31* ANNEE. Ne 13485

tt;

ABONNEMENTS!mole 12 Int s mois sa fr.; 1 an ni ft

Notre opposition' J'al indiqué, la semaine dernière,que telle partageais pas l'opinionfotiondee par Léon Blum au sujet de

L'adnaission possible clans les rangs'an parti socialiste d'anciens adhé-rents à la Ille Internationale. Laquestion a été longuement traitéepar notre camarade. Je veux me

, borner a que/ques observations.Le parti lors du dernier conseil

national avait formulé d'expres-ses réserves am l'unité d'action untexte, dans ce sens obtint la mole-

ta/té relative. Estal un seul socialistequi ne soit persuadé aujourd'hui quel'action commune n'était pour leparti ammuniste qu'un instrument

.propagande propre et un artificede désagrégation du socialismefronçais?

A Nantes, nous détendimes avec- sam.. la thèse de l'indépendanceélis S. F. 1.0. Est-il un seul cama-rade 5111 poisse eigmatimr notrepuni-puis ou nos erreurs?

La guerre est venue. Les réunions'de nos sections sont laborieuses etrares. Ceux quit aux jours d'enthent--siasme, ne donnèrent Pas leur adhé-sion au mouvuunt socialiste, sontplus difficiles encorné convaincrede la nécessité du groupement, dela solidarité. La tâche des militantsest, par la force des choses, de sau-vegarder, de maintenir, plutôt quede développer net fore,

A cette heure Léon Blum nousdit t a Accueillez les repentis ducommunisme stalinien, réserver-leur à votre foyer mte place choi-sie! n Notre ami entend ainsi cana-

BEAUCOUP DE BRUIT POUR RIENDANS LE SECTEUR

DE SARREBRUCHAu sud de Sarrebrticb, l'artillerie

allemande à déclenché de violentstirs sur le secteur boise. L'ut..nrinaccentuée de ce bombardement adonné l'alerte. On s'attendait à un forteatulo de main, mais aucune tentativede l'infanterie allemande n'a suiviludion de l'artillerie.

Dans la réglo de la Plies, au nord-est de Sarreguemines les Patrouillésallemanides ont éte également plus'!'unim«ses et plus mordantes que decoutume. Elles ont été repoussées Parles feux de l'infanterie française et,055 repliant, elles ont laisse cinq

'ès six morts sur /e terrain.

De même, alors que l'aviation al-lentnade n'a tenté aucune opération

reeene,ence profonde, ses es-cadrilles de chasse ont Pris fer fngrand nombre auglessus de la soneen et en suivant le fron

fies événements, toujours locaux,

esrosItdéroules hier sont les sui-

es .dans le'd'u ravin qui dé-

SOCIALISTE

léser les anciens adhérents des cellulra vers nos sections. Comments'opérera cette selection ? Quels or-gues évidents permettront de dis-tinguer Phoritme sincere de l'impos-teur ? La S. F. I. 0. a une existencelégale : la propagande bolchevistecland.tune ne donnera-t-elle pascomme mot d'crdre à ses agents lesPl. agissants de s'immiscer au seindu parti pour poursuivre une uvrede dissociation interne?

!

Autant d'interrogations auxquel-les j'ai, pour ma part, Intimement )

répondu : le mirage de l'unité ou-vrière aboutirait à la disparition duseul parti prolétarien eu le di000e-1iditerait.

Mais à la vérité, le différend esd'ordre Phis général.

Se penchant sur /e s Mystèrerasse n, Léon Blum écrit dansumero de a Paris-Sur o du mar.

14 novembrea J'exclus DELIBEREMENT de

ses de.ei. (ceux de Staline) ri/ri-meuse ambition révolutionnaire suifit /a grand.r du communisme il 3)a vingt ans. n

Léon Blum estime que le Maitrede toutes les R.sies subordonnea UNIQUEMENT sa conduite s auxintérêts matériels de la Russie, ason désir de domination a impéria-liste >.

De même que notre camarade nermonce pas « à l'unité du Proléta-riat n, en France, malgré /a trahi,son des commûnisteo français, il serefuse a délibérément > à croire que

Les Soviets renforcent leurs eSectile.Volai de nonvelles awnes nui viennent d'arriver à Mosan

Les opérations militaires!bouche dans le ravin de cette rivière,Sur terre I.Lipaathraeuuti1resd:IlcsynnalangdeesforrttepUT-

Le

territorialesnéerlandaises,un« am

communique iii.

ticulièrement entreprenantet et il afallu des tirs très nourris de mitrail-leuses pour les éloigner de la proxi-

imitédes lignes françaises.

Dans la région de la Nied, rivière!qui, coulant d'ouest en est, vient deFrance pour aller se jeter en Alterna-ace, dans la Sarre. à quelques kilo-mètres au nord-ouest de Sarrelouis,les patrouilles allemandes ont été éga-lement très actives. Elles ont cherché,avec une insistance particulière, às'approcher le plus possible des po-sitions françaises.

RECRUDE8CENCE

Paris, 13 novembre. Au cours de En IllerDE PATROUILLES

la journée d'hier, les patrouilles aile- g ,,,,,,,,,,,,,,, mugi;mandes ont été plus nombreuses et

as actives que de et lestirs d'artillerie plus violents plusnotirris et plus systématiques.

COMBAT ENTRE LES FLOTSET LE CIEL

Copenhague, 19 novembre. Lespassagers du poquebot danois a Dis-Ion D, retour du Grotinland, racontentcomment au voyage aller, le 10 oct.hre, ils forent témoins d'un combataii se der.. à 70 milles a l'ouest

Rédaction et Administration 38, nu: Roquelaine, TOULOUSE Te. 200.43 C. C. Pesteux 5.272

BUREAU A PARIS : 5, rue St-Augustin (29 Téléph. Richelieu 69.00 (3 lignes groupées sur « numéro)

Intim« de nia John Sumov ssioisisgoe diacours mtaltiosent sue les

offres de médiation hollandouselae

L E Groupe Parlem.talre Socialiste a abordé l'e en au fond des

Ttd-ée révoluDonnaire ait été souillée-par le banditisme russe.

Nous penso. au contraire queStaline Poursuit, A Lit FOIS, ungrand dessein impérialiste et uneambition révolutionnaire. 11 deman-de

-e des territoires, des Protectorats

il organise parallèlement la bolche-Adtsation des natio. ueonquisss osourni«s. Son rêve est à l'image dumonde, n englobe la France, com-me l'Allemagne.

Or je suis sûr que le barrage leplus solide, sur notre sol, à ces tees-tatives d'asservissement du proléta-riat et de la nation c'est notre partimciallstr. par ce qu'il repréSente decohésion pour résister et de forcesPour créer.

PAUL FAURESUR LE MEIVIE SUJET

G recueilli pen apré* u eikAu retour du GrO--------1er

du a Disko D furent Serfic'e

grands problèmes posés par l'état de guerre. ,

Sa Délégation Exécutive, exécutant le mandat qu'elle dataregs, g mis au peint un texte qu'on lira plus loin. Ce texte ne doit pas

être considéré comme un programme d'action complet. Il ne fait

qu'évoquer les questions les pl. immédiates.Le Groupe a d'ores et déjà décidé de consacrer de nomes,. débats

à Pétude de tous les grands problemes qm con& om n

E Groupe socialiste a entendu ses délégués aux grandes Commis-

sionS perrnarmees.Il 1. a remerciés et félicités de leu. efforts. Il leur a

demandé de les poursuivre pour que les idées de j.tice et de

«lidarité qui doivent inspirer, dans la conduite extérieure de la guerre,

l'action des gouvernements alliés, dirigent également la politique inté-

rieu. du gouvernement français dans tous les &matines, militaire et

social.

AUX ARMEESLe Groupe prend acte de la prome.e formelle du gouvernement

que sera rétablie, dans le plus bref délai, ,L'EGALITE DE DROITS

ENTRE TOUS LESiPERES DE FAMILLE qu'ils aient ou non faitC'EST LA RAISON 1P3SENT/ELLE

QUI NOUS INTERDIT DE LIVRER leur déclaratton en tern. able.

Dépuj té. ARdeN1°'1.4'se'ra 1

I rouit LES VIEILLES ebAssEs (2° RESERVE) ,CE PART/ AUX DEMOLISEURS.

lpeétmenérese 'OP'iritiftitervileirammn eacti'redletn4 'roudélégués

'écrues 'dfs dssent'xparaC«mmi'.rncertaines momali. dont la prolongation ne saurait plus être admise.

Ils demanderont notamment-Que des homm. des VIEILLES CLASSES ne puissent être

affectés à la ZONE DES ARMEES, alors que, dans la même usasse, dushomm. des clasS. plus jeunes se trmveraient encore dans les dépôts,ou même dans leur foyer a sans affectation n (1m rang de priorité

i vité nnemie sdevant, bien entendu, être accordé à ceux qui ont des charges de famille,

'accroî tqui ont déjà servi aux armées de 1911 à 1919, dont le père m le frère

a été tué à l'ennemi ou dont le père est mutilé à 100 pour 100)

LES AFFECTATIONS SPECIALES

_

L act' e5

Que les mêmus princip. soient appliqués strictement pour les

AFFECTATIONSsur terre et dans les airs « iATIONS SPECIALES dans les entrepris. travaillant pourla Défense Nationale, ainsi que data les administrationel «viles et

IIEME SOLDE POURITOUS !sans doute celui dont l'équipage fut 3) Qu'il n'y ait plus de différence de solde entre les mobilisés,

!soldats, caporalx et sous-officiers ayant servi au delà dia temps normal

combat entre un destroyer anglais et / smiDAETTE DE GEERRE

19 novembre (mutin) Cer-r'letitt'.111e'reecieleemllio'b'rtgete, Le Groupas'estégalementt PréoceoPé del Méthodes Parfois ebi-

RIEN D'IMPORTANT A SIGNALER AU COURS DE LA NUIT. Unicietira. freresil,r1i,eloztézarur rere des

UN NAVE LITUANIENHEURTE UNE MINE

Londres, 19 novembre. Us navi-re marchand lituanien faisant routevers l'Angleterre a heurté une mineprès de Rotterdam. Sur i'équiPage devingt hommes un se' lé tué et quatreblessés.

LEQU/PAGE DE a L'AFRICASHEI.L s AFFIRME QUE LEPETROLIER A ETC.PAR L'AMIRAL SCHEER

Prises snob le feu des armes auto-maliques elles ont laisse ert se re- Londres 18 noymbre. Le Dai-pliant un sous-officier grièvement Is Teleg«ph and Morating Post D, enblessé. Les fantassins français se sont dernière heure annonce selon unPortées 00 secours dol blessé et Toutrame. prIsonnier dans leurs lignes.EN MER

UR

ild locaions mitérliieur.e'et protester, à

DEUX NAVIRES ALLEILINDS cette o.asion, mntam l'interdiction par la censure politique (dont laONT QUITTE L'ANGOLA !rigueur ne s'exerce pas toujours sans partialité) de la publication du

Lobito (Angola), 19 novembre. rapport de ses délégués signalant les lacun. des interactions ministé-Deux granits paquebots allemands, le riell..O Windbuk n. 16.662 tonnes, et le

Adolph NV, ennemi n, 8.577 tonnes, )Sa protestation «Mime ces revendi.tions sont d'autant pl. j.ti-

ont quitus Lobito gouvernement a donné suite a' la proposition du Groupesans se faire rernaegne, pour une socialiste .ncernant notamment 1m droits dm ascendants,destination neonnue. Ils étaient anerés à Lubin. Tumerture des

1/MMES REGLES POUR TOUS !

hostilités. Le Groupe demande que SOIENT UNIFTEES LES DECISIONS

message de son correspondant duCars qu'un représentant spécial dujournal a Ieoh«. n, de Lourenco-Marques, s'est rendu en avion à In-hanbanc. Il a interviewé l'équipagedu pétrolier « Africa-Shell D, qui aété récemment coulé au large dela côte Mozambique.

Il a soumis ang matelots des pho-tographies des cuirassés de poche al-lemands et tous les marins de a l'A-frica-Shelle >> ont reconnu l' sAmiral-Scheer D comme étant le navire quiavait torpillé le leur.

DES HYDRAVIONS ALLEMANDS

DES CANTONALES,COMMISSIONS , grâce à une org ation sem-blable à celle de 1914-1918, afin que des inégalités choquant. ne prolo-sent exister de département à département et même de me. à canton

L'ALLOCATION EST UN DROIT- II estime que l'octroi de l'allocation militaire doit être la régie, que

son relus est l'exception et que .tte exception ne petit se justifier quedans les cas ou t'absence du mobilisé n'a pas eu pine résultat de priverIn famille des ressources nécessaires ii son existence.

COMMISSIONS CANTONALES ELARGIESPour que le contrôle mit fait da. de meilleures conditions, les

Commissions .ntonal. devront être élargies notamment par la pré-sence, à titre consultatif, des maires, chaque fois que la Commissionexamine les dossiers de leurs administrés.

aluir s001000 u?fc V.. g et la trouée de Wis«mbourg.

mduaist'ree'i'' Lik:'7maeuutieuLt'Ulet d115 '0'e a'"i"- ravniatron rndassisté 00e gessess pacatpWiatrli

activité de

de chasse venant des arrières elle-aUffe! mands, au nord de I aforet de Bien,a Le mime avion hollandais a

mensarted.,ete ,dueiuxontatre,ts,éhesastraokz eues- ont eroiSé 1011 'apreS- Midi au-O.--BOLL/1 NDA ISE sus de la Lauter, formant une sorte

de Bergen entre quatre concasses an- L'un des aopareits ennemis ' ,,,..,, ,,, r,,d

,, oo, ,..,.,,... , 0.,, de rideau aérien étagé en hauteurglaiset dix avions de «tubard«. I

a tire sur «vlan hollandais H- et ce' ittegiti,," iaj,0,,,,i :rai' --,rn;,,o'uïter,,,--Itui).; Ces appa reils «aient relevés Paf

Ces

gui le s:o ene.,eenj eitee, .,.,, ee . par des escadrilles

derniers lancèrent une centai- Amsterdain. 18 novembre.. Le ser- 1 t ioation de la neutralité et nate le tdit

ne de bombes mais aucun bateau vine de presse gouvernemental née, nue l'avion allemand a tiré sur l'airain Il S'agit là, sa ns d Oute, soit

ne Dl atteint. Dans la. belail- I... 'communique

de la!hollandais dans Ion eaux ter,aoriaies mis* en Place d'un disp.itlf de «-

anglais 'it

le les allem ilands perdirent un avion,' ' 5 Till ,d...Vi011 . allemand du type po esllandols. cari« destiné -à interdire aux avions

allemanournmds. g e velleche«es.

Les grands problèmes que pose l'état de guerre

LE PROGRAMME D'ACTIONdu-Groupe ,socialiste parlementaire

lllllll lllllll lllllllllll 111111111R11111 lllllllll llllll 111111119119111111111111

LES DEPUTES SOCIALISTES SE RESERVENT DE DEPOSER SUR LE BUREAU DE LA CHAMBRE TOUS LES TEXTES NUES.SAIRES A L'APPLICATION DES PRINCIPES D'EQUITE ET DE S OLIDARITE ,AFIN DE MAINTENIR DANS LE PAYS L'UNION

CALME ET RESOLUE OUI FAIT SA FORCE ET ASSURERA SA VICTOIRE

La production agricole

La molitill.tion industrielle et économique ;Le Budget de 1910Les finances départementales et communalesL'organi.tion de la Défense Nationale (habillement, equiPeineût,

armes et matériel),Ces questions femnt l'objet de rapports détaillés en vue des pro-

nationale et la vie du pays, problèmes au premier rang desquels il place: draines délibératio. du Groupe.

La dernière délibérition du Groupe

JUSTICE DANS LA REPARTITIONDES CHARGES

Bloehm und Vase a, a été ee de recornessance français le salve]matin, près do Ti. de vionand, à une nas l'air d'une none où 11 se Pamait quelquecourte distance de la «te, et, sans nu/ chose eue 1* commandement aile-doute, dans les mus territoriaues 7.1- mand veut tenir secret, Mit simple-/ends... ment d'exercices d'entrainement

a un avion de «mese noua:Mais a L'AVIATION ENNEMIE REDOUBLE auxque, sont se,..,, iee ie,,,,,,, pi_ouvert le feu sur DaPnareil étranger qui D'ACT/V/TE lotes germaniques.a quitté les eaux territoriales hollan. Sur le front d'Alsace, entre les L'aviation de reconnaissance al-

Le Groupe demande que la révision des dossiers déjà nsnmicéo coiorganisée sur ces bases.

COLLECTIVITES LOCALESEn vue de permettre aux comm.. de parer aux DEPENSES DE

SOLIDARITE, le Groupe smialiste donne r.ndat à ms délégués à laOommission des Finances d'obtenir pour les commutes une plus targeautonomie fiscale, qui leur permette de créer dus r.sources dont lanature et l'assiette se.nt plus conformr.s aux principes d'équité.

CHARGES NATIONALESLe Groupe socialiste se félicite de ce que le ministre des Finances,

tenu« compte dm critiques et sUngestions du Gdoupe, ait modifié cesdécrets sur la limitation DES BENEFICES DE GUERRE par l'apportaux maambés, et ait i.titné le CONTROLE SUR LES AVOIRS AL'EIRANGER sur la base même des DISPOSITIONS ECARTEES PARLE SEMÂT EN JUIN 1936 ET DES PROJETS DE DEC/LETS-LOISDE JUIN 1937 ET MARS 1938.

Il estime cependant cet effort insuffisant en raison des chargesnouvelles inapreeru à l'ensemble des contribuables et de la NECESSITEDE METTRE UN TERME ABSOLU A L'INJUSTICE ET AUXFRAUDES FISCALES.

LIMITATION DES BENEFICES DE GUERRE !Il donne mandat à ses délégués à la Cornmissien des Finances de

prop.erQue soient repris les textes -de projets de décrets-lois de juin

1937 LIMITANT LES BENEFICES PAR RAPPORT AU CAP/1'ALINVESTI DANS LES INDUSTRIES TRAVAILLANT DIRECTEMENTOU INDIRECTEMENT POUR LA DEFENSE NATIONALE.

Que, pour rendre cette disp.ition effi.ce, soient prises lesmesures nécessaires pour interdir toute dissimulation de bénéfices sousune forme quelconque.

Que soient repriS las textes des projets de décrets-lois de juin1937 et de rnars 1938 tendant à transformer les titres au Poeunr entitres nominatifs avec certificat au porteur afin de concilier la rapiditédes transactions avec les bbligatiosos de la probité fiscale.

En cas d'insuccès des .mmissions compétentes, 1¢ Groupe donnemandat à ses délégués de faire toutes démarches utiles. Il se résenede déposer sur le bur.it de la Chambre tous les textes nécessaires àl'application des principes d'équité et de solidarité qu'il a définis, afinde maintenir dans le pays l'union calme et résolue qui fait sa fOrce etassurera sa victoire,

lemande n'a ten iede sndouvellefgrandesrand onnd Elle e st ,10.née suceurs de la Marnée 015001e'.d'envoyer sur Inc emon du nord dela France quelques appareils quavenua par la mer du Nord, sont re-partis par le même chemin.

NOUVELLES ALERTESEN ISCOSSE

Londres, 19 novembre. L'alerteaérienne a été donnée ce mat«

durée. Le signal e danger passé n asuivi de prés le signal d'alerte.

Les avions, qui volaient à une al-titude très élevée, ont «é aperçusau loin. Aucune bombe n'a été jet..

Londres, 19 nOvembre. Les si-eirsdesel iZet -fMitdi',Iatteemaent dOirdes avioos non identifiés sont appa-r. au-demus de la remon au Flet*Urtcitill. idut

LES DEBRIS D'UN AVIONDANS LES EAUX DANOISES

Copenhague. 18 novembre.O sra e t > gnnonce qu a 30milles en mer les débris d'un avion

dm05 la muon nord-est de Ecosse. abattu par des balles ont été décou-L'alerte n'a en que ded courto !verts Par deux cutters danois.

5(3"-C E lenLUNE/ 20 NOVEMBRE 1939

Que sortira-1-11 de la guerre ?

Un monde nouveau et presque parlait ?

Comme en 1918?Si seulement pouvait en sortir une paix

durable 1H

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

UNE ALERTE DANS LE NORDParis, 18 novembre. Une alerte

a éée donnée ce matin, à 10 heures,dans la région du Nord.

ILS NOUS ENVOIENTnain... BONBONS

Langres, 18 novembre. Dans larégion de Langrées (Haute-Marne),un communiqué de l'autorité utili-taire annonce qu'un avion allemanda lancé probablement dans destracts des dragées suspectes.

Les maires sent priés d'avertirsans délai les populations des chefs-lieux, villages, fermes, garas, etc., dudanger que présente, en particulierpour les enfants, l'absorption desbonbonu rama.es me lavoir Pen-qUe, dans les champs, Sur les Ive-mina, etc.

UN AVION ALLEMAND S'ABATEN VEN/DPIE

Rome, 18 novmnbre. On a7.-prend qu'un avion allemand esttombé dans la région d'Udine. dansla Vénétie septentrionale. Jusqu'iciles autorités compétentes n'ontfourni aucun renseignement à ceobjet.

UN OBUS ALLEIVLAND TOMBEEN SUISSE

Berne, 18 novembre. Urtat-ma-Bir de l'armée oommunique

a Cet après-midi, à 17 heures, unoberu d'artillerie a fait eXPloSionBâle, à l'intersection de la Klein-huninger Tresse et du Glessliweg,et a blessé une jeune fille âgée de17 a..

a L'obus provenait de l'artillerieallemande tirant sur un avion fran-Çalia

LA BELO/QUE PROTESTEBruxelles, 18 novembre. A la

suite des sumuls d'avions de belli-gérants qui ont été constatés cesjours derniers en plusieurs points duterritoire belge, le gouvernement achargé S. nouveau ses reprérsentantsdiplomatiques de faire une démar-che énergique de protestation au-près des gouvernements integre.e.

An cours des derniers Jones, on lesait, plusieurs avions allemands ontété reprérés au-dessus du .ridtcill.belge.

Le coindes stratèges

LES TROIS PLANS D'HITLER

s'apr. l'anglais « Sunday I .spatohLa guerre totale à l'Ouest comPori

une offensive de grande envergure surle front occidental et de raids aérienses des attaques mus-marines inte.escontre la Grande-Bretagne.

Ribbentrop et Goebbels seraient, ditle redecteur de . Journal, I. princi-paux partisans de ce plan.

Pas d'offensive, parce qu'elle feraitle jeu des alliés, mats à, la place, uneguerre ecmommue menée fond.

Ce serait la théorie de (=keringcst.erait pouvoir mettre les petitsOvulé neutres dans l'obligation de rem;Me inefeue le blocus britannique,

9, Attaque contre la Hollande et laBelgique, tout en restant sur la défen-sive sur le front occidental.

Ce serait le l'opinion d'un certainnombre de chefs militaires.

Par ailleurs, ajoute le tedacteur dug Smday Dispatch a, Hitler ne déses-père pas de convaincre M.sollni del'opportunité de faire une offre de paixobtenue, si possible, par les Etats-Unis.

PERSPECTIVES MILITAIRESnu gênerai nucal, au a Journal aLe commandement fr..la noua a,

clés les premiers jours, fait connetreson intentMn de ne livrer qu'une ba-taille défensive. La lige. Mvelét avaitété canstruite à ette fin; elic noue Per-met d'éviter le riSque des grandes ba-tailles décisives en rase campagne, alorsque les troupes, surtout celles forméesais mobilisation, sont encore mal adrtetees à, /a guerre, mal préparées à sublzin rude éprouve du combat moderne.Les Allemands n'ont pas osé a.epterla bataille que nous leur offrions sur laligne Maginot, Le temps 1m messe ce-Pendant plm que nous. Ils sont soumisà des privations qui ne peuvent qu'aug-menter et devenir b /a longue tees pé-nil... Un Calec militaire les rendraitmsipportab:cs. Il y a là un motif, tit-rons une chance que la guerre soitcourte. Le moral de l'Allemagne est cer-tainement beaucoup plus fragile qu'en1915 et 1/ or aura pas besoin de succesaussi caractérisés qu'en 1918 pour qu'ils'effondre.

Mais 1010 quelle tonne un su.. /ni-liMire est-il possible? n peut d'abordrésulter de l'initiative de l'Altaraigne,si l'impossibilité d'attendre lui imposel'obligation impêrteum de risquer la bastaille défensive que nous sommes Persà accepter. /I peut encore etre obtenusur un autre théâtre d'opé.tions: m-vons-nous les surProsas que le politique

Creaetirmdetireo:::%Irs'',7oztrueg-..attaquer la ligne Siegfried. Une

aiteque est possible g la condition deposséder des moyens puissante en ar-tillerie, en aviation, en chars d'assaut.Un certain temps serait aloes nécessairepour réaliser cm moyens: ce temps me-surerait. la durée de la guerre.

ER résumé, il est é...Ka de diredès aujourd'hui, en s'appuyant de bon-nes raisons, sa la guerre sera coudelongue. Nous n'en savons rien.

S'IL NE DEVAIT PAS Y AVOIRD'ATTAQUE MILITAIRE

De M. GeOrgeS Bidault, à l' a Aube sSi Von considère le rapPort des for-

ces matérielles, la conclusion est laméme que celle qui, résulte de la coin-paraison dos données morales. Que peutattemée l'Allemagne d'une ffaurrotente ? nias d'alitie, même avec ms 011-point soviétique accru, que l'accentua-ition de la supériorité silda dans lessecteurs off elle est delà .guise et que

renversement des proPortioos dansles secteurs oit il n'est pas certain quenous ebyns déjà les plus forts.

La guerre d'attente, Mess 15 certitudeque la levée de l'embargo par l'Améri-sue produira mn plein effet. La guerred'attente. c'est Nt metrise de Vairs'ajoutant bientôt, pour la Franco etpour l'Angleterre. h la metrise demer. La guerre d'attente, c'est le b.o.cas développant peu 5 Peu ses corsé-spermes. La guerre d'attente, c'est laMgende d'audace et de victoire qui sel.condor car si personne ne peut s'éton-ner que les défenseurs s'en tiennentla défensive lee agresseur. ne remnlcroire q paraar:la qulls en resteraientla sils pouvaient taire autrement.

Toutes dispositions ont été prises parlare

ma00eeâej'pos'il=auraient à être complétees par eau-tees, en vue de nous rendre aussi in-vulnérables aux tentatives de Gcebbelsvue nous /e sommes a celles du généralvon Brauschitch. Je ne trenulerai pasmei faudra pour cela corriger certaineserreurs psychologiques commises cestempe derniers avec les meilleur. in-tentions.

COMBATS IMAGINAIRESDe M. Charles Marine, au a Petit

Parisien » :Depuis quarante-huit heures, des de-

péches d'origine allemande et repentdues dans 1m pays neutrrt font 1..1anâ des opérations qui auraient eu lieusur le front du nord-est. Certaines deces dépêches qui ont été radlodiffuséesne contiennent &met:ment rira qui cor-responde à la réalité d. fans. La sériede combe., imaginés par les Allemandsau sud-ouest de Pirmasens, pas plus queles tirs de mitrailleuses d'une duMe dequatre heures, à lest de /a Moselle, nese sont produits.

Il n'y a eu aucune attaque d'aucunesorte. En dehors des mouvements desélémmts de reconnaissance que rai ai-Brel. ces Jours derniers, c'est 11115e-ton presque totale de part et d'autre.

Défense de lireel d'écouler

PAS DE JOURNAUX ETRANGERSBâle, 19 novembre. Les récita dee

voyagours revenus d'Allemagne signale.que, nuusré d'écoutm lasamimie. de T.S.F étrangères, tout lemonde, y compris les neas, en étaient cu-rieux, De même. tous lut Allemands con-naissant utte hamte éhangère, lisent ré-gulièrement des journaux du dehone. Lesje... arrivants sont moins variés, lesfrançais orée anglais ayant climarus, mais

lit beaucoup les beiges, les hollaadaia,un pan moine les scandinaves, las lanteneedo Nord étant moins <meules.

Loa journaux suisses de langue alleman-de ans un débit considérable. De petitsjournaux, que mil na lit en Suisee hem ducan.n oit ile paraisse. . home. àBerlin dans toue los kiosque». Bagireepienehaterts après enraie lu le journal, lerendent int marchand, afin qu'un autreacheteur puisse en profiter.

Naturellement, la aurveillence de lamtv ces jontnaux est trais active. Elle

en confisque tous les jours, raide elle nepe. pas les interdire tous en même ternip.cce eetait reconnaltee que tome la pupe-gende naxie Meat que mensonge

Elle s, du reste, perfectionné ses moyensde Inhe, jusqu'ici, nia coreompait, dansIro rédastiona de l'étranger. vermine indi-vidus dont tee articles étaient reproduits àgland fracas par toute. la mes. allemande.Ila eamtmainta. disait-on. »aiedu ro, OÙ ifs s'immune.. Lx Gestapo ameintenant ses proprea journaux à l'étronsSaIt tel petit jaurnai petaimant é Pâle,vol n'a pas 200 lecteurs dans le paya, estepandu en Allemagne à 70.000 exemptai-t-ce.

PAS MEME DE LA MUSIQUEZurich, 19 novembre. On mande

d*Aix-la,Dhatmllea A Aschorsleben, une femme de 40

ans, qui, le soir, en faisant son ménage.avait écouté à la radio un peste étranger.aises qua mn merl et son fils étaient déjàconeltés, a été condamnée è neuf mois4.

Au ceuée dn jugement, le matas,. aPulaoé que même Cela.sr de la rausiqueradiodiffusée P. ne P°4)* `I`9).9rpimismble, cars Dauditese court le dangerri entendre dee slogans politiques inmr.Ananas deux morceaux de musique.

La démarchehalo-espagnole

a BerlixBruxelles. 18 novembre. Au

d'are démareile cari aurait été faite pas

esCi ne se. Coin et e alidod, un

collaborateur Seieo%tvla,tOsé lesmilieux officiels compétents Ceumeivoulu faire aucune déclaration. Ils ee sontcstégaiquement refusée à infirmer ou àconfiera, l'information dom il s'agit.

Le Sei s ajoute qu'il e Pu cePendurifobtenir d'une source non officielle, maingénéralement Mire une confirmation par-tielle de la nouvebe et donne Ira rens.gnements suivants

lageotinatim, telle qu'elle a été Pré-sentée, nova a-een dit, eft peu près examSa ll ce a pes soda démarche ..emI ee des cabinets de Rome et de Madrid.Afore que le cabinet de Rome aurait remcédé de manière indireçte pour faire con-naître sa manière de voir au tramerne-ment de Betlin, le représen.et du sésé.ral Feanco se serait montré très catégeri-q. pour exprimer l'intérêt mie ie gomme-uement eePaancti parIn au respect de l'in-tégrité des ieIriiaiiaa3 belar et hollandais.Les deux démarches auraient eu lieu cesjouie dernier,. x.

El «cl les lemmes !DE 18 A 43 ANS, LES FEMMES

ANGLAISES SERONT a BONNESPOUR LE SERVICE

Le \Var Ofce annonce qu'il a étédécidé de doubler le plus rapidementpossible /es effectifs du corps auxi-liaire terni.» brnanntque.

Les femmes figées de 18 à 43 anspourront, en effet, s'enrôler dans cet-te division, laquelle est appelée à ser-vir aussi bien dans la métropoledelà des mers.

Les femmes ayant déjà servi pen-dant la dernière guerre pourront, denouveau, s'enrôler jusants l'âge ma-ximum de 50 ans. La solde des fem-ales du corps auxiliaire sera égaleaux deux tiers de celle des boulinesde troupe britanniques.

.2.1ca.ese316.713 LOTS1.500.000e1trea

FONCTIONNEMENTDES TRIBUNAUX

Le secrétaire de chaqur tribunal,qui est un agent de poli. st...3e-ment désigne en raison de sa cons«Pet.or en matière de police desétrangers, établit le rôle et notifiea chaque étranger la date à laquel-le Son cas sera entendu.

Les présidents des tribunaux outreçu les i.tructions suivantes

La plupart des Allemands etdes Autrichiens qui se trouve-nl a.tuellement en Angleterre sont desréfugiés qui ont fui le rêgime quel'Angleterre et la France combat-tent actuellem.t. Beaucoup d'entreeux sont désireux d'aider le paysqui leur a dénué .11e. Il serait doneinjuste de traiter tous I. Allemandset Autrield.s nomme des ennemisIl peut être admis eite d'une maniè-re générale les réfugiée authenti-que sont hostile au régime nazi etprêts e serer l'Angleterre plutôtone l'ennemi,

Lorsqu'il s'agit d'étrangersdont le travail est utile au pays, ilne faut ni arrêter, ni gêner leur tes.mil, à Moins qu'on ne soit fondé àpen.r qu'ils pourraient abuser dela situation.

i.e fait qu'un ressortissant dupays, rtmemi est sa. travail ouqu'il se trouve hors d'état de gagnersa vie no constitue pas en sol uneraison d'internement, Sile tribunala pu s'assurer que le réhigié ertposé à servir l'Angleterre, il lut estloisible de l'exempter des restric-tions spéciales afin qu'il n'y ait au-cune difficulté à ce qu'il se rende làoù ses service peuvent être utilisés.En particulier, il est des' irable queles femmes susceptiblos d'êtres em-

Vimportance du secteur balkaniqueapparatt de jour en jour plus consi-dérable. C'est un secteur dérida nonseulement pour les événements mili-taires qui peuvent s'y produire, maisaunai et surtout parce que l'orienta-tion de certaines Peiseonees se orée).

ra et peut-être se décidera, parrapport au statut balkarnqur. Lesbouleversements de ces dernières an-nées ont modifié sensiblement le rap-ports entre les Balkans elle reste del'Europe.

L'Allemagne, en occupant l'Autri-che et surtout en mettant la men surla Slovaquie, a occupe nueclé du basin danubien et e est iestael-

ep,rseigeave':rivée aux Ceretheese °Ler.%

1.1.itsaiâ'e' rt7: lalref oer lacé sent protertornvirtuel de l'Albanie en une occupa-tion trinitaire t elle se place ainsi en-tre la Yougoslavie et la Grèce, et àquelque cent-cinquante kilomètres dela frontière bulgare, dont la sépareun territoired e Polallaijan macédo-nienne. Depuis la victoire de 1922,1aTurquiie est devenue me nuisance,l'une des principales nuisances bal-kaniques, qu'elle avait groupeès 15Bulgarie seule exceptée dans lepaele de janvier 1934.

Toutes les grandes puissances: l'Al-lemagne, la Russie, l'Italie, la Tm-selleIra aTall sà, elTAZ errrée"e't1 Llea'EdraZ...I, par le garantie qu'eller geldonné à la Roumanie et à la Grèce,et par /e pacte signé à Ankara le 19octobre dernier.

L'ACTIVITE ALLEMANDEDANS LES BALKANS

L'Allemagne compte dans les Bal-kans sur deux atouts : les reveodi-catiéné de la Hongrie ce TrituDilva-nie el celles de de la Bulgarie en Do-broudia et pour le debouche dansFEffée. Les revendications hongroiseset bulgares visent surtout la Rouira-

La diptomatie allemande travailleen ce moment dans nne doulde direc-tion t fixer un programme balkani-que commun avec PU. Il. S. S., enachevant les tractaliona qui ont corn-men. déjà en nie dernier calmerles inquiétudes de l'Italie et obtenirSOI concours ou sa neutralité.

lOn plan commun germano-soviéti-que dans les Blakans pouread avoircomme base l'Occupation de la Bes-sarabie Par PU. P. S. 0, et dc la Do-broudja Par la Begarig. MiMes

Comment la Grange-Bretenllerègle la situation des victimes

réfugiées SUP son solIIIIIIIIUUIIIIIIIIIItUIII

Le Gotivernement de la Grande- ployéeS en qualité de domestiquesBretagne tient à traiter las réfugiés soient libres de se rendre de la villevictimes des pet:Sémillons nazies, à la campagne.Prov.ant d'Allemagne et d'Autri.Me, d'une manière différente que lesautres ressortissants dm0 pays en-nemi.

Des tribunaux, au nombre de 102,ont été i.titués, à cet effet, danatout le pays. Ce sont ces tribunauxqui devront examiner le cas de cha-que ressortissant allemand. Ils .composent d'un présid.t, qui dansla plupart des cas est un juge ou unconseiller à la Cour, et d'un secré-taire, généralement inspecteur depolice.

Tout étranger r.sortissant dupays ennemi aura le droit de faireténmignor un ami lorsqu'il sera con-voque pour un interrogatoire per-son.1, mais non pas de al faire as-sister par un avocat. On .time,que,dans la majorité des cas, la presen-tation de certificats écrits serait pré-férable, comme étant seceptible deprendre moins de temps au tribunal.

Le Home Office a invité les orga-nisations e'occupant des réfugiés ànommer un agent de liaison auprèsde chaque tribunal. Utrtivie de cesagents variera sans doute selon lesexigences de chaque tribunal, maisd'une manière générale, ils eronttenus de Oallaborer avec la policepour l'interrogatoire des r.sortis-sante de pays ennemis et de fournir

chaque tribunal les reneigne-mente relatifs aux réfugiés qui peu-vent s'avérer nécessaire.

4, Les cas des femme anglaisesdevmmes ressortissantes du payse.emi par suite de mariage avecdes Allemtrds ou des Auttiehiesadoivent faire l'objet d'un examenparticulièrement attentif.

Le présidet de tribunal ayantpris sa décision, inscrira sur le cer-tificat d enregistrement à la policeune des formule suivantes

Pour l'internement jusqu'ànouvel ordre;

Exempt d'internement jusqu'ànouvel ordre;

Exempt d'aternement et desrestrictions spéciales prévues par laloi sur les étrangers en matière devoyage, de changetnent de domicile,d'Image d'automobiles, etc.

Si le tribunal a pu s'assurer quel'intéressé est un réfugié auth.ti-que, la formule doit comporter, lesmots a réfugié victime de persécu-tion nazie a.

/I incombe à l'étranger de faireciannaitre les motifs valables Pourlequels il .time qu'il devrait êtreexempt d Internement codes retne-tiens spéciales applicables aux res-sortis...ta du Page ennemi. Le tex-te de la convocation au tribunal in-vite l'interné à présenter un certifi-cat émanant soit d'un sujet britan-nique qui le commit Men, soit d'unepersonne domiciliée depuis long-temps en Angleterre, soit d'un cm-

P Le tilbunal a la faculté de déci-der s'il y a lieu d'interroger chaqueétranger ou non. Dans beaucoup decas, le tribunal disposera de rensei-gnements qui lui permettront deprendre une décision sans interroigtroire personne. Cependant, toutesles fois que le tribtral estirr..a quel'internmnent s'impose, l'étrangerdevra être interroge avant «unsdes mentions précitées soit apposéesur /e certifiee. Les débats du tri-bunal ne seront pas publies. Toute-fois, le trib.al pourra autoriserl'étranger à se faire acemPageerd'un ami et des témoins dont le tri-bunal .timeraft que les depositio00peuvent utilement guider la décision.

Lêu organiSations d'aide aux ré-fugiée oht pris les mesures néces-saires pour fournir d. Interprètesail y u lieu.

On s'attend que, une fois passé leflottement résultaat de la nécessitéde , adapter à bétel de guerre, il yait demande croissante de main-d'oeuvre et aux services de tous lesAllemonds et Autrichiens amis de

let,eeJf%oyoïZleZo;%.%usit,,à`i,..:de prendre un emploi ou de se livrera une actrante remunéree. Le minis-tre du Travail prendra les me.rranécessaires pour que l'activité de cesPersotres ne poisse, par suite deconcurrence, porter Préjudice auxsujets britanniques. Le e SnrticeDepartem.t » autorisera les per-,entes ayant le aptitudes néertisai-res à. se mettre à la disposition desServices de la Défense. On croit queces derniers auront besoin de méde-cine, de dentistes, d'infirmières, d'In-

gueogies ouev.ters

b000la do main-dtruvre agricole.

Le tournant balkaniquele serait la contre-parée pottr l'Alle-magne ? Un agrandissement territo-rial de la Hongrie au xdépens de laRoumanie ne serait auutmement pro-fitable au Reich, à moins que l'Alle-magne ne transforme la Hongrie enos protectorait, comme elle fa faitde la Beletne-Moravie, de la Slova-quie et comme elle veut le faire Pourla e Pologne du Congrès s.lien, D nous parait difficile que l'Ita-

Mais ici entre en jeu le facteur Ita-lie, qui a délia .pertiu l'Autriche, serésigne à céder à l'Allemagne la Ho,trie, sa protégée de toujours. L'Italieliquiderait amm radicalement le jeud'mfluence set .2:intérêts qu'elle avaitreusst a s'assurer dans la zone danu-bienne par les accords triparties de1931 et qui a déjà subi une grave at-teinte en mars 1938.

LE PROBLEalE BULGARE

Les rapports sont amicaux entreRome et Sofia. Mais la Bulgarie estattirée en ce moulent vers la Russie

eif'énZrerr silasecia=i=Russie Mariste dans le rôle de pro-tectrice des Slaves balkaniqu..

Mes une modification du stahltbsalkaniqtte qUi se ferait grâce è l'in-tervention soviétique évincerait enbulgarie toute autre influence et Parla Bulgarie le courant panslaviste at-teignerait aussi la Yougoslavie I desvieux sédiments qui sont restés en-sevelis dans ces pays remonteraient

Ainsi l'Italie, qui a travaillé pourl'AI/magne en Autriche, travailleraitpour la Bussie eu Bulgarie. C'est uneperspective qui ne doit pas trop sou-rire aux dirigeants, romains..

Un nISC01111

radieddluse de ni. Eden

Hier, à 21 heures, le ministreanglais des Dominions, a Promll.,

In radio une allocution dont nousdonno00 ci-dessous le résumé

a A la Site d'une importante délé-gation des ministres des Dominions,J'ai visité récemonenet Une grandepartie de Ia France et particuliè-

Plusieurs c.taines et même plu-sieurs milliers de kilomètres etnoos avons po voir la vie sur le

Ifront

et en arrière de celui-cl. Cevoyage, a ranimé chez beaucoupd'entre nous des Souvenirs vieux dePlus de vingt ans. Des noms de pe-tite villages entrée défioitlormruutdans l'histoire noue rappelaient lessecteurs que nous aidons tettns lon-guement au courS de la précédenteguerre.

a Partout nous avons été impres-siotrés par ce que nous avons vu.Nous n'avosn pas trouvé cette at-mephère d'aventure, pas de fleurau fusil, un état d'esprit entière-ment différ.t de celui des débutsde l'autre guerre. Cela prouvequ'aujourd'hui, chacun de nous saitvraiment ce qu'est la guerre.

e Ce que nous avons trouve, c estla ferme volonté de mettre un termedéfiniitif à la guerre sereavive, pé-tiodiquement renouvelée.

Pereonne aujourd'hui ne doutede la victoire des alliés. Partoutnous avons trouvé un entrain con-tagieux, une ouaté excellente niesles militaires, dont le nombre croitde jour en jour.

« Notre visite de la lig. Magi-not nous a laissé la conviction quecette ligne de defense ont tenue Ptela meilleure armée du monde. LaFrance a fait de grands .mifiernfinandeirs et materieils. Snln Pm,Pie mérite la gratitude et la recon-naissance de toss ceux qui sontépris de liberté, car il n'a ref.éaucun effort pour augm.teruiss.co défensive.uelle seraita pose. de allies si'le peuple deFr.. /t'avait pas fourni ceteffort ?

Une fois de plus dans l'histoire.la Fr.ce s'est assurée une dette dereconnaissance du inonde entier.

o J'ai emporté dans mon epnedeux images que je co.erveratPriseeement. La première, c'estcelle d'us jeune ca.mtaine franeartrie nous a expliqué le système dedéfense du fort qu'il commandait.En I °contant, en le vdteyra. set. se,ti._

l'i''ea/n'it rra': :eue. ,P4 j e p00-anis qu'il ferait honneur â n'impor-te quel grand chef d'Etat-Major.

e Or, le cas de cet offilier n'estpas unique et c'est en songeant àcela que noue emmenions la de-vise de ceux qui sont dans la ligneMaginot . n .9r) e,0 Pax. ?>.

a La deumeme image See 7. em-portée, c'est celle d'un jeune soldattrglals. C'était un matin le brouil-lard était de.e. Le eoLdat britan-nique assurait la liaison aven lessoldat français. Eu le voyant ainsiet en reportant mea regards verele Français, j'avals 1 image de

smeère des dens grandsempli.es luttant côte à côte pour letriomphe du droit et de la liberté. »

nouveaux décrets

A Drops des aucheS

Attlee ppm. Dans les cas prévusà eseicla Io ac k ki du IL ia,lnl 1938.hemua l'état de siège. été déclaré,

cliMdus dahgereux Palle la défense lu.iapeleon roto la setcafileapubtiaue Peu.'

ml décision de ..eft, être éléisé; par l'autorité nalimire des lieux où

es Mg lént et, en ma de necessuo, etreamen. à résider dam un centre dési-gné par décision du minans de la dé-fet.. natiOnale et de h satyre et daté'

de 1 mteneurAn. 2. Lee inesures prévus à Far-

tinte Inc peuvent être rapportées à toutes ne peuvent être petalmee.

après la levée de l'état de Pagy sui le da-Partement où l'intéressé avait en résidens

fie-

3.o 1'; jeZU'dùrherrIP: imrérdi tapaSiti itsMy, requis é. vue d'accomplir Mus tra-vaux intéreemnt la défense maionale. Ilsmut, en ce cas, inomeggee dans des Im-m.., spéciales tonstituées conformé.nient à l'eaticle 40 de la loi du 13 juillet1927.

Art. 4 Tout individu qui, sans auto,rieetion et rendra dans leet lieux dont d

slé étoinné en applimhon de l'articleter, et tout individu ashemt à résider elmssia dee centtes préùus à Patticle 2 es. lesmit.re sans autorisation, ....puni d'uneruppeonneenent de un .a q ouà

Tout intim. uni. req. fane le.. con-ditions de l'article 3. Tefueera d'accon,l,sle travail seemeit sera pure des peine, r'1-nonnàl's,liclaudalnloldnlleuiUau1938, modifié pr b décret du la. sepiPei,. 1939. (-

A propos desfonctionnaires

Le second décret, pris sur k larronde mua les minime., prévoit les mem-des suivan.s en ce qui touche l'ensembledos personnels des services publics

rée don hostilité% /a suspension des dispo-sitions de 1.1cl. 665 de la lai au 22 avril

Artide premier. Pendant toute la du-

1905 prévue en On qui concerne les per-sonnels de CEtat pam le dernier dinée del'article 15 du décret du ler septernbee1959 s'applique à l'ensemble des neremeemdes services ou établissements publics del'Eue, des dépattements. des communes,dos colonie. et des territoires dostremer.ainsi que des servicea concédés relevant deces collectivités.

Art. 2. Pendant la même péon. 'esmesures disciplinaires conea toue les per-mnaels des services ou établis...a tri-ée à l'article ler et de toue organismesrecevant une subvention nu une garantiede l'Eue mat prises par l'act.-le e.e-Pe"

et illICUne sets.ets, pour Ca nornm , Sailaconsultatios ou délibérations prévues parles lois, règlements ou conventions en Il,

lin ce qui concerne les pe miels desservices munmtpaux, es meeurm viseesP.rle pré.ent article pe.ent être po'ses dansles conditions prép.s aux are iIes ler et2 du décret du 26 septembre 1939, relatifd le tutelle administrative.

Le préfet et /e sous-prefet connervent.d'auoe part. le pouvoir do révocatun eu,leur ml conféré par tes arta'. 102 et IIIdo le le du 5 avril Ift84, mmlibee os, ledécret du 5 novembre 1926

Toutefois, avant de prendre une nous-re dimiplinaire l'eutorité competante pro-voquera. sauf en cas d'urgence motivéePar l'intérêt du service ou de 'a Glenne

rement les arrnees frangesen et nano.le ou en ms de mss.es on d aban-britanniques massé. sur 10 ligne, don du travail, les observa., de 1 h,-Maginot. ires. mus les fàiu mimés contre lui.

ive.. Parcouru en eue, Art. Les rteconell gui 'es ses été

Un grand paquebot hollandais

coulé par une mine allemande

nomBREUSES VICTIMES

Londres, 19 novembre. Le Psquehôthollandais a Simon-Bolivsl n, de 9.000

anomlenant a la mos.. Roy-la de Navigation, a coulé dans La mer duNord, non loin de la cate mademaquahe-vingtalix paysagers ool péri etquan. sont grièvement blesés.

En se basant sur hem récits de plusieursremainds arrivée cette nuit à Lon.ca, onmit main..a,t que le :maire quitta Amr-terelarn vendredi soir, à 10 heures, à des-tination des Amines hollande«. 11 s otvaità bord, y compris l'équipage, 400 permn-nes. dont beaucoup de femmes et dienssans.,

DEUX EXPLOSIONS

Strael; matin, le Simondielivarprocheit de la pia angleinr quand unepremière explosion retentit. Elle se Pro-duieit eaiti /e milieu du navire, qui eeleva da plue d'un mètre. Elle fit sauter,l'appareil de TS.F et la ...elle decommandeu.nt eue 'laquelle se tenait lécapitaine, qui fut tué DLLs le coup. Plusieurspassage. qui se trouvaient sur le pont eu-rent le même non.

En même temps les conduitee de pétrolecrevèrent et le liquâde m répandit do toue

précipitèrent vers ter,canots qui leur étaient esaignes et qu'oncommença à mettre à la mer à hibord, lamanoeuvre Sant trop difficile à ...rd enraison de l'inclinaison du navire.

Une deuxième explosion eut lieu alorset, peu après. le « Simon-Bolivar n coulait.Beaucoup de pasmgcrs s'étaient jetée àl'eau- E y avait une Pépère brume et l'onn'apercevait aucun su. navire, Mais,heureuse..., après les exp/oeions,sieur, bâtiments, et eu.01 des chalutiersarrivèrent s. les lieux et réussirent à mu-ver beaucoup de Iescapée qu'on déblai-qua dans le port le plus proche.

DEUX GENT TRENTE RESCAPESSONT ARRIVES A LONDRES

Là, trente-dem blessée, atteints grave-ment. furent conduite à l'hôpital Les remose par train spéciel. Il en est arrivé deux

cent leen., cornpre.nt quinge jeu.. o.fants ct six hébéle. Qomiasarue. 50515r11..r.m.ed plus d'une (heure et demie dan.I eau. cura figures et eurs ve emensétaient encore souillés de mazout. Il y avaisdes gens apâr.nent à différentes nationaslités et d n a pas encore été pOsSbblndsvelevy toue le. noms.

Il semble que /a majorité Fenhe encment des Hollandais. /1 y m'et touteuia,quelques fonctionnaire. ou .loneretournant aux Antilles ou b la Guy.osbrimnnique muée des vacantes paméesEurope, lis ont tout perdu. Ils sont asti.

clvée ans un ana pitoyable, envelaPinfis dansdan couvertures au bien très eommairementvêtus

PARMI LES PA-SSAGERSSE TROUVAIENT DE NOMBREUX

REFUGIES ALLEMANDS

A bord du navire hollandaie se hotulaient de nombreux réfugiés allemand.qui avaient attendu longtempe en Heflansde de roussie p.ir. Pare01 mus d'antreeux qui ont échappé eu dés.os il y a um,femme qui a perdu eon mari et dans deses enfants. Elle nie pu sauver qu'une fils/ette de 5 ana.

UNE NOTE DE L'AMIRAUTEBRITANNIQUE

Le e Simon-Bolivar s a .ula après avoirheurté une mi. allemande. Hn commun,e.é de l'amirauté, britanniqus ns lelensaucun douté à cet égard.

La note constate qua an démet,s est urt.

Mutatrnruf IroléPinit'ert= aepour les règles de l'humanité. Cesont, en effet, été poirée...* avertisse.sspréalable en vue de coupss les ligne se,ritimes de la Hollande et de la Cie:intimSen lsueo,

DEUX AUTRES NAVIRES ONT aquiSAUTER AU MEME ENDROIT

On apprend également que deux aut.lu mémo sana, nui, Il, sar ru sllelndsoun p. par leurs pro.. moyeu,

Révoltes, terreur, massacrescontinuent en BohêmeIIIIIIIIIIMIIIIIIIMMI111111111M1111111011101MUMMIBM1110111111BIM

allemandes publient les nmen des axésCONTINUENT EN BOHEM.E mités, car une grande irnilletude Mg5s

parmi les familles des détenus. Ifm Pal-lie des étudiants amaient été placésdans des miens de concentration, entraautres clid. /e camp ma/ famé de Bu,kenvalds prés de Weimar ».

Par ailleurs, le correspondant à Herslin du journal danois e Folié/cm s,rapporte que vendredi matin, les h S.se lamèrent it l'assaut du collège Masa-Oft: de nombreux étudiants tchèquess'enfuirent aom leum vêtements eine.Par an foyer voisin d'et..., yeage-

desqutu,,lutcoutrtent,et it.veso.lefe. aune.

La visite des hôpitaux est Interdite,ostlf autorisation spéelea Deux mem.Ires éminente du parti de l'unité 151,0'nom : le docteur Joseph Natonchaek et/e docteur Klima sont disparus. Le domteur Natonchaeck était chef de sectiondu parti pour la meilleure entente des

Traeyereirrs noman"PPPdd'e la'"'lisstePPLPPliert%-0"ville morte. Les 8. S. et la police tchè-quepatrouillent en: groupF de quatre US APPEL= AD CALMEEon

Jcommer

M,

rndgep. Le pachele'r'éus'a're pft'laillade d'une proclat.tion du «protes- l'avons dit hier, est en e convaleseengeSur « von Neurath mons.ée sue du surveillée si da. stt pmlneté On ci.'papier rouge et affichée partout. Pagne mur avoir refusé de signer °II

a La proclamation rappelle les av.- décret a éte ameud, hier soir, à Pr.tIssements des autorités allemandes au gue, et a éte forcé de prononcer g lapeuple tchéque contre une collaboration radio, sous Veen de /a Gestapo, un opPelavec les Tchèques g t'étranger et les au Pettlile

D'une voix qui trahissait son enoticeb« Les arrestations ont continué ven- il a exhorté I. citoyens à se .umettre

dredi et samedi. Non seulement que- auu autorités allesxaadsa, tooll ret*ques centaines d'étudiants, mes aussi tance è l'ordre établi dans le prote.-un gre.nd nombre de professeurs ont ete rat devant entrainer don p.itions eX-arretés. T/ est possfire My 1m auMrites trèmern.ent sévères.

TERREUR ET MASSACRES

Berne, 10 noventre. On ne reçoitd'Allemagne enfume information sur lesévénements qui se déroulent è PragueOS dans le protectorat. La ce.ure alla-

' mande doit étre aPPliquee 110e ego.-ent sue botes ell "

PoUmatent être publiées g ce sujet.Seuls, les laconiques communiqués del'agence officiel° D. N. B. ansoncantdes répressions ordonnées par eh auto-rités allemandes passent it l'étranger.

Le public allemand doit en Miens sa-voir encore car, 'd'après Iesradiophoniques recueillies en Suisse, Irtpostes allemands xc parlent pas de cesévénements tragique qui Pellvrnt seoird'immenses repemuesions b l'avenir.

Cependant le conesTondant dusjournal hollandais donne les détailssuivants :

« Les rues de /a CaPilsle tchèque Stantdésertes et lut donnent l'asp.t d'une

LE COMMUNIQUEdu grand quartier général

19 novembre (Soir)

dOURNEE CALME. ACTIVITE LOCALE DE L'ARTILLERIE.PENDANT LES QUATRE DERNIERES SEMAINES DE

GUERRE, LE TONNAGE ALLEMAND CAPTURE EN 11101E PASNOS PATROUILLES SURPASSE DE PLUSIEURS MILLIERS DETONNES CELUI DES BATIMENTS DE COMMERCE PERDUS, D(fFAIT DE L'ENNEMI.

I objet d'une peine dimiplinaire dcv, lesconditions finéee par les damnai:ions quiPrécèdent Po.rle, dans le o.is qui sui-vra la cessation des hostilité, demanderle revision de la mesure prise a le. égard.lses conditions dans lesquelles slaffectnaraserre lev-Won eeroni déterminées par undécret pris m In forme d. Meernenad'ad...mien publique.

Art. 4. Pendant la même période,tou0 meaure ayant pour objet le déplace-.. ou la suepenOon, dans Pinté.05service des personnels mme .arucle 2 1

gela ross raIl'eutoriié comis,tente sens consultations des eonnsés ouossaniope do. l'avis préalable serait re-quis p i les règlements ou conmirtians envigueur.

Art. 5 hes dispositions qui précèdentshmliquent pas aux magistrats, mer..

ables qui demeurent somas aux règlesmtuell.nent en vigueur à le. égard.

Art. 6 _Lm présent décret. qui rece-vra exécation i.nediate, sem mumin h laratification des Chambres, conformémentaux dimositione de la loi do 19 mus 1939.

DECRET SUR LA CIRCULATIONDES FRANÇAIS ET DES ETRAN-GERS SUR LE REGIME DES PAS-SEPORTS.

Parie. 19.vembee. Le fourrai offi-ciel s publte ce matim un décret modifie,et adaptant aux cinonetanees utuelice

décret du 8 .01 1935 ieleif à la Mme,-les ett Faaessts et etranmrs. le rems.des passeports et le Mjour dee étrangersan temps de guerre.

Les modifia..ns les plue auP441.9.'concernent

circidation sur territoire français desduvette français résidant dans les Ité,liornitzees, de France leur euffira

=fir crirrnmer" 'tricFufarinlsSS000iomn,aelcotllsss un m ers.,ttalsin,neconacription de leur résidence

. sont domivitys dam le par.où es vienne.,2 . sont da. la nécessité dem-

tuer de fréquent. voyages en France,3, Qidile peuvent être dim..aés du

sia préfectoral de mn. dr, Fran.H) La carte d'identité des étrangers

texte du temps de paix ass toujoure valtvlite. Toutefois, les ministres dols 5.005et de l'intérieur pourront la remplacer P.une sete de temps de gnerrei

C) Les legnaes i Tous personne bébepiteant un étranger, mima à eireeu louant des locaux nue à des étrange),devra, da.o les vine-quatre hautes da r's"rivée n, de le loestyn Mout les IN.'"Pmentés) no quarente-buit heures 1Pou)le...Meuliers) en faire la décluation Iracommissariat do vnselis u à a serti."mrtia nu, à défet, à le .5eie.

2 LE MIDI SOC/ULIS-TE

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Lettre d'Angleterre11111111:111117111111111111111111111 iiiiiiii 1 llllllllllll1111111111 lllll 11111fLEN DOMINIONS DU SOC A L'EPEEDANS LA GUERRE

Les conférences qui ont lieu ac-tuellement à Londres entre les mi-,patreS brItanniqu. et les représen-Mat, de l'Empire Permettent demresser le bref tableau sulymt, quirésume l'effort d'ensemble des Do-minima

Forces navales. Les Dom"-nions ont snobili. toutes 1.. rouiSources en hommes et en bateaux.Leurs vais... coopèrent avec lamarine britmnique en haute mer.La construct'. navale est po.séetrès activement.

Perces de terre. Les Domi-nions ont pris toutes mesures ne-eeassieres pour la defen.se de leurterritoire. Le Canada organiortratneMent d'une division qm seradisponible à la première réquisitionet s'apprête à en équiper unedeuxième. L'Australie a mobilisé.e Milice de 80.000 hommes et re-cruté un corps expéditionnaire spé-cial de 20.000 homrn.. La Nou-velle-Zélande a levé une force spé-cisde de 10.000 hommes, déjà encours d'entralnement. L'Afrique duSud prépare des fore. Prêtau àtoute éventualité pouvant surgir enAfrique.

Forces aériennes. .même l'ouverture des hostilités, I.Dominions cormUtuaient une in.ti-n'able pepirMre de pilotes dontbeaupoup s'étalent déja distingués.Le Canada, l'A.tralie et la Non-velle-Zelande coopèrent au planimpérial pour Pentrainement dupersonnel et la production des ap-pareils. L'Afrique du Sud prmd ses

Nes:Leen% li'z'elrtes"'et';é',-VeloPper ses ressourc. aériennes.. 4) it.sources économiques.La Mission du Royaume-Dei qui .trouve actuellement au Camda exa-mine les ressources de ce Dominionen ce qui conter'e les fournituresde munitioes et de matière. Pre-mières. Selon lm paroles de M.Mackenzie King, o non contentd'être le grenier traditionnel de laonmiunauté britannique, le Canadapeut devenir aimai Son arsenal a.

Des conférences 8ont égalementen cours avec leu quatre M'an.Domini°ea pour l'achat de denréesalimentaisre et autres. les Petit.Dominions apportent leur plein con-cours. Terne-Neuve recrute des cen-tainee d'humnes pour la marine etprend dm dispositions pour en four-nis d'autres à l'armée. La Rhodésiedu Sud a mobilisé. Ce pays offrirade précieuseeu ressources poux lerecrutement du personnel d'avis-tien.

L'INSTITUT BRITANNIQUEDE PARIS

Les conférences du lundi surl'Angleterre d'Aujourd'hui, faites àl'I.titut Britannique, 6, rue de laSorbonne, per M. Hugh Sellon, con-,naiment un succès menté. Cette oésrie de conférencm sur l'Anne an-

Sigle, 1 Organisation sociale, lesLostitutions polltsques, la politiqueinfiésMune et le Développement me-bromique, faites toux les }media â15 heures en mglais, par le jeune

'et sympathique directeur de l'Insti-tut, permettront aux anglicistes dese tenir au courant de l'évolution dea jeune Aoagleterra

serves ses vieilles traditions sanspermettre à celles-ci d'entraver lamarche du progres.

UNION SACREEL'Académie Royale de Londrre

qui organise chaque année le Salonde Peinture à Buillingt. /Tomevient de faire un grand pas dansla Voie de l'union smrée. Renonçantà ses traditions de stricte ortho-doxie artistique, elle a invité lesartistes britanniques de toutes ten-dances, fusent-ils les plus rebellesis l'esprit académique, à lui envoyerdes toiles pour l'Exposition de pein-ture qui aura lieu cet hiver. MèneIra e fauves a du London Group, leplus révolutionnaire de tous, metinvités à exposer, avec la promesseque ron accrochera au mohm unetoile sur trois.

FEUILLETON DU MIDI

Le sol s'effritait en poussièrefine sou les rayons de soleil. Lesulguilles sèches des pins craquaimtSous les pas.

Au bruit de l'auto, Elise Caere...unit suivie de ses deux enfmts,Jacquot et Annette. Elle était frai'abc et charmante. Ses yeux noirsUn peu tristes et un peu craintifsbrillaient de plaisir.

Votre chambre est prete, ma-dembiselle Flore, j'espère que vo.Turis y plairez. Et vous aurez duluit fraîchement trait.

Ça sera parfait, nia bomeElise, assura la jeune fille, qui sem-blai soudain lasae et déprimée.

La fatigue du voya,ge ? Une au-tre anse pl. profonde ? Ruse Ca-mer parut frappée du changemento. s'était opére chez la jeune fille9oPleis sa dernière visite, mais ellene fit atm. commentaire

P sire devait passer la nuit à laPetite auberge de Saugnaeq et pour-noir,, le lendemain sa tournée dansk m'et pour surveiller l'exploita-tion de resinage et décider de laMn. ire arbres.

I reprendrait Flore au retour,da s une huitaine.

Une manufacture anglaise qui,avant la guerre, fabriquait unique-ment des boites de mmervea, estaujourd'hui une des plus grosseslubriques d'alois a cartonch. duRoyaume-Uni. Cette nouvelle fabri-cation requiert un matériel inusitédans rind.trie en temps nonnaLNéanmoins, la production excèdedéjà de 10 à 15 et la qusetlté"vue, C'est un nouvel exemple de larapschté avec laquelle la Grande-BBretagne s'emploie à convertir englaives les socs de charrue.LES PETITS MARCHANDSDE BOIS D'ALLUMAGE

Deux écoliers .glais de l'Essexvimnent de se révéler des hommesd'affairee pleins d'avenir et ce,pour le bon motif. Avec leur aregent de poche, ils ont acheté descaisseo de bois d'emballage, les Ontcoupées en Morceaux et en ont faitdes fagots qu'ils ont vmdus à leurs

L'esprit Berthelot

et l'esprit GaillardDe M. Marius Lebiond à La Vie :De quoi s'agit-il essentiellement

pour 1¢ Quai d'Orsay? De mettre ala porte ce mil reste de resPrit Phi-lippe-Berthelot qui l'a saga tant

' d'années, et qui est exactement "econtraire de l'esprit Gallieni, s es-prit Berthelot a que Gallieni hala-

ii'Lé!ten''''1.91g".L',1.

tout,i/ "eicurn rée

de l'entrée en guerre d'am grandeloulesauce

gess veceel, sYkleggpe:j thelot me disait : e Ne vous reloue-ses pus t na ne fait que compliquernotre besogné ; nous serons obligesd'aller à son secours a. Cette intel-ligence perçante et sardonique ai-mait 9. tranches en faisant toujoursprédominer la méfiance et 1¢ scep-ticisme sur la confiance et l'opti-misme constructif qui oblige à unbien Plus gros travail. falalliéni dl-kit au contraire t a Dès que ral af-faire à un homme, je m'attacheavant tout à lui donner de l'émula-tion et de l'élan par la confianceque je mets en lui. »

Par parmse spirituelle Berthelotsimplifiait à l'extrême, ce qui estplus commode ; il me disait une as-tre foie « Vous me vantez Victor,Bérard, Ernest Dents, Moysset

111110eLA c©1]X IDU C

par Mme Eve PAUL-MARGUERITTEà.

Le soir tombait. Le soleil nimbait d'orange le sommet des pinsdont les branches dessinaient sur lapage bleue du ciel un herbier divin.

Pierre dîna à la métairie avec lajeune fille. Elise leur servit la du-el)ue garbure et usa confit d'oie auxnavets, auquel Flore se garda detoucher, se contentant d'un bol delait. Mais le jeune régisseur fit hon-neur a ce repas, tout m donnant laréplique à Antonin Casère, qui re-venais de sa journée de travail, ettoute eunversation, pleine de bonsem était i.tructive.

Flore, après le repas, s'approchadu seuil.

Un clair de lune romantique gi-vrait la pelouse d'argent. La palelumière de l'astre projetait sur lesobjels une lueur incertaine qui endéfont-out les contours et teintaitpas endroits de blanc le noir desfeuil/mea don arbres.

Le ciel était couleur de perle.Toute la nature baignait dam unenchantement plein de douceur.

Quoique laa. Flore voulut, avantde gagner sa chambre, fasse quel-ques pas dehors. Pierre lui prit le

Fournol, ?Mon et autr. commeex.11ente SPecialisMs des questionsextérieur. capables d'aider le Quald'Orsar ; le les trouve au contrairenuisibles Avec trois commis je mefais fort de tout faire x Il enten-dait s de mener l'Europe » et ledit ensuite explicitement. C'étaitnier la complexité croissante dumonde moderne et /a possibilité den'y faire face qu'en faisant appelau plus grand nombre de MmIseten-ces pour collaborer avec les hautsfonctionnaires, Ce min exige évi-demment /e génie à formule de Pa-lieues, surtout dans les momentsdurs où tout se complique et où lasimplification est un aPPauvri.e-ment de la stratégie et de la tech-nique diplomatiqum.

L'Armée, elle, ne néglige aucunecompétence. Son premier effort estde grouper le maximum de compe-tenues en /es distribuant P. Menta-lités perfection de la mobilisation.La mobilisation intellectuelle la plusvigoureuse et étendue est indisPen-sable pour notre diplomatie en facedu travail incessant et formidablede la proPagmde allemande et dela propagande russe.

Fre.o.chi.:tend.,..tes..'esel'.-rf...,...,ne.i Les poursuitesl'autre moitié envoyée gOilverne-Ur: &=,::11: de leeo contre les Communistes

d rb o '

tion de continuer régulièrementeumtney.e.., et lento unyuis, OES GROuPEmENTS COMMotHSTES

PLACES SOUS SEQUESTReMARINS DE RESERVE La première chambre du trtbmsd

Phis d'Un Yacht de 19-99999. Mi- présidée par M. Coutancin et sur lesIconique mnstruit peur la Joie des réquisitions du substitut Danand, pour-amateurs de croisières, doit faire suivant l'application du décret-lai dufaxe aujourd'hui à des tâches plus yg septembre, ordonne la liquellationsévères. C'est toute une petite fis- des orgammes suivants. se rattaghanttille que l'Angleterre a mobilisée au parti communItte dissoussous l'Enseigne Blanc, pour accon). La maison des Syndicats, 31, rue deplie ce que l'on nomme bittormque- la Orange-aux-Belles; l'irnrnn des sr.ment les a travaux de ménage de fiesta ouvriers de la Région parisienne;la guerre maritime. Les yachtsmen, in syndicat des cimentier. de Seine eteux aussi, servent leur pays mus de seine-et-Oise; le Syndicat des cas-l'uniforme préféré des Arigeal.S. quetlers; le Syndicat des terrassiers; laL'an dernier, l'Amirauté créa un Fédération nationale des indus:lies chi-corps sPécial de réserve Pour ces sign.; le Syndicat général dee ouvriersmnans amateurs. Ce fut un norois et minières de la tabletterie; le Synd,foudroyant. Les volontaires étaient est départemental du personnel des ser_Initiée tous les aspects de la vie Mea techniqum des P, T. T., la Cham-navale et on leur acordait toutes broc syndiCale de, ouvriers onietnania-f militée pour étudier la navigation ics: la Maison des Syndicats annexes,en plein Océan un « job » fort dif- S. aven. mann:in-Moreau; la Fédéra,f érent de la promenmde de Plaisan- fion nationale mica industries du bois etoe au long dru côtes, similaires de Essence et dee mimes;

Aullourd'hui,cespourde bon.

amateursrsont l'ul'union(Listes: le Syndicat des Modem Mani-

. 93'99199M des ...Ge. mer9Eiriencôcomme enseignes à bord de leurs niie) 1A999seknen nanemde M. '9

cames enfant nes, 43, rue de vise,d'o ficIers de s

és Les uns sevmmpryr mu mn de lEfance et luvre de: yk

métierattachés aux fiotilles;les

autresontde Patrouil- .y9 colonies,e9e99e. 1,99ssEen-

A cent ansil se marie, IBO dllchampagne

Hl) Une extraordinaire sérénité sedégageait du paysa La minuteétait suave. Leurs mge.ains et leursregards se nbuèrent étroitement.

Flora dit le jeme homme,j'aurai8 des choses à vous dire...

Elle ressentit un émoi délicieux.Je les écouterai favorable-

ment, dit-elle. Mais ne me les entespas encore ce soir ! A votre retour.

Il lui semblait qu'une émotiontrop forte la briserait

Un vent frais passa, la jeune fillefrissonna.

Rentrons ! dit Pierre avec unetendre autorité ! J'ai peur que vousne preniez froid.

Pour la première fois depuis long-temps Flore dormit paisiblementcette nuit-là et sans fièvre.

Réveillée de bonne heure, elle nerésista pas au plaisir d'aller dire àPierre un dernier au revoir. Elles'habilla rapidement et sortit.

Elle cligna des yeux, éblouie parla lumière matinale. Le viol étaitd un bleu de 'Muet. La ronéo em-perlait la pelouse et sur les feuil-lages les sottes scintillaient au So-leu comme des diamants clairs. Lesfleurs degagement leur plus su MI

P'uir jeune fille se sentait déjàmieux. Elle éprouva intensémentrallégr.se du réveil dans la naturesauvage. L'air vif était léger à res-pirer.

Pierre, qui s'apprêtait à monterdans son auto, parut enchanté de,la voir.

Ses yeux ble. au regard d'acierfixèrent tendrement la jeune fille.

J'ai voulu vous souhaiter unbon voyage dit-elle en lui tendant

bras pour la soutenir, la main.

LE MID/ SOCIALISTE

La preSSO parisienne

O. Figseo ()Vladimir d'Ism»s-

hos

gommuniqué du Conseil suprêmeet les déclarations

des anorê dus gouvernements frangeaset anglais qui ont été publiés hier mircomtituent un événement considérable,na ne marquent pas Seulement la ses-lution des alliés, ils marquent la fusiondésormais sans réserves comme sansmitm de toutes lotis forces économi-ques, industrielles. commercial., finm-cières C'est, en d'autres termes, lae mise en nommons, de toutes les ses-saurks de la Ernst, de l'Angleterre etde leurs deux empires. La /sine en mm-man de tous leurs rooye. d'achat,d'approvisionnement, de transpnrt. defabrication. Quand on sonos que cetteoomsnunauté ne 5951 réalisée que silentement sis! prnirnement an cocosSe l'autre guerre, et qu'elle est devenueun fait sur tous les plans et dans tousles domaines en moins de trois moisdu conflit actuel. t'en mesure mieue lesconséquences illimitées de cette d.,Qian.

totale fusion franoo-britannkmegarantit l'Issue du mnflit. Tût ou tard.le compte du panure Adolf Hitler etdes gangsters qui le secondent seraréglé; tôt au full, l'honnêteté sera ré-tablie en Europe. Les dirigeants nazisfeiont Seul-rire tuer beaucoup d'hom-mes avant d'accepter cette dcheank farale, ils accumuleront peut-être beau-coup de ruines et de nia/heurs dansleur pays. Cela c.t l'affaire dm Alle-mands. Ce qui est sûr, c'est que l'Alle-magne succombera sous le poids de lapuissance franco-britannique.

D' « Exoelsior ,(GIret-Rlohard),Les alliés donnent ainsi au monde

l'exemple d'usm entente totale réaliséepour atteindre un lfft cammun t lapaix. Et leur union qui s'est si tôt ope.sen alors qu'il fallut attendre 1917pour que fut acceptée et que fut atteinteune collaboration commerciale sérieuseno est un gage de victoire rapide. Eneffet, l'organisation l'emporte à présentsur la dispersion des efforts et dans/'ordre économique C'est un atout con-sidérable.

Du a Petlt Journal s (Pierrot) I

Un accord économique allei 00011151eolee 000v mois

er=t'asircesre'àsi-ts;A première me 11 «kit en donnerd'excellents. D'abord, la genre coûtera

leurs, dragueurs de mtnes ou chas- el94£90199 et 9 19e de Re'smrs de Mus-rn.ins. Les officiers aveu, est ordonnée égalemmt la 11-de carrière les tiennent en haute es- qindation des ms organismes t assmsa-time ; ils ont en effet les vertus es- ticas sportives, patronages laies, nouasentielles du marin t le sens de la du Soldat, Université ouvriére, etc., dansocrent le mépris du danger, les localités engames Alfortville, A, 9/99. el.' 9 T'un et 9 'Mem PaYa

Ensuite, une sérieuse charpente écomgneuRur-Marne c)amart Drancy Ern- 9,009e sera esablie 999-e ha reer9i'e le.,

termédiaire entre l'économie de guerreGentilly, IssY-lessmoulineaux, IvrY-Sur- et l'économie de paix, période d'arien-Seine, L'Hay-les-Roses, Maisons-Alfort; t`. ré Pl d P

blêmes non seule-ment délicats, ardus.

1%17Z0er, VCrut',%uig'-2e1r21°' ITa're'r l'ers'.%1u;',tio'rd'te's.b'secoe= eEnis.11-.cet accord met de ',ordre, et l'ordre

cité1 t de reffica-

aell--i--

La presse alrannere

Huit jours s'écoulèrent, chauds,lumineux et paisibles. Septembrerayonnait dmis toute sa gloire etincendiait la lande.

Flore goûtait intmssement lapoésie de la nature dans cette ro-traite sauvage.

L'été s'achevait dans la splen-deur de révoltessomptue.m. L'a-bondance des épie de mais Poux etdes grappes doréesi vêtait de gloirel'humble métairie.

Les lourds épis chargés sur lesbrus o s'entassaient dans les grès

ai cru et le vin doun de la vendangeallait bientôt bouillonner dans lestonneaux du cellier.

Elise avait Ici!à tout : au ren-semer, dea gerbes, à la entInenVil-lion de la paille, à. la ymbilabonet h rensachement du grain.

Oolsmr0050f le victoire dee alliés, maisaussi à inurrencer heureusement t'organi-sation écoutiez, mondiale Pendant ct

Les journaux *soulignent sue mess eoo-'aération est instituée trois mois après kdébut ds hostilités, au lieu de trais anaPendant Io dernière guerre. Ils mettent enrelief les avantages qui doive, découlerde lei norroene organisumn de 0155 00 émumun dos ressources des deux pays et d'erra'ration des commandes passées à r étran-ger

Au point de eue inkrnational. la presserençèLe ; nue. I 'Iliarze

m000rseos des000 mllée, e,=u7,2et en accélérant ks transports au mieuxdes échanges mondisurs. Dans cet ordred9dées, le système qui oient d'Ara créédiamide d'or heureux augure pour une orPerneation de l'économk mondiale d'agrèsguerre on vuo d'éoiter les crises durion,qua qui, de 1918 à l'épaula actuelle, ontvar souvent éclaté.

Le a Daily Telegraph s, mens sonpaella.' met en relies l'avantage dent/nonne 5e tonnage maritifee qui o.

sa.. de Cale scuperation eAinsi, écrit-il, un obstacle aux

0010vUnionssera supprimé; fait trèstant, puisque c'est du maintien de nosexPertations que dépend notre rapacitéde payer nos importations. Il nous fautconserver notre commerce avec les neu-tres et maintenir des échanges régu-tiers

De toutes façOna, il est extrêmementsatisfaisant de savoir que les alliés exe-cutent si promptement /es mesureseasentiellm à leur victone.

De son côte ie rédacteur allsnomatiquaeoMIgno aumi

rinshortanoe que °oserait avoir le noteveau système Monosnista» pour l'orge-

on relêve, dit-il, que la vole est frayéemaintenant pour ce règlement Mono.mique du monde que l'Angleterre et laFrance auraient garanti au cours desdernières années si l'Allemagne avaitmontré des dispositions à coopérer, auam de préfeier risquer tout dans unegrande aventure militaire et agressive.

Le rédacteur diplomatique conclut s

La force lobule dont nous allonsmaintenmt pouvoir disposer contrel'ennemi va constituer une supérioritéécrasante.

Le st Daily EXplaSti a écrit sA aucun moment de rhistoire, les na-

InsZ. npsér= ce: leeaUsras'y et000e folIo

Leu iér annP'"'Mor% le « DalleSketch ». prennent dm décisions qui,dans la dernière guerre, ne 500e inter-venues qu'au bout de trois ans. Letriomphe dm efforts des aillés s'amo.oavec cet éVénernent.

La pertedu Bolivar "

D se confirme que le a SismnBolivar a ah moment ohil a sauté,était survolé pax deux aviona alle-manda qui le surveillaient depuisquelque tempe.

Le nombre de morts ou disparusdép.ae la centisine.

LE RECIT D'UN DESSURVIVANTS

1,ndres. L'un des survivantsdu a Simon Bolivar », un steward,a fait à un représentant de laPress Amociation le réait suivmtde la catastrophe

« Le « Simon Bolivar » se trou-voit au large de la côte orientalede l'Angleterre lorsque, sans aven-tiemmente il a été secoué par uneterrible explosion. Chacun s'est toutde suite rendu compte de la gravitéde la situation.; mais il n'y eut Pas

nnde grande paue. Les passage.ont couru vers les dépôts de cein-tures de sauvetage, pren.t en pas-sant quelques effets personnels. Descanots ont été mis à la mer à tri-bord et l'on a essayé d'en &sem,dre également à babord, mais le

bateau était déjà incliné et la ma-nuvre fut difficile.

Quelque temps après la pre-mière explosion, il y eut une sema-de a.si Violente. Je suppose que lapremière avait été causée par unemine et la semnde par une secondemine reliée à la première sans dou-te par une ebabe. Peu après o se-ronde explosion, le bateau s'est re-tourné. Le a Simon Bolivar a étaitun gros navire. Il trasmpostalt 265passagers et un équipage importantLe nombre d. victimes doit êtreélevé a.

Serrant contre lui la couverturequi l'enveloppait, le steward a ajou-té t « Je ne sais pas très bien corn-ment je m'en suis sorti. Tai sûre-ment de la chance d'être vivant ».

En nierU111111/1111111,1111111111

DES HYDRAVIONSCONTRE UN TORPILLEUR

D'Angleterre, on annonce meurt topPilleur a livré combat e neuf hYmb-viens alternerais venus pour l'attaquer.

Le Velment s'est égboue à /a côte,niais deux appareils ennemis seulementont pu rejoindre leurs bases.

De partout...UNE DE,111(sMiliA,TQC NAVALE

DANS LE GOLFE DE FINLANDEfiCHOUE PITEUSEMENT

De Milan. Le correspondant dolsCorriere della Sera z à Helsinki,Islande à son journal que les forcessoviétiques ont eu dru accidents enmanamyrant dans M golfe de Fission-..

Voulant faire une démonstrationnavale, un croiseur a coulé un sous-marin en l'éperonnant et s'est e.ssiteéchoué dur un rocher. Neuf hydra-viona par, de Peterhof ne purentremplir leur mission. Deux seulementPurent rentrer à Leur base s les septaumea arrivèrent dana un état lamen.table à Forst:Saltiques, ù ils devrontsubir de trea sérieuses réparations,AIRES L'ATTENTAT DE MUNICH

Arrestations et exécutionscontinuent

Frontière allemande. L'atten-lot de Munich reste entouré d'ungrand mystère. Selon dru /enseigne-ments de bonne suisses, il a donnéle signal d'une répression lote vio-lente.

A Munich, on compte cinq millearrestatio. dans taus I. milieux,

3 MON0

et en particulier ohm' leu nations,.socialistes, les catholiques et memedans les troupes de remplacement(ersatz bataillon).

A Stadelheim, prison dm Munich,les prisonniers sont reventes Mutesles nnits par les coups de fm desexécutions. Le four crématoire nItanSans arrêt

Il semble qu'on Se trouve en PM?sencc d'une sorte de 30 juin nomdont la brutalité dépasse de loincelui de 1934.

LA RNVOLTE A PRAGUEs La grande révolte n'a Pas aneara

commencé a déclare M. JeanMasaryck

De Londrdes. M. Jean Masa-ryek, ancien ministre de Tchécoslu-

q le à Londres, a déclaré, dansune interview qu'il a mcordee à lapresse, que les grandes révoltes dupeuple tcheu.lovaque contre mnoppresseur n'avalent pas emorecommencé mais qu'un magnentviendra où le nazisme sera balayé.

En ce qui concerne le PrésidentHacha, M. Masaryck a déclaréétait virtuellement prisonnier duprotectorat dont il a accepté la Pré-sidence.

-^-ze

CA ETUNE CATASTROPHE DE a-Emin

DE FER EN ALLEMAGNEDe Bruxelles. Le oD. N B. s

ITZ ..°t";rrez.zee,',IertSgendan.

La rapide Berlin-Hambourg est entréen collision avec un nain de banheue. Un00000 sel tombé du haut d'un talus et neautre a mis fc,

On conque 9 kern es 0 bleuies,

L'EXCLUSION DES CMMUNISTESFAR Les SYNDICATS

De Maraeille. hm.. confédéra/du In C.G,T, 0000000 lu bur.'ndépasterremale nommé le 5. no-vembre dernier à la Beurs. TrevadMarseille. Cens la reconnaissance de rex-clusion des é/émems communistes par lessyndicats de EUniou départementale et cl»l'Union local,

Ainsi que cela a été fait à la Roussedu Travail de Saris. les andiaase à ten-des/me commuais. 001 aMat pas désavouéle pools germanrasoviétique seront .pfudbainement exclus dey locaux qu'ils oc-cupent à la Bourse do Travail propriétécommunale.

DES REGIMENTS SLOVAQUESONT DU EIRE DISSOUS

Do Bruxelles Plusieues régiments do-vaques envoyée à Aix-Ife0hafte/le ont daêtre dissous.

"W 4101.À e Y 1/ ?Mcalk

_

LE « REV.EILDE M. HORE BELISHAL snob ,'ovuoob la-

raises qui se défoulèrent dans l'Est,ilinc")Ininitna.,.. y assistait ou

155,05,0e linerdo don rudesoun

En âne' de sage année. les manda dei.de none armée se rendirentl on Angleterr

d'

e.,..poir:enoornoer,,er avec eurs collCaves

outre-Mau Cenche. tte fois, ,é ninisire deE Curare Britfannique rupecu scrupnleu-

Ici, dit-il en souriant au généralGamelin, eleat vo0 qui êtes mg, invité,Je tout Ce Fon don, ce heac..

Depuis que la guerre éclaté. M. HomBelisha est delsom tout les nuire à sixheures. /I se fair eonner nus earsla e skelle a do kenyan a réveil », vieuxtanne en tonnes. dans l'armée krtk aaequi date de NaboMon. -

. CENTENAIRESL'effectif des centenaires français s'en-

riebit aujourd'hui, d'une recrue dl mar-que en la personne de Mine l'amirale Jeurè" gai délèbre dans un :naseau de re.,son entrée officielle dans sa cont unième

NI.enla

N /0 novembre 1839, n nie do laRéunion, Lucite de Julienne 000010,èvissatmsesk ans, ea officier de marineBenjamin Jaurèa qui devait &venir, plus

tard, ambassadeur de Franc à Madrid, pouà Saint-Pétersbourg, avant de mourircongre ministre de la Marine.

Un sdcle d'une existe/Usai brinante 50-tant que bien remplie lui 01,000,15Wusuent. feules les célébfltéséhillustred leaecond Estune e le Ttoisdane RéPnliffirque Elle su même le obviés« d'asiate,notant qu'unbasserdrpe franestse, au cou-ronnement da 555, Alesanalm III, en 18/11.

A LA SOCPE LA-DEDANS 1Et quelle soupe s meueigneurs h N'oh-

Ifs le menu servi. le jou do remikon,on 10. d'infanterie régionale à Paris r unedouzaine d'huîtres, une bouchée à la reine.un quo de pou/et au 0100s510, un gâteau.dus quarts de pinard... et 000e bouteilledo champagne pouf muge !Et, bien

0mtendu,sans « ersatz s

LE PREMIER.Lo premier tué allemand a été. nous

disent les journaux noPane-tal nommé Bock Thraingien, servant, àSaint-Arnauld, petit village devant Sec-rebruck, et qui aurait été abattu par 00etutrouille de Marocains, le 8 septembre,comme 1 était de surveillance en posteavancé avec trois hommes

bissac évidemment do premier Pré urJe from français, 01 non pas du premierlui de la guerre, qui tomba évidemmentsur le front polonais.

11 prit 1m doigts longs et fins Avec elle Flua faisait un utile vent pour courir au devmt de lui femme IL- Je ne mis pas digne dedans sa mam brune et les serra for- apprentissage.tement. Le soir avec Antonin elle shns-

Un lien subtil remerra leur tamisait sur le résinage des Pinsétreinte. Entre eux s'établimait le Les erifmts, Annette et Jacquot,Saurant magnéliqm. Ils eurent de étaient charmants, Elne attentive àIn peine à dénouer lems mains. Ce lui plaire,fut un arrachement. Flore suivait en pensée Pierre

A. bientôt dit-elle. dans as tournée en foret.A bientôt ! fit.-0 de sa voix L'éclat des matins, le flamboie-

grave. Je ne cesserai de penser à rnent des après-midi, la douceurvous. de veux vous retrouver tout mélmcolique des soirs dont les su-à fait rétablie, promettm-moi de leils couchants teintaimt de rose lesbien vous soigner, fûts des pins avaient une douceur

Je vous le promets, dit-elle. suave. Une grande job un PeuIl mit le moteur en marche et tri-Ste . dégageait de la forêt. Flo-

agita la main en signe d'adieu. na retrouvait ses forces. Elle n'é-Elle resta debout longtemps au prouvait ples aucune douleur des-

même endroit jusqu'à ce que l'auto tomac et elle bénissait None deeût disparu sous le. arbres. Alors l'avoir amenée à Saunacq.en-Born,elle pousea un gros soupir et rega- Ce matin-là, elle était allée s'as-ma la métairie. seoir Près de la métairie, dans une

Pourquoi l'avait-elle empêché de clairière cerclée de hauts pins.1 v Au pied de chaque arbre s'aman-

celait un petit tas de copeaux bril-lants de résine cristallisee.

Antonin Casère était passé parlà. Les pins e gemmés n suintaientla résine par leurs blmsur. frai-chement ouvert.. Des bruyères etdes fougères rousses composaient àterre un riche tapis.

La-aut, le ciel, pax contraste avecle sombre feuillage, était d'un bleucru. Une odeur balsamique de rési-ne flottait dans laquelle s'exhalaittoute reine de la forêt.

Dans ratmosphere recueillie, leshauts fûts des pins faisaient songerà dm piliers de cathédrale.

Soudain d'un chenun de usas-bois feutré d'aiguillee de pins dé- et elle trembla. eboucha me silhouette masculme encore lui échaPPer ?...que Flora rmosmut amsltôt. Flore, dit-il d'une voix altérée,

Pierre ! s'écria-t-elle en se le- je vous aime. Voulez-Vo. être ma

Je ne vous attendais qur demani. vous... Je vous ai trahie aveu oneQue oral-il pame . Voua nasea vilaine femme... Je vous as Mn...pas eu d'ennuis? malgré moi la présence de Mem&

Aucun ! assma-t-il gaiement. dès à Hascaren, je vous ai fait pieu«Le « gémellage z se pomsuit nu- rer... Mais c'est vous que j'aimais,makonente la coupe s'mnonce im- même quand obéissant à un unieportante. M. Tyrosoe sera content, puas excessif je paraissais dédaleSi je suis revmu plus tôt, c'mt que goals la pure tendresse que vouaje m'ennuyais loin de vo.... Jetais m'offriez... J'aurais dû alors vousinquiet de votre santé... Me voilà gardes. Me pardonnerez-vous ja-rassuré.- Vous avez une mine char- mais mes doutes et mes hésitations.mante. Oui, répronvals l'impérieux vous qui avez été si généreuse etdésir de voua revoir,, avez lutté pour moi quand réa

Si je pouvais le crore l mur- tais dans la peine.mura-t-elle. Pierre, je ne suis pas votre

Croyez-le, Flore. Je voudrais juge et je vous aism,ne plus vous quitter jamais. Vous Flore, quelle joie cous me mu-ne pouvez mupgosmer la ferveur de ses !... Bien.almée, vous m'aimesmes sentiments. Mata j'ai un P.- dune, malgré tout?,,,don à solliciter... Je vous ai aimé tout de suite.

Il s'arrêta Msai, le regard à terre Pierre, dès que je voua vis et je n'aira.n gontunpler les mousses Mise- jamais cessé de vous aimes, mêmeraudes d'une fraîcheur acide. ies quand m'abmdonnant pour une au-fougerra en évmtail, les plaques tre voua m'aviez ordonné de vousroses de bruyères, les aimes etoi- oublier. J'avais beau lutter, je nelés de jaune, pouvais empêcher mon ccem de bat-

Elle admira son profil. altier, Ireme pour ¢¢us,Que voulez-Vous due ? mas- Cet aveu le bouleversa.

Il attira la jeune fille contre saComme il se taisait toujours, elle poitrine et l'y serra avec force,

prit prur. cher, vo. m'avez con-- Qu'est-ce qui vous empêche de quis par l'éclat de mtre beauté ai

parler ? N'êtes-vous pas libre L.. pure qui reflète votre âme char-M'auriez-vous menti ?... mante. Je vous adore ! Avant de

L'idée folle qu'il avait peut-être quitter Hascaren, j'ai avoué à M.épousé secrètement Mercedes Norta Tyr.se mes sentiments. J'ai solli-venait de lui traverser l'esprit. Elle cité son con.sentement. Il Ma ré.se remémora les insinuatto. de pondu a Vous avez mon approba-Vincent° concernant l'altercation non, je serais ravi que vous épou-entre Pierre et E/oi, le ,soir du bal siez ma fille et de vous avoir pour

gendre. Mals Flora seule demderade son avenir. »

(A suisse).

E LAIT DE L'EPARGNEEN' CARAFESCACHETÉES

EST PUL,SAIN;)HYGIENIQUE

M... one I one L. L dedbarnast capital que constitue la dé.

LA PRESSE ANGLAISE

ci ai on gouvernement. français es a,niais de coordonner kr, céleri de rems«(C'est du Moins a Paris-Soir ci Ica. aciiaa écicemicac act comeced

Mn l'affirme) Pat la pr.s. 100001100e comme une me-sure de non seulement à faciliterDepuis quelques jours, la cOquette

mite cité de Sartrouville Possède na ma-tenaire en la personne de M. Auguste- e jeune marié a, qui allait déje mieux.Albert Pinson, qui vint y prendre saretraite voici quarante ans, après avoirété tinciéde POLIVOn d'une banque Dort- m'Et c'est encore le verve ensienne. n main qu'AL

bort Pi.on célébra son centième annt-Mals M. Pinson n'est pas un cent, mues noie.reraulrc.nunaine bene/ se sentant pris d'un ni. 00x00 dois 1001, tale/aise subit la veille de son anniversaire,il fit quérir le maire et l'officier deta, Est-ce d'avoir convolé en justm nocescour

teé,Drer Csariubonn'xiterr7 vistsg7.- 'pusgdsfealtorTe o1u1j0o5u'res' esévté-irquee'tM'.ulsntschamon.cinq ans Sa cadette. En Présence des se sent, depuis, tout ragaillardi.témoins et muni d'un certificat médi-cal attestant que le malade ne bmvait vo'isinres'1e' rhev'eientaicatemmr que'pabrie'lPytassslquitter a00 lit, le suaire, M. Aubin unit balayer alertement le devant de sa

r,clo.in jés,,e peeorteeteecliaque matin, à nuit heures son-

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Une fêtepour nos soldatsDans l'après-midi de samedi nous

nous sommes rendus au Cinéma Pé-rignon voisin de la Caserne des Aé-rostiers sur l'invitation du généralFauré commandant la base aé-rienne.

Une belle petite féte de famille,rces y attendait. Oh! certes basanefête ayant peur seul but de réjouirou de distraim. Mais as contraireune haute manifestation de solida-rité se proposant d'alimenter lefoyer militaire de la base aériennéde Toulo.se Pérignon. Le foyer alindispensable, a besoin de vivre etc'est pou, qu'il vive, et apporte anos militaires les distractions utiles,que cetIe fête pleinement réuSsied'ailleces, avait été organisée.

De nombreuses personnalitésavaient tenu par leur Mese..r àtémoigner l'entente qu'ils aecor-daicet à cette manifestation. NaisY remarquions entre autres notreami Ellen Prévot, maire de Toulou-se et M. Soulages conseiller de Pré-fmture représentant M. Atger per-1et de la Ilaute-C.ronne. Les auto-rités militaires étalent égalementnnbrenses auteur de MM, les gé-néral. Fauré et Montarby or der-nier commandant la base aériennede Toulouse Fran.sal.

Parmi les nombreux officiera Pré-sents on voyait le lieutenant-colo-nel André, les commandants Ducas-se, Manet, Chevalier, Semat ; le Mé-decin command.t Fauré.

Pour évoquer le programme, iln'est que de donner le nom des artis-tes qui appartment tom à tour 5- M.Jean Claverie - soldat aujourd'hui- et Mme Marthe Nesp.lo.; oc-tait notre Académie nationale demusique, magnifiquement rePrésen-té. M. Louis Bar, caporal à la ba-se, enfant chéri des ToulousainS, etauquel e le Pays du Sourire n estatt.hé comme son ambre; MmeHéler. Regelly, vedette aimée del'opérette française; Mme Isarié-(callice, comme tzar, de l'Opéra-Co./nique; M. Sperte de la Monnaiede Bruxelles, et M. Victor Lhorarne,ler prix de violon (Conservatoire deParia),

Ces noms disent suffisamment lerégal artistique offert à nos soldatset auquel les chefs s'étaient joints.Et connue la Soie n'était P. °an.er,il faut adresser au clown Inytas,qui fut par ailleurs un speaker pleind'esprit, dos éloges pour son nu-méro, plein de verve, d'inmginationet de gaieté de bon aloi. Et Ionajoute que 11. Delsaux est aussi ta-lentuean comme accompagnateurque comme chef d'orchestre ; quel'orchestre de la huer aérienne étaitdirige par le masure Jeanjean, qu'il!comprenait dee vedettes dommeAlic-tor Lhomme et Saliaritch, et quetoute cette troupe d'artistes mascu-lins était aces l'unif orme, on réalise19atmoSphère de la salle.

Ajout.us qrnon projeta surl'écran une uvre de J.-Paul Paulin« Trois de Saint-Cyr a., qui faithonneur à la fois au einesna, à Ear-mee et à l'Empire et qu'on tira unetom:bols que la générosité de nuecommerçants avait alimentée.

La recette a été belle et nouenous en félicitons en meme tempsque nous adreaserons nos compli-ments aux organisateurs de cetterétinien qui, outre la partie artisti-que, dont on vient de Voir quellebrillante interprétation elle s'étaitassurée, no. ont permis de revoirun excellent film 5 « Trois ale Saint-Cyrlllll 111111111111111111111111

lllll 111111111111111

Courrier immulinteme

Artistique g.

H11111111111111111111111111111111111141101110:

« DIPE ROI s AZ JARDIN ROTAI.

Malgré la guerre, l'activité intellec-tuelle et artistique doit rernecem.le }eu& 30 novembre, en matinée, le

théâtre du Jardin Royal rouvrira sesportes pour une matinée de grand gala tspécialement destinée â la jeunèssn desmoles, mass aussi a tael le ouille

Au programme t e LEM,. Rot s,chef d'oeuvre des chefs duvre, Inter-prété par M. Louis Nègre, Pmfesseurau Conservatoire de Toulouse, qui /ajoué plus de cent faiseur les grandessecem de plein air, entouré d'unetrousse de tout premier ordre. e ma-gnifique spectacle d'art que l'en n'apas vu à Toulouse depuis plus de Menteans, sera donné pour l'éducation de laje.ease et aussi au profit des «vres de Guerre s.

lieus reccrnrnandé aux maison. d'édu-cation, 'Bées, institutions, de faireconne., le plus toi possible, leursdemandes de places à M. Paul de Max,63. rue parsarainikes, Toulouse.

Des prix spéciaux seront consentaeux élèves venant en groupes.

TOURNEES CH. BARETAUX NOUVEAUTES

Spectacle de variétés r a Voilà Pa-ria ! e avec Mauricet et GermaMe

Les Tournée Ch. Haret nous donne-ront, le mercredi 22 novembre, au th.,ire des Nouveautés, un spectacle de va-tietés.

Il faut venir écoute' le spectacle 5a Voilà Paris ! », qui cet présenté parmannees, le spirituel chansonMer, etGennaine Liz, m grande divet. et tousMurs charmants camarades.

C'est une soirée de délassement et debonne humeur.

Location ouverte.

Le vol aurait été commis devant ecafé Auguste, près de la passerel edes soupirs. Elle l'avait placé dansune poche de son tablier. l'aime Be ea porté plainte contre inconnu. L sservices de la sUreté ont été prévenuset des recherches immédiatement en-treprises.

ARGUMENTS FRAPPANTSDans la nuit de samedi à dimanche,

vers minou, alors que le jeune Lang'chut Raymond, 17 ans, beulanger, do-micilié 27, rue Sainte-Geneviève, serendait son travail et passait placeSaint-Aubin, il a été interpellé par unindividu qui braquant immédiate-ment sur lui un revolver lui ademandé s'il avait de l'argent.Sur sa réponse négative, l'indi-vidu lui a dit r tu peux foutrele camp, on se retrouvera, et 11541-vide cst parti en direction de la ruede la Colon/bette.

REPOSONS-NOUSM. Basile Portet, 70 a., cultivateur

à ...guelte, 25, route de Seysses,a porté plainte contre inconnu aunom de sa belle-fille, boulangère,pour vol d'un banc en bois plané de-vant la boulangerie. Le vol attrait étéemnroia au cours de la nuit de same-;fi à dimanche. Sa valeur est de Drofrancs mviron.

UN NERVEUc Fourra. 96 ans, einployé

à la Société des Tramways et MmeLatger, domiciliés 13, rue de la Cha-pelle, à Toulouse, ont porté Plaintecontre en individu ponr mulla Ce-lui-cl lés aurait frappé au momenton ils descendaient du tramway, li-gne 56. Il paraisait pris de boisson.

CAMBRIOLAGEAlme Charlie, 24 ans, infirmière, do-

miciliée/5, route d'Espagne, qui avaitquitté son domicile hier matin vers11 heures, a constaté à son refont,vers 18 heures, que son appartementavait été cambriolé. La porte d'entréeavait été fracturée et les meublesavaient été fouillés. Mme Charlie doitfaire connaître la nature des objetsclin auraient disparu.

LITS, SOMMIERS, Matelas. Divans,Meubles neufs à de tees bons prixA la TrouvaIlls 396 rue (kt rue.

AVIS DE DECESLe Syndicat Général des Entrepre-

neurs du Datceent et Travaux publicsde Toulouse et de La région a le regretde faire part du décès de

Madame JosePh MIALHEnée marguerite FOuRNIAL

décédée à Page de quarante-hult anset vous prient de vouloir bien assisterà ms obsèques qui auront lieu le mardila novembre 1839, à dix heures. en,église Saintaubin,

On se réunira à. la maimn mortuaire6, petite rué Riquet.

Pompes Funèbres Municipales, 34, rue- Toulouse.. TA. 247.30

REMERCIEMENTS

Monsieur Louis BRUSSON, négocianten quemainerie et Madame, McesMurGeorg. BauSsON, fournitures pour...serirn automobiles; mesdemoisel-les Antoinettc et Georgette BRUSSON5Messieurs Aristide et André PAVAR.ELet leurs familles; Monsieur et MadameBuDAN, de Par.; Monsieur et Ma-dame CANEL, les famille. BRUSsON.FAVAREL, SAUVA., BADO, CLA-MENS, parents et alliés, profondémenttouchés des marques de sympathie quileur ont été témoignées à inccasion dudécès de

Madame veuve fini. BRusSfeunée Rosalie FAVART:1,

et dans l'impossibilité elig MM./. Malhviduecement, prient toutes les person-nes qui se sont mamies4 à leur deuil,de bien vouloir trouver ici l'expressionde leurs remerciements émus et letémoignage de leur vive reconnalssmce.

service de neuvaine sera célébrefars l'intimité.

Toulouse, 18, rue de 15 Colombe..

Pompes Funèbres Municipales, 34, tueP.a./M.6ms. - Toulouse. - Tél. 247.30

111111111101.1.11111.111.1111111.

CINEMASGAUMONT-PALACE. - 14 heures

16 h. 30 et 20 h 30. Monsieur Bromnneau avec l'inc.marable Raimu, la .1.rman. jomm Dan 1Sa dommentaire au,la Tunisie et les Act..da dc dernièreheure. jeudi, . La Fin du jons s une pléia-de de grandes vedettes.

NOUVEADTES - Permanent de 14 à19 h., mirée à 20 h 30 « Conflit , arecCorinne Lucraire, Rouer Ducheme, AnnieOs-muave Ncue.Yo.k Express. , am.1.41. Lod.. Les demières ...lités du(rent

VOX. - Permaisent d. 14 à 19 h., soi-rée à 20 h. 30 r e Trois dTS.nt-Cyravec Roland Temin, Jean Chevrier, ..Iimic junsle e, 4me épisode, «L Vainque.de Cobra ,, les dernières mtualités de

euIulueeruIlIIeIIIIIIIllleIlIiIIiuIutIsIl,IlllI

DANS aBANLIEUE

FENOU1LLET

VITE ENRICHICHIENS TROUVES. - Un

cblen et une chienne de chasseSamedi entre 20 b. 30 et 21 heures, bleu d'Auvergne tâchetés, ont été

Iil e été dérobé, au préjudice de Mme recueillis dans la commune.Bau, 30 ans, patronne de la barque Réclamer le chien ches M. Lay-

Là so!,,,,soghie n, up portefeuille mon Jean; la chienne à M. Picardcontenant la somme de 6,000 francs. Thoinstas

EE MIDI SOCIALISTE

CHRONIQUE'REGIONAI-ÉAuDIE mkne époque ainsi que ée. oei sont nds TARN

CARCASSONNETRIBUNAL CORRECTIONNEL. -

Audience du 16 novembre 1939. M.Roque président ; M. MoreBi, procu-reur de la République ; Si. ble.rty,greffier.

Bousquet Jean, 92 ans, sans protes-sion a été trouvé, le 4 novembre, àLastours, en état de vagabondage. 15jours de pris..

Normand Louis, 43 ans, sans pro-fession, qui tenait compagnie au Pré-cédent, se trouve dans la mme situa-lias. 15 jours de Prison.

Polo Cacique, 27 ans, imprimeur,de nationalité espagnole, est venu enFrance sans pièces d'identité. 1 moisde prison, 199 fr. d'amende.

Pinot Paul, 52 ans, mtporteur, sansdomicile, trouvait la viande hors deprix, 0 est empare du gigot a l'étaide Ferrié. Surpris la main dans lesac, il a Eché derrière une borne-fontaine le gigot dont il voulait serégaler. Malgré /es témoignages for-rads, Pince nie energisfuelnent. 3MOit de prison.

Martin Gonjella, 31 ans, cultivateurBlomac et Oliver. Plie, 36 ans, ou-

vrier agricole à Montirat, ont tousdeux omis de faire la déclarationd'un revolver. 5 fr, d'amende à cha-cun.

Polano f1100 et Polano' Giroleno,maçons Carcasonne, vol exerce desviolences sur Pilot° Charles, 35 ans,régisseur à Veil., qu'ils amimie deleur avoir volé Mid.. planches.Les deux Polano ne comparaissentpas, ils sont condamnés par défaut,à 50 fr. d'amende chacun. Picolo estrelaxé de l'inculpation de vol suiviecontre lui.

Rodriguez Manuel, 39 ans, Cueille-ms José, 27 ans, aux Ilhes-Cabardès,se sont portés des coursée 18 sept.,bec dernier. Guttières ne comparaitpas. 8 jours de prison par défaut. Ro-driguez, 16 fr. d'amende avec sursis.

Cambon Abe/, 55 ans, chef de ser-vice aux établissements Baurés, àliarcasonne, a, dans le courant dumois d'octobre, porté sans motif leprix aes poliles à bois de 295 à 25In. Poursuivi pour hacese illiciteest eondaniné à 100 fr. d'amende.

Le 19 octobre 1938, SerresClément,deCarcasonne, était renversé, route

de Narbonne, par la voiture de M.Conniene, négociant en Bastiaux àTcebes. Riese et subisant une incapa-cité permanente, Serres a sollicité laréparation du préjudice par lui subi.Après expertise, l'affaire vient devantle tribunal qui alloue à la victime10.000 francs de dommages.

MORT DANS SA CHAMBRE.. -Hier matin o na trouvé mort, dans sachambre, rite du Quatre-Septembre,tin retraité de la Compagnie du Midi,mnin'ad Grenier, âgé de 72 ans. MlleOlive, doetmr en médecine, a IIIesconstatations d'usage et établi que lamort,de M. Grenier est due a. des cau-ses naturelles. Le permis d'inhumer aété délivré.

ETAT-CTVIL DU 11 AU 18 NOVEM-BON 1939. .- Naissances Garçons t6; Filles 8.

Décès Barrière Marguerite, 78ans, rue des 3-Couronnes, 1; AndelCatherine, veuve Paillés, 91 ans, rutede Narbonne, 25; Delquié Augustin.veuve Pradal, 70 ans, route de Nar-bonne, 25; /Sunny Mar/remit. -veuveChatou, 77 ans, rue du Pont-Vices, MiDejean Pierre, 36 ans, rue Voltaire(elinique); Dagnac Anna, veuve Ran-coule, 87 ans, rue Barbacane, 113;Fortepaulle Adolphe, 60 ans, rue Di-derot, I; Timoreau Lucienne, épouseGraziotti, 30 ans, côte de Grazailles;Gau Berthe, divorcée Faure, 53 ans,rue de l'Hospice; Mas Françoise, vert-vo Consens, 72 ans, rue de l'Hospice.

PUBLICATIONS DE MARIAGE. -Gallo Narcisse, à Carcassonne et Fe,red Juliette, à Montréal; CassignolJean et Nouvel Juliette, à Careassomne; Roubinean André, Lavelanet etAzéma Madeleine, à Carcassonne;Zona Emilio, à Carcassonne et Ca-mer°. Regina, à Gardie.

()DEUIL- 'Matinée 14h, 30. Soirée21 h., un grand dom inédit d'espion-nage et policier, le chef-d'oeuvre dugenre «Les 59 marches n, et la cele-bec opérettes marseillaise d Un dela Cannebilm ace Alibrt, GrmaineRoger, Servit, Relies,

Les Actualités-Pathé.MODERN. - Matines-Sn/ré 5 Sen-

salienne/ programme d'action, e Ari-zona-Bill n, un filme rodigicux avecle grand acteur Wa/lace Berry ete Escrocs de Haut Vol n.

CASTELNAUDARYPAIEMENT DE S ALLOCA-

TIONS MILITAIRES. - Les allo-cations de la première quinzaine denovembre seront. payées dam lesconditio. suivantes peur la com-mune de Castelnaudary :

Le mardi 21 novembre, de8 h. 30 à midi (certificats d'ins-eription rit! 1 à 200 ; de 14 beur.à 17 heures, certificats dlin.rip-Con n° 201 à 400.

Le mercredi 22 novembre de8 h. 30 à midi (certificats d'inscrip-tion n° 401 et suivants).

Comme d'habitude, ces paiementsseront effectués à la Caisse d'E-P.Rne

SUCCES UNIVERSITA111E. -Nous apprePons que Mlle GeorgettePenny, ancicene élève du collège deCastelnaudary et fille de notre dis-tingué professeur de dessin, vientd'être reççue au Certificat de Litté-rature Française (licence claàsique)avec la mention e Bien o. Nous

heec 'e'd'enreacralteorns ce.sotnaem suèstnousMlle Perey nos bien vives f)licita-tions.

FABREZANRECENSEMENT DE LA CLASSE 1940.

- Les Mmes gem donnait. dans la eom-mune, do. la det. de naisse., est mn-Prre du premier janvier 1929 au 31 décem-boa 1920,sone in.tés à sn rendre au se-crétariat de la mairie mant le 5 decem.boa 1939 po. inscription soi le

blesu de reeensame. do la elesmLee fda edea..5», ara France à le

entre le 6 mal 1918 et I. 31 decembre 1920

sed n'ont pas révpudir la nationdité hm-mise et les do-ana.. devenus Ends,. rasmi. de naturalimtion, sont invitas à demander le. inscription.

FLEURY-D.AUDECOM1TE D'ENTENTE POUR AIDE

AUX MOBILISES Soue la présidenced'hocecer de M. le Maire de Fleury a deM. le Curé, un Comité d'entente d'aideau, mobilisés etdc loura familles u étéformé per les mciens comlaatta.Oe et lesdenses de l'ouvroir, oui confectionneoi deslainages

Pour s, procurer les rem..ca nées,mires à so. movre, I. comité keit appel àla population, cei a déjà répondu arvmsendrositu coutumière. sitaa la colGc.ccemeneée.

Le comité lui adresse ses meilleursmerci..., mis oublier 1. ooêaears bé-névole, ea les jenees filles nui lui ona amnom leurs concours man...

Les dl.. des Mol. sous I« direct:onde hors devomes lestautrices, travaillentaussi à la eonfection de vêtements qui sr-ront trèUntileu à nos poilus pendant l'Ems

D...sem.. ont été déjà envasée nuspoilus les pins reke.iteux et le, rasnlatacolis de lainage .ea été cmdcf.

.RECOLTE 1939. - Hectares 1.766Hectos, vin tons, 94 OBS Heck, vin

Drinut'innorFeoitt1909 u ll 953

CONQUESAVONS-NOUS LA LIBERTE DE

DIRE QUE b - La journée du 11novembre nous a fait revivre leshorreurs de Eavant-dernière, nonpas par les pertes subies par lesêtres si chers que no. avons aufront, mais par les souffrances mo-rales qu'il mous décrivent dans lamrrespondance où 10 ceceure nemet pas le nez.

Que ce n'est pas les anciens fan-Laissevi,iinr ès:nedsaut nrlret

tic du front ; mieux vaut les avoirpar la famine qu'a la pointe desbaïonnettes 1...

Que ce n'est pas être lâChe, 1edonner des conseils de Prildencenos jeunes qui montent la garde enavant de la ligne dite Maginot. Quesi dace notre région de culture mix-te, certains prétendent qu'il ne fautpas semer de blé pour que la guerrefinisse plus Mt, d'autres tout ensouhaitant /a fin prétendent que lesmoYeas leur manquent.

Que st les PaYsms valides sontSono sens les armes, nous voudrionsconcentre le nombre de communis-tes qui sont mn la ligne de feu, etcerni qui rot MObilisé aux usines I

Que nous avons eu l'agréable Plai-sir de voir notre camarade Courrié-re conseiller général qui vit sa per-mission de détente avancée pourassister aux séances du Censeil gé-néral,

Qce Courriere avec Son Calot bleuhorizon, et son Costume kaki, etqui est quelque part aux avant-Pcetrs

Que si certains de nos compatrio-tes ont la veine d'être Mobilisés à

Que nous n'avons qu'a nous louerdols solidarité de nos camarmiss dela section sceialiste 1/15-d-vit de noscamarades qui sont au front.

P. Belaud,

MOUSSANJOURNEE FRANCO-BRITAN-

NIQUE DU 11 NOVEMBRE -Les gcetilles et jcenes quêteceesMlles Avertit (Annie), Ba. (Ray-monde), Laeombe (Andrée), Rouaix(Marguerite), Salm... (Louise),Tirefort (Gisèle) ont visité la Popu-lation et rem.lli la somme de 753frau., qui a été adr.sée pur lessoins du Maire à la Confédérationnationale du Oomité de l'Armistice.

Au nom de cese qui combattentet de leurs familles

Aux donateurs et aux quête.mnous leur adre.00n nos bien sbace-r. remerciements.

DECLARATION DE RECOLTEANNEE 1939. - Déclarants 255.Superficie 1.005 ha 552. Vin rougeet rose 69.807 hl 15. Vin blanc 14 hl.Total 69.821 hl 15 litres. Récolte1938 62.222 hl 89 lit/ses. Différenceen pl. 7.598 hl 26 litres. Stock 193819.562 hl 27 litres.

GINEsTAsCOMBATTANTS 1939. - La quê-

te faiM au profit d. poilus 1939,pour la vente du bleuet et coqueli-cot, a produit la somme de 900 frs.M. le Maire remercie sincèrementtous les généreux donateces ainsique 1m charmant. queteusce.

DECLARATION DE RECOLTE1939. - Nombre de déclarants 238.Surface totale pl.tee en vigne848 nectar. 5 4Vin rouge 55.792 hl 20Vin blanc 46 hl 50

Ràcbhto 35UU

55.838 h/ 70Récolte 54.335 hl

BIZANETDECLARATION DE RECOLTE.

1939, - Nombre de déclarants u 351SuPerlieie en Production 5 1507 ha22. Récolte de 1939 ; vin blanc 45hectolitres; vira ronge 94869 hl 48.Récolte totale 94.914 hl 48 litres.

Stock de vins vieux au 1er sep-tembre 1939 5 30.150 hl 66. La ré-mite de 1938 ayant été de 97.420 hl38, il m résulte que la récolté decelte année lui est inférieure de2.505 hl 90. Par contre le stock devin vieux de 1939, au ler septembreétait supérieur au stock de la datecorrespondante de 1938 de 21.27000(181.

CONSEIL D'ARRONDISSEMENTLe Co.eil d'arrondissement de

Castres-Lavaur se réunira a laSo.-Prefecture le 21 novembre a10 h. 30.

ALBIALIGNEMENTSALIGNEMENTS DES PLIS DE

LA BERCHERE ET DE LA GLA-CIKFIE ET DE LA PLACE DE, LE-COLA NORMALE. - EnguMe préa-lable êt la déclaration distillé pu-blique. - Le maire de la ville d'Albia l'honneur d'informer ses adminis-trés que conformément aux disposi-tions du décret du 2 mal 1331, uneenquête administrative est ouverteà, la 1Vlairie d'Albi sur l'utilité Pu-blique des Mayarix relatifs â la fixa-tion des aligne...ta des rues de laSerchere et de la Glacière et de iaplace de l'Ente Normale

prIojneteunssveiVsensceer'oà.sdéparss dàIMairie (Service des Réclamations,2e étage), du 23 novembre au 3 dé-cembre inc/usivement, pour que lesintéressés puissent en prmdre con-naissance caque jour, dimanche etjcers fériés exceptés.

A l'expiration de ce délai, M.Calmels, maire de Cunac, commis-saire enquêteur, recevra à la Mairiependant 310000 du 4 an 6 décembreinclus, les déclarations qui Pour-raient être faites sur l'utilité publi-que des travaux projetés.

LOTISSEMENT VAYRETTE. -Enquête. - Le maire de la Villed'Albi a l'honneur d'informer sesadministrés qu'une mquête de com-modo et incommodo est ouverte à laMairie d'Albi sur le projet présentéPar M. Vayrette Roger, 25 amnueAlbert-Thomas à Albi, et rMatif aulotissement d'un terrain lui aPPat-tenant situé mante de Graulhet.

En concéquence, le dossier seradéposé à, la Moine le dimanche 26novembre 1939, de 10 heures a 12heures, pour que les interemés puis-sent en prendre cmaissance,

M. Jourde, maire de Frejairolles,commissaire enquêteur 1m.y:a à laMairie, les jour et heuresPrtoiLèales observations qui Pomrnient êtrefaites sce le dit Projet.

CASTRESSYNDICAT D'INITIATIVE. -

Peur vos déplacements, vos voyages,consultes au Syndicat d'Initiative,l'Annuaire officiel du Bureau Na.5100010 du Tourisme qui vous donne-ra gratuitement sur les villes quevous Occeevinl5cn I renseigne-ments généraux et les listes d'hôtels.

Tous renseigne'ments vous serontdonnés également sur les cheminsde fer par le bureau de ville que laSceiété Nationale des Chemins deFer PranCalu y a Créé Pour votrecommodité.

CARMAUXAVIS AUX MINEUR.S RETRAITES.

-Le permpteur de Carmaux informelm retraités mineurs que le PaYemecede l'échéance au ier décembre prochainaura lieu dans les conditions rigoureuses ci-après t

à Carmaux, à la Cals. de SecoursOr 9 Iteurm à. 15 h 15 et de 14 heurmà 16 heures t le mardi 5 décembre, pourles numéros ahl/1.000, le mercredi 6 dé-cembre, pour 1e. numéros 11,901 a.

32000; le jeudi 7 décembre, pour les nu-mérm 32001 à 57.000; le vendredi 8 dé-cembre, pour les numéros 57.001 lutequ'au dernier.

A Saint-Benoit, à la Mairie, le m-medi 5 décembre 1939, de 8 h. 3010 hecees.

I. 5 Blaye, à la Mairie, le samedi9 décembre, de 10 h. 15 à 11 h. 30.

Comme Mujours, prière aux intereseLés de signer à l'avance leurs muronsau recto et au verso - deux fois. Semese' nter le jour fixé par l'ordre desnum.et cidessus; trop de permnnes.églisoaieat Maintenant cette renom-mandation essentielle. Le Plus grandsilence est demandé Pendant lm paye-ment. Noter qu'aucun cermeent nepeut être fait au bureau de la Percep-tion, les journées dm 1,2 et 4 décembreetant strictement con.crem s upaye-ment des allocations militaires.

Aine AUX BENWICIAIRES D'AL-LOCATIONS MILITAIREs. -- Le paye-ment des allocations militaires de laPerception de Carreanx aura lieu aubur.u, les ler, 2 et 4 décembre Pin-chain. Ces trois journées sont réservémà ces payements. Prière aux Personnesintéressées de ne pas manquer de vmdr,car le payement devrait ensuite etre dif-féré quelle que soit la raison invoquée.

MARCHE DU 17 NOVEMBRE. -Cours pratiqués ; Poulets, poules 12 ft,canards, si fr.; canards gras, 20 frdoies grames, 19 fr., le tout le kilo.

Pintades, de 30 5 40 fr., pince., deIO à 18 fr., le tout :a paire; canardsmulards, de 60 à 75 fr, la paire; oiesvivantes, de 85 à 110 fr. la Paire.

Lapins, as à 20 francs pièce.ufs, 12 frmcs la domainePommes IrMts, de là 12 francs le

comble; poires, de 12 à 10 francs lecomble noix de 4 à 5 franm le cent.chatalgnes, de 25 à 32 francs le comble;pommm de terre, de 9 à 10 francs lecomble; haricos, de 300 5 330 francsl'hectolitre.

TROUVAILLES - m. Jean BudItarue Aar.o, dé.10c avoir trouvé msbracelet; M. Yvrande Georges, 118, remnue J.92.-Calvignese, cee bac. sh Ter-rai. Emite, à Lemere. un portemonna.same petite somme.

Se renseigner au Commismriat de no-nce.

ETAT CIVIL DU 11 Au il NOVENIBRE - Naissances. - marmonneDolly Gargano.. avenue Albert-Thounom, 07; Andrée-Nicole Garner. av.nue Albert-Thomat, 07; Sergn.c.rnet)Ecenne vas, au Tratert de la Salle

publications de mariages. - RoserAlles Rolland, facteur des Postes. in-

nm de la Verrerie et Ro.Odette Vierne. sans profession. à ViviezlAveymn).

RaymOnd Daudet, dessinateur indus-'trie/ à Joinville-le-Pont /seine), et 80.1101, Livry, sans profession, rue For-mose. 4.

Fernand combes. manuvre grand,run, et Jeanne obabbert, dachylogra.c.

Décès. - Jean,Philippe Castelbou,cien mineur, 77 al., marié. avenue deRodez 44 Louis-Justin CoutoUlgemployé communal 53 ms, marie, auxFiltres. - Bertrand Barrtre, t'émou-leur. 58 ans, marié, Grand-Rrue, 39.

GRAULHETCAISSE D'EPARGNE. - En rai-

son de la foire du 21 courant, lesguichets de a Caisse d'Eparg,ne se-ront ouvrets ani public mardi auxheures 1..1ml/es.

Par contre /es guichets serontfermés le jeudi 23.

1111111111111111111111111111111111111111111111111

ARIEG1EAUX INSTITUTEURSET INSTITUTRICES

Conformément aux instructionsnotifiées par /Intermédiaires desmaitran des chefs-lieux de cantoeàIra i.tituteurs et I. institutricessant priés d'adresser, d'extrême ur-gence, leu propositices d'attributionde bourses d'entretien pour l'annéescolaire 1939-1940, en faveur dmenfants fréquentant une école pu-blique éloignée de leur habitation.

Pour les conditions à remplir,l'établi.ement dce propositions, ily aura lieu de se reporter au Bul-letin départemental rrn 320 (août,septembre, octobre 1938) pages 253et 254 et de se conformer stmete-mmé aux ind'eations données.

Toutefois, pour cette année, lesnoticm de propositions devront êtreétablies m deux exemptas/es.

Un exemplaire sera adressé di-rectement à l'InspectiOn Académi-que, l'autre exemptasrt sera adresSéà M. rInSPecteur Primaire.

COUPE DE BOISLe Chef du Centre uillltaire des

bois de guerre, 12, rue St-Antosnedu T, à Toulouse, fait connaître que

bois des. exercicesIn9cem dt'1940,°assises dans les forêtsdomanialcs et communalm mourrontêtre cédées aux industriels du Com-merce de bois.

Pour tous renseignements, onpeut s'adresser à MEM. 100 laspec-tee. des Eaux et Forêts à Toulou-se, 13, rue des Couteliers, a Luchon,à St-Gaude.. Foix et St-Girons.

PMI lllllll 1111111111111111111111111111111119

azinsuelled-ék.-se/mec«edieCOUPES DE BOIS

Le chef du centre militaire desbots de guerre 12 rue Si-Antoine-du T, à Toulouse, fest clirina,s es.tre%quedes coopes de bais

dans les imirt:

eegtauêtrescédt raBlauel'tUet.rieL-Zmmerce dePour tous renseignements, oneut s'adresser à MM. les I.pee-

teurs des Eaux et Forêts, à Tou-louse, 13, rue des Couteliers, à Lu-chon, à StoGaudens. Foix et Saint-Giro..

s

SURVEILLANCE DES PRIXAu coues de sa séance hebdoma-

daire du 16 novembre, le ComitémdearytejnentamleantascIrà.,.. touuirchersévéei

un charcutier de Montaubans quiavaient dépassé les prix maximafixés en accord avec I. pidsidentsdoslu cra'; CU:ta:st del031rocCiree

etdedre-

nier.Il a enregistré les autorisetionS

de hausse accordées par le Comiténational, savoir 5

Tissus pure laine s 19 fr. parkilo de filés de laine

Fils de raVdrine u 15 %.B. de soie 5 9% à25 % su1-

v.t poidsCharcuterie (Conserv.) de 8 %

à 10 % ;Morue : nouveau prix à la pro-

duction valable jusqu'au 15 décem-bre 1939 de 390 fr. à 650 fr. les100 kilos.

Tissus de coton de 12 % à 15 %selon le poide au mètre darré.

Margarine h 6,83 %.es décisions sent également inter-

venues Concernant le suif, les pro-duits dérivés du plomb et les mé-taux précieux.

CONFERENCEConférence pédagogique résemée

aux institutrices des é.les mater-nelles et des classes .fantinesL'inspecteur d'Académie rappelle

que, conformément aux instructionsde M. le Ministre de /EducationNationale en date du 17 octobre1939, cette confer.. qm avali rieprévue pour le 2 décembre pr.hainà Montauban, ne sera pas faite.

MONTAUBANUN GRAND GALA 'ARTISTIQUE AU

PROFIT DE NOS SOLDATS. - Le ..-.or du Conservatoire cin Toulome. cent.posé d'éminents maitres ou. G pnbriemontalba.ais a déjà ers plus... mi, Galdcasion d'acclamer, doit prochaine...a sefair. entendre dans marc vids au profitdu Risme d. Solde.

Nous nommerons 5 Mm. Hada-Dam.pianiste; Mme Eprinchard, altiste; M.Munch,li, violo.im et M Rcgiummn, mo-l...Este, tous professeurs an Conserv,toise de Touloum et Prix dose de Paris.

Cm, bela manifestation d'are mra pré-cédé. d'une audition aie rosli.stre deMembre l'Espéra., es des dem jeun.anis. mon.lbarmis. Robe a es Wou.Bced, solistes aimés do pnbira

Nces espérons pue le. isorliterm viaa,drool nombreux à se mie rpri. joignentFutile à l'ameahle, permettra à nos mi.dats Is plus déshérités de téter moi. Mc-tement Noul.

ACCIDENT D'AUTO. - Sam. vers15 hem., M Maar Emile, dmicarél'élonor-dauCos. venant du quai Mearmu-rat m dirigeait me de la Mairie Il emprunta la partie du souarc ou, borde I.matée d'Histoire naturelle, dont le pas

servea I. code d. la route, -' mye. unPrenant Ion tournant à gaushe sen, ob-

sage es. interdit eux véhicoles.

v/de_rff. 49, rearffaLouss è leibeaè, 4/89.0 de Gérant aO.. 0405000Sila

motocyclette est fortement endommeua.,Ni /H Marty. ni M. Delpech n. sont a.no-és.

Ura mocéaverbad dtd dressé contre M.Matie. Quo. à M. Delpech, il sereaoss; polceet d'un procèsverbal pour oàqprésentation de pap.. afférente à sa me.modem.

UN CHIEN MECHANT. - Mme Cm,dornicilée allé. des Mériers, a

étémars!,

Par un chien appartenant à M. Mouna!a,ru, Michelet. Ce deroier de.a faire ex.,minerfan irnal pat u. vétérinaire '

CONTRAVENTION. - Un procémor,bal sesu dressé conne M. Orempuller, pro,4v/id.!, à Saint-Etienne-dedFulmona, murstationnement de sa voiture en un Eeuinterdit.

TROUVA/11P9. - Réclamer à Mme&flaque, 57, rue d. la Républime' oqtricot; à M. T'opine. 50, me de la Baroce-, m. somm. d'amena; à M PbtnAo,dré, 7, rua Emile-Pouvillon. 47, 0n sacmain; à M. Ferri., mis. Lame, alla.»Mortarice, on porte...nais

TOURNEES CH. BARET - Elles nomdonneront seriourdloi lundi 20 novembre,an Thdane Municipal r« Voilà Paris

est toet rin programme de réjonissàoecemmsénieueaesnacaeeehesehoelo;inems,ave. s.on admirable interprétation r Maurire dans ses muvres nouvelles. la amok;vedette d. Chant 00 du Cinéma. Cermetm LM la déhnieum fenteisine de PA.B.C.Andrdo Menintl, I. dessinateur humoriate

o.h, la dhannente «Grimm. Lynechentemeompositaor Paul Chauhea, leeduettistes Cils a L'Ette, ete.

Tous les edeacmao de spectacle de Mnie Hal/ voudront assister cette brilhna's

11111111 lllll 11111 lllllll1111111111111111111H1111

AUCHCEBSIONS DE COUPES DE BOIS

DE L'EXERCICE 1939 ET DRL'EXERCICE 1940. - Le chef ducentre militaire des bols de guerre,12 rue St-Antoine-du-T, fait cenamaitre que des mupes de bois d.exercices 1939 et 1940 assises daceles forêts domanial. et CoMmUna-les pourront être cédées aux indus-triels du commeroe de bois.

Pour tous renseignements, osPeut s'adresser à MM, les inepecebeurs des Eaux et Forêts, à Toulse 13 rue d. Couteliers; à Luchon,

St-Gaudens, Foix et St-Giro.NOTE DU COMTTE D'ACCU/Bu

ET DE SECOURS. - Le Comité, réecernaient 0101f appel à la généroasite du public pour pouvoir acquérirdes postes de T. S. F. en faveur deshôpqaux militaires d'Auch et d.,Foyer du Soldat qui S'organise.

Le Comité remercie las personnelMil déjà ont envoyé I.r souscrip.tion. Ers particulier, il dit sa grati-tude ans souscripteur anonynm deMille francs.Ill lllll 1111111111141111111111111111111111111111

Changements d'adresse

Nous prions les lecteurs qui nousindiquent nu changement d'adresse,de ne pas omettre de joindre à leurdemande, la somme de DEUXfrancs. Cette somme est Indispensa-ble pane couvris( les frais de con-tiné à la maehine spéciale qui ho'fection du nouveau cliché zinc, de.Prime les adresses.

La Maison Ch. d. ROQUEI51IIII8, rue Sainte-Ursule, à TOULOUfait connaltre à sa clientèle quel'continue à assurer lelea réparalious de touton inaliainà

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