2010, numero 6 avril 2010 - acora patrimoine · 2017. 12. 1. · une gestion active sans contrainte...
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Avril 2010
La lettre d’ACORA Patrimoine
Mot d’introduction Dans ce
numéro :
Mot
d’introduction
1
Vouée à dispa-
raître, la loi
Girardin renaît
1
Edmond de
Rothschild
Asset Manage-
2
Carmignac
Gestion
3-
4
La financière
de l’Echiquier
5
Chiffres clés 6
Depuis son implantation à Brest
en 1993, le cabinet Océanic
Finance offre à ses clients
l’écoute nécessaire à l’expertise
de leur situation patrimoniale.
Dans un environnement de plus
en plus complexe, il est
primordial de prendre le temps
de réfléchir aux dispositions
passées et aux orientations
futures de vos investissements.
N’hésitez pas à nous interroger;
nous sommes à votre
disposition..
Les marchés de ce début
d’année ont été affectés par
deux facteurs importants, d’un
côté la situation des Etats et des
Banques Centrales, de l’autre
côté, en opposition au premier,
la place prépondérante des
marchés émergents.
Dans ce contexte, Edmond de
Rothschild Asset Management, Ca rm i gnac Ges t ion , l a
Financière de l’Echiquier ont
accepté de vous livrer leur
vision des marchés.
Bonne lecture,
L’équipe ACORA PATRIMOINE
La fin de la loi Girardin et l’apparition de la loi Scellier
Girardin Scellier outre-mer
Taux de réduction d’impôt Libre Intermédiaire Classique Intermédiaire
2009 40 % 50 % 40 % De 40 à 52 %
2010 40 % 50 % 40 % De 40 à 52 %
2011 30 % 45 % 40 % De 40 à 52 %
2012 - 35 % 35 % De 35 à 47 %
2013 - - 35 % De 35 à 47 %
De 2014 à 2017 - - - De 35 à 47 %
Déduction sur les revenus fonciers Non Non Non 30 %
Limite de la base de réduction 2 247 € du m² 300 000 € par an et un seul
Durée de location 5 ans 6 ans 9 ans De 9 à 15 ans
Afin de relancer l’activité immobilière et combler le déficit de logement en outre mer, la loi pour le
développement économique des outre-mer du 27 mai 2009 a adapté le dispositif Scellier en outre-mer en
majorant le taux de réduction d’impôt. Elle met cependant fin au dispositif Girardin et notamment au
secteur libre pour les investissements réalisés à compter de 2012 en diminuant progressivement (dès 2011)
le taux maximal de réduction d’impôts. Le tableau ci-après résume les nouveautés fiscales applicables aux
investissements dans les DOM TOM.
2010, NUMERO 6
Page 2 La lettre d’ACORA Patrimoine
Le monde est au lendemain d’une crise économique
et financière globale sans précédent.
Après une année 2009 chaotique eu égard à la forte
chute des marchés et à leur rebond tout aussi signi-
ficatif, 2010 devrait marquer le retour progressif de
la croissance. Si les incertitudes restent fortes quant
à la mise en place des stratégies de sortie de crise, à
l’ampleur des déficits et à la dégradation rapide des
finances publiques, il n’en demeure pas moins que la
tendance à moyen terme est plutôt positive et offre
des opportunités sur le long terme. Une fois la
confiance retrouvée, les entreprises re-stockeront,
réinvestiront en ressources humaines et dans leurs
outils de production, ce qui permettra de réduire le
chômage et relancera la consommation. Dès lors,
les Etats et Banques Centrales pourront naturelle-
ment réduire leur soutien à l'économie.
Selon les estimations du FMI, l’économie mondiale
enregistrerait une croissance de 3,9 % en 2010
(4,1% en 2001) : 2,4 % pour les Etats-Unis, 1,6 % pour l’Europe et 6% pour les zones émergentes. A
noter que la croissance des pays émergents devient
un facteur de plus en plus important de la croissance
mondiale. Ils constituent une force d’entraînement
pour l’ensemble de l’économie mondiale.
Dans ce contexte, LCF Croissance Globale est un
fonds d’allocation qui vise à surperformer un inves-
tissement en actions internationales. Le fonds inves-
tit à long terme sur des positions de conviction sur
le thème de la croissance et, au travers d’une alloca-
tion tactique flexible, il s’adapte aux configurations
de marché plus défavorables et diversifie le risque à
court/ moyen termes.
La stratégie de LCF Croissance Globale consiste à
se positionner sur des thèmes porteurs qui vont
générer de la croissance sur le long terme (« foyers
de croissance»). Actuellement, les émergents, les
matières premières et l’allongement de la durée de
vie correspondent aux principales convictions des
gérants. Pour implémenter ces positions, ceux-ci ont
recours à la gamme performante des fonds actions
de EDRAM, mais aussi à des ETF voire, pour certai-
nes thématiques, à des fonds externes. A plus court
terme, différents leviers sont utilisés pour optimiser
la performance en période de hausse tout
en atténuant la baisse en période de repli. Des déri-
vés simples sont utilisés pour initier des couvertures
ou renforcer l’exposition face à certaines configura-
tions de marchés. En plus de cette allocation tacti-
que, les gérants apportent également de la diversifi-
cation aux positions actions. Pour cela, ils investis-
sent essentiellement sur les taux, les devises, les
matières premières physiques et la volatilité. Ces
positions de diversification ont pour but de jouer un
rôle d’amortisseur si certains imprévus se présen-
tent.
LCF Croissance Globale est un investissement idéal
pour dynamiser votre allocation d'actifs en vous
positionnant sur des foyers de croissance. Investis-
sement satellite, il peut représenter, au sein d’une
allocation actions, entre 15 et 20% du total.
L’allocation et les choix des supports d’investisse-
ments sont déterminés par l’équipe Recherche et
Allocation Globale qui regroupe des compétences
et des profils complémentaires autour d’un objectif
commun : une allocation efficace, capable d’anticiper
les tendances déterminantes sur les marchés à long
terme, et flexible, grâce à un ajustement optimal des
positions à court terme.
Sur un glissant, LCF Croissance Globale affiche une
performance de 59,55 %*, surperformant le MSCI
World AC (devises locales) de 29,55 %*.
Source : Edmond de Rothschild Asset Management –
Données au 18/03/2010. Les performances passées ne
préjugent pas des performances futures.
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31/12/08 30/06/09 31/12/09
LCF Croissance Globale MSCI World AC (devise locale)
« Actuellement, les
émergents, les
matières
premières et
l’allongement de
la durée de vie
correspondent aux
principales
convictions des
gérants.. »
LCF CROISSANCE
GLOBALE
Investir à l’échelle
mondiale sur les
meilleures sources
de croissance
identifiées.
Carmignac Gestion nous présente Carmignac Patrimoine
Pouvez-vous en un mot m’expliquer quelle est
la finalité du Fonds Carmignac Patrimoine et à
quel profil d’investisseur il s’adresse ?
Carmignac Patrimoine est un Fonds international diversi-
fié investit sur l’ensemble des marchés d’actions et
obligataires. Ce Fonds, qui a pour objectif la recherche
d’une performance absolue, attache une attention parti-
culière à la préservation du capital à moyen terme et
vise une performance régulière dans le temps à travers
une gestion active sans contrainte de benchmark, de
secteurs, de classes d’actifs ou de taille de capitalisation.
De par son large univers d’investissement et sa gestion
diversifiée, Carmignac Patrimoine s’adresse à tout type
d’investisseurs.
Pouvez-vous m’expliquer le processus de sélec-
tion des titres entrant dans votre Fonds ?
Le fondement du processus de décision appliqué à
Carmignac Patrimoine réside dans le Comité d’Investis-
sement quotidien, présidé par Edouard Carmignac,
réunissant l’ensemble des gérants et analystes. Durant
ce comité, les participants discutent des événements
récents intervenus sur les marchés financiers, des nou-
veaux chiffres macroéconomiques, des résultats des
visites de sociétés et si nécessaire des ratios de couver-
ture. Ils procèdent à une révision quotidienne des alloca-
tions stratégiques et tactiques des portefeuilles. La ré-
partition entre actions et obligations est définie en fonc-
tion de l’analyse macroéconomique qui permet d’identi-
fier les facteurs de croissance.
Comment est-il concrètement géré ?
Carmignac Patrimoine est cogéré par Edouard Carmi-
gnac pour la poche actions et Rose Ouahba pour la
poche obligataire tandis que Frédéric Leroux coordonne
l’analyse macroéconomique et la politique de couvertu-
re. Comme nous l’avons évoqué précédemment, dans le
cadre du processus de décision, les gérants de Carmi-
gnac Patrimoine profitent également de l’expertise des
autres membres de l’équipe de gestion sur leurs univers
de spécialisation respectifs.
La taille de votre Fonds n’est-elle pas devenue
un handicap? Pensez-vous clôturer le Fonds à
de nouvelle souscription à partir d’un certain
montant sous gestion ?
Un constat : la croissance des encours de Carmignac
Patrimoine n’a pas eu d’impact sur ses performances.
Ainsi sur 3 ans, tandis que les encours du Fonds ont
augmenté de 2,8 milliards fin 2006 à 16,7 milliards
d’euros fin 2009, le Fonds affiche une performance de
+28,4% sur la période, contre un repli de -0,73% pour
son indice de référence. Comme nous l’avons indiqué,
en tant que Fonds diversifié international, Carmignac
Patrimoine a la possibilité d’investir sur un univers d’in-
vestissement étendu au monde entier, tant sur les ac-
tions que sur les taux. Par ailleurs, en s’affranchissant
du benchmark, le Fonds ne subit aucune contrainte liée
à l’obligation de rester investi dans des classes d’actifs
non-liquides ou non performantes au motif qu’elles
entrent dans la composition de l’indice de référence. De
plus, Carmignac Patrimoine privilégie les grandes capi-
talisations. Sur la partie Taux, la taille du Fonds est
même devenue un avantage : Carmignac Gestion béné-
ficie désormais d’une notoriété importante nous per-
mettant un accès privilégié aux émissions de titres
internationales les plus recherchées. Notre stratégie
consiste à privilégier des émissions dont les volumes
sont en adéquation avec les montants que nous inves-
tissons.
« Sur 3 ans, tandis
que les encours ont
augmenté de 2.8
milliards fin 2006 à
16.7 milliards d’euros
fin 2009, le fonds
affiche une
performance de
+28.4% sur la période
contre un repli de
–0.73 % pour son
indice de référence. »
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Page 4
Carmignac Gestion (suite)
Le Fonds Carmignac Patrimoine a très bien tiré son épingle du
jeu en 2008, mais est par contre resté en retrait en 2009 alors que les
marchés étaient en nette progression. Comment expliquez-vous ce
décalage entre la performance des bourses et celle de votre Fonds en
2009 ?
Sur l’année 2009, Carmignac Patrimoine affiche une performance de
17.59% contre 13.39% pour son indicateur de référence.
Sur le plan de notre gestion, après avoir opté pour un positionnement
stratégique défensif suite à la faillite de Lehman Brothers, Carmignac
Patrimoine s’est progressivement réexposé au marché d’actions dès mars
2009. L’accroissement de la demande domestique chinoise et ses
conséquences sur les échanges internationaux marquaient alors un point
d’inflexion du cycle économique. Convaincus que la crise financière
constituait un accélérateur de rééquilibrage global en faveur des
principaux pays émergents tels que la Chine, l’Inde et le Brésil, nous avons
réorienté notre portefeuille sur nos thématiques de long terme liées à
l’amélioration du niveau de vie dans les pays émergents et à son corolaire, les
matières premières.
Nous avons en revanche été un peu trop pessimistes quant à l’évolution du
marché obligataire américain. Nous nous sommes néanmoins positionnés
favorablement sur les obligations liées à l’inflation au cours du premier trimestre
2009. Plus généralement, Carmignac Patrimoine a, au cours de 2009, réduit
progressivement son exposition aux emprunts d’Etat des pays développés au
profit d’emprunts privés. Parallèlement, au cours du troisième trimestre, le Fonds
a renforcé son exposition aux stratégies émergentes, afin de bénéficier de la
césure macro-économique entre pays développés et pays émergents.
Que cela soit sur 3 ans ou sur 5 ans, Carmignac Patrimoine est le
meilleur Fonds dans sa catégorie. Faut-il considérer Carmignac
Patrimoine comme un investissement sur le long terme ?
En vertu de son approche patrimoniale, Carmignac Patrimoine a donc vocation à
répondre à des besoins de cœur de portefeuille et ainsi donc à constituer un
investissement de long terme
Estimez-vous que 2010 sera un bon cru pour votre Fonds ?
Nous sommes assez optimistes pour les marchés d’actions en 2010. Les récents
indicateurs avancés laissent à penser que les activités industrielles devraient
devenir plus robustes. Le chômage se stabilise également, ce qui est en ligne avec
la fin des restructurations des sociétés et le formidable gain de productivité que
cela a généré. Aussi, même si la croissance des ventes de détail se fait moins
marquée, l’effet de levier pour les sociétés devrait malgré tout être spectaculaire.
Favorisés en grande partie par le dynamisme de leur consommation domestique,
la modernisation de leurs infrastructures et le soutien
financier de leurs gouvernements, les pays émergents
ont su montrer une belle résistance face à la crise et
bénéficient d’une croissance économique forte et
réelle. Face à quelques craintes liées au risque
d’inflation, nous restons cependant confiants quant à
l’habileté avec laquelle les gouvernements,
notamment chinois, indien et brésilien, sauront
soutenir de manière durable le potentiel de
croissance de leurs économies. Ainsi, ces indicateurs
confortent et valident notre scénario, nous pensons donc que Carmignac
Patrimoine est bien positionné pour profiter de ces tendances.
Quels sont vos secteurs/thèmes de prédilection à l’heure actuelle ?
L’amélioration du niveau de vie dans les marchés émergents constitue
incontestablement une thématique de long terme de Carmignac Patrimoine. Par
ailleurs, nous entendons également bénéficier du rebond américain en
investissant notamment dans les secteurs de l’automobile, des cartes de crédit
mais également des équipements électriques. Nous abordons également ce
thème par le biais des exportateurs émergents de biens ou de services bien
positionnés sur le marché américain.
Sur le segment des obligations privées, nous privilégions les entreprises
exportatrices européennes qui bénéficieront de la faiblesse de l’euro et qui sont
éventuellement exposées à la croissance émergente.
Les stratégies émergentes constituent également un vecteur de performance que
nous privilégions.
Enfin, sur les emprunts privés émergents, nous bénéficions des fortes synergies
avec notre équipe spécialisées sur les actions émergentes, ce qui nous
permettent de saisir les meilleures opportunités tout en capitalisant sur notre
connaissance approfondie des entreprises dans lesquelles nous investissons.
La lettre d’ACORA Patrimoine
« Les perspectives sont donc encourageantes, les
économistes d’AXA IM tablent sur une croissance
de l’économie mondiale de 3,5%. »
Page 5 2010, NUMERO 6
La Financière de l’Echiquier: Questions à Frédéric Plisson, gérant d’Echiquier Major
Les grandes entreprises européennes ont publié leurs résultats du 4e trimestre. Où en sommes-nous ? Est-on
sorti de la crise ?
Leurs résultats sont supérieurs aux attentes dans 57% des cas. De plus, c’est la première série de publications où les dirigeants
se mettent en perspective et retrouvent une visibilité. Face à l’ampleur de la crise, les entreprises ont pris les bonnes déci-sions. Elles ont réduit leurs coûts sur tous les postes de dépen-
ses, reconstitué leurs bilans et préservé leurs marges. En 2009, leur chiffre d’affaires s’est fortement contracté mais les bénéfices n’ont reculé "que" de 20%. Les grands groupes mondialisés peu-
vent aussi remercier les économies émergentes dans lesquelles ils puisent leurs gisements de croissance. Le restockage est en cours puis la reprise des dépenses d’investissement prendra le relais. Le scénario de rechute nous semble hors de propos au-
jourd’hui.
Echiquier Major vient de fêter ses 5 années d’existence
et fait partie des tous meilleurs fonds d’actions euro-péennes sur cinq ans, sur trois ans et sur un an. Il pro-gresse d’ailleurs de 8,8% en 2010. Comment s’expliquent
ces bons résultats ?
Nous n’investissons que dans des entreprises leaders dans leur
métier, avec une répartition de 80 % dans les grandes capitalisa-tions (plus de 2 milliards d’euros) et de 20 % dans les valeurs moyennes. Ces leaders ont mieux résisté que les autres à la crise
grâce à leurs parts de marché, à la qualité de leurs dirigeants et à une bonne gestion. Notre travail consiste à bien connaître les sociétés, à les visiter et à se persuader que leurs modèles nous apporteront de la surperformance sur le moyen terme. Nous
pratiquons également une gestion disciplinée en nous intéressant beaucoup à la valorisation. Nous fixons un prix d’achat et un prix de vente en calculant des multiples de résultats d’exploitation
sur trois ou quatre ans et en actualisant des marges
brutes d’autofinancement. Ainsi, même si nous aimons beaucoup une société, nous n’investirons pas si nous jugeons le cours trop
élevé par rapport aux espérances de croissance. Enfin, notre quasi-absence de certains secteurs (banques, matières premières
et opérateurs télécoms) nous a aussi favorisés pendant la baisse
Quelles sont vos valeurs favorites ?
Le suédois Atlas Copco, leader mondial des compresseurs et fabricant d’équipements miniers, a connu une forte baisse de son
chiffre d’affaires l’an dernier, mais a préservé une marge d’exploi-
tation de plus de 14 %, contre 10 % lors du précédent bas de cycle. 50 % de son activité se faisant dans les pays émergents, il va profiter de la reprise des investissements dans les mines et de
la croissance industrielle des pays neufs.
Le suisse Richemont (qui exploite les marques Cartier, Van Cleef, Piaget, Baume & Mercier, Montblanc et Dunhill) va bénéfi-cier de la montée en puissance des pays émergents et, en parti-
culier, de la Chine, où les consommateurs plébiscitent les gran-
des marques.
Enfin, le leader mondial du recrutement, le britannique Michael
Page, est axé sur les postes qualifiés. Il n’a pas perdu d’argent l’an dernier malgré une forte baisse de ses facturations et sera le premier à regagner des parts de marché dans un scénario de
reprise progressive de l’intérim.
Quelles sont vos anticipations pour ces prochains mois ?
Nous sommes plutôt optimistes pour les entreprises qui ont bien passé la crise grâce à une très bonne gestion. Avec un peu
plus d’activité, les marges record seront battues. Dans ces condi-tions, et sachant que les placements sans risque ne rapportent pratiquement rien, nous anticipons une tendance boursière plutôt positive, avec un objectif de 4.500 points sur le CAC 40. Il
serait d’autant plus logique de retrouver au moins les niveaux précédant la faillite de Lehman Brothers que le ratio cours/actif net des actions européennes est actuellement inférieur à 1,5, soit
son niveau de début 2003, contre une moyenne historique pro-
che de 2.
Interview réalisée le 22 mars 2010.
« Dans ces
conditions, et
sachant que les
placements sans
risque ne rapportent
pratiquement rien,
nous anticipons une
tendance boursière
plutôt positive, avec
un objectif de 4.500
points sur le CAC
40. »
Retenez l’essentiel!
Loi Girardin: les taux de réduction d’impôt diminueront
à compter de 2011
Pour 2010, l’étude successorale est gratuite pour les
clients du cabinet
18 quai du commandant Malbert
BP 51204
29212 Brest Cedex 1
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Ne peut recevoir aucun fonds, effet ou valeur. Activité de démarchage bancaire et financier - N° 205 178 3378 VB.
Conseiller en Investissements Financiers référencé sous le numéro A 30 50 00 par la Chambre des Indépendants du Patrimoine,
Association agréé par l’Autorité des Marchés Financiers. Adhérent de la Chambre des Indépendants du Patrimoine
Au
30/03/2010
Evolution
2010
Cac 40 3 +1.30 %
Stoxx 50 2 +1.87 %
Dow Jones 10 +4.60 %
Nasdaq 2 +6.24 %
MSCI World 1201. +2.79 %
Eonia 0.35 -14.63 %
Euribor 3 mois 0.64 -8.57 %
Taux français 10 ans 3.44 -4.17 %
€/$ 1.3 +2.37%
A fin mars 2010
Taux d’intérêt légal: 0.65 %
Taux Livret A, Bleu et LDD: 1.25 %
SMIC Horaire brut: 8.86 €
PASS: 34 620 €
Inflation hors tabac sur 12 mois
(Indice Insee, mars 2010: 131.10): + 1.60 %
Indice de référence des loyers (IRL) 4ème trimestre 2009: 117.47 -0.06 %
Indice du coût de la construction (ICC) 3ème trimestre 2009: 1 502 -5.77 %
Chiffres clés
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