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Jean-Baptiste Poquelin (Moliere) Jean-Baptiste Poquelin fut acteur, dramaturge, metteur en scène, directeur de troupe, tout à la fois. De plus, il tient sa place dans le panthéon des plus grands écrivains français, non seulement à cause de la façon dont il maniait ses vers, mais parce qu’il fait rire. C’est avant tout un auteur comique, et son œuvre emprunte toute méthode concevable pour exulter ses spectateurs. Sa vie, d’ailleurs, fut une série de tourbillons. Sans cesse atteint de maladies, Molière connut de grands succès aussi bien que l’échec total. Il était à la fois adoré par ses amis et détesté par un grand nombre d’ennemis. D’une part on le comblait de louanges, de l’autre on l’accablait de calomnies. L`AVARE Résumé: Acte I - L'intrigue se passe à Paris. Le riche et avare Harpagon a deux enfants : Élise qui est amoureuse de Valère, un gentilhomme napolitain au service de son père en qualité d'intendant, et Cléante qui souhaite épouser Mariane, une jeune femme vivant chez sa mère sans fortune. Il ne supporte pas que l'avarice de son père contrarie ses projets amoureux. Harpagon est terrifié par une crainte obsédante : il a dissimulé dans le jardin, une cassette qui renferme dix mille écus d'or, il a peur qu’on la découvre et qu'on la lui vole. Suspicieux, il se méfie de tout le monde, même de ses enfants, il va jusqu'à renvoyer La Flèche, le valet de Cléante. Finalement, il leur dévoile ses intentions : il va épouser Mariane, Élise est promise (sans apport de dot) à Anselme, un vieillard, et Cléante est destiné à une veuve. La jeune fille refuse énergiquement, son père demande à Valère de la convaincre. Acte II - Cléante, qui ne peut compter sur son père, a un besoin d'argent de quinze mille écus. La Flèche, son valet, se charge de lui trouver un prêteur, un intermédiaire l'informe des conditions qui relèvent de l'usure la plus

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Jean-Baptiste Poquelin (Moliere)Jean-Baptiste Poquelin fut acteur, dramaturge, metteur en scène, directeur de troupe, tout à la fois. De plus, il tient sa place dans le panthéon des plus grands écrivains français, non seulement à cause de la façon dont il maniait ses vers, mais parce qu’il fait rire. C’est avant tout un auteur comique, et son œuvre emprunte toute méthode concevable pour exulter ses spectateurs.

Sa vie, d’ailleurs, fut une série de tourbillons. Sans cesse atteint de maladies, Molière connut de grands succès aussi bien que l’échec total. Il était à la fois adoré par ses amis et détesté par un grand nombre d’ennemis. D’une part on le comblait de louanges, de l’autre on l’accablait de calomnies.

L`AVARERésumé: Acte I - L'intrigue se passe à Paris. Le riche et avare Harpagon a deux enfants : Élise qui est amoureuse de Valère, un gentilhomme napolitain au service de son père en qualité d'intendant, et Cléante qui souhaite épouser Mariane, une jeune femme vivant chez sa mère sans fortune. Il ne supporte pas que l'avarice de son père contrarie ses projets amoureux. Harpagon est terrifié par une crainte obsédante : il a dissimulé dans le jardin, une cassette qui renferme dix mille écus d'or, il a peur qu’on la découvre et qu'on la lui vole. Suspicieux, il se méfie de tout le monde, même de ses enfants, il va jusqu'à renvoyer La Flèche, le valet de Cléante. Finalement, il leur dévoile ses intentions : il va épouser Mariane, Élise est promise (sans apport de dot) à Anselme, un vieillard, et Cléante est destiné à une veuve. La jeune fille refuse énergiquement, son père demande à Valère de la convaincre. Acte II - Cléante, qui ne peut compter sur son père, a un besoin d'argent de quinze mille écus. La Flèche, son valet, se charge de lui trouver un prêteur, un intermédiaire l'informe des conditions qui relèvent de l'usure la plus outrancière. Révolté, il finit par découvrir que l'usurier n'est autre que son père ; une violente dispute les oppose. L'intrigante Frosine entre en scène, elle persuade Harpagon que Mariane est une femme qui préfère les hommes âgés et qu'elle serait disposée à se marier avec lui. L'avare est ennuyé par le manque de fortune de la jeune femme, mais Frosine le convainc qu'une personne pauvre qui ignore les dépenses ne peut que lui convenir. L'intrigante veut se faire payer de ses services, mais Harpagon élude et s'en va. Acte III - À l'occasion de la signature du contrat de mariage, Harpagon a invité Mariane à dîner. Il sermonne sa domesticité et en particulier Maître Jacques, pour que les dépenses soient limitées. Le cuisinier proteste, l'intendant Valère soutient l'avare et prône l'économie ; une vive algarade s'ensuit au cours de laquelle Maître Jacques reçoit des coups de bâton, et dès lors ne songe plus qu'à se venger. Arrive Frosine qui introduit Mariane dans la maison, nerveuse à l'idée de rencontrer son futur époux. Quand celui-ci paraît, elle est dégoûtée par son physique, c'est à ce moment que Cléante arrive, elle reconnaît le jeune homme qui est l'objet de ses pensées. S'ensuit une conversation entre les amoureux, dans laquelle à mots voilés ils s'avouent leurs sentiments réciproques. Cléante retire une bague

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de grande valeur du doigt de son père, et l'offre en son nom propre à celle qu'il aime. Harpagon n'a pas véritablement compris la situation. Acte IV - Les deux jeunes amoureux sollicitent Frosine pour qu'elle intervienne auprès du barbon, et qu'il renonce à son mariage insensé. Harpagon surprend son fils en train de baiser la main de Mariane, et conçoit immédiatement des soupçons dont il veut s'assurer. Afin de sonder son fils et connaître ses espoirs, il prétend avoir changé ses projets et renoncé au mariage. Le fils naïf dit tout à son père, son amour pour la jeune fille et son désir de l'épouser ; furieux, Harpagon résiste mal à un accès de violence et le maudit. Maître Jacques intervient pour les séparer et les raccommoder : en aparté, il leur fait croire à chacun que l'autre a abandonné la partie. La réconciliation est de courte durée, la dispute reprend de plus belle et ne cesse qu’à l'arrivée de La Flèche, avec la cassette des dix mille écus d'or, qu'il a lui-même dérobée. Hors de lui, Harpagon promet de trouver le coupable et de le châtier comme il se doit. Acte V - Harpagon demande un commissaire de police afin d'enquêter sur le vol de la cassette et, dans son délire d'avaricieux, il veut faire interroger tous les Parisiens. Par vengeance, Maître Jacques désigne Valère qui arrive à ce moment. On le somme de s'expliquer et de reconnaître son forfait. Malentendu, pensant que ses sentiments pour Élise sont connus, il admet qu'elle est secrètement sa fiancée. Une fois de plus Harpagon comprend avec retard et la fureur le reprend. Anselme, qui doit épouser Élise, entre en scène alors que Valère a commencé le récit de son histoire. Le vieillard comprend que Valère et Mariane sont ses enfants, il était persuadé qu'ils avaient péri dans un naufrage, il y a fort longtemps. Valère va épouser Élise et Cléante va épouser Mariane. Harpagon accepte leurs mariages, tant que Anselme paye tout. Il reste seul avec sa cassette, dégouté de ce qui lui arrive.

Répliques célèbres

« Tous les hommes sont semblables par les paroles; et ce n'est que les actions qui les découvrent différents. » (Elise, acte I, scène première) « Que la peste soit de l'avarice et des avaricieux ! » (La Flèche, acte I, scène III) « Qui se sent morveux, qu'il se mouche. » (La Flèche, acte I, scène III) « Sans dot ! Le moyen de résister à une raison comme celle-là ? » (Valère, acte I, scène V) « Donner est un mot pour qui il a tant d’aversion, qu’il ne dit jamais : « Je vous donne », mais « Je vous prête le bonjour ». » (La Flèche, acte II, scène IV) « Quand il y a à manger pour huit, il y en a bien pour dix. » (Harpagon, acte III, scène I) « Il faut manger pour vivre, et non pas vivre pour manger. » (Valère, acte III, scène I) « Hélas ! mon pauvre argent, mon pauvre argent, mon cher ami ! On m'a privé de toi ; et puisque tu m'es enlevé, j'ai perdu mon support, ma consolation, ma joie ; tout est fini pour moi, et je n'ai plus que faire au monde ! Sans toi, il m'est impossible de vivre. » (Harpagon, acte IV, scène VII) « je me meurs ; je suis mort ; je suis enterré... » (Harpagon, acte IV, scène VII) « J'enrage ! » (Harpagon, Acte III, Scène I) « Le seigneur Harpagon est de tous les humains, l'humain le moins humain; le mortel de tous les mortels, le plus dur, et le plus serré. »(La Flèche, acte II, scène IV)

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Tartuffe de Molière. Résumé

Orgon est l’archétype du personnage de cour tombé sous la coupe de Tartuffe, un hypocrite et un faux dévot. Il est, ainsi que sa mère, Madame Pernelle, dupe de Tartuffe. Ce dernier réussit à le manipuler en singeant la dévotion et il est même parvenu à devenir son directeur de conscience. Il se voit proposer d'épouser la fille de son bienfaiteur, alors même qu’il tente de séduire Elmire, la femme d'Orgon, plus jeune que son mari. Démasqué grâce à un piège tendu par cette dernière afin de convaincre son mari de l'hypocrisie de Tartuffe, Tartuffe veut ensuite chasser Orgon de chez lui grâce à une donation inconsidérée que celui-ci lui a faite de ses biens. En se servant de papiers compromettants qu’Orgon lui a remis, il va le dénoncer au Roi. Erreur fatale : le Roi a conservé son affection à celui qui l’avait jadis bien servi lors de la Fronde. Il lui pardonne et c’est Tartuffe qui est arrêté.

Acte I

La scène d'exposition s'ouvre sur le départ mouvementé de madame Pernelle, mère d'Orgon, déçue et révoltée du train de vie que mènent ses petits-enfants, sa belle fille et son beau-fils par alliance. Ainsi l'acte s'ouvre sur le chaos installé par Tartuffe dans cette famille. Orgon apparaît alors. Il raconte avec émotion à Cléante sa première rencontre avec Tartuffe.

Acte II

Orgon veut briser son engagement envers Valère et marier sa fille Mariane à Tartuffe. Cette nouvelle cause une dispute entre les deux amants, dispute vite réglée par Dorine la servante de Mariane, qui complote pour rétablir le calme dans sa maison.

Acte III

Tartuffe apparaît et tente de séduire Elmire. Damis entend la conversation et en informe son père. Par la suite, Damis est chassé par son père qui l'accuse de dénigrer Tartuffe. Orgon veut faire de Tartuffe son héritier.

Acte IV

Cléante tente en vain de mettre Tartuffe en face de ses responsabilités. Il est la cause du renvoi de Damis. Quant à l’héritage, il lui indique qu’il n’a aucune légitimité pour en bénéficier. Tartuffe reste intraitable : il n’interviendra pas pour aider Damis et il ne peut refuser cette donation. Mariane, dont le sort semble scellé, livre à son père son désespoir de se voir promise à Tartuffe. Elmire décide alors d’agir. Face à la crédulité et à l'aveuglement de son mari, elle lui propose de lui apporter la preuve de l’hypocrisie de son protégé. Elle demande à Orgon de se cacher sous la table afin qu'il puisse assister à une entrevue qui n'aura d'autre but que de révéler la véritable personnalité de Tartuffe. Survient alors Tartuffe qui se montre tout d’abord méfiant. Puis très vite il recommence une cour assidue auprès d’Elmire. À la fois furieux et effondré, Orgon intervient et ordonne à Tartuffe de quitter les lieux. Hélas, il est trop tard. Tartuffe rappelle à Orgon qu’il lui a fait don durant l’après-midi de ses biens et que c'est lui, Tartuffe, qui est à présent le propriétaire de la maison.

Acte V

Tartuffe réclame l'arrestation d'Orgon, comme traître au Roi. En effet Orgon a mis dans ses mains une

cassette qu'un ami lui avait confié, cette cassette contenant des documents compromettants. Coup de

théâtre : l'exempt lui rétorque que c'est lui, Tartuffe qu'on va arrêter sur le champ sur ordre du Roi.

Tartuffe ne comprend pas. C'est que le Roi, en récompense des services rendus par Orgon, lui

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pardonne cette correspondance et punit le délateur Tartuffe, coupable d'un crime commis avant le

temps de la pièce.

Ainsi la pièce se termine dans la joie, car, de ce fait et par autorité royale, le Prince annule les papiers

signés par Orgon et faisant acte de donation à Tartuffe et Orgon donne la main de Mariane à

Valère, « amant fidèle ».

Le Malade imaginaireLe Malade imaginaire est la dernière comédie écrite par Molière. Il s'agit d'une comédie-ballet en trois actes (comportant respectivement 8, 9 et 14 scènes), représentée au Théâtre du Palais-Royal le 10 février 1673 par la troupe de Molière ; après les « comédies désespérées » (Dom Juan ou le Festin de pierre et Le Misanthrope ou l'Atrabilaire amoureux), elle retrouve une certaine inspiration de la commedia dell'arte, mais d'une qualité bien supérieure aux premières farces de Molière. La musique est de Marc-Antoine Charpentier et les ballets de Pierre Beauchamp.

Argan est un homme parfaitement bien portant, ce qui ne l’empêche pas de se croire très malade. Il entre en fureur quand on lui dit qu’il se porte bien. À la fin du mois, il additionne tous les médicaments qui lui ont été administrés. Il n’en a que vingt, le mois précédent il en avait trente-deux. « Je ne m’étonne pas, dit-il avec douleur, si je ne me porte pas si bien ce mois-ci que l’autre. Je le dirai à M. Purgon, afin qu’il mette ordre à cela. » Deux médecins se sont emparés de lui. L’an, M. Diafoirus, aime mieux médicamenter le peuple, où l’on n’a qu’à suivre les règles de l’art, sans se mettre en peine de ce qui peut arriver. Les grands ont cela de fâcheux, qu’ils veulent absolument qu’on les guérisse. « Un médecin, dit-il, n’est obligé qu’à traiter les gens dans les formes c’est à eux à guérir s’ils peuvent. » M. Diafoirus veut qu’on mette les grains de sel par nombre pair dans un œuf, et par nombre impair dans les médicaments. Son confrère, M. Purgon, fait croire à Argan qu’il mourra s’il reste trois jours sans être visité par lui. Il entre en fureur et le menace de toutes les maladies, parce qu’il n’a pas pris un des remèdes les plus innocents de la médecine. Cependant, Argan est le plus docile des malades. On lui a ordonné de se promener douze allées et douze venues dans sa chambre ; il se désole parce qu’il a oublié de demander si c’était en long ou en large. Pour s’assurer des secours contre la maladie, il veut marier sa fille Angélique, malgré elle, à M. Thomas Diafoirus, le fils de son médecin. Heureusement celle-ci trouve un puissant auxiliaire dans sa servante Toinette qui ne craint pas d’affronter le courroux d’Argan et même de Béline, sa seconde femme, pour s’opposer à ce ridicule mariage. Il est vrai que Béline ne demande pas mieux que d’éconduire de la maison les enfants d’un premier lit ; même, par des caresses perfides, elle flatte les faiblesses de son mari, lui donne des témoignages hypocrites de tendresse, jusqu’à ce qu’enfin elle soit parvenue à lui faire faire un testament en sa faveur, au préjudice de ses enfants. Mais Toinette démasque ses

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perfidies et Argan n’en est bientôt que trop convaincu. Cependant, à défaut de Thomas Diafoirus, il tient encore à avoir un gendre médecin. Qu’à cela ne tienne, le jeune homme qu’Angélique agrée, Cléante, consent à se faire médecin. « Et pourquoi pas vous faire médecin vous-même ? » lui dit son frère. Cette idée lui sourit mais il se sent malheureusement trop vieux « pour apprendre le latin et pour connaître les maladies et les remèdes ». « Il n’y a pas besoin d’études, lui réplique-t-on en recevant la robe et le bonnet, tout galimatias devient savant, et toute sottise devient raison. » Argan, enchanté, se fait recevoir médecin et cette cérémonie burlesque termine la pièce en couvrant de ridicule tous les Purgons et les Diafoirus. Dans cette pièce, on voit combien l’amour désordonné de la vie est destructeur de toute vertu morale. Argan, voué à la médecine, esclave de M. Purgon, est aussi un époux sot et dupe, un père injuste, un homme dur, égoïste, colérique. Avec quelle énergie et quelle vérité l’auteur trace le tableau des caresses perfides d’une belle-mère qui abuse de la faiblesse d’un imbécile mari pour dépouiller les enfants du premier lit ! Quelle décence, quelle raison, quelle fermeté dans le caractère d’Angélique ! Cette comédie est l’image fidèle de ce qui se passe dans un grand nombre de familles. Enfin, l’auteur a osé y attaquer un des préjugés les plus universels et les plus anciens de la société, il a osé y combattre les deux passions qui font le plus de dupes, la crainte de la mort et l’amour de la vie ; il a bien pu les persifler, mais, hélas ! il était au-dessus de son art de les détruire. Les usages qui ont leur force dans la faiblesse humaine, bravent tous les traits du ridicule. Molière, il faut bien l’avouer, n’a point corrigé les hommes de la médecine, mais il a corrigé les médecins de leur ignorance et de leur barbarie.

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Œuvres

Théâtre

La Jalousie du Barbouillé (?)

Le Médecin volant (?)

L’Étourdi (Fin 1654)

Le Dépit amoureux (16 décembre 1656)

Les Précieuses ridicules (18 novembre 1659)

Sganarelle ou le Cocu imaginaire (28 mai 1660)

Dom Garcie de Navarre (4 février 1661)

L’École des maris (24 juin 1661)

Les Fâcheux (17 août 1661)

L’Ecole des femmes (26 décembre 1662)

La Critique de L’École des femmes (1er juin 1663)

L’Impromptu de Versailles (14 Octobre 1663)

Le Mariage forcé (29 janvier 1664)

La Princesse d’Élide (8 mai 1664)

Le Tartuffe (12 mai 1664)

Dom Juan (15 février 1665)

L’Amour Médecin (15 septembre 1665)

Le Misanthrope (4 juin 1666)

Le Médecin malgré lui (6 août 1666)

Mélicerte (2 Décembre 1666)

Pastorale comique (5 janvier 1667)

Le Sicilien ou l’Amour peintre (14 Février 1667)

Amphitryon (13 janvier 1668)

George Dandin (18 juillet 1668)

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L’Avare (9 septembre 1668)

Monsieur de Pourceaugnac (6 octobre 1669)

Les Amants magnifiques (4 février 1670)

Le Bourgeois gentilhomme (14 octobre 1670)

Psyché (17 janvier 1671)

Les Fourberies de Scapin (24 mai 1671)

La Comtesse d’Escarbagnas (2 décembre 1671)

Les Femmes savantes (11 mars 1672)

Le Malade imaginaire (10 février 1673)

Œuvres diverses

Remerciement au Roi

Les Plaisirs de l’Ile enchantée

Préface de l’édition de 1682

Le Ballet des Muses

La Gloire du Val-de-Grâce