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ALBUM DES FINISSANTS

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ALBUM DES FINISSANTS

2011-2012

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Carmel GagnonÉcole Sainte-Geneviève (ouest)

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« J’aime beaucoup Noël, alors à chaque année, j’ai présenté aux parents un spectacle de Noël de mes élèves, et ce, depuis les premières années de ma carrière.

En juillet, j’écrivais l’histoire pour faire jouer 24 à 28 élèves dans une pièce de théâtre. J’incluais des chansons classiques de Noël et des chorégraphies de danse. Parfois, j’ai présenté ce spectacle à toute l’école ou à quelques groupes de l’école, mais surtout aux parents vers la mi-décembre. La participation des parents a toujours été bonne. Merci aux parents pour leurs encouragements.

Le but principal de ce spectacle était de stimuler les enfants à lire et à parler en français.

Le professeur de musique de l’école a toujours accepté de m’accueillir dans son cours de musique pour faire une répétition générale et donner des conseils à mes élèves. Merci aux spécialistes de musique pour ce temps précieux donné à mes élèves et à moi.

Cette journée de décembre demeurera un moment magique dans le cœur des enfants et le mien. Merci à la direction de m’avoir facilité la mise en place de ce spectacle! »

Carmel GagnonÉcole Sainte-Geneviève (ouest)

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Claire ThouinCentre de formation professionnelle des métiers de la santé

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« À mes débuts comme consultante au Service aux entreprises, mon supérieur immédiat m’avait dit « de protéger mes arrières ». Je n’étais pas trop sûre du sens qu’il donnait à cette expression.

Un de mes premiers mandats fut dans une communauté religieuse de Saint-Laurent où le besoin de formation pour des préposées aux bénéficiaires s’avérait important. Entre temps, une des religieuses était morte. À ma visite pour préciser le plan de formation, on m’amena d’abord prier auprès de la tombe.

Je restai là au moins 15 minutes à genoux. C’est alors que l’expression de mon supérieur me revint à l’esprit. Sauf que je ne m’attendais vraiment pas à ménager autant mes genoux et pas seulement à « protéger mes arrières ».

La réussite de ce mandat, autant pour moi que pour mon employeur, prouve que les parties basses (les arrières et les genoux) et les parties hautes (la tête et le cœur) d’une personne ont intérêt à collaborer. »

Claire ThouinCentre de formation professionnelle des métiers de la santé

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Diane VincentÉcole Saint-Laurent

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Diane LeclercÉcole Sainte-Geneviève (ouest)

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L’hommage de mes élèves

Diane,Une enseignante admirable

Avec une classe plus qu’impeccableUne collègue dévouée

Qui donne sans compter!Une amie généreuse

À l’écoute et chaleureuse!Pas étonnant qu’avec toutes ces belles qualités,

Tu fus autant appréciée.La retraite, ce n’est pas la fin de la jeunesse…

La retraite, ce n’est pas le début de la vieillesse…La retraite, c’est le début d’une nouvelle vie,

D’une nouvelle jeunesse!Heureuse retraite!

Les maternellesJuin 2012

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L’hommage de mes collègues

Tu quittes pour de nouvelles aventures;Vers une belle retraite bien sûr;

Tu quittes pour de nouvelles aventures;Car pour la vie t’as la piqûre!

35 ans d’enseignement;

T’auras marqué des tonnes d’enfants;De la 3e année à la maternelle;Tu leur auras donné des ailes.

Tu quittes pour de nouvelles aventures;

Vers une belle retraite bien sûr;Tu quittes pour de nouvelles aventures;

Car pour la vie t’as la piqûre!

Animée par la passion;Fredonnant de belles chansons;

Pratiquant Graphi-sons, de l’image à l’actionPrête pour un p’tit brico-maison.

Tu quittes pour de nouvelles aventures;Vers une belle retraite bien sûr;

Tu quittes pour de nouvelles aventures;Car pour la vie t’as la piqûre!

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Houda Kade-SalloumÉcole Émile-Nelligan

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Mes meilleurs souvenirs…

Le jour de l’Halloween : on lâche notre sérieux et on s’amuse avec les élèves.

Pyjama Party de Noël : on retourne à l’enfance…

Party de fin d’année : Youpi, l’école est finie !

Houda Kade-SalloumÉcole Émile-Nelligan

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Istmania AstacioÉcole Saint-Luc

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Jacinthe LalibertéÉcole Cardinal-Léger

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Tout un personnage!

« En tournant les pages des albums qui contenaient les photos de mes années passées en éducation, je me surprenais à sourire lorsque mon regard s’arrêtait sur certaines photos. Travailler comme enseignante en éducation physique, comme titulaire au primaire ou comme gestionnaire est un travail très exigeant qui demande de la rigueur. Ah! oui? Pourtant, ces photos si particulières me prouvaient le contraire…Je me suis donc souvenue…

Lorsqu’un événement survenait et que l’on avait besoin « d’un personnage », on savait où me trouver. Inévitablement, j’acceptais. Et pourquoi pas ? Quoi de plus sérieux de la part d’un « maître » de l’éducation que de tenir un tel rôle.

Ces personnages – qu’ils soient Hiba, le bonhomme de neige, Harmonie, Zozo le clown, Le Découvreur, l’Indienne ou Xorga, le robot – m’ont permis de traverser le temps et de savourer ce qu’il y a de plus merveilleux dans le monde de l’éducation : le monde imaginaire des enfants.

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Participer à la réalisation d’un rêve d’enfant, voir son regard ébloui, apercevoir le sourire des plus timides et entendre le rire à gorge déployée des plus grands qui sautaient la clôture des conventions à la vue de ce clown qui leur apportait des ballons. Quel bonheur !

J’ai refermé mes albums et j’ai rêvé que je revêtais encore le costume d’un personnage pour que ma vie future soit aussi merveilleuse que mes 36 années passées en éducation.

Il faut y avoir goûté pour réaliser la chance d’avoir pu enlever le costume du « maître » pour endosser celui du personnage. Est-ce que j’avais manqué ma vocation ? J’en doute puisque Zozo le clown m’a maintes fois fait sourire et rire à gorge déployée ce qui m’a aidée à traverser les moments les plus difficiles. »

Jacinthe LalibertéÉcole Cardinal-Léger

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Johanne ChâteauvertÉcole Dollard-Des Ormeaux

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« Au cours de mes cinq années de mandat en tant que directrice à l’école Dollard-Des Ormeaux, je ne peux oublier un événement récent qui a comblé de bonheur toute la communauté de notre établissement. Il s’agit de la construction d’un gymnase double et de cinq nouvelles salles de classe. Depuis déjà très longtemps, nous rêvions d’un gymnase qui permettrait de répondre adéquatement aux exigences du Programme de formation de l’école québécoise dans le domaine de l’éducation physique du bien-être et de la santé. Il faut voir l’ancienne salle qui était utilisée pour donner les périodes d’éducation physique. La surface était si petite que plusieurs sports ne pouvaient pas être pratiqués. Deux enseignants donnaient leurs cours simultanément et l’un d’eux se voyait obligé d’enseigner à l’extérieur, faute d’espace. On peut imaginer la problématique les jours d’intempéries! Ces deux enseignants, fort dynamiques, n’ont jamais manqué d’enthousiasme, mais ils devaient composer avec ce manque d’espace qui les contraignait dans la réalisation de plusieurs projets…

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…De maintes demandes avaient été effectuées par le passé pour réaliser ce rêve, qui est aussi devenu le mien lors de mon arrivée en tant que directrice en 2007. Nous avons donc travaillé très fort afin de démontrer l’importance et la nécessité d’une telle construction. C’est avec l’aide du commissaire de notre secteur, M. Guy Allard, du député de la circonscription Robert-Baldwin, M. Pierre Marsan, et du soutien financier du maire de la Ville de Dollard-Des Ormeaux. M. Ed Janiszewski que tout a été possible. Au moment où nous avons appris que le projet deviendrait une réalité, c’était la fête dans notre milieu. Cela représentait tout un exploit pour nous! De plus, nous apprenions du même coup qu’un ajout de cinq locaux faisait aussi partie de ce beau cadeau. Le 5 octobre dernier, nous avons donc pu inaugurer cet agrandissement suite à une longue période de travaux de construction qui avait débuté au mois d’août 2011. C’est donc avec une grande fierté que j’ai assisté à cet événement marquant de ma carrière. »

Johanne ChâteauvertÉcole Dollard-Des Ormeaux

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Lorraine BrodeurÉcole Morand-Nantel-Beau-Séjour

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Louise BriseboisÉcole Saint-Georges

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« Une des journées marquantes des 24 années passées à l’école Saint-Georges est sans doute lorsqu’on a nommé le local-laboratoire où j’enseignais Local Louise Brisebois et que l’on a installé une plaque au-dessus de la porte. C’est certain que je n’oublierai jamais cette école et ainsi cette école se souviendra de moi. »

Louise BriseboisÉcole Saint-Georges

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Luc BernierRessources éducatives

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Marjolaine PoissantÉcole Sainte-Geneviève (sud)

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Poisson d’avril!

« Il y a quelques années, lorsque j’enseignais en 4e année, pour le 1er avril avec une collègue de 3e année, nous avons décidé de changer de groupe pour cette journée de poisson d’avril!

Le matin en entrant, nous avons annoncé à nos élèves que le directeur de l’école et le directeur général de la CSMB avaient décidé de nous changer de niveau pour le reste de l’année scolaire. Nous avons donc (ma collègue et moi) changé de classe et de groupe avant la récréation afin de respecter la décision de nos patrons. Les élèves devaient nous aider à trouver une solution à notre problème.

Au retour de la récréation, certains élèves avaient décidé d’aller se plaindre au directeur, d’autres voulaient téléphoner à leurs parents pour les mettre au courant du problème. Il y avait même certains élèves qui disaient qu’ils ne reviendraient pas à l’école tant que le directeur de l’école et le directeur général de la CSMB ne changeraient pas d’idée, car cette décision n’avait aucun bon sens…

Cinq minutes avant d’aller dîner, un enseignant est venu annoncer aux élèves que cette décision n’était qu’un poisson d’avril! Ce fut un 1er avril mémorable dans ma carrière d’enseignante. »

Marjolaine PoissantÉcole Sainte-Geneviève (sud)

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Marie DurivageÉcole Murielle-Dumont

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Martin TremblayÉcole Jacques-Bizard

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Ma dernière journée

« La journée la plus marquante de ma carrière à la CSMB fut ma dernière journée de travail. Les enseignantes de mon école ont souligné mon départ pendant le dîner avec un gâteau et m’ont remis un beau cadeau de fin de carrière.

Mais ce qui a été le plus émouvant, ce fut à la dernière période de la journée. Le professeur des élèves que j'avais est venu chercher ses élèves un peu avant la fin des cours et m'a dit de rester là. Je pensais que les élèves n'avaient pas fait leur sac d'école et que c'était pour ça qu’elle venait les chercher plus tôt.

Quelques minutes plus tard, elle est venue me chercher et m'a amené dans le grand corridor qui relie les deux pavillons de l'école Jacques-Bizard. Quelle fut ma surprise de voir tous les élèves et les enseignantes de l'école qui formaient une grande haie d'honneur tout le long de ce grand corridor!

J'ai marché entre cette longue haie et tout le monde m'applaudissait, beaucoup d'élèves m'ont donné des cartes et sont venus me serrer dans leurs bras. J'ai défilé jusqu'au bout du corridor et j'étais très ému de recevoir tant d'amour. »

Martin TremblayÉcole Jacques-Bizard

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Nawal MeshakaÉcole Saint-Laurent

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Mes plus beaux souvenirs…

Ce jour-là, au salon du personnel, on écrit sur le tableau blanc :Bonne fête Siham Sedra et Nawal Bitar!

Deux enseignantes de l’accueil croient que quelqu‘un voulant faire plaisir à Siham lui a écrit « bonne fête » dans sa langue maternelle, l’arabe. Elles se dirigent souriantes vers le bureau de Siham et l’interpellent : « Siham ! Et Nawal Bitar! ». Elle les regarde intriguée. Les deux enseignantes répètent une première fois « Siham! Et Nawal Bitar! » Puis une deuxième fois. Alors, Siham leur demande: « Qu’est-ce qu’elle a Nawal Bitar? ». Les deux enseignantes comprennent enfin leur erreur.

Pendant des années, tous les 31 janvier, on raconte de nouveau cette histoire qui continue à nous faire rire.

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À la fin de l’année, des élèves aiment offrir leur photo à leurs enseignants. Je leur demande d’habitude d’inscrire l’année et de signer la photo. Souvent, ils ajoutent au verso quelques mots chaleureux.

L’année dernière, un élève de 17 ans très attachant et très extraverti m’a offert sa photo avec quelques mots très affectueux au verso. Je le remercie et je lis ce qu’il avait écrit et, comme j’avais à la main un stylo rouge, sans réfléchir, je lui corrige une faute d’orthographe. Il était dans tous ses états : « Moi, je parle de sentiments, d’émotions et vous, vous me corrigez le français! Je vous déteste! Je vous déteste! Je vous déteste de tout mon cœur! »Moi, je riais aussi de tout mon cœur.

Nawal MeshakaÉcole Saint-Laurent

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Louis BénardÉcole Sainte-Geneviève (ouest)

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Monique TurcotteÉcole Notre-Dame-des-Rapides

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L’année est terminée ! Assise sur un banc je regarde l’enfant Qui joue imperturbable, en oubliant le temps Histoire de pirates ou bien de chevaliers Rêve de trésors, et de copains pour les trouver En plus de trente années moi, j’ai croisé des génies Merci d’avoir été la moitié de ma vie Des milliers d’enfants qui m’ont appris à aimer Avec la certitude du cœur de jardinier Mais j’emporte avec moi le génie de l’enfant Et tout ce que j’ai appris de lui au fil des ans Ne jamais cessé d’aimer pour devenir meilleure Croire que dans la vie on sème son cœur Cet été je ferai un jardin Assise sur un banc je regarde l’enfant Une dernière fois pour arrêter le temps L’année est terminée et je rentre chez moi Comment vais-je oublier l’enfant qui grandira Cet été je ferai un jardin

Monique Turcotte École Notre-Dame-des-Rapides

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Andrée PaquinÉcole Saint-Gérard

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« Je dois porter des lunettes pour lire et écrire, presbytie oblige! Lorsque je corrigeais en classe, je les portais sur le bout du nez afin de pouvoir jeter un coup d’œil occasionnel à mes élèves. Un jour où les élèves effectuaient un travail, je m’aperçois que ceux qui portent des lunettes les ont tous légèrement croches sur le bout du nez. Je demande à un élève pourquoi il les portait ainsi. Il me répond naïvement que lorsqu’il me voit travailler, je vais très rapidement lorsque je porte mes lunettes de cette façon. Donc, il pensait que s’il portait ses lunettes de la même façon, il pourrait effectuer son travail aussi bien et rapidement que moi. La preuve que les enfants observent et imitent constamment nos petits gestes, souvent à notre insu! »

Maria ZeppettiniÉcole Enfant-Soleil

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Michèle DesrosiersÉcole des Découvreurs

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Mes souvenirs

Riches par leur diversité

Enrichissants par leur humanité

Réconfortants pour tous ces moments inoubliables

Énergisants par ces enfants côtoyés quotidiennement durant toutes ces années et que j’ai tellement aimés

Et finalement, de délicieux souvenirs de ces collègues du milieu de l’éducation, ces personnes énergiques, talentueuses, soucieuses du bien-être des élèves et faisant facilement preuve de créativité à tout moment.

Toutes ces années qui ont façonné mon quotidien ont laissé des traces indélébiles et cet héritage me permet d’entamer cette nouvelle étape de vie de manière sereine et heureuse.

Michelle DaoustÉcole du Bout-de-l’Isle

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Séverine Hinojosa-QuellosÉcole Dorval-Jean XXIII

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Tranche de vie à Dorval-Jean XXIII

« Comme je ne parvenais pas à trouver une solution à un problème administratif, j’ai décidé de m’adresser à mon directeur, M. Brisebois, afin de le régler une fois pour toutes. Très gentiment, il m’invite à lui exposer ma frustration face à la Commission scolaire.

Et là, surprise! Tête penchée, mains sous la table, il m’écoute d’un air distrait. Mais que fait-il? Non! Je n’en reviens pas! Il fait ce qu’on défend de faire à nos élèves : il « pitonne », joue avec son téléphone! Incroyable! J’en reste bouche bée et légèrement énervée. Quelle impolitesse! La moutarde me monte au nez, je suis prête à bondir quand, tout doucement, il relève la tête et avec un beau sourire me dit : « Voilà, Mme. Quellos, tout est réglé, vous recevrez confirmation par courriel. »

J’ai éclaté de rire, lui disant qu’il avait échappé à une petite « montée de lait » et j’ai alors pensé que Marc-Philippe Vincent avait raison de me traiter de dinosaure de l’informatique, car tout compte fait, ce moyen de communication peut faire des miracles. »

Séverine Hinojosa-QuellosÉcole Dorval-Jean-XXIII

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Johanne RoyÉcole des Sources

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« Cette photo a été prise un matin de septembre 2011. C’est un matin spécial puisque je me rendais à la Commission scolaire signer mes papiers pour ma retraite. Ce fut une très belle journée, aussi belle que la majorité des journées où je me suis rendue au travail depuis ces 38 dernières années à l’emploi, tout d’abord de Baldwin-Cartier, et ensuite de Marguerite-Bourgeoys. »

Johanne RoyÉcole des Sources

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MERCI…pour ces précieux témoignages!