1ières rencontres franco canadiennes d’intelligence compétitive - 27-10-2011
DESCRIPTION
Actes des Première Rencontres Franco-canadiennes d’intelligence compétitive au service de la coopération et de la croissance.TRANSCRIPT
Saint Pierre et Miquelon
Jeudi 27 octobre et vendredi 28 octobre 2011 Salle des Fêtes municipale
Premières Rencontres Franco-
canadiennes d’intelligence
compétitive au service de la
coopération et de la croissance (Organisée par la Chambre de commerce,
d’industrie, des métiers et de l’artisanat)
Référence du document 1
Introduction
S’appuyant sur la stratégie à 2030 de l’Archipel et le pilotage de sa mise en œuvre conçues par les Elus et les décideurs, en concertation
avec les acteurs économiques et sociaux (mutations économiques et développement, ainsi que sur l’historique et la densité de la
coopération franco-canadienne (commission mixte), ces Premières Rencontres ont eu pour vocation,
de conforter le positionnement de l’Archipel dans sa région, ainsi qu’à l’échelle internationale (interface Canada-Métropole-Europe) à
travers la coopération avec les Provinces canadiennes atlantiques;
d’apporter à la coopération franco-canadienne (Saint-Pierre et Miquelon et Provinces canadiennes atlantiques), à ses acteurs, décideurs et
ses opérateurs, une dynamique renouvelée et renforcée grâce à une première approche de l’intelligence compétitive.
Les Rencontres ont donc rempli les objectifs méthodologique, programmatique et stratégique que la CACIMA et l’ACFCI s’étaient engagées
à atteindre auprès de la préfecture, du Conseil territorial et de l’APECA.
Pédagogique. Des praticiens français et canadiens ont présenté des méthodologies d’observation économique et sociale et d’intelligence
compétitive appliquée aux entreprises et aux territoires, aux stratégies publiques, comme au pilotage des enjeux concernant l’Archipel et la
coopération franco-canadienne. Des interventions ont illustré par des cas et des expériences vécues et évaluées, des méthodes de gestion
des appels d’offre, de gestion prévisionnelle de compétences…
Stratégique. Les thèmes applicatifs ont été choisis en fonction des 5 axes du schéma de développement stratégique (2009-2030) de
l’Archipel en pointant les mesures relatives à la coopération franco-canadienne (intensifier la coopération internationale, industries et
activités culturelles, innovation). En ont été retirés des thèmes centraux : dynamisation de l’économie marchande, stratégie de gestion des
compétences et attractivité, ressources humaines et développement économique, échanges commerciaux, règlementations et
normalisation, tourisme durable, développement durable.
Programmatique. Il a été décidé un programme d’action et en particulier des actions communes de formation de l’équipe de la cellule
d’ingénierie et d’animation territoriale, mais aussi des TPE et PME à la veille et la sécurité économique, la mise en place d’une organisation
régionale d’intelligence stratégique en coopération avec pour objectif de partager des veilles et des analyses sur les axes de la stratégie
définis en commun au sein de la commission mixte franco-canadienne et répondant aux axes de développement de l’Archipel..
Référence du document 2
Premières Rencontres Franco-canadiennes d’intelligence compétitive
au service de la coopération et de la croissance 2011
Plusieurs facteurs contribuent aujourd’hui à bouleverser les stratégies de développement des entreprises, des Etats et des territoires : crise
économique mondiale et contraction des échanges internationaux, intensification de la concurrence des nouvelles puissances industrielles,
« batailles des cerveaux », révolution numérique et nouveaux modes de production, de communication sur les marchés mondialisés.
Cet ensemble de dynamiques impose aux chefs d’entreprises comme aux décideurs territoriaux et politiques de repenser leurs stratégies de
développement par l’innovation et de construire l’avenir à travers des logiques de coopérations renforcées.
Affronter ces défis nécessite qu’entreprises et décideurs publics installent des réseaux de veille, créent des systèmes d’information et
maîtrisent de nouvelles grilles de lecture pour comprendre les situations concurrentielles inédites, nourrir les coopérations et accéder aux
marchés. La démarche d’intelligence compétitive permet d’anticiper à la fois les menaces et les occasions de croissance. Elle s’impose
désormais pour piloter des stratégies de développement concurrentielles et coopératives.
Les entreprises, les décideurs, la société civile de Saint-Pierre et Miquelon se trouvent confrontés à ces enjeux. Avec une économie tirée par le
tertiaire, l’Archipel se situe aux portes du bloc nord-américain dans une grande région dynamique. Face aux Provinces Canadiennes
Atlantiques, sa position peut lui permettre à terme de jouer un rôle positif et avantageux entre la France, l’Europe et la Région. Il constitue en
effet le territoire du dialogue culturel et économique. Ce dernier a été institutionnalisé par la mise en place de la Commission Mixte de
Coopération Régionale destinée à favoriser le développement des échanges.
Au moment où les observateurs et experts de la mondialisation insistent sur le retour en force de l’intelligence collective et de la coopération
comme leviers de réponse à « la grande crise », la Commission Mixte représente pour chacun des partenaires, ainsi que pour leurs projets
communs, un formidable « véhicule » de développement et d’aide au décryptage des problèmes d’accès aux marchés et d’intégration
régionale. Il convient plus que jamais de valoriser ce patrimoine commun.
Partager les capacités « d’intelligence » sur des thèmes de développement et d’intérêt commun, identifier les expériences innovantes et
définir des stratégies communes pour le long terme : telle est l’ambition de la CACIMA de Saint Pierre-et-Miquelon qui en partenariat avec les
Provinces canadiennes atlantiques, la Préfecture et l’Assemblée des chambres françaises de commerce et d’industrie, organise les Premières
rencontres franco- canadiennes d’intelligence compétitive au service de la coopération et de la croissance.
Référence du document 3
Programme : Jeudi 27 octobre 2011 (2/2) Modérateur : Philippe CLERC, directeur l’IE, Innovation, TIC -ACFCI
09h00 Ouverture des Rencontres - Allocutions de bienvenue et introductions Xavier BOWRING, Président de la
CACIMA, Jean-Régis BORIUS, Préfet de Saint-Pierre & Miquelon, Michel TÊTU, Directeur Général Commerce
et investissements APECA (siège Moncton)
09h30 Module 1 - Intelligence compétitive et coopération
Définition de la démarche et ses applications pour l’entreprise et les politiques publiques
● L’intelligence compétitive au Canada, Monica MALLOWAN, professeure, Université de Moncton
● L’intelligence territoriale, Fabrice DUFRESNE, directeur de IEDOM
● L’Observatoire de l’Economie et des Territoires de Touraine, Jean-Marc DEFRASNE, directeur
10h45 Pause
11h00 Module 2 - Intelligence compétitive et ressources humaines
Emplois et compétences à Saint-Pierre et Miquelon et dans les Provinces atlantiques
● La stratégie de Saint-Pierre et Miquelon, Sophie BRIAND du Conseil territorial
Gestion stratégique des compétences et développement économique
● Retour d’expérience comparée, Sofiane SAADI, directeur société NT2s
● La politique d’immigration canadienne, Joëlle DESY, agente du Programme des candidats de la
Nouvelle Ecosse - Gouvernement de la Nouvelle Ecosse
● Cartographie des emplois et compétences en Touraine, Jean-Marc DEFRASNE, directeur
12h30 Déjeuner offert par la CACIMA
Référence du document 4
Programme : Jeudi 27 octobre 2011 (2/2) Modérateur : Philippe CLERC, directeur l’IE, Innovation, TIC -ACFCI
14h00 Module 3 - Intelligence compétitive et échanges commerciaux
Appels d’offres internationaux et connaissance des règlementations liées aux marchés publics
● Les modalités pratiques de gestion des appels d’offre internationaux,
Cyril BOUYEURE, directeur de la stratégie, ADETEF, ministère de l’économie, des finances et de
l’industrie (France)
● Les enjeux des marchés publics au Canada,
Danielle COLLIN, chef d’approvisionnement, Bureau des PME Provinces de l’Atlantique
● Conditions sanitaires et règlementaires d’accès aux marchés ,
Guy DEBAUX, Responsable Intelligence Economique, COFACE, Direction des Ventes et du
Développement
15h30 Pause
15h45 Intelligence compétitive, innovation et propriété industrielle
● Le rôle stratégique de la protection de la propriété industrielle
Charlotte BEAUMATIN, Chargée de Mission, Institut national de la propriété industrielle, INPI (France)
16h30 Module 4 - Le tourisme durable
Enjeux et réponses des CCI françaises, Claire SOVIGNET, chef du service développement touristique, ACFCI
17h15 Conclusion générale des Rencontres
Référence du document 5
Programme : Vendredi 28 octobre 2011 Animateur : Philippe CLERC, directeur l’IE, Innovation, TIC -ACFCI
09h30 La coopération économique et culturelle entre St. Pierre et Miquelon et les Provinces
Atlantiques canadiennes
Réunion sur le projet de création d’un observatoire économique des territoires entre les Provinces
Atlantiques et Saint-Pierre & Miquelon
Déclaration finale des Rencontres en français et anglais
11h15 Conclusion générale des Rencontres
Référence du document 6
Les Premières Rencontres franco-canadiennes de l’intelligence compétitive au service de la croissance sont organisées par la Chambre
d’agriculture, de commerce, d’industrie, de métiers et de l’artisanat Saint-Pierre et Miquelon, l’Assemblée des chambres
françaises de commerce et d’industrie, la préfecture de « Saint-Pierre et Miquelon »,
l’Agence de promotion des provinces canadiennes atlantiques et la Commission
mixte de coopération régionale
Module 1 Intelligence compétitive et coopération
Définition de la démarche et ses applications pour
l’entreprise et les politiques publiques
L’intelligence compétitive au Canada, Monica
MALLOWAN, professeure, Université de Moncton
L’intelligence territoriale, Fabrice DUFRESNE, directeur d’IEDOM
L’Observatoire de l’Economie et des Territoires de
Touraine, Jean-Marc DEFRASNE, directeur
Module 1 Intelligence compétitive et coopération
Définition de la démarche et ses applications pour
l’entreprise et les politiques publiques
L’intelligence compétitive au Canada, Monica
MALLOWAN, professeure, Université de Moncton
L’intelligence territoriale, Fabrice DUFRESNE, directeur d’IEDOM
L’Observatoire de l’Economie et des Territoires de
Touraine, Jean-Marc DEFRASNE, directeur
Référence du document 9
Plan de la présentation
Contexte : environnement complexe
Problématique : information, compétitivité
Modèles à l’œuvre :
Intelligence sociale et économique
Gestion stratégique de l’information
État de la situation
Programmes de formation
Recherche – chercheurs, manifestations
Marché de l’emploi
Défis et perspectives
Référence du document 10
Réaction ou adaptation ou
proaction ou anticipation
Turbulences – Shift happens…
Intelligence
Référence du document 11
Contexte : environnement complexe
Shift happens… problématique académique et professionnelle
Mythes et confusions
Référence du document 12
Confluence de domaines - IES
Référence du document 13
Intelligence économique et stratégique (IES)
Intelligence économique et stratégique
Définition
Ressources, compétitivité, avenir
Nouvelle vision
L’intelligence sociale
Référence du document 14
SI - SIC
Sciences de l’information (SI)
Communication (C)
Gestion stratégique de
l’information (GSI)
Sciences de l’information et de
la communication (SIC)
Intelligence économique et
stratégique (IES)
Intelligence compétitive (IC)
Référence du document 15
Intelligence économique, stratégique, compétitive
Sources du modèle d’IES
Caractéristiques du système d’IES
Dialogue des modèles
GSI :
Formation
Recherche
Marché de l’emploi
Référence du document 16
Référence du document 17
Référence du document 18
Référence du document 19
Référence du document 20
Référence du document 21
Référence du document 22
Référence du document 23
Référence du document 24
Tout individu –knowledge
worker
Compétences essentielles
Crises et turbulences
Défis
Réflexion
Approche (in)directe
Niveau
Stratégies
Approches
Essentiel
Vision
Perspectives
Référence du document 25
MERCI
Module 1 Intelligence compétitive et coopération
Définition de la démarche et ses applications pour
l’entreprise et les politiques publiques
L’intelligence compétitive au Canada, Monica
MALLOWAN, professeure, Université de Moncton
L’intelligence territoriale, Fabrice DUFRESNE, directeur d’IEDOM
L’Observatoire de l’Economie et des Territoires de
Touraine, Jean-Marc DEFRASNE, directeur
Référence du document 27
Indicateurs macroéconomiques pour l’année 2010
Chômage 7,1% de la population
active
Exportations 5,0 millions d’euros
59% vers le Canada
Nombre d’entreprises 545 enregistrées à la
CACIMA
Importations 71,4 millions d’euros 53% en provenance
du Canada
PIB (2006) 161,1 millions d’euros
Tourisme 12 322 entrées
60% de Canadiens
Taux de couverture 5,4%
Actifs financiers 208,5 millions d’euros
Indice des prix 3,3% en moyenne
annuelle
Concours bancaires 151,4 millions d’euros
Référence du document 28
Eclairage sur le Produit Intérieur Brut
30 401
26 073
25 665
19 200
18 170
17 725
17 512
14 028
10 148
5 200
0 5 000 10 000 15 000 20 000 25 000 30 000 35 000
Mayotte (2005)
Wallis-et-Futuna (2005)
Guyane
Polynésie Française (2006)
Réunion
Guadeloupe
Martinique
Nouvelle-Calédonie
Saint-Pierre-et-Méquilon (2004)
France Métropolitanie
PIB par habitant – France / Outre-Mer en 2009 (en €)
Part des secteurs dans la valeur totale de Saint-Pierre-et-Miquelon (en %)
Source: INSEE, ISEE, ISPF, CEROM
1
2
3
3
5
6
10
11
14
45
0 10 20 30 40 50
Agriculture
Pêche et industrie de la pêche
Autres industries
Hôtels, restaurants et autres services aux particuliers
Activités financières
Transports, télécommunications et autres services aux…
Logement
Construction
Commerce
Services administrées et services aux particuliers non-
Référence du document 29
Indicateurs de vulnérabilité pour l’année 2010
Bénéficiaires du RMI 11,2% de la population
active
Personnes physiques en interdit bancaire
0,7% de la population active
Risque de contrepartie 7,4%
Personnes morales en interdit bancaire 1,2% des sociétés
Chômage 7,1% de la population
active
Surendettement Aucun dossier depuis
2007
Référence du document 30
L’intelligence économique territoriale :
savoir et comprendre pour agir
Des décideurs politiques et économiques des territoires confrontés à des paramètres toujours plus complexes
Dans un contexte de gestion des ressources budgétaires limitées
L’intelligence économique territoriale : être mieux armé et plus réactif face à cet environnement instable
Mettre à disposition des outils de connaissance, de surveillance et d’analyse du territoire
Pour dégager des stratégies de développement local
Pour améliorer l’attractivité humaine et entrepreneuriale
05/03/2012
Référence du document 31
L’IEDOM a un rôle dans le soutien du développement des
collectivités d’outre-mer et de la compétitivité des territoires
Etablissement public national créé en 1959
Gouvernance assurée par un Conseil de surveillance présidé par le
gouverneur de la Banque de France
Une agence dans chaque collectivité ultra-marine (5 DOM et SPM)
300 collaborateurs à l’IEDOM au service des collectivités d’outre-mer
L’Institut d’Emission d’Outre-Mer intervient dans les territoires du Pacifique
05/03/2012
Référence du document 32
Les missions de l’IEDOM
Des missions de banque centrale agissant pour le compte de la Banque
de France
Mise en circulation et entretien de la monnaie fiduciaire
Relais des autorités bancaires nationales et européennes
Des missions de service public exercées pour le compte de l’Etat
Mise en circulation des monnaies
Surendettement et information du public
Des services d’intérêt général rendus à la collectivité
Les observatoires économiques, financier et des entreprises…
Référence du document 33
L’observatoire économique
Les études et publications
Chaque agence produit des publications régulières :
Notes expresses (« tendances conjoncturelles », « portrait » et
« éclairage »)
Monographie annuelle par département ou collectivité
Le siège parisien publie :
Note expresse tendances conjoncture de l’outre-mer
Les notes de l’IEDOM
Rapport général de l’établissement
Référence du document 34
L’Observatoire économique de Saint-Pierre-et-Miquelon
Monographie Tendances
conjoncturelles Panorama de SPM L’habitat à SPM
Les principales publications de l’agence en version anglaise
Outlook for Saint-Pierre-et-Miquelon The economy of St-Pierre-et-Miquelon in 2010:
A significant improvement
Toutes les publications de l’agence sont disponibles sur le site de l’IEDOM : www.iedom.fr
Référence du document 35
L’Observatoire financier
Suivi de l’activité bancaire
Elaboration des statistiques monétaires et financières (dépôts et crédits)
Suivi des risques des agents économiques
Détermination des parts de marché des établissements de crédit
Etudes et publications
Bulletin trimestriel de conjoncture monétaire et financière
Observatoire des tarifs bancaires
Renforcer la transparence et mieux suivre les évolutions tarifaires
(publication semestrielle)
Référence du document 36
CEROM : Comptes Economiques Rapides de l’Outre-Mer
Partenariat depuis 2004 entre l’Agence Française de Développement (AFD),
l’Institut National de la Statistique et des Etudes Economiques (INSEE) et
l’IEDOM
Elaborations des comptes économiques rapides
Confection d’indicateurs synthétiques de conjoncture :
« tableaux de bord de l’économie »
Etudes et synthèses macroéconomiques :
« Evaluation du Produit Intérieur Brut 2004 de Saint-Pierre-et-Miquelon »
Nouveau site du partenariat CEROM en ligne :
www.cerom-outremer.fr
Référence du document 37
Mise en réseau des acteurs du territoire
L’IEDOM est l’un des acteurs de la promotion de l’intelligence stratégique
Territoriale
Présence de l’IEDOM auprès
Des décideurs publics : services de l’Etat et des collectivités locales
Des établissements de crédit
Des entreprises et des responsables des organismes professionnels
Des universités et des établissements d’enseignement supérieur…
Plan d’entreprise 2011-2015 de l’IEDOM
Consolider sa réputation de pôle d’expertise des économies ultramarines
Renforcer son offre pour mieux répondre aux attentes
Accroître la visibilité de ses travaux
Référence du document 38
MERCI
Module 1 Intelligence compétitive et coopération
Définition de la démarche et ses applications pour
l’entreprise et les politiques publiques
L’intelligence compétitive au Canada, Monica
MALLOWAN, professeure, Université de Moncton
L’intelligence territoriale, Fabrice DUFRESNE, directeur d’IEDOM
L’Observatoire de l’Economie et des Territoires de
Touraine, Jean-Marc DEFRASNE, directeur
Référence du document 40
Présentation de L’OE2T
La création de l’OE2T
L’OBSERVATOIRE DE
L’ÉCONOMIE ET DES TERRITOIRES
DE TOURAINE
Un observatoire territorial qui
fonctionne depuis 20 ans :
Un RESEAU FORMALISÉ
(Association loi de 1901)
regroupant une cinquantaine
d’organismes
départementaux, acteurs du
développement local et de
l’aménagement du territoire,
qui ont décidé, dès 1991, de
partager le même système
d’information territoriale.
Une « mutualisation » des
moyens et des sources
pour une approche
pluridisciplinaire du
territoire :
économie, social,
équipements et
infrastructures…
(environnement)
Objectif des acteurs locaux
Disposer en permanence d’un outil d’aide à la décision commun et
partagé
Référence du document 41
Présentation de L’OE2T
Les principes de fonctionnement
Partenariat
Principe fondateur de l’Observatoire Source directe d’enrichissement du système d’information
Cadre permanent de travail en réseau
Pertinence Rigueur et professionnalisme dans la collecte et la gestion des données
Pérennisation des données
Création et gestion d’un système d’information territoriale permanent et accessible
Objectivité et impartialité
Analyse et restitution des données hors préconisation – Consensus des acteurs sur l’état des lieux préparatoire aux débats et aux décisions
Référence du document 42
Présentation de L’OE2T
La composition
3 membres de droit
(les membres de droit assurent à parité 91% du budget de l’OE2T)
4 organismes adhérents
Les Pays d’Indre et Loire, utilisateurs de données territoriales
43 organismes partenaires techniques
Producteurs et utilisateurs de données territoriales
chacun alimente le système d’information dans son domaine de compétence et
dispose d’un accès à l’ensemble
Référence du document 43
L’équipe OE2T
La juste dimension
JEAN-MARC DEFRASNE, Directeur
Direction générale, administrative et financière
Etudes : conjoncture, économie, intelligence
économique et territoriale
NATHALIE GODART
Assistante de Direction LAURE HUGUENIN, Directrice Adjointe
Direction des études
Etudes : Social, emploi, formation et qualification
CÉCILE LEMAITRE
Secrétariat,
Enquête de
Conjoncture
CHRISTOPHE BORDIER
Observation
et études Tourisme
LOIC MALO
Administrateur de base de
données BASILE
LAURE BERTHELEMY
Etudes, Responsable du
fichier Etablissements d’I&L
CYRIL RABUSSEAU
Etudes, cartographie et
développement SIG
JEROME GODEFROY
Technicien
informatique
CLAIRE GILLE
Gestion et développement
de www.economie-
touraine.com
Référence du document 44
Les missions de L’OE2T
Les 4 grandes missions
Etudes et aide à la décision
Accompagnement des grands projets et schémas, diagnostics territoriaux, études d’impact, filières et secteurs, tableaux de bord, économie générale
Conjoncture Tableau de bord mensuel de conjoncture départementale
Information Service SVP, economie-touraine.com, Basile extranet, conférences, médias
Transfert de savoir-faire
Accompagnement méthodologique des partenaires, formations d’organismes porteurs de projet de système d’observation territoriale
Référence du document 45
Le positionnement de L’OE2T
Une contribution aux initiatives des acteurs du territoire
Connaissance du
territoire, des forces et
faiblesses, des savoir-
faire, veille sur les filières,
les projets (opportunités, risques de mutations)
Contributions
Analyse et diagnostics
préparatoires aux
décisions
Marketing territorial
Information sur le territoire
vers différents acteurs et
publics
Schémas de
développement,
prospective
Evaluation et suivi des
actions
Référence du document 46
Le positionnement de L’OE2T
Un maillon entre l’idée / projet et la prise de décision
Idée / Projet Etat des lieux Propositions,
préconisations
Discussion,
choix des actions
Mise en œuvre
Mise en œuvre
Référence du document 47
Les composantes de L’OE2T
Cliquez ici
Référence du document 48
Le Futur…proche
Référence du document 49
Le futur…proche
Référence du document 51
Observatoire de l’économie et des territoires de Touraine
www.economie-touraine.com
Module 2
Intelligence compétitive et ressources
humaines
Emplois et compétences à Saint-Pierre et Miquelon et
dans les Provinces atlantiques
La stratégie de Saint-Pierre et Miquelon, Sophie
BRIAND du Conseil territorial
Gestion stratégique des compétences et développement
économique
Retour d’expérience comparée, Sofiane SAADI, directeur société NT2s
La politique d’immigration canadienne, Joëlle DESY, agente du Programme des candidats de la Nouvelle
Ecosse - Gouvernement de la Nouvelle Ecosse
1
2
Module 2
Intelligence compétitive et ressources
humaines
Emplois et compétences à Saint-Pierre et Miquelon et
dans les Provinces atlantiques
La stratégie de Saint-Pierre et Miquelon, Sophie
BRIAND du Conseil territorial
Gestion stratégique des compétences et développement
économique
Retour d’expérience comparée, Sofiane SAADI, directeur société NT2s
La politique d’immigration canadienne, Joëlle DESY, agente du Programme des candidats de la Nouvelle
Ecosse - Gouvernement de la Nouvelle Ecosse
1
2
Référence du document 54
Etats des Lieux
Les années 90s ont conduit les acteurs à s’interroger sur la dynamique économique et sociale du territoire Des constats Une baisse démographique Un vieillissement de la population Une situation économique dégradée (absence de perspectives d’avenir)
Des enjeux Une reconversion économique nécessaire Une articulation entre revitalisation du territoire et valorisation des ressources humaines
Des défis Rendre le territoire plus attractif pour les entreprises et les personnes Favoriser le retour de nos jeunes formés Favoriser le développement de nouvelles activités Développer ou maintenir le niveau de compétitivité des secteurs traditionnels Elever le niveau de compétence des individus susceptibles de participer au développement
du territoire Inscrire l’Archipel dans son environnement régional
Une volonté partagée d’engager une réflexion
pour la construction d’un projet d’avenir pour l’archipel
Référence du document 55
Une vision stratégique :
un projet socio-économique pour SPM
Le Schéma de Développement Stratégique 2010-2030
5 axes
I. Une ouverture vers l’extérieur
II. Consolider et diversifier l’économie marchande
III. La Promotion et la valorisation des RH
IV. L’aménagement durable du Territoire
V. L’ ingénierie territoriale
Référence du document 56
La Formation Professionnelle comme
outil de reconversion du territoire et de ses habitants
Le SDS et la politique de formation : des projets interdépendants
Permettre une approche intégrée de l’économie, de l’Emploi et des
Compétences : des visions qui se recoupent et se conditionnent
mutuellement
Favoriser la participation des Saint-Pierrais et des Miquelonnais à la
richesse
et au développement du territoire
Référence du document 57
Vers une convergence des politiques territoriales
Emploi-Formation
La réforme de la formation professionnelle de 2009 : de nouvelles modalités
de concertation
Un document à valeur prescriptive, signé entre l’Etat,
le Service Académique et le Conseil Territorial
Une mobilisation de l’ensemble des acteurs du territoire
pour une co-construction du document
Référence du document 58
Le CPTDFP 2011-2014
4 axes
I. L’offre de service en information et en orientation
II. L’accompagnement des personnes, des entreprises en lien
avec le développement du territoire
III. Le développement des compétences et des qualifications
IV. Améliorer et harmoniser l’offre de formation (initiale et continue)
S’accorder autours d’objectifs communs pour faire évoluer le dispositif
de formation professionnelle et permettre à chacun d’obtenir les compétences
permettant de s’insérer au mieux au bénéfice de la société et de l’économie
locale
Référence du document 59
Se connaître pour mieux agir :
la GPEC comme outil d’anticipation
Gestion interne a l’entreprise (années 1990)
Accroitre la compétitivité des entreprises
Adapter les compétences des actifs aux évolutions techniques,
technologiques et organisationnelles
2 champs
L’accompagnement des entreprises dans une démarche de GPEC
(écarts entre besoins RH et ressources humaines)
La gestion et la sécurisation des parcours professionnels
Référence du document 60
La GPEC territoriale : un double apport
La connaissance de la main d’œuvre disponible sur l’archipel
L’Intégration des évolutions structurelles et conjoncturelles du territoire
Mise en place de système
Définir l’information utile
La constituer
La diffuser
La partager
Référence du document 61
Définir les modes d’action
Méthode
1. Réaliser un état des lieux
2. Identifier et analyser les problématiques RH sur l’archipel
3. Cibler les priorités
4. Mutualiser les réponses
5. Élaborer un plan d’actions partagé
6. Suivre et évaluer les actions
Référence du document 62
Ouverture vers l’extérieur
Objectifs
Échanges de bonnes pratiques
Retour d’expériences
Innovation : expérimentations sur des projets identifiés
Favoriser les échanges dans le cadre de la mobilité des personnes
Créer des ouvertures et des opportunités avec la formation professionnelle
Favoriser les échanges professionnels et l’acquisition de compétences
linguistiques
Une région métropolitaine identifiée : la Basse-Normandie
Référence du document 63
Quelques pistes de développement partenarial
Franco-Canadiens
En matière de formation professionnelle
Connaitre l’offre de formation réciproque et faciliter l’accès aux stagiaires
Favoriser les échanges professionnels et l’acquisition de compétences
linguistiques
Favoriser la continuité de parcours dans le cadre de la mobilité
géographique
Favoriser la reconnaissance mutuelle des certifications
…
Module 2
Intelligence compétitive et ressources
humaines
Emplois et compétences à Saint-Pierre et Miquelon et
dans les Provinces atlantiques
La stratégie de Saint-Pierre et Miquelon, Sophie
BRIAND du Conseil territorial
Gestion stratégique des compétences et développement
économique
Retour d’expérience comparée, Sofiane SAADI, directeur société NT2s
La politique d’immigration canadienne, Joëlle DESY, agente du Programme des candidats de la Nouvelle
Ecosse - Gouvernement de la Nouvelle Ecosse
1
2
Référence du document 65
Gestion stratégique des compétences et développement
économique
The Triple Helix Mechanism: The Triple Helix concept was developed years ago
by the Dutch research School. Today, with the globalization, the new clusters
policy and the Competitive Intelligence it becomes a strategic issue for all
countries
The Triple Helix : http://www.triplehelix.org.au/
Source: Dr Sofiane SAADI NT2S Consulting Inc. Vancouver – Canada
EU
Nation States
Governments Policy regulations, steering
mechanisms (financing etc.)
Development
Marketing
enterp.
Technology
enterprises
Research
institutes
Basic
research
Applied
research Universities Firms
Innovations
Knowledge
transfer
Notoriété, Crédibilité & Régulations
Opérationnels/ Dispositifs
Tendances/ talents
Référence du document 66
Gestion stratégique des compétences et développement
économique
Source: Dr Sofiane SAADI NT2S Consulting Inc. Vancouver – Canada
Benchmark:
The vision of the development through such a mechanism has been
illustrated by Pr. Elias Zerhouni, Director of the “National Institute of
Health”of the USA :
“The success of American scientific research depends on the
existing implicit partnership between academic research, the
Government and industry
The research institutions have the responsibility to develop the
scientific capital. The Government finances the best teams by a
transparent system of selection
Industry holds the critical role to develop robust products in
tended for the public. This strategy is the key of American
competitiveness and must be maintained ”
Référence du document 67
Gestion stratégique des compétences et développement
économique
Benchmark:
The vision MICHAEL PORTER / Harvard Business School: RSE et CSV
2011 : « l’entreprise doit s’engager dans la création de la « shared
value » (« la valeur partagée ») pour sortir le système de son cercle
vicieux et relancer la croissance »
Le savoir-faire de l’entreprise est une des solutions de la
problématique
Les reporting vérifiés valent mieux que les règles contraignantes
Réduire ses risques par une meilleure adéquation à
l’environnement global
Mesurer sa contribution sociétale à l’intérieur de la mesure
financière
Innover sur la chaîne de la conception à l’usage
en améliorant la satisfaction sociétale
Attirer au nom de l'adéquation sociétale
Source: Dr Sofiane SAADI NT2S Consulting Inc. Vancouver – Canada
Référence du document 68
Gestion stratégique des compétences et développement
économique
1984 - NT2S Consulting Inc. (Algérie , France et Canada) cexpertise.com - nt2s.net
2007- LOGE (Laboratoire en Organisation et Gestion des Entreprises, Agréé par l’état, Algérie) loge-dz.com - vie-veille.com
We are in the business of IT Management Security Software (ISMS), Asset Management, Computerized Maintenance Management Systems (CMMS), Knowledge Management (KM), Competitive Intelligence (CI). Indeed, we have a
clear vision of how organizations can manage critical and complex IT environments
We believe that Asset is about systems, processes and people and should work in synchronization, securely supporting an organization's objectives to meet their needs and to deliver the best solutions by solving complex problems
Our skills, expertise and whole knowledge of unparalleled range of software and decade of excellence simplify the Enterprise complexity problems. Our goal is to help organizations to manage Risk, Crises, Complex Projects, Costs, Quality and improve their services. This by align IT Investment with business needs
Référence du document 69
Gestion stratégique des compétences et développement
économique
Algérie (pays francophone) + carences dans les méthodes et organisation du travail - Processus ou en gestions des projets (organisation et connaissance - Knowledge) + manque des compétences (Skills) Exports des matières premières et des compétences (Canada, USA, Europe, Moyen Orient -Exp: EL-Djazira + Arabia (09 présentateurs sont des Algériens) France (la méthodologie, KM et IE ESIIE- Paris 2003 + Grande école des Mines- Paris 2003 (Internet, Java, traffic et Portail, etc) + la Sorbonne- Paris 2009 le droit des affaires - Normes et les réglementations, SKEMA Business School 2009, 2011 - Université Paris-13 en prévention des risques RH) – Partenaires: les outils – Iscope, Novaxel, Apisoft International; HSC, Bitdefender, etc Canada (Vancouver – UBC et SFU – Security ; Management des projets PMI , Market Analysis , les associations, les chambres de commerce et les ONG les 3P, Green economy (2020 la ville la plus vert au monde) + centre de transit et d’influence Asie – Amérique (l’interculturel + transfert des savoirs CSV + RSE) + technologies de rupture et des crises (poste avancé - les effets de la mondialisation et la globalisation en temps réel) réseautique, lobbying subtile, infonuagique (cloud computing) + les normes de certifications. Forums et séminaires (Canada, USA , Asie, etc…)
Référence du document 70
Gestion stratégique des compétences et développement
économique
1984 – 1992 (Hardware – Maintenance AMDEC) défaillances et dysfonctionnements – apporter les correctifs et les améliorations (
Diagnostic\+ Audit - Contrat de maintenance) + (Les Universités, les Ministères ( Ministère de l’habitat, Ministère de PME/PMI, Ministère des finances, etc. ) les préfectures et des
entreprises Publiques, ambassades (Suède) et entreprises étrangères (Américaines,
Canadiennes et Françaises)
1990 - 2001 (Software et Système d’information SI) Apisoft International GMAO – GPAO automatisation des processus d’entreprise – comptabilité analytique – le Patrimoine
d’entreprise – Actif critique (Asset management) – maitrise des coûts – Agrégation et la
performance des systèmes d’information) – Sécurité des systèmes d’information
(Ministère de la PME/PMI Bug 2000 – développement d’application et des data-
warehouse (DW) + CNAT – Bureau technique – Sonelgaz applications - logiciels «safety-security» + université de Blida (réseautique – serveur d’application, des données, etc),
d’Alger et de Boumerdes – préfecture de Médea (réseautique)
Référence du document 71
Gestion stratégique des compétences et développement
économique
2001 – 2007 (traitement et organisation de l’information) Management des connaissances, l’intelligence économique, veille (AFNOR) , Internet (portail d’entreprise); SIAD (GMAO – GPAO) – (forum avec le CNAT SIIE; ISO 9000; 14000; 18000; Sécurité des systèmes d’information: ISO 27500; ISO 27001, IEMA-1, IEMA-2, IEMA-3 Partenariat (ESIIE - 2003 Mastère, UFC - PGSIE2007, Ministère PME/MPI, Ministère de la recherche scientifiques; Gouvernement 2006 – l’IE) Mastère PGSIE 2007 - 2011 – Algérie (UFC et ESIEE + l’ambassade de France – Transferts des compétences – intégration des solutions métiers - Formations-Actions) 2007 – 2012 (le management des connaissances - l’intelligence des ressources humaines) IEMA-4 et IEMA-5 = Capitalisation et de synthèse sur les pratiques IE, KM) + (SMRH-1 (Risques RH) + SMRH-2 (Intelligence des RH)) = le management et la prévention des risques RH. Sécurité SI MPTIC 2012 Partenariat: (CISMA/UFC 2011 – Alger , SIIE11 & SIIE12 (Tunisie et Maroc) ; ISKO-Maghreb, MIPI (2010 et 2011) Forum sur la sécurité avec la l’union Européen 2010. UFC-2008 (colloque IE et Gouvernance) ; SKEMA Business School - Management des projets complexes (ALGEX, SH, OTA, AT, etc) Certifications - le KM, MC et IE) + assistance avec le MIPI dans la mise en place des dispositifs de veille, IE, KM, GED, PG. LOGE intègre la recherche avec le CREAD sur le KM et la Veille Stratégique
Référence du document 72
Gestion stratégique des compétences et développement
économique
Analyse et expression des besoins (Diagnostic d’organisation + CDC - 2012 + SWOT, Ishikawa, Brainstorming AMDEC, RACI (RSE et CSV), etc)
Management par projet (Management des Projets Complexes - 2012 dans un environnement changeant à grande vitesse - BC; DR et GI - Gestion des risques et Management par l’IE et par les compétences – PMI – PMP certification)
Management des actifs critiques (Immatériel) et communication en gestion des crises GED 2012 (Novaxel – Banque & Assurance) ,
Codification (GMAO - 2012 + GPAO – Apisoft international; Actif critique (AMDE)); Veille (AFNOR); ISCOPE + Essential Summerizer (le traitement de l’information et des sources) + SIAD- SIIE (i-MARIFA - 2012) – Business Continuity (BC); DR, GI
IRH et management par des compétences (Plan de formation, GPEC, RSE – CSV) ISO 26000, Auto-évaluation, transfert et transmission des savoirs – IRH – Prévention des risques de la fonction RH)
Sécurité des systèmes d’information (Cloud Computing – les normes ISO 27001 + ISO 27005 - 2012 + ISO 31000 Bitdefender 2012 - MPTIC - partenaire HSC) Partenariat LOGE et CREAD projet de recherche 2012 – 2015 (KM - PNR)
Référence du document 73
Gestion stratégique des compétences et développement
économique
« L’information est ce qui modifie notre vision morale, qui réduit notre incertitude » Rober REIX, Système d’information et management des organisations,
Vuibert, Paris, 2000, 3ème édition
Référence du document 74
Gestion stratégique des compétences et développement
économique
La prise de décision peut être définie comme
« …un processus cognitif complexe visant à la sélection d’un type
d’action parmi différentes alternatives» M. KALIKA!
Référence du document 75
Gestion stratégique des compétences et développement
économique
Source: Dr Sofiane SAADI NT2S Consulting Inc. Vancouver – Canadac, Illustration by Bob Gill
Référence du document 76
Gestion stratégique des compétences et développement
économique
De l’intelligence sociale à l’intelligence économique
Stevan Dedijer (Social Intelligence 1972) définit l’intelligence
à la fois comme « l’habilité de l’individu ou de l’organisation
à interpréter efficacement l’environnement pour s’y adapter,
à la fois comme processus de collecte, de stockage, d’analyse,
d’évaluation et de diffusion d’information pour les décisions et les
stratégies » - Conduite de changement. (l’expert compétent)
Dans le monde entier, les techniques de production se ressemblent de
plus en plus. C'est désormais l'art de dénicher et exploiter de bonnes
informations avant les autres qui creuse la différence entre deux
concurrents. Cette pratique de la « veille concurrentielle » est en plein
boom!
«Si j’avais huit heures pour abattre un arbre , j’en passerais six
à affûter ma hache» - Abraham Lincoln
Référence du document 77
Gestion stratégique des compétences et développement
économique
Une définition orientée « connaissance »
“L’intelligence économique est l’ensemble des moyens qui, organisés en système
de management de la connaissance, produit de l’information utile à la prise de
décision dans une perspective de performance et de création de valeur pour
toutes les parties prenantes”, (AFDIE, 2001). (Management des projets - Résultats)
«La préparation d’une décision est un pari dont seule l’information
apparaît apte à réduire le risque.» D’après Allain Dupré P. et Duhard N.
«Performance management is about creating relationships and ensuring
effective communication. It’s about focusing on what organizations, managers,
and employees need to succeed.» - Robert BACAL
Référence du document 78
Gestion stratégique des compétences et développement
économique
Commissariat général au Plan en 1994 (Définition du rapport Martre)
L’Intelligence économique peut-être définie comme l’ensemble des actions
coordonnées de recherche, de traitement et de distribution en vue de son
exploitation, de l’information utile aux acteurs économiques.
Ces diverses actions sont menées légalement avec toutes les garanties de
protection nécessaires à la préservation du patrimoine de l’entreprise, dans les
meilleures conditions de qualité, de délais et de coût - (Mangement de Projet
complexes)
Formation-action intra entreprise « les méthodes de planification, de contrôle et suivi
des projets complexes » 18 au 20 octobre 2011 – Alger hôtel Mercure – NT2S
«De tout ce que j’ai fait, le plus important a été de coordonner les talents
de nos salariés et à les orienter vers le but» Walt Disney
«Les faits ne cessent pas d’exister parce qu’on les ignore» Aldous Huxley
Référence du document 79
Gestion stratégique des compétences et développement
économique
What is competitive intelligence in North America?
At a simplistic level, competitive intelligence (CI) can be defined as information that
makes the firm more competitive
One of the better definitions comes from the Business Intelligence Institute in the
United States: "Competitive/Business intelligence is the total knowledge a company possesses about the environment in which it competes. It is synthesized from the vast
amount of bits and pieces of external information bombarding the firm every day. It
paints a whole picture of the present and future competitive arena of management
decisions." (Gilad, 2000)
The fuller definition is:
Competitive intelligence is the art and science of preparing companies for the
future by way of a systematic knowledge management process. It is creating
knowledge from openly available information by use of a systematic process
involving planning, collection, analysis, communication, and management which
results in decision-maker action." (Calof and Skinner 1999)
Référence du document 80
Gestion stratégique des compétences et développement
économique
L’IE envisagée comme une méthodologie de résolution de problèmes : Décider dans un contexte d’IE revient donc à choisir la solution qui paraît la plus adaptée à un problème décisionnel et à un moment donné parmi plusieurs alternatives disponibles. Pour cela, il est nécessaire que l’entreprise puisse disposer d’informations et d’outils, c’est-à-dire d’un ensemble de moyens pour juger, interpréter et évaluer la situation
2011- L’intelligence économique, un modèle à découvrir ? Pr. Monica Mallowan - Canada
2004 - L’intelligence économique au Canada (Québec) Philippe Clerc, Président de l’AFDIE- ACFCI – France
2008 - Les nouveaux Territoires de l’intelligence économique «l’école française et le Mixte stratégique entre l’intelligence sociale de l’école Suédoise et l’intelligence concurrentielle portée par le monde anglo-saxon» Philippe Clerc
Référence du document 81
Gestion stratégique des compétences et développement
économique
Les concepts du nouveau management par CSV
Le principe de « la création de valeur partagée » consiste à conjuguer création de valeur économique et création de valeur pour la Société en répondant à ses besoins et à ses défis.
Porter pose le fait que les besoins sociaux structurent les marchés et que les défis non résolus entraînent des coûts internes élevés pour les firmes.
S'attaquer à ces questions en innovant peut procurer à l'entreprise un champ de développement non encore exploré.
Attention, il ne s'agit pas de «partager la valeur» - comme au temps de la redistribution – Il s'agit de collaborer pour créer plus de valeur globale : pas de création de valeur partagée sans collaboration et mutualisation constructive entre les parties. Porter met en avant l'exemple du commerce équitable qui renchérit les coûts alors qu'il faudrait entraîner les producteurs vers des modes innovants qui génèrent des résultats « partageables » pour tous.
Référence du document 82
Gestion stratégique des compétences et développement
économique
Ce que voit le client Ce que doit mettre en oeuvre le préstataire
A1 – définition/ redéfinition des
axes de surveillance et des finalités
A2 – détermination des types d’information utiles
A3 – identification des types d’information utiles
A4 – Collecte et sélection
des sources d’information
A5 – Analyse et organisation
A6 – Synthèse et mise en perspective
A7 – communication des résultats de la surveillace
A8 – Validation et réajustement
Formulation de la demande
Cahier des charges
Preuves de compétence
Produit à valeur ajoutée
adaptée
Maitrise
des outils
Outils
d’accès
Outils de
traitement
Outils de
communication
Capacité de
sélection et de
synthèse
Connaissance
des sources
Compétence
du personnel
Compréhension de la
demande et du contexte
La norme expérimentale XP 50-053 AFNOR de la veille
Schéma A « Processus de la veille »
Référence du document 83
Gestion stratégique des compétences et développement
économique
L’IE est avant tout un système (de production de connaissance) de curiosité,
de partage et d’échange fondé sur l’innovation, l’imagination et la créativité
et qui fonctionne dans un cycle permanent de questions et de réponses entre
les collaborateurs d’une organisation (JC. Possin 2006)
Maitrise
Reseaux
Memoire Analyse
Besoins
Ignorance
Questions
Réponses
1
recueil
de
l’information
2
traitement
de
l’information
3
Découverte,
formulation de
nouveaux
besoins
d’information
4
Diffusion
ciblée de
l’information
Référence du document 84
Gestion stratégique des compétences et développement
économique
Le but du système d’intelligence
économique dans une entreprise
est de produire des informations
pertinentes ( connaissances ) pour
les décideurs.
C’est sa fonction première.
L’IE est là pour apporter des réponses
aux interrogations que se posent les
responsables et les collaborateurs
Les 7 éléments fondamentaux
(JC-Possin 2006): le projet, la maîtrise, la mémoire, l’analyse, les réseaux ,
l’influence et la protection.
« Le savant n’est pas l’homme qui fournit
les vrais réponses; C’est celui qui pose
les vraies questions » Claude Lévi-Strauss
Référence du document 85
Gestion stratégique des compétences et développement
économique
Breakdown &b Crises
«On définit la crise comme un processus qui, sous l’effet d’un événement
déclencheur ( catalyseur ), met en éveil une série de
dysfonctionnements » Roux Dufort C., « La Gestion de Crise», Bruxelles, De
Boeck Université, 1999.)
Pour simplifier
«La crise est un événement inattendu mettant en péril la réputation et le
fonctionnement d’une organisation ou d’un projet.
Elle touche aux valeurs, à la crédibilité et à l’image des projets et des
actions dans les organisations. Libaert T., «La Communication de Crise»,
Paris, Dunod , 2001) Dunod»
«L’ignorance est comme le vent qui va souffler sur le feu»
Jean-Michel Hieaux
Référence du document 86
Gestion stratégique des compétences et développement
économique
Outil d’aide pour choisir la
stratégie appropriée en fonction
des objectifs et du but
Risques Connus
Risques Prévisibles
Risques Non Prévisibles
Haut
Faible
Coût
prévisible
du risque
Préventive
Directe
Indirecte
Préventive
Directe
Indirecte
Préventive
Directe
Indirecte
"L'intelligence c'est
d'apprendre de ses erreurs,
la sagesse c'est d'apprendre
de celles des autres..."
Référence du document 87
Gestion stratégique des compétences et développement
économique
ISO 27005 Gestion des Risques
Evaluation des Risques
Analyse des Risques
Traitement des Risques
Acceptation des Risques
Evaluation des Risques
Estimation des Risques
Identification des Risques
Co
mm
un
iqu
er
sur
les
Ris
qu
es
Su
rve
illa
nc
e e
t re
vu
e d
es
Ris
qu
es
Etablir le contexte
Evaluation
Accepter les Risques
Oui
Non
Non
Oui
Référence du document 88
Process
Gestion stratégique des compétences et développement
économique
Integration Management Knowledge Area : Based on PMBOK. For PMP Certification Exam preparation
One of the major & important roles performed by Project Manager is to integrate different pieces developed by the teams of the Project. This task will become more critical when the size
of the project is getting bigger and bigger. PMBOK helps us by defining lists of key activities those needs to be performed in this area: Following table lists all 7 Processes in this Knowledge Area, spread across '5 Process Groups' (means life cycle of the project) :
5 Process/
Groups Initiation Planning Executing
Monitoring and
Controlling Closing
Processes 1. Develop Project
Charter
2. Develop Preliminary
Project Scope
statement
3. Develop Project
Management
Plan
4. Direct and
Manage Project
execution
5. Monitor and
control Project
work
6. Integrated
change control
7. Close Project
Input Output Tools
Référence du document 89
Gestion stratégique des compétences et développement
économique
Closing
Executing
Planning
Initiating
Controling
Project risk mgmt • Risk
planning
Project scope mgmt • Initiation
Project cost mgmt • Cost control
Project Time mgmt • Sched control
Project Integation mgmt • Project plan execution Project Quality mgmt • Quality Assurance Project HR mgmt • Team development Project Communication mgmt
• Information Distribution
Project Comm mgmt • Admin Closure
Level
of Activity
Phase start Time Phase end
Référence du document 90
Gestion stratégique des compétences et développement
économique
Aujourd’hui la performance d’une entreprise n’est plus appréciée uniquement
au travers de ratios économiques et financiers. Force est de constater que
l’efficacité de la gestion des Ressources Humaines et la stratégie managériale
par l’IE qui l’initie sont également soulignées. Elles permettent à l’organisation
de mobiliser ses compétences afin d’acquérir et maintenir une place
concurrentielle au sein d’un secteur d’activité déterminé ( SMRH-1 2009 –
Alger )
Le risque de perte et de dégradation des compétences existe à partir du
moment où une entreprise s’inscrit dans un marché concurrentiel et doit
maintenir ses compétences distinctives afin de rester unique et inimitable
(Dentz et Bailli, 2005 - M. Van de Portal 2010 )
Référence du document 91
Gestion stratégique des compétences et développement
économique
On atteint la réussite quand on arrive à mettre en adéquation le potentiel des
collaborateurs et les résultats d’une entreprise. C’est dans ce contexte que les
RH ont été déplacées du champ instrumental et routinier opérationnel au
champ stratégique et tactique au même titre que l’IE
Les compétences et les savoirs faire-faire ( la gouvernance ) deviennent des
ressources intangibles faisant parties de la mémoire globale que l’entreprise
va solliciter pour être plus performante et optimiser ainsi ses méthodes de
management par l’IE d’une façon durable
Référence du document 92
Gestion stratégique des compétences et développement
économique
Dans le contexte de la mondialisation, la fonction RH a évolué à partir des
années 90, pour s’intéresser non pas uniquement à une gestion orientée vers
l’acquisition de nouveaux savoirs mais au management basé sur la
mobilisation et l’articulation des ressources internes intangibles
Nous pensons que le facteur qui stimule les comportements de créativité ou
encore les compétences d’innovation est la formation qui à travers la
transmission et l’actualisation des savoirs est une fonction qui joue un rôle
fondamental dans la mesure où elle rend compte :
D’une part de la culture organisationnelle
D’autre part de l’importance accordée aux ressources humaines à travers
l’actualisation des connaissances et la valorisation du capital humain en
tant que actif d’entreprise durable
Référence du document 93
Gestion stratégique des compétences et développement
économique
L’entreprise a pour objet d’orienter, de mutualiser et de coordonner les savoirs partiels de chacun enrichis régulièrement par l’actualisation et le transfert des compétences ( formation…intelligence collective ) de façon à créer un savoir-faire et un savoir-être général collectif et distinctif, soulignant les différences avec les concurrents
La compétence est la capacité à mettre en œuvre des connaissances, savoir-faire et comportements en situation d’exécution (norme FD X50-183, paragraphe 3.8 AFNOR)
Une autre approche, bien admise dans les organisations parce qu’inscrite dans une perspective dynamique, est celle de Le Boterf (G. Le Boterf, 2000) qui y voit « une construction, le résultat d’une combinaison pertinente entre plusieurs ressources (le savoir-agir), la motivation de l’individu (le vouloir-agir) et un contexte favorisant la confiance, la prise de responsabilités et de risques (le pouvoir-agir). »
Référence du document 94
Gestion stratégique des compétences et développement
économique
Il est évident que toute entreprise a un capital connaissance, mais le
problème est de savoir comment ce capital est dynamisé d’une manière
optimale durablement, ce qui nous ramène à l’examen des conditions de son
exploitation tant du point de vue technique que du point de vue de la
ressource humaine
L’auto-évaluation et la GPEC permettent l’identification des risques générés
par l’incompétence (dégradation et stagnation des compétences)
Directement inscrit dans le schéma d’une démarche qualité ISO9000, le
dispositif d’auto-évaluation permet à l’entreprise de questionner de manière
transversale son activité ( cartographie des compétences )
Référence du document 95
Gestion stratégique des compétences et développement
économique
Gérer l’IE par les compétences permet ainsi d’anticiper, d’interpréter les
événements et d’adapter les ressources humaines disponibles aux besoins à
court et à moyen terme
Comme l’indique Chaminade (2005), l’auto évaluation permet à la direction
d’obtenir une vue d’ensemble de l’organisation, et au personnel de disposer
d’un tableau de bord détaillé des actions à mener pour l’aider à définir sa
contribution aux objectifs
Les dispositifs d’auto-évaluation et la GPEC doivent s’inscrire comme des
atouts majeurs dans le positionnement managérial par l’IE puisqu’il concourt
directement au maintien de l’activité, à la détection des dysfonctionnements,
des tensions et à l’optimisation du savoir-faire concurrentiel indispensable pour
la bonne gouvernance
Référence du document 96
Gestion stratégique des compétences et développement
économique
Des actions importantes, des évaluations, des mesures des carences et des
écarts sont réalisées annuellement mais uniquement par rapport aux
compétences individuelles, rien n’est entrepris afin de développer les
compétences collectives entre les collaborateurs. Ou encore apprendre à
travailler en réseau : le réseautage ( Networking )
Deux grands problèmes se dégagent :
Celui de la formation qui doit prendre en charge l’apprentissage et la
transmission des savoirs dans le domaine du travail collaboratif et le
réseautage
Celui du management par les connaissances en tant que système
favorisant la performance de l’entreprise au XXIème siècle à l’air de
l’entreprise étendue et du Cloud Computing
Référence du document 97
Gestion stratégique des compétences et développement
économique
Ainsi, pour interpréter les pratiques actuelles il faudrait, en plus du facteur
économique qui considère la RH comme un capital humain faire référence au
facteur sociologique ( CSV ) qui prend en considération le capital social ;
autrement dit s’intéresser aux caractéristiques du milieu social en tant
qu’espace de socialisation qui a une influence indirecte sur le comportement
managérial
Nous rejoignons aussi Grimand (1996), dans le constat que pour accéder au
statut de compétence, les connaissances auront dues être préalablement
activées, transférées à la situation de travail et confrontées à sa singularité
d’où l’importance du management par l’IE ( M. V. de Portal 2010 )
Référence du document 98
Gestion stratégique des compétences et développement
économique
Des questions……Qu’avons--nous appris ? Ne faut-il pas, maintenant,
que nos bottines suivent nos babines …F.B.Hassel
Albert Camus, « l’avenir consiste à tout donner au présent »
Module 2
Intelligence compétitive et ressources
humaines
Emplois et compétences à Saint-Pierre et Miquelon et
dans les Provinces atlantiques
La stratégie de Saint-Pierre et Miquelon, Sophie
BRIAND du Conseil territorial
Gestion stratégique des compétences et développement
économique
Retour d’expérience comparée, Sofiane SAADI, directeur société NT2s
La politique d’immigration canadienne, Joëlle DESY, agente du Programme des candidats de la Nouvelle
Ecosse - Gouvernement de la Nouvelle Ecosse
1
2
Référence du document 100
Aperçu
Le système d’immigration canadien
Les programmes des candidats des provinces
Le marché du travail
Les secteurs en demande
Embaucher des travailleurs étrangers
Référence du document 101
Les voies de l’immigration
Résident permanent
Résident temporaire
Ressortissant étranger
Citoyen canadien
● Regroupement familial
● Réfugié
● Économique
● Candidats des provinces
● Visiteur
● Travailleur étranger
● Étudiant étranger
Référence du document 102
Résidents permanents en Atlantiques - 2010
Canada : 280 681
Ile-du-Prince-Edouard : 2 581
Nouvelle-Écosse : 2 408
Nouveau-Brunswick : 2 125
Terre-Neuve : 714
Référence du document 103
Programme des candidats des provinces
Outil de recrutement pour les travailleurs qualifiés
Sélection de la province
Désignation d’individus qui vont contribuer au marché du travail et à
l’économie de la province
Référence du document 104
Programme de candidats des provinces - Étapes
Deux étapes
Demande au gouvernement provincial
Répondre aux critères d’éligibilité
Demande au gouvernement fédéral
Répondre aux critères d’admissibilité
Traitement prioritaire
1
2
Gouvernement fédéral – décision finale
Référence du document 105
Marché du travail
Varie d’une province à l’autre
Stable ou croissance lente
D’autres secteurs en pleine croissance
Gains positifs en matière de création d’emplois (souvent temps partiel)
Taux relativement élevé de chômage -9 à 13%
Référence du document 106
Secteurs en demande
Santé (4 provinces)
Technologies de l’information (4 provinces)
Restauration / Hôtellerie (TNL, NB)
Aérospatial et défense (IPE, NÉ)
Construction navale (NÉ)
Machinerie et métallurgie (NÉ)
Référence du document 107
Secteurs en demande
Mines (TNL)
Huile et gaz (TNL)
Biosciences (IPE)
Énergie (NÉ, IPE, TNL)
Référence du document 108
Embaucher un travailleur étranger
Employeur contacte Service Canada/HRDC
SC détermine si besoin d’avis relatif au marché du travail
Émet avis relatif au marché du travail
Travailleur fait une demande de permis de travail temporaire à Citoyenneté et Immigration Canada
Référence du document 109
Contact
Terre-Neuve et Labrador
(709) 729-5847 www.nlimmigration.ca
Ile-du-Prince-Edouard
(902) 620-3628 www.gov.pe.ca/immigration
Nouveau-Brunswick
(506) 457-7640 www.gnb.ca/immigration
Nouvelle-Écosse
(902) 424-5230 www.immigrationnouvelleecosse.ca
Module 3
Intelligence compétitive et échanges
commerciaux
Appels d’offres internationaux et connaissance des règlementations liées aux marchés publics Les modalités pratiques de gestion des appels d’offre
internationaux, Cyril BOUYEURE, directeur de la stratégie, ADETEF, ministère de l’économie, des finances et de l’industrie (France)
Les enjeux des marchés publics au Canada, Danielle COLLIN, chef d’approvisionnement, Bureau des PME, Provinces de l’Atlantique
Conditions sanitaires et règlementaires d’accès aux marchés, Guy DEBAUX, Responsable Intelligence Economique, COFACE, Direction des Ventes et du Développement.
Intelligence compétitive, innovation et propriété industrielle Le rôle stratégique de la protection de la propriété
industrielle, Charlotte BEAUMATIN, Chargée de Mission, Institut national de la propriété industrielle, INPI (France)
1
2
Module 3
Intelligence compétitive et échanges
commerciaux
Appels d’offres internationaux et connaissance des règlementations liées aux marchés publics Les modalités pratiques de gestion des appels d’offre
internationaux, Cyril BOUYEURE, directeur de la stratégie, ADETEF, ministère de l’économie, des finances et de l’industrie (France)
Les enjeux des marchés publics au Canada, Danielle COLLIN, chef d’approvisionnement, Bureau des PME, Provinces de l’Atlantique
Conditions sanitaires et règlementaires d’accès aux marchés, Guy DEBAUX, Responsable Intelligence Economique, COFACE, Direction des Ventes et du Développement.
Intelligence compétitive, innovation et propriété industrielle Le rôle stratégique de la protection de la propriété
industrielle, Charlotte BEAUMATIN, Chargée de Mission, Institut national de la propriété industrielle, INPI (France)
1
2
Référence du document 112
Les marchés des bailleurs internationaux
Introduction
Les grands bailleurs internationaux
Les points communs
Les points difficiles
Les clés du succès
Où trouver les offres de marchés publics ?
Conclusion
Référence du document 113
Introduction
Un marché en forte progression ces 5 dernières années
Un exemple : le PNUD
0.3 0.45 0.40.7 0.8
0.60.75
0.6
0.50.4 0.5
0.6
1.61.8
2.2
2.0
0
0.5
1
1.5
2
2.5
3
3.5
2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009
Goods Services
Source : PNUD
Référence du document 114
Introduction
Biens et services
Travaux
Conseil / Assistance
technique
Les types de marchés Marchés financés par la BM
0
1 000
2 000
3 000
4 000
5 000
6 000
7 000
8 000
9 000
2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011
Civil works Goods Consultant services
Milliards USD
Source : Banque Mondiale
Référence du document 115
Les grands bailleurs internationaux (1/2)
Les organisations internationales
Les banques de développement Les autres organisations internationales
Banque Mondiale
Banque régionales : BAfD, BAsD, IADB,
BERD, BEI, CDB, etc.
Groupe des Nations Unies : UNOPS1,
UNICEF, CNUCED, PNUD, HCR, PAM,
FAO, etc.
Organisations régionales
Organisations des Etats Américains
Commission européenne
(EuropeAid), FED
1. Bureau des Nations unies pour les services d'appui aux projets (UNOPS pour United Nations Office for Project Services)
Financement par prêt ou par don Le principe : la banque finance, le pays
bénéficiaire du financement est l’adjudicateur
Financement par prêt ou par don Le principe : l’organisation internationale est
l’adjudicateur
Référence du document 116
Les grands bailleurs internationaux (2/2)
Les organisations internationales privées
Fondations, organisations, philanthropiques : Bill and Melinda Gates Foundation, Rockefeller
Foundation, Ford Foundation, etc.
Les Etats et groupements d’Etats
USAID (Etats-Unis)
GIZ (Allemagne)
AFD (France)
ACDI (Canada)
DFID (Royaume-Uni)
etc.
Les bailleurs bilatéraux Les autres organisations internationales
Fonds d'assurance des risques pour les
catastrophes dans les Caraïbes (CCRIF) :
Japon, Canada, UE, France, Royaume-
Uni, Irlande, BM, CDB
Fonds de Reconstruction de Haïti (FRH) :
Brésil; Etats-Unis, Canada, Japon,
Norvège et Espagne
Référence du document 117
Les points communs (1/6)
Publicité
En amont :
BM
− Documents pays : PRSP, CAS
− Pipeline : MOS, PID, PAD
UE : CSP, Forecast
BAfD : QOS
Publication de l’appel d’offres
BM : GPN
UE : TED
Les réponses aux demandes de clarification sont publiques
Référence du document 118
Les points communs (2/6)
Formalisme : les différentes phases d’un appel d’offres
Eligibilité
Etre référencé
Les critères de participation :
− Capacité économique et financière du candidat
o Chiffre d’affaires annuel moyen minimum
o Santé financière
− Capacité professionnelle du candidat (ex : effectif intervenant dans un ou plusieurs domaines en rapport avec le marché)
− Capacité technique du candidat (ex : avoir assumé au cours des 36 mois précédant la
date de réception des candidatures, le rôle de contractant principal dans le cadre de 2 autres projets au moins)
− Relations commerciales autorisées entre les pays de l’emprunteur et du soumissionnaire
Les autres critères : Etre connu et reconnu
Notoriété
Références : géographiques, sectorielles
Mixité géographique et préférence nationale
Référence du document 119
Les points communs (3/6)
Présélection (de règle générale pour les marchés de consultants)
La liste restreinte
La demande de propositions :
Une lettre d’invitation
Les instructions aux consultants et les données particulières
Les termes de référence
Le type de contrat envisagé
Sélection
Pour les marchés de fournitures, travaux et services
Réception et ouverture des plis
Evaluation et comparaison des offres
Examen de la conformité des offres
Evaluation et comparaison du coût de chaque offre
Attribution du marché
Référence du document 120
Les points communs (4/6)
Sélection
Pour les marchés de consultants
Réception et ouverture des propositions
Evaluation et comparaison des offres
− La méthode SFQC
o Evaluation de la qualité : l’offre technique
o Evaluation des coûts : l’offre financière
o Evaluation technique et financière combinées : attribution d’un score
(pondération 80/70% et 20/30%)
− Les autres méthodes : SFQ, SCBD, SMC, etc.
Négociations et attribution du marché
Référence du document 121
Les points communs (5/6)
Calendrier incertain
Date de publication : procédure longue entre l’identification et le
lancement du projet
Durée de la procédure d’attribution
Annulation toujours possible
Donneur
d’ordres
Veille
Solution
technique
Analyse de
l’offre
Décision « Go,
no Go »
Envoi de
la réponse
Validation
interne
Proposition
commerciale
Référence du document 122
Les points communs (6/6)
Relation inégale entre le bailleur et les soumissionnaires
Difficultés d’avoir des informations
Difficultés de connaître le calendrier
Difficulté de faire appel
Référence du document 123
Les points difficiles (1/2)
Absence d’harmonisation des procédures entre les bailleurs : budget connu
ou non ; rémunération des experts plafonnée ou non, etc.
Absence de coordination entre les bailleurs : chevauchement des projets sur
les mêmes thèmes et les mêmes zones géographiques.
L’offre financière : comment évaluer les risques ?
Les garanties :
Garantie de soumission
Garantie de bonne exécution
Garantie de restitution d’acompte
Référence du document 124
Les points difficiles (2/2)
Le calcul du prix
Fournitures
Main d’œuvre / expertise
Frais de gestion (consortium, équipe…)
Coût financier (trésorerie, financement, risques)
Risque de change
Calculer la rentabilité en fonction des conditions
de paiement et des risques divers
Référence du document 125
Les clés du succès
Définir sa stratégie commerciale : les priorités thématiques et géographiques
La stratégie SWOT
Organiser la veille : sous-traiter, partager, anticiper
Veille à chaque étape du projet sur :
Le pays
Les bailleurs
Le secteur
La concurrence
Avoir et maintenir des contacts en amont avec le bénéficiaire
Les contacts sont toujours possibles tant que l’avis de marché n’est pas
publié
Référence du document 126
Où trouver les offres de marchés publics ?
Les sites gratuits Les sites payants
http://ted.europa.eu
https://webgate.ec.europa.eu/europaid/
online-
services/index.cfm?do=public.welcome
http://simap.europa.eu/index
http://procurement-notices.undp.org
https://www.devbusiness.com/login.asp
www.Assortis.com
www.cwctenders.com (construction)
www.dgmarket.com/eproc
Référence du document 127
Conclusion
Un processus qui peut durer de deux à trois ans avant même
que le marché ne commence à être exécuté
Un engagement qui dure plusieurs années après que les
prestations ont été exécutées
Module 3
Intelligence compétitive et échanges
commerciaux
Appels d’offres internationaux et connaissance des règlementations liées aux marchés publics Les modalités pratiques de gestion des appels d’offre
internationaux, Cyril BOUYEURE, directeur de la stratégie, ADETEF, ministère de l’économie, des finances et de l’industrie (France)
Les enjeux des marchés publics au Canada, Danielle COLLIN, chef d’approvisionnement, Bureau des PME, Provinces de l’Atlantique
Conditions sanitaires et règlementaires d’accès aux marchés, Guy DEBAUX, Responsable Intelligence Economique, COFACE, Direction des Ventes et du Développement.
Intelligence compétitive, innovation et propriété industrielle Le rôle stratégique de la protection de la propriété
industrielle, Charlotte BEAUMATIN, Chargée de Mission, Institut national de la propriété industrielle, INPI (France)
1
2
Référence du document 129
Approvisionnements du gouvernement fédéral
Le gouvernement du Canada achète…
Approvisionnement annuel +/-20 milliards
Au Canada Atlantique, en moyenne, l’approvisionnement structuré
de TPSGC s’élève à à plus de 1 milliard de dollars
Des milliers de produits et de services différents
Référence du document 130
Travaux publics et Services gouvernementaux Canada
(TPSGC)
Le plus important acheteur
de biens et de services au Canada
Responsable de plus de 80 %
de la valeur totale des contrats
attribués par le gouvernement
du Canada
Gère les achats de plus d’une
centaine de ministères et organismes
Référence du document 131
Comprendre le processus
BPME offre les séminaires
Le guide est disponible en ligne
La vidéo est disponible en ligne
Contacter les acheteurs
Tout est disponible au www.achatsetventes.gc.ca
Référence du document 132
Processus d’approvisionnement
Besoins uniques
Ces occasions sont affichées habituellement sur MERXMC
www.merx.com
On pourrait vous attribuer un marché direct pour des besoins de moindre
valeur (habituellement moins de 25 000 $)
N’oubliez pas de faire la promotion de votre produit
Référence du document 133
Processus d’approvisionnement
Besoins périodiques – offres à commandes et arrangements en matière
d’approvisionnement
Il s’agit d’un processus semblable à celui des demandes de propositions
Ce n’est pas un contrat; c’est plutôt la possibilité d’en obtenir un
Est-ce qu’il y a une offre à commandes ou un arrangement en matière
d’approvisionnement pour votre bien ou votre service ?
Pour le savoir, parlez à votre personne-ressource ou appelez la ligne
d’information 1-800-811-1148 du BPME
Référence du document 134
Inscrire votre entreprise
Référence du document 135
Données d’inscription des fournisseurs (DIF)
Répertoire d’entreprises qu’utilisent les acheteurs du gouvernement fédéral
pour recenser des fournisseurs éventuels
Inscrivez-vous au moyen de votre numéro de TVH ou numéro d’entreprise de
l’Agence du revenu Canada (1-800-959-5525) en vue d’obtenir votre numéro
d’entreprise d’approvisionnement
Inscription :
En ligne : http://achatsetventes.gc.ca
Par téléphone : 1-800-811-1148
Référence du document 136
Conseils pour s’inscrire dans le DIF
L’inscription prend environ 15 minutes si vous avez déjà un numéro de TPS
de l’ARC ou un numéro d’entreprise (NE)
Vous devez employer exactement la même dénomination sociale utilisée
pour vous inscrire à l’ARC
Cochez les biens qui s’appliquent à votre produit ou service
Maintenez vos renseignements à jour!
Référence du document 137
Annoncer votre produit
Faites-vous connaître
Recueillez des renseignements
Référence du document 138
Répertoire des attributions des approvisionnements (RAA)
Liste des principales personnes-ressources en matière d'achats à TPSGC
Répertoire organisé en fonction des biens et services
Recherche de biens, de services ou de travaux construction
Renseignez-vous auprès de ces personnes sur :
Les cycles d’approvisionnement
Les offres à commandes
D’autres personnes à contacter
Référence du document 139
Gestionnaires du matériel dans les ministères
Ils sont les points de contact à l’extérieur de TPSGC – ils sont organisés
par région et par ministère
Communiquez avec les ministères précis auxquels vous êtes intéressés
à vendre
Déterminez :
Comment ils achètent ?
Qui sont les utilisateurs ?
Référence du document 140
Rechercher les occasions d’affaires
Référence du document 141
Rechercher les occasions d’affaires
MERXMC
Service électronique de soumissions accessible par Internet
(www.merx.com)
Gratuit pour les occasions d’affaires avec le gouvernement fédéral :
Travaux publics et Services gouvernementaux Canada ainsi que
d’autres ministères fédéraux publient des soumissions dans le MERXMC
Recherchez le petit drapeau canadien
Généralement pour les contrats excédant 25 000 $
Référence du document 142
Votre soumission
Cinq points à retenir
1. Lisez attentivement toutes les conditions et modalités
2. Vous devez respecter toutes les exigences obligatoires
3. Vous devez suivre toutes les directives
4. Faites réviser votre offre par une personne qui n’est pas familière avec elle
(un collègue)
5. Durant le processus, l’acheteur est votre seule personne-ressource
Référence du document 143
Autres ressources
Référence du document 144
Bureau des petites et moyennes entreprises
Voici le mandat du BPME :
Aider les petites et moyennes entreprises à mieux connaitre le système
d’approvisionnement
Représenter les points de vue des PME dans le système
d’approvisionnement pour voir à ce que les politiques et les outils soient
clairs et transparents
Référence du document 145
Site Web Achats et ventes
Ressource pour les entreprises intéressées à vendre au gouvernement fédéral
Vous pouvez :
Inscrire votre entreprise aux séminaires du BPME pour les fournisseurs
(webinar)
Vous inscrire dans les bases de données des fournisseurs
Trouver des liens à d’autres renseignements et services importants
www.achatsetventes.gc.ca
Référence du document 146
Vous avez des questions? – Communiquez avec le BPME
902-426-5677
Autres ressources
LigneInfo nationale 1-800-811-1148
Site web du BPME
www.achatsetventes.gc.ca
Référence du document 147
Les questions?
Module 3
Intelligence compétitive et échanges
commerciaux
Appels d’offres internationaux et connaissance des règlementations liées aux marchés publics Les modalités pratiques de gestion des appels d’offre
internationaux, Cyril BOUYEURE, directeur de la stratégie, ADETEF, ministère de l’économie, des finances et de l’industrie (France)
Les enjeux des marchés publics au Canada, Danielle COLLIN, chef d’approvisionnement, Bureau des PME, Provinces de l’Atlantique
Conditions sanitaires et règlementaires d’accès aux marchés, Guy DEBAUX, Responsable Intelligence Economique, COFACE, Direction des Ventes et du Développement
Intelligence compétitive, innovation et propriété industrielle Le rôle stratégique de la protection de la propriété
industrielle, Charlotte BEAUMATIN, Chargée de Mission, Institut national de la propriété industrielle, INPI (France)
1
2
Référence du document 149
Plan
Normes& labels : enjeux et diversité d’acteurs
Les acteurs « classiques » : ISO, CEN, réglementations etc.
Les acteurs flous de la RSE : ISR, entreprises, consortiums, GRI, etc.
RSE et guerre réputationnelle
Conclusion, pour une IE agile
1
2
3
4
5
Référence du document 150
Plan
Normes& labels : enjeux et diversité d’acteurs
Les acteurs « classiques » : ISO, CEN, réglementations etc.
Les acteurs flous de la RSE : ISR, entreprises, consortiums, GRI, etc.
RSE et guerre réputationnelle
Conclusion, pour une IE agile
1
2
3
4
5
Référence du document 151
Les normes & labels: enjeux de l’Intelligence compétitive
dans le commerce international?
Exemples des critères ESG
(la RSE)
Les normes
standards et
labels
Facteurs de transparence,
confiance, levier et clé
d’accès ou de protection
des marchés
Nombre et diversité de leurs producteurs
directs ou flous (soft law)
Terrain d’action
privilégié de l’IE
Nouvelles stratégies
et postures de l’IE
d’influence
Référence du document 152
SOFT LAW-RSE : l’origine des espèces
Entreprises
Sociétés
de rating
non-fin Syndicats
Agences
conseils
de vote
ONGs
Collectivités
locales
Consortiums
entreprises Normes
Recommandations
Labels
Complexité frein/
levier de l’action
d’influence en IE
Grande diversité des types de créateurs de
la Soft Law … (cartographie simplifiée)
Référence du document 153
Plan
Normes& labels : enjeux et diversité d’acteurs
Les acteurs « classiques » : ISO, CEN, réglementations etc.
Les acteurs flous de la RSE : ISR, entreprises, consortiums, GRI, etc.
RSE et guerre réputationnelle
Conclusion, pour une IE agile
1
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3
4
5
Référence du document 154
Institutions normatives « classiques » (1/3)
18 536 normes publiées à fin 2010, 3274 groupes techniques ISO/CEI 27035: 19/10/2011, Technologies de l'information – Techniques de sécurité – Gestion des incidents de sécurité de l'information: recommandations sur la manière de détecter, de signaler et d'évaluer les éventuels incidents de sécurité et vulnérabilités des systèmes informatiques ISO 12875: 20/10/2011, Traçabilité des produits de la pêche –quelles informations il convient d’enregistrer dans les chaînes de distribution des poissons issus de la pêche et de leurs produits pour établir leur traçabilité 17/10/2011 à Bali: atelier régional sur la sécurité sanitaire et le développement durable dans le secteur des pêches, Organisé par l’ISO + Codex Alimentarius + FAO + OIE (santé animale) + GFSI
Publié
En
cours
Complexité de la
veille et influence
Référence du document 155
Institutions normatives « classiques » (2/3)
Autres instances
Internationales: CEN, et + techniques: CEI, UIT, Cenelec, Etsi, Codex
Alimentarius…
Nationales: AFNOR, ANSI (USA), BSI (UK), DIN (Allemagne), JISC (Japon)…
Publication des standards:
GSM (Europe)
TVHD (succès du standard digital USA, après échec analogique D2Mac
français et standard japonais)
DVD Blu-ray (victoire 2008 Sony/Toshiba, «we concluded that a swift
decision would be best" )
Référence du document 156
Institutions normatives « classiques » (3/3)
Lois & règlements nationaux Bisphénol A 17/10/2008
Le Canada interdit les biberons, la France en
2010, puis loi 12/10/2011 sur l’interdiction générale dans les contenants alimentaires (2013-2014)
Effet du rapport Anses Sept 2011, présidé par Claude Emond (U. Montréal)
21/10/2011 France, loi taxant les sodas et boissons contenants
édulcorants de synthèse. Très fortes pressions de Coca Cola: « J'ai subi une
pression inacceptable. C'est normal que des multinationales discutent avec des députés, mais pas de la manière dont cela s'est passé » Bernard Reynes
+ rencontre discrète entre Nicolas Sarkozy et la présidente Europe de Coca-Cola, Dominique Reiniche
2009 : Changement de règlement sanitaire en Russie sur la viande de porc:
14 exportateurs français sont rayés du marché, alors que les exportateurs allemands, informés, accroissent leurs ventes www.bpex.org.uk/
Impacts
fournisseurs & process industriels
Veille juridique
Référence du document 157
Normes & labels RSE, leviers de puissance des nations (1/2)
Top 10 countries for ISO 14001 certificates - 2009
1 China 55 316
2 Japan 39 556
3 Spain 16 527
4 Italy 14 542
5 United Kingdom 10 912
6 Republic of Korea 7 843
7 Romania 6 863
8 Germany 5 865
9 USA 5 225
10 Czech Republic 4 684
Top 10 countries for ISO 14001 growth - 2009
1 China 16 121
2 Japan 3 983
3 Romania 2 979
4 Italy 1 620
5 United Kingdom 1 457
6 Czech Republic 1 366
7 France 1 196
8 Thailand 930
9 Russian Federation 783
10 Republic of Korea 710
Top 10 countries for ISO 22000 certificates - 2009
1 China 3 342
2 Turkey 1 134
3 Greece 987
4 India 948
5 Taipei, Chinese 810
6 Romania 661
7 Poland 549
8 Sri Lanka 329
9 Spain 269
10 Cyprus 245
Top 10 countries for ISO 22000 certificates - 2009
1 China 2 973
2 Taipei, Chinese 318
3 Romania 314
4 India 296
5 Poland 281
6 Viet Nam 117
7 Sri Lanka 108
8 Russian Federation 96
9 Bosnia and Herzegovina 95
10 Cyprus 90
Voyage du Pdt. Hu Jintao en Zambie en Fév. 2007, qui dut annuler la visite d’une mine pour cause de troubles résultants d’accidents mortels et difficultés sociale; il décide
de lancer la norme ISO 14000.
Canada 2007: initiative Devonshire, regroupe l’industrie minière et les ONG sur critères ESG; nouveaux projets en Oct. 2011 en Colombie, Pérou,
Bolivie, au Ghana et Burkina Faso, « L'ACDI appuie la Stratégie canadienne de RSE pour le secteur canadien de l'extraction à l'étranger au moyen d'initiatives favorisant une croissance économique durable, la création
d'emplois et la réduction de la pauvreté à long terme. »
Environnement: 223150 certificats
(+18%)
Sécurité alimentaire: 13 900 certificats
(+70%)
Source: Top food exporters: UE, USA, Brazil
Référence du document 158
0%
20%
40%
60%
80%
100%
ANZ Asia Europe North
America
Normes & labels RSE, leviers de puissance des nations (2/2)
(UK) évalue les critères ESG des entreprises, et leur degré de performance ou
de publication par pays :
10 ans après le standard de la Banque Mondiale…
0%
20%
40%
60%
80%
100%
ANZ Asia Europe North
America
Column 5
Unmanaged Risk
Some progress
Good
Excellent
Figure 3 : Environmental reporting
assessement by region
Figure 4 : Environmental performance
assessement by region
Vers une notation pays
sur critères ESG?
Référence du document 159
Plan
Normes& labels : enjeux et diversité d’acteurs
Les acteurs « classiques » : ISO, CEN, réglementations etc.
Les acteurs flous de la RSE : ISR, entreprises, consortiums, GRI, etc.
RSE et guerre réputationnelle
Conclusion, pour une IE agile
1
2
3
4
5
Référence du document 160
Rapport RSE: vers une obligation de publier?
En France, la loi Grenelle 2 (juillet 2010) prévoyait que les sociétés cotées ou d’une certaine taille soient tenues de publier un rapport sur leurs impacts sociaux et environnementaux 20/4/2011: GRI lance le Report or Explain Campaign Forum to encourage more companies to be transparent about their impacts on the world. Teresa Fogelberg, Deputy Chief Executive of GRI, said: “A report or explain approach could persuade more companies to report rather than to explain why they don’t. If a company doesn’t report its sustainability performance but explains the reason publicly, we would all have the chance to decide whether we want to deal with that company.” 5 /9/2011 partenariat avec l’ISO, opérations conjointes de promotion et de communication 4/10/2011 rapport "Pour une utilisation conjointe des lignes directrices du GRI et de l'ISO 26000", visant à rendre les critères ISO 26000 plus précis et documentés. 2000 entreprises agréées sur ses critères de reporting, dont 45% en Europe et seulement 14% en Amérique du Nord…ce qui rappelle le déséquilibre de la norme IFRS…
Report
d’un an
Référence du document 161
Les labels « agriculture biologique »: initiatives locales,
nationales, régionales, et fédérées
Un marché global de $55bn; 1er marché = USA ($25bn), puis Allemagne…1,8m de
producteurs certifiés (0,7m en Inde)
Des niveaux d’initiative variés, force et faiblesse pour des actions d’influence
Label européen
(Juillet 2010) Labels en France
13 ass. au Canada
15 ass. En France
752 membres fin 2010
Présent à l’ONU + agences FAO, UNCTAD, IFAD,
UNEP, UNFCCC, ECOSOC, UNCCD, ISO, ISEAL
Regroupements de Labels
Référence du document 162
Labels bio: des initiatives locales
Défensive
Région Aquitaine annonce 27 Avril 2011 son label Agriculture Bio, pour fin 2011.
Fondements :
« 70 % des produits bio que nous consommons sont importés et ceux issus de la Chine ont connu une hausse de 58 % entre 2008 et 2009,
le nombre de producteurs a doublé en deux ans et la consommation augmente de 19% par an »
Offensive
Février 2010: Lammsbräu (Bavière) lance une eau minérale bio
Nestlé, Danone et la centrale allemande des consommateurs dénoncent l'illégitimité d'apposer sur une eau minérale un quelconque label bio.
Arguments: 0 pesticides, distribution locale, pas de déchet plastiques ni BPA
Procès en appel
Référence du document 163
CE et vins bios: échec et bifurcation ONGs
Cas d ‘échec des travaux de la Commission Européenne, où les ONG créent leurs propres labels régulant les marchés:
Démarré en 2007, le projet de la CE échoue en Juin 2010 (retrait après pressions)
En Mai 2011, des organisations bio européennes créent une charte commune pour les règles de vinification bio, baptisée « CEVinBio » (« Charte européenne de Vinification Biologique »)
En Juillet 2011, IFOAM sort sa norme vins bios Europe après avoir trouvé un accord sur les teneurs en sulfite
2007 Juin 2010 Juillet 2011 Mai 2011
Début travaux de la CE
Retrait projet par la CE
Accord IFOAM Europe
Accord CEVinBio
8 ass. 4 pays
Référence du document 164
Labels bios: accord équivalence Canada-UE
5 Juillet 2011
Le Canada et à l'Union européenne peuvent importer
et exporter des produits biologiques certifiés sans avoir
à obtenir de certification supplémentaire
Les produits biologiques certifiés peuvent maintenant porter soit le logo de
production biologique du Canada, soit celui de l'Union européenne, ou
les deux
Le 21 juin 2011 L'Union européenne a inscrit le Canada sur la liste des pays
tiers autorisés à exporter ses produits biologiques sans nécessité d'une
certification supplémentaire conforme aux normes européennes
Le Canada a reconnu les produits biologiques provenant de tous les pays
européens, conformes avec les régulations canadiennes le 23 juin
2011. (Source : CFIA, la Commission européenne)
Élargit le choix du terrain pour actions d’influence
Référence du document 165
L’Investissement Socialement Responsable et ses labels
Livre Vert européen (CE) sur l’ISR et la RSE en juillet 2001:
« Des politiques responsables dans le domaine social et celui de la protection
de l’environnement sont pour les investisseurs un indicateur fiable d’une
bonne gestion interne et externe. Elles contribuent à minimiser les risques en
anticipant et en prévenant les crises susceptibles de nuire à la réputation de
l’entreprise et de provoquer une chute spectaculaire du prix des actions »
Production de ratings pour qualifier l’ISR:
Agences spécialisées internationales
Labels nationaux ou sectoriels
Syndicats, ONG…
Référence du document 166
ISR: labels & ratings globaux
6 Avril 2011 FTSE Group lance FTSE4Good ESG Ratings, basés sur les mesures ESG de EIRIS (2300 sociétés cotées)
STOXX Global ESG Leaders Indices:128 KPIs processed with Sustainalytics
Corporate Governance Quotient (CGQ®), a corporate governance rating system provided by Institutional Shareholder Services (ISS) on over
8,000 companies worldwide, evaluates the strengths, deficiencies, and
risks of a company's corporate governance practices and board of
directors
It then goes through a rigorous verification process by ISS' senior
corporate governance analysts and is put in to the CGQ database
Référence du document 167
ISR: ex labels & rating France
En France, quatre des cinq syndicats ouvriers dits représentatifs au sein d’un Comité
intersyndical de l’épargne salariale (CIES), labellise les offres d’investissement en
fonction de critères extra-financiers»
Filiale Caisse des Dépots. Le « Label ISR Novethic » est attribué aux fonds
d'Investissement Socialement Responsable (ISR) dont la gestion prend
systématiquement en compte des critères ESG. Leurs promoteurs doivent
expliquer publiquement la nature des pratiques ISR retenues, publier un
rapport régulier portant sur les caractéristiques ISR du fonds ainsi que sa
composition intégrale et détaillée.
28 avril2011 MiddleNext présente avec EthiFinance un guide sur l'investissement socialement responsable et le développement
durable à l'intention des PME.
Leader agences de rating
ESG en Europe
900 fonds ISR en
Europe, pour €75bn
(+41% en 2010)
Référence du document 168
ISR: du label aux recommandations, les agences de
conseils de vote (ex.France)
Les Recommandations sur le Gouvernement d'entreprise: les agences de
conseil de vote : recommandation de l’AMF 18 Mars 2011: transparence
politique, dialogue avec sociétés cotées, publication des conflits d’intérêt…
Rôle de MSCI dans le monde...
Pas de label, conseils de vote. Le fonds Edmond de
Rothschild AM a passé accord avec Proxinvest et MSCI.
Référence du document 169
Jonctions des ratings ISR, agences de conseil de vote &
ONGs
Demande de changement de process de production
4 ONGs US déposent une résolution (« the company should disclose its plans around continued use of BPA in their can-linings ») pour suprimer le Bishenol A des lcannettes (As You Sow, Domini Social Investments, et Trillium Asset Management » à l’AG 2011: 26% pour (+20% sur 2010)
ONGs rejointes par
RiskMetrics Group (MSCI), leader des U.S. proxy advisory services, recommended that shareholders vote “For” the resolution at Coca-Cola.
RiskMetrics noted that Coca-Cola does not sufficiently disclose the steps the company is taking to address shareholder and consumer concerns about the use of BPA in can linings.
Référence du document 170
RSE: le choix des armes (process) P&G/Unilever (1/2)
crée son standard…
Initiative « Future Friendly » Sept. 2010
Engagements: baisse de 25% de l’utilisation des dérivés pétroliers, des
emballages de 20%, et recours à 30% d’énergie renouvelable d’ici 2020,
avec la perspective à plus long terme d’une énergie à 100% renouvelable
et de zéro déchets
Partenariat long-terme avec WWF
…qui implique des changements de process complexes et couteux, mais qu’il
a choisis, préparés et crédibilisés avec une autorité externe
QUE FAIT LE CONCURRENT?
Référence du document 171
RSE: le choix des armes (process) P&G/Unilever(2/2)
répond par son nouveau standard…
« Sustainable Living Plan » 15/11/2010, over 50 concrete targets that will:
Help more than one billion people improve their health and well-being
Halve the environmental impact of our products
Source 100% of our agricultural raw materials sustainably
…et change d’agence de communication
Ogilvy & Mather, après Fallon
…et choisit le social CRM et l’influence sur Facebook:
« Facebook, with 500 million users, is the third biggest nation in the world after China and India, and it can mobilise millions of people. We are just listening to consumers, staying close to give them what they are asking for. Social media’s power to punish, as well as to reward, is quite extraordinary. » Paul Polman, Unilever’s CEO
Plus flous, subis
…cherchait une
alliance ONG
Référence du document 172
RSE: récentes initiatives de la Commission Européenne
Après P&G/Unilever, rattrapage CE: 24/01/2011 - Projet de décision de la Commission établissant les critères écologiques pour l'attribution du label écologique de l'UE aux détergents textiles Une consultation sur la Gouvernance est en cours (22 juillet 2011): «L’excès de court-termisme a eu des conséquences désastreuses. C’est pourquoi nous lançons aujourd’hui le débat sur l’efficacité du cadre actuel de gouvernance des entreprises. Ce dont nous avons surtout besoin, c’est que les conseils d’administration soient plus efficaces et que les actionnaires assument pleinement leurs responsabilités.» Synthèse à l'automne: il sera décidé si des propositions législatives sont nécessaires Norme sociale, éthique et environnementale: vers des ratings européens? Nov. 2010 - La Commission adoptera également en 2011 une Communication sur la RSE, concept plus englobant que l'entreprenariat social, qui encourage toutes les entreprises à poursuivre des actions avec des fins sociales ou environnementales dans leurs activités quotidiennes. The Commission will also propose a Social Business Initiative in 2011 to bring together finance professionals and entrepreneurs with socially innovative projects “by means of in particular social ratings, ethical and environmental labelling”
Référence du document 173
Plan
Normes& labels : enjeux et diversité d’acteurs
Les acteurs « classiques » : ISO, CEN, réglementations etc.
Les acteurs flous de la RSE : ISR, entreprises, consortiums, GRI, etc.
RSE et guerre réputationnelle
Conclusion, pour une IE agile
1
2
3
4
5
Référence du document 174
Ratings RSE et actions des ONGs
“We’re working inside and outside to make sure they know
they can grow without adding more coal or nuclear. A lot of
companies are starting to get this, but we need to move a
lot faster.” Greenpeace
Cla
ss
em
en
t d
es
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tre
pri
ses
IT
pa
r
Gre
en
pe
ac
e
Facebook mécontent A investi $168m dans Ivanpah Solar Electric Generating System (392 mgwatt)
Référence du document 175
Attaque réputationnelle Greenpeace vs Facebook
Référence du document 176
Attaque réputationnelle ratée
Objectif: ternir l’image, dégrader la réputation de Google
Argument d’action: Social Circle, du service de messagerie Gmail pour atteinte à la vie privée
Moyen: dénigrement par l’intermédiaire d’un expert reconnu Mr. Soghoian à forte audience web
Mail d’amorçage du 3 Mai 2011
Résultat: refus de l’expert, qui publie tout sur son blog, repris par la presse le 11 Mai 2011…
« Communication » de rattrapage de Burson Marsteller, Facebook, etc…
From :
Mercurio, John <[email protected]>
To : Christopher Soghoian [email protected]
Date : Tue, May 3, 2011 at 10:38 AM
Subject : RE: Op-Ed Opportunity: Google
Quietly Launches Sweeping Violation of User
Privacy
Thanks for the prompt reply. I’m afraid I can’t
disclose my client yet. But all the information
included in this email is publicly available. Any
interest in pursuing this?
On Tue, May 3, 2011 at 10:08 AM, Mercurio,
John <[email protected]> wrote:
Mr. Soghoian,
I wanted to gauge your interest in authoring an
op-ed this week for a top-tier media outlet on
an important issue that I know you’re
following closely.
Extrait des mails publiés
Référence du document 177
Attaque réputationnelle Greenpeace/Nestlé (1/2)
18 Mars 2010 : Greenpeace attaque KitKat sur le motif de l’usage d’huile de
palme (Sinar Mas), dont les plantations détruisent l’habitat des orang-outangs
et contribuent au réchauffement climatique (film parodie sur Youtube)
+ chute action
de 3%
Référence du document 178
Attaque réputationnelle Greenpeace vs Nestlé (2/2)
Réponses inappropriées de Nestlé
(suppression du film sur Youtube –
qui ressurgit en multiples posts-
menaces sur page Facebook etc),
qui déclenchent une offensive
Référence du document 179
Prévention réputationnelle: Levi Strauss
Montée en puissance d’une menace, et sa réponse anticipée:
Suivie d’une initiative normalisatrice dans l’industrie du vêtement
May 11 2011 CERES conference annuelle: "We are proposing a new apparel industry standard of social, economic, and environmental sustainability that focuses on improving workers' lives. If our ultimate goal is to improve not just factory conditions, but to make a material difference to the people and communities in our supply chain, then we need a more holistic approach and a more human perspective."
LS& Co. committed to a nine-month advisory process with NGOs, other brands, labor unions and suppliers around the world. Levi Strauss & Co. will release a white paper for public comment and then will begin implementing the new terms of engagement with suppliers in May 2012.
« New terms of engagement is not only the right thing to do, but is good for business »
1er cas de silicose
décrit par
université Atatürk
d’Erzurum
2005
WHO
Programme
éradication
Silicose
1995
Campagne anti sablage
Sept 2010
Arrêt
sablage
Nov 2010 Mai 2011
Nouveau
standard
RSE Guide Eco-conception
de l’habillement
20/10/2011 Fev 2011
WWF + ONG Yamana
+ EVEA + industriels
Pas de réaction, ou refus d’arrêt des concurrents
Que feront-ils? Subir?
Référence du document 180
Plan
Normes& labels : enjeux et diversité d’acteurs
Les acteurs « classiques » : ISO, CEN, réglementations etc.
Les acteurs flous de la RSE : ISR, entreprises, consortiums, GRI, etc.
RSE et guerre réputationnelle
Conclusion, pour une IE agile
1
2
3
4
5
Référence du document 181
Pour une Intelligence Compétitive agile
Participer aux travaux des instances normatives, mais savoir choisir le chemin parmi les comités et groupes techniques, tenir les postes de
secrétaire ou président…
Interactions des autres acteurs « flous », institutions perméables
Diversité des acteurs de la soft-law en matière de RSE mapping de leurs rôles et
relations
Audit des risques réputationnels: repérage des points forts/faibles de l’entreprise et de ses concurrents en termes ESG, étendu aux fournisseurs et partenaires (process de
fabrications et organisation interne)
Aller au-delà des stratégies réactives: « les coups de com » ou la fameuse « gestion de crise »
Actions proactives préparant les enjeux de demain (foresight): temps long.
Prérequis d’éthique et de sécurité renforcés pour une IE préventive et offensive
Module 3
Intelligence compétitive et échanges
commerciaux
Appels d’offres internationaux et connaissance des règlementations liées aux marchés publics Les modalités pratiques de gestion des appels d’offre
internationaux, Cyril BOUYEURE, directeur de la stratégie, ADETEF, ministère de l’économie, des finances et de l’industrie (France)
Les enjeux des marchés publics au Canada, Danielle COLLIN, chef d’approvisionnement, Bureau des PME, Provinces de l’Atlantique
Conditions sanitaires et règlementaires d’accès aux marchés, Guy DEBAUX, Responsable Intelligence Economique, COFACE, Direction des Ventes et du Développement
Intelligence compétitive, innovation et propriété industrielle Le rôle stratégique de la protection de la propriété
industrielle, Charlotte BEAUMATIN, Chargée de Mission, Institut national de la propriété industrielle, INPI (France)
1
2
Référence du document 183
Séminaire franco-canadien sur l’intelligence compétitive au service de
la coopération et de la croissance
Introduction
L’intelligence économique constitue un outil indispensable à l’heure de
la mondialisation
Ainsi la coopération entre les Etats parait être le meilleur moyen
d’encourager les échanges, mais cela suppose de la part des acteurs
économiques d’être avertis et prémunis des risques possibles liés à ces
échanges
I. L’accord économique et commercial global : un outil de
développement des échanges entre le Canada et l’Union
européenne
II. L’importance de la propriété industrielle dans le développement des
échanges
III. La coopération au plan international de la France en matière de
propriété industrielle
Référence du document 184
L’accord économique et commercial global : un outil de
développement des échanges entre le Canada et l’Union européenne
Le Canada et l’UE entretiennent des relations économiques de longue date
En 2008, le commerce bilatéral de marchandises s’est élevé à 90,4 milliards de
dollars, soit une augmentation de 7 p. 100 par rapport à 2007
En matière d’investissement, l’UE est le second partenaire en importance du
Canada et ce dernier est le quatrième partenaire en importance de l’UE
En octobre 2008, l’UE et le Canada ont rendu publique l’étude conjointe «
Évaluation des coûts et avantages d'un partenariat économique plus étroit
entre l'Union européenne et le Canada »
Les secteurs privés de l’UE et du Canada sont également favorables à un
accord économique
I
Référence du document 185
Un environnement économique favorable et incitatif
L’accord économique et commercial global : un outil de
développement des échanges entre le Canada et l’Union européenne
En 2009, le Canada et l’UE ont publié le Rapport conjoint Canada-Union européenne :
Vers un accord économique approfondi, qui décrit un vaste et ambitieux programme de négociations portant sur le commerce des produits et des services, l'investissement,
les marchés publics, la coopération en matière de réglementation, la propriété
intellectuelle, l'admission temporaire des gens d'affaires, la politique en matière de
concurrence et d'autres questions connexes, les dispositions sur le travail et
l'environnement
Le Canada et l’Union européenne ont tenu huit rondes de négociations fructueuses
depuis octobre 2009
En juillet 2011, le ministre Fast a souligné les progrès accomplis jusqu’à présent durant la
huitième ronde de négociations commerciales . La neuvième ronde de négociations
devrait avoir lieu à Ottawa en octobre 2011
I
Référence du document 186
L’importance de la propriété industrielle dans le développement des
échanges
La propriété industrielle nécessite un formalisme : le dépôt des titres
Pour protéger une innovation : le Brevet
Pour protéger une création : la Marque
Les systèmes de protection internationaux (PCT, Brevet européen, Marque
communautaire, arrangements de Madrid, de Lisbonne)
Un dépôt unique, une protection élargie
Stratégie de l’entreprise dans le choix de la
protection et son étendue
II
Référence du document 187
L’importance de la propriété industrielle dans le développement des
échanges
La protection par le droit de la propriété industrielle a deux fonctions : moyen
de défense et source de revenus:
Défense en cas de contrefaçon (Opposition à l’enregistrement d’un titre,
retenues en Douanes, actions en contrefaçon)
Royalties tirées des contrats de licence et de session de titre
II
La propriété industrielle : un outil utile et efficace de
développement pour l’entreprise
Référence du document 188
La coopération au plan international de la France en
matière de propriété industrielle (1/2)
Outre la coopération à travers la représentation de la France dans les
instances internationales (OMPI, UE), l’INPI coopère de manière bilatérale,
directement avec les états.
Coopération entre l’Institut national de la propriété industrielle (INPI) et les
Offices de propriété industrielle nationaux ou les grands Offices régionaux
(OEB, OAPI). L’INPI a signé 36 accords de coopération avec ses homologues
Sensibilisation des grands pays émergents aux questions de propriété
industrielle pour favoriser l’environnement local pour les opérateurs
économiques français : enregistrement des titres, défense des titres
4 experts à compétence régionale couvrent les zones Asie, Amérique du sud,
Maghreb et pays du Golfe
III
Référence du document 189
La coopération au plan international de la France en
matière de propriété industrielle (2/2)
Coopération technique: échanges d’information, sensibilisation
Organisation de séminaires ou d’ateliers de travail
Formations universitaires spécialisées, notamment au CEIPI destinés à de
nombreux fonctionnaires de différents offices
Visites de formation thématiques
Favoriser l’environnement local pour les opérateurs
économiques français
III
Référence du document 190
Conclusion
La propriété industrielle s’inscrit dans la stratégie de coopération économique,
comme un outil de développement pour les acteurs économiques, et comme
moyen de défense
La coopération entre les Etats permet de sensibiliser et de favoriser
l’environnement économique pour les investisseurs
Protection et innovation, moteurs indispensables au développement des
échanges
Module 4 Le tourisme durable
Enjeux et réponses des CCI françaises, Claire SOVIGNET,
chef du service développement touristique, ACFCI
Conclusion générale des Rencontres
Référence du document 192
Le Tourisme, un champ d’application emblématique
Une « intelligence » des territoires et des personnes
Le lieu de l’ouverture à l’autre, du voyage, des liens entre territoires.
Au croisement d’enjeux multiples (sociopolitiques, culturels, économiques,…)
Coopération de tous les acteurs dans une stratégie d’attractivité
Une stratégie de compétitivité et d’influence»
Création et promotion d’une image du territoire, une « vitrine »
Suppose une connaissance/analyse du marché (offre-demande), prospective
Suppose un « benchmark » permanent avec destinations proches / concurrentes
Un secteur qui tire le développement économique du territoire
Retombées évidentes sur les secteurs connexes (transport, bâtiment, commerce,..)
Le tourisme s’inscrit dans le SDT de SPM (diversification de l’économie)
Il est identifié comme un axe prioritaire de la coopération régionale
Référence du document 193
Plan de la présentation
Les enjeux du Tourisme durable
La réponse des CCI françaises
Le tourisme durable, un atout compétitif
pour Saint Pierre et Miquelon ?
1
2
3
Référence du document 194
Un secteur en croissance
Un potentiel de croissance intact Le tourisme international a retrouvé un niveau de croissance qui
devrait se stabiliser à 3,3% par an jusqu’en 2030
(1,8 Md d'arrivées de touristes internationaux prévues par l’OMT en
2030 contre 900 M. en 2009)
Un risque La concurrence des pays « émergents » (58% en 2030)
Une opportunité Les nouvelles attentes des clientèles
Une urgence « Cette croissance s’accompagne d’un défi : optimiser les retombées
socio- économiques tout en minimisant les retombées négatives du
tourisme. Il est plus important que jamais que toutes les actions se
fondent sur les principes du développement durable ». (OMT, oct 2011)
I
Référence du document 195
Un fort impact environnemental et social
Le développement du tourisme entraîne la
destruction des ressources sur lesquelles
il repose .
Les impacts négatifs sont avérés :
Au niveau environnemental
Au niveau social
Au niveau sociétal et culturel
Référence du document 196
Le Tourisme durable, une nécessité
Un développement durable du tourisme doit « répondre aux besoins des
générations du présent sans compromettre la capacité des générations
futures à répondre aux leurs » (cf Rapport Bruntland, 1987)
Pour les Etats et pour les territoires : inclure le
tourisme dans leur stratégie de
développement durable
Pour les entreprises du tourisme :
intégrer des préoccupations sociales,
sociétales et environnementales
dans leur stratégie, leur processus de décision
et leurs actions
Référence du document 197
Une prise en compte effective dans les politiques
publiques
Au niveau international : création en 2010 du Partenariat mondial pour le
tourisme durable. Objectif : intégrer la durabilité dans tous les aspects du
Tourisme
Au niveau européen : 1ère prise de position de la Commission en 2007 (réseaux NECSTOUR, CAST, EDEN,…). En 2010, la stratégie Tourisme de
l’UE vise à « améliorer la compétitivité de l'industrie touristique en Europe
par la mise en place et la promotion d’un tourisme durable ».
Au niveau national : Grenelle de l’Environnement,...
Au niveau territorial : Schémas régionaux/départementaux de développement touristique, Agenda 21,….
Référence du document 198
Mais pour le secteur, des défis restent à relever
Une meilleure compréhension du concept dans sa globalité
Un besoin d’accompagnement individuel
Un besoin de stratégies territoriales concertées
Une clarification (garantie) de l’offre pour la clientèle
Une veille pour identifier tendances, opportunités, bonnes pratiques
Référence du document 199
La vision des CCI françaises
Les CCI s’impliquent depuis plus de 10 ans dans le TD
Mais des approches différentes et des actions dispersées
En 2008 (Etats Généraux des CCI) : décision de l’ACFCI de se doter de sa
propre vision du tourisme durable
Accent mis sur :
L’universalité du tourisme durable (pas un « tourisme de niche », mais une adaptation aux nouvelles exigences du marché )
La rentabilité économique comme condition essentielle d’un DD
L’entreprise durable se définit comme
« une entreprise pérenne, rentable, attractive pour ses employés et ses clients, ouverte à son territoire, avec la volonté de s’inscrire dans une chaîne
touristique (destination) durable »
II
Référence du document 200
Une approche fondée sur la « performance globale » de
l’entreprise
Référence du document 201
Une performance équilibrée
au service de la stratégie du territoire
La recherche d’un équilibre entre les 3 dimensions
Performance économique (compétitivité-rentabilité-pérennité)
Performance environnementale (énergie, déchets, eau,…)
Performance sociale (ressources humaines ) et sociétale (relations)
Un enjeu individuel et collectif
Impliquer tous les acteurs de la « chaîne du tourisme » (hébergeurs,
transporteurs, prestataires,
commerçants, restaurateurs, sites, )
Les accompagner individuellement
dans le cadre d’une stratégie
collective de « destination durable ».
Référence du document 202
De la vision à l’action
Objectif : accompagner les entreprises
du tourisme avec une méthode adaptée
Création de la démarche RESPECT
Responsabilité Environnementale et Sociale
Pour des Entreprises Compétitives du Tourisme
Articulée autour d’un outil de diagnostic
70 éléments de mesures organisés en 16 critères
permettent d’évaluer concrètement l’entreprise
dans les 4 domaines et de lui proposer
un plan d’action adapté
L’accompagnement se fait ensuite par la CCI
ou par un partenaire
Référence du document 203
Ex Le critère « Satisfaire »
L’entreprise Le client
L’entreprise est-elle reconnue pour la qualité de ses
prestations par les organismes professionnels, les médias
spécialisés et les clientèles ?
Le client trouve-t-il des prestations de qualité
susceptibles
de le fidéliser et de favoriser le bouche-à-oreille ?
Indicateur Éléments de mesure Outils
Démarche qualité 9. L’entreprise s’engage sur des
principes qualité
Définition de principes, adhésion à
une charte…
Adhésion à une marque collective, un label,
une certification
Notoriété / réseau
de distribution
10. L’entreprise travaille à faire reconnaître
ses prestations dans les médias touristiques
non marchands
11. L’entreprise bénéficie d’un bon réseau
de distribution
Citation dans les médias touristiques
(guides, revues, site web)
Importance et variété du réseau de
distribution
Gestion relation
client – GRC -
12. L’entreprise mesure les taux de
fidélisation et de satisfaction de sa clientèle
13. L’entreprise veille à la qualité de son
accueil (à distance, sur place).
Livre d’or, questionnaires, enquête
clientèle… Fichier clientèle, enquête
clientèle…
Langues étrangères parlées,
répondeur téléphonique…
Référence du document 204
La mise en oeuvre de RESPECT
80 conseillers formés
300 diagnostics effectués
Des partenariats qui se développent
Des consolidations à effectuer
Des échanges à intensifier
En 2012, le diagnostic RESPECT devrait faire partie
de l’offre minimum harmonisée de services des CCI
Référence du document 205
Le tourisme durable atout compétitif pour SPM ?
Une opportunité
Se positionner comme une destination durable originale,
à la fois « exotique » (Terre de France, escale française)
et de proximité (Canada, USA)
Une exigence
La volonté de développer les flux saisonniers
(+ 300% pour les croisières) tout en se
revendiquant « destination durable » exige de se
doter des équipements et des mesures appropriés
(protection des espaces fragiles, gestion des déchets,
eaux usées,…)
III
Référence du document 206
Le tourisme durable atout compétitif pour SPM ?
Condition n°1 : Renforcer la coopération locale :
Réunir tous les acteurs (publics-privés) de la chaîne touristique
autour d’une même stratégie
Faire évoluer les politiques publiques
Accès, transport, environnement, énergie
Gestion des sites et espaces publics
Sensibiliser et accompagner les professionnels
Gestion et développement de l’entreprise (transmission)
Qualité des produits et services
Management environnemental, intégration des produits locaux
Maîtrise des TIC, commercialisation,…
Structurer l’offre (cf Club Croisière), promouvoir, communiquer
Référence du document 207
Le tourisme durable atout compétitif pour SPM ?
Condition n°2 : Renforcer la coopération régionale
Rendre plus efficace le partenariat existant avec les
Provinces Atlantiques
Développer et promouvoir des produits communs
Packages , croisière,..
Évènementiels (sportifs, culturels, professionnels…)
S’approprier le savoir-faire canadien
Ingénierie, promotion, accompagnement,…
Réseau Atlantic Canada Tourism Partnership
(ex l’initiative « TourismTechnology.com »)
Echanger
Bonnes pratiques, étudiants, experts,…
Référence du document 208
Le tourisme durable, atout compétitif pour SPM ?
Condition n°3 : Piloter la démarche (indicateurs /
bonnes pratiques)
Observer
Mesurer l’offre, la fréquentation
Évaluer la satisfaction des visiteurs (site d’avis)
Se comparer (destinations voisines, concurrentes)
Veiller sur les marchés (tendances)
Identifier les bonne pratiques
Réseaux de veille (DGCIS, RVT Univ.Québec,…)
Réseaux d’acteurs (ACTP, Atout France, ..)
Réseaux sociaux professionnels (Rezotour)
Réseaux européens (Necstour, EDEN)
Réseaux insulaires, ultramarins (ACFCI, Insuleur),…
Référence du document 209
Le tourisme durable, atout compétitif pour SPM ?
Condition n°4 : Innover
Exploiter les différentes « niches » possibles dans le
cadre d’un tourisme durable
Nouveaux concepts d’hébergement (groupes)
Circuits thématiques (nature, culture,
Gastronomie, artisanat local…)
Tourisme affinitaire (diaspora)
Tourisme linguistique (Francoforum)
Faire venir , Faire rester , Faire revenir ,…
Référence du document 210
MERCI de votre attention !...
Claire SOVIGNET
Pôle Tourisme ACFCI
La coopération économique et culturelle
entre St. Pierre et Miquelon et les
Provinces Atlantiques canadiennes
Réunion sur le projet de création d’un observatoire
économique des territoires entre les Provinces
Atlantiques et Saint-Pierre & Miquelon
Déclaration finale des Rencontres en français et anglais
Référence du document 212
Plan
I. Introduction générale
II. Qu’appelons-nous Observatoire d ’études stratégique en coopération ?
III. Les observatoires en place : retours d’expérience (Caraïbe, Méditerranée)
IV. Projets en négociation (Moyen Orient, Vietnam…)
Référence du document 213
Qu’appelons-nous Observatoire d’études stratégique
en coopération ?
Réseau de veille, d’analyse et donc de compétences partagé
Un réseau pour faire bénéficier d’une capacité accrue de décryptage
des enjeux définis en commun et de partage de plans d’actions
Un réseau pour intégrer une communauté d’intelligence collective
avec des regards croisés
Une force de frappe coopérative pour dynamiser les échanges d’affaires,
culturels et sociaux
II
Référence du document 214
Objectifs stratégiques
Créer un réseau d’experts comme vecteur de coopération régionale
et internationale et comme instrument de développement des relations
interculturelles
Développer des projets d’intérêt commun à travers la coopération et les
partenariats franco-canadiens. Associer des acteurs du monde académique,
politique, entrepreneurial
Partager de capacités d’intelligence stratégique sur des enjeux commun
et des projets communs
Disposer à terme d’une plateforme de mutualisation de la veille
et de l’intelligence stratégique
Référence du document 215
Objectifs opérationnels
Mise en place d’une culture d’intelligence stratégique partagée,
par l’organisation de formations, séminaires, colloques, publications
Animer et gérer le centre des ressources (plateforme, site, blogs…)
au service de projets d’intérêt communs
Faire partager l’information et les méthodologies aux divers acteurs associés
Publications et diffusion d’une lettre d’IS (en deux langues)
Méthodologie commune pour résultats comparables et sémantique partagée
Référence du document 216
Architecture (I/II)
Format
Un réseau administré, composé de membres des secteurs publics
et privés : experts, institutions nationales, régionales, internationales,
associations professionnelles
Gouvernance
Collégiale (CACIMA, CCIFE, APECA, Conseil territorial, IEDOM),
un secrétariat
Fonctionnement
En réseau, partage de l’information, visioconférences
Référence du document 217
Architecture (II/II)
Secteurs d’études
Tourisme, transport, sécurité, services, industries culturelles, droit des
affaires, ingénierie de politiques publiques…
Acteurs clés
Académiques, administrations, organisations régionales,
associations professionnelles. Rôle stratégique du réseau des CCI
Activités/ Plan d’action
Rapports trimestriels, réaliser des rencontres, séminaires, organisation
du 1er colloque d’IS. Publications, rapports d’expertises, mettre en place
un réseau de praticiens
Financement : dons, subventions, prestations payantes
Référence du document 218
Les observatoires en place : retours d’expérience
(Caraïbe, Méditerranée)
Grande Caraïbe et Bassin Amazonien
Union pour la Méditerranée
Genèse
Acteurs et partenaires
Objectifs spécifiques
Gouvernance
Résultats et projets
III
Référence du document 219
Retours d’expérience
Formation Sécurité en Tourisme en Haïti pour les pays de la Caraïbe Mobilisation des ressources informationnelles régionales Partenariat avec l’OEA : formation, expertise Groupes de travail Rencontres / Déclarations Mise à disposition des outils d’aide à la décision Associer les acteurs public-privés Faisabilité de la mise en place d’un master Sécurité en Tourisme Développer une webTV Travail en réseau, économie études/expertises
Référence du document 220
Projets en négociation (Moyen Orient, Vietnam…)
Moyen-Orient (Confremo – Francophonie)
Vietnam…
Monde académique et univers de l’entreprise
Acteurs / Rencontres
L’importance des nouveaux territoires de l’intelligence économique
territoriale, municipale, sportive, juridique, sociale…
Les CCI, l’ACFCI et l’AIFIE au cœur du dispositif
IV