2015 book laura strupiechonski architecte d'etat

2009-15

PortfolioLaura Strupiechonski

Architecte dEtat

Diplme Architecte dEtat par lEcole Nationale Sup-rieure dArchitecture de Paris La Villette, je vous sollicite au-jourdhui car je suis la recherche dune formation HMONP en vue de finaliser ma formation.

Forte de prs dune anne cumule dexprience en agence, ralise en parallle de mes tudes, je souhaite approfondir mes connaissances en terme de maitrise duvre au sein de votre structure.

Les missions renouveles auprs de lagence Philip-pon-Kalt tmoignent de la confiance que cette agence ma accorde. Ce fut pour moi loccasion dassister des architectes sur diffrentes phases dlaboration du projet, de rencontrer des professionnels et de me familiariser avec le vocabulaire spcifique de la maitrise duvre.

Une des phases cruciales, mais aussi des plus palpitantes de la ralisation architecturale, est celle du chantier. Tout au long de mes tudes, jai port une forte attention au dessin de dtails architecturaux et ai veill prendre des cours optionnels qui me rapprochrent de ce milieu.

Une approche contextuelle et multi scalaire du projet archi-tectural me mena largir mon champs de comptence de ceux de lurbanisme et au paysage. Aujourdhui, je souhaite connatre laspect pratique du mtier darchitecte, de mieux saisir les enjeux conomiques, budgtaires et lgislatifs relatifs notre profession pour en connatre les tenants et les aboutissants.

hmonp

2008-11

diplome darchitecte detatRemis par lEcole Nationale Suprieure de Paris La Villette

licence darchitectureEcole Nationale Suprieure dArchitecture Paris La Villette

Baccalaurat Scientifique mention aBLyce Franois Couperin, Fontainebleau, 77Spcialit biologie, option chinois

COMPETENCES

LANgUES

LOgiCiELS

Anglais Lu, Compris, ParlAllemand DbutantEspagnol DbutantChinois Notions

PASSiONS

VOyAgES

SPORT

MUSiqUE

DESSiN

Amrique du Nord : Mexico, 3mois Montral, Boston, Newyork, 1mois Asie : Chine, Shanghai, 1 mois

Europe : Tour de France en ULM 1 mois Belgique et Pays Bas gand et Amsterdam, 1 mois Autriche Vienne, 2 semaines Allemagne Kln et Mnchen, 2 semaines Finlande Helsinki 2 semaines

Equitation galop 4, spcialit grande natureVoltige questre galop 5

Piano (4ans), Accordon (1an), guitare (4ans), Basse (2ans)

Paysages, aquarelle, pastels et crayonsDessins de nu, encre et fusain

2014

formation

COMPTENCES

2007

AutocAd - ArchicAd - sketchup - ArtlAntis -

Adobe indesign illustrAtor photoshop - microsoft word et excel

STRUPIECHONSKI Laura

06.09.85.64.98

[email protected]

Date of birth : 28/10/89 Nationality : FrenchPermis B

contact

2011-12 6 MOiS DExPRiENCE EN AgENCE

CDD renouvels lagence PHiLiPPON-KALT, PARiS xiii dune dure cumulative de 6 mois

> Assistance ldition de documents de communication.Ralisation de dossiers dappel doffre, mise en page et actualisation du book de lagence.

> Proposition dune esquisse retenueProjet Hrouville

> Esquisse de faisabilitBNP Marolles. Ajout dun nouveau bureau ainsi quun accueil installation dun vdi ainsi quun local climatisation.

> Ralisation dune maquette topographique dun site en zone humide, pour le concours de Bnouville

> Rencontre avec diffrents acteurs du milieu architecturalDpouillement de devis, rencontre

> Relev de ltat des lieux BNP Rueil Malmaison, BNP Montrouge

> Assistance la ralisation du CHSCT Pour une annexe de la BNP Levallois

> Assistance la ralisation dune note mthodologique pour un concours de l i3F lHay les rosesBatiment dentre de ville, 23logements, 1 local dactivit et 24 places de stationnement.

FORMATiON PRATiqUE - 2 MOiSAtelier Villes & Paysages et Egis France, MarseilleSous la responsabilit de Susanne OTTO,

Responsable du ple urbanisme

> AMOSubventionn par le Ministre de lEcologie et de lEnvironnement.

> Etude des projet Ode et Oz, Montpellier En lien avec le projet de recherche de linfradouce

> Contribution Appel dOffre, Thau AggloSynthse des attentes du SCOT

PREMiRE PRATiqUE - 2 MOiSAgence Philippon-Kalt, Paris xiii

OUVRiER - 1 MOiSAssociations Passerelle V et Reste, Ardche

> Fondation dun lavoir en pierre - > Enjambement de porte -> Pose de lauzes en toiture.> Atelier Land Art.

CONCOURS + WORKSHOP

2013

2012

CONCOURS EUROPAN 12, Plan dAouRalis en collaboration avec Cdric BLMANT et Benjamin MEyER, architectes HMONP

WORKSHOP PROSPECTiVES La cit bionumrique lAtelier international du grand Paris, Palais de Tokyo, Paris

Encadr par les architectes, paysagistes conseil et

urbanistes Jean Magerand et Claire Bailly,

STAgES

AUTRE

Travail mi-temps la FNAC italie 2 Rayon disques, musique et dvd.

Surveillances ponctuelles lESME et EPiTAEcoles dingnieuries

Distribution de journaux pour globe Diffusion

Enregistrement de deux titres en studio (basse) ConcertsStudio EMANAPROD

expriences professionnelles

ASSiSTANTE ARCHiTECTE

ExPRiENCES PROFESSiONNELLES

PROJETS ETUDiANTS

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26Mmoire dirig par Pierre chAbArd, Architecte doctorAnt,co-fondateur de la revue criticAt.

murumures et chos dune cit fertile

dAou c-o

PFE - EUROPAN 12

Dirig par Didier rebois, Secrtaire gnral dEuropan

l A 186lvdre

M1 - Anne dorAzio, Architecte urbAnisteAmnagement du tramway Montreuil Rcyclage dune section dautoroute

du dessous des bergesAu dessus des cimes

L3 - Vincent brossy, Architecte dplgOpration de logements sociaux, Paris xiii

32 - 34 36dtAil dexprience philippon-kAlt

chAntier bioclimAtiqueAssociAtion RESTE

Ralis la MrigueExtraits chantiers lavoir et toiture

Rhabilitation dun EHPADEsquisse de villas dactivits

Le concept labor ds les annes 80 par Georges et Jean Louis Patat repose sur un environnement, un projet de vie et de communication spci-fiquement adapt aux personnes atteintes par la maladie dAlzheimer. Aux Parentles, les objectifs prioritaires sont de privilgier le bien-tre et lpanouissement sensoriel du rsident, favoriser ses motions positives viter les troubles du comportement et ralentir lvolution de la maladie dans le respect des principes dhumanit et de dignit.

Larchitecture ralise par lquipe Philippon - Kalt offre ces personnes ges hypersensibles, dsorientes et stresses en espace contraint, un cadre de vie accueillant, spacieux et lumineux.

Des units de vie organises en appartementsLes 6 appartements sorganisent, chaque tage, autour dun espace com-mun lumineux et traversant dune faade lautre. Cet lieu central, convivial et familial regroupe les fonctions de salon et salle manger. Il comporte un office vitr permettant aux rsidents de rchauffer eux-mmes repas ou collation. Une dizaine de chambres se rpartissent de part et dautre.

Un concEPt DvEloPP PAr DEs mDEcins

L. Boegly

30Amo - projet piloteAtelier villes&pAysAgesRalis avec Susanne otto, responsable du ple urbanisme

VILLAS DACTIVITES - ESQUISSEJANVIER 2012

Site dimplantation : ZAC CITIS - HEROUVILLE SAINT CLAIR

CONCILIER HABITAT ET TRAVAIL DANS UN MME ENVIRONNEMENT

Matre dOuvrage : SHEMA13 avenue de Cambridge 14200 Herouville Saint Clair

Philippon-Kalt Architectes8 rue Bourgon 75013 Paris01 47 07 32 97

sommaire

Ce book est loccasion de vous prsenter les thmes sur lesquels sest porte mon attention durant mes dernires annes dtudes ainsi quun chantillon de travaux raliss en agence.

Consciente des enjeux contemporains auxquels doit rpondre la ville de demain, jai trs rapidement adopt une approche contextuelle et multi scalaire du projet, en mintressant particulirement des thmatiques comme lhybridation entre ville et na-ture ou la construction de la ville sur la ville, toujours dans une optique de renforcement de lexistant.

Une approche durable des milieux habits intro-duit un changement de paradigme dans la rela-tion quentretiennent la ville, la nature et la mobilit, bouleversant la manire de penser et concevoir le projet entre chelle paysagre, urbaine et architec-turale.

Mon exprience chez Philippon-Kalt me forma rpondre tant des commandes issues dune agence bancaire, qui demandent une grande ri-gueur de dessin, qu des appels doffres et des concours. Cela me permit de conjuguer prcision et innovation, caractres que jaime dcliner la conception de chaque projet.

De manire mieux saisir les diffrentes chelles dans lesquelles le projet architectural sinscrit, je ralisa mon stage de formation pratique lAtelier Villes & Paysages, agence regroupant majoritaire-ment des paysagistes et urbanistes travaillant en troite collaboration avec Egis, un bureau ding-nierie franaise.Cette exprience moffrit lopportunit de dvelop-per un de mes sujet de prdilection, celui de la rsilience, pour une mission dAssistance la Ma-trise duvre.

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Mmoire dirig par Pierre Chabard, Architecte, doctorant et co-fondateurde la revue Criticat.

Le mmoire Murmures et Echos dune Cit Fertile propose un regard crois entre deux manires denvisager la ville de demain, et ce au travers du prisme quoffrait lexposition La Ville Fertile .

Lors de la visite de cette exposition, son caractre dichotomique minterpella : Une premire squence, intitule lObjet du Dsir, dveloppait la scnographie grandiose dune jungle onirique qui avait envahie les caves du palais de Chaillot, tandis que la seconde squence, intitule La Fabrique du paysage , extrmement pure dans sa forme, se mettait au service dun propos plus technique.

Suite linterview des deux commissaires de cette exposition, larchitecte Nicolas gilsoul et le duo for-m par Michel Pna et Michel Audouy, paysagistes au sein de la Fdration Franaise des Paysagistes, il apparut que les deux commissaires navaient pu saccorder sur la manire daborder et de prsenter le sujet de la place de la nature en ville. La diff-rence saisissante entre leurs partis-pris respectifs explique la structure de lexposition, divise en en deux squences.

Une analyse fine de la fabrique, de la production et de la rception me permit de comprendre et de pointer du doigt les points sur lesquels les deux corps de mtier taient en dsaccord.

A travers la problmatique gnrale quelles sont la nature des rapports de forces quentretiennent aujourdhui architectes et paysagistes dans le mi-lieu urbain ? , ce mmoire expose la vision que projettent un chantillon darchitectes et de pay-sagistes afin de composer le Milieu habit comme modle de la ville de demain.

Les stratgies conomiques, mdiatiques, relation-nelles ainsi que des questions dontologiques et de gouvernance sont abordes dans ce mmoire.

murmures et echos dune cit fertile mmoire| 2013

une exposition bi-cphale : plan densemble de lexposition, journal du dimanche

le jardin des luxuriantes, extrait de lobjet du dsir

traverses et ateliers, extrait de la fabrique du paysage

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inscrire le plan daou en relation avec euromed ii

Le projet du Plan dAou sinscrit dans le cadre du concours Europan 12, qui proposait de travailler au-tour du thme de ladaptabilit.

La problmatique de mon PFE portait sur la manire dont une synergie entre paysage et architecture pouvait apporter une valeur ajoute au projet.

le pArc de son, cl de voute du territoire

Le plateau du plan dAou se situe au point culminant dun coteau naturel. En reliant les Parcs de Son, de Brgante, de La coule verte et les coteaux du plan dAou, on dlimite un parc linaire qui se pro-pose comme un prolongement du parc des Ayga-lades, parc urbain du cur de Marseille, en direc-tion des quartiers Nord.

il devient la pice maitresse qui relie les diffrents tracs villageois environnants : larc Ouest, com-pos des villages de lEstaque, Saint Henri et Saint Andr peut dsormais se connecter larc Nord-Est que forment Saint-Joseph, et le village des Ayga-lades, mais galement Euromed en empruntant le village de Saint-Louis.

se sAisir dune icone

Le pavillon M est une structure phmre cre linitiative de lvnement Marseille capitale de la culture 2013 .

Un an plus tard, nous proposons de nous saisir de cette icone, chaire de lvnement Marseille capi-tale de la culture 2013 et den faire le fil dAriane de notre projet.

De lclatement du pavillon M en diffrents modules naissent deux formes : la porte, compose dun mo-dule simple, cadre les points de vue remarquables depuis le parc sur le patrimoine, et la lanterne, un abri multifonctionnel qui cre une acupuncture ur-baine.

daou c-o : parc habit et apologie de labandon PFE | 2014

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lA viste

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dernire lanterne : la gare multimodale de saint-antoine

euromed ii

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Le manque didentit du site, la nature ar-gileuse du plateau, lentreprise de tuilerie bordant le parc linaire et la prsence sur place dune as-sociation de quartier sont autant de mcanismes imbriquer pour impliquer les habitants dans ce pro-jet architectural en leur proposant de personnaliser leur habitat aux couleurs du plateau et des quartiers environnants.

Lamnagement du coteau Ouest en un jardin bo-tanique rend disponible largile qui le compose.

Avec la prsence dune tuilerie au pied du parc, notre ide consiste tirer parti de la prsence dun site dextraction de matire premire et dun site de transformation pour relancer une conomie locale axe sur la filire du btiment et plus particulire-ment sur le travail de largile. La situation en Zone Franche Urbaine permet de promouvoir louverture de nouveaux ateliers, cha-nons manquants permettant dactiver une filire de construction in situ.

Afin dviter les couts de construction de ces ate-liers, nous proposons de les installer dans un pre-mier temps dans les lanternes qui ponctuent le site.

En plaant Cosmos Kolej au cur de ce proces-sus de construction, nous invitons les habitants participer au projet et personnaliser leur habitat.

lescalade du parc

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Cosmos Kolej

Tuilerie

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morpholgie dilots

des frAgments ... Aux AmbiAnces

Lescalade du parc de Son sur le plateau nous offre une nouvelle lecture du site, o les traces et vestiges composent lespace publique.

Plutt que de lire le site comme une stratification de constructions sans stratgie dimplantation, nous le lisons sous forme dambiances qui dfinissent les diffrentes morphologies de notre projet :

- Les espaces sablonneux, desservis par les axes principaux du site situs de part et dautre du pla-teau, voluent en des lieux dintensit urbaine, o les cours minrales contrastent avec le parc. Ce sont les chos dintensit (1).- Le pourtour du plateau, bord darbres, devient une lisire habite (2), o la morphologie batie rythme les vues imprenables sur la rade depuis les espaces publiques tout en assurant la porosit avec le jardin botanique du coteau, laccs depuis la Bricarde la gare de Saint Antoine- Les jardins foisonnants des maisons individuelles, entoures par des barres de logements sociaux ou en accession, deviennent des bois habits (3) qui se muent en ilt ouvert grce lacupuncture des lanternes, devenues crche, espace sportif ou mu-sical en lien avec Cosmos Kolej.

le mur hAbit

Labandon est le premier adjectif qui qualifie le pa-teau. Le mur est le second. que ce soit celui qui entoure les pavillons tel un en-clos, au labsence de modnature des logements sociaux, le mur est llment omniprsent du plan dAou. En conjuguant ces deux caractres, nous dve-loppons une approche architecturale qui sarticule autour de la thmatique du mur inachev, qui se dcline sous diffrentes morphologies urbaines.

Le plateau du plan dAou offre un paysage dsol et chaotique, partag entre les anciens ves-tiges dune Cit dtruite aux parterres vgtaliss, de bunkers o la nature a repris ses droits et de parkings sauvages qui sont autant de friches.

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coupe dveloppe, avec lpannelage progressif de lilt

(1) lcho dintensit

un socle urbAin compos de cours contigues

De part et dautres du plateau, les chos dintensi-t sont deux ilots composs de cours minrales qui prolongent lespace public en leur cur, revisitant ainsi le modle mditerranen de la cour patio.

Le socle urbain est compos de services la per-sonne : laverie, commerce de proximit, cuisine et restaurant collectifs viennent animer diffrentes heures ces cours et intensifient la vie urbaine du plateau.

une ventilAtion rgulAble

Les vides deviennent des loggias qui tra-versent le bti dans toute sa profondeur. Cette pice en plus agrandit le logement et garan-tit une relation entre lintrieur et lextrieur. Oc-cultable, elle assure une ventilation naturelle de lilot tout en le protgeant des rafles du Mistral.

un modle hybride

A travers un travail sur la volumtrie et la typologie, lilot a cours en enfilades est en ralit un mur habit qui se veut etre un modle hybride entre le logement individuel et le logement collectif, afin de rconcilier les deux strates principales du bati existants du plan dAou.

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plan dorganisation type dun appartement

foncitonnement bio-climatique de lecho dintensit

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vue sur le mur habit de lcho dintensit depuis lesplanade

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(2) la lisiere habite

un hAbitAt inspir des bAdgirs ( tours vent iraniennes)

implants en lisire de plateau, ces logements sont munis de chemines attrape-vent, qui recyclent lair du logement.Lair chaud monte naturellement au sein de lhabi-tation via cette chemine, aspir par le souffle du Mistral dans la partie suprieure de la chemine.

evolution de lhAbitAt

Pens pour de spersonnes aux revenus faibles, nous proposons qu la place de contracter un lourd prt bancaire, les futurs habitants du plan dAou puissent, ds que leurs conomies le leur permettent, agrandir leur logement.

A la livraison, ces logements comportent les pices principales du logement : la cuisine une salle manger se situent au premier tage, une chambre et salle de bain au second. Le tout donne sur une loggia double hauteur.Avec les planchers du premier tage de la loggia en attente, ces logements sont penss pour tre volutifs.

Nous proposons trois scnarios possible damna-gement futur : celui de lauto entrepreneur ou de lar-tisant, celui dune famille de deux enfants louant une chambre au rez de chausse une personne age ou un tudiant, et celui de la famille nombreuse.





du mur habit lhabitat volutif - r+2

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Architec

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(3) acupuncture urbaine : une lanterne dans le bois habit

un repre

Eclaires de lintrieur toute la nuit, les lanternes supplent lclairage public le long des axes princi-paux et constituent des repres qui scurisent les espaces publics.

confrer un cArActre dilot ouvert Au bAti existAnt

Accoles le long de faades pignons, intgrant les bois habits, ces lanternes agissent comme une acuponcture urbaine qui confre le caractre dlot ouvert au tissu existant, instaurant un discours entre les barres de logement en priphrie et les pavillons situs en cur dlot.

un espAce mutAble

Comme nonc prcdemment, nous propo-sons de rutiliser lenveloppe du pavillon M pour accueillir les ateliers. On le en partie dbarrasse de son plateau intermdiaire afin que les ateliers puissent bnficier de toute la hauteur du volume.

A lissue du chantier, nous souhaitons que Kos-mos Collej propose des runions de concertation quant lamnagement futur de ces lanternes en quipements phmres, espaces-relais des coles, associations, ddis la vie de quartier.

de nuit, une lanterne scurisante

de jour, un quipement dans lilot ouvert recompos

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Romainville

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Rosny-sous-Bois

Fontenay-sous-Bois

Bagnolet

Vincennes

MONTREUIL

La Courneuve

St Denis

Bobigny

Puteaux

Issy - Val-de-Seine

Crteil-Universit

St-Maur-Crteil

Paris M3

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Ce contre-projet revient sur la proposition damnagement dveloppe par la ville de Montreuil dans le cadre de la mise en place du grand Pa-ris et des nouvelles mobilits et programmes qui en dcoulent.

La ville projette dimplanter la place de lA186, bretelle dautoroute obsolte, un boulevard urbain linaire contemporain, accueillant le T1, mais qui souligne la rupture quavait entraine la construction de cette autoroute en nintgrant pas le tissu exis-tant dans son dessin.

Plutt que de faire un projet qui relve du faadisme et laisse la ville actuelle en arrire-plan, nous pro-posons dinscrire la programmation en cohrence avec le tissu existant.

Alors que lA186 lacrait la ville et cristallisait le sen-timent de rupture qui existe entre un Bas Montreuil desservi par les stations de Mtro et un Haut Mon-treuil enclav, nous amnageons sur une partie de lautoroute situe en viaduc un belvdre qui lie visuellement toute lintercommunalit et ses sym-boles.

Le patrimoine Montreuillois est valoris, le tissu re-trouve sa cohrence dantan et se trouve modernis afin de faire de cet axe un lieu ouvert aux changes entre citadins.

Anne Dorazio - Architecture, environnement et dveloppement durAbleRalis avec Pierre Badaut Haussman, tudiant

Talus bas Talus haut Viaduc Talus haut ViaducPOSITION DE LA 186

ESPACES MURS A PEHES CITE DARTISTES EN DEVENIR RUE ARISTIDE BRIAND CITE JARDIN EN DEVENIR BRIC A BRAC

l a186lvdre : de lautoroute au belvdre M1 | 2012

de lautoroute au belvdre

Talus bas Talus haut Viaduc Talus haut ViaducPOSITION DE LA 186

ESPACES MURS A PEHES CITE DARTISTES EN DEVENIR RUE ARISTIDE BRIAND CITE JARDIN EN DEVENIR BRIC A BRAC

de lAutoroute dsuette lA friche sAisonniere

Comme pour faire cho aux murs pches situs lextrmit de lA186, nous souhaitons que lA186 mute en un belvdre accueillant une vgtation saisonnire. En changeant de couleurs de manire cyclique, lintention est de rappeler le mouvement des voitures qui ba-layaient lautoroute.

analyse sensible : montreuil, une ville squence

Bas Montreuil ou Petit Paris A 186 Haut Montreil

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THEATRE PLEIN AIR INONDABLECITE D ARTISTE

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PARKING RELAIS

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02.Cit jardin en devenir

enjeUX : retroUver Une CoherenCe et CiCa-triser Ce tissU

. tissU Uniforme de part et daUtre de laUtoroUte

. dominante residentielle fortetissU qUi fonCtionne

01. BriC BraC

enjeUX : reqUalifier et dynamiser Cet es-paCe. apporter Une isolation aCoUstiqUe. panorama depUis infrastrUCtUre sUr montreUil

. entree de ville

. identit forte de linfrastrUCtUre

. tissU paUvre dentrepots, de loge-ments ColleCtifs et pavillonnaires

. prsenCe de mUrs anti-BrUit poUr Contrer les nUisanCes sonores de la3

03.Cit dartiste en devenir

enjeUX : Crer Un qUartier pitonnier miXte

. htrognit des tissUs :

entrepotsateliers dartistesgrands ensemBleshBmpavillonaire

Lanalyse sensible du tissu montreuillois a permis de dgager le caractre squenc de la ville.

Le long de lA186, trois espaces se sont distin-gus :

- A lOuest, donnant sur lA3, le bric brac est le rsultat damnagements spontans et de friches qui se sont greffes le long des bretelles dauto-route. Nous proposons de requalifier et de densifier ce tissu en offrant une nouvelle entre de ville contem-poraine Montreuil, o bureaux et friches am-nages se ctoient pour former un cran acous-tique tout en restant fidle lidentit verte de Montreuil. Un parking relais ainsi quune station de tramway y sont installs afin de dgorger lavenue.

- Lautoroute a lacr le tissu qui suit. De part et dautre du talus se situent des immeubles faubou-riens et des pavillons de bonne facture. Lintention est de reconnecter les tissus comme ils ltaient lorigine, pour retrouver une cohrence. Lam-nagement du tramway est loccasion de confrer cet espace un cachet de cit jardin, compos dilots ouverts. - La rue Aristide Briand est un axe transversal stra-tgique qui lie directement le Bas et le Haut Mon-treuil. Une station de tramway ainsi que le futur terminus de mtro de la ligne 9 sinstallent sur une place oscillant entre minral et vgtal. Cet espace public est tenu de part et dautre de nouvelles op-rations aux programmes mixtes, devient ainsi une nouvelle centralit lchelle de la ville, quilibrant le rapport quentretiennent Bas et Haut Montreuil et affirmant le dynamisme et de cet axe.

- La dernire squence, intitule la Cit dartiste, comprend nombre dateliers bien installs. Au pied de cette squence se trouve un btiment notable : le Mozinor, superstructure datant des annes 70, aujourdhui cit dactivit verticale que la ville pr-voit de rhabiliter en un muse dart contemporain. Afin daffirmer le statut de Cit dartiste de la der-nire squence, nous proposons de couvrir lA186 afin doffrir une place pitonne tel un thtre ouvert.

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cit dartiste en devenir

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tirer pArti des espAces vegetAlises existAnts

Les pourtours de lA186, dlaisss, se sont vus in-vestis de friches, que nous souhaitions conserver au maximum. Elles participent former lcran acoustique en en-tre de ville et se voient renforcer pour crer un parc. Les constructions en surplombe de lA186l-vedere et agrmentent le square du promontoire profitent galement de ces friches dveloppes.

des flux lA mesure de lA ville

Notre stratgie fut de concentrer les flux sur un boulevard urbain en Partie Nord afin dallger le tra-fic routier en partie sud et de crer une ambiance plus rsidentielle en accord avec la nature du tissu existant.

des fonctions qui dcoulent de lA nAture des lieux

Afin doffrir Montreuil une entre de ville contem-poraine, nous proposons dinstaller le long de lA3 des bureaux disposs en lames, de manire for-mer un cran acoustique tout en dgageant la vue depuis lA186lvdre. Ensuite viennent le parc, puis des logements collectifs et sociaux qui em-pruntent une forme en surplomb autour de lA186l-vedere. Une analyse urbaine ayant dmontr une carence en quipements de quartier, le promon-toire accueillera en plus du square un quipement et des services proximit de larrt de tramway.

des gAbArits qui sAccrochent Aux hAuteurs existAntes

Une attention particulire fut porte quant la hau-teur du bati, qui monte hauteur de labelvdre pour spanneler et retrouver la hauteur du tissu existant. Le gabarit spannelle progressivement depuis le tissu existant jusqu lA186lvedere. Ombre et lumire

MEDIATHEQUE, SQUARE et ARRET DE TRAM

Free(ch)Les lames PromontoireLOGEMENTS COLLECTIFSPARC ET SERVICESBUREAUX et PARKING SILO

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Ombre et lumireMEDIATHEQUE, SQUARE et ARRET DE TRAM

Free(ch)Les lames PromontoireLOGEMENTS COLLECTIFSPARC ET SERVICESBUREAUX et PARKING SILO

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Architec

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du dessous des berges Au dessus des cimes L3 | 2011Vincent Brossy - Architecture du logement urbAin

Le projet du dessous des berges joue avec la hau-teur du regard. Plutt que de chercher le ruisseau qui donna son nom a la rue, on invite le regard se poser hauteur de cime.

Souhaitant intgrer au maximum larrire de parcelle au fonctionnement de la rue, notre premire inten-tion fut de mettre en perspective cette parcelle en dent creuse en soulignant sa profondeur.

Pour se faire, une faille scinde la parcelle troite en deux parties. Orient Sud-Ouest. elle laisse la lu-mire rasante du soir balayer toute la parcelle. La volumtrie est issue de la volont de passer dun vocabulaire rigide et linaire de la rue celui plus libre du square. Le bati se dcompose alors gra-duellement en volumes qui prennent de plus en plus de libert dans leur implantation.

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plan masse : du caractre linaire de la rue la spontanit du square

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rez de chausse

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TOUR VILLAS

FAILLE ETCOUR INTERIEURE

FAILLE

volumtrie du bati porosit liens visuels

r+4 vue depuis la loggia double hauteur sur le square

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Architec

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des pArkings mutAbles

Le programme de logement sociaux imposait des parkings. Situ Paris, on peut prvoir que les transports en communs deviendront le moyen de dplacement le plus rpandu. En excavant le fond de parcelle dans ses deux tiers et en implantant ce parking au Nord de celle-ci, la lumire naturelle atteint cet espace, le rendant viable pour que des activits futures prennent la place de la voiture de-venue obsolte. Les arbres, plants au mme niveau, voient leur cime arriver au niveau dune passerelle qui dessert les logements de fond de parcelle.

une mixit typologique

Dans toute la profondeur de la parcelle et du sol au ciel, nous retrouvons des logements allant du studio au T5.

Afin davancer la tour de 5m au dessus du trottoir, lastuce fut dimbriquer un tage de bureaux ac-compagns dune cour. ils permettent un dgage-ment de ciel ncessaire aux logements situs au dessous.

vue depuis le square des parkings aux activitsmixit topologique

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Mon stage lAtelier Villes&Paysages me permit de mieux saisir la problmatique de lamnagement des sites soumis aux risques littoraux en rgion M-diterranenne.

un projet de recherche pilote

Ma mission principale portait sur une Assistance la Matrise dOuvrage pour la recomposition territo-riale de la plaine du Ceinturon, parcourue par deux fleuves capricieux, sujette aux risques de temptes et de monte des eaux.La morphologie de la plaine, la volont de la mairie dtre porteuse du projet et linscription du site au sein de lOpration grand Site sont les trois raisons principales qui firent que lEtat retint ce site comme projet pilote.

diAgnostic, orientAtions et esquisse de scnArii

Aprs avoir hirarchis les enjeux propre au site et rpertori les diffrentes mthodes de protection des littoraux, trois scnarios furent proposs.

Comment valorise ton le Front de mer et diversifie ton ses activits, notamment touristique, face aux intempries futurs et llvation du niveau de mer ? Comment rvler la mosaque horticole de larrire pays, interface aujourdhui dlaisse, qui consti-tue un patrimoine riche de et un paysage rythm? Comment la plaine cotiere peut elle voluer et rimer avec sant, rcrativit et accessibilit ?

Ce sont les questions autour desquelles sest por-te notre attention, en proposant diffrentes strat-gies rsilientes qui comprennent les menaces des leau et travaillent avec la topographie et installa-tions existantes. Ci-contre est prsente la stratgie dite De la plaine lAgriparc.

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diagnostic et enjeux lchelle territoriale

enjeux

les sAlines

etAngs de giens

stratgie urbaine

acupuncture paysagre

protection du front de mer

submersion

inondation

monte eaux

de la plaine lagriparc

amo : RiSqUES LiTTORAUx ET RSiLiENCE Atelier villes & pAysAges | 2014

timeline

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G. Kalt

La nouvelle faade ct jardin

Aprs avoir livr en 2010 le 1er immeuble de loge-ments sociaux avec une faade en panneaux so-laires thermique pour la Siemp, et ce en site inscrit, les architectes Philippon - Kalt afirment nouveau leur got pour lexprimientation de faades inno-vantes en rhabilitant un EHPAD rue Blanche Paris

Dans le cadre de lassistance la cration dun dossier de presse, ma mission principale consis-tait retracer lvolution du projet, d en saisir les contraintes et tapes clefs, puis de redessiner et purer les plans d tages, le dvelopp des fa-ades cot jardin, de rendre intelligible lextension du batiment via la coupe transversale ainsi que le dtail technique de la faade double peau auto-por-tante en ductal qui fait la force de ce projet.

rhAbilitAtion dun bAtiment inscrit en un ehpAd pour personnes Atteintes de lA mAlAdie dAlzeihmer

Sur cour, le btiment conserve son criture ar-chitecturale des annes 30 tandis que la faade cot coeur dilot relve dun dessin contemporain loin de tout pastiche consensuel. De la contrainte de laccessibilit pompier chaque chambre par lextrieur conjugu la ncessit dextension du batiment nat la faade double peau en rsille, qui ondule et intgre les coursives tehniques dans la volumtrie du btiment.

dossier de presse: RHABiLiTATiON DUN EHPAD philippon kAlt Architectes | 2012

coupe de l extension du batiment

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Dans un environnement riche en patrimoine classs, le projet reoit en cur dlot une signature architecturale trs originale grce sa double peau en bton Ductal qui fait cho au jardin EVP, Espace Vert Protg, attenant.

Ce btiment propose une rponse allant au-del de larchitecture de faade et de lexprimentation technique. Il sagit de crer un environnement favorable, social et mdical, des personnes ges atteintes de la maladie dAlzheimer. Cet quipement est unique Paris et son amnagement apporte un clairage nou-veau sur la prise en charge de ces malades malgr un contexte de rhabilitation lourde.

UN E.H.P.A.D. EXPRIMENTAL PARIS

Aprs avoir livr en 2010 le premier immeuble de logements sociaux avec faade en panneaux solaires thermiques pour la Siemp, et ce en site inscrit, les architectes Philippon - Kalt affir-ment nouveau leur got pour lexprimentation en rhabilitant rue Blanche Paris un Etablissement Hospitalier pour les Per-sonnes Ages Dpendantes (EHPAD).

Dossier de presseMars 2012

La faade ct jardin de 1935... ... a t dtruite ... les planchers ont t prservs.

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la faade ct jardin de 1935...

Dans un environnement riche en patrimoine classs, le projet reoit en cur dlot une signature architecturale trs originale grce sa double peau en bton Ductal qui fait cho au jardin EVP, Espace Vert Protg, attenant.

Ce btiment propose une rponse allant au-del de larchitecture de faade et de lexprimentation technique. Il sagit de crer un environnement favorable, social et mdical, des personnes ges atteintes de la maladie dAlzheimer. Cet quipement est unique Paris et son amnagement apporte un clairage nou-veau sur la prise en charge de ces malades malgr un contexte de rhabilitation lourde.

UN E.H.P.A.D. EXPRIMENTAL PARIS

Aprs avoir livr en 2010 le premier immeuble de logements sociaux avec faade en panneaux solaires thermiques pour la Siemp, et ce en site inscrit, les architectes Philippon - Kalt affir-ment nouveau leur got pour lexprimentation en rhabilitant rue Blanche Paris un Etablissement Hospitalier pour les Per-sonnes Ages Dpendantes (EHPAD).

Dossier de presseMars 2012

La faade ct jardin de 1935... ... a t dtruite ... les planchers ont t prservs.

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... a t dtruite, mais les planchers prservs

dtAil technique de lA double peAu

Pour raliser cette rponse indite et expressive aux normes de scurit incendie, le choix de larchitecte sest port sur un bton blanc fibr, le Ductal, qui associe une finnesse de struture et daspect des caractristiques mcaniques, de durabilit et de rsistances aux intempries pour constituer cette double peau.

Une rflexion a t mene avec le fabricant Lafarge et lentreprise Fehr pour rendre autoportant ce ma-triau jusqualors uniquement utilis en parement.

Cest grce une conception tudie spcifi-quement pour ce projet, avec des bielles en inox qui absorbent les efforts de dformation et de di-latation des pices, que le ductal devient auto-portant sur 22 mtres de haut; une performance indite jusqualors dans lemploi de ce matriau. Lavis technique exprimental (ATEx) a t dlivr par le Centre Scientifique et Technique du Btiment en janvier 2011.

Le postulat de cette double peau est doffrir confort et qualit de vie aux futurs rsiidents. Cette rsille protge les chambres orientes louest du rayon-nement solaire tout en autorisant la cration de trs larges baies vitres, ouvertes sur le jardin.

Dcomposition de la faade : Dune trame fonctionnelle... ... un rythme alatoire inspir du vgtal ... ... pour une faade expressive

Des faades expressivesLarchitecture de 1935 sancrait dans le style de son poque. Aujourdhui, devant l obligation dlargir le btiment et donc de reprendre en totalit la faade ouest sur jardin, une proposition contemporaine et ex-pressive a t favorise dans le but de sloigner de tout pastiche consen-suel.

Les lames de Ductal sont disposes de manire irrgulire, et ajoure reprenant ainsi le vocabulaire architectural inspir des lignes vgtales du jardin, comme miroir de son environnement. Un lien visuel sopre entre les deux et offre une continuit apprciable pour des personnes ges dsori-entes.

Ces lames ainsi assembles se posent comme un paravent articul et fonc-tionne comme une double peau permettant de conserver de larges vues dans les chambres tout en assurant une protection solaire ct ouest.

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G. Kalt

Coupe sur la double peau en Ductal autoportant

Dtail de fixation de la bielle sur la coursive.

EXPERIMENTATION TECHNIQUELe Ductal blanc autoportant pour la premire fois

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plan masse final, philippon-kalt architectes

Jai particip en autonomie la phase esquisse de ces villas dactivits, aujourdhui livr.

Lenjeu de ce projet, inscrit en zone dactivit, tait de proposer une structure au caractre artisanal capable daccueillir des logements. Diffrentes ty-pologies sont dveloppes, autour dune structure industrielle lgre adaptable au besoin.

La mutabilit des espaces joue un rle central dans ce projet. Les ateliers sont situs sur rue, facili-tant laccs aux vhicules de livraison. Le systme constructif, constitu de portiques en lamell-col-l, permet de grandes portes et cre de larges volumes habitables. Lenveloppe peut recevoir des finitions intrieures que les futurs propritaires peuvent choisir pour diffrencier lespace artisanal et lespace domestique.

Hrouville-Saint-Clair (14)Maitres douvrage : SHEMA






C: LATELIER HABITE

Tato architecte

PHILIPPON-KALT ARCHITECTES URBANISTES

projet de rfrence propos : latelier habit, tato architectesC: LATELIER HABITE

Tato architecte

PHILIPPON-KALT ARCHITECTES URBANISTES

esquisse : viLLAS DACTiViTS philippon kAlt Architectes | 2011

LOGEMENTACTIVITE






philippon kalt architectes

principe structurel de latelier habit, philippon kalt architectes

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chantier bio-climatique : la Mrigue AssociAtions reste et pAsserelle v |

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La Mrigue est un projet de dveloppement social et culturel o 9 hectares de terres sont mises dis-position de personnes porteuses de projets .

Les membres de lassociatin Reste sont la re-cherche dune certaine autonomie participant au dveloppement local dans ses aspects culturels, cologiques et sociaux. Cest dans ce cadre que se droula mon stage ouvrier. Les vestiges du site se voient rnoves au fur et mesure des annes dans un soucis de respect de construction tradi-tionnelle et vernaculaire.

un chAntier pArticipAtif

Cest dans une logique de transmission du savoir faire, dans une optique de sauvegarde et de mise en valeur du patrimoine local que lassociation ac-cueille tous les ans des tudiants sur ses chantiers.

une construction durAble

Tous les matriaux de constructions sont issus du site : la pierre de schiste est utilise pour les murs, la lauze est trie et taille pour couvrir et faire toiture, largile est le composant principal du mortier, li de la chaux hydraulique.

Ce stage se dveloppa autour de cinq activits principales, dont trois chantiers. Des fondations du lavoir au mur de maonnerie jusqu la pose de la toiture, ce qui nous permit dacqurir de bonnes no-tions de maonneries.

StrupiechoNSKi laura61 rue henri Barbusse 94800 villejuif

06.09.85.64.98

[email protected]

Nationalit franaisepermis B

merci pour votre AttentionLaura Strupiechonski Architecte dEtat

[email protected]

2015 book laura strupiechonski architecte d'etat

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