1er trimestre 2014 -2015

SERVICE

ÉDUCATIF LE STRAPONTIN N°15

Une maison qui s’ouvre une fois de plus pour accueillir ces artistes/ses artistes qui nous ont

bouleversés les saisons passées…

Comme à la maison Fidélité donc à Pippo Delbono, de retour avec un nouveau spectacle qui ne ressemble qu’à Pippo

Delbono, Orchidées ; Guy Cassiers avec l’adaptation de Virginia Woolf, Orlando, entreprise avec son

interprète, Katelijne Damen, sans oublier Lukas Hemleb qui ouvrira cette nouvelle programmation avec le

crépusculaire Je suis le Vent. Autre grande maison reçue portes grandes ouvertes : la Comédie Française. A

son programme, Oblomov, dandy dépressif interprété par Guillaume Gallienne, personnage culte de la

littérature russe.

"Une maison bleue" Comme son label, représenté par David Krakauer et son nouvel album « Checkpoint ».

L'édito

Maison de maîtres Au programme de ce premier trimestre, nous découvrirons Katia Kabanova, du compositeur tchèque

Léos Janacek, opéra réduit à une version de chambre, mais magnifié par ses jeunes interprètes ! N’oublions

pas également la joie de retrouver Edmon Colomer aux commandes de l’Orchestre de Picardie, l’occasion

de célébrer des retrouvailles et surtout le trentième anniversaire de l’Orchestre !

Fidélité encore Retour en nos murs de la Compagnie Les 7 doigts de la main que nous avons découverte l’année passée et

retour également de notre clown préféré dans le Slava’s Snowshow. Le groupe acrobatique de Tanger

reviendra lui aussi dans Azimut, spectacle conçu par Aurélien Bory.

Fidélité toujours Deux chorégraphes nous reviennent enfin : Alain Platel qui après son Gardénia nous propose « une

danse bâtarde », Tauberbach, en s’appuyant sur le répertoire de Bach et de Mozart ; et José Montalvo , qui

dans Asa Nisi Masa propose un bestiaire chorégraphique et virtuel…

Une programmation version 2014/2015 qui fera les honneurs de la maison!

Tous à vos réservations !

Le Service éducatif Accueil et Permanence à la MCA : Delphine PETIT, le jeudi : 8h30 / 12h30 delphine.petit@ac-amiens.fr Jean COURTIN, le vendredi : 14h / 18h jean.courtin@ac-amiens.fr

Pour une lecture optimale du Strapontin, nous vous conseillons dans le menu Affichage de choisir le Mode plein écran. En cliquant sur le titre du spectacle de votre choix (page 5), vous accéderez à une page où vous pourrez prendre connaissance des contenus détaillés des spectacles ainsi que de nombreux liens web ; retour vous renverra à la page d’accueil pour une nouvelle navigation. N.B Cette Newsletter n'est pas conçue pour être imprimée.

Danse

a Tauberbach Asa Nisi Masa Eifman Ballet

a

Théâtre

Je suis le vent Orlando Oblomov Orchidées SuperamaX

Musique

Orchestre de Picardie David Krakauer Katia Kabanova

Cirque

Les 7 doigts de la main Slava's Snowshow Azimut (théâtre visuel)

Exposition

Service

Educatif

Dossiers documentaires et pédagogiques

Cinéma

Réservations / individuel

Réservations ce.bouvier@mca-amiens.com /groupe scolaire

Photo : Iosono

Lecture animée par Lukas Hemleb

en présence du metteur en scène et des comédiens. Samedi 27 septembre à 16h30,

Bibliothèque Louis Aragon

Théâtre Création Je suis le vent Lycée

de Jon Fosse mise en scène Lukas Hemleb

mardi 30 septembre / 19h30 mercredi 1er octobre / 20h30 jeudi 2 octobre / 19h30* vendredi 3 octobre / 20h30 lundi 6 octobre / 20h30 mardi 7 octobre / 19h30*

* rencontres avec le public petit théâtre, durée : 1h30 Deux hommes, une amitié, une complicité. Un voyage nocturne vers l’Inconnu. Un périple vers la limite de toute chose, là ou la mer et le ciel se rejoignent et se confondent. Dans "Je suis le vent", nous sommes confrontés à la faculté particulière de Jon Fosse de saisir et de circonscrire l’existence humaine en peu de mots, dans un échange de paroles tout en suspension, ponctué de silences, aussi dense qu'insaisissable. Comme souvent chez lui, ce qui est dit est moins important que ce qui n'est pas dit. Il ne cesse de nous faire voir le blanc dans le noir et le noir dans le blanc. C’est un théâtre traversé par les traces d’autres vies, et par les éléments. Les paroles, les vagues et le vent nous entraînent dans un vertige qui brouille l’orientation. Comme un voyageur qui voit la mer et le ciel se confondre à l’horizon, nous sommes amenés à perdre la notion du temps, à confondre le passé et l’avenir, la vie en chair et la vie imaginaire, et à nous surprendre nous-mêmes en découvrant de la gaîté dans ce qui nous fait peur. La magie de Jon Fosse a fait que nous, spectateurs, finissons par être nous-mêmes embarqués, amenés au lointain, tout en étant, tout en restant au plus près de nous, intimement confrontés à nous-mêmes, à nos angoisses et à notre désir d’apaisement. Une pièce méditative? Une comédie philosophique? Tout cela sans doute, et tout à fait autre chose. Il y a de la douce provocation dans sa manière de déplacer nos certitudes… La délicatesse de Jon Fosse n’a nul pareil. Ici, tout est allusion, l’économie des mots est la même que l’économie des moyens scéniques. La didascalie initiale en témoigne: "Je suis le vent" se joue sur un bateau imaginaire et à peine suggéré. Les actions sont également imaginaires et ne doivent pas être exécutées, mais suggérées. “

Lukas Hemleb dossier de presse Dossier pédagogique sur demande page MCA retour

Photo : Lionel Montagnier

Cirque Séquence 8 / Les 7 doigts de la main tout public Mise en scène : Shana CARROLL et Sébastien SOLDEVILA jeudi 7 octobre / 19h30 rencontre après le spectacle mercredi 8 octobre/ 20h30 samedi 5 avril /20h30 grand théâtre, 96 mn sans entracte Après le succès de Traces la saison passée, les circassiens québécois des 7 doigts de la main reviennent à Amiens. Explosif ! Drôle ! Sans limites ! Ces jeunes artistes de cirque sont des virtuoses. Ils nous avaient émerveillés par leur énergie communicative et leur technique parfaite. La compagnie est de retour avec de nouveaux artistes, tout aussi brillants, pour un spectacle encore plus vif et électrique. D’un numéro de bascule à la poésie de la magie en passant par les anneaux chinois ou le jonglage avec des briques, ils savent tout faire et emportent le public avec une allégresse insensée, défiant les lois de l’apesanteur. Un spectacle comme les anglo-saxons en ont le secret, à la frontière du cirque traditionnel et de l’invention permanente. Acrobaties, stand-up, danse, magie, tout y est, concentré, un atome chargé positif, vibrant et mouvementé. Chez ces jeunes artistes, l’on perçoit parfaitement cet esprit d’équipe, absolument nécessaire à la réussite de ces enchaînements vertigineux. On se prend alors à retrouver ce précieux goût de l’enfance, cet émerveillement en face de la performance, de cette débordante invention, de cet humour décalé. On est suspendu à leurs gestes dans les moments de tension intense, on rit de leurs tours de passe-passe et de leur autodérision. On est ému, abasourdi, on en redemande.

«Séquence 8 est un pur bonheur. C’est à la fois du cirque, du théâtre, de la musique, une incroyable performance athlétique entrecoupée de moments de grâce, le tout ponctué d’un humour délicieux. La beauté pure côtoie l’étonnement dans ce spectacle… Une bien jolie leçon de vie». Le Huffington Post Présentation vidéo du spectacle Dossier de presse Nuits de Fourvière vidéo2 site page MCA retour

Photo : Benjamin Ealovega

musique classique Orchestre de Picardie Collège, Lycée direction Edmon Colomer / Cédric Tiberghien piano

vendredi 10 octobre / 20h30 grand théâtre, 1h45 L’Orchestre de Picardie aux couleurs de l’Europe. Pour fêter son 30e anniversaire, l’Orchestre de Picardie invite le chef catalan Edmon Colomer qui en fut le directeur musical de 1998 à 2002. Sa riche carrière internationale le conduit désormais aux États-Unis, en Corée et en Espagne où il donne libre cours à sa passion pour l’éducation musicale des jeunes générations. Ce concert est une occasion exceptionnelle de prolonger une tradition, puisqu’à des pièces déjà interprétées à l’époque du premier concert donné par le Sinfonietta, sera associée une commande faite à cinq compositeurs de nationalités différentes. Poème symphonique en cinq mouvements intitulé Mont Blanc Symphony, l’œuvre en création mondiale célèbre les couleurs de l’Europe dans leur diversité. Commémorant le Centenaire de la Première Guerre mondiale, le Concertino pour la main gauche de Martinu (1926) écrit pour son compatriote tchèque Otakar Holman qui avait perdu son bras droit durant le conflit, aura en Cédric Tiberghien un interprète de prestige. Ce vainqueur du Concours Marguerite Long/Jacques Thibaud dont la renommée s’est affirmée rapidement à travers le monde - en particulier en Angleterre où son talent a su se faire apprécier dans les plus grandes salles - apportera élégance et distinction à cette partition primesautière écrite dans le goût ancien. Avec l’Ouverture de La Scala di Seta de Rossini (1812), la même gaîté et la même invention seront convoquées dans la veine si caractéristique du compositeur du Barbier de Séville, tandis que la Symphonie n°33 K.319 de Mozart (1779) réservera quelques belles surprises par son esprit joyeux avec un galop final mené à un train d’enfer et à l’énergie chevillée au corps. Un moment de fête pétillant comme le champagne pour accompagner les couleurs de l’Europe et marquer d’une pierre blanche la vitalité de l’Orchestre de Picardie en toute convivialité. Cédric Tiberghien Service éducatif de l'Orchestre de Picardie Page MCA retour

Photo : Chris Van Der Burght

Danse Tauberbach lycée option danse Münchner Kammerspiele / Les Ballets C de la B -

Concept et mise en scène Alain Platel mardi 14 octobre / 20h30, grand théâtre, durée 1h30 Après sa dernière création, Gardenia, qui nous avait tant émus, Alain Platel nous entraîne à nouveau aux

frontières vibrantes de l’émotion.

C’est l’une des grandes figures de la danse européenne, souvent perçue comme le chef de file d’une danse

flamande à la fois théâtrale, physique, et embrassant le monde dans tous ses états. Tauberbach ne fera pas mentir

cette vision d’un Alain Platel toujours en quête d’une gestuelle singulière s’arqueboutant à la musique, celle de

Bach et de Mozart, dessinant les contours d’un monde en désespérance, mêlant danseurs et non professionnels qui

génèrent ce que lui-même nomme «une danse bâtarde», condensation d’énergie, d’émotions à vif, de fulgurantes

beautés. À l’origine de cette nouvelle création, un documentaire sur une femme atteinte de schizophrénie, vivant

dans une décharge près de Rio de Janeiro et qui, à sa manière, offre un discours poétique et philosophique. Sur la

scène, des centaines de vieux vêtements jonchent le sol, écho d’un monde dépotoir, où les individus cherchent à

préserver leur dignité. On est littéralement plongé dans cette sorte de chaos dans lequel les danseurs tentent de

résister : ils se lovent dans les guenilles, y jouent, y disparaissent.

La chorégraphie décline tout autant la stridence de la résistance des corps que son abandon à la violence du

monde. C’est fulgurant mais aussi, parfois, drôle et toujours superbement incarné.

«Alain Platel, plus que tout autre, comprend et retraduit les bruits du monde. Sa danse en est un porte-voix. [ …]

L’humour y perce comme un faible soleil dans le gris de nos existences. Alain Platel est bien à sa manière un

magicien.» Les Échos

Extrait vidéo du spectacle Extrait2 à écouter en résonance avec le spectacle + page MCA retour

Photo : Frieke Janssens

théâtre Orlando lycée

texte : Virginia Woolf / traduction : Gerardine Franken mise en scène : Guy Cassiers

jeudi 16 octobre / 19h30 suivi d’une rencontre avec le public vendredi 17 octobre / 20h30 grand théâtre, durée : 1h45, en néerlandais surtitré en français Une virtuose adaptation d’un roman fantastique de Virginia Woolf. Un spectacle total d’un des plus grands metteurs en scène d’aujourd’hui. Après sa formidable adaptation de Macbeth accueillie la saison passée à la Maison de la Culture, le metteur en scène flamand signe ici avec sa comédienne fétiche Katelijne Damen, un spectacle aux confins du fantastique, l’histoire d’un personnage dont l’identité sexuelle va changer au cours du temps… Orlando commence sa vie d’adulte comme messager à la cour d’Elisabeth I puis part ambassadeur à Constantinople. Il rencontre des écrivains avec qui il se liera d’amitié. Le récit se termine des siècles plus tard, où l’on retrouve ce mystérieux personnage se promenant dans les rues de Londres. Orlando est immortel, ignore la mort, poursuit sa quête d’identité à travers les êtres et les paysages qu’il rencontre. Orlando est une ode à l’imagination, au langage, à la beauté, à la vie. L’homme est capable de s’adapter, de changer perpétuellement. L’imagination souveraine aide à transcender les épreuves du réel… Inspiré de la vie de sa maîtresse, Orlando est l’un des plus beaux récits d’amour de Virginia Woolf et de la littérature. Usant de la technologie dont il maîtrise tous les secrets et les infinies possibilités - des images en bouquets de couleurs à couper le souffle, des effets sonores inattendus -, Guy Cassiers embarque le spectateur dans ce magnifique voyage mental. Quant à l’actrice qui interprète ce personnage fantastique, elle est simplement exceptionnelle, à corps perdu dans les extraordinaires variations de l’être. «Une scène déborde d’émotion, l’autre d’ironie légère, mais toutes captivent de bout en bout.»

De Volkskrant (Pays-Bas)

Dossier pédagogique "Le Manège" Guy Cassiers "à propos d'Orlando" page MCA retour

Photo : BM Palazon

théâtre Oblomov lycée

d’Ivan Alexandrovitch Gontcharov / traduction : André Markowicz adaptation et mise en scène : Volodia Serre

avec la troupe de la Comédie Française lundi 3 novembre / 20h30 mardi 4 novembre / 19h30 suivi d’une rencontre avec le public grand théâtre, durée : 3h Guillaume Gallienne et la troupe de la Comédie-Française interprètent un grand classique de la littérature russe. Sublime ! Oblomov, propriétaire terrien vivant à Saint-Pétersbourg, passe ses journées sur son canapé, habité par une paresse proche de la léthargie. Rien, ni baisse de ses revenus ni un éventuel amour, ne semble pouvoir le faire bouger. Écrit par Ivan Gontcharov, un des fondateurs du roman réaliste russe, Oblomov est devenu un mythe dès sa parution en 1859. Si la révolution bolchévique en fera un parasite au sens social du terme, un homme du passé, Oblomov est un être qui refuse le monde extérieur. En cela, il est une figure éminemment moderne, oscillant entre humour, fantaisie et état dépressif, posant de par son attitude même des questions pertinentes à la société qui l’entoure. Oblomov est, selon Volodia Serre, l’expression «d’une manière sensible et fragile d’être au monde doublée d’une tendance indécrottable à la paresse». Il y a aussi chez le personnage une tendance au rêve éveillé, la quête d’un idéal associé au souvenir de sa maison d’enfance. La mise en scène déploie le rapport au temps au cœur du roman de Gontcharov où l’on passe d’une journée à une période de plusieurs mois et enfin aux dix dernières années d’Oblomov, créant ainsi le sentiment d’une vie en état de suspension. On ne peut attendre qu’avec impatience de voir Guillaume Gallienne dans le rôle titre, le succès de son premier film Les enfants et Guillaume à table en ayant fait d’un jour au lendemain une «star». La richesse de son jeu, sa capacité à passer de la drôlerie à l’émotion, trouvent avec ce personnage une formidable expression. «L'interprète d'Oblomov est admirable. [Guillaume Gallienne] porte ce spectacle en athlète fragile du théâtre, faisant de son jeu toute une estampe infiniment ciselée…» Le Point.fr Guillaume Gallienne nous parle d'Oblomov Comédie-Française page MCA retour

Photo : GMD

jazz Krakauer’s Ancestral groove Collège, Lycée «Checkpoint»

lundi 10 novembre / 20h30 grand théâtre, 1h45

Concert-tôt (CRR), à 19h30

La musique klezmer à son firmament ! Un artiste du Label Bleu couronné de succès. Issu d’une famille juive, David Krakauer est né et habite à New-York. Un professeur avait coutume de lui répéter : «Vous ne connaissez rien à la musique si vous n’avez pas vu Charlie Parker sur scène». Après des études à la High School of Music of Arts puis à la Juilliard School de New York, il devient l’un des musiciens de jazz les plus importants du genre, réalisant la symbiose entre une musique ancestrale, le klezmer, et l’inventivité du jazz. Fasciné par les rencontres, le clarinettiste part en quête des sons du monde et des racines. Esthète et curieux, Krakauer enregistre et obtient une synthèse surprenante et entraînante du jazz, du classique, du klezmer... Il improvise et déclenche la transe, dans une forme musicale qui, dit-il, tient d’une «supplique adressée à l’univers». Viennent alors les amitiés musicales : Les Klezmatics avec une tournée mondiale, des enregistrements avec le génial John Zorn puis SoCalled en 2000 qui introduit les beat du hip-hop. Puis affleurent les rythmes endiablés du funk, du rock et du blues qui ont bercé les fêtes de jeunesse. Il y a tout cela dans le dernier disque «Checkpoint» enregistré avec son groupe Ancestral Groove. C’est un voyage musical à la recherche des racines juives en Europe de l’Est de l’artiste - la Pologne, la Russie - que ses ancêtres ont laissées à la fin du XIXe siècle pour l’Eldorado américain. Krakauer s’est rendu sur ces terres avant la chute du mur, traversant ces frontières de hauts murs infranchissables. C’est là qu’il retrouve ses racines et ce fameux Klezmer, dans la rencontre et la joie du partage. Une joie toute communicative lors de ce concert qui marquera les esprits. «Débridé et sauvage, David Krakauer stupéfie sur scène. Quand il fait surfer à une allure époustouflante sa clarinette sur la crête des aigus, c'est une exubérante bouffée de joie qui passe.» Le Monde

extrait audio Dossier pédagogique Service éducatif MCA (pour le 15 octobre) Page MCA retour

Photo : Sylvain Decay

Danse Asa Nisi Masa jeune public dès 6 ans Chorégraphie, scénographie et conception vidéo José Montalvo

mercredi 12 novembre / 14h30, jeudi 13 novembre / 10h et 14h30 grand théâtre, durée 1h30

Des contes dansés avec animaux virtuels. Montalvo invente un bestiaire magique.

On ne présente plus José Montalvo, tant ses spectacles mêlant danse et vidéo, hommes et animaux, sont devenus familiers au

public amiénois. Sa nouvelle création, en direction du jeune public mais qui peut être vue pour tout un chacun, creuse à

nouveau ce sillon. Asa Nisi Masa se présente comme un ensemble virtuose de vingt contes chorégraphiques mettant en scène

des animaux virtuels avec des danseurs bien présents, en chair et en os sur le plateau. Ces contes d’animaux s’enchaînent avec

drôlerie dans un rythme infernal composant avec une véritable liberté formelle le maillage entre pratiques corporelles diverses

et variées et utilisation des technologies de pointe.

Le titre énigmatique du spectacle renvoie à Huit et demi de Fellini, formule magique proférée par une petite fille, véritable

sésame pour un voyage vers l’enfance. Mais Asa Nisi Masa est aussi une rêverie sur les animaux, leur mystère, leur étrange

beauté et ce qu’ils éveillent en nous. C’est un joyeux et beau métissage, un fabuleux bestiaire que démultiplie la vidéo.

Cet assemblage bigarré de contes miniatures où José Montalvo s’amuse, et nous amuse, crée un bel univers poétique, une

fenêtre grande ouverte sur un imaginaire foisonnant, un plongeon onirique dans l’enfance.

Extrait vidéo du spectacle page MCA retour

Photo :Mario Brenta/Karine de Villers

théâtre Orchidées Lycée

idée et mise en scène Pippo Delbono mercredi 12 novembre / 20h30 jeudi 13 novembre / 19h30 suivi d’une rencontre avec le public grand théâtre, durée : 1h55

L’essence du théâtre enveloppé par le cinéma. Jeux, danse, musique, images, l’acteur avant tout, pour un hymne à la liberté. Plans rapprochés ou plans d’ensembles. Pippo Delbono entraîne dans sa danse imprévisible les fantômes du cinéma, envoie ses acteurs traverser les miroirs. Hommage aux images. Fort d’une carrière au cinéma à succès, Pippo Delbono aime casser les murs, se joue des faux semblants, tour à tour virulent et apaisé, dans un grand spectacle chorégraphié. «Orchidées est un moment de questionnements sur les fausses représentations de la réalité», nous dit l’artiste. Une pièce politique, oui, mais aussi l’occasion d’une communion avec la pensée et la vie. Sont convoqués sur scène, l’histoire, les médias, la poésie, Shakespeare, Tchekhov, Berlusconi, dans un seul cri : «Liberté !». Tout commence par une adresse au public puis une formidable danse joyeuse emporte le public dans une succession de scènes où les images de fond, toutes sublimes, ouvrent la scène à l’infini… Inventeur d’images fortes, d’espaces, de rythmes, Pippo Delbono compose et dirige sa troupe, sa famille à refaire le monde. Dans Orchidées : des scandales, des fulgurances, des visions. Des couleurs, des voix, des éclats. Le monde tel qu’il est, ses merveilles, ses violences, et les bascules de l’histoire. Enfant terrible de la scène, le metteur en scène crée des mondes fantasmagoriques. Tous ses compagnons de route sont là pour célébrer cette nuit salvatrice : Bobò, Gianlucà.... Chanteurs, acteurs d’un monde de laissés pour compte, tous inventent une gigantesque célébration des forces de vie pour le théâtre et le cinéma. «Les exhalaisons d’Orchidées, pièce éclatée, souvent éclatante, couvrent tout le prisme des émotions.» Libération compléments presse page MCA retour

Cirque Slava's Snow Show à partir de 8 ans Mise en scène : Slava et Viktor Kramer mercredi 26 novembre / 20h30

jeudi 27 jeudi 27 novembre/ 19h30 /scolaires à 14h30 vendredi 28 novembre /20h30 samedi 29 novembre / 15h et 20h30 dimanche 30 novembre / 16h grand théâtre, durée : 1h15

Un spectacle qui a fait le tour du monde. Un succès sans pareil, couvert de récompenses. Un émerveillement pour petits et grands et un retour attendu sur la scène amiénoise ! Le Slava’s Snowshow échappe à toutes les définitions. Clown, conte, célébration, il est tout cela à la fois. Ce qui est sûr, c’est qu’il laisse des traces. Inoubliable, tant ses images sont belles et fortes. Pris dans un mouvement de jeu et de fantaisie, d’une drôlerie qui n’égale que la poésie des situations et des tableaux, ce spectacle traverse les âges et les frontières car il est d’une éternelle sensibilité, émouvant, spontané et scrupuleusement maîtrisé. Il nous parle de relations entre les êtres, de l’absurdité de la vie ou de la beauté de l’univers. Slava, combinaison jaune et nez rouge, et ses acolytes aux longues oreilles et pieds interminables de pingouins, dessinent de folles chorégraphies dans l’espace. Plus de frontières entre la scène et la salle, nous sommes tous ensemble emportés par cette féerie joyeuse et tendre. Il y a de la tragédie et de la comédie dans ce Slava’s Snowshow, de l’épique et du lyrique, de la naïveté et de la sagesse, de la tendresse et de la passion, des sentiments mêlés et réunis dans une fête magnifique, qui s’achève sous une épique tempête de neige… Dans une tradition du clown, du mime et de la Commedia dell’Arte, Slava Polounine est l’homme orchestre de cette troupe de clowns rêveurs et enchanteurs. Sa devise : «faire de la vie un théâtre». Un théâtre vital, magique, partagé par tous, du rire aux larmes de joie.

«Une bulle de bonheur, de folie douce et de poésie.» Le Monde

«Le clown le plus majestueux du monde…» Le Nouvel Observateur

En résonance, les musiques du Slava's + extrait vidéo du spectacle page MCA retour

Photo :DR

théâtre SuperamaX Lycée Options artistiques

concept, performance, son et lumières Superamas mardi 2 décembre / 19h30 mercredi 3 décembre / 19h30 jeudi 4 décembre / 19h30 suivi d’une rencontre avec le public petit théâtre, durée : 1h30

Quand le collectif d’artistes interroge l’identité masculine. Drôle, ingénieux et politique ! Après l’exploration des rêves sous forme de talk-show dans Youdream ou la Soirée Lounge, sorte de cabaret des temps modernes, la saison passée, le collectif Superamas revient sur la scène de la Maison de la Culture pour porter un regard critique sur l’identité masculine. Vidéastes, performeurs, danseurs, comédiens, musiciens, plasticiens, les Superamas conjuguent les expressions au pluriel, trouvant dans chaque forme les voix d’une nouvelle façon de dire et de penser. Reprenant les critiques formulées dans leurs précédentes créations à l’endroit du formatage, des pressions sociales, économiques ou historiques, ils décident aujourd’hui de revoir la condition humaine, version masculine : «Des hommes occupés à leurs affaires. Occupés par leurs relations d'affaires et de travail. Occupés à penser à leurs relations. Leurs relations avec les femmes, à parler des femmes», annoncent-ils. L’identité masculine se définit en négatif d'une identité féminine fantasmée. Au point de demander aux nombreuses interprètes féminines qui ont collaboré à leurs pièces passées, d'imaginer ce qu'elles souhaiteraient que les hommes de Superamas fassent. Eh bien, une partie de ces réponses nous seront offertes sur scène… L'homme s'y retrouve bien souvent nu et terriblement sensible… Trop ? C'est ce que nous allons voir. Le travail de Superamas n'est pas l'expression d'un auteur ou d'un individu, mais le résultat d'un processus de création collectif. Il en émerge un langage de la scène nécessairement au croisement des disciplines, où les questionnements techniques (les images, le son, la lumière…) sont présents aux côtés d’une réflexion proprement chorégraphique. Le collectif Superamas, associé à la Maison de la Culture, sera en résidence pour ses répétitions. Extrait vidéo page MCA retour

Photo : Richard Schroeder

opéra Katia Kabanova CHAM, Collège, Lycée Version de chambre de l’opéra de Leoš Janácek

mise en scène : André Engel / direction musicale : Irène Kudela

mardi 9 décembre / 20h30 grand théâtre, 1h30 Un miracle d’humanité pour cet extraordinaire et populaire drame chanté Longtemps ignoré dans l’Hexagone, le compositeur Leos Janácek (1854-1928) a connu, auprès du public, la même réhabilitation que son contemporain Gustav Mahler. Ses dix opéras, d’une force poétique peu commune, ont acquis aujourd’hui une célébrité qui ne se dément pas. Obscur professeur et chef d’orchestre à Brno (capitale de la Moravie), Janácek vécut une existence anonyme dans son propre pays jusqu’au succès remporté par son opéra Jenufa (1903) qui l’établit, à l’âge de soixante ans, comme un maître de l’art musical national, dans la continuité d’Antonin Dvorák. Au chant folklorique morave, il emprunte des phrases brèves et mélodiques et accuse dans son écriture les rythmes inspirés par la langue. Les contrastes vocaux entre les personnages s’expriment dans un feu continu de répliques. La vitalité juvénile de sa musique prend un nouveau souffle à la suite de sa rencontre avec Kamila Stösslova, une tzigane de près de quarante ans sa cadette dont il s’éprend. Leur idylle reste platonique malgré la correspondance passionnée des amants tous deux mariés. Katia Kabanova (1921), écrit d’après un drame d’Ostrovski, exprime des conflits émotionnels dont leur liaison n’est pas absente. L’héroïne Katia, mal assortie à son époux Tikhon et malmenée par sa belle-mère, finit par le tromper durant son absence. Torturée par le remords, elle se jette dans la Volga dans l’indifférence générale. La version de chambre avec piano que propose le metteur en scène André Engel prend, par son dépouillement suggestif, une intensité d’une force inouïe. Grand Prix pour le Meilleur spectacle lyrique de la Saison 2011/2012 décerné par le Syndicat de la Critique, tenue de bout en bout par des chanteurs investis, cette magnifique production tient de l’épure, avec une parfaite maîtrise de tous les arts de la scène. À ne manquer sous aucun prétexte ! Présentation du spectacle Dossier pédagogique en cours (21 novembre) Page MCA retour

Photo : Souheil Michael Khoury

Danse Eifmann Ballet, Saint-Petersbourg collège-lycée

RODIN et son éternelle idole jeudi 11 décembre / 20h30 grand théâtre, durée: 1h50 Un ballet dédié à l’œuvre d’Auguste Rodin et à sa relation passionnée avec Camille Claudel, son apprentie et sa muse. Les tumultes de l’art et de l’amour par un maître du ballet russe.

Boris Eifman crée sa propre compagnie en 1977, rompant avec les règles strictes de l’académisme russe pour

développer son propre style, résistant aux courants et modes pour imposer une forme d’expression personnelle. La

compagnie comporte aujourd’hui environ cinquante danseurs et est installé dans le Centre chorégraphique de

Saint-Pétersbourg. Depuis 1990, avec un répertoire de quelque quarante ballets, sa notoriété ne cesse de croître

dans le monde En 2011, le Eifman Ballet Theatre de Saint-Pétersbourg avait présenté à la Maison de la Culture

d’Amiens Anna Karénine sur une musique de Tchaïkovski. Il revient cette nouvelle création, qui fut un triomphe

l’année dernière au Théâtre des Champs-Élysées à Paris. Rodin et son éternelle idole est basé sur la relation

artistique et amoureuse, passionnée et tumultueuse, entre Auguste Rodin et Camille Claudel, qui plongera dans les

ténèbres de la folie après leur rupture. Sur des musiques de Ravel, Debussy, Massenet, Saint-Saëns et Satie, le

langage du corps, le mouvement de la chorégraphie sont les supports de l’expression de ce spectacle de la passion.

De l’asile, où Camille erre comme une somnambule, à l’atelier de Rodin, lieu de leur relation artistique et intime, le

ballet en deux actes met en scène à travers une gestuelle tantôt langoureuse, tantôt saccadée, portée par la

virtuosité des danseurs, l’inéluctable tragédie de deux grands artistes.

«Chorégraphie expressive, dramaturgie puissante, le ballet est servi par des interprètes magnifiques.» Le Journal du Dimanche

Extrait vidéo du spectacle Extrait vidéo (Danse macabre) page MCA retour

Photo : Agnes Mellon

Danse Cirque Théâtre visuel Azimut collège-lycée Conception, scénographie et mise en scène Aurélien Bory mercredi 17 décembre / 20h30

jeudi 27 jeudi 18 décembre/ 19h30 grand théâtre, durée : 1h

Un art de l’acrobatie ancestral, qui traverse les siècles et les mers pour atteindre l’absolue perfection. Un voyage visuel et spirituel mémorable ! Il existe au Maroc un art de la voltige unique au monde, qui se maintient grâce à des familles qui se constituent en troupes, parcourant les villes lors de fêtes traditionnelles, formant des pyramides humaines, se livrant à des acrobaties en cercle. Après Plus ou moins l’infini et Les Sept Planches de la ruse, présentés à Amiens, c’est de cette tradition séculaire qu’Aurélien Bory s’inspire avec Azimut - «le chemin» en arabe -, réunissant le Groupe acrobatique de Tanger qui avait enchanté le public amiénois en 2011 avec Chouf Ouchouf de Zimmermann & de Perrot. Avec eux, il se fait mathématicien et géomètre, cherche le chemin pour atteindre le Zénith. Quête de la courbe parfaite, le tutoiement des étoiles a à voir avec le divin, une sorte d’absolu, quand les corps défient la gravitation ou entrent en transe. Plongées dans un mystérieux clair-obscur, les figures des artistes surgissent comme des apparitions. Ils s’entrelacent, marchent sur les cieux, forment des roues vertigineuses… Ces jeux de lumière nimbés de chants soufis, ces décors faisant apparaître des chaînes de montagnes ou ces effets de transparence à couper le souffle, tout concourt à offrir un écrin propre à la méditation. L’envol est une recherche permanente, comme un point d’horizon que l’on ne peut atteindre, le saut de l’acrobate devient une tentative vaine de voler. Le vol convoque aussi cette machinerie du théâtre pour s’extraire de la pesanteur, par des contrepoids, des fils et des corps en suspension… «Dans le clair-obscur, les corps aériens en pantalons acidulés, souvent culs par-dessus tête, composent des apparitions inédites et superbes…. un monde en apesanteur des plus envoûtants.» Télérama Bande annonce du spectacle page MCA retour

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Le site du Label Bleu http://www.label-bleu.com

Nouvelle sortie

Krakauer's Ancestral Groove - Checkpoint

3 mars 2014

Commandez sur Itunes

Store> https://itunes.apple.com/album/checkpoint/id824798665

Exposition Reiner Ruthenbeck du 15 mai au 19 octobre

En partenariat avec le Kunstfonds de Pulheim et le Kunstmuseum de Wolsfsburg.

Cette exposition présente plus de 30 œuvres dont certaines réalisées sur place. Elle comporte des photographies des années 50/60, une grande peinture murale, des pièces au sol, (dont les 2 Papierhaufen (1970 et 1978/79) qui illustrent le passage de 3 états de la forme par un geste simple, banal et familier : le carré plat de la feuille, la boule du papier froissé et enfin la pyramide du tas), une grande suspension et une série de sculptures murales (1976-1997) qui ont la grâce du dessin. Commissaire d'exposition Hubert Besacier

Dossier de presse Site de l'artiste Reportage vidéo Page MCA retour

cinéma

Le Studio Orson Welles est un cinéma à part à Amiens.

Géré par la Maison de la Culture, Le Cinéma Orson Welles a une qualité de projection, de

son et de confort, qui permet de visionner des films dans de parfaites conditions. Sa

programmation défend les nouveaux talents et les œuvres atypiques autant que le

patrimoine du cinéma mondial.

Ainsi chaque semaine, le Cinéma Orson Welles propose un aller-retour entre l’actualité

et l’histoire. Et plus encore vous invite à plonger dans la rétrospective d’une œuvre

particulière accompagnée d’une «leçon de cinéma», à retrouver le plaisir des Ciné-clubs

et des «Dimanches au Ciné».

Et parce qu’il n’y a pas d’âge pour entretenir sa cinéphilie, le Cinéma Orson Welles est

partenaire des dispositifs «écoles et lycéens au Cinéma».

présentation

Informations pratiques

programmation

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LE SERVICE EDUCATIF

ET SES MISSIONS

« On ne peut désirer ce que l’on ignore, on ne peut aimer ce que l’on ne connaît pas,

attendre l’émergence du désir, c’est renvoyer à l’inégalité.» P. Meirieu

ÉDUCATION ARTISTIQUE ET CULTURELLE

Des écoles primaires aux lycées généraux, des classes artistiques aux lycées professionnels, des établissements agricoles aux centres de formation d’apprentis, le service éducatif de la Maison de la Culture travaille pour sensibiliser vos élèves dans la découverte du spectacle vivant, du cinéma ou des arts plastiques. Ses missions sont de vous informer des activités et ressources proposées par la Maison de la Culture mais également de mettre en œuvre avec vous des projets autour des différents spectacles programmés. Afin de préparer au mieux ces projets et activités, le service éducatif organise également des actions de formations et met à votre disposition des ressources pédagogiques. Nous vous proposons donc de vous accompagner pour enrichir votre projet éducatif et culturel, et par exemple de préparer vos élèves en amont des spectacles avec des artistes, de prêter des documents iconographiques et vidéos, de rencontrer les équipes artistiques,… Et bien d’autres choses encore !

ACTION CULTURELLE

ET SERVICE EDUCATIF

actions de la MCA en partenariat avec le Rectorat

des stages de formation continue en direction des enseignants sont régulièrement organisés (dans le cadre du Plan Académique de Formation). En avril prochain, le service éducatif en partenariat avec la DAAC Rectorat (Missions Musique et Théâtre) organisera un stage en résonance avec la représentation de La Mort de Tintagiles de Maeterlinck (mise en scène de Denis Podalydès).

l’appui d’un service éducatif à votre écoute : deux enseignants détachés du Rectorat d’Amiens animent le service éducatif pour être encore plus près de vos démarches et de vos préoccupations pédagogiques.

L Le Strapontin informe de l’actualité dédiée aux enseignants (programmation de la saison, stages, répétitions publiques, rencontre avec les artistes à l’issue des représentations, liens vidéos, dossiers de presse ou pédagogiques, accueil enseignants…). Prenez le temps de feuilleter cette Newsletter : vous y découvrirez une foule d’informations !

Des partenariats historiques avec les établissements scolaires

La Maison de la Culture d’Amiens propose un accompagnement pédagogique aux élèves dans leur

découverte du spectacle vivant. Nous conseillons les enseignants dans les choix de spectacle et les

accompagnons dans la préparation des élèves (envois de dossiers pédagogiques, interventions dans les

classes, rencontres et ateliers, visites des coulisses de la Maison de la Culture).

Nous organisons des visites d’exposition adaptées au public scolaire et proposons des projections de films «à

la carte» en fonction des disponibilités du Cinéma Orson Welles.

La Maison de la Culture d’Amiens est le partenaire culturel, désigné par la DRAC, pour l’enseignement

artistique dans les établissements suivants :

à Amiens : Lycée M. Michelis - options de déterminations théâtre et danse / Lycée R. de Luzarches -

option de détermination cinéma et audio-visuel / Lycée La Hotoie - option facultative théâtre et

atelier d’expression artistique danse / Lycée privé La Providence - option facultative théâtre /

Collège Édouard Lucas - ateliers artistiques théâtre et musique

à Montdidier : Lycée J. Racine - option facultative théâtre

à Clermont de l’Oise : Lycée Cassini - option facultative théâtre

La Maison de la Culture d’Amiens est également partenaire des dispositifs suivants :

PAC 80, coordonné par le Conseil général de la Somme, en direction des collèges.

Pass’Sport et Culture initié par le Conseil général de la Somme, en direction des collèges.

Passeport Culturel et Cartes Cursus Picardie, coordonné par le Conseil régional de Picardie, en

direction des lycéens, apprentis, jeunes en formation professionnelle, etc.

École et Cinéma et Lycéens au cinéma, coordonnés par l’ACAP.

Le jumelage avec des établissements scolaires et l’IUFM

Le jumelage initié en 2011 avec les établissements amiénois : le collège Edouard Lucas, La Providence, le

lycée Robert de Luzarches, le lycée M. Michelis et l’Ecole supérieure de Professorat et d’Education

(anciennement IUFM) se poursuit. Le jumelage va au-delà du partenariat. Il implique l’établissement dans

son ensemble et la Maison de la Culture avec ses différents services : relations publiques, communication,

technique, administration, production. Les deux structures sont liées par une convention cadre qui est

actualisée chaque saison par une annexe prenant en compte la programmation et le projet culturel de

l’établissement scolaire. L’idée reste bien d’ouvrir les portes de la MCA au plus grand nombre et de faire

découvrir les différents volets de notre projet culturel à travers des moments privilégiés de rencontres et de

pratiques avec les artistes… À chaque fin de saison, nous ouvrons les portes du petit théâtre aux

établissements partenaires et jumelés, et leur proposons de présenter les travaux de fin d’année des élèves.

contacts

Service éducatif

Jean COURTIN, musique et danse

jean.courtin@ac-amiens.fr / 03 22 97 79 79

Permanence le vendredi de 14h à 18 h (occasionnellement le mercredi de 14h à 18h)

Delphine PETIT, théâtre et cinéma

delphine.petit@ac-amiens.fr / 03 22 97 79 79

Permanence le jeudi de 8h30 à 12h30

Relations publiques scolaires et formation

Claire-Emmanuelle BOUVIER

ce.bouvier@mca-amiens.com / 03 22 97 79 55

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Dossiers pédagogiques et documentaires

envoyés sur simple demande à Jean Courtin ou Delphine Petit

2014-2015 Je suis le vent, Jon Fosse

2013-2014 Itinérances, Nicolas Le Riche

Beautiful Africa, Rokia Traoré

Macbeth (lien vers le dossier )

Obstinato , Zic-Zazou

Trafic, Daniel Jeannetau

l'Art et la Révolte , Abd Al Malik

Chocolat clown nègre, G. Noiriel, M. Bozonnet

Golgota, Bartabas et Andrès Marin

MCBTH, Shakespeare / Guy Cassiers

Requiem, Verdi

The Roots Kader Attou

2012-2013

Die schöne Müllerin Matthias Goerne

Le couloir des exilés, M. Agier, C. Portevin, M.Bozonnet

Le Sacre du printemps, Stravinsky

Le Sacre du Printemps ( présentation multimédia – format Powerpoint)

Le Misanthrope, Molière, J.F. Sivadier (fiche pédagogique)

En matière de vide, Katerini Antonakaki

Jeux de cartes 1 : PIQUE, R. Lepage (lien vers le dossier )

Jeux de cartes 1 : PIQUE (sur la scénographie-format PDF)

Jeux de cartes 1 : PIQUE (sur la scénographie-format Power Point)

Le Lac des cygnes, P.I Tchaïkovski

L'homme qui se hait, E. Bourdieu, D. Podalydès

Le Bourgeois gentilhomme, Molière/Lully (présentation multimédia – format Powerpoint)

2011-2012

Boxe Boxe, Mourad Merzouki

Chocolat clown nègre, G. Noiriel, M. Bozonnet

La grande et fabuleuse histoire du commerce, J. Pommerat

Le gros, la vache et le mainate, P. Guillois

Expressions artistiques du Maghreb

Lalala Gershwin, Hervieu -Montalvo

Rokia Traoré

Dave Holland & Pepe Habichuela

2010-2011

Andrés Marin / Danse flamenco

Concert Tiberghien, orchestre de Picardie

Une Flûte enchantée, Peter Brook

Concert de Noël, orchestre de Picardie

Concert de Chérifa

Nearly 90², Merce Cunningham

Orphée

2009-2010

Sacre du printemps / Prélude à l’après-midi d’un faune

Concert Orchestre de Picardie : Concerto pour sept instruments à vent de

F.Martin, Symphonie n°3 Eroïca de Beethoven

Zic-Zazou

Matthias Goerne / Winterreise Schubert

Solo #2 Fréquences (Poème symphonique de Ligeti)

Concert Gilles APAP (Quatre saisons de Vivaldi, musique irlandaise)

Petite discographie klezmer (présentation Powerpoint à télécharger)

David Krakauer (+ musique klezmer)

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Télécharger la brochure MCA in extenso

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