3 et 4 juin 2015cedtc.cjm-iu.qc.ca/documents/programme rdvjd 2015.pdf · notre cadre légal...

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CENTRE DE RE CHERCHE JEUNES EN DIFFICULTÉ CENTRE D’ EXPE RT IS E CENTRE D’ EXPE RT IS E ESPACE APPRENANT 3 et 4 juin 2015 Pavillon Sherbrooke de l’Université du Québec à Montréal 200, rue Sherbrooke Ouest, Montréal (Québec) H2X 3P2 Métro Place-des-Arts RENDEZ-VOUS JEUNES EN DIFFICULTÉ

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3 et 4 juin 2015Pavillon Sherbrooke de l’Université du Québec à Montréal200, rue Sherbrooke Ouest, Montréal (Québec) H2X 3P2Métro Place-des-Arts

RENDEZ-VOUS JEUNES EN DIFFICULTÉ

Le CIUSSS Centre-Est, une nouvelle organisation avec une couleur et une personnalité uniques...

...désormais NOTRE CIUSSS Centre-Est !

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Mots de bienvenueJean-Marc Potvin, président-directeur général adjoint, CIUSSS Centre-Est-de-l’Île-de-Montréal

Je suis heureux de vous souhaiter la bienvenue à ce tout premier «Rendez-vous Jeunes en difficulté», un événement porte-étendard de toute l’expertise développée au Centre

jeunesse de Montréal - Institut universitaire au fil des ans. Ce rendez-vous est une première occasion de fédérer les événements annuels des deux centres d’expertise (délinquance et troubles du comportement et maltraitance) ainsi que la journée professionnelle du conseil multidisciplinaire et l’événement reconnaissance pour les superviseurs et accompagnateurs de stages. Une innovation qui me rend très fier d’être issu de ce milieu pionnier au service des jeunes et des familles en grande difficulté. Ce type d’événement est un moteur pour continuer de nous mobiliser et faire rayonner cette richesse collective qui se transpose désormais au sein du CIUSSS Centre-Est-de-l’Île-de-Montréal. La vie universitaire et tout le dynamisme que cela insuffle à nos milieux, pour le bénéfice de nos clientèles, doivent demeurer bien présents même au cœur de toutes les transformations que nous sommes en train de vivre et, pour cela, je vous remercie d’être présents.

Lesley Hill, directrice du programme jeunesse,CIUSSS Centre-Est-de-l’Île-de-Montréal

C’est un honneur pour moi d’être aux premières loges d’un tel happening autour de la cause des jeunes en difficulté. Cela se veut également une excellente opportunité de

faire connaissance avec vous tous intervenants, chercheurs, stagiaires, employés et partenaires du Centre jeunesse de Montréal - Institut universitaire que j’aurai désormais l’occasion de côtoyer étroitement, comme directrice jeunesse pour le CIUSSS Centre-Est-de-l’Île-de-Montréal. En termes plus concrets, c’est moi qui dirigerai désormais les activités cliniques du centre jeunesse ainsi que, notamment, celles de la première ligne des programmes enfance-famille, autrefois dispensées dans les des CSSS Sud-Ouest-Verdun et Jeanne-Mance, maintenant intégrés dans notre CIUSSS. Ce «Rendez-vous Jeunes en difficulté» est donc une excellente occasion de prendre un premier bain de foule. J’aurai l’occasion de côtoyer des gens dynamiques et proactifs dans l’avancement des connaissances et des pratiques pour nos jeunes et nos familles. Je tiens à remercier également toutes les personnes de l’extérieur qui se joignent à nous dans le cadre de cet événement et contribuent au rayonnement de notre mission. Au plaisir de vous rencontrer.

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4 juin 20158 h 00 Inscription et accueil à la salle polyvalente

9 h 00 Je suis mentor - Événement reconnaissance des supervi-seurs et des accompagnateurs de stageSalle polyvalente

Voir page 13

Journée professionnelle du conseil multidisciplinaireConférence d’ouverture de Me Margaret Murray«Droit des usagers en contexte d’autorité : pour une approche humaniste de l’intervention»Amphithéâtre, Voir page 9

10 h 30 Pause10 h 45 Je suis mentor (suite) Ateliers Bloc A

Voir pages 9 et 10

12 h 30 Dîner au pavillon Président Kennedy

12 h 00 Dîner au pavillon Président Kennedy

13 h 30 Ateliers Bloc B, voir pages 10, 11 et 12

14 h 45 Pause15 h 00 Exposé de Me Margaret Murray : «L’humain derrière...

le CJM-IU», voir page 12, Les jeunes nous parlent - Coup de coeur du conseil multidisciplinaire - mot de fermeture, amphithéâtre

16 h 00 Cocktail, salle polyvalente

3 juin 20158 h 00 Inscription et accueil à la salle polyvalente

9 h 00 Conférence d’ouverture : Renée Rivest, «Maître à bord en période de turbulence : l’art de rebondir... la résilience»Amphithéâtre

9 h 45 Pause / Déplacement

10 h 00 Séminaire Gangs et délinquance, AmphithéâtreVoir page 6

Séminaire MaltraitanceSalle polyvalenteVoir page 8

12 h 15 Dîner au pavillon Président Kennedy

13 h 30 Séminaire Gangs et délinquance, AmphithéâtreVoir page 6

Séminaire MaltraitanceSalle polyvalenteVoir page 8

15 h 00 Pause16 h 30 Cocktail, salle polyvalente

† Crédits de formation : accréditation d’une activité de développement professionnel en continu (DPC). Dossiers présentement à l’étude.

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CONFÉRENCES – 3 et 4 juin 2015Droit des usagers en contexte d’autorité : pour une approche humaniste de l’intervention4 juin, page 9

Me Margaret Murray, conseillère juridique à la Direction du Contentieux du CJM-IU, possède une vaste expérience à titre d’enseignante et de for-matrice, tant au Québec qu’à l’étranger.

Les « DROITS DES USAGERS », souvent associés dans ce qu’il est convenu d’appeler notre cadre légal (notamment LPJ-LSJ-PA-LSSSS), ne sont pas désincarnés. Ils proviennent de valeurs enchâssées dans le Droit international des droits de la personne et du courant humaniste axé sur le savoir, le respect de la dignité de l’être humain, de son épanouissement. S’en réclamer, c’est adhérer aux valeurs de LIBERTÉ, d’AUTONOMIE et de TOLÉRANCE, mais c’est surtout RESPECTER l’autre et, de ce fait, recon-naître que les mêmes aspirations habitent le jeune devant soi et ses parents aussi !

Maître à bord en période de turbu-lence : l’art de rebondir... la résilience3 juin, pages 6 et 8

Graduée en relations industrielles de l’Univer-sité Laval et en psychoé-ducation de l’Université de Sherbrooke, Renée Rivest combine plus de 30 années d’expérience en consultation dans le domaine du management.

Auteure du bestseller « Êtes-vous Tintin, Milou, Haddock… l’Aventure humaine au travail», Renée Rivest est présidente fondatrice de ReGain Groupe conseil depuis 1993.

Nos organisations vivent de plus en plus en permanence des changements et traversent des périodes de turbulence de toutes sortes. Des clés pour mieux lire votre environne-ment et découvrir des moyens concrets pour développer son potentiel de résilience seront explorés lors de cette conférence.

Cinq raisons insoupçonnées pour devenir mentor

4 juin, page 13

Catherine Légaré, Ph.D. en psychologie, présidente fondatrice d’Academos en 1999, premier service de mentorat sur Internet au Canada. Quinze ans plus tard, 20 000 jeunes et 2 000 mentors utilisent le service à chaque année.

On dit souvent qu’être mentor peut chan-ger une vie. Généralement, on fait alors référence aux bénéfices vécus par les plus jeunes grâce à un mentor. Et si être mentor pouvait changer VOTRE vie ? À partir de la recherche sur le mentorat et de sa pratique professionnelle, Catherine Légaré vous fera découvrir comment VOUS pouvez égale-ment tirer profit du mentorat.

Faire face à la génération Y : qui sont-ils, comment les aborder ?

4 juin, page 13

Carol Allain, M.Sc., M.Éd., auteur de plusieurs articles et ouvrages, dont Le choc des générations, conféren-cier dans nombre d’entre-prises et organisations au Canada, en France et en Suisse

Sous le couvert de l’humour, cette confé-rence dresse le portrait des jeunes de la génération issue des années 1980. Nous devons saisir la combinaison unique de découverte et de diversité, d’innovation et d’originalité, qui caractérise la génération millénaire. Au-delà des lieux communs auxquels on réduit souvent les jeunes adultes – revendications incessantes et loyauté vacillante -, on assiste à la trajectoire vivante du faire savoir qui est en fait au sommet de leurs revendications.

XIE SÉMINAIRE GANGS ET DÉLINQUANCE

RENDEZ-VOUS JEUNES EN DIFFICULTÉ3 juin 2015 — Amphithéâtre

8 h 00 Inscription et accueil, salle polyvalente

9 h 00 Conférence d’ouverture commune, amphithéâtre

10 h 00Bienvenue au XIe Séminaire Gangs et Délinquance Clément Laporte, coordonnateurCentre d’expertise |Délinquance et troubles de comportement, CJM-IU

NOUVEAUX REGARDS SUR LES ACTIVITÉS CRIMI-NELLES DES JEUNES CONTREVENANTS10 h 10MYTHES ET RÉALITÉS SUR LE JEUNE CONTREVENANT À MONTRÉAL : REGARD SUR SON MILIEU DE VIEGeneviève Parent, chercheureCentre de recherche du CJM-IUProfesseure associée, École de criminologie, Université de MontréalUne première présentation de résultats préliminaires sur le projet de recherche ESCAM qui portera sur les caractéristiques des jeunes contrevenants (risque individuel), leurs activités quotidiennes (risque contextuel) et leur délinquance.

10 h 50CONDUITES À RISQUE CHEZ LES MEMBRES DE GANGS : PROFIL DISTINCT DES AUTRES CONTREVENANTS ? Catherine Pineau-Villeneuve, candidate à la maîtrise dirigée par Catherine Laurier, Ph. D., École de criminolo-gie, Université de Montréal

212 jeunes contrevenants âgés de 14 à 25 ans ont été rencontrés dans quatre centres jeunesse et deux centres de détention du Québec entre juin 2011 et décembre 2013. Les jeunes associés aux gangs de rue semblent plus enclins que les autres jeunes de l’échantillon à s’engager dans tous les types de conduites à risque et ils sont légèrement plus nombreux à rapporter une dépendance et une utilisation nocive de l’alcool.

11 h 10LES ÉVÉNEMENTS TRAUMATIQUES ET LE TROUBLE DE STRESS POST-TRAUMATIQUE CHEZ LES JEUNES CONTREVENANTS ASSOCIÉS AUX GANGS DE RUECatherine Laurier, chercheure

Centre de recherche du CJM-IUProfesseure associée, École de criminologie, Université de MontréalLa prévalence du trouble de stress post-traumatique est particulièrement élevée chez les jeunes contrevenants. Dans cette présentation, nous discuterons à l'aide de résultats d'une recherche récente (Laurier et coll., 2015), de la façon dont les activités criminelles des jeunes contrevenants associés aux gangs de rue peuvent conduire à des événements potentiellement traumatisants, qui peuvent à leur tour être reliés à des problèmes de santé mentale.

11 h 50LES ÉVÉNEMENTS VIOLENTS ET TRAUMATIQUES RACONTÉS PAR LES JEUNES CONTREVENANTS Catherine Vachon, candidate à la maîtrise dirigée par Frédéric Ouellet, Ph. D., École de criminologie, Université de Montréal

L'objectif de la présentation est d'explorer les mécanismes qui sous-tendent le lien entre les traumatismes/exposition à la violence et la délinquance. Les concepts de psychopathie et du trouble de stress post-traumatique sont mis en parallèle avec le vécu de violence des jeunes.

12 h 15 Dîner au pavillon Président Kennedy

13 h 30L’IDENTITÉ ETHNIQUE CHEZ LES JEUNES CONTREVE-NANTS JUDICIARISÉS ASSOCIÉS AUX GANGS DE RUE Manuelle Bériault, doctoranteDépartement de psychologie, Université de Sherbrooke dirigée par Catherine Laurier, Ph. D.

La présentation permettra d’explorer et de comprendre les relations entre l’identité ethnique, les comportements délinquants et l’adhésion à un gang de rue chez les jeunes contrevenants québécois judiciarisés, tout en prenant en considération leur génération d’immigration.

13 h 50FACTEURS ASSOCIÉS À L’ ALLIANCE THÉRA-PEUTIQUE AVEC LES ADOLESCENTS AUTEURS D’AGRESSIONS SEXUELLESAudrey Kirouac-Ouimet, candidate à la maîtrise dirigée par Jean Proulx Ph. D., et Denis Lafortune, Ph. D., École de criminologie, Université de MontréalLes facteurs liés aux symptômes de stress post-traumatique, aux habiletés sociales ainsi qu’aux stratégies d’adaptation face au stress sont plus ou moins associés au développement de l’alliance thérapeutique tandis que les facteurs faisant référence au niveau de motivation face au changement, à l’environnement familial, aux relations interpersonnelles ainsi qu’au soutien social y sont plus positivement associés.

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XIE SÉMINAIRE GANGS ET DÉLINQUANCE – 3 juin 2015

Il existe différents types de ruptures d’alliance et des indices (marqueurs) de ruptures qui peuvent être identifiables dans le discours/comportement du jeune. Un travail d’analyse et d’introspection de la part des intervenants permet de mieux s’adresser à ces ruptures afin de rétablir l’alliance thérapeutique.

15 h 00 Pause

NOUVEAUX REGARDS SUR LES COMPÉTENCES DES JEUNES MEMBRES DES GANGS DE RUE15 h 15HABILETÉS SOCIALES DES MEMBRES DE GANGS : COMPÉTENCES DU XXIE SIÈCLE ?René-André Brisebois, M. Sc., agent de planification, de programmation et de rechercheCentre d’expertise | Délinquance et Troubles de compor-tement, CJM-IU

Certaines initiatives menées au laboratoire social GART-CITÉ mettent en évidence qu’il est possible de transposer les forces, habituellement mises à profit dans les activités criminelles associées aux gangs de rue, vers la réalisation d'activéts prosociales.

15 h 25LA RECONNAISSANCE DES APPRENTISSAGES INFORMELS : SOUTENIR L’INTÉGRATION SOCIALEGeoffroi Garon, Agent de rechercheLaboratoire de communautique appliquée, Faculté de communication, Université du Québec à Montréal

15 h 55MOT DE CLÔTURE : INVITATION À PARTICIPER À UNE COMMUNAUTÉ DE PRATIQUEDÉMONSTRATION D’UNE APPLICATION MOBILE DE SOUTIEN À L’APPLICATION DE LA LSJPA Clément Laporte, coordonnateurCentre d’expertise|Délinquance et troubles de comportement, CJM-IU

16 h 30 Cocktail à la salle polyvalenteMême si dans les communautés de simulations militaires civiles que nous avons observées, plusieurs affects positifs influencent les participants vers des définitions défavorables à l’adoption de comportements délinquants, ceux-ci y apprennent des techniques de combat avancées qui sont souvent utilisées pour la commission d’actes de violence extrême, et ces activités peuvent avoir un impact sur leur jugement moral.

En continuité avec les insignes militaires et celles des scouts, les macarons et les « patchs », les badges numériques sont à la fois ludiques et commerciaux, à travers le monde des jeux vidéos,du commerce social (comme Foursquare) et des services et des applications mobiles. Un premier niveau d’usage est l’utilisation des badges numériques pour l’augmentation de la motivation et de la participation des apprenants en ajoutant une interface ludique proche de celles des jeux vidéos.Un deuxième usage se concrétise, soit les badges numériques pour la représentation et la certification des apprentissages et des compétences.

ALLIANCE THÉRAPEUTIQUE CHEZ DES JEUNES CONTREVENANTS À LA SUITE DE L’APPLICATION DE MESURES PUNITIVES Vanessa Gatti, candidate à la maîtrise Dirigée par Louis-Georges Cournoyer, Ph. D., École de criminologie, Université de MontréalI

14 h 10

14 h 30RADICALISATION OU DÉVELOPPEMENT D'UN CAPITAL PRÉJUDICIABLE ? UNE CRITIQUE ÉPISTÉMOLOGIQUE EXPLORANT LES SIMULATIONS MILITAIRES AU QUÉBEC Maxime Bérubé, candidat à la maîtriseDirigé par Samuel Tanner, Ph. D., Centre international de criminolgie comparée , École de criminologie, Université de Montréal

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3E SÉMINAIRE DU CENTRE D’EXPERTISE SUR LA MALTRAITANCE

RENDEZ-VOUS JEUNES EN DIFFICULTÉ3 juin 2015 — Salle polyvalente

8 h 00 Inscription et accueil, salle polyvalente

9 h 00 Conférence d’ouverture commune, amphithéâtre

10 h 00 Mot de bienvenueJulie Lamarre, coordonnatrice, CEM, CJM-IU

AUPRÈS DE L’INTERVENANT BIENVEILLANT

10 h 10† VERS UNE PRATIQUE INTÉGRANT LA NOTION DE TRAUMACarole Côté, APPR, CJM-IUKarine Dubois-Comtois, Ph.D professeure UQTRTristan Milot, Ph.D, professeur UQTRSylvain Palardy, pédopsychiatre Hôpital Rivières-des-Prairies

Un milieu d’intervention bienveillant en contexte de protec-tion doit intégrer la notion de trauma. Les intervenants ont tout avantage à mieux comprendre et reconnaître le trauma et ses impacts sur le développement et le parcours de vie des enfants, peu importe le temps écoulé depuis l’exposition aux événements traumatiques. Un milieu d’intervention informé sur le trauma est sensibilisé au fait que certaines interventions peuvent aussi être sources de traumatisme et donc, les déci-sions et les actions qui sont prises doivent en tenir compte. Des professionnels de la clinique et de la recherche réfléchissent aux façons de mieux répondre aux besoins des enfants qui ont subi des traumatismes, que ceux-ci vivent dans leur milieu d’origine ou en milieux substituts. Au-delà de notre mission qui est de mettre fin aux situations de compromission, comment réfléchir à notre rôle et à nos pratiques permettant de tenir compte du trauma, afin de permettre aux enfants de reprendre une trajectoire de développement plus harmonieuse ?

11 h 10ATTACHEMENT, RÉGULATION, COMPÉTENCES (ARC) – UN PROGRAMME D’INTERVENTION EN LIEN AVEC LE TRAUMA - PROJET PILOTE DANS UNE ÉQUIPE DE RÉADAPTATION (VIDÉO)

11 h 20† RECONNAÎTRE LES STRATÉGIES DES INTER-VENANTS ŒUVRANT EN CONTEXTE DE PRO-TECTION DE LA JEUNESSE AUPRÈS DE PARENTS CONSOMMATEURS : UN EXEMPLE D’ALLIANCE ENTRE LA RECHERCHE ET L’INTERVENTIONSophie Couture, Ph.D., chercheure, CJM-IUprofesseure associée, Université de MontréalClémence Pentecôte, APPR, CJM-IU

À partir de l’expérience des intervenants qui adhèrent à l’approche de réduction des méfaits du programme Jessie, il a été souhaité de mettre en lumière et d’aller découvrir les repères d’action de l’intervention auprès de parents consommateurs de substances psychoactives dont l’enfant est suivi en protec-tion de la jeunesse. Pour ce faire, un projet de recherche a été effectué afin d’aller capter les stratégies d’intervention des inter-venants lors d’une entrevue simulée avec une cliente consom-matrice dont la situation fait l’objet d’un suivi au CJM-IU. Ce projet de co-construction entre l’intervention et la recherche ainsi que les principaux résultats de l’étude seront présentés.

12 h 15 Dîner au pavillon Président Kennedy

13 h 30 RACONTE-MOI UNE HISTOIRE

13 h 50† DE SUPÈRENOVA AU VESTIAIRE DE PÈRES : OÙ EN SOMMES-NOUS DANS L’INTERVENTION AU-PRÈS DES PÈRES AU CJM-IU ?Geneviève Turcotte, chercheure, CJM-IUClémence Pentecôte, APPR, CJM-IU

Comprendre les besoins des pères pour intervenir différem-ment dans l’intérêt de l’enfant et de sa famille :SuPÈREnova est l’une des rares initiatives à rejoindre les pères d’enfants suivis en protection. Au terme de quatre ans de tra-vaux, réalisés dans une perspective de recherche-action, l’atelier vise à présenter les retombées du projet sous trois angles : évaluer, accompagner et soutenir. Ces angles correspondent aux trois volets de ce projet. Le premier volet visait l’évaluation de la relation d’activation père-enfant, à partir de l’observation de 50 dyades père-enfant. Le second volet proposait de faire émerger les retombées de ces observations sur l’intervention auprès des pères d’enfants suivis en protection par l’entremise de discussions cliniques. Enfin, l’objectif du volet 3 était de dé-velopper une intervention spécifique auprès des pères d’enfants suivis en protection. L’atelier présentera les principaux repères d’action pour accompagner ces pères, ainsi que le programme « Le vestiaire de pères » issu d’une collaboration du CJM-IU avec un organisme communautaire dédié à la paternité.

15 h 00 Pause

15 h 15 Coin littérature Notre rencontre traditionnelle avec un auteur afin de poser un regard différent sur l’enfance.

16 h 25 Mot de clôture

16 h 30 Cocktail, salle polyvalente

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RENDEZ-VOUS JEUNES EN DIFFICULTÉ4 juin 2015 — Amphithéâtre

JOURNÉE PROFESSIONNELLE DU CONSEIL MULTIDISCIPLINAIRE

8 h 00 Inscription et accueil, salle polyvalente

9 h 00CONFÉRENCE D’OUVERTURE : DROIT DES USA-GERS EN CONTEXTE D’AUTORITÉ : pour une approche humaniste de l’intervention, amphithéâtreMe Margaret Murray

10 h 30 Pause

10 h 45 à 12 h 00 - Choix d’atelier A

A-1 L’humain derrière… le parent consommateur de subs-tances psychoactives : l’intervention auprès des parents suivis en protection de la jeunesse †

Sophie Couture, chercheure, Centre de recherche, CJM-IU; professeure associée, École de criminologie, Univer-sité de MontréalDanièle Guérin, adjointe clinique, DPJ, Évaluation/Orientation, CJM-IU

Cet atelier abordera les particularités de l’intervention auprès de parents consommateurs dont l’enfant est suivi en protection de la jeunesse. En première partie, il sera question des préoccupations vécues par les intervenants œuvrant auprès de parents consommateurs dont l’enfant est suivi en protection de la jeunesse. Pour ce faire, des discussions s’appuyant sur l’approche de réduction des méfaits seront animées à l’aide de vignettes cliniques. En deuxième partie, nous présenterons les résultats d’une étude s’intéressant au raisonnement clinique des intervenants œuvrant auprès de

parents consommateurs. Plus précisément, des chercheures ont rencontré des intervenants du programme Jessie afin de recueillir leurs stratégies d’intervention lors d’une mise en situation avec une comédienne.

A-2 L’humain derrière… l’intervenant en centre jeunesse : son stress et sa sensibilité au stress des autres

Pierrich Plusquellec, professeur adjoint, École de psy-choéducation, Université de Montréal; chercheur, Institut Universitaire en Santé Mentale de Montréal; co-direc-teur, Centre d’études sur le stress humain (CESH)Yannick Fouda, candidat au doctorat en psychoéduca-tion, Université de MontréalPierre Dufour, candidat à la maîtrise en psychoéducation, Université de MontréalSophie Massé, APPR, Centre d’expertise Délinquance et Troubles de comportement (CE|DTC), CJM-IU

En relation d’aide, il est essentiel de savoir se situer face à son propre stress et à celui des autres. Cet atelier abordera les éléments suivant : mieux connaître notre stress et com-ment le contrôler; comprendre l’impact du stress sur notre savoir-être; reconnaître chez les autres les indicateurs com-portementaux de stress pour mieux intervenir; savoir si nous sommes plus à risque d’être affectés par le stress des autres. Cette présentation exposera les dernières données portant sur le programme Stress et Compagnie, programme web de contrôle du stress chronique testé auprès des intervenants du CJM-IU, ainsi que les plus récents travaux du CESH. Le tout sera présenté en replaçant l’intervention dans le cadre des relations humaines.

A-3 L’humain derrière… le père en protection de la jeunesse †

Daniel Paquette, chercheur, Centre de recherche, CJM-IU; professeur agrégé, École de psychoéducation, Université de MontréalGeneviève Turcotte, chercheure, Centre de recherche, CJM-IUClémence Pentecôte, APPR, Centre d’expertise sur la maltraitance, CJM-IU

La première partie de cet atelier vise à dresser le portrait de 50 dyades père-enfant suivies au CJM-IU dans le cadre du projet SuPèrenova, et de faire une comparaison avec d’autres données de recherche recueillies auprès de pères de la population normative. Dans un deuxième temps, un portrait plus précis de 10 pères dont les enfants sont suivis dans un des points de service du CJM-IU permettra de mettre en lumière les besoins des pères vulnérables, et de proposer des repères d’action aux intervenants qui travaillent auprès d’eux.

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A-4 L’humain derrière… le jeune face au «crime orga-nisé» du Grand Montréal

Luc Hébert, responsable de programme, certificat en intervention auprès des jeunes; chargé de cours en cri-minologie appliquée, Université de Montréal; expert en analyse de la criminalité

Cet atelier propose un regard sur le crime organisé du Grand Montréal. Celui-ci interpelle tous les acteurs du système de justice et certains intervenants jeunesse. Cette criminalité prend diverses formes, certaines plus visibles que d’autres : gangs de rue, Hells Angels, mafia italienne, notamment. Pour plusieurs jeunes, ces groupes criminalisés présentent un grand pouvoir d’attraction. Nous nous attarde-rons ici aux 5 à 10 % des délinquants, jeunes et moins jeunes, qui vivent la réussite criminelle collective et la façon dont ils s’organisent en réseau criminel.

A-5 L’humain derrière… le trouble du spectre de l’autisme

Marc Lanovaz, professeur adjoint, École de psychoéduca-tion, Université de Montréal

Les enfants et les adolescents ayant un trouble du spectre de l’autisme (TSA) présentent souvent des défis particu-liers pour les intervenants. Dans le cadre de l’atelier, Marc

Lanovaz présentera des stratégies d’intervention spécifiques pour traiter des symptômes qui caractérisent le TSA. Pour ce faire, les participants exploreront la définition du TSA et les enjeux humains liés à l’intervention auprès de cette popula-tion. L’atelier inclura aussi une présentation de procédures pour évaluer et traiter ces problématiques spécifiques chez des enfants et des adolescents qui n’ont pas de déficience intellectuelle associée. Dans l’ensemble, la présentation de-vrait offrir des pistes de solution aux intervenants qui doivent intervenir auprès de ces enfants et de ces adolescents.  

AB-6 L’humain derrière… l’intervenant compatissant

Cet atelier se donne en 2 parties : AM et PMCindy Laroche, APPR, Coordination du développement et de l’évaluation de la pratique, CJM-IU

Être confronté quotidiennement à la misère et au vécu traumatique des enfants, des jeunes et de leurs familles a inévitablement des effets sur l’intervenant et la personne que nous sommes. Cet atelier se veut une sensibilisation aux déséquilibres pouvant affecter notre santé mentale. À travers un exposé, des exercices et des échanges, les participants acquerront des connaissances sur les différentes formes de déséquilibres possibles et plus particulièrement sur celle du traumatisme vicariant, ses facteurs de vulnérabilité et de protection et les auto-soins facilement applicables dans notre quotidien.

JOURNÉE PROFESSIONNELLE DU CONSEIL MULTIDISCIPLINAIRE – 4 juin 2015

12 h 00 Dîner au pavillon Président Kennedy

13 h 30 à 14 h 45 - Choix d’atelier B

B-7 L’humain derrière… le parent qui a un trouble de personnalité limite (TPL)

Isabelle Laviolette, psychologue, Coordination du soutien clinique spécialisé, CJM-IUIsabelle Boivin, pédopsychiatre, consultante

Le trouble de personnalité limite (TPL) touche environ 20 % des parents suivis au CJM-IU, et les intervenants se sentent souvent démunis et impuissants face à ces parents « difficiles ». Cet atelier vise à mieux comprendre le TPL, les difficultés de ces parents et leurs impacts sur les enfants. Le programme « MOI et mon enfant », d’abord développé à l’intention des parents ayant un TPL, offre depuis 2015 des activités destinées à leurs enfants ainsi qu’à la dyade parent-enfant. L’atelier présentera cette nouvelle program-mation élaborée dans le cadre d’un projet de coconstruction clinico-scientifique soutenu par le Centre d’expertise sur la maltraitance du CJM-IU.

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JOURNÉE PROFESSIONNELLE DU CONSEIL MULTIDISCIPLINAIRE – 4 juin 2015B-8 L’humain derrière… les jeunes ayant un trouble défi-citaire de l’attention avec / sans hyperactivité (TDAH-TDA) : soutenir leurs apprentissages scolaires

Sylvie Normandeau, directrice scientifique, CJM-IU; professeure titulaire, École de psychoéducation, Univer-sité de Montréal Julie-Girard-Lapointe, étudiante au doctorat en psy-choéducation, Université de MontréalJessica Vaillancourt, professionnelle, École de psychoé-ducation, Université de Montréal

Les enfants ayant un déficit d’attention avec/sans hyperac-tivité (TDAH-TDA) présentent notamment des difficultés d’organisation de l’espace et du temps et de planification. Ils ont tendance à remettre à plus tard ou à éviter les activités qui exigent des efforts. Les enfants qui ne peuvent activer ces stratégies d’organisation et de planification dans les situations d’apprentissage réussissent moins bien dans leurs activités scolaires. Nous présenterons les résultats d’une étude pilote ayant vérifié l’efficacité d’une intervention mul-timodale (volet enfant, parent et mentorat familial) visant à outiller les jeunes ayant un TDAH afin de faciliter leur transition au secondaire.

B-9 L’humain derrière… le parent vulnérable issu de communautés culturelles

Sarah Dufour, chercheure, Centre de recherche, CJM-IU; professeure agrégée, École de psychoéducation, Univer-sité de Montréal Chantal Lavergne, chercheure, Centre de recherche, CJM-IU; professeure associée, École de service social, Université de Montréal

Les animatrices susciteront chez les participants une réflexion critique au sujet de leurs représentations de parents issus de communautés culturelles recevant des services de protection. L’atelier sera structuré autour de thèmes sensibles, par exemple « Un parent collaborant, c’est-à-dire obéissant? », « Prendre en compte la culture lors de l’évaluation : de l’écart entre le principe et les pratiques ». Après une introduction où quelques constats issus des écrits scientifiques et de leurs propres travaux seront présentés, les animatrices inviteront les participants à réagir puis à identi-fier les répercussions de leurs représentations sur leur propre pratique et sur les familles recevant des services. Les liens avec les droits de l’usager seront aussi dégagés.

B-10 L’humain derrière… les violences basées sur l’honneur

Madeline Lamboley, chargée de projet, Centre social d’aide aux immigrants (CSAI)Maud Pontel, coordonnatrice, Bouclier d’Athena, services familiaux

Le sujet de la violence basée sur l’«honneur», bien qu’il ne soit pas récent, suscite débats, controverses et réflexions dans l’espace public. Face à ce phénomène, la littérature est en émergence et malgré cet intérêt, on en connait encore très peu sur les vécus et les besoins des personnes, direc-tement ou indirectement concernées par cette forme de violence, soit les victimes ou les proches de celles-ci. L’atelier présentera les résultats d’une consultation sur les besoins des femmes et des filles, les pratiques prometteuses en matière de violence basée sur l’honneur et une grille d’indicateurs de violence basée sur l’honneur qui a été développée au fil des ans avec plusieurs acteurs clés.

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JOURNÉE PROFESSIONNELLE DU CONSEIL MULTIDISCIPLINAIRE – 4 juin 2015B-11 L’humain derrière… le fugueur répétitif

Sophie Couture, chercheure, Centre de recherche, CJM-IU ; professeure associée, École de criminologie, Univer-sité de MontréalSophie Massé, APPR, Centre d’expertise Délinquance et Troubles de comportement (CE|DTC), CJM-IU

Pour certains adolescents, la fugue représente une occasion unique de combler certains besoins (p. ex. relations avec amis) ou d’expérimenter certains comportements (p. ex. consommation de substances psychoactives). Au cours des deux dernières années, le CE|DTC a élaboré une série de projets d’action visant à « Agir sur le phénomène de la fugue ». Cet atelier présentera certaines de ces initiatives en portant attention aux enjeux posés par les jeunes fugueurs répétitifs. Ces initiatives seront mises en parallèle avec les connaissances scientifiques portant sur les fugueurs répétitifs et la prise de risque à l’adolescence.

B-12 L’humain derrière… la personne transgenre; mieux comprendre pour mieux accompagner

Françoise Susset, psychologue clinicienne, thérapeute conjugale et familialeJames McKye, coordonnateur, Action Santé Travesti(e)s et Transsexuel(le)s du QuébecLise Durocher, conseillère-cadre, Coordination du déve-loppement et de l’évaluation de la pratique, CJM-IU

Les études confirment que les personnes transgenres vivent un niveau élevé de stigmatisation sociale associé au manque de connaissance et de compréhension de cette réalité. Pour les jeunes transgenres, le rejet de la part des parents augmente leurs chances de subir de la violence, de s’enfuir et même de se retrouver à la rue. Pour les familles dont un parent est transgenre, le manque de connaissances et de compréhension peut parfois se traduire par des gestes de la part des intervenants qui contribuent à des situations d’aliénation parentale. Cet atelier a pour but d’outiller les intervenants à bien évaluer ce qui est dans le meilleur intérêt de l’enfant, qu’il soit lui-même transgenre ou qu’il ait un parent transgenre.

14 h 45 Pause

15 h 00 Amphithéâtre

Exposé de fermetureL’humain derrière… le CJM-IU

Me Margaret Murray

Tiraillé entre gestion des risques et humanisme, entre urgence et professionnalisme, l’intervenant est un être complexe : représentant de l’État, porteur de connaissances et d’expériences professionnelles, employé d’établissement, collègue de travail, être au vécu personnel, confident,… toute son intervention se déroule sous le signe de la .res-ponsabilité : responsabilité de celui qui « sait », de celui qui « peut », de celui qui « doit ». Dans son combat POUR le jeune, il y a heureusement une place pour l’humain derrière l’intervenant.

15 h 30 Mot de clôture

16 h 00 Cocktail, salle polyvalente

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RENDEZ-VOUS JEUNES EN DIFFICULTÉ4 juin 2015 — Salle polyvalente

JE SUIS MENTOR - ÉVÈNEMENT RECONNAISSANCE DES SUPERVISEURS ET DES ACCOMPAGNATEURS DE STAGES – 4 juin 2015

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8 h 00 Accueil à la salle polyvalente

9 h 00 Mot de bienvenue

9 h 15 Conférence

CINQ RAISONS INSOUPçONNÉES POUR DEVENIR MENTOR

Catherine Légaré, Ph.D. en psychologie, présidente fondatrice d’Academos

On dit souvent qu’être mentor peut changer une vie. Généralement, on fait alors référence aux bénéfices vécus par les plus jeunes grâce à un mentor. Et si être mentor pouvait changer VOTRE vie? À partir de la recherche sur le mentorat et de sa pratique professionnelle, Catherine Légaré vous fera découvrir comment VOUS pouvez également tirer profit du mentorat.

9 h 45 Témoignages : Je suis mentor

10 h 15 Être un modèle inspirant : Retour vers le futur

10 h 30 Pause

10 h 45 à 11 h 45 Conférence

FAIRE FACE À LA GÉNÉRATION Y : QUI SONT-ILS, COMMENT LES ABORDER ?

Carol Allain, M.Sc., M.Éd., auteur, conférencier

Sous le couvert de l’humour, cette conférence dresse le portrait des jeunes de la génération issue des années 1980. Nous devons saisir la combinaison unique de découverte et de diversité, d’innovation et d’originalité, qui caractérise la génération millénaire. Au-delà des lieux communs aux-quels on réduit souvent les jeunes adultes – revendications incessantes et loyauté vacillante -, on assiste à la trajectoire vivante du faire savoir qui est en fait au sommet de leurs revendications.

11 h 45 à 12 h 00Vidéo reconnaissance des accompagnateurs et superviseurs

12 h -12 h 30Atelier : Nous sommes mentors

12 h 30 Dîner pavillon Président Kennedy

EN APRÈS-MIDI, PARTICIPATION AU CHOIX D’ATE-LIER DU BLOC B DE LA JOURNÉE DU CONSEIL MULTIDISCIPLINAIRE

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