenews.com/article.php3?id_article=62768

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=46050

ARMENIE/AZERBAIDJAN/KARABAGH

Guerre sur Facebook : les sites web arméniens atta-qués par des azéris lors de la visite de Clinton à Ere-vanmercredi14 juillet 2010, par Stéphane/armenews

Des pirates informatiques azéris ont attaqué sept sites web arméniens les 3 et 4 juillet, quelques heures avant la visite de la Secrétaire d’Etat améri-caine Hillary Clinton à Erevan et à la veille de la journée de la Constitution de l’Arménie.

La version arménienne de Facebook est devenu la cible d’activités de sa-botage des Azéris que les spécialistes en Arménie disent sont conçues pour gâter l’atmosphère et l’esprit festif entourant ces dates spéciales en Arménie.

Les experts dans ce domaine disent que de tels incidents arrivent d’habi-tude avant quelques dates mémorables ou un événement politique. Ils disent qu’il est impossible de complètement empêcher de telles attaques. En attendant, le pirate, selon la loi internationale, est un crime

http://www.armenews.com/article.php3?id_article=62718

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=46014

Shavarsh Kocharyan réfute la déclaration du min-istère azéri

jeudi15 juillet 2010, par Stéphane/armenews

Le vice-Ministre arménien des Affaires Etrangères Shavarsh Kocharyan a réfuté les déclarations du Ministre azéri des Affaires Etrangères que pen-dant la réunion à Almaty le 16 juillet les Ministres des Affaires Etrangères des deux pays discuteront du retrait des troupes de Lachin et Kelbajar.

“ Au lieu de parler des accords atteints à Saint Pétersbourg, le Ministre azéri des Affaires Etrangères continue à présenter ses propres voeux pour la réalité.

Le retrait des forces de n’importe quel territoire est exclu avant que l’Azer-baïdjan ne consente à accepter que le statut du Karabakh ne soit déter-miné par l’expression d’une volonté légalement contraignante du peuple du de l’Artsakh et après avoir expressement retiré ses troupes des terri-toires occupées du Nagorno Karabakh” a dit Shavarsh Kocharyan.

http://www.armenews.com/article.php3?id_article=62637

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=46046

L’Azerbaïdjan nie toutes les nouvelles propositions de paix au Karabakhmercredi14 juillet 2010, par Stéphane/armenews

L’Azerbaïdjan a nié que les affirmations arméniennes prétendant que le Président russe Dmitry Medvedev a présenté un nouveau plan internatio-nal pour mettre fin au conflit du Nagorno-Karabakh lors de la réunion à Saint Pétersbourg mois dernier.

Le ministre des Affaires Etrangères Edouard Nalbandian les a mentionnés comme “ une nouvelle version des principes de Madrid ” pour un règle-ment du conflit du Karabakh lors d’une conférence de presse commune à Erevan avec la Secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton.

Le président Serge Sarkissian a de même parlé de “ la dernière version ” de l’entente quand il a rencontré les co-présidents français, russe et amé-ricain du groupe de Minsk de l’OSCE. Une déclaration de son bureau a dit que le document a été “ présenté au cours des négociations de Saint Pé-tersbourg entre les présidents de l’Arménie, de la Russie et de l’Azerbaïd-jan. ”

Selon des affirmations émanant du parti Républicain d’Arménie (HHK), Sar-kissian a réagi positivement aux nouvelles propositions de paix à la diffé-rence de son homologue azéri Ilham Aliyev. Ils ont prétendu qu’Aliyev a mis fin à sa visite dans la ville russe en conséquence.

Le Ministère azéri des Affaires Etrangères a écarté ces déclarations. “ Bien que la Russie joue un grand rôle dans ce processus et que le président russe a participé à plusieurs réunions [entre Aliyev et Sarkissian,] les pro-positions sont dessinées seulement par les co-présidents du[Groupe de Minsk] ” a déclaré le porte-parole du ministère Elkhan Polukhov.

“ Les propositions de Madrid mises à jour existent seulement sous la forme d’un document et ils ont été soumis aux deux parties l’année dernière ” a dit Polukhov. “ Seuls diverses approches ont été discutées à Saint Péters-bourg. La déclaration de Nalbandian vise seulement à distraire le public ar-ménien et international de l’essence de la question. ”

“ Pendant leur visite, les co-présidents ont aussi présenté aux parties leur plan d’entreprendre une mission dans les territoires occupées cet automne qui a été acceptée en principe ” a ajouté la déclaration.

http://www.armenews.com/article.php3?id_article=62642

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=46008

Une sous-commission du congrès maintient l’aide américaine au Karabakhmercredi14 juillet 2010, par Stéphane/armenews

Une sous-commission clef de la Chambre des représentants américains a rejeté une proposition de la Maison Blanche de mettre fin à l’aide directe américaine au Nagorno-Karabakh, vieux souhait de l’Azerbaïdjan.

La sous-commission de l’Aide à l’étranger a affirmé que l’administration du Président Barack Obama doit aussi légèrement augmenter l’aide améri-caine à l’Arménie et maintenir la parité absolue dans le financement sépa-

ré de l’aide militaire pour Erevan et Bakou.

La sous-commission de l’’Aide à l’étranger a approuvé une aide de 10 mil-lions de $ pour des programmes de reconstruction et de développement au Karabakh. Le congrès avait alloué 8 millions $ à la région en 2010.

La sous-commission a aussi approuvé 44 millions de $ d’aide économique à l’Arménie, 4 millions de $ pde lus que la somme proposée par l’adminis-tration. Le chiffre, bien qu’en hausse de 7 pour cent que l’assignation de l’aide américaine en 2010, est bien en dessous des 70 millions de $ visés par les deux principaux lobbys arméniens à Washington.

Chaque pays du Caucase recevra 3,5 millions de $ d’aide directe militaire aussi bien que 450 000 $ pour des programmes de formation militaires en 2011.

Le Comité National Arménien d’Amérique (ANCA) s’est félicité des change-ments de 2011.

« Tandis que nous restons dérangés par la tendance à la baisse de l’aide du Congrès à l’Arménie la décennie passée, nous sommes satisfaits que la sous-commission ait rejeté la tentative du Président Obama de casser la parité de l’aide militaire et ait ciblé une aide de 10 millions de $ au Nagor-no-Karabakh » a déclaré son directeur, Aram Hamparian, dans une décla-ration.

http://www.armenews.com/article.php3?id_article=62615

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=46011

UE/TURQUIE

La Turquie et l'UE entament le dialogue politique

2010-07-14 09:38:40 cri

La Turquie et l'Union européenne entament ce mardi un dialogue politique au niveau ministériel à Istanbul.

La Turquie est représentée par le ministre des Affaires étrangères Ahjmed Davutoglu et le ministre d'Etat et le principal négociateur Egemen Bagis.

La chef de la diplomatie de l'UE, Catherine Ashton et le commissaire euro-péen à l'Elargissemnt Sterfan Fuele participent à cette rencontre.

La rencontre doit discuter notamment des relations entre la Turquie et l'UE et des questions régionales et internationales.

http://french.cri.cn/781/2010/07/14/303s223254.htm

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=46023

Ashton reconnaît à Istanbul le rôle régional de la Turquie

La chef de la diplomatie européenne Catherine Ashton a reconnu mardi à Istanbul l'importance du rôle que joue la Turquie au Proche et au Moyen-orient, et a assuré qu'Ankara et l'Union européenne partagent les "mêmes buts".

"La confiance et l'amitié marquent la relation entre la Turquie et l'Union européenne (...) et nous avons les mêmes buts", qui sont la recherche de la paix et de la prospérité dans la région, a déclaré Mme Ashton à la presse, après une rencontre avec son homologue turc Ahmet Davutoglu.

"Nous nous félicitons du rôle de la Turquie dans la région", a-t-elle ajouté, citant l'action menée par la diplomatie turque au Proche-Orient, dans les Balkans, en Iran, dans le Caucase, en Afghanistan et au Pakistan.

Plusieurs dirigeants européens et américains s'inquiètent des orientations diplomatiques de la Turquie, pays musulman, membre de l'Otan et candi-dat à l'Union européenne, qui s'est rapproché de pays voisins tels que l'Iran et la Syrie, et qui selon eux tournerait le dos aux Occidentaux.

Le commissaire européen à l'élargissement Stefan Füle et le négociateur en chef turc Egemen Bagis participaient à cette rencontre du "dialogue po-litique Turquie-UE".

M. Füle a déclaré qu'il convient "de trouver les moyens d'accélérer le pro-cessus d'admission" de la Turquie à l'UE, estimant que les Européens ont "un mandat clair, depuis 2005", année où ont commencé les négociations d'adhésion.

L'UE a fait fin juin un geste envers la Turquie dans les laborieuses négocia-tions d'adhésion, en ouvrant un nouveau "chapitre" concernant les aspects de sécurité alimentaire, le 13e.

Cependant, un seul chapitre, sur les 35 prévus, a été bouclé à ce jour.

En cause, le rythme des réformes en Turquie, le conflit à propos du statut de Chypre, et le refus de la France et de l'Allemagne d'une pleine adhésion de la Turquie.

Ceux des Européens qui sont favorables à une adhésion turque déclarent cependant qu'il est de l'intérêt des Occidentaux de s'ouvrir à la Turquie, alors qu'Ankara donne l'impression de bouder les Occidentaux.

Au cours des entretiens, les dirigeants turcs ont également reproché aux pays européens leur manque de collaboration dans la lutte contre les re-belles kurdes installés en Europe.

"Nous sommes inquiets de constater que des pays européens restent les bras croisés devant les efforts déployés (par les rebelles kurdes) pour col-lecter de l'argent dans ces pays, parfois avec des noms différents, se ca-chant derrière des associations civiques, et diffusant des émissions de ra-dio ou de télé prônant la violence", a déclaré M. Bagis.

"Nous attendons plus de coopération, selon des procédures nouvelles, dans ce domaine", et que les membres du PKK (Parti des travailleurs du Kurdistan) dans ces pays soient capturés et extradés", a-t-il dit.

Le PKK, qui est considéré comme une organisation terroriste par Ankara, par l'UE et par les Etats-Unis, a multiplié ses attaques meurtrières contre les forces turques depuis mai.

Mme Ashton a pour sa part estimé qu'il n'y a "pas de justification à de tels actes terroristes" menés par les rebelles kurdes.

"L'UE est déterminée à faire tout ce qui est en son pouvoir pour agir contre les groupes terroristes", a-t-elle ajouté, notamment dans la lutte contre les collectes de fonds pour le mouvement. (AFP, 13 juil 2010)

http://www.info-turk.be/383.html#Ashton

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=46041

DROITS DE L’HOMME/TURQUIE

La Turquie épinglée à Strasbourg pour rétention d'un réfugié iranien

La Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) a épinglé mardi la Tur-quie pour avoir retenu pendant près de deux ans, dans un centre de réten-tion pour étrangers, un Iranien qui a finalement obtenu le statut de réfugié politique en Suède.

Le jeune homme, aujourd'hui âgé de 26 ans et que la Cour désigne seule-ment par ses initiales D.B., avait fui l'Iran et gagné illégalement la Turquie début 2008 à cause de son engagement au sein du parti communiste et d'un mouvement étudiant.

Arrêté en Turquie en avril 2008, l'intéressé fut retenu jusqu'en février 2010, successivement dans deux centres de rétention pour étrangers, y compris après avoir obtenu le statut de réfugié en mars 2009.

La CEDH a condamné la Turquie pour atteinte à la liberté du requérant et pour ne pas lui avoir permis de contester "à bref délai" cette privation de liberté.

Par ailleurs elle a critiqué le fait que le jeune Iranien a eu beaucoup de difficultés pour voir un avocat, ce qui a retardé d'autant le dépôt d'une re-quête à la Cour de Strasbourg. De ce fait, la Turquie a également été condamnée pour avoir entravé le droit du requérant à saisir la CEDH.

Le jeune homme, qui vit en Suède depuis mars dernier, recevra 11.000 eu-ros au titre du dommage moral. (AFP, 13 juil 2010)

http://www.info-turk.be/383.html#Strasbourg

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=46039

FRANCE

À Sainte-Anne, faune et flore à la fête scolairemercredi 30.06.2010, 05:05 - La Voix du Nord

| HORNAING |

La kermesse de l'école Sainte-Anne s'est déroulée samedi dans la cour de l'école. ...

La première partie était consacrée à la faune et la flore, la seconde à divers artistes qui se sont engagés dans des associations caritatives ou pour une autre cause.

Ainsi, un hommage a été rendu à Michael Jackson (USA for Africa), à Coluche (Les Restos du coeur) à Charles Aznavour (pour avoir rappelé le

génocide des Arméniens par les Turcs). Une remise de dictionnaires

Les décors, splendides, ont été réalisés par Cécilia Taurozza qui a assuré la décharge de direction de Mme Peronne.

Les costumes et maquillages ont été réalisés par les parents volontaires, qui ont reçu des félicitations.

La directrice, Mme Peronne, a présenté Mme Raso qui prendra en charge l'an prochain la classe maternelle de l'école.

Les livres de prix étaient offerts par le comité de parents d'élèves de l'école. Les dictionnaires remis aux élèves partant en 6e étaient offerts par la commune. •

Inscriptions au 03 27 24 25 60 toute l'année.

http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Douai/actualite/Autour_de_Douai/En_Pays_d_Ostrevant/2010/06/30/article_a-sainte-anne-faune-et-flore-a-la-fete-s.shtml

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=46032

Quel stade pour l’UJA ?STÉPHANE BIANCHI | 15.07.2010, 07h00

Si le club val-de-marnais est amené à monter en National, il devra se trou-ver un nouveau stade. Malgré les contacts avec Créteil et La Courneuve, Sarcelles semble tenir la corde.

C’est aujourd’hui que la FFF doit dévoiler les groupes des différents cham-pionnats nationaux pour l’exercice 2010-2011. Si, comme c’est possible, l’UJA est intégrée à la place de Strasbourg en National au titre de meilleur 2 e de CFA, il lui faudra quitter le parc des sports de Choisy — où elle s’en-traîne et jouait par le passé — pour un stade homologué susceptible de l’accueillir les jours de match. Tour d’horizon des trois dossiers à l’étude.

Le stade Nelson-Mandela de Sarcelles. Malgré son éloignement (voir info-graphie), sa capacité d’accueil (1000 places assises au lieu des 1300 req-uises) qui nécessitera le cas échéant l’obtention d’une dérogation et une pelouse de qualité moyenne, le complexe Mandela semble tenir la corde.

La mise à disposition gratuite des installations (seuls les frais d’organisa-tion seraient à la charge du club), le peu de travaux de mise aux normes dans les vestiaires et surtout la volonté du maire François Pupponi, qui planche aussi pour dénicher quelques sponsors, font de Sarcelles le grand favori. « J’ai toujours rêvé de voir un club de National à Sarcelles, jure l’édile. En termes d’image, c’est bon pour la ville. Alors, si ça leur con-vient, on est prêt à les accueillir tout de suite. » Signe du destin, le stade se situe rue du 24-avril-1915, date du début du génocide arménien en Turquie. Tout un symbole quand on défend les couleurs de l’Union de la je-unesse arménienne.

Le stade Marville du parc de La Courneuve. Habitué à accueillir des événe-ments nationaux et internationaux, Marville a l’avantage de n’avoir aucun club résidant et de disposer de parkings pouvant accueillir 6000 véhicules. Homologué pour le National, sonorisé, équipé d’une pelouse flambant neuve et de salles pour l’accueil de VIP, il n’est en revanche pas gratuit. S’il est d’ordinaire loué aux alentours de 3000 € par match, l’UJA pourrait bénéficier d’un « forfait » plus avantageux si elle devenait locataire des lieux. « Sauf s’ils veulent un stade en marbre et la gratuité totale, l’UJA est la bienvenue, plaisante Didier Gheux, le directeur général du site. La balle est dans leur camp. »

Le stade Dominique-Duvauchelle de Créteil. Un stade aux normes, sans frais d’utilisation, à seulement quelques encablures du siège et du terrain d’entraînement et qui permettrait en plus à l’UJA de conserver son identité val-de-marnaise… Duvauchelle est, sur le papier, la retraite idoine. Géré par Plaine Centrale, la communauté d’agglomération de Créteil, Limeil-Brévannes et Alfortville, le stade est censé pouvoir profiter à ses résidants. Mais René Rouquet, 1er vice-président de Plaine Centrale et maire d’Al-fortville, n’entend pas héberger un club dont il conteste l’identité alfortvil-laise. L’US Créteil-Lusitanos, résidant de Duvauchelle, refuse, elle, l’idée de cohabiter avec un voisin qui pourrait lui faire de l’ombre. « Disons qu’il y a un problème de consensus quant à l’idée de les accueillir, admet le président de Plaine Centrale et député-maire de Créteil Laurent Cathala. On verra quand ils seront en National. Mais il y a de fortes chances que la réponse soit négative. »

Le Parisien

http://www.leparisien.fr/sports/iledefrance/quel-stade-pour-l-uja-15-07-2010-1001292.php

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Crimes de guerre : la France, trop frileuse donneuse de leçonsPar Franck Lefebvre-Billiez, le 11 juillet 2010 à 12h44, mis à jour le 11 juillet 2010 à 15:18

En pointe pour défendre le droit international humanitaire, la France s'ap-prête pourtant à adopter une loi qui, en l'état, pourrait paralyser les pour-suites sur son sol contre les criminels de guerre et autres responsables de génocides.

Sans la France, la Cour Pénale Internationale n'existerait sans doute pas. Nicole Ameline en est convaincue ; elle est d'autant plus insatisfaite du projet de loi qui arrive ce lundi devant les députés, après plus de dix ans d'attente, et qui vise à adapter le droit pénal français à l'institution de la CPI. Députée UMP du Calvados, membre de la Commission nationale consultative des Droits de l'homme, elle a été rapporteur du projet de loi pour la Commission des Affaires étrangères. Un projet si bien verrouillé au cours du processus législatif que les poursuites contre les auteurs de crimes de guerre, crimes contre l'humanité et génocides deviendraient illusoires en France sur la base de ce texte... Il pose quatre conditions à la tenue d'un tel procès : l'accusé doit avoir sa résidence habituelle en France ; les poursuites doivent être engagées à l'initiative du parquet, et non des victimes, qui se retrouvent exclues de la procédure ; le crime doit avoir eu lieu dans un pays lui-même signataire du traité de Rome de juillet 1998, c'est-à-dire reconnaissant la compétence de la CPI, ou à défaut, il doit être reconnu comme crime et sanctionné comme tel à la fois en droit français et dans le pays concerné (principe de double incrimination) ; en-fin, il faut que la CPI ait refusé de se saisir du dossier (renversement de compétence).

Des "verrous" rédigés par la Chancellerie (Rachidat Dati était alors mi-nistre de la Justice), combattus en vain par des parlementaires par la voie d'amendements et réintroduits en bout de course par les sénateurs à une écrasante majorité. Un vote massif dont Michèle Alliot-Marie entend désor-mais tirer un argument pour réclamer un vote conforme ce lundi à l'As-semblée, évitant ainsi toute discussion.

"Il ne reste plus rien dans ce projet"

Sur la base d'un tel texte, si un nouvel Augusto Pinochet venait demain en France, il ne pourrait pas être arrêté - comme il avait pu l'être le 16 oc-tobre 1998 lorsqu'il se trouvait à Londres pour des examens médicaux. Et si un responsable de génocide décidait de passer ses vieux jours en France, il pourrait y couler une retraite tranquille, pourvu que le crime de génocide n'existe pas dans le système juridique de son pays d'origine. Or de tels crimes sont généralement commis à l'instigation des gouverne-

ments eux-mêmes, et on voit mal par quel accès de masochisme ils iraient doter leur pays d'un arsenal législatif destiné à les sanctionner... "On risque de prêter le flanc aux accusations de bienveillance à l'égard des au-teurs des crimes internationaux les plus graves", s'inquiète Nicole Ame-line. Les associations de défense des droits de l'homme, elles, fulminent.

"Grosso modo, il ne reste plus rien dans ce projet d'adaptation", dénonce Geneviève Garrigos, présidente d'Amnesty International France : "les pour-suites deviennent quasiment impossibles". Et elle fustige une prudence mal placée destinée à préserver les relations diplomatiques de la France, notamment en Afrique. Car la propension des Etats européens à pour-suivre des crimes internationaux commis sur ce continent suscite facile-ment les accusations de néo-colonialisme chez certains dirigeants afri-cains. Elle a été source de tensions, note un juriste, entre l'Union Euro-péenne et l'Union Africaine. Mais pour Geneviève Garrigos, "parler de di-plomatie dans des cas de crimes internationaux, c'est une vision à court terme : on veut garder de bonnes relations, non avec un pays et sa popu-lation, mais avec un dirigeant, en ignorant le peuple". Or ce dirigeant peut être renversé demain. Quel sera alors l'état des relations de la France avec le pays qui l'aura chassé du pouvoir ?

"Voilà plus de cinquante ans qu'on attendait ça !"

Le texte n'est pourtant pas sans avancées. Il permettra d'inscrire le crime de guerre dans le code pénal français. "Voilà plus de cinquante ans qu'on attendait ça !" , s'exclame un spécialiste en droit international. Un retard d'autant moins compréhensible que la France figurait parmi les principaux signataires des conventions de Genève de 1949, base incontournable du droit humanitaire international. Un droit humanitaire dont l'un des princi-paux avocats sur la scène mondiale est encore aujourd'hui... la France, précisément. Quand d'autres pays comme les Etats-Unis ou la Russie res-tent très largement en retrait, et ont refusé de signer le traité de Rome, pourtant ratifié aujourd'hui par la majorité des Etats : 110, sur les 193 qui existent dans le monde.

Mais les débats se focalisent désormais sur un concept explosif : celui de compétence universelle. Entendez par là : la capacité d'un tribunal fran-çais à juger des crimes commis hors de France et ne concernant pas des Français. Car c'est tout l'enjeu de la justice internationale. Lors de la créa-tion de la Cour Pénale Internationale, les rédacteurs du traité de Rome ont voulu laisser la prééminence aux Etats. Contrairement à ce qui vaut pour les Tribunaux pénaux internationaux temporaires, qui sont, eux, créés par l'ONU et traitent généralement d'un conflit spécifique, comme le Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie, le Tribunal pénal international pour le Rwanda ou le Tribunal spécial pour la Sierra Leone. Mais cette pré-éminence laissée aux Etats implique qu'ils soient des acteurs à part en-tière de la justice internationale. La Belgique et, plus récemment, l'Es-

pagne s'y sont cassé les dents. "En reconnaissant une compétence univer-selle absolue à ses tribunaux, la Belgique a dû faire face à un afflux de plaintes venues de partout", note un juriste, en évoquant un véritable "ef-fet d'aubaine pour de nombreuses associations". Avec des conséquences "ingérables pour n'importe quel système juridique", des procès "impos-sibles à organiser en allant chercher les témoins à l'autre bout de la terre", et au final, de "faux espoirs donnés aux victimes".

"On se demande s'ils le font exprès"

D'où des débats subtils entre "compétence universelle absolue" et "com-pétence universelle conditionnée" - entendez par là : conditionnée par la présence, à un instant donné, du suspect d'un crime de guerre sur le terri-toire national, ce qui permettra de l'appréhender facilement, au lieu de prétendre le juger en son absence alors qu'il est à des milliers de kilo-mètres de distance, et de fait hors d'atteinte de la justice... C'est la voie que semblent choisir désormais la Belgique et l'Espagne. Mais la France a fait beaucoup mieux avec son critère de résidence habituelle. Un critère qui suscite l'ironie parfois grinçante des experts en droit. Tout comme l'exi-gence d'un refus explicite de la CPI de se saisir du dossier pousse les asso-ciations à crier à la mauvaise foi, puisque l'esprit même du traité de Rome était de mettre les Etats en première ligne.

"La rupture avec le statut de la CPI est si évidente qu'on se demande s'ils le font exprès", dénonce Xavier Philippe, directeur de l'Institut Louis Favo-reu - Groupe d'études et de recherches en justice constitutionnelle, pré-sent à Aix-en-Provence. Pour lui, ce texte est tout simplement "fait de bric et de broc" : il "reprend certains éléments du statut de Rome, mais il en laisse d'autres de côté, au lieu de faire quelque chose de simple et lisible". En aboutissant au final à des distinctions suspectes : alors que le traité de Rome déclare imprescriptibles les crimes contre l'humanité, crimes de guerre et crimes de génocide, la France admettrait pour sa part une pres-cription de 30 ans pour les crimes de guerre. Au bout du compte, "les vic-times de crimes internationaux seraient moins bien protégées que les vic-times de crimes de droit commun", pointe Xavier Philippe. "Alors même qu'on admet généralement que ces crimes internationaux sont d'une gra-vité telle, qu'ils concernent toute la communauté internationale. Et après tout, ce sont généralement des crimes de droit commun - des meurtres, des viols - perpétrés à très grande échelle..."

La dernière étape du marathon juridique va sans doute se jouer ce lundi. Soit il y aura vote conforme, comme le souhaite le gouvernement, et le texte sera validé ; soit il y aura discussion. Nicole Ameline veut croire qu'il existe une marge de négociation : "Je vais plaider lundi soir pour que la condition de résidence habituelle sorte de notre vocabulaire". En échange de l'abandon de ce critère, le plus choquant à ses yeux, elle se dit prête à admettre que seul le parquet ait l'initiative des poursuites, pour éviter à la

justice française de connaître les mêmes déboires que les justices belge ou espagnole. Même si la protection des victimes doit en souffrir. Quant aux deux autres conditions, la double incrimination et le renversement de compétence, elle les écarte avec optimisme : "elles ne sont pas appli-cables, et j'oserais dire, pas sérieuses".

Par Franck Lefebvre-Billiez le 11 juillet 2010 à 12:44

http://lci.tf1.fr/france/justice/2010-07/crimes-de-guerre-la-france-trop-fri-leuse-donneuse-de-lecons-5922928.html

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=46052

FRANCE/ARMENIE

Rencontre-projection avec Jean-Pierre Séférian

Publié le 15/07/2010 03:48 | LaDepeche.fr

Une projection du film documentaire « Les khatchkars (pierres sacrées) entrent au Louvre » d'Alain Tyr, co-auteur avec Jean-Pierre Séférian, est organisée, avec la participation de ce dernier, samedi 18 juillet à 18heures salle de la mairie de Castelnau-Montratier.

Ce film de 52 minutes décrit le transport de pierres sacrées jusqu'au Louvre (dans le cadre d'« Arménie mon amie ») avec en trame de fond le voyage d'un artiste plasticien d'origine arménienne sur le traces de ses ancêtres. Il s'agit de J-P Séférian, qui a réalisé sur ses toiles des em-preintes au fusain de ces pierres. Cette projection suivie d'une rencontre avec son co-auteur et acteur.

Entrée gratuite. http://www.ladepeche.fr/article/2010/07/15/873620-Rencontre-projection-avec-Jean-Pierre-Seferian.html

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=46019

Tour Eiffel : feu d'artifice du 14 juillet avec l'Arménie et Aznavour

Pour le feu d’artifice du 14 juillet à Paris, c'est un voyage dans les pays de

la Francophonie qui a été préparé, à travers les couleurs mais aussi par le choix des chansons. Charles Aznavour nous a emmenés en Arménie , http://www.parismatch.com/Culture-Match/Art/Actu/Joseph-Couturier-le-chef-d-orchestre-du-14-juillet-199450/ Céline Dion au Canada, Jacques Brel en Belgique ou encore Youssou N Dour au Sénégal : une liste de seize chansons et pays, entrecoupés de bruits de trains et d’avions pour faire le tour du monde tout en étant au pied de la Tour Eiffel.

14 juillet: trois cent mille personnes à Paris pour le feu d'artifice

(AFP) – Il y a 7 heures

PARIS — Des centaines de milliers de personnes se sont rassemblées à Paris mercredi soir pour assister au feu d'artifice au Champ de Mars à l'occasion du 14 Juillet et des 40 ans de la francophonie.

Quelque 300.000 personnes étaient présentes, selon la préfecture de police.

Une marée humaine s'est agglutinée sur le Champ de Mars tandis que d'autres spectateurs étaient massés sur le pont et les rues jouxtant la Tour Eiffel en face des Jardins du Trocadéro, dont l'accès était barré pour l'occasion par un dispositif de sécurité imposant.

"C'est toujours un beau spectacle, c'est une soirée sympathique pour voir ce magnifique feu d'artifice", s'est réjoui Cédric, agent de banque, qui s'était installé dès 20HOO au pied de la Dame de fer avec des amis.

"C'est un joli spectacle et on ne voulait pas le rater", a déclaré Françoise venue de l'Essonne avec ses deux enfants éblouis par les feux qui ont illuminé le ciel au-dessus du Trocadéro pendant une trentaine de minutes.

"C'est sublime, c'est très beau, quel spectacle!" a renchéri Jean-Gabriel Oculs, de Paris, pour qui "ce n'est pas parce qu'il y a la crise qu'on ne peut pas rêver".

Parmi les spectateurs privilégiés, des responsables de la francophonie et ceux de la mairie de Paris pour célébrer les 40 ans de la francophonie. C'est d'ailleurs par une brève allocution du Sénégalais Abdou Diouf, secrétaire général de l'organisation de la francophonie, que le feu d'artifice a débuté à 23H00, accompagné par une chanson de Charles Aznavour, sous les applaudissement du public.

Copyright © 2010 AFP.

http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5jeXfIbZcF8IBE8wfEBHQwFySkU5w

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=46027

Des images et des traditions d'ailleurs au menu de FesticersÉdition du mercredi 14 juillet 2010

Cette année, au stade de Cers, Festicers se déroulera en deux soirées gra-tuites ce vendredi et ce samedi à 21 h. Trois groupes seront à l'affiche : le groupe basque Leinua Ttiki, les Corréziens de l'école de danse de bourrée de Davignac et, venu tout spécialement d'Arménie, le groupe Aravot.

Vendredi soir, Leinua Ttiki apportera la grâce des danses basques tradi-tionnelles. La compagnie Leinua défend l'idée d'une danse basque vivante et actuelle associant tradition et création, et ce, dès le plus jeune âge au sein de l'école associée Leina Ttiki qui forme danseurs et musiciens. Sélec-tionnés parmi plus de cent enfants et adolescents, les jeunes du groupe présenté à Festicers sont tous de haut niveau et interprètent avec brio les danses les plus spectaculaires durant une bonne heure et demie.

Samedi soir, en première partie, l'école de danse de bourrée de Davignac donnera une demi-heure de spectacle avec adolescents et même très jeunes enfants, avant de céder la place aux arméniens d'Aravot

L'art de la danse arménienne a plus de vingt-cinq siècles et il est considéré comme l'un des arts les plus anciens du monde, mêlant avec bonheur rites et traditions populaires. Les danses des filles, alliant élégance et harmonie sont ponctuées par des mouvements de mains à la grâce éthérée. Les danses des garçons sont au contraire ardentes. Les mouvements de pieds les rendent rapides et uniformes. Enfin l'ensemble est rehaussé par de ma-gnifiques costumes aux couleurs chatoyantes. L'accompagnement musical est donné par les instruments traditionnels. Pas moins de trente danses sont prévues par ce groupe, donnant une idée de l'Arménie ancienne et moderne.

http://www.midilibre.com/articles/2010/07/14/VILLAGES-Des-images-et-des-traditions-d-39-ailleurs-au-menu-de-Festicers-1307192.php5

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=46009

AUTRICHE/ ARMENIE

Cercle Diplomatique et Economique International consacre plusieurs pages à l’Arméniejeudi15 juillet 2010, par Stéphane/armenews

Plusieurs pages sur l’Arménie et la nation arménienne sont montrés dans le magazine autrichien “ Cercle Diplomatique et Economique International ” à destination des diplomates, des hommes d’affaires, les membres du gouvernement.

Le périodique présentent les interviews avec l’Ambassadeur arménien en ’Autriche, Ashot Hovakimyan et la soprano Hasmik Papyan.

La revue présente aussi la communauté arménienne en Autriche, la Congrégation des Mkhitaristes à Vienne et la famille Mazbanian.

http://www.armenews.com/article.php3?id_article=62333

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=46037

ARMENIE/ISRAEL

L’Arménie veut augmenter ses relations avec Israëljeudi15 juillet 2010, par Stéphane/armenews

Le président Serge Sarkissian a appelé à l’approfondissement des relations de l’Arménie avec Israël alors qu’il rencontrait mardi un haut fonctionnaire israélien.

Micha Lindenstrauss, Contrôleur de l’Etat (personnalité élue par les dépu-tés pour contrôler le fonctionnement des institutions), était à Erevan à l’in-vitation de l’Ombudsman d’Arménie, Armen Harutiunian.

Selon le service de presse présidentiel, Sarkissian a dit à Lindenstrauss qu’il trouvait important “ le développement de relations multi-directionnels avec Israël dans toutes les sphères d’intérêt mutuel. ”

“ Le chef d’Etat s’est félicité de la coopération établie entre le Bureau d’Ar-ménie du Défenseur des Droits de l’Homme et le Bureau de l’Ombudsman israélien et a souligné que l’importance de leurs efforts en cours vise à échanger leur expérience ” dit une déclaration du bureau présidentiel. Elle n’a pas donné de renseignements sur la réunion.

Lindenstrauss est arrivé en Arménie moins d’un mois après que lui et Ha-rutiunian aient suivi une session de l’association des Ombudsmen de la Méditerranée. L’Ombudsman arménien avait été élu membre de l’associa-tion lors de la réunion qui s’est tenue à Madrid.

Comme d’autres participants, Harutiunian s’est opposé la proposition d’un fonctionnaire turc de condamner le blocus par Israël de la Bande de Gaza et la tentative turque de la casser. Il a déclaré, parmi d’autres choses, que la Turquie elle-même maintient un blocus économique sur l’Arménie qui a été imposée en 1993 en solidarité avec l’Azerbaïdjan.

Micha Lindenstrauss, dont la fonction principale est de contrôler la légalité et l’efficacité des décisions prises par des établissements publics israé-liens, est le premier représentant de haut rang de l’état Juif à visiter l’Ar-ménie. Les politiciens arméniens visitent rarement aussi Israël.

Le Premier ministre Tigran Sarkissian devait faire une visite officieuse à Jé-rusalem en compagnie du Catholicos Karekin II, le chef de l’Église Aposto-lique Arménienne à la mi-février. Cependant, le voyage a été annulé à la dernière minute, apparemment à cause d’une maladie de Sarkissian.

Le Premier ministre arménien a dit à l’ambassadeur israélien en Arménie, Shemi Tzur, ensuite qu’Erevan est intéressé à “ l’élargissement et l’appro-fondissement ” des liens arméno-israéliens

Bien que l’Arménie et Israël aient des relations diplomatiques, aucun ne maintient une ambassade dans l’autre pays. L’ambassadeur israélien en Arménie est basé à Tbilisi, tandis que les intérêts de l’Arménie en Israël sont représentés par son ambassadeur en France.

Les gouvernements successifs arméniens et israéliens ont essayé soigneu-sement de développer des relations bilatérales. L’Arménie a traditionnelle-ment eu de chaudes relations avec les états arabes et l’Iran voisin, tandis qu’Israël a jusque récemment eu de proches liens politiques et militaires avec la Turquie.

Les analystes croient que la crise des relations turco-israéliennes pourrait changer les priorités géopolitiques d’Erevan et de Tel Aviv. Particulière-ment on s’attend à ce que les groupes de lobbys Juifs aux Etats-Unis ar-rêtent d’aider Ankara à empêcher le vote d’une résolution au Congrès américain reconnaissant les meurtres de 1915 d’arméniens dans la Tur-quie Ottomane comme un génocide. Le Parlement d’Israël devrait débatte d’une résolution semblable bientôt.

http://www.armenews.com/article.php3?id_article=62738

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=46040AZERBAIDJAN

Azerbaïdjan: un consortium mené par BP accorde 814 M USD de contrats pour un gisementBAKOU - Un consortium international mené par le géant britannique BP a annoncé vendredi avoir accordé des contrats pour le développement d'un vaste gisement pétrolier en Azerbaïdjan pour un montant de 814 millions de dollars.

Ces contrats concernent le gisement offshore de Chirag, qui fait partie du champ Azeri-Chirag-Gunashli (ACG), dans la partie azerbaïdjanaise de la mer Caspienne, précise BP dans un communiqué.

BOS Shelf, une coentreprise entre l'italien Saipem et la compagnie pu-blique azerbaïdjanaise Socar, a notamment remporté un contrat de 215 millions de dollars, tandis que le consortium ATA, réunissant le groupe ba-sé à Londres AMEC et les entreprises azerbaïdjanaises Tekfen et Azfen, a remporté un contrat de 340 millions de dollars.

Le développement du champ ACG, dans lequel six milliards de dollars doivent être investis, doit permettre d'extraire 360 millions de barils de brut supplémentaires.

Mené par BP qui en détient 34%, le consortium qui développe le gisement comprend aussi Chevron, la Socar, Statoil et ExxonMobil.

Mardi, le directeur général de BP, Tony Hayward, a assuré que la compa-gnie pétrolière restait engagée dans ses projets énergétiques en Azerbaïd-jan, en dépit des coûts en hausse constante de la marée noire dans le golfe du Mexique.

BP

SAIPEM

AMEC

CHEVRON

STATOILHYDRO

EXXONMOBIL

(©AFP / 09 juillet 2010 16h29)

http://www.romandie.com/infos/news2/100709142905.6b2hfqe5.asp

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=46049

ALLEMAGNE/TURQUIE

Turquie: terroriste présumé extradé

AFP 14/07/2010 | Mise à jour : 15:29

La Turquie a extradé vers l'Allemagne un citoyen allemand de 28 ans soupçonné de faire partie d'une organisation considérée comme terroriste, a indiqué le parquet fédéral allemand aujourd'hui.

Salih S., comme le désigne dans son communiqué le parquet fédéral, basé à Karlsruhe (ouest), est soupçonné d'avoir soutenu l'Union du jihad islamique (UJI) depuis novembre 2006 et d'en être membre actif depuis mai 2007.

Il aurait notamment fourni à l'organisation du matériel pouvant servir aux activités paramilitaires de l'UJI, comme trois systèmes de localisation satellite, des boussoles, un appareil de vision nocturne et des armes.

Il aurait également pris part, fin mars 2007, à un camp d'entraînement dans la zone pakistanaise du Waziristan, frontalière de l'Afghanistan, puis à des opérations sur le terrain à partir de mai 2007.

Salih S. a été arrêté en Turquie le 18 novembre 2008 puis remis en liberté conditionnelle en février de l'année suivante. Arrêté à nouveau le 14 juin dernier, il a été extradé mardi par Ankara, ajoutent les magistrats allemands.

Il a été placé en détention à son arrivée.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/07/14/97001-20100714FILWWW00338-turquie-terroriste-presume-extrade.php

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=46025

TURQUIE

Erdogan cherche une tête de Turc

Richard Rossin, délégué général du Collectif Urgence Darfour

Le président turc veut des excuses ! Il veut des excuses parce que per-sonne ne l’a retenu d’armer avec ses amis islamistes de l’IHH, un groupe d’une mouvance connue (Cf. Juge Bruguière et justice allemande) un gros cargo et l’envoyer avec des terroristes dont certains fichés[1] contre l’em-bargo (il n’y a pas de blocus mais une limitation du passage d’armes, de matériaux entrant dans la composition d’explosifs ou de bunker) appliqué par un pays supposé allié. Il ne pouvait pas résister ni à lui-même ni aux tyrans de la République Islamique d’Iran et ses affidés du Hezbollah et du Hamas, deux mouvements de gauche distribuant en priorité l’opium du peuple ; mais paraît-il la religion qui a porté Erdogan au pouvoir interdit, paraît-il, la drogue.

Le président turc veut sûrement aussi des excuses pour avoir bombardé des villages kurdes en Turquie et en Irak parce que personne ne l’a retenu de le faire mais ça fait des années que dure la persécution des kurdes qui ont eu le malheur de voir leur territoire morcelé après la division de la ré-gion par la grande Bretagne en 1920. Mais pourquoi personne ne l’a-t-il félicité de proclamer il y a huit jours qu’il noiera les kurdes dans leur sang ?

Pourquoi aussi personne ne l’a-t-il prévenu que le président du Soudan, qu’il a invité et qui ne peut venir parce qu’il craint, sous le coup d’un man-dat d’arrêt international pour crimes de guerre et crimes contre l’human-ité, de voir son avion détourné ; quelle idée de l’aimer, à l’instar d’Abbas, comme un “frère”!! Bon, mais après tout on n’est pas à un génocide près, le monde en a vu d’autres. La Cour Pénale Internationale et l’ONU de-vraient s’excuser de l’empêcher de bavarder et dîner avec son frère.

Et puis il y a ces fous d’Arméniens qui prétendent qu’on y a tué un million et demi des leurs femmes, enfants et vieillards compris ; d’ailleurs à l’époque les grandes puissances n’avaient pas vraiment protesté alors à quoi bon reconnaître et témoigner de la compassion. Pourquoi les Ar-méniens ne s’excusent-ils pas d’avoir été génocidés ?

Le même président voudrait bien des excuses pour la persécution des chrétiens dans son pays et l’assassinat, au moment même de l’épopée maritime de son Marvi Marmara, de Luigi Padovese, vicaire apostolique d’Anatolie et président de la conférence épiscopale turque. On ne peut pas s’occuper de tout, on ne peut pas être un hyper président tous les jours si

personne ne vous informe des évènements et des réactions, même de pure circonstance, qu’on doit avoir. Mais personne n’a rien remarqué, c’est une chance. Mais, il faudrait quand même au moins des excuses du Vatican.

Le président turc voudrait des excuses des Chypriotes dont il occupe une partie du pays à l’argument qu’il y a des musulmans d’origine turque et qu’il y en a envoyé d’autres pour en accroître la population. En plus, il faut des excuses de l’Europe qui a accepté dans l’Union l’autre partie de l’ile.

A propos de l’Europe, il a quand même eu des excuses d’Obama qui re-grette, qu’après son beau mais incomplet discours du Caire, que Erdogan se soit immédiatement rendu à Téhéran et que les Européens n’en aient pas profité pour admettre la Turquie dans l’Union (ce qui aurait peut-être diminué le poids turc dans l’OTAN).

Mais la France n’en a pas fait autant, si on peut dire, quand il est intervenu dans le débat politique en affirmant qu’il avait évidemment « des diffi-cultés à comprendre la discussion sur le voile intégral » et que « deman-der l’assimilation est un crime contre l’humanité » mais que par bonheur « les mosquées sont les baïonnettes » du prosélytisme islamique. Il faudrait que la France s’excuse ; c’est terrible ce sentiment de pas être assez aimé.

Le monde n’est pas une utopie. À ce propos j’ai vu hier le film « à cinq heures de Paris » et je m’excuse d’avoir pensé du mal de la société Utopia pour l’avoir déprogrammé, il aurait été indécent de passer un film sur la scandaleuse et improbable histoire d’amour entre un chauffeur de taxi qui aime bien Jo Dassin et une professeur de musique d’origine russe. C’eut été socialement et politiquement scandaleux. Le réalisateur aussi devrait s’excuser auprès d’Utopia d’avoir produit une telle œuvre intellectuelle-ment indécente. Un « midnight express » de la pensée.

Ah, la recherche d’une tête de Turc !

Si j’étais israélien, je renverrais Erdogan à ses propres turpitudes, j’œuvr-erais pour la reconnaissance du génocide des Arméniens, je déposerais plainte à l’ONU pour les massacres de civils Kurdes et la persécution des chrétiens comme pour l’invitation à un sommet d’un assassin soudanais patenté poursuivit par la CPI. Mais je ne suis pas israélien et je m’abstiens de conseiller quoi que ce soit, quoique j’en pense.

[1] Au moins Amin Abou Rashid et Yasser Muhammad Sabag

http://laregledujeu.org/2010/07/13/2366/erdogan-cherche-une-tete-de-turc/

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=46021

La Turquie risque de perdre son rôle d'intermédiaire dans la région

En s'aliénant Israël et en mécontentant les Etats-Unis comme elle vient de le faire, la Turquie risque de perdre le rôle de facilitateur de paix qu'elle revendique dans la région, notamment auprès de ses voisins musulmans.

La Turquie a démenti une information distillée par Washington selon laquelle elle aurait cédé à une demande du secrétaire d'Etat américain Hillary Clinton, de ne plus s'occuper de la question du programme nu-cléaire de l'Iran, que les Occidentaux accusent de vouloir se doter de l'arme atomique.

"Il ne peut pas y avoir de processus (de négociations avec l'Iran) sans nous", a déclaré mardi à Istanbul le chef de la diplomatie turque Ahmet Davutoglu.

Il répondait à une journaliste qui souhaitait savoir s'il était exact que Mme Clinton lui avait demandé, lors d'un entretien téléphonique lundi, que son pays cesse de se mêler du dossier iranien. Et s'il avait obtempéré.

"Lors de notre discussion lundi, nous nous sommes trouvés en plein accord sur toutes les questions, y compris l'Iran", a affirmé le ministre.

"Etre ou non partie au processus (de négociations) n'est pas une question d'ordre technique pour la Turquie. L'Iran est notre voisin, ce pays est dans notre région et nous faisons déjà partie du processus", a-t-il déclaré, ajoutant que la proposition turque et brésilienne pour résoudre cette crise est toujours "sur la table".

La Turquie et le Brésil ont signé en mai avec l'Iran un accord prévoyant de transférer l'uranium iranien en Turquie et de recevoir 12 mois plus tard le combustible enrichi pour un usage civil.

Cette proposition a été ignorée par les Occidentaux, Etats-Unis en tête, et l'Iran a poursuivi ses activités d'enrichissement. Le 9 juin, le Conseil de sécurité de l'ONU a voté de nouvelles sanctions contre Téhéran.

Mais le vote négatif de la Turquie au conseil, dont elle est membre non permanent, a nettement mécontenté Washington, qui n'a pas compris ce refus d'un allié, membre de l'Otan et candidat à l'Union européenne.

Les Etats-Unis se sont depuis inquiétés d'une dérive de la diplomatie turque, qui bouderait de plus en plus les Occidentaux.

Sentiment renforcé par la détérioration des relations entre la Turquie et Is-raël, deux alliés traditionnels, déjà flagrante en janvier 2009 avec la viru-lente condamnation par Ankara de l'offensive militaire israélienne sur Gaza, et qui a connu son paroxysme fin mai.

Après l'assaut israélien sur une flottille d'aide humanitaire à Gaza, le 31 mai, au cours duquel neuf Turcs ont été tués, la Turquie a rappelé son am-bassadeur et affirmé que les relations ne seraient "plus jamais les mêmes".

Une situation qui fait dire au président syrien Bachar al-Assad que la Turquie va perdre son rôle dans les négociations de paix au Proche-Orient.

"Si la relation entre la Turquie et Israël n'est pas renouée, il sera très diffi-cile pour la Turquie de jouer un rôle dans les négociations" au Proche-Ori-ent, a-t-il déclaré le 5 juillet à Madrid.

"Et la Syrie commence déjà à regarder ailleurs pour une paix avec Israël", vers des intermédiaires tels que Washington ou Paris, affirme l'éditorialiste de Hürriyet Daily News, Semih Idiz.

En 2008, la Turquie avait agi comme médiateur entre la Syrie et Israël, processus qui avait pris fin avec la réaction turque à l'offensive sur Gaza.

"La Turquie perd son rôle d'intermédiaire vis-à-vis de la Syrie", estime pour sa part Ahmet Insel, de l'université de Galatasaray (Istanbul).

"C'est l'aspect négatif d'une diplomatie qui se veut autonome, indépen-dante. L'aspect positif est que la Turquie s'est rabibochée ces dernières années, y compris sur le terrain économique, avec la Syrie, et d'autres pays voisins", ajoute-t-il. (AFP, 14 juil 2010)

http://www.info-turk.be/383.html#risque

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=46034

Turquie : un officier accusé de conspiration sera jugé par l'armée

14/07/2010 | 10h26

Un officier supérieur jugé par un tribunal civil pour avoir préparé un projet de conspiration contre le gouvernement islamo-conservateur turc, devra aussi comparaître devant la justice militaire, rapporte mercredi l'agence de presse Anatolie.

Le procureur militaire a préparé un acte d'accusation à l'encontre de l'officier de marine Dursun Ciçek, qui est accusé notamment d'abus de pouvoir, atteinte au prestige de l'armée et insubordination, précise l'agence.

Le parquet réclame qu'il soit radié de l'armée et emprisonné de un à six ans.

Son procès devant une cour militaire d'Ankara doit commencer le 20 juillet.

Il est l'un des principaux protagonistes d'une affaire très médiatisée de conspiration visant le gouvernement. Incarcéré, l'officier qui se dit innocent, est jugé depuis le 28 juin à Istanbul pour avoir rédigé un "plan d'action contre les forces réactionnaires" alors qu'il occupait un poste à l'état-major des armées.

Le plan prévoyait de lancer de fausses accusations contre le parti gouvernemental de la justice et du développement (AKP, issu de la mouvance islamiste) pour le discréditer aux yeux de l'opinion et entraîner sa chute.

Six autres suspects sont jugés avec lui. Le parquet réclame la prison à vie pour l'officier.

Cette affaire est l'une des différentes enquêtes en cours sur le réseau Ergenekon, accusé d'avoir voulu semer le chaos en Turquie avec des attentats pour favoriser un coup d'Etat militaire, qui ont conduit à l'inculpation de près de 300 personnes.

Les enquêtes, débutées en 2007, sont controversées. Certains observateurs y voient une importante avancée démocratique, d'autres un moyen pour le gouvernement de faire taire l'opposition laïque.

L'armée turque, qui a renversé quatre gouvernements depuis 1960, se considère comme la garante de la laïcité.

http://www.lorientlejour.com/category/Derni%C3%A8res+d%C3%A9p%C3%AAches/article/664357/Turquie_%3A_un_officier_accuse_de_conspiration_sera_juge_par_larmee.html

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=46038

Turquie : le chômage continue de baisser

[ 15/07/10 - 11H36 ]

Le taux de chômage en Turquie a baissé à 12% de la population active au cours du trimestre finissant en mai, contre 14,9% pour la même période de l'an dernier, selon les données officielles publiées jeudi.

Le nombre des chômeurs a reculé de 547.000 à 3,07 millions sur un an, a précisé l'Institut national de la statistique. Le chômage des jeunes a baissé à 21,2% contre 26,5% sur la même péri-ode.

L'économie turque est sortie d'une grave récession au dernier trimestre de 2009, avec un PIB en hausse de 6%, après une contraction sur quatre trimestres.

Elle a confirmé son redressement avec une forte croissance de 11,7% au premier trimestre de 2010, un chiffre qui devrait pousser le gouvernement à réviser à la hausse ses objectifs de croissance.

Le ministre de l'Economie Ali Babacan avait déjà indiqué que la croissance cette année dépasserait l'objectif du gouvernement, fixé à 3,5%, pour at-teindre environ 6%. Selon les experts, les chiffres officiels du chômage sont cependant sous-estimés, plusieurs secteurs d'emploi ou catégories sociales échappant aux études officielles. La Turquie, qui compte environ 73 millions d'habitants, est la 17ème économie mondiale.

http://www.lesechos.fr/info/inter/afp_00267392-turquie-le-chomage-continue-de-baisser.htm

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=46054

TURQUIE/SLOVENIE

L'info vue par la TRT (2)

Le Collectif VAN vous propose cet article publié sur la TRT (Télévi-sion & Radio de Turquie). Les articles de ce site ne sont pas com-mentés de notre part. Ils peuvent contenir des propos négation-nistes envers le génocide arménien ou d'autres informations à prendre sous toute réserve.

VISITE EN SLOVÉNIE DU PRÉSIDENT ABDULLAH GÜL Cette visite sera réalisée à l'invitation du président slovène Danilo Türk

Posted 14.07.2010 06:44:13 UTC Updated 14.07.2010 14:15:01 UTC

Le président de la République Abdullah Gül est en Slovénie.

M. Gül a été accueilli par les responsables slovènes à l'aéroport de Ljubl-jana.

Dans le cadre de ses prises de contact à Ljubljana, le président Abdullah Gül a rencontré en premier lieu son homologue slovène Danilo Türk.

Par la suite, le président M. Gül s'est rendu au Parlement slovène.

Apres un entretien avec le président de l'Assemblée nationale Pavel Gan-tar, il s'est entretenu avec le premier ministre Borut Pahor.

Le second jour de sa visite, M. Gül présidera le Forum d'affaires Turco-Slovène et devrait faire appel à l'investissement réciproque aux hommes d'affaires des deux pays.

http://www.trtfrench.com/trtworld/fr/newsDetail.aspx?HaberKodu=9bde21a5-7552-46ff-beb2-d1f0493e30a7

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=46031

TURQUIE/KURDISTAN

Kurdistan, la seconde Palestine du Moyen-Orient ?

Analyse

LEMONDE | 14.07.10 | 13h02

Guillaume Perrier (Istanbul Correspondance)

En pleine crise de la flottille, après l'assaut sanglant mené par les troupes israéliennes contre un navire turc qui tentait de briser le blocus imposé aux Palestiniens de Gaza, la question kurde a refait surface, comme réveil-lée par l'onde de choc régionale.

L'armée turque, frappée par une attaque du Parti des travailleurs du Kur-distan (PKK) qui a tué 11 soldats, le 19 juin, a riposté en déclenchant des opérations aériennes et terrestres dans le sud-est de la Turquie et dans le nord de l'Irak, où sont retranchés environ 2 000 membres de la guérilla kurde, fondée par Abdullah Öcalan.

Au moment où Ankara mobilisait ses forces contre "l'organisation terror-iste", selon la périphrase officielle, le premier ministre Recep Tayyip Erdo-gan qualifiait le Hamas de "mouvement de résistance populaire" à l'op-presseur. Un parti pris que ses adversaires ne manquent pas de relever. Déjà en 2006, lorsque la Turquie avait accueilli une délégation du Hamas à Ankara, Israël s'était offusqué : "Que diriez-vous si nous recevions Öcalan à Tel-Aviv ?" PKK et Hamas figurent sur la liste noire des groupes terror-istes et constituent des enjeux sécuritaires nationaux primordiaux pour les deux pays.

La comparaison entre Kurdes et Palestiniens, deux peuples sans Etat, n'est pas nouvelle. Les keffiehs, les enfants lanceurs de pierres affrontant des véhicules militaires blindés, la guerre de propagande, la peur du renverse-ment démographique - Kurdes et Palestiniens ayant des taux de natalité beaucoup plus élevés... Les points communs sont nombreux.

Si les deux situations diffèrent, elles soulèvent aussi la question du droit à l'autodétermination des peuples, consacré par l'article Ier de la charte des Nations unies - qui affirme "le respect du principe de l'égalité de droits des peuples et de leur droit à disposer d'eux-mêmes" -, et impliquent les deux principales puissances régionales, alliées des Etats-Unis : la Turquie et Is-raël.

Installée dans le paysage géopolitique, la question kurde est "l'autre front du Moyen-Orient", selon le politologue Hamit Bozarslan, directeur d'études à l'Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS). Comme celui des Palestiniens, le sort des 32 millions de Kurdes - écartelés entre quatre pays, Turquie, Iran, Irak et Syrie - menace la stabilité de la région et rejail-lit en cascade sur les voisins.

Après avoir été chassés du Liban et de Syrie dans les années 1990, les chefs militaires du PKK s'abritent dans les montagnes du nord de l'Irak, avec ceux du PJAK, la branche iranienne de la guérilla. La Turquie et l'Iran

mènent des actions concertées, par-delà leur frontière, contre les rebelles : bombardements et incursions au Kurdistan irakien.

Les Etats-Unis et Israël assistent l'armée turque dans ces opérations. Mais le gouvernement turc rejette toute comparaison entre les questions kurde et palestinienne. "La Turquie a une approche plus large de la lutte contre le terrorisme et prend en compte les aspects économiques, culturels et so-ciaux", estime Ihsan Bal, analyste à l'organisation de recherche stratégique internationale (USAK), proche du pouvoir. M. Erdogan compare volontiers le PKK au "terrorisme d'Etat" d'Israël. La Turquie laisse planer l'idée que l'Etat hébreu se livre à des activités secrètes dans la partie kurde de l'Irak et arme le PKK en sous-main.

La presse d'Istanbul a rendu Israël coupable d'avoir poussé les récentes attaques, en représailles à l'envoi de la flottille propalestinienne. Une "campagne de désinformation", selon le commandement du PKK, pour qui "la Turquie tente ainsi de se rallier les opinions des pays arabes". Les puis-sances occidentales sont également accusées par la rue de soutenir la guérilla pour affaiblir l'Iran.

L'appui au PJAK, et donc au PKK, pour mieux lutter contre le régime des mollahs ? L'idée fait son chemin dans certains cercles de réflexion anglo-saxons, des voix s'élevant même pour que le groupe iranien soit rayé de la liste des mouvements terroristes.

Comme la question palestinienne, la question kurde s'est installée dans le temps. En Turquie, où ils pèsent 20 % de la population, l'assimilation des Kurdes a rencontré de fortes résistances. Aucune solution, autre que mili-taire, n'a jamais été réellement mise en oeuvre pour sortir de l'impasse : la guérilla du PKK sévit depuis 1984 et la lutte antiterroriste a déjà coûté 250 milliards d'euros et 42 000 vies humaines, 4 000 villages brûlés, des millions de déplacés et une obsession sécuritaire qui maintient la société turque dans un état de "terreur". Et le PKK n'est que le vingt-neuvième mouvement d'insurrection lancé contre la Turquie en moins d'un siècle...

De même en Syrie et en Iran, des émeutes kurdes éclatent régulièrement, suivies de vagues d'arrestations de militants et d'intellectuels. Les nation-alismes kurdes et ceux des populations majoritaires se renforcent mutuellement. En Irak, la révolution lancée par la famille Barzani, puis-sante tribu du nord, dès les années 1930, a joué un rôle essentiel dans le processus d'émancipation des Kurdes.

Mustafa Barzani fonda même, en 1946, une éphémère République au-tonome, à Mahabad, dans l'ouest de l'Iran. Après plusieurs décennies de répression du régime baasiste, les Kurdes jouissent aujourd'hui d'une large autonomie et constituent, grâce à l'appui des Etats-Unis, un embryon d'Etat avec son drapeau, son parlement et son président. Un début de so-

lution ?

Courriel : [email protected].

Guillaume Perrier (Istanbul Correspondance) Article paru dans l'édition du 15.07.10

http://www.lemonde.fr/idees/article/2010/07/14/kurdistan-la-seconde-palestine-du-moyen-orient_1387832_3232.html

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=46015

L'armée turque brûle les forêts

En utilisant les incendies de forêts dans sa lutte contre le PKK, l'armée turque continue à commette des crimes de guerre. Elle a, tout récemment, mis le feu aux forêts d'Ilicilar, un village de la province de Bingol. Essayant d'éteindre le feu par leurs propres moyens, les villageois n'ont pas su pro-téger certains vergers, ravagés par le feu.

L'incendie qui s'est déclarée à la suite des bombardements sur les villages de Kelêt et Bêgejnê, liés aux montagnes de Gabar dans la province de Şir-nak et à Rubarok (Hakkari- Şemzinan), ravage les forêts depuis deux jours.

Les forêts de Kırmızı Dağ, Kutu Dere, Zergovit, Güleç, Geyik Suyu et Marçik à Dersim brûlent depuis 5 jours.

Les incendies déclenchés le 8 juillet à Sason et Kozluk à Batman ne sont toujours pas éteints.

En deux semaines, l'armée turque a mis le feu à plus de 13 forêts à Botan. Les autorités refusent d'éteindre les incendies et les villageois ne peuvent le faire en raison de l'interdiction posée. (Kurdish Info, 14 juillet 2010)

http://www.info-turk.be/383.html#les

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=46029

L'info vue par la TRT (3)

Le Collectif VAN vous propose cet article publié sur la TRT (Télévi-sion & Radio de Turquie). Les articles de ce site ne sont pas com-mentés de notre part. Ils peuvent contenir des propos négation-nistes envers le génocide arménien ou d'autres informations à prendre sous toute réserve.

OPÉRATIONS MILITAIRES CONTRE L'ORGANISATION TER-RORISTE PKK

Les gardiens du village bénévoles y participent

Posted 14.07.2010 14:18:06 UTC Updated 14.07.2010 14:18:06 UTC

Les opérations contre l'organisation terroriste PKK se poursuivent.

Les opérations soutenues par l'aviation sont toujours en cours dans les monts de Düğün, Yün, Karaçağlı et Gabar à la frontière irakienne et dans la région de Bestler-Dereler.

Outre les soldats, de nombreux gardiens du village bénévoles participent aux opérations.

Plusieurs refuges et matériels de ravitaillement appartenant aux terro-ristes ont été détruits.

Le transport de soldats et de matériels destiné aux unités militaires dans la région se poursuivit.

D'importantes mesures de sécurité sont prises sur l'itinéraire des véhicules militaires.

http://www.trtfrench.com/trtworld/fr/newsDetail.aspx?HaberKodu=9e1-fac85-ea62-46be-ba44-8e0d701967e6

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=46036

Le problème de l'autonomie des KurdesBaskın Oran

jeudi 15 juillet 2010 - 11:47

Petit matin. Avec Feyhan, ma compagne, nous lisons les journaux. Gros

titre dans Taraf : “les Kurdes vont proclamer l’autonomie”. (25.06.10). Feyhan se tourne vers moi avec un regard d’incompréhension. Les mairies tenues par le BDP (Parti pour la Paix et la Démocratie, pro-kurde) ont dé-cidé que “l’on lutte pour rompre totalement la dépendance vis-à-vis de l’Etat central”. A cela vient s’ajouter la déclaration de l’un des leaders du PKK, Cemil Bayik : “ nous voulons résoudre la question kurde sur la base d’une autonomie démocratique. Si l’Etat turc s’oriente vers cela, alors nous la réaliserons avec lui. Sinon, nous trouverons toujours une solution. Nous proclamerons bientôt cela officiellement.”

J’ai dit : “ce n’est pas nouveau, ils ont raison sur le fond. Mais la formula-tion revêt toujours une certaine importance. L’autonomie est une chose, l’indépendance, une autre. Le “’faites ça, sinon...’” est plutôt dissuasif. Il en va ainsi lorsque les gens ne connaissent pas les formes requises ou lorsqu’ils cherchent la bagarre.”

En vérité, cette question de l’autonomie a pour la première fois été évo-quée par les Kurdes en octobre 2007 lors d’une réunion du DTP (parti pour une société démocratique, prédécesseur, interdit par la Cour constitution-nelle, du BDP) à Diyarbakir : “le drapeau commun et le turc comme langue officielle, OK. Mais au lieu de cette définition de la citoyenneté fondée sur l’emploi du mot ”Türk (“turc), il nous en faut une fondée sur la locution “Türkiyeli” (de Turquie, né et vivant en Turquie), terme qui comprendrait toutes les identités culturelles de notre pays. Il faut également donner des compétences nouvelles aux collectivités locales en fondant de 20 à 25 as-semblées régionales. Il nous faut mettre en œuvre une autonomie démocratique.”

Le fond de la chose et les impératifs de la charte

Primo, j’ai parlé avec le vice-président du BDP Demir Celik, chargé des col-lectivités locales. Il me dit alors que l’expression “totalement indépen-dant” n’a jamais été employée, qu’il s’agit d’une pure interprétation jour-nalistique.

Deuzio, Il est évident que cette autonomie que réclament les collectivités kurdes, elles la réclament à l’échelle de toute la Turquie, pour toute la Turquie.

Tertio, le socle sur lequel ils appuient leurs revendication est juste et légitime : c’est la Charte européenne de l’autonomie des collectivités lo-cales entrée en vigueur en Turquie le 1 avril 1993 et que l’Assemblée na-tionale turque a transposé en droit turc par la loi N° 3723 en 1991.

Cette charte, rédigée sous l’égide du Conseil de l’Europe, prévoit un es-pace d’autonomie relativement important dans le cadre des lois exis-tantes. Selon son article 12, chaque Etat signataire s’engage à retenir au

moins 20 de ses articles dont 10 parmi ceux qui sont obligatoires. Parmi ceux que la Turquie s’est engagée à respecter, il est ceux-ci : - art. 3 : pouvoir de décision et d’organisation pour des assemblées locales dotées d’organes exécutifs responsables devant elles. - art. 5 : Ne pas modifier le champ des compétences des pouvoirs locaux sans consultation des populations locales concernées. - art. 7 : procurer des ressources financières suffisantes que les collectiv-ités locales peuvent employer librement. A cela, il faut ajouter la percep-tion d’impôts locaux dont les taux sont déterminés localement.

Le seul point sensible que la Turquie n’ait pas accepté est le suivant que je pointe à dessein : art. 11, la capacité des collectivités locales de faire ac-cepter leurs compétences en recourant aux décisions du juge. Enfin, quand je dis juge, je parle du juge de Turquie, bien évidemment. Donc...

Depuis 1993, cette loi est restée lettre morte. Et imaginez donc, c’est tout le contraire qui a été réalisé. Le 24 juin dernier, un titre dans Milliyet : “Les préfets pourront opposer un veto aux mairies.” Sous-titre : “ Par une déci-sion prise à 6 contre 5, la cour constitutionnelle vient d’abolir une loi prévoyant la levée de ce pouvoir de veto des préfets et sous-préfets sur les conseils municipaux.” Et puis bien sûr, c’était sans compter sur la con-ception générale qu’a notre “très saint” État du statut des collectivités lo-cales. Tenant les préfets pour du personnel de la fonction publique territo-riale, nos dirigeants placent un préfet à la tête de la délégation turque pour les réunions concernant les collectivités territoriales se tenant à Strasbourg. Motif : “le conseil général est une collectivité territoriale ; le préfet en est le président.” Au final, le Conseil de l’Europe leur a donné une date au-delà de laquelle une telle attitude ne serait plus recevable. Il y a Kurdes et Kurdes

Alors pensez-vous si ma compagne, Feyhan, a pu se fendre d’un tel regard à la vue de cette nouvelle, il est largement possible de deviner comme certains ont pu y regarder : “ Voilà ! On ne vous l’avait pas dit ?! A mesure que nous, nous leur reconnaissons des droits, eux, ils foncent tout droit vers la fondation de leur propre État.”

Et par-dessus le marché, cette déclaration très provocatrice de Cemil Bayik, intervient à un moment où les attaques du PKK font abondamment couler le sang et où le Premier ministre dit que les “opérations de l’armée turque peuvent être minimisées.”

Les Kurdes ont raison, avons-nous dit plus haut. Mais dans quelle mesure ont-ils raison alors que le sang se met à couler de plus en plus ? Ils n’ont pas complètement raison.

Dans son état actuel, la Charte est une Convention cadre générale. Inap-plicable telle quelle, c’est un document nécessitant de très sérieux

amendements constitutionnels et légaux, des amendements susceptibles de modifier le visage institutionnel de la Turquie. Voilà pourquoi il n’est pas possible de dire que, puisque la Turquie ne l’applique pas, on va le faire dans son coin. La loi est sortie en 1991, entrée en vigueur en avril 93, et toi, tu la découvres en octobre 2007. Tout simplement pas possible. Pas possible ? Il ne faut pourtant pas trop exagérer.

Parce que si vous avez prêté attention, dès que des Kurdes en armes se mettent à assassiner, nous nous mettons à chercher une solution. Dès qu’ils arrêtent, on continue d’attendre, de nous reposer sur nos deux or-eilles. Parce que cette chose qu’on appelle État-nation nous a seulement programmés pour la solution passant par la violence d’Etat. Mais regardez donc un peu, il est encore aujourd’hui un parti proposant l’Etat d’urgence et la mise à mort d’Öcalan en guise de solution à la question kurde !

Le prix de la pression de l’Etat-nation

Dans notre première constitution de 1921 nous avions reconnu l’au-tonomie aux Kurdes. Dans sa conférence de janvier 1923 tenue à Izmit, Mustafa Kemal déclarait la chose suivante : “ il existera de toute façon des sortes d’autonomie locale respectant les principes de notre constitution. Dans ce cas, si la population d’un département est kurde, ils s’admin-istreront eux-mêmes de façon autonome.” Il disait cela en faisant référence à l’article 11 de la constitution de 1921 : “ le département... est autonome. L’organisation et l’administration des fonds publics, des écoles religieuses, de l’enseignement, de la santé, de l’économie, de l’agricul-ture, des Travaux publics et de l’aide sociale relèvent de la compétence des assemblées départementales.” Ne restent d’ailleurs plus comme com-pétences politiques, que les Affaires Etrangères, les Finances et la Défense. Et ces assemblées sont élues par la population concernée. L’au-tonomie est si large que sur tous les sujets mentionnés ci-dessus, les com-pétences du préfet sont nulles : “ Le préfet [ nommé par le pouvoir cen-tral] n’intervient qu’en cas de conflit entre les compétences générales de l’Etat et les compétences des autorités locales ” (Art 14.).

Attention, Mustapha Kemal avait ainsi terminé sa déclaration à Izmit : “ Cela mis à part, lorsqu’il est question du peuple de Turquie, il faut aussi parler d’eux [les Kurdes]. Si on ne le fait pas, il sera toujours possible qu’ils puissent créer des problèmes.” Mais après avoir signé le Traité de Lau-sanne et fondé la République, dans un contexte politique privé de tout in-tellectuel kurde, il s’est fourvoyé, a perdu toute mesure. L’article 88 de la Constitution de 1924 énonce :

“ Sans différence aucune de religion et de race, le nom Turc est donné au peuple de Turquie du point de vue de la citoyenneté”. Je rappelle sans plus tarder que la raison de l’emploi de cette formule “du point de vue de citoyenneté” était de discriminer les non-musulmans (H. S. Tanrıöver, un

nationaliste turquiste insista, à l’époque, pour ajouter la mention “du point de vue de la citoyenneté” pour exclure les non-musulmans qu’il ne consid-érait pas comme Turcs, mais comme simples citoyens. Toujours, le Sys-teme du Millet qui date de 1454 qui conditionne les cerveaux des Kémal-istes très laïcs, NdT). Tout était déjà là, tous ces principes de l’Etat-nation qui nous ont conduits aujourd’hui, là où nous en sommes ; je ne sais pas si je me suis fait comprendre. Je vous laisse compléter.

Certaines personnes peuvent parler à tout-va. Parmi eux, il en est aussi qui se fendent de querelles qui leur servent de principes existentiels. Mais nous, les Turcs, il est temps que nous nous rendions compte qu’il ne nous sera pas plus longtemps possible au XXIe siècle, et d’anesthésier l’Europe et d’anesthésier les Kurdes. Prendre également conscience que la ques-tion va bien au-delà de la seule question kurde. Qu’il s’agit enfin de se servir de cette Charte européenne et de transférer des compétences aux collectivités locales, que, toute prête entre nos mains, elle représente le moyen le plus juste et le plus rapide de prévenir l’éclatement de la Turquie et d’en faciliter la démocratisation.

- Traduction pour TE : Marillac

http://www.turquieeuropeenne.eu/article4352.html

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=46058

NUCLEAIRE IRANIEN

Uranium iranien: Brésil et Turquie pas formellement invités aux discussions

Les Etats-Unis, la Russie et la France n'ont pas formellement accepté la participation du Brésil et de la Turquie aux négociations sur un échange d'uranium avec l'Iran, ont indiqué des diplomates lundi, sans exclure caté-goriquement une telle éventualité.

Selon la presse iranienne de dimanche, le ministre des Affaires étrangères iranien Manouchehr Mottaki a affirmé que le groupe de Vienne (Etats-Unis, Russie, France) "a accepté" la présence de représentants d'Ankara et de Brasilia à ces négociations portant sur la remise par Téhéran d'uranium faiblement enrichi contre du combustible plus enrichi pour faire fonction-ner un réacteur de recherche médicale.

Un tel échange avait été proposé en octobre par le groupe de Vienne sous

l'égide de l'Agence internationale pour l'énergie atomique (AIEA). Mais l'Iran avait posé des conditions inacceptables pour les grandes puissances, qui soupçonnent Téhéran de vouloir se doter de l'arme nucléaire sous cou-vert d'un programme civil, ce que l'Iran dément.

Huit mois plus tard, Téhéran avait accepté l'idée, proposée par la Turquie et le Brésil, de transférer son uranium en Turquie et de recevoir 12 mois plus tard le combustible enrichi.

Cependant, les pays du groupe de Vienne ont formulé des réserves sur cet accord et demandé des éclaircissement à la République islamique. "Nous attendons leur réponse avant d'envisager la prochaine étape", a déclaré à l'AFP un diplomate occidental s'exprimant sous condition d'anonymat.

Pendant ce temps, l'Iran a poursuivi ses activités d'enrichissement malgré une quatrième série de sanctions adoptée par le Conseil de sécurité de l'ONU le 9 juin: dimanche, le chef de l'agence nucléaire iranienne, Ali Ak-bar Salehi, a annoncé que l'Iran possédait désormais 20 kg d'uranium en-richi à 20%. (AFP, 12 juil 2010)

http://www.info-turk.be/383.html#Uranium

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=46042

Les Etats-Unis apprécient le rôle de la Turquie dans les négociations nucléaires avec l'Iran

(ministre turc) Imprimez / Envoyez

Le ministre turc des Affaires étrangères Ahmet Dovotoglu a démenti jeudi les informations selon lesquelles les Etats-Unis souhaitent voir la Turquie rester à l'écart des négociations nucléaires avec l'Iran.

"J'ai lu la déclaration du Département d'Etat américain et elle ne comporte aucune information en ce sens. Lors de ma conversation téléphonique avec Mme Clinton, cette dernière a salué le rôle joué par la Turquie et a souligné le fait que ce processus doit se poursuivre au Conseil de sécurité", a déclaré le ministre turc à Lisbonne.

"A aucun moment il n'a été question que la Turquie doive à se tenir à l'écart du processus", a-t-il répété.

Lors d'une conférence de presse tenue conjointement avec son homologue

portugais Luis Amado, M. Dovutoglu a indiqué que l'objectif des négociations tripartites avec l'Iran, auxquelles participe également le Brésil, était de faciliter le travail de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).

Un haut fonctionnaire américain, cité par des médias américains, aurait déclaré que la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton a demandé lundi dernier à M. Dovutoglu, lors d'une conversation téléphonique de 45 minutes, de laisser le problème nucléaire iranien aux puissances du Conseil de sécurité de l'ONU et à l'AIEA.

Source: xinhua

http://french.peopledaily.com.cn/International/7067830.html

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=46059

GENOCIDE DES TUTSI

Nota CVAN : Nous ne commentons pas les informations de la presse francophone que nous relayons sur notre site. Lorsqu'ils traitent du génocide des Tutsi, certains journalistes utilisent le terme simplificateur de "génocide rwandais". Or, l'expression "gé-nocide rwandais" réhabilite le négationnisme et son double géno-cide (celui des Tutsi par les Hutu et des Hutu par les Tutsi). C'est aussi la thèse des autres négationnistes qui justifient le crime des Jeunes-Turcs contre le peuple arménien par des crimes d'Armé-niens contre des Turcs. Le négationnisme se combat par la ri-gueur des mots d'histoire. Au lecteur d'avoir cet avertissement en mémoire, pour mieux analyser les articles de notre Revue de Presse. En revanche, nous remercions les journalistes qui mettent en pratique la rigueur nécessaire à ces thématiques sensibles.

RSF appelle les bailleurs de fonds à suspendre leur soutien au Rwanda

Reporters sans frontières (RSF) a appelé mercredi l'Union européenne et les autres bailleurs de fonds à "suspendre leur soutien au régime de Ki-gali" et à "cesser leur appui financier" au scrutin présidentiel du 9 août.

AFP | 14.07.10 | 11h02

Reporters sans frontières (RSF) a appelé mercredi l'Union européenne et

les autres bailleurs de fonds à "suspendre leur soutien au régime de Ki-gali" et à "cesser leur appui financier" au scrutin présidentiel du 9 août.

"Inquiète de l'extrême dégradation du climat pour la presse au Rwanda, Reporters sans frontières demande à l'Union européenne et aux autres bailleurs de fonds internationaux de suspendre leur soutien au régime de Kigali et de cesser leur appui financier à l'organisation de l'élection du 9 août prochain", écrit l'organisation basée à Paris dans un communiqué.

"Combien de temps la communauté internationale va-t-elle encore cau-tionner ce régime liberticide?", interroge RSF.

"En soutenant l'élection présidentielle du mois prochain, qui se prépare pourtant dans des conditions exécrables, les autorités ne laissant de répit à personne, la communauté internationale se rend complice du régime", estime l'organisation.

"Si elle arrêtait ses décaissements, l'Union européenne marquerait claire-ment son opposition aux pratiques des autorités rwandaises", poursuit le texte.

Le 8 juillet, Agnès Uwimana Nkusi, directrice du bimensuel privé Umurabyo, a été arrêtée par la police et placée en détention provisoire au commissariat de Remera, à Kigali.

Selon la presse rwandaise, deux autres journalistes d'Umurabyo ont été arrêtés mardi.

"Cet incident fait suite à la publication dans son journal de plusieurs arti-cles concernant des sujets sensibles", écrit RSF.

Dans les deux derniers numéros du bimensuel, la journaliste avait notam-ment publié des analyses et des questionnements sur le meurtre du rédac-teur en chef d'Umuvugizi, Jean-Léonard Rugambage, et la tentative d'as-sassinat du général Faustin Kayumba Nyamwasa, exilé en Afrique du Sud.

Elle est poursuivie pour incitation à la désobéissance civile, outrage au chef de l'Etat, propagation de fausses rumeurs et négation du génocide des Tutsi.

"Son arrestation survient après l'assassinat de Jean-Léonard Rugambage, le blocage du site Internet du bimensuel Umuvugizi, et la suspension, pour six mois, des deux principaux journaux indépendants du pays, le bimen-suel Umuvugizi et l'hebdomadaire Umuseso", souligne RSF, dénonçant une "véritable série noire".

http://www.lemonde.fr/depeches/2010/07/14/rsf-appelle-les-bailleurs-de-fonds-a-suspendre-leur-soutien-au-rwanda_3208_38_42967754.html

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=46017

SOUDAN/DARFOUR

Darfour-Rivalités tribales: 221 morts en juin

Par Europe1.fr

Publié le 11 Juillet 2010 à 17h32 Mis à jour le 11 Juillet 2010 à 17h34

Les violences ont fait 221 morts en juin au Darfour, région de l'ouest du Soudan en proie à la guerre civile, la plupart d'entre elles étant attribuées à des affrontements entre tribus arabes rivales, a annoncé dimanche la mission de paix ONU-Union africaine (Minuad). Des branches des tribus arabes Rizeiqat et Misseriyya se sont livré, de mars à juin, des combats féroces dans le sud et l'ouest du Darfour. Les chefs de ces deux tribus ont signé le 28 juin un accord de paix, ce qui a mis fin aux hostilités sur le ter-rain.

http://www.europe1.fr/International/Darfour-Rivalites-tribales-221-morts-en-juin-233136/

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=46016

Béchir poursuivi pour génocide : la Chine appelle à « tenir compte de l'intérêt général »

2010-07-14 19:03:18 cri

La Chine a réagi ce mercredi à l'annonce par la Cour pénale internationale de la poursuite pour « génocide » du président soudanais Omar el-Béchir. Qin Gang, le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, a déclaré lors d'une conférence de presse que « la Chine espère que les organisations concernées pourront tenir compte de l'intérêt général, en écoutant attentivement les opinions de l'Union Africaine, de la Ligue des Etats arabes et des pays concernés. Cela pourra contribuer au maintien de la paix et de la stabilité durables du Soudan ».

Déjà sous le coup d'un mandat d'arrêt pour « crimes de guerre » et « crimes contre l'humanité », le président soudanais sera également

poursuivi pour « génocide », vient d'annoncer la Cour pénale internationale, basée à La Haye, aux Pays-Bas.

http://french.cri.cn/781/2010/07/14/261s223322.htm

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=46020

Darfour : la pression s'accentue sur Omar el-BéchirPar Alain Barluet 14/07/2010 | Mise à jour : 22:44

Le procureur de la CPI ajoute l'accusation de génocide à celle de crime contre l'humanité.

Pour le procureur de la Cour pénale internationale (CPI), l'Argentin Luis Moreno Ocampo, il existe encore «une dernière chance d'arrêter le géno-cide au Darfour». Car c'est bien pour génocide qu'est désormais poursuivi le président soudanais Omar el-Béchir. Les juges de la CPI ont ordonné lundi qu'un second mandat d'arrêt pour ce chef d'accusation soit délivré contre lui, en plus du mandat qui le visait depuis mars 2009 pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité dans cette région de l'ouest du pays où les violences ont fait 300 000 morts et 2,7 millions de déplacés depuis 2003, selon les chiffres de l'ONU. Il s'agit du premier mandat d'arrêt pour génocide de la CPI depuis son entrée en fonction en 2003. Une victoire de haute lutte qui avait fait appel, l'an dernier, d'une première décision de la Cour qui n'avait pas retenu l'accusation de génocide. La chambre d'appel de la CPI, estimant que les juges de première instance avaient commis une «erreur de droit», leur avait ordonné de réexaminer leur décision, le 3 février dernier.

Ce nouveau mandat d'arrêt accroît-il les chances de voir Omar el-Béchir traduit devant la CPI ? La plupart des observateurs sont pessimistes sur ce point, à court terme tout au moins. «Il ne se passera rien dans l'immé-diat», analyse l'ONG Human Rights Watch (HRW) où l'on estime que la dé-cision de la CPI doit d'abord avoir pour but de «souligner l'absence de réaction du Conseil de sécurité de l'ONU (qui avait pourtant saisi la Cour à propos du Darfour en 2005, NDLR) même lorsqu'il est avéré que Khartoum ne collabore pas avec la justice internationale.»

Luis Moreno Ocampo est bien conscient des facteurs qui jouent en faveur d'Omar el-Béchir dans la communauté internationale. D'où l'appel qu'il a lancé lundi à la Chine, aux États-Unis et à la Russie pour qu'ils «prennent position» et adoptent des «décisions politiques fortes».

Mais Pékin demeure un allié stratégique du Soudan, quant à Washington et Moscou, ils n'ont pas adhéré à la CPI. Ces pays doivent «choisir leur camp», a estimé le magistrat, qui était de passage à Paris, avant un débat au Conseil de sécurité, demain, sur la situation au Darfour. «La position de Nicolas Sarkozy, qui n'a pas invité le président Béchir au sommet Afrique-France de Nice, est cohérente. Si tout le monde faisait pareil, il ne serait plus président», ajoute le procureur. C'est cette logique de marginalisation qui, espère-t-il, conduira un jour le numéro un soudanais devant les juges.

Les Africains serrent les rangs

Selon les experts, néanmoins, son inculpation pour génocide ne lui alién-era pas le soutien de nombreux pays africains et arabes qui dénoncent une accusation «politique» dictée par les États-Unis. Fin juillet, les partici-pants au sommet de l'Union africaine à Kampala, où el-Béchir a été invité, serreront les rangs autour de ceux qui craignent pour leur impunité.

La notion même de génocide, très tôt évoquée par Washington, fait débat. Nombreux sont ceux qui, tel HRW, estiment «ne pas disposer d'informa-tions suffisantes pour établir qu'il y avait intention d'éliminer tout ou partie de groupes ethniques». Les lourdes charges imputées à Béchir dans le premier mandat d'arrêt lancé contre lui sont suffisantes pour le juger, ajoutent d'autres experts.

Tel n'est pas l'avis du procureur Moreno Ocampo pour qui un génocide se perpétue au Darfour à travers la situation faite aux réfugiés dans les camps, les viols et les violences. Le magistrat dit être en possession de nouvelles preuves qu'il réserve pour le procès. Car «quel que soit le temps que cela prendra, espère-t-il, Béchir sera traduit en justice. Mais les vic-times, elles, ne peuvent pas attendre».

http://www.lefigaro.fr/international/2010/07/14/01003-20100714ARTFIG00449-darfour-la-pression-s-accentue-sur-omar-el-bechir.php

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=46026

Les ex-rebelles du Sud-Soudan veulent favoriser la paix au Darfour

KHARTOUM - Les ex-rebelles du Sud-Soudan veulent établir le contact en-tre le président Omar el-Béchir et la rébellion du Darfour afin de favoriser la tenue de pourparlers de paix, a affirmé mercredi la formation, qui a

aussi fait état d'une tentative de meurtre contre l'un de ses membres.

Salva Kiir - chef des ex-rebelles sudistes du SPLM, président du Sud-Soudan et premier vice-président du Soudan - a "décidé que le SPLM allait s'engager à apporter la paix au Darfour", a déclaré lors d'une conférence de presse à Khartoum, Yasser Arman, haut responsable de la formation.

M. Kiir contactera les dirigeants des deux principaux mouvements rebelles du Darfour, Abdelwahid Nour, chef de l'Armée de libération du Soudan (SLA), exilé à Paris, et Khalil Ibrahim, leader du Mouvement pour la justice de l'Egalité (JEM), actuellement établi en Libye, et les invitera à envoyer une délégation à Juba, la capitale du Sud-Soudan.

Ces deux groupes rebelles, les plus importants du Darfour, refusent pour l'instant de participer au processus de paix de Doha, au Qatar.

Or Salva Kiir "est la seule personne au sein de la présidence soudanaise à être en mesure de parler aux deux parties, d'un côté le président Omar el-Béchir et le second vice-président Ali Osman Taha, et de l'autre Abdel-wahid et Khalil", a fait valoir M. Arman.

Salva Kiir "est un canal fiable afin d'adoucir les relations entre le gou-vernement soudanais... et la rébellion", a souligné M. Arman, précisant que le médiateur en chef, Djibril Bassolé, avait lui-même sollicité l'aide du chef sudiste afin de redonner souffle au processus de paix de Doha.

Les ex-rebelles sudistes du SPLM, parti politique laïque qui a aussi des an-tennes au Nord-Soudan, ont par ailleurs dénoncé une tentative de meurtre contre Adam Moussa Abdel Ghafar, le candidat de la formation pour le poste de gouverneur du Darfour-Nord lors des élections nationales d'avril.

"Il a été attaqué mardi vers 15H30 près du quartier général de l'armée (à El-Facher) par deux hommes qui ont cambriolé sa voiture", a souligné M. Arman.

"Il est toujours dans un état critique à l'hôpital... nous exhortons les au-torités à ouvrir sur le champ une enquête afin d'identifier les auteurs de cette tentative d'assassinat contre le docteur Adam Moussa Abdel Ghafar qui travaille depuis des années auprès des personnes déplacées par la guerre au Darfour", a ajouté le responsable politique.

M. Ghafar avait terminé en troisième position pour le poste de gouverneur du Darfour-Nord lors des élections soudanaises d'avril, loin derrière Mo-hammed Youssif Kibir, ténor du Parti du congrès national (NCP) du prési-dent Omar el-Béchir.

(©AFP / 14 juillet 2010 18h37)

http://www.romandie.com/infos/news2/100714163734.sn24c8n5.asp

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=46035

Un génocide à la légère

13/07/2010 à 00h00

Par CHRISTOPHE AYAD

L’inculpation, hier, du président soudanais Omar el-Béchir pour «géno-cide» au Darfour sert peut-être la cause de la justice internationale, mais pas celle de cette province ni la vérité historique. Certes, des atrocités y ont été commises, surtout en 2003-2004. Ces exactions ont valu à El-Béchir un premier mandat d’arrêt en 2009 pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité.

Le procureur de la Cour pénale internationale, Luis Moreno-Ocampo, s’est entêté, faisant avaliser la qualification de génocide par les juges de La Haye. Cette querelle juridico-sémantique ne change rien au sort d’El-Béchir, «bunkerisé» dans son palais des bords du Nil, mais elle aura des effets graves. D’abord, elle banalise l’usage du mot «génocide», alors que ce qui s’est passé au Darfour relève du nettoyage ethnique. Faut-il rap-peler que des centaines de milliers de Darfouris vivent à Khartoum sans être persécutés ? Cette décision va aussi renforcer le jusqu’au-boutisme des rebelles, eux aussi dans l’impasse.

http://www.liberation.fr/monde/0101646688-un-genocide-a-la-legere

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=46051

RUBRIQUE EN ANGLAIS

Americans promise new surge aid to combat PKK violenceAmid increasing terrorist attacks on Turkish targets in recent weeks, the United States, which controls Iraq’s airspace, has significantly bolstered its cooperation with the Turkish military, multiple sources from both sides said Monday. “The United States is preparing to withdraw from Iraq, and does not want

to leave behind a major conflict in the area related to Turkey’s security,” one defense analyst in Ankara told the Hürriyet Daily News & Economic Review. “As a result, the Americans are increasingly willing to increase cooperation with Turkey against the PKK,” the analyst added, referring to the outlawed Kurdistan Workers’ Party. Various measures taken in recent weeks have contributed to the effectiveness of Turkish military actions on the Iraqi side of the border, experts said. The U.S. and Turkish militaries have been sharing intelligence about the PKK since November 2007, when President George W. Bush agreed to Prime Minister Recep Tayyip Erdoðan’s request in the wake of stepped-up attacks by the outlawed group, which is listed as a terrorist organization by both countries as well as the European Union. Stronger U.S. support for Turkey’s fight against the PKK has been reflected in a number of recent developments, sources said Monday, citing increased Turkish access to Iraqi airspace, an agreement to transfer attack helicopters and the ramping up of intelligence sharing. The United States is now allowing Turkish unmanned aerial vehicles, or drones, to fly into the airspace on the Iraqi side of the border in order to gather information about PKK movement inside Iraq. The Turkish military operates at least four Heron drones obtained from Israel earlier this year and is expected to acquire four more of the vehicles, which are used for reconnaissance and target acquisition, later this summer. A U.S. Predator unmanned aerial vehicle is meanwhile conducting reconnaissance missions in the Kandil Mountains, which PKK leaders have been using as a safe haven, and conveying the electronic information it gathers to the Turkish military. Using the intelligence from the Turkish and U.S. drones, the Turkish fighter aircraft and artillery occasionally strike PKK targets on the Iraqi side of the border. New attack helicopters from US The United States has also finally agreed to Turkey’s request to add to its fleet of six AH-1W Super Cobra attack helicopters, which Turkey had formally requested in early 2009. After hesitating for nearly 18 months, the U.S. in recent weeks has agreed to transfer two choppers to the Turkish military in light of the intensifying PKK attacks. 

The first of the two helicopters is expected to be ready for Turkish military use in early 2011, with the second to follow shortly thereafter. Small units of Turkish Special Forces and intelligence officers are meanwhile operating just over the Iraqi side of the border, conducting anti-PKK missions with the consent of the United States. The PKK generally resumes its attacks in the spring as harsh winter conditions ease. The outlawed group re-launched a large-scale campaign this year, killing more than 100 Turkish military troops and civilians since the spring. More than 100 alleged PKK militants also have been killed in the renewed conflict. Tuesday, July 13, 2010ÜMÝT ENGÝNSOYANKARA - Hürriyet Daily News

Turkish racism: an unpleasant storyLast week Turkish Chief of Staff Gen. Ýlker Baþbuð said something very bizarre. It came in an interview on a popular TV show, where he was criticizing the harsh critics of his institution in the Turkish media. “I don’t believe,” the irritated general suddenly noted, “those people really have Turkish blood in their veins.” The term “Turkish blood” sounded weird to many people, including myself. For we have been told for decades by our statesmen that “being a Turk” meant nothing but “being a citizen of Turkey.” We have been reaffirmed that “Atatürk’s nationalism,” which is enshrined in our military-drafted constitution as an “un-amendable” principle, has nothing to do with ethnicity and race, which the term “blood” obviously invokes. Why, then, the top general was speaking this way? Blood and skulls Not because he is an ideological racist, I guess. Gen. Baþbuð, to his credit, has actually shown himself to be more democratically minded than many of his colleagues. If you have a chance to ask him what he meant by “Turkish blood,” I suppose he will explain that he “did not mean it in that sense.” But it still needs an explanation why such disturbing jargon just slipped out of his mouth. And the explanation is not hard to find: Racism, unfortunately, has been a nasty undercurrent of the nation-building project that the Turkish Republic initiated in the late 20’s. It especially peaked in the 30’s, when it was popular in the West, too. It, ironically, emerged as a part of Turkey’s “Westernization” effort.

 A story you might have read in this paper last Friday illustrated an interesting incident from that period. The tomb of Sinan, the most acclaimed architect of the Ottoman Empire, was opened in 1935 by a team formed by the Turkish Historical Society, which was founded by Atatürk four years earlier. Their aim was to measure Sinan’s centuries-old skull in order to prove that he was of “pure Turkish stock” — something the multi-ethnic Ottomans would never have minded. This was just one of the many mind-boggling episodes from the 30’s — that most illiberal era in modern Turkish history. The regime, which wanted to wipe out the Ottoman/Islamic heritage and give a new identity and a source of pride to the nation, had found the solution partly in racism. The First Turkish Historical Congress held in Ankara in 1932 was the first big step. In the 10-day-long official gathering, many “scientists” presented many “findings” about the origins of the Turkish people. Dr. Reþit Galip, a passionate supporter of Atatürk, defined this “superior race” as “the tall, white, thin-nosed, proper-lipped, often blue-eyed Alpin race,” known for virtues such as “civility, heroism, and artistic and social talent.” Another speaker, Dr. Þevket Aziz Kansu, presented a blue-eyed and well-built peasant couple and their “offspring” to the congress, defining them as ideal samples of Turkish stock. He was passionately applauded when he returned to Atatürk, who presided over the hall, and greeted him as the hailed leader of this “highly evolved” race. Atatürk also felt proud that year when a young Turkish lady, Keriman Halis, became Miss World. “I knew,” he said, “that the Turkish race is the most beautiful one.” Soon, he ordered his adopted daughter, Afet Ýnan, to undertake more research on this important topic. After studying history in Switzerland, the young and idealist Ýnan embarked on a mission to carry out “anthropometric studies” in Turkey. With full official support, she began a countrywide campaign of “cephalometry” (measuring the skulls of living people), “craniometry” (measuring the skulls of dead people), and “phrenology” (inferring characteristics from skull features). A staggering 64,000 people are known to have been “measured” during this campaign — and many graves were opened, including that of Sinan. Traces of an ugly past: The lunacy calmed down with Atatürk’s death in 1938. In the aftermath of World War II the project was abandoned, as Turkey silently walked away from officially sponsored racism. 

A problem remained, though. Some other countries had embraced racism in the 30’s, too, often with much more tragic results than in Turkey. But after World War II, those countries opened a new chapter in their histories, realizing their between-war madness as a terrible mistake. In Turkey, however, the between-war era — with all its racist and fascist tendencies — became not questioned, let alone rejected, but instead sanctified. That’s why over-nationalist and sometimes outright racist themes still exist in our “national” discourse. Every Turkish child still grows up memorizing Atatürk’s 1927 address to the youth, which glorifies “the noble blood in your veins.” Schools still teach a “Turkish history” that starts with the Huns of Central Asia, giving an ethnic, not civic, sense of a nation. And nationalist demagogues speak of “pure Turks” in the country, clearly excluding the Kurds and non-Muslims, and, alas, even the liberals who question national taboos. Knowingly or not, Gen. Baþbuð has just contributed to that racist mindset. An apology or at least a correction from him would be helpful. For no county can really become democratic with a blood-venerating official rhetoric. Tuesday, July 13, 2010Mustafa AKYOLHurriyet

Turks Let Kurdish Forests Burn  The Turkish General Directorate of Forestry claims to devote the bulk of its resources to combating forest fires, but it is passively observing the Turkish army ignite forested areas in the country's predominantly Kurdish southeastern region. Residents of Ikizce and Toptepe, Kurdish villages in Sirnak province not far from the Iraqi border, tell IPS that they're facing economic disaster and possibly displacement as Turkish soldiers set fire to their forests and crops.

  "The fire started when soldiers from the military base near Ikizce indiscriminately launched missiles into wooded areas in Cudi mountain," shepherd Cem Guney explains. "Soldiers helped us subdue the flames the first day, but since then they've done nothing."   "We're sinking as time goes on," Ikizce village elder Baver Senlik tells IPS. "Everyday it spreads, grows, becomes more problematic," he says. The forest fire has been burning more than a week now.  

 The Turkish army, which is armed by the U.S. and some European countries, claims that the inferno started following clashes between them and the Kurdistan Workers Party (PKK), the leftist insurgency which demands greater rights and freedoms for Kurds. Villagers dispute this, saying there's actually no fighting in the area.   Villagers add that with the exception of 2009, such fires have occurred in the same way and at roughly the same time every year for the last eight years. They suggest that the military consciously uses forest fires as a tool of policy. Such reports are frequently made of villages like Ikizce and Toptepe, which were emptied when the war was at its height in the 1990s but have been gradually repopulated in recent years.   Whatever its causes, there's no doubt that the forest fire is pushing impoverished locals into greater hardship.   Most villages in Sirnak province depend heavily on animal husbandry for income, and Ikizce and Toptepe are no different. The forest fire has scorched most of the grazing areas used by livestock breeders, causing serious problems for the local economy.   "Nothing's left -- no trees, no shrubs," Toptepe elder and shepherd Sivan Aslan says. "Everything's been burned, so we'll be forced to buy feed for our animals." He adds that the villages have also lost scores of fruit trees to the fire, which he estimates will end up costing every household in the area between 1,000 and 1,500 euros this year.   Local villagers additionally complain that the Turkish military arbitrarily blocks shepherds' access to highland pastures on security grounds, further compounding their difficulties. Ikizce residents, for example, are forced to bring their animals down from the pastures every day before evening prayers, while inhabitants of Toptepe, who use much of the same land and live only a few minutes away, are free to leave their animals out at night.   "There haven't been clashes around here for several years, but soldiers prevent us from accessing our grazing lands," Senlik says. "Fighting was most severe in the late 1980s, but even then we could graze our animals comfortably."   The punishing combination of annual fires and grazing prohibitions has brought the livestock economy in Ikizce to the point of collapse. Senlik says that his village used to have at least 15,000 heads of livestock, whereas a population of 400 people now subsists on 1,000 heads.   "We have no source of income aside from animal husbandry. When we can't rear our cattle, we remain hungry and can't send our children to school," Senlik tells IPS. "We're thinking of leaving the village because we

can't get by like this. When you add everything up, it seems like they're trying to displace us."   On Jul. 3, one day after the forest fire began, Sirnak municipality sent a delegation of elected officials to inspect and try to subdue the fire. Soldiers reportedly launched missiles at an area 200 metres away from the delegation, causing the fire to spread to areas it had not previously reached.   "When there's a fire in western Turkey, the government suppresses it with all available means, including helicopters," Sirnak mayor Ramazan Uysal, who participated in the excursion and is a member of the leftist and pro-Kurdish Peace and Democracy Party (BDP), tells IPS. "When we try to suppress fires here, they launch artillery at us."   Leaders from Ikizce and Toptepe have explained their grievances to many public authorities, including the military, provincial governorship, agricultural and forestry ministries. Despite this, the government has done nothing to subdue the fire, and the inferno has become too large to be tamed without the aid of helicopters, village chiefs say.   "The directorate of forestry affairs sent a few people, who came here, looked around, and did nothing," Guney explains. "Why doesn't anyone help us? This inaction shows that (Kurds) are not counted as equal citizens in this country."   One Friday evening two weeks before the current fire in Cudi mountain began, Taybet Inan went to water her wheat field near Sirnak town. "Shortly thereafter, a helicopter lowered over my head and launched two incendiary projectiles into my field," she tells IPS. "My relatives and I put out the flames quickly, but the losses amounted to about 250 euros." That is a significant amount of money in a region where half the population lives beneath the poverty line.   "There are no clashes around there. I don't know why they did it. Maybe for fun," she says.   Similar incidents occur in other parts of Kurdish southeastern Turkey. An investigation conducted by local human rights groups into forest fires that occurred in three villages near Hasankeyf, a town which may be left underwater if construction plans for a nearby dam are implemented, concluded that the fires began in areas close to military bases, were not caused by clashes, resulted in the destruction of thousands of fruit trees, and that soldiers took no initiative to suppress them. (END/2010) Jake Hess SIRNAK, Turkey, Jul 13

IPS

Turkish PM accuses MHP of using terror as 'tool'It would be wrong to meet with parties that use terrorism as a political tool, Turkey’s prime minister said Tuesday in criticizing Parliament’s nationalist and pro-Kurdish parties, who have refused to meet Recep Tayyip Erdoðan to discuss the country’s terror problem. "We’ve suggested cooperation to stop the bloodshed, but have seen informal and unserious responses from [the opposition Nationalist Movement Party, or MHP]," said Erdoðan. Speaking at the Justice and Development Party, or AKP’s, parliamentary group meeting, Erdoðan said using terror for domestic politics supported the terrorist organization and accused the MHP of not being cooperative on the terror issue. The prime minister also accused the Peace and Democracy Party, or BDP, of following the same political path as MHP. The MHP had previously announced that they would cooperate with the AKP on the execution of Abdullah Öcalan, the imprisoned leader of the outlawed Kurdistan Workers’ Party, or PKK.   Erdoðan, however, said the MHP was "not present in the fight against terror but lent its support when comes to the execution of somebody.”  The AKP leader also said he believed the MHP’s grassroots would act differently from than the party’s senior members and vote in favor of the reform package in referendum. Criticizing the BDP for following a similar political path as the MHP in using terror as a political tool, Erdoðan said they saw meeting them as tantamount to supporting terror, implying that BDP had assumed the role of representing the PKK in Parliament.   The PKK is recognized as a terrorist organization by Turkey, the European Union and the United States. Erdoðan also said that even if the public voted “no” on the referendum, there still would be no early elections.   The AKP, meanwhile, plans to keep Parliament open until the end of July to finalize various bills, including one on "stone-throwing children." Such remarks drew reaction from the CHP’s Kemal Anadol, who said only

bars and night clubs stay open all night. Kýlýçdaroðlu criticizes AKP Meanwhile, just days before meeting with Erdoðan, main opposition party leader Kemal Kýlýçdaroðlu, accused the ruling Justice and Development Party, or AKP, of being hypocritical regarding the constitutional amendments. The CHP leader said Erdoðan had promised to remove deputies’ parliamentary immunity prior to the 2002 elections, but had not yet done so. The immunity issue should also be taken to referendum, said Kýlýçdaroðlu, adding that the AKP was not "aiming for rights, freedom and democracy with the reform package." "You didn’t remove immunity even though you promised. You are making special regulations [reform package] to take over justice. Our citizens will not swallow this pill," said Kýlýçdaroðlu, who added that the issue would be solved at the ballot box because the "AKP’s hypocritical politics were clear." Kýlýçdaroðlu also criticized Foreign Minister Ahmet Davutoðlu for not revealing the truth regarding those killed during Israel’s Gaza flotilla raid at the end of May. "He stands in front of 550 deputies, looks them in the eye, and does not say the truth." "He said the EU Security Council had taken a ‘decision to reprimand’ regarding the Gaza incident. Why can’t we find this on the EU website? How can we trust a foreign minister who doesn’t speak the truth?" asked Kýlýçdaroðlu. In response to Erdoðan’s criticism that the BDP used terror, party leader Selehattin Demirtaþ said the party benefited from nothing but was instead paying a heavy price in terms of democracy and freedom. Reiterated his party’s claims that the corpses of outlawed Kurdistan Workers’ Party, or PKK, members had been exposed to torture, Demirtaþ said the party had yet to receive any comment on the allegations from either the General Staff or Erdoðan despite sending photos of the alleged crime a week ago. Demirtaþ also said that because their suggestions were ignored during the preparation of the reform package, they would boycott the referendum by abstaining from voting. 

Erdoðan visits other party leaders Meanwhile, Turkish Prime Minister Recep Tayyip Erdoðan visited Masum Türker, leader of the Democratic Left Party, or DSP, on Tuesday to discuss measures against terrorism. Speaking after the meeting, Türker said they presented his party’s short-term, mid-term and long-term measures, which include cultural and economic freedoms and changes in the election threshold, to the country’s leader. “We also suggested that the prime minister meet with [Nationalist Movement Party] MHP and the [Peace and Democracy Party] BDP,” said Türker.  Erdoðan also thanked the other parties who agreed to meet the AKP to discuss the measures against terror, including the Republican People’s Party, or CHP, the Saadet (Felicity) Party and the Great Union Party, or BBP. Tuesday, July 13, 2010ANKARA - Daily News Parliament Bureau

EU foreign policy chief holds talks in Turkey The EU's foreign affairs chief holds talks in Istanbul on Turkey's bid to join the bloc and cooperation on terror. ‘The main objective of the meeting is to reaffirm the EU's commitment to Turkey and explore ways for the EU and Turkey to enhance cooperation in the region,’ the EU statement says

The European Union is committed to Turkey’s full membership in the bloc and supports the ongoing reforms, according to the EU’s commissioner for enlargement. Speaking at a press conference as part of the Turkey-EU political meeting in Istanbul on Tuesday, the first such meeting at a ministerial level since the enactment of the Lisbon Treaty in December 2009, Commissioner Stephan Fule said the meeting was about the synergy between Turkey and the EU regarding the country’s accession process. It was also a chance to discuss foreign policy matters on both regional and global levels, he said. “Today’s issue is not about how to follow but how to lead,” Fule said, adding that there were two important messages the EU wants to give to Turkey. First, he said, was that the union was determined in its commitment to Turkey’s full membership. “There should be a zero-doubt policy in this respect.” He said the second important message was that the EU once more

confirmed that Turkey’s political reforms, and especially the constitutional reform package that will be subject to a referendum Sept. 12, have met European standards and that they had to continue progressing further. Turkish Foreign Minister Ahmet Davutoðlu, also in attendance, said there were three main topics of discussion: strengthening Turkey-EU political dialogue; harmonizing foreign policy in both regional and global issues; and, most importantly, increasing common efforts to speed up Turkey’s accession process. “The constitutional reform is welcomed by our EU counterparts,” said Davutoðlu, adding that during the meeting the high-level EU representatives encouraged Turkey’s ongoing political reforms as well as the democratization process that the country has been going through. He also said Turkey and the EU share a common vision on both regional and global developments. Turkey’s chief negotiator for EU talks, Egemen Baðýþ, and the EU high representative for foreign affairs, Catherine Ashton, also participated in the meeting. Political meetings at all levels were initiated after the Lisbon Treaty came into force and the Turkey-EU Commission “Troika” meetings were replaced with negotiations for Turkey’s potential EU candidacy. Another important issue on the agenda of Tuesday’s EU-Turkey ministerial meeting was the fight against terrorism. “We have to strengthen cooperation and improve coordination of our efforts,” Ashton said, expressing strong condemnation on behalf of the EU for recent attacks that have taken many lives among the military and civilians. “There is no justification of such acts,” she said, adding that the EU lends all its sympathy and solidarity to families who have lost loved ones, to the Turkish government and all the Turkish people. Ashton also said the PKK was a terrorist group that used the EU as a base for its actions as well, and that cooperation between Turkey and EU would be further extended and institutionalized very soon. “The EU counterterror representative visited Ankara to find practical ways in which we can collaborate,” she said, adding that the meeting had been very fruitful and that it would be followed with real action. Tuesday, July 13, 2010ISTANBUL – Hürriyet Daily News

Journalist Çandar Sued for Criticizing Handling of Dink Murder Case 

Referans newspaper writer Çandar is facing imprisonment for his article about the handling of the Hrant Dink murder case. He criticized that the secret witness had not appeared at court. He had also called the judge being too free-and-easy. His trial was postponed to 13 December.

Referans newspaper writer Cengiz Çandar is facing a prison sentence of between one and three years under allegations of "insulting a public servant because of his duty". The charges are based on Çandar's criticism of the fact that the secret witness of the Hrant Dink murder case was not taken to court in the hearing on 8 February.The trial is concerned with the assassination of Turkish-Armenian journalist Hrant Dink. The founder of the Armenian Agos newspaper was shot in front of his office in Istanbul on 19 January 2007. The latest hearing of the case was held on Monday this week (12 July).In the 12th hearing of the case in February, certain information about the "secret witness" had been exhibited in the minutes of the hearing. Furthermore, the President Judge of the Istanbul 14th High Criminal Court, Erkan Çandar, had said that "the secret witness does not know Turkish very well". Thus, the safety of the witness's life was being discussed.In an article entitled "Mocking Hrant and the justice" published on 9 February 2010, Çandar wrote, "Well, no justice is going to happen in that court room, it just cannot happen. The Hrant Dink murder case is being tried in such an informal manner, justice will not happen from being to free-and-easy, it cannot happen".After it had become clear that the secret witness had not been summoned to court, the President Judge said, "I received a note saying that 'the secret witness arrived' but s/he did not come. The secret witness is waiting for the police at home. The police is waiting here for the secret witness. What shall I do?" Çandar criticed:"Is a Court President who announces his own helplessness by saying "What shall I do" in any situation going to give a just verdict?""The same Court President continuously polemicizes the involved lawyers, turns ato them with a sarcastic smile and opens his hands to both sides as if he was complaining about the situation. Instead of being a neutral judge who does his best for the faith of justice, he gives the impression of a hidden closeness with the defence lawyers. [...]"Çandar's trial at the Bakýrköy (Istanbul) Criminal Court of First Instance will be continued on 13 December. The case was postponed for five months because Judge Vasfi Uðurer, who presided over the case in the first hearing, took his annual leave. (EÖ/VK) Erol ÖNDEROÐLU <http://bianet.org/yazar/erol-onderoglu> [email protected] <mailto:[email protected]> Istanbul - BÝA News Center14 July 2010, Wednesday

BDP claims special teams defiled militants’ corpses

In the wake of recent reports from the overwhelmingly Kurdish Southeast that have found that people in the region believe the bodies of Kurdistan Workers’ Party (PKK) terrorists killed in clashes with security forces that are kept in hospital morgues instead of being returned to their families are being defiled, the Peace and Democracy Party (BDP) has announced that this is not an urban legend and in fact is the truth.  BDP leader Nurettin Demirtaþ earlier this week sent a CD to Prime Minister Recep Tayyip Erdoðan filled with images of Özgür Daðhan, who was recently killed in Gümüþhane, and Abbas Emani, an Iranian militant who was allegedly killed when he was captured in Batman five years ago. According to the BDP’s claims, PKK member Emani was captured by the Special Forces. He was interrogated and then executed near a vehicle parked in front of a gendarmerie post. Later, his body was dragged to the site of a clash between the military and PKK terrorists, where it was mutilated by Turkish soldiers. Demirtaþ also enclosed a note to the prime minister that said: “These incidents [corpse defilement] are common, to our knowledge. Are you thinking of apologizing to the people and the families and punishing those responsible?” He said many witnesses in the area had confirmed the truth of these acts of disrespect for the dead. Demirtaþ also sent a copy of the CD with images to Chief of General Staff Gen. Ýlker Baþbuð. The Taraf daily spoke to Mehmet Daðhan, father of Özgür Daðhan, who said: “When my son was killed I went to Trabzon to identify him. They showed me about 10 pictures. There was blood on his face in the picture, his hair had been neatly combed and he was vaguely smiling. I said it was my son. Then I went to the Council of Forensic Medicine’s (ATK) morgue to identify the corpse. They brought my son’s body. His skull had been smashed and burnt. His body was completely black. I said I was not able to identify him. I talked to the prosecutor who was following up on the autopsy. He was about the same age as my son, and he was very nice to me. He was very respectful. He showed me pictures. There was not a blemish on his body in those pictures. He was dead, but his body was intact. It is natural for him to die in a clash. But later, I don’t know! if they charred his body with gasoline, chemicals or some kind of acid. You wouldn’t even do this to an animal.” He said that the authorities had denied him copies of the autopsy report and the pictures he had been shown despite countless requests for their return. Daðhan told Taraf that he was planning to take the case to the European Court of Human Rights (ECtHR) if necessary. 

Allegations that Emani was executed after being captured had been published in the pro-Kurdish Gündem daily four years ago. The newspaper published pictures sent by an anonymous higher-ranking military officer. Some of these pictures feature his capture, showing him alive, while later pictures show his dead and burned body. 14 July 2010, WednesdayTODAY'S ZAMAN WITH WIRES   ÝSTANBUL

Erdoðan holds first meeting on terror with DSP leader Prime Minister Recep Tayyip Erdoðan yesterday met with Democratic Left Party (DSP) leader Masum Türker, the first political party leader Erdoðan has met with to discuss the recent escalation of terrorist violence in the country.  The meeting was held at the DSP headquarters in Ankara. Türker welcomed Erdoðan at the door of the building. Deputy Prime Minister Cemil Çiçek, Interior Minister Beþir Atalay and Public Order and Safety Undersecretary Muammer Güler accompanied the prime minister. The meeting lasted one-and-a-half hours. Erdoðan sent letters to leaders of political parties requesting a meeting to discuss the rising tide of terrorism in the country over the weekend. He sent letters to main opposition Republican People’s Party (CHP) Chairman Kemal Kýlýçdaroðlu, DSP head Türker, Grand Unity Party (BBP) leader Yalçýn Topçu and Felicity Party (SP) head Numan Kurtulmuþ. The prime minister did not, however, send out letters to Nationalist Movement Party (MHP) leader Devlet Bahçeli or pro-Kurdish Peace and Democracy Party (BDP) Chairman Selahattin Demirtaþ because, according to the AK Party, they “benefit from terrorism.” Speaking to reporters after the meeting, Türker said he believes that the prime minister should meet with the MHP and the BDP since terrorism is not an issue that can be solved by a single party. Türker added that he had previously announced that his party will vote against the constitutional changes which are set to be voted on Sept. 12. A meeting between Erdoðan and CHP leader Kýlýçdaroðlu has been scheduled for 11 a.m. on Thursday at Kýlýçdaroðlu’s chambers in the Parliament building.

14 July 2010, WednesdayTODAY’S ZAMAN  ANKARA

Topçu: Turkey should suspend EU process to stop PKK terror

The Grand Unity Party (BBP) will propose that Turkey suspends its membership negotiations with the EU if the bloc refuses to stop harboring Kurdistan Workers’ Party (PKK) leaders and members inside its borders, BBP leader Yalçin Topçu said. Speaking to Today’s Zaman over brunch on Monday, Topçu, whose party is part of the group that Prime Minister Recep Tayyip Erdoðan will talk with about possible measures to take in light of the recent escalation in terrorist attacks by the PKK, said Turkey should freeze the process if EU countries do not work proactively to end the PKK’s presence in EU nations. The BBP will present an eight-page recommendations report to the prime minister during the meeting. Topçu said they value Erdoðan’s meeting with other political parties as part of the government’s efforts to fight terrorism. He said: “We will make concrete recommendations in the meeting. We will present a clear and organized report. We are suggesting pushing our defense line towards the south of the Gabar Mountain [in northern Iraq]. We will also suggest setting up mobile military units to fight terrorism. We also have suggestions for eliminating the PKK’s presence in Europe. A sound legal fight should be fought for the extradition of the terrorists from Europe. We will say that if this doesn’t happen, Turkey should suspend the EU process. We are a party that believes that the death penalty is necessary.” Topçu also shared his views on the constitutional reform package, saying that the BBP did not see the matter as an issue that only concerns the Justice and Development Party (AK Party). Stating that the issue is a one of concern for the whole nation, Topçu affirmed that his party will be campaigning for “yes” votes. BBP members will start touring Anatolia following a meeting between Erdoðan and Topçu scheduled for today, July 14. He said his party was supporting the package because of its experience with undemocratic regimes. The current Constitution, adopted in 1982, was drafted by the junta government that staged the 1980 coup. “We do not want a structure like the Supreme Board of Judges and Prosecutors [HSYK]. This is not about a political party or a certain segment, but about the entire country. It is a fight for rights and the law,” he added. Topçu said the BBP also believed that democratic rights should be extended to Kurds while the military’s struggle against terrorism continues. Topçu expressed his opinion that speaking in one’s native language is an inalienable right, saying, “If someone wants to name their child Rose, what is the difference does it make if you call her Gül or Roj,” he said, using the Turkish and Kurdish words for rose. 

The BBP will also include its views on economic and social investment in the East and the Southeast in its report to the prime minister. One such project the BBP will propose is for each province in the region to focus on one sector based on each particular province’s infrastructure, and thereby creating cities that focus on, for example, health, education, industry or agriculture. Topçu said the BBP has not yet spoken about a possible alliance with any particular party for the elections, but he said they would do what is necessary if their party’s executive decides to form a partnership with another party. Topçu also stated that the BBP will ask the public to support the government’s constitutional reform package by reminding them of the torture the BBP’s former leader, Muhsin Yazýcýoðlu, was subjected to during the Sept. 12 military coup. “We will use the photo of Yazýcoðlu being tried in military court. So, we will remind the public of the torture used, particularly against nationalists, in Mamak Prison,” he said, adding that banners that emphasize the value of democracy and human rights will also be used in the party’s campaign for the referendum. 14 July 2010, WednesdayALI ASLAN KILIÇ   ANKARAZaman

Kurdish issue: Turkey is determined With public discussion of the Kurdish issue significantly more common in Turkey as a result of the democratic initiative, many Turks’ fear of a Kurdish state being carved out has diminished. After the collapse of the Ottoman Empire, no part of the “sick man” suffered a more traumatic atmosphere within the virtual boundaries of the empire than the Kurdish people. Losing the Mosul vilayet (northern Iraq), where much of the Kurdish population lived, children (Kurdish) could not even find time to cry.  If we content ourselves with more recent history, are there still not open wounds from the break-up of the empire? They have only been plastered over but never given a chance to heal. Maybe that is because our decision makers who hold executive power never found an opportunity to properly address the regional, natural and historical problems on a long-term and factual basis, with proper considerations. After the empire, serious Kurdish revolts occurred in the 1920s and ‘30s, and Mustafa Kemal Atatürk eliminated them. Indeed, modern Turkey never accepted the Kurdish

ethnic minority as a notion within minority rights. In 1921, modern Turkey’s first constitution included Kurds just like all others within the country. As the years went by and modern Turkey grew up, the issue was transformed by a variety of factors: political, demographic, economic, identity-related and geopolitical. But people’s background, cultural identity, fundamental needs and legitimate aspirations have not been determined or even looked at. Large numbers of Kurds have emigrated to elsewhere in the world and others stayed. The émigré Kurds formed a diaspora. Those who stayed behind sought their rights and freedoms, but their activities led to the insurgency that is the Kurdistan Workers’ Party (PKK). After the profound trauma of detachment, Kurds seeking their rights and freedoms has led to the accumulation of profound problems throughout the years of modern Turkey. This matter evolved and formed Turkey’s Kurdish issue. While the diaspora has supported and financed Kurdish nationalist ! activity, which promotes the Kurdish issue, the insurgency within the boundaries of Turkey has become Turkey’s weakest point. Day by day, the “Kurdish issue” evolved into Turkey’s most complicated and painful question, one that has to be handled within Turkey’s political, economic, sociological, security and even psychological limits. Since the 1980s, the most pronounced statement, “the war in the Southeast” against the PKK, has left more than 35,000 dead and affected many hundreds of thousands, even with the large-scale Turkish military fight against the PKK. In the 1980s, the Turkish state conducted policies which led to the perception that the Kurdish issue is the PKK insurrection. And the people holding executive powers thought that if the PKK is eliminated, the question will no longer be. This approach made the question much more confusing and even more difficult because those suffering as a result of the issue cannot explain themselves properly.

A notable transformation in 1980 However, the issue transformed as Turkey transformed. In the 1980s, during the era of the eighth president of Turkey, Turgut Özal, there was a notable transformation with respect to years before Özal. He differed from others and was of the view that economic development would ultimately resolve the question. Neither before him nor after was any Turkish government likely to take on Özal’s approach publicly, except for the Justice and Development Party (AK Party). Following Özal, the AK Party re-explored a fundamental requirement: greater democracy and openness in Turkey, a direction that in any case would serve Turkey’s ultimate interests and world vision via the ruling party’s democratic initiative. Many of the ideas had been voiced before, but only now have they been put together in the form of a solution

package. After the initiative was announced, all agreed that “the issue” requires an atmosphere of calm among and between Turks and Kurds. With public discussion of the Kurdish issue significantly more common in Turkey as a result of the initiative, many Turks’ fear of a Kurdish state being carved out has diminished. The initiative also preserved the Kurds’ honor. That is to say, before the initiative was announced, the fear of a Kurdish state being established was one of the top fears harbored by Turks, while the Kurds felt their honor threatened. When the government’s democratic opening got started, Turkey’s foreign policymakers remembered that Turkey has great potential in its region and great leverage in the world. They saw the Kurdish issue as an obstacle to Turkey’s aspirations. They believed the issue feeds Turkey’s turbulence like a thunderstorm when Turkey’s international relations are at a historic crossroads. Furthermore, the issue and Turkey’s regional aspirations are interrelated with one another. The convulsive movements of the PKK will encumber this transformation. But as Victor Hugo put it, “No one can resist an idea whose time has come.” After the democratic initiative, Turkey showed its strong determination to overcome the obstacles in the way of solving regional and internal problems. Prime Minister Recep Tayyip Erdoðan and Chief of General Staff Gen. Ýlker Baþbuð conducted a land inspection of the latest PKK attacks on an army border unit in Gediktepe, Hakkari province, last month. That was unique and sent a strong message that Turkey is determined to do what it must with regard to regional and domestic security. *Yusuf Ergen is a political analyst based in Ankara. 14 July 2010, WednesdayYUSUF ERGEN *Zaman

‘Ocalan’s offers would silence the guns’One of Turkey’s well known ideologues of the leftist Ertugrul Kurkcu said that the offers proposed by Abdullah Ocalan, leader of the Kurdish Workers’ Party (PKK), would stop the violence effectively. Kurkcu evaluated the current situation on the Kurdish question: “I have a high opinion of what Ocalan says for the solution. He is a hard-worker for peace. But I do not believe that the PKK will announce the cease fire since the government will not respond. Now the PKK and Ocalan wait for see the response of the government. Other than that, Ocalan’s offers have a capability to solve the problem instead of turning to the use of violence. In

addition, Kurdish and Turkish people and all workers must support peace as well as intellectuals.”  Referring to constitutional change, Kurkçu emphasized the limited freedom contained in the constitutional amendments package which will be considered through a referendum: “All different groups must be treated equally. Freedom must be the most important issue in the amendments. Our priority, for everyone’s benefit in Turkey, must be freedom which needs to be constitutionally guaranteed. Furthermore, societies, cultures and languages other than Turkish must be supported by the State, financially and morally.” 13.07.2010HATAY (DIHA)

New places in Southeastern Turkey declared as ‘Security Zone’

Turkish General Staff declared some regions in Siirt, Hakkari and Sirnak as ‘Military Security Zones’ while increasing the military operation in Southeastern Turkey. According to the website of the Turkish General Staff Kupeli Mountain, Cudi Mountain, Yazlýca Mountain and its south, Mehmet Yusuf and Meydan Mountains, Caglayan-Pirincceken and Balkaya Mountains have been declared as temporary security zones for the period of 16 July and 16 September 2010. During this period the said areas will be closed to any civilian entrance including journalists.Aforesaid places had been declared as security zones for the period of 15 May and 15 July as well as Incebel Mountains and its north, Hakkâri-Cukurca, Caglayan and Pirincceken for the period of 24 April and 14 May. 14.07.2010DIYARBAKIR (DIHA)

More arrests of BDP members

Mehmet Kaya and Mehmet Nur Pala, Executives of Peace and Democracy Party (BDP), were taken into custody in Ergani, district of Diyarbakir where a mass march was planned for today.  Garip Elçiçek and Abdul Baki Yorgun were also arrested in Mersin following the protest against security forces who are accused of abusing the dead bodies of People’s Defense Forces (HPG).

  According to local reports, detainees await interrogation in the police stations of their towns. 13.07.2010NEWSCENTRE (DIHA)

Thousands protest against abuse of HPG corpses

Protests against the abuse of dead bodies of HPG members are expanding at cyclonic speeds as thousands gather in solidarity. The Peace Mothers held a 24-hour hunger strike in Van and organized a press conference in Diyarbakir while thousands of people marched in Toroslar district of Mersin.

 Kurdish resentment is now relentless. Not only press conferences and marches, but demonstrations and hunger strikes have continued since the news was first revealed.  One of the Peace Mothers lost her son to the savagery of the Turkish military. He was an HPG member and his corpse was violated. Another Peace Mother, Münifer Kacak, begged the government to respect the dead.

 Yet another Peace Mother, Emine Deniz, cried out: “The world press is pretending to be deaf and dumb. Is it possible to know nothing about what is happening in Turkey? This code of silence needs to be broken not only for us but for the rest of the world. The Turkish government cannot even respect our dead bodies. Our peace calls are not answered by authorities. We are in great pain and at the end of our rope.” Thousands of people in Toroslar district of Mersin demonstrated their anger, as well. They marched in town and chanted slogans against the latest tragedies. Peace and Democracy Party (BDP) executives, mayors and senior members supported the march as well as some representatives of NGOs.  13.07.2010NEWSCENTRE (DIHA)

Mentally handicapped youth arrestedEighteen-year-old, mentally handicapped Hasan Aslan was arrested and sent to Mersin E Type Prison for throwing stones at police. He was taken into custody on Sunday when he was leaving his home.  

His brother, Mehmet Aslan, said that his brother Hasan is mentally handicapped and also physically sick: “There is a psychiatric report that shows that he is 80 percent retarded and needs to take pills. The police and prosecutor saw the reports but still they sent my brother to prison. 13.07.2010MERSIN (DIHA)

Fifteen-year-old girl goes through a trauma in prison

Fifteen-year-old girl goes through a trauma in prison since she has been held alone in a barrack for nine months. She has hurt herself sometimes, said by her families.  Young Berivan Sayaca had been sentenced to seven years and nine months in prison for simply throwing stones at police during a meeting organized by Peace and Democracy Part (BDP) in Batman. Berivan began to be known by public following her letter to the Human Rights Association Elazig Branch. She said in her letter that “I’m drowning and imprisoned though I have committed no great crime. It is more than I can stand. I feel so much pain. I do not deserve to be here.” Her scream was not heard by authorities who treated her total opposite way. Diyarbakir E Type Prison administration kept on the traumatic implementations about her. She has been forced to stay alone in a barrack for nine months despite her lawyers’ application to change her room. And now she goes through a trauma because of isolation that is very scary on her age.  Now, her family and human and children rights activists wait for interfering of the Government’ on the case, before she loses mental health completely. The teenager girl’s family had been honored recently by the Swedish Committee of Human Rights Association of Europe as a symbol of support for all imprisoned children and their families after her letter had caused uproar in the community.  According to the conviction, she won’t be freed until she is 23 years old. 14.07.2010DIYARBAKIR (DIHA)

PKK Intensifies Violence to Bring Turkey into

Confrontation with the European UnionSince the Turkish Justice and Development Party (Adalet ve Kalkinma Partisi - AKP) determined to address the Kurdish question through what is called the “democratic initiative,” there has been hope that political violence would finally come to an end after 25 years. Despite its shortcomings, the democratic initiative created a positive environment and many Kurdish intellectuals openly supported the process. Prime Minister Recep Tayyip Erdogan and Minister of the Interior Besir Atalay have held many meetings with intellectuals, opinion leaders, and leaders of non-governmental organizations. Pro-Kurdish non-governmental organizations have also held conferences to discuss possible ways to end the violence (http://www.demokratikacilimayurttaskatkisi.org, May 10).  Yet the outlawed Kurdistan Workers Party (Partiya Karkeren Kurdistan - PKK) has recently stepped up its attacks once again. The intensified PKK violence prompted the army to carry out at least two air raids and a small-scale ground incursion on rebel bases in northern Iraq. In the last two months the PKK has killed more than 60 soldiers. According to the Turkish military, 130 PKK militants lost their lives in that same time period (Anadolu Ajansi, June 18, 2010).  The call to intensify the war this summer was given back in January. Cemil Bayik, deputy head of the PKK and deputy chairman of the Kurdistan Democratic Confederation (Koma Civaken Kurdistan – KCK, a Kurdish militant umbrella organization), laid out the PKK’s strategy as following: “There is no reason to maintain the ceasefire [declared in March 2009]. The Justice and Development Party government is the last resort in the hand of the Turkish state. If we remove the AKP from power the state has to sit down with the PKK and negotiate with the PKK” (gundem-online.net, January 6). The PKK’s imprisoned leader, Abdullah Ocalan, also thinks that the AKP’s Kurdish initiative aims to eliminate the PKK and its affiliates (gundem-online.net, May 28). In one of his weekly meetings with his lawyers, Ocalan stated that he would withd! raw from being a peacemaker between the Kurds and Turkish state on May 31. From that time on it has been up to the PKK leaders in the field to decide whether or not to intensify the war (Firat News Agency, May 27). The real reason behind the PKK’s recent attacks is related to the police crackdown on the PKK’s support bases in the city centers. Since April 2009, police have regularly launched operations against the KCK network. In those operations, hundreds of alleged PKK supporters were arrested, including elected mayors and heads of the local chapters of the pro-PKK Peace and Democratic Party (Baris ve Demokrasi Partisi - BDP). The arrests were not welcomed by the local people. KCK operations temporarily limited the PKK’s activities in the city centers until a new KCK appointee could take over. The PKK’s self-perceived role as the guardian of Kurdish political

institutions and municipalities against the operations of Turkish security forces created pressure on the group to take revenge. According to Cemil Bayik, the AKP-ordered operations closed all doors and removed all opportunities for Kurdish political participation (rojaciwan.com, June 24). In a written statement, the KCK claims “Our leader, Abdullah Ocalan, is not responsible for the removal of the unilateral ceasefire. The AKP government, which is responsible for the intensification of war and loss of lives, is obscuring the reality through demagogy… Holding our leader responsible for this process is a conscious distortion. This attempt is the indication of a new process of oppression and pressure on Ocalan” (Firat News Agency, June 25).  The PKK hopes to introduce a new political model in the Kurdish region, described as “democratic autonomy.” Abdullah Ocalan created the model based on the example of Northern Cyprus, where Turkic Cypriots have their own government, parliament, president, and other institutions (gundem-online.net, May 24). Cemil Bayik described it as “a model that aims to mobilize the Kurdish people to make their own decisions and have their own governing institutions. It is a model that aims to organize Kurdish people in the political, social, cultural, economic, and security areas and solve their own problems through their free will.” Bayik thinks that this model will lessen the influence of the Turkish state on the Kurds (ANF News Agency, January 24).  At the same time as Bayik’s endorsement of “democratic autonomy,” BDP mayors organized a meeting in Diyarbakir to declare that they will launch a political campaign in support of democratic autonomy.  According to the statement, the mayors referred to the European Charter Of Local Self-Government (ECLSG), which Turkey signed in 1988 and with certain conditions adopted in its law in 1991 (Taraf, June 24). Indeed, the protocol allows local municipalities to function as semiautonomous governments, but because of the conditions placed on it by the Turkish government they are not able to exercise as much freedom as they wish. [1] Bayik claims that the PKK is fighting this time to protect “democratic autonomy” from Turkish state suppression (gundem-online.net, January 24).  It seems that the PKK is developing a strategy to bring Turkey into confrontation with the EU. Pro-PKK institutions and politicians hope that the ECLSG protocol provides them enough room to establish some level of autonomy in which they can escape from the central government’s Turkish nationalist policies. Yet, they first need to highlight the conditions that Ankara put in place when it adapted the agreement for its domestic law and bring Turkey into confrontation with the EU to seek removal of these conditions.  The PKK calculates that Turkey will not want to remove the conditions. Therefore, it justifies its violence and presents Turkey as a violator of international agreements.

 Despite the PKK’s new strategy, the leaders of Turkey imply that intensified PKK attacks are somehow related to Israel. Prime Minister Erdogan, for instance, sparked domestic controversy when he argued that the PKK is a “subcontractor” of foreign powers. In response, the opposition Republican Peoples Party (Cumhuriyet Halk Partisi – CHP) asked Erdogan to reveal the power behind the PKK (Dogan Haber Ajansi, June 21). What is interesting about the theory of Israeli involvement in the PKK’s recent attacks is that even military generals believe that Israel is supporting the PKK. Three renowned journalists in Ankara confirmed that Deputy Chief of the General Staff General Aslan Guner, an Ankara veteran known for his expertise in the intelligence world, had invited journalists to his office directly following a December 2009 PKK attack in Resadiye (Tokat province) to inform them of a link between Israel and the attacks (Today’s Zaman, ! June 8). A TSK spokesman later denied the journalists’ claims (Today’s Zaman, June 21).  Given the fact that conspiracy theories somtimes run rampant in Ankara, it is likely that even high ranking generals may buy into the conspiracy theories. However, a journalist revealed (under the condition of anonymity) that when he visited Minister of Interior Besir Atalay, the minister informed him that Chief of the General Staff Ilker Basbug also thinks that Israel was behind the PKK’s attack on Resadiye that killed seven soldiers. [2] There are similar concerns in Turkey over possible Israeli involvement in the May 31 PKK attack on Iskenderun Naval Base that killed seven servicemen (see Terrorism Monitor, June 12).  In response to allegations concerning PKK-Israeli ties, the KCK issued a statement citing Ankara’s purchase of Heron unmanned aerial vehicles (UAVs) from Israel, which went unaffected by the recent flotilla incident. The KCK says the UAVs will be used against them and that Erdogan and Turkish president Abdullah Gul “have openly made an agreement with Israel in order to annihilate our movement, which totally exposes the insincerity and hypocrisy in the face of our peoples and the whole Islamic world” (Firat News Agency, January 24). It seems that in the last 25 years nothing has changed in Ankara. Instead of examining the causes of the problem and trying to understand what motivates the PKK to increase its use of violence, leaders in Ankara develop conspiracy theories and blame foreign states.  In the 1990s it was Syria, European countries, Russia and even the United States who were to blame, but now, soured Turkish-Israeli relations provide a perfect reason to point the finger at Israel. The blame-games of Turkish leaders, civilian and military alike, are usually related to domestic politics and are used to find an easy escape from responsibilities. This time, however, the Turkish public is asking its leaders to do something to end the violence, which leaves the Erdogan government on shaky ground.

Nalbandian Says Karabakh Plan is ModifiedPosted: Wed, 14 Jul 2010 19:28:02 +0000

YEREVAN (RFE/RL)—Armenia’s Foreign Minister Edward Nalbandian in-sisted on Wednesday that the Armenian and Azerbaijani presidents did re-ceive a freshly amended international plan to resolve the Nagorno-Karabakh conflict at their most recent meeting in Russia last month.

Official Yerevan has described it as a “new version” of the basic principles of a Karabakh settlement which were first formally put forward by the U.S., Russian and French mediators in Madrid in 2007.

According to Armenian officials, Russian President Dmitry Medvedev pre-sented the document to his Armenian and Azerbaijani counterparts during their June 17 talks in Saint Petersburg. The Azerbaijani side has denied this.

“During the meeting on June 17 in Saint Petersburg, a new version of the Madrid document was presented,” said Nalbandian. “So during the upcom-ing meeting in Almaty [of the Armenian and Azerbaijani foreign ministers,] the big question will be whether Azerbaijan will continue negotiations on the basis of the new version of the Madrid document, as it was agreed at the June 17 meeting.”

Azerbaijani officials say the ongoing peace talks continue to center on an-other version of the Madrid principles that was submitted to the conflicting parties in December and January. They say Baku has accepted it with a number of “exceptions” and is still awaiting Yerevan’s positive response.

Nalbandian again dismissed these claims, saying that those exceptions outweigh provisions acceptable to Baku. “In effect, that means not accept-ing [the peace plan,]” he told a joint news conference with Poland’s visit-ing Foreign Minister Radoslaw Sikorski Nalbandian and his Azerbaijani counterpart, Elmar Mammadyarov, are ex-pected to meet on the sidelines of an OSCE ministerial conference in Al-maty, Kazakhstan’s largest city, which begins its work on Friday. The American, Russian and French co-chairs of the OSCE Minsk Group hope that the talks will enable the parties to move further forward in their pro-tracted search for peace.

Mammadyarov stated late last week that the Almaty meeting will focus on time frames for Armenian withdrawal from the Azerbaijani districts sur-rounding Karabakh. Yerevan swiftly denied that. Deputy Foreign Minister Shavarsh Kocharian said Azerbaijan must first “accept Karabakh’s status in

accordance with the results of an expression of the Nagorno-Karabakh people’s will.”

Armenian leaders say a key element of the Madrid principles is a future referendum in which Karabakh’s mainly ethnic Armenian population would decide whether to reaffirm its secession from Azerbaijan or return under Azerbaijani rule.

Mammadyarov insisted on Friday, however, the proposed framework ac-cord contains no such provisions. Azerbaijani President Ilham Aliyev echoed his foreign minister on Tuesday.

“In the issues discussed during the negotiations, there is and there can be no mechanism related to Nagorno-Karabakh’s secession from Azerbaijan,” Aliyev reportedly told a cabinet meeting in Baku. The Azerbaijani leader-ship will never agree to any settlement that would not lead to the restora-tion of Azerbaijan’s control over Karabakh, he said.

Aliyev also repeated his regular threats to win back the territory by force. “We must be prepared for the liberation of our lands from the occupiers at any moment,” he said. “I am absolutely sure that Azerbaijan has such ca-pacity today.”

New Energy Projects with Iran set to LaunchYEREVAN (RFE/RL)—Armenia announced on Wednesday the impending launch of three more joint energy projects with neighboring Iran that are estimated to cost more than $700 million.

Energy Minister Armen Movsisian said the two nations will start building this year a third high-voltage transmission line connecting their power grids, a hydro-electric station on the Arax river marking their border, and a pipeline that will pump Iranian oil products to Armenia.

The Armenian and Iranian governments have spent years negotiating on these projects and preparing for their implementation, which would give a massive boost to their economic ties.

With a projected capacity of 140 megawatts and an estimated cost of $350 million, the hydro-electric station is to be constructed by Iranian firms. According to Movsisian, the Armenian side will pay half of the bill with supplies of electricity to the Islamic Republic.

Movsisian told journalists that the two governments will also equally co-fi-nance the $180 million construction of the pipeline which he said will get

underway this fall. It will enable Armenian fuel companies to import petrol and diesel fuel at prices well below the international level, he said.

Movsisian added that the two sides will also start “within approximately one month” work on the third power transmission line. He said earlier that it will take 18 months.

The facility will allow for large-scale exports of Armenian electricity to Iran to be mainly generated by Iranian natural gas. Armenia began importing it, in modest amounts, through a newly constructed gas pipeline in May last year. The volume of these deliveries is due to increase drastically to at least 2 billion cubic meters per annum in the next few years.

Armenia is pressing ahead with these projects despite tougher sanctions which the U.N. Security Council imposed on the Islamic regime in Tehran last month over its controversial nuclear program. The sanctions do not di-rectly target the energy sector, the main area of Armenian-Iranian eco-nomic cooperation.

Official Yerevan said on June 10 that it is closely monitoring the intensify-ing standoff between Iran and the West and hopes for its “peaceful” reso-lution. Visiting Germany two weeks later, President Serzh Sarkisian urged Western powers to address Tehran’s “sense of being in danger” and reckon with its geopolitical interests in the region. He also held up these and other Armenian-Iranian economic projects as a model for regional co-operation.

Armenia Says Georgia Won’t Sell Pipeline to AzerisYEREVAN (RFE/RL)—The Armenian government is not concerned about a Georgian parliament vote allowing the privatization of a key pipeline sup-plying Russian natural gas to Armenia, Energy and Natural Resources Min-ister Armen Movsisian said on Wednesday.

He insisted that the Georgian government will not sell it to Azerbaijan or private investors and is pursuing other objectives that do not threaten Ar-menia’s energy security.

The Georgian parliament technically paved the way for such a sale last week when it removed the so-called North-South pipeline from a list of strategic state facilities not subject to privatization.

The move raised fears in Yerevan that Azerbaijan’s state oil company, which currently manages Georgia’s domestic gas distribution network,

could acquire it to block the vital Russian gas deliveries to Armenia. Azer-baijan has been Georgia’s principal gas supplier in recent years.

Opposition groups in Georgia also expressed concern about possible con-sequences of the measure. They fear that the pipeline could end up under Russian control, giving Moscow additional leverage against the country.

Georgian Prime Minister Nika Gilauri has sought to allay such fears, saying that the Tbilisi government would only sell a small minority share in the fa-cility and will remain its principal owner. Economic Development Minister Vera Kobalia likewise said this week that only up to 15 percent of the pipe-line stock might be privatized “within two or three years.”

“We have no concerns at the moment,” Movsisian told a news conference in Yerevan. “Even if the pipeline is put up for sale, that will not create any emergency situations for our country.”

“Georgia has not stated that it is going to sell [the pipeline,]” he said. “Georgia has simply removed that pipeline from the list of strategic facili-ties.” The purpose of the move is to formally and structurally separate the facility from smaller gas pipelines connected with it, added the Armenian minister.

Movsisian was also confident that the authorities in Tbilisi will not recon-sider this stance and give up control of the trunk pipeline in the future. “I don’t think that they will do such a thing because that would bring about political issues and so on,” he said. “I don’t think they will be so short-sighted as to resort to such a thing.”

Despite starting to import gas from neighboring Iran in May 2009, Armenia remains heavily reliant on Russian gas. Besides, more than 80 percent of its gas distribution network is owned Russia’s Gazprom giant.

Azerbaijan’s Interests Remain Important For Turkey Says DavutogluANKARA (Milliyet)—Turkish Foreign Minister Ahmet Davutoglu has again reiterated Turkey’s full support for Azerbaijan.

When asked by Turkish Democratic Left Wing Party parliament member Suleyman Yagiz about the stalled Turkish-Armenian protocols, Davutoglu said, “Ankara’s positions have not changed, the interests of fraternal Azer-baijan remain important for Turkey.”

“Relations with Azerbaijan have always been important to us and Turkey spares no effort to find a solution to the Nagorno Karabakh conflict. Turkey will continue its full support for Azerbaijan in all issues and our govern-ment can never reject these principles.”

Davutoglu also said that Turkey remained committed to the Zurich proto-cols signed with Armenia and would continue to look for normalized ties with Armenia.

Turkey to Take Part in NATO Exercises in Armenia Posted: Wed, 14 Jul 2010 19:11:23 +0000

ANKARA (Radikal)—Turkish representatives will take part in military and humanitarian training operations organized by NATO which are to be held in September in Armenia.

According to Turkish Radikal, the names of Turkish servicemen have al-ready been added to the list of Alliance soldiers who will come to Armenia to participate in these exercises. In addition, the newspaper says that there are plans to open the Armenian-Turkish border for a limitless pas-sage of servicemen for a time period.

The exercise is expected to involve servicemen from 19 member-states and NATO partners. Azerbaijan has rejected participation in the trainings.

The decision to hold military exercises in Armenia was adopted by NATO member-states, including Turkey. They will be held on from September 11 to 17.

According to diplomatic sources, a temporary opening of the Turkish-Ar-menian border will ensure the passage of military units for humanitarian purposes, but does not mean that the state border between Turkey and Armenia will be declared open.

Turkey to Build Boats for Akhtamar PilgrimageISTANBUL (Hurriyet)—Local Turkish ship builders have confirmed on Wednesday that Turkey plans on constructing special boats for an Arme-nian religious mass at the Cathedral of the Holy Cross on Akhtamar Island in the eastern Van province, to take place on September 19.

Boat owners in Van are not only working to increase the security and com-fort of passengers they will carry to the island for the religious mass, which is the first of its kind since the Armenian Genocide, but are also construct-ing new boats according to European Union (EU) standards.

“I have almost constructed two boats, and I have been asked to construct another,” local ship builder Suat Belek said.

Belek said there would be a lavatory, kitchen and a lounge on the boats.

It takes more than two months to construct a boat, which costs around $42,000.

Also, the head of the Akhtamar Island Motorized Vehicle Cooperative said almost 40 boats would be allocated for the religious ceremony.

Moreover, Van’s Governor Munir Karaloglu told reporters about prepara-tions for the religious mass, and said that the patriarch of Armenians in Turkey would conduct the religious mass.

The governor said local executives would do everything in their power to host people who came for the religious mass in the best way.

The 1,100-year-old Akhtamar Church was opened in 2007 at a ceremony that hosted officials from Armenia and Turkey following a controversial two-year long restoration process by the Turkish government. The restora-tion cost some $1.7 million.

The Akhtamar Church was constructed by architect bishop Manuel be-tween 915 and 921 A.D. under the supervision of King Gagik I. Among the important pieces of Armenian architecture, the church draws attraction with its stone workmanship and the relief on its walls.

Earlier this year, Turkey gave permission for an annual religious rite that would take place every year at the church in the second week of Septem-ber, upon proposal by the Van Governor’s Office and approval by Turkish Minister of Culture and Tourism Ertugrul Gunay.

ANCA Shares Reservations Regarding Bryza Nomination With Senate PanelWASHINGTON – The Armenian National Committee of America Tuesday shared with members of the U.S. Senate Foreign Relations Committee a seven page review of potential conflict of interest and policy-related reser-

vations regarding President Obama’s nomination of Matthew Bryza to serve as Ambassador to the Republic of Azerbaijan.

In letters sent to each of the panel’s 19 members, ANCA Chairman Ken Hachikian explain

ed that the Armenian American community’s concerns on the Bryza nomi-nation fall into, “two general categories, the first pertaining to potential conflicts of interest, and the second to shortcomings in his execution of our nation’s foreign policy priorities.”  The full text of this review is avail-able on the ANCA website at: http://www.anca.org/assets/pdf/misc/BryzaNomination.pdf

“There is,” explained Hachikian, “credible cause, in our view, for the Sen-ate Foreign Relations Committee to look into how the professional activi-ties of Mr. Bryza’s wife, scholar Zeyno Baran, may have created potential conflict of interest issues with the conduct of his official duties.” He noted that, “As is a matter of public record, Ms. Baran has professionally en-gaged in advocacy regarding the same U.S. policies and practices that Mr. Bryza has had an official role in formulating and implementing.  Her em-ployer, the Hudson Institute, again as a matter of public knowledge, re-ceives funding from foreign and corporate interests, including energy firms that are financially affected by the conduct of the very U.S. diplomacy that Mr. Bryza has overseen, and would certainly play a central role in coordi-nating if approved as U.S. Ambassador to Azerbaijan.”

In addition to addressing potential conflict of interest issues, the ANCA re-view covers Bryza’s diplomatic activity in the following areas:

* Failure to meaningfully respond to Azerbaijan’s videotaped destruction of a 1,300 year-old Armenian cemetery

* Failure to fully implement U.S. Congressional appropriations for Nagorno Karabakh

* Failure to seriously confront drumbeat of war in Georgia and Azerbaijan

* False claim that Armenia excluded Nagorno Karabakh from the peace process

* False prioritization of territorial integrity over self-determination

* False accusation that Armenia “occupies” Azerbaijani territory

* Prohibition on U.S. communications with Nagorno Karabakh’s govern-ment

* Pressure on Armenia to make unilateral concessions on Nagorno Karabakh

* Pressure on Armenia to accept Turkey-Armenia Roadmap

* Firing of Ambassador John Evans

Hachikian closed his correspondence by underscoring that, “in light of the vital role that will be played by the next U.S. Ambassador to Azerbaijan, particularly in terms of a Nagorno Karabakh resolution, we strongly believe that the concerns we have raised regarding potential conflicts of interest, and, equally, the full range of policy issues addressed in our reference ma-terials, deserve the close attention of your office, the full Foreign Relations Committee, and the entire U.S. Senate.”

The ANCA has posted an action alert allowing citizens to forward the ANCA review directly to their U.S. Senators: http://www.capwiz.com/anca/issues/alert/?alertid=15062881&type=CO

Armenia Fund Begins Construction of Kindergarten in KarabakhYEREVAN—In June the Hayastan All-Armenian Fund launched a kinder-garten-construction project in Ghuze Chartar, a village in Artsakh’s Martuni Region. The initiative, co-sponsored by the fund’s French affiliate and the government of Artsakh, is made possible through the financial support of Jean-Michel Grunberg, chairman of French toy manufacturer Ludendo Group, and Michel Pazoumian, chairman of the French companies Berenice and Eurelia. The contributions were made in memory of Emmanuel de Labarre, a fund benefactor who during the last years of his life was a key supporter of development projects in Artsakh.

Until the completion of Ghuze Chartar’s new kindergarten, the commu-nity’s children will continue to go to the old school building, which was built in the 1930s.

Currently, construction crews are laying the foundations of the new kinder-garten. The two-story building, with a capacity to accommodate 80 stu-dents, will feature a complement of modern amenities, including spacious classrooms and various activity rooms, a kitchen, a medical clinic, and a laundry room. Air-conditioned, centrally heated and compliant with strin-gent fire-safety standards, the kindergarten will also feature a sizeable playground.

“Whether living in large cities or far-flung villages, our children deserve to have a wonderful childhood, including a safe and pleasant learning envi-ronment,” says Ara Vardanyan, executive director of the Hayastan All-Ar-menian Fund.

“The residents of Ghuze Chartar, and young families in particular, have long awaited the new kindergarten,” its principal Hasmik Harutyunyan says. “For parents in the village, who already have quite a bit on their plates in terms of daily problems and concerns, it’s very important to know that their children are not only entrusted to good hands, but nurtured in a safe, well-equipped campus.”

Armenia Looks to Boost Ties With IsraelYEREVAN—President Serzh Sarkisian called for the deepening of Armenia’s low-key relationship with Israel as he met with a visiting senior Israeli offi-cial on Tuesday.

Micha Lindenstrauss, Israel’s State Comptroller and Ombudsman, was in Yerevan at the invitation of Armenia’s Parliamentary Human Rights De-fender and Ombudsman, Armen Harutyunyan.

According to the presidential press office, Sarkisian told Lindenstrauss that he finds, “the development of multi-faceted relations with Israel in all spheres of mutual interest,” to be important.

“The Head of State welcomed cooperation established between Armenia’s Office of the Human Rights Defender and the Israeli Ombudsman’s Office and stressed the importance of their ongoing efforts aimed at the ex-change of experience,” read a short statement released by the office. It gave no further details of the meeting.

Lindenstrauss arrived in Armenia less than a month after he and Harutyun-yan attended a session of the Mediterranean Association of Ombudsmen uniting top human rights officials from the wider region. The Armenian om-budsman was elected a member of the association at the meeting held in Madrid.

Like other participants, Harutyunyan opposed a Turkish official’s proposal to condemn Israel’s blockade of Gaza and harsh reaction to the recent Turkish-backed attempt to break it. He argued, among other things, that Turkey itself maintains a similar economic blockade of Armenia, which was imposed in 1993 out of solidarity with Azerbaijan.

Lindenstrauss, whose principal function is to monitor the legality and effi-ciency of decisions taken by Israeli public institutions, is a rare high-rank-ing representative of the Jewish state to visit Armenia. Armenian leaders have also rarely visited Israel.

Prime Minister Tigran Sarkisian was scheduled to pay an unofficial visit to Jerusalem together with His Holiness Karekin II, Catholicos of All Armeni-ans, in mid-February. However, the trip was cancelled at the last minute, ostensibly because of Sarkisian’s illness.

The Armenian premier told the Israeli ambassador to Armenia, Shemi Tzur, afterwards that Yerevan is interested in, “broadening and deepening,” Ar-menian-Israeli ties.

Although Armenia and Israel have diplomatic relations, neither maintains an embassy in the other country. The Israeli ambassador to Armenia is based in Tbilisi, while Armenia’s interests in Israel are represented by its ambassador to France.

Successive Armenian and Israeli governments treaded carefully in devel-oping bilateral relations. Armenia has traditionally had warm relations with Arab states and neighboring Iran, while Israel has until recently had close political and military ties with Armenia’s arch-foe Turkey.

Analysts believe that the dramatic worsening of Turkish-Israeli relations could change Yerevan’s and Tel Aviv’s geopolitical priorities. In particular, Jewish lobby groups in the United States are expected to stop helping Ankara defeat draft resolutions in the U.S. Congress recognizing the 1915 mass killings of Armenians in Ottoman Turkey as genocide. Israel’s parlia-ment is expected to debate a similar resolution soon.

Turkey, US in Diplomatic Row Over IranANKARA (Hurriyet Daily News) – The Turkish Foreign Ministry has denied claims by a U.S. official who said Ankara had agreed to distance itself from the Iranian nuclear issue, saying it remains open to participating if the par-ties seek its help.

“The participation of Turkey [in the Iran negotiations] is not necessary, but it is true that Iran wants us in the process. If Turkey is called to participate, we will consider it,” one diplomatic source told the Hurriyet Daily News & Economic Review on Tuesday. “However, no one should expect Turkey to stay indifferent to the developments in its region.”

Earlier Tuesday, the Associated Press had quoted an anonymous U.S. offi-cial as saying that Turkish Foreign Minister Ahmet Davutoglu had agreed during a phone conversation late Monday with U.S. Secretary of State Hillary Clinton that Turkey would no longer be involved in the Iranian is-sue.

That claim was denied by the Turkish Foreign Ministry, which said Turkey was not part of earlier talks between the permanent members of the U.N. Security Council and Germany, known as the P5+1, and Iran.

“We have appreciated Turkey’s diplomacy regarding the Iran issue. How-ever, the message given by Clinton during the phone conversation was that it was now time for Iran to contact the IAEA [International Atomic En-ergy Agency] and the P5+1 as relevant channels at this point; moreover, everybody should encourage Iran to establish such contact,” the anony-mous U.S. official was quoted as saying by the Anatolia news agency.

The conversation between Clinton and Davutoglu reportedly covered im-portant international issues, including the Iranian nuclear program.

The P5+1 and the IAEA are pressing Iran to start a new round of talks over Tehran’s nuclear program following the adoption of sanctions at the U.N. Security Council. Turkey and Brazil both voted against the measure and Iran is demanding their participation in any future talks.

The venue and date for such talks remains unknown, as Tehran has intro-duced a number of pre-conditions to any discussion.

Turkey’s “no” vote on sanctions caused deep frustration in Washington, its NATO ally, which believed that the move further encouraged the Iranian regime in its nuclear ambitions. Turkey, however, said the vote simply aimed to keep Iran at the table for future negotiations.

Brazil and Turkey had brokered a deal on May 17, in which Iran would ship its low-enriched uranium to Turkey to be exchanged with enriched nuclear fuel rods to power the Tehran research reactor. “Now they will also talk about the enrichment of Iran’s uranium together with the swap issue,” the same diplomatic source that commented on Turkey’s participation told the Daily News.

Iran and the Vienna Group, which includes the U.S., Russia and France, have issued clashing statements over who should participate in the new round of talks.

Iran believes Turkey and Brazil should participate in talks with the Vienna Group within the framework of the May 17 “Tehran Declaration.” Iranian

Foreign Minister Manoucher Mottaki told reporters Sunday, “the Vienna Group has also accepted their presence.”

World powers, however, have not formally agreed that Brazil and Turkey can sit in on talks over a nuclear-fuel supply deal with Iran, but neither have they explicitly ruled out such an arrangement, Agence France-Presse reported.

Although Turkey and Brazil offered the May swap deal as an alternative to sanctions, the Security Council proposed a new round of sanctions against Iran the next day. The U.N. sanctions passed in June despite Turkey and Brazil’s “no” votes.

Moscow, Paris and Washington have also expressed reservations about the Turkey-Brazil-brokered deal, asking Iran to clarify a number of questions about the terms. Western powers now hope to negotiate on these issues with Iran in a joint meeting.

ANCA Welcomes Charges of Genocide Against Sudan’s PresidentJoins Anti-Genocide Groups in Urging State Department to Take Immediate Action to Prevent Further Atrocities In Sudan WASHINGTON—The Armenian National Committee of America Monday wel-comed the International Criminal Court’s decision to expand its existing ar-rest warrant for Sudanese President Omar al-Bashir to include three counts of genocide, in addition to the crimes against humanity and war crimes charges leveled in March of last year.

“Armenian Americans welcome the International Criminal Court’s decision today to indict Sudan’s President, Omar al Bashir, on charges of genocide,” said ANCA Executive Director Aram Hamparian. “We are hopeful that this indictment, the first ever issued by the ICC for genocide, will lead to both decisive action against the al-Bashir regime’s ongoing genocide against the people of Darfur, and, more broadly, to increased pressure on govern-ments worldwide to work for a world in which genocide cannot be commit-ted with impunity.”

In a July 12 ruling, the ICC stated: “there are reasonable grounds to believe [Omar al-Bashir] responsible for three counts of genocide committed against the Fur, Masalit and Zaghawa ethnic groups, that include: geno-cide by killing, genocide by causing serious bodily or mental harm and ge-

nocide by deliberately inflicting on each target group conditions of life cal-culated to bring about the group’s physical destruction.”

Despite the 2009 ICC arrest warrant, al-Bashir has travelled with virtual impunity to neighboring countries, though a planned visit to Turkey last year was cancelled following international pressure. The Ankara and Khar-toum regimes have grown markedly closer over the past three years, with Turkey continuing to supply lethal weaponry to Sudan. Turkey’s Prime Mi-nister Recep Tayyip Erdogan has repeatedly defended al-Bashir and Tur-key’s close ties with the genocidal regime, stating “It’s not possible for a Muslim to commit genocide.”

The ANCA is joining the Save Darfur Coalition in calling on the U.S. govern-ment, the U.N. and the international community to make clear to the Suda-nese government that any retaliation for the new warrant against civilians, humanitarian groups or U.N. personnel will not be tolerated. Concerned anti-genocide activists should call the U.S. Department of State at 202-647-4000 and urge Secretary Clinton to make protection of vulnerable groups a priority.

Anti-Genocide activists are also encouraged to attend the July 14 White House Vigil, organized by Voices for Sudan, to call attention to the plight of the Darfuri people and urge the international community to take imme-diate action to assist the ICC in bringing al-Bashir to justice. The vigil will be held from noon to 1 pm at Lafayette Park, across the street from the White House. For more information, visit Voices for Sudan partner, Africa Action’s website: www.africaaction.org.

Aliyev, Sarkisian Avoid Contact at CIS SummitYEREVAN (RFE/RL)—The presidents of Armenia and Azerbaijan avoided holding more face-to-face talks on the sidelines of an informal summit of seven former Soviet republics held in Yalta, Ukraine over the weekend.

President Serzh Sarkisian’s office said their leaders discussed ways of boosting “economic integration” within the Commonwealth of Independent States (CIS). It reported no separate meetings between Sarkisian and other participants, among them Azerbaijan’s Ilham Aliyev and Russia’s Dmitry Medvedev.

The Armenian and Azerbaijani presidents have often used CIS summits for negotiations on the Nagorno-Karabakh conflict. Sarkisian’s spokesman, Ar-men Arzumanian, told RFE/RL’s Armenian service ahead of the summit that no such meeting is planned at Yalta.

Aliyev and Sarkisian already held talks in Saint Petersburg, Russia, hosted by Medvedev, as recently as on June 17. They were followed by the most serious Armenian-Azerbaijani ceasefire violation in Karabakh in over two years, which sharply heightened tensions between the conflicting sides and prompted serious concern from international mediators.

The United States, Russia and France have urged both sides to exercise restraint and iron out their differences on a framework peace accord pro-posed by the three mediating powers. The latter hope to broker further progress in the negotiating process at the upcoming meeting in Almaty, Kazakhstan of the Armenian and Azerbaijani foreign ministers.

However, bitter recriminations traded between Baku and Yerevan in recent days have called into question the success of that meeting. The Armenian Foreign Ministry on Friday strongly denied Azerbaijani claims that the Al-maty talks will focus on details of Armenian troop withdrawal from Azerbai-jani territories surrounding Karabakh. It accused Baku of seeking to tor-pedo the peace process earlier in the week.

A spokesman for Bako Sahakian, the president of the Nagorno-Karabakh Republic, said on Monday that the authorities in Stepanakert have no ex-pectations from the Almaty meeting because of Azerbaijan’s “extremely non-constructive” position. “It leaves no room for the search for a mutually acceptable compromise solution,” Davit Babayan told RFE/RL’s Armenian service.

Babayan pointed to Azerbaijani leaders’ insistence that the principle of ter-ritorial integrity take precedence over that of peoples’ self-determination championed by the Armenian side. “They must understand one thing. For Karabakh, a return to 1988, in terms of both the status and territory, is out of question,” he said.

Baku agreed to return Kelbajar and Lachin to Azerbaijan in a 5-yearperiod: Elmar Mammadyarov15:48 • 15.07.10

Baku agreed on returning Kelbajar and Lachin to Azerbaijan, but it Armeniahas again brought these issues into discussion, Azerbaijan's ForeignMinister Elmar Mammadyarov said at the press conference held today.

"Primarily, the issue related to term of returning occupied Kelbajar and

Lachin regions were discussed at the meeting between Azerbaijani andArmenian presidents held in St Petersburg. At one time, Armenian sidewanted 10 years for retuning Kelbajar and Lachin, whileAzerbaijani side demanded 1 year. We have given 5 years for returning ofthese regions to Azerbaijan. But Armenia has again brought these issuesinto discussion," APA reports quoted him as saying.

Mammadyarov further said that the Russian side has come with someproposals which have been discussed at St Petersburg meeting.

"These are proposals and there have been lot proposals during this period.The Russian side wants to see some progress in the regulation process andthat is why it makes such offers. But it is difficult for Azerbaijan aswell. We have thought that we had come to an agreement, that the issue hadbeen solved. The 5-year period has been reflected also in the MadridPrinciples. But the problem is being prolongedbecause of the Armenian position, and Russia is trying to bring thepositions of the sides close. It is difficult to work in thisdirection. If we come to an agreement on any issue, then this issue isdiscussed in the next period, the process becomes very difficult."

Tert.am

Identity crisis?: Armenian historian blames Georgian authorities for‘privatizing’ churchesArts and Culture | 15.07.10 | 15:26

Courtesy of Armat Press Club

“This is a deliberate act of destruction,” says Karapetyan.

By Gayane AbrahamyanArmeniaNow reporter

An Armenian historian and researcher has warned that another Armenianchurch in Georgia is being Georgianized – St. Gevorg of Mughni Church inTbilisi, which collapsed last year, and which is currently beingreconstructed through the efforts of Georgian authorities, now is

proclaimed to be Georgian.

“This is a deliberate act of destruction, which is being implemented bythe Georgian Church, whereas our Church is silent: they [Armenian Churchrepresentatives] are active when a new church is to beconstructed,” Samvel Karapetyan, head of the Yerevan branch of theResearch on Armenian Architecture NGO, told ArmeniaNow.

St. Gevorg of Mughni is already the 50th Armenian church in Georgiadestroyed or Georgianized in recent years.

The Church, built in the 14th century (later it was reconstructed in1756), collapsed in November 2009. Soon after it, the Diocese of theArmenian Apostolic Church in Georgia raised clamor accusing state andreligious authorities of Georgia.

In 2010, the Government of Georgia assigned about $27,000 for thereconstruction of the church, however, as Karapetyan says, later theprocess of Georgianization started.

“The cleaning works at the church were done terribly poorly;bulldozers, designed for asphalt digging, were destroying the crumbledparts of the church. And later, when several gravestones havingGeorgian inscriptions were found, Georgians, basing on these finds,declared that the church was Georgian from the very beginning,”Karapetyan says.

Meanwhile, the gravestones dating to the 18th century do not record anyfact or say that the church is Georgian, but are simplytombstones.

“During that time, Armenians living amongst Georgians wrote ongravestones in Georgian, because there was an official language[Georgian], and there was a need for language maintenance. Hence even manyconstruction records are written in Georgian; for example, there arethousands of gravestones in Khojivank cemetery, having records written inGeorgian, but it does not mean that Georgians are buried there,”Karapetyan says.

Karapetyan demands that Armenian authorities should seriouslyinterfere in the issue and try to save the church.

The Ministry of Culture of Armenia says that they have already sent aspecialist to the church, and “the necessary works are being carried outthere properly.”

Nevertheless, not only Armenian organizations, but also Armenians inJavakhk, a predominantly Armenian-populated province of Georgia, do notbelieve this statement. They have disseminated a statement saying,“Armenian political and spiritual authorities, as well as theinternational community are to blame for their indifference towards thefacts of the destruction and Georgianization of those Armenian churches inGeorgia.”

Elmar Mammadyarov: “We give concurrence to 5 years for returning ofKalbajar and Lachin to Azerbaijan, but this issue is being prolongedbecause of Armenian position“Russia gave few proposals for some progress in the regulation process”

Baku. Elnur Mammadli - APA. “Primarily, the issue related to term of returning occupied Kalbajar and Lachin regions were discussed at the meeting between Azerbaijani and Armenian president held in St Petersburg. At one time, Armenian side wanted 10 years for retuning Kalbajar and Lachin, but Azerbaijani side demanded 1 year. We have given 5 years for returning of these regions to Azerbaijan. But Armenia has put to discussion these issues again”, Azerbaijan’s FM Elmar Mammadyarov said at the press conference held today, APA reports. The minister said that the Russian side has proposed some motions and these motions had been discussed at St Petersburg meeting: “These are proposals and there have been lot proposals during this period. The Russian side wants to see some progress in the regulation process and that is why it makes such offers. But it is difficult for Azerbaijan as well. We have thought that we had come to an agree! ment, the issue had been solved. The 5 -year period has been reflected also in the Madrid Principles. But the problem is being prolonged because of the Armenian position and Russia is trying to approximate the positions of the sides. It is difficult to work in this direction. If someone reaches to agreement in any issue, then this issue is discussed in the next period, the process becomes very difficult”.

RASSEMBLEMENTSEXPOSITIONS-CONCERTS-SPECTACLES-PARUTIONS

Agenda - Présentation de l'album « So in love » d’André Manoukian

Samedi 11 septembre 2010

- Paris - Andre Manoukian - So In Love - à la Cigale à 20h

Enzo Productions Présente : Album « So in love » d’André Manoukian, sur lequel ce dernier a fait appel à la nouvelle scène française pour interpréter des grands classiques de jazz.

Les plus belles chansons d’amour……écrites par les plus grands lovers (Burt Bacharach, Cole Porter , Gershwin, Roy Orbison). Avec Anaïs, Tété, Cocoon, Benjamin Siksou, Emily Loizeau, Camelia Jorda-na, Loane, Helena Noguerra, China Moses, le tout orchestré par André Ma-noukian

Tarif : de 33,8 à 42 euros

Infos pratiques Andre Manoukian - So In Love : Date : Samedi 11 septembre 2010 Horaires : 20:00 Lieu : La Cigale Adresse : 120, bld Rochechouart Ville : Paris 75018 Métro : Pigalle

Contact / Plus d'infos sur Andre Manoukian - So In Love : Téléphone : 01 49 25 81 75 Mail : [email protected] Site : http://www.lacigale.fr/

http://www.diasporamag.com/agenda/iledefrance/0454b29da00a84001.html

http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=46057

Agenda - Cycle de films : Hollywood et la ShoahHollywood et la Shoah La persécution des Juifs et la Shoah vues par le cinéma et la télé-vision américaine de 1933 à nos jours

du 25 mai au 31 octobre 2010

L’exposition se prolonge par un questionnement : les films produits à Hol-

lywood ont-ils traité de la Shoah, de quelle manière, et quel rôle ont-ils pu avoir dans la transmission au grand public de cet évènement sans précé-dent ?

À travers ce cycle de films, le Mémorial souhaite dépasser toute polémique et interroger les relations complexes entre Hollywood et la Shoah. L’en-semble du cycle revient donc sur plus de 70 ans de cinéma américain.

Cette programmation à la fois chronologique et thématique et les débats qui l’accompagnent avec historiens, cinéastes, philosophes, psychana-lystes et journalistes sont l’occasion de revoir de grandes oeuvres du patri-moine cinématographique américain et de réexaminer l’évolution de la re-présentation de la Shoah dans le cinéma américain.

Coll. Memorial de la Shoah / CDJC

Tarifs pour chaque séance : 5 euros / réduit 3 euros 3 séances achetées = 3 euros la séance Auditorium Edmond J. Safra, niveau -1

*****

Holocauste (Holocaust) de Marvin J. Chomsky (1978. [7 h 30] projection d’épisodes, NBC, WDR, vostf)

La Liste de Schindler (Schindler's List) de Steven Spielberg (1993, 195 min, Production Amblin Entertainment, Universal Pictures, vostf)

dimanche 3 octobre 2010, 14 h 30

Triumph of the Spirit de Robert M. Young (1989, 120 min, Nova International Films, copyright dvd Twentieth Century Fox Home Entertainment Pathé Europa, vostf)

Making of : Triumph of the Spirit

(1990, 30 min, Evan Kopelson, vo, version française diffusée par casque)

lundi 4 octobre 2010, 19 h

Le Choix de Sophie (Sophie's Choice) de Alan J. Pakula (1982, 170 min, Keith Barish Productions ITC, Jadran Film, William C. Gerrity, Alan J. Pakula, Martin Starger, vostf)

mardi 5 octobre 2010, 19 h 30

Ennemis, une histoire d'amour (Ennemies, a Love Story) de Paul Mazursky (1989, 119 min, Morgan Creek Productions, vostf)

jeudi 7 octobre 2010, 14 h 30

1943, l'Ultime Révolte (Uprising) de John Avnet (2002, 163 min, Avnet / Kerner Productions, Raffaella Productions, Brooklyn Films, vostf)

dimanche 10 octobre 2010, 14 h

Les insurgés (Defiance) de Edward Zwick (2009, 137 min, Paramount Vantage, Defiance Productions, Grosvenor Park Productions, Bedford Falls Productions, vostf)

dimanche 10 octobre 2010, 17 h

Inglorious Basterds de Quentin Tarentino (2009, 153 min, Universal Pictures, The Weinstein Company, Zehnte Babelsberg vostf)

lundi 11 octobre 2010, 19h 30

Jakob le menteur (Jakob the Liar)

de Peter Kassovitz (1999, 120 min, Columbia Tristar Pictures, vostf)

mercredi 13 octobre 2010, 19 h 30

Music Box de Costa-Gavras (1989, 125 min, Irwin Winkler, Carolco Pictures, vostf)

jeudi 18 octobre 2010, 19 h 30

Tout est illuminé (Everything is illuminated) de Liev Schreiber (2005, 106 min, Warner Independent Pictures, Telegraph Films, Big Beach Films, Stillking Films, vostf)

dimanche 19 octobre 2010, 19 h 30

« Shoah-drama » et séries. Les fictions télévisuelles consacrées spécifiquement à la Shoah.

Extraits de Playing for time, The Hiding Place, War and Remembrance…

dimanche 24 octobre 2010, 14 h 30

L’extermination des Juifs dans les séries qui ne sont pas consacrées spécifiquement à la Shoah.

Extraits de La Quatrième Dimension, Star Trek, Magnum, Law and Order, The West Wing...

dimanche 24 octobre 2010, 16 h 30

La Quatrième Dimension, le film (Twilight Zone : the Movie) de Steven Spielberg, Joe Dante, John Landis, µGeorge Miller (1983, 102 min. Warner Bross Pictures, vostf)

jeudi 28 octobre 2010, 19 h 30

Zelig de Woody Allen (1983, 79 min, A Jack Rollins and Charles H. Joffe Production, vostf)

dimanche 31 octobre 2010, 14 h 30

http://www.memorialdelashoah.org/b_content/getContentFromNumLinkAc-tion.do?itemId=1142&type=1

http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=46053

Agenda - Andre Manoukian et Levon Minassian - "Duo acoustic"André Manoukian & Levon Minassian

- Clamart - Andre Manoukian - Levon Minassian - "Duo acoustic" - vendredi 24 septembre 2010 - Salle Jean ARP à Clamart à 20h30 -

Théâtre Jean Arp / Cinéma Jeanne Moreau 22, rue Paul Vaillant-Couturier Billetterie : 01 41 90 17 02 Administration : 01 41 90 17 00 Fax : 01 41 90 17 09 [email protected] [email protected]

Pour toute la programmation du théâtre et du cinéma, les rendez-vous, la billetterie, consultez le : http://www.theatrearp.com/

Enzo productions

André Manoukian My Space: http://www.myspace.com/andremanoukia-nofficiel

http://www.diasporamag.com/agenda/iledefrance/0454b29db20963201.html

http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=46056

Agenda - 18 juillet: Journée nationale à la mémoire des victimes des crimes racistes et antisémites

Journée nationale à la mémoire des victimes des crimes racistes et antisé-mites de l’État français Dimanche 18 juillet 2010

Dans le cadre de la Journée nationale à la mémoire des victimes des crimes racistes et antisémites de l’État français et d’hommage aux Justes de France, le Mémorial de la Shoah organise une rencontre avec Annette Muller, rescapée du Vél’ d’Hiv’ et du camp de Beaune-la-Rolande, et une projection du film La Rafle de Rose Bosch.

Dimanche 18 juillet 2010 15 h 30

Rencontre

Annette Muller, la petite fille du Vél’ d’Hiv’ d’Annette et Manek Muller

(éd. CERCIL, 2009, avec le soutien de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah)

16 juillet 1942 : Annette a 9 ans. Après avoir vécu l’enfer du Vél’ d’Hiv’, elle est internée avec sa mère et son jeune frère Michel à Beaune-la-Ro-lande. Elle connaît le sort terrible des milliers d’enfants juifs internés dans les camps du Loiret. Annette échappe à la déportation grâce à son père, elle est l’une des rares enfants du Vél’ d’Hiv’ qui ont survécu.

En présence d’Annette Muller, témoin, Benoit Verny, historien, et de Hé-lène Mouchard-Zay, directrice du CERCIL

Animée par Sophie Nagiscarde, responsable du service des activités cultu-relles au Mémorial de la Shoah.

17 h 30

Projection

La Rafle de Rose Bosch (France, fiction, 2010, 115 min, Légende produc-tion, Gaumont, avec le soutien de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah).

Avec Jean Reno, Mélanie Laurent, Gad Elmaleh, Raphaëlle Agogué, conseiller historique : Serge Klarsfeld

1942. Joseph a onze ans. Entre bienveillance et mépris, Jo, ses copains juifs, leurs familles, vivent dans un Paris occupé, sur la Butte Montmartre, où ils ont trouvé refuge. Le matin du 16 juillet 1942, leur vie bascule...

CÉRÉMONIE

Une cérémonie se tiendra dimanche 18 juillet 2010 à 10h au monument commémoratif de la rafle du Vél’ d’Hiv’ à Paris. La cérémonie des Fils et Filles de Déportés Juifs de France se tiendra quant à elle le 16 juillet à 18h

Informations pratiques

Mémorial de la Shoah

17, rue Geoffroy–l’Asnier, 75004 Paris

Tél. 01 42 77 44 72

Fax : 01 53 01 17 44

[email protected] - www.memorialdelashoah.org

Accès

Métro : Saint-Paul ou Hôtel-de-Ville (ligne 1), Pont-Marie (ligne 7)

Bus: 96, 69, 76, 67, Balabus

Parking : Baudoyer (place Baudoyer), Lobau (rue Lobau), Pont-Marie (rue de l’Hôtel-de-Ville).

Ouverture du musée

Tous les jours sauf le samedi, de 10h à 18h, nocturne le jeudi jusqu’à 22h.

Entrée libre

*****

Mémorial de la Shoah Entrée libre Réservation conseillée : Tél. : 01 53 01 17 42 ou sur www.memorialdelashoah.org

http://www.topj.net/fr/agenda/info.tpl?sku_arch=348757771712077905http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=45891

Agenda - 14 juillet/Haut Karabagh : Gomchassar sur ARTEDiffusion le mercredi 14 juillet juillet 2010 à 19h50.

Le film

Frontière naturelle entre l’Europe et l’Asie, la chaîne du Caucase symbolise le choc des civilisations...

Dans la partie sud du massif, entre l’Arménie chrétienne et l’Azerbaïdjan musulman, le Gomchassar est le point le plus élevé du Haut Karabagh, pe-tite république d’à peine 100 kilomètres de long sur 80 kilomètres de large. Depuis qu’elle a proclamé son indépendance en 1991, ce jeune État n’a toujours pas été reconnu par la communauté internationale : c’est un pays qui, officiellement, n’existe pas…

* Un film de Jean-Marie Barrère (France, 2009, 43 mn)

Les montagnes du monde mercredi, 14 juillet 2010 à 19:50 Rediffusion mercredi 21 juillet à 14H00 (France, 2009, 43mn) ARTE F

Edité le : 09-06-10 Dernière mise à jour le : 09-07-10

http://www.arte.tv/fr/Comprendre-le-monde/Les-montagnes-du-monde/Les-montagnes-du-monde/3273462,CmC=3263180.html

http://collectifvan.org/article.php?r=5&id=46007

Agenda - 27, 28 et 29 juillet: André Manoukian lance un festival de Jazz

- Chamonix - 27, 28 et 29 juillet - André Manoukian lance un festi-val inédit de Jazz à Chamonix, original, jamais vu, où des artistes de jazz de tous les horizons rencontrent la grandeur des sites na-turels de Chamonix-Mont-Blanc.

Mardi 27 juillet CONCERTS EN ALTITUDE Randonnée au Lac Blanc, 12h30 SUNIL DEV Accès: téléphérique de la Flégère, puis à pied, randonnée de 2 heures, dé-part à 09h30, retour à 16h30

Début de soirée APERO JAZZ Centre de Chamonix, 18h-20h SPOK FREVO ORQUESTA

Soirée JAM’ CHAM ‘ Concerts dans les bars et restaurants de Chamonix, dès 21h (programmation dévoilée dès le 1er juillet)

Bar de l’Hôtel du Mont Blanc: Malcolm BRAFF, Christophe WALLEMME et Hervé GOURDIKIAN in-vitent à la jam

Mercredi 28 juillet CONCERTS EN ALTITUDE Terrasses de l’Aiguille du Midi, 11h SUNIL DEV Accès : Téléphérique de l’Aiguille

Belvédère de Plan Praz, 11h & 14h YARON HERMAN HADOUK TRIO Accès: téléphérique du Brévent

Début de soirée APERO JAZZ Centre de Chamonix, 18h-20h SPOK FREVO ORQUESTA

Soirée JAM’ CHAM ‘ Concerts dans les bars et restaurants de Chamonix, dès 21h (programmation dévoilée dès le 1er juillet)

Bar de l’Hôtel du Mont Blanc: Malcolm BRAFF, Christophe WALLEMME et Hervé GOURDIKIAN in-vitent à la jam

Jeudi 29 juillet

CONCERTS EN ALTITUDE Grands Montets, 11h, MALCOLM BRAFF – NICOLE JO – MININO GARAY Accès : depuis Argentière, téléphérique des Grands Montets Mer de Glace, cirque naturel du Montenvers, 14h00 PORTICO QUARTET Accès : train à crémaillère Montenvers– Mer de Glace

Début de soirée APERO JAZZ Centre de Chamonix, 18h-20h SPOK FREVO ORQUESTA

Soirée JAM’ CHAM ‘ Concerts dans les bars et restaurants de Chamonix, dès 21h (programmation dévoilée dès le 1er juillet)

Bar de l’Hôtel du Mont Blanc: Malcolm BRAFF, Christophe WALLEMME et Hervé GOURDIKIAN in-vitent à la jam

Résidents à Chamonix depuis deux ans, l’idée de Stéphanie et d’André Ma-noukian est venue presque naturellement : organiser des concerts de jazz dans les décors majestueux de l’environnement naturel qui entoure le Mont Blanc. Emerveillés par ce cadre naturel, mais préoccupés aussi à la vue des glaciers qui se dérobent de jour en jour, ces deux passionnés de montagne et de musique souhaitaient« du toit de l’Europe, invoquer les esprits des montagnes afin de rétablir le dialogue entre les hommes et les éléments ». S’associant l’expérience et les compétences de la responsable de la programmation du Cully Jazz Festival en Suisse, Carine Zuber, ils ont ainsi créé, en début d’année, l’association « Cosmojazz festival de Chamo-nix ». Encouragés par une multitude de personnes disposées à les aider dans cette démarche, appuyés par la Mairie de Chamonix, la Région Rhônes-Alpes, le Conseil Général de Haute Savoie et la Compagnie du Mont Blanc, ils parviennent à mettre sur pied la première session de ce festival cet été déjà.

Trois jours durant, du mardi 27 juillet au jeudi 29 juillet, les visiteurs auront la chance de contempler concerts de jazz et panoramas, en toute convivia-lité montagnarde, dans trois cadres différents : en altitude, au cœur de la ville et dans l’intimité de différents bars où les soirées promettent de se prolonger jusqu’à l’aube.

Des concerts insolites en altitude

En journée, visiteurs et musiciens seront transportés dans l’univers de la « Haute montagne » pour des représentations hors du commun. Les sites

ont été sélectionnés par les organisateurs pour leur caractère insolite du fait de leur situation et de leur histoire. Les artistes et leurs instruments s’y intégreront le plus naturellement possible, dans un esprit d’harmonie totale entre les sons, les mélodies, les rythmes et les éléments qui les en-tourent. Depuis une terrasse de l ‘Aiguille du midi, à 3842 m, on entendra le son doux et puissant d’une flûte bambou et des percussions indiennes, invitant le public à fraterniser avec l’Himalaya. Sunil Dev, musicien népalais décou-vert par le producteur Martin Meissonier, accompagnera également les vi-siteurs dans une randonnée de 2 heures qui les mènera au Lac Blanc, en plein milieu d’une réserve naturelle. Ailleurs, face au Mont Blanc, comme sur un balcon panoramique, une scène munie d’un piano à queue sera ins-tallée pour accueillir l’incroyable pianiste israélien Yaron Herman, ainsi que la musique aérienne d’Hadouk trio, entre l’Afrique et l’Orient, jazz et world, dessinant une véritable rose des vents sur le portulan des musiques du monde. Puis, sur un glacier situé à proximité du téléphérique des Grands Montets, paradis des free riders, un piano électro-acoustique permettra au pianiste suisse d’origine brésilienne d’inviter le percussionniste argentin le plus « énergumène de la scène parisienne », Minino Garay, ainsi qu’une jeune saxophoniste, Nicole Jo, pour faire raisonner et vibrer les parois de granit millénaire. Dans une sorte de cirque naturel, situé à proximité du mythique Grand Hôtel Montenvers, près de la Mer de Glace, on pourra en-core entendre la musique hypnotique des jeunes anglais du Portico Quar-tet, véritable révélation jazz du moment.

Soirées festives au chœur de Cham’

Chaque jour, à l’heure de l’APERO JAZZ, les rues et places du cœur de Chamonix seront envahies par un impressionnant big band brésilien com-posé de 18 musiciens, le Spok Frevo Orquestra, fusionnant frevo des car-navals et jazz d’une manière incandescente. Puis les soirées se poursui-vront dans les bars de Cham qui accueilleront des concerts de tous styles, en toute convivialité. Et puisque l’esprit du jazz, c’est surtout les ren-contres et l’improvisation, il y aura bien évidemment, en plein chœur de la cité, un lieu pour la jam, animé par les musiciens entourant d’habitude An-dré Manoukian, ainsi que le pianiste Malcolm Braff.

Concerts gratuits

Tous les concerts sont gratuits, mais l’accès au site par les remontées mé-caniques est payant. Les spectateurs sont priés de s’y rendre en comptant le temps de trajet nécessaire qui sera conseillé sur le site internet du festi-val www.cosmojazzfestival.com. Pour chaque concert en altitude, une solu-tion « mauvais temps » sera envisagée. Les lieux de remplacement seront communiqués via le site internet du festival.

Toutes les informations concernant le festival sont disponibles sur le site

internet : www.cosmojazzfestival.com

INFORMATIONS PRATIQUES

Situation de Chamonix Chamonix Mont-Blanc est situé à 90 km de Genève, 40 km de Martigny, 100 km de Lausanne, 200 km de Lyon et 170 km de Turin. Les principales lignes TGV depuis Paris : - Paris - Annecy - Paris - Lyon - Paris – Bellegarde - Genève - Paris - Chambéry - Aix Les Bains Puis correspondances par le Train Express Régional (TER) vers Saint Ger-vais Les Bains - Le Fayet à 20 km de Chamonix. Le Mont-Blanc Express dessert, depuis Saint Gervais les Bains, la vallée de Chamonix jusqu'à Vallorcine et Martigny (Suisse). www.cms.tmrsa.ch Des liaisons régulières par bus permettent de relier quotidiennement Cha-monix depuis Genève et Courmayeur Accès direct par l'Autoroute Blanche E25 - A40 reliée au réseau routier eu-ropéen. A 16 km de la Suisse par le Col des Montets A 15 km de l'Italie par le Tunnel du Mont-Blanc

Accès aux sites + tarifs

Les concerts ne sont pas payants. En revanche, les remontées mécaniques pour y accéder le sont, selon les tarifs normaux édictés par la Compagnie du Mont Blanc. Le festival recommande à ses visiteurs le multipass 3 jours qui permet d’accéder à tous les sites pendant 3 jours. D’autre part, il est vivement conseillé de se rendre sur les sites avec les remontées méca-niques suffisament à l’avance. Tarifs des remontées mécaniques : www.compagniedumontblanc.fr

Hébergement : Le Cosmojazz festival recommande chaleureusement les hôtels parte-naires du festivalHôtel du Mont-BlancHôtel AlpinaHôtel Le PrieuréLa Croix Blanche Vous trouverez plus de renseignements sur tout type d’hébergement sur www.chamonix.com

Renseignements généraux : www.cosmojazzfestival.com www.chamonix.com www.compagniedumontblanc.fr Office du tourisme de Chamonix : ++33 (0) 4 50 53 00 24

Quai n°5 http://www.diasporamag.com/agenda/rhonealpes/0454b29-da914f290c.html

Stages à Chambles

http://www.diasporamag.com/agenda/rhonealpes/0454b29dab14d1a15.html

http://www.diasporamag.com/agenda/rhonealpes/0454b29d9d0091101.html

Agenda - Du 1er au 31 juillet vernissage, exposition avec Daniel Léglise et Cristelle BerberianOpenGalerie vous invite au vernissage ce jeudi le 1er juillet à 18H30

Daniel Léglise

Secondes vies, Peintures

Cristelle Berberian

Sculptures

Vernissage le jeudi 1er Juillet à partir de 18H à Vers Pont du Gard (30210)

Exposition du 1er juillet au 31 juillet 2010

Horaires de l'exposition

du jeudi au dimanche de 15h à 19h

en dehors de ces horaires la galerie vous accueille sur rendez-vous au 09 61 28 48 66

OpenGalerie 5 RUE BOURG RIANT 30210 VERS-PONT DU GARD

http://www.opengalerie.com 09 61 28 48 66

http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=45608

Agenda - 6 et 7 août: Festival International de Boogie Woogie- La Roquebrou (Cantal - Aurillac) - vendredi 6 et samedi 7 août 2010 à 21h - Festival International de Boogie Woogie - Sonia Do-nabédian au clavecin. UN CLAVECIN SUR UNE SCENE DE BOOGIE WOOGIE!!! C'est vraiment incroyable, comme dans un rêve... Une nouvelle carrière qui se rajoute à celle du "clavecin libéré"???

En effet, j'ai l'honneur et le privilège d'être invitée à jouer au plus grand festival de Boogie du monde, un festival international où, parmi les 60 mu-siciens exceptionnels venus du monde entier, je représenterai l'Arménie avec mon clavecin bleu turquoise! Si vous tendez bien l’oreille, vous pour-rez peut-être reconnaître quelques citations de mélodies arméniennes…

Si vous êtes curieux de constater par vous-même le surprenant mariage entre cet instrument baroque et le Boogie (transcriptions réalisées par moi-même) qui vous feront swinguer jusqu'à vous donner envie de danser sur la piste à côté de la scène, rendez-vous du 5 au 7 août 2010 à La Ro-quebrou, dans la Cantal (proche d'Aurillac).

Vous pourrez m'y voir et entendre le 6 août, ainsi que le 7 pour clôturer le festival en duo piano/clavecin avec le numéro un du Boogie en France et organisateur du festival: Jean-Paul AMOUROUX !!!

Si, dans l'organisation de vos vacances d'été, vous ne résistez pas à l'en-vie de faire partie des 1300 spectateurs, il est fortement conseillé de ré-server rapidement chambres d'hôtel ou chambres d'hôtes dans les envi-rons (la réservation vient de s'ouvrir pour les places des spectacles), le vil-lage est tout petit et la région très jolie.

Sonia Donabédian

RESERVATIONSSOIREES : Bulletin d’inscription à télécharger sur Internet et à renvoyer à : Office de Tourisme de la Châtaigneraie Cantalienne Rue de la Trémolière 15150 LA ROQUEBROU Tel : 04 71 46 94 82

Chèques à l’ordre de « Festival de BOOGIE WOOGIE

Vous trouverez tout ce qu’il vous faut sur le site du festival: http://www.boogie-laroquebrou.com

PROGRAMMATION IN JEUDI 5 AOUT 2010 YVON MOMBOISSE Piano boogie FRANCE DAVID GIORCELLI Piano boogie ESPAGNE J.P. BERTRAND & J.P. AMOUROUX Boogie à deux pianos FRANCE DANY DORIZ BIG BAND : Special blues & boogie - Tribute to Lionel Hampton DANY DORIZ Leader , vibraphone FRANCE MICHEL FEUGERE Trompette JULIEN BURI Trompette SYLVAIN GONTARD Trompette JERRY EDWARD Trombone ETATS-UNIS CYRIL DULILE Trombone FRANCE MICHAEL JOUSSEIN Trombone OLIVIER DEFAYS Sax BORIS BLANCHET Sax CHRISTOPHE ALLEMAND Sax PASCAL THOUVENIN Sax alto, arrangeur PATRICE GALLAS Piano PATRICIA LEBEUGLE Contrebasse MARC FOSSET Guitare DIDIER DORIS E Batterie GILDA SOLVE Vocal ETATS-UNIS BOOGIE A DEUX PIANOS : TOUS LES PIANISTES DU FESTIVAL

VENDREDI 6 AOUT 2010 TOM LEWER Piano boogie ANGLETERRE CHRISTOPH ROIS Piano boogie AUTRICHE JEAN-PIERRE BERTRAND BOOGIE BAND Boogie orchestral FRANCE SONIA DONABEDIAN Clavecin ARMENIE EDDIE CAMPBELL QUINTET : Blues EDDIE CAMPBELL Guitare, vocal ETATS-UNIS JEAN-PIERRE DUARTE Guitare FRANCE JEAN-MARC DESPEIGNES Guitare basse LUDOVIC BINET Orgue PASCAL DELMAS Batterie BOOGIE A DEUX PIANOS : HAMP GOES WILD & DAVID GIORCELLI SUISSE / ESPAGNE CHRISTOPH ROIS & REVEREND JO SCHUMACHER AUTRICHE /ALLE-MAGNE

YVON MOMBOISSE & TOM LEWER FRANCE / ANGLETERRE

SAMEDI 7 AOUT 2010 REVEREND JO SCHUMACHER Piano boogie ALLEMAGNE HAMP GOES WILD Piano boogie, vocal SUISSE PIERRE CALLIGARIS & JEAN-PAUL AMOUROUX Piano « duel » Stride / Boogie FRANCE THE THREE LADIES OF BLUES : Blues vocal JOAN FAULKNER Vocal ETATS-UNIS JOANNE BELL Vocal ETATS-UNIS LINDA LEE HOPKINS Vocal ETATS-UNIS GUSTAV CSIK Piano, directeur musical HONGRIE WAYNE DOCKERY Contrebasse ETATS-UNIS DOUGH SIDES Batterie ETATS-UNIS BOOGIE A DEUX PIANOS : JEAN-PIERRE BERTRAND & DAVID GIORCELLI FRANCE / ESPAGNE CHRISTOPH ROIS & HAMP GOES WILD AUTRICHE / SUISSE J.P. AMOUROUX & SONIA DONABEDIAN Piano & Clavecin FRANCE / ARMENIE

ALEXIS HK

http://www.diasporamag.com/agenda/centre/0454b29d911413906.html

Sophie Landy et Carl Ghazarossian

http://www.diasporamag.com/agenda/centre/0454b29da613f1d3c.html

http://www.diasporamag.com/agenda/centre/0454b29d9d0eb7b01.html-http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=45708

Agenda - 7 aout/ Requiem de Mozart avec la direction de Luc Baghdassarian- Paris - Samedi 7 aout 2010 à 21h - Eglise de la Madeleine - Choeur AMADEUS - Chef de Choeur Laurent ZAÏK - Orchestre Jean-Louis PETIT - Direction Luc BAGHDASSARIAN -

MOZART : Requiem, Ave Maria de SCHUBERT, Ave Maria de GOUNOD,

Ave verum de MOZART. Patricia SAMUEL soprano, Muriel SOUTY mezzo, Pierre VAELLO ténor, Olivier Peyrebrune basse Choeur AMADEUS, Chef de Choeur Laurent ZAÏK Orchestre Jean-Louis PETIT, direction Luc BAGHDASSARIAN (Genève)

Eglise de la Madeleine Place de la Madeleine Métro : Madeleine

30 euros, 20 euros RESERVATIONS 01 42 50 96 18 également sur place à la Madeleine la veille et le jour du concert.

Portrait de Luc Baghdassarian http://www.diasporamag.com/magazine/portraits/0454b29da50b8270d/0454b29da50b94c3f.html

Quatuor Tercea et Varduhi Yeritsyan http://www.diasporamag.com/agenda/iledefrance/0454b29d9e13f9c43.html

Samedi 11 septembre 2010

http://www.diasporamag.com/agenda/iledefrance/0454b29d4809e8209.html

http://www.diasporamag.com/agenda/iledefrance/0454b29da80978702.html

http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=45785

Agenda - Du 10 septembre au 1er octobre exposition "Arménie Ô Arménie !"

Du vendredi 10 septembre au vendredi 1er octobre permanences les ven-dredis de 17h30 à 19h

ACTIONS ET RÉALISATIONS CULTURELLES (ARC)

Exposition "Arménie Ô Arménie !".

Visages et présences arméniennes à Lyon. Photographies de Jean-Paul Chi-rinian, Evelyne Rogniat et Michel Vidal. Commissaire d'exposition : Martine Chifflot-Comazzi. Dans le cadre des Journées Européennes du Patrimoine les ouvertures seront le 18/10 : de 10h à 12h et de 16h à 19h, et le 19/10 : de 10h à 12h et de 16h à 19h. Entrée Libre. Rens. : [email protected] .

Loft d'ARC, 11 rue Burdeau, 69001 Lyon (M° Terreaux)

http://collectifvan.org/article.php?r=5&id=45565

http://www.armenoscope.com/agenda/rech.asp?type_info=ponctuelle

Agenda - Exposition du 4 mai au 5 septembre: Les Juifs à Berlin 1933 -1941À l’occasion de la parution de l’ouvrage Les Juifs à Berlin, 1933-1941, pho-tographiés par Abraham Pisarek (Biro éditeur – Mémorial de la Shoah, 2010), le Mémorial de la Shoah présente une exposition d’une soixantaine de photographies d’Abraham Pisarek, ainsi que des documents d’archives retraçant la vie juive à Berlin entre 1933 et 1941.

Né en Pologne dans une famille juive religieuse, Abraham Pisarek émigre à Berlin en 1919. Il travaille comme photographe de presse jusqu’à l’arrivée au pouvoir des nazis en 1933.

À partir de cette date, son activité professionnelle est limitée au traite-ment des sujets juifs, pour les seuls journaux juifs autorisés, jusqu’à leur disparition et l’interdiction faite aux Juifs en 1941 de posséder un appareil photo.

Marié à une aryenne, Abraham Pisarek sera affecté aux travaux forcés à Berlin en 1941 mais ne sera pas déporté et survivra à la guerre. Les très nombreux reportages photographiques réalisés par Abraham Pisarek livrent un extraordinaire et émouvant témoignage de la vie berlinoise sous le III e Reich.

Cette exposition a été conçue par le Mémorial de la Shoah, avec le soutien de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah.

http://www.memorial-cdjc.org/a_actus/getDetailsAction.do;jsessionid=03B2F7283A151C5FA99AD78C98C56C2B?actuId=556

http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=44585

VIENT DE PARAITRE : "Par-delà les ténèbres" de Mihran MavianMavian Mihran, Par-delà les ténèbres, Edition Mémorial de l'inter-nement et de la déportation [Compiègne], 2010, 162 pages, 18€.

L'épopée, dans un combat inégal, de l'humain contre la barbarie.

Le récit de Mihran Michel Mavian, déporté, rescapé du "convoi des Ta-toués".

Emprisonné à Fresnes puis détenu au camp de Compiègne-Royallieu, il est envoyé à Auschwitz le 27 avril 1944. Miraculé, il est expédié à Buchenwald puis au camp d'extermination de Flossenbürg.

L'importance qu'il donne dans le récit, aux rencontres dans les camps avec ses compatriotes arméniens, arrêtés en France ou officiers et soldats de l'armée soviétique, traités en tant que Russes avec une extrême cruauté, en fait un témoignage rare.

Libéré par l'armée américaine en avril 1945 pendant les marches de la mort, Mavian disait : "Avril 1945, une deuxième naissance ", il aurait pu parler de troisième naissance puisque, en 1915, à l'âge de 15 ans, il avait survécu au génocide des Arméniens.

Le récit d'origine, écrit en arménien, publié en 1976*, a été traduit par sa fille avec de nombreux temps de pause, nécessaires pour surmonter l'émotion accumulée au fil de ces pages de souffrance et d'horreur et de solidarité entre frères de captivité.

* Nota CVAN - Titre original : Vodjiri antachkharèn - Editions Hayasdan -Ye-revan 1976.

Vient de paraître :

Les mémoires d'Onnig Avédissian intitulées "Du ga-min d'Istanbul au fédaï d'Ourmia".Retrouvé en 2001, le manuscrit d’un militant révolutionnaire arménien fait revivre la Turquie du temps des pogroms et du génocide. Première publica-tion des jeunes éditions Thaddée. Depuis la mort d’Onnig Avédissian, en 1933, à l’âge de 51 ans, le manuscrit de ses mémoires se trouvait chez un de ses fils qui, sans l’avoir lu, le conservait en secret. On le croyait perdu. Il réapparut tardivement un jour de 2001. Le petit-fils d’Onnig, Jean-Jacques Avédissian – journaliste économique –, entreprit donc sa traduc-tion, plongeant dans le passé de la famille, qui se confond avec les années les plus brillantes et les plus sombres des Arméniens de Turquie.

Onnig Avédissian

Du gamin d’Istanbul

au fédaï d’Ourmia

THADDÉE

TRADUIT DE L’ARMÉNIEN

PAR JEAN-JACQUES AVÉDISSIAN

TIRAGE : 1 500 EX.

PRIX : 24,90 EUROS ; 310 P.

ISBN : 978-2-919131-00-6

SORTIE : 20 AVRIL

Les mémoires et l’almanach font l’objet d’excellentes et utiles annotations, enrichies par une chronologie précise.

Editions Thaddée, 66, rue d’Alésia,

75014 Paris.

www.editionsthaddee.com

mél : [email protected] http://www.editionsthaddee.com/

Plus d'infos :

http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=43615

Agenda - Génocide arménien : trois témoignages ex-ceptionnels chez Parenthèses95 ans après le génocide arménien, les Éditions Parenthèses publient dans leur collection diasporales, les traductions de trois témoignages exceptionnels : "Journal de déportation" de Yervant Odian, récit traduit de l’arménien par Léon Ketcheyan, préface de Krikor Beledian; "Jours de cendres à Istanbul" de Berdjouhi, récit traduit de l’arménien par Armen Barseghian ; "Les noces noires de Gulizar" de Arménouhie Kévonian, Traduit de l’arménien par Jacques Mouradian, préface de Chavarche Nartouni, présentations historiques de Anahide Ter Minassian et Kéram Kévonian.

Cette maison d'édition marseillaise, dirigée par Varoujan Arzoumanian, édite chaque année des titres de très grande qualité, tant rédactionnelle que graphique.

Vient de paraître :

Yervant Odian

Journal de déportation

Récit traduit de l’arménien par Léon Ketcheyan Préface de Krikor Beledian 16,5 x 23 cm, 448 pages, présentations, cartes, biographies, index.

Éditions Parenthèses / collection diasporales

ISBN 978-2-86364-196-5 / 24 €

Berdjouhi

Jours de cendres à Istanbul

récit traduit de l’arménien par Armen Barseghian, 16,5 × 23 cm, 224 p., 2009 (1re édition : 2004).

ISBN 2-86364-122-0 / 18 €

Arménouhie Kévonian

Les noces noires de Gulizar

Traduit de l’arménien par Jacques Mouradian, préface de Chavarche Nar-touni, présentations historiques de Anahide Ter Minassian et Kéram Kévonian, photographies, carte, 16,5 × 23 cm, 192 p., 2005 (nlle édition 2009).

ISBN 2-86364-138-7 / 19 €

http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=42881

Agenda - Encyclopédie: Collection "Trésors d'Arménie"- Sous la direction de Varoujan Sirapian et Samvel Gasparian Encyclopédie Collection "Trésors d'Arménie"

Un beau livre à s'offrir et un beau cadeau à offrir !

- Les étrangers appellent notre pays, l'Arménie, "Musée à ciel ouvert". Cette encyclopédie est un guide très particulier qui chemine dans les quatre "salles" de ce musée : "Antiquité", "Moyen âge et christianisme", "Nature et mode de vie" et "Epoque moderne".

Les quatre-vingts "Merveilles" présentées dans ce volume sont très pré-cieuses au lecteur arménien. C'est probablement pour cette raison, que la maison d'édition a choisi un titre assez lyrique - "Merveilles". Néanmoins il faut aussi prendre en considération que le peuple arménien est très fier de ses merveilles dont la plupart ont trouvé honorablement leurs places dans la culture mondiale. Dans cette encyclopédie nous trouvons des patri-moines qui sont inhérentes à l'histoire des Arméniens mais qui se trouvent actuellement sur le territoire historique de l'Arménie, en Arménie occiden-tale, (la Cathédrale de la Sainte Croix d'Aghtamar, le canal de Sémiramis, la cathédrale d'Ani, le lac de Van, etc.)

L'encyclopédie "Merveilles d'Arménie" est très appréciée par les lecteurs arméniens. Nous espérons qu'elle plaira aussi aux lecteurs francophones qui montrent de l'intérêt pour l'Arménie et pour le peuple arménien.

Format 21.5x29cm, couverture cartonnée, 112 pages couleur quadrichro-mie sur papier glacé 135g Avec les cartes double pages de l'Arménie historique et de la République d'Arménie + la République du Haut Karabagh

ISBN : 978-2-917329-11-5 ISSN : 2104-6522

Prix : 30 € TTC

POUR COMMANDER " Merveilles d'Arménie " cliquez ici http://editions.sigest.net/page0001010e.html#I0002aed1

SIGEST sarl, 29 rue Etienne Dolet 94140 Alfortville Tél. : + 33 (0) 1 43 75 42 85

Traduit et enrichi de la version arménienne publiée par Areg, Erevan. Plus de 35 personnes, auteurs, photographes, illustrateurs ont participé à ce Beau-livre.

http://www.diasporamag.com/magazine/livresalaune/merveillesdarmenie/index.html

http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&&id=45838

Agenda - Eté et automne 2010: Le Trio Oshakan en tournée en France

Le Trio Oshakan en tournée en France été et automne 2010

Oser l'émerveillement après Radio France 2006, le Festival de Tou-lon 2007, le Festival de Musique sacrée de Monaco 2008 et pour 2010 invité aux Rencontres de Musiques Anciennes du Thoronet et au Festival Baroque de Pontoise.

En tournée en France été et automne 2010

Oser l'émerveillement après Radio France 2006, le Festival de Toulon 2007, le Festival de Musique sacrée de Monaco 2008 et pour 2010 invité aux Rencontres de Musiques Anciennes du Thoronet et au Festival Baroque de Pontoise

Le Trio Oshakan

à la manière des miniaturistes, vous invite à un voyage musical entre Orient et Occident dans les jardins de Paradis d'Arménie du X e s., à Komitas puisant dans la poésie mystique et lyrique du moine et savant Grégoire de Narek, X e s chantant la grandeur de Dieu et le néant de l'homme...

de Grégoire d'Agtamar, XVI e s. décrivant avec tristesse l'instant ou son âme, comparée à un jardin, quittera ce monde...

de Naghash Hovnatan et Sayat Nova, trouvères arméniens du XVII et XVIII s. louant la beauté, l'amour et les plaisirs paradisiaque du jardin d'Eden...

de Komitas enfin, avec ses mélodies aux inflexions délcates et mrécises, grisant l'ame par la douceur, ses rythmes souples et vivant, dont l'oeuvre à contribué au renouveaude la musique arménienne nourrissant le sentiment national arménien dont elle est une des expressions les plus authentique et identitaire.

Contact: Roger Piranian

Tel: 06 85 90 24 09

Courriel: [email protected]

SITES GENOCIDE ARMENIEN

Visitez nos liens

http://www.collectifvan.org/liens.php?r=7

QUELQUES INFORMATIONS SUR LE SITE DU COLLECTIF VAN

Rubrique Info Collectif VAN

Retrouvez toutes les traductions de la presse anglophone ou turcophone dans notre rubrique Info Collectif VAN http://www.collectifvan.org/rubrique.php?r=0&page=1

Le Collectif VAN met en ligne régulièrement des traductions de la presse anglophone et turcophone. Oeuvres de militants, de sympathisants du Collectif VAN et de prestataires, ou émanant de sites externes (tel celui de la FEAJD), ces traductions visent à mettre à la disposition du plus grand nombre, les informations essentielles à la bonne compréhension de

l'actualité.

Vous retrouverez également dans la Rubrique Info Collectif VAN : http://www.collectifvan.org/rubrique.php?r=0&page=1

- nos informations ou communiqués de presse, ainsi que ceux de certaines organisations externes.

- le sommaire bi-quotidien de notre Revue de Presse du jour.

- la Revue de la presse turque en français (ni traduite ni commentée de notre part).

- la Revue de la presse arménienne préparée par l'Ambassade de France en Arménie.

Rappel : Vous avez en haut de page, un module Recherche pour retrouver un article. Attention, le champ de saisie ne doit comporter qu'un seul mot. Essayer de cibler en choisissant plutôt des noms propres, pour éviter un trop grand nombre d'occurrences.

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France 5 - 8, rue Marceau 92785 Issy-les-Moulineaux cedex 9Tel : 01 55 00 74 74 — Fax : 01 55 00 77 00Internet : http://www.france5.fr/Email : http://www.france5.fr/contact/Ecrivez à Alain Le Garrec, médiateur des programmes sur :http://www.france5.fr/contact/W00069/2/71909.cfm

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M6 - 89, av. Charles de Gaulle 92575 Neuilly/Seine cedexTel : 0825 06 66 66 - Fax : 01 41 92 66 10Internet : www.m6.frI-Télévision - 6 allée de la Deuxième DB 75015 ParisTel : 01 53 91 50 00— Fax : 01 53 91 50 01Internet : www.itelevision.fr

LCI - 54 av. de la Voie Lactée 92656 Boulogne cedexTel : 01 41 41 23 45— Fax : 01 41 41 38 50Internet : www.lci.frQuelques émissions radiosoù les auditeurs peuvent intervenir

Europe 1 www.europe1.frSemaine de 18h55 à 20h00Michel FieldChaque jour, du lundi au vendredi, de 18h55 à 20h00, Michel Field “accouche” en direct les auditeurs, sur un thème d’actualité. Sans se contenter du pour et du contre, il les fait dialoguer à plusieurs sur un même sujet. Ils se forgent ainsi eux-mêmes leur opinion comme lors d’un travail journalistique : croiser des sources puis se rendre compte que la vérité est souvent de l’ordre du compromis entre des idées tranchées. C’est aussi une façon de prendre chaque jour le pouls de l’opinion publique sur des sujets lourds et graves mais aussi légers et futiles comme en distille, chaque jour, l’actualité. Pour discuter avec Michel Field, il suffit d’appeler le 01 42 32 14 14 ou d’envoyer un courrier électronique sur www.Europe1.fr.Semaine de 10h30 à 12h00Jean-Marc MorandiniCoup de pied dans le PAF chaque matin : Jean-Marc Morandini nous dit tout sur le monde du petit écran au travers de reportages et d’enquêtes dans les coulisses de la télé. Egalement en studio chaque matin, une star du petit écran ou un patron de chaîne répondra aux questions de Jean-Marc Morandini et des auditeurs. A découvrir aussi, le zapping de la Télé de la veille et les commentaires des auditeurs qui donnent leurs coups de cœur et leurs coups de gueule sur le répondeur de l’émission au 01 42 32 42 32 ou en direct au 01 42 32 15 15.

RTL www.rtl.frSemaine de 13h00 à 14h00Pierre-Marie Christin Les auditeurs ont la paroleRendez-vous phare de l’information, le 12h30 accueille un nouveau présentateur. C’est en effet Pierre-Marie Christin qui succède à Christophe Hondelatte et Jérôme Godefroy aux commandes du journal de la mi-journée. Pierre-Marie Christin présente ensuite, de 13h00 à 14h00, “Les Auditeurs ont la Parole”. Réagissez à l'actualité par téléphone (32 10) ou sur internet. Entre 10H et 14H, une standardiste prend votre témoignage. Avant 10H et après14H, vous pouvez laisser vos message sur le répondeur, sans oublier de laisser vos coordonnées téléphoniques si vous voulez participer à l'émission. Chaque vendredi, cette heure d’expression prend une coloration week-end. Les loisirs sont à l’honneur avec la participation des journalistes spécialisés de la rédaction, ou d’intervenants extérieurs. Et, à la veille du week-end, Louis Bodin dialogue avec les auditeurs sur les phénomènes météo de la semaine écoulée ou des deux jours de repos à venir.

France Inter www.radiofrance.frSemaine de 19h20 à 20h00Le téléphone sonneSi vous voulez poser une question, témoigner et/ou intervenir à l'antenne...- le téléphone 01.45.24.70.00 dès 17h- Internet, en utilisant le formulaire de la page "Pour intervenir".- le SMS+ pour réagir pendant l'émission, de 19h20 à 20h : sur votre téléphone mobile, saisir le code " TEL " suivi d'un espace, votre question puis valider et envoyer au 6 20 30. (0.35€ par message plus le prix du sms)

Le lundi, mardi, jeudi et vendredi à 19h20, nous vous invitons à réagir sur un thème de l'actualité, à poser vos questions aux invités du téléphone sonne. Vous pouvez également, après la diffusion, réécouter l'émission dans son intégralitéLe répondeur « Là-bas si j’y suis » : 01 56 40 37 37 soit sur notre mail : [email protected] et nous donnerons suite !

RMC www.rmcinfo.frBOURDIN & Co Le 1er show radio d'infoDu lundi au vendredi de 6h à 10h.Découvrez une nouvelle façon de traiter l'info du matin avec "Bourdin & Co" ! Finis les journaux austères et redondants. Voilà enfin un espace de liberté où auditeurs, politiques et journalistes sont logés à la même enseigne. Jean-Jacques Bourdin agite, provoque, polémique, et vos réactions ne se font jamais attendre! Un ton débridé et sincère pour des échanges parfois musclés mais toujours respectueux. Pour intervenir : Appelez le 3216 (0,34€/min).

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L'association des auditeurs de France Culture

L'association des Auditeurs de France Culture (aafc), créée en 1984, rassemble les personnes qui veulent manifester leur intérêt pour cette chaîne de radio dont les émissions sont écoutées et appréciées au delà de nos frontières.

L'objet de l'association est de regrouper les auditeurs de France Culture pour favoriser des rencontres et coordonner les actions visant à :

- l'évolution de la chaîne dans le maintien de sa qualité ;

- la préservation de son identité et de sa spécificité ;

- l'amélioration de sa technique et de son confort d'écoute ;

- son ouverture aux différents aspects de la culture ;

- son rayonnement et développement de son influence ;

- sa pérennité.

L'Association se déclare attachée au caractère de service public de France Culture et ne saurait en aucun cas se substituer à lui. Elle se veut pluraliste et indépendante de tout engagement politique, confessionnel, syndical et philosophique.

Association des auditeurs de France Culture 83 boulevard Beaumarchais 75003 Paris Téléphone : 01 42 09 03 67 Courriel : [email protected]

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Collectif VANVigilance Arménienne contre le Négationnisme

Boîte vocale : 09 50 72 33 46 [email protected] - www.collectifvan.org

Collectif VAN - BP 2008392133 Issy-les-Moulineaux Cedex

Les Infos Collectif VAN sur :http://www.collectifvan.org/rubrique.php?page=1&r=0