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CCTPCCTPCCTPCCTP Cahier des Clauses Techniques Particulières

du Lot n° 2 – Electricité – VDI

RESTRUCTURATION DU LYCEE

GALILEE VIENNE (38)

TRAVAUX SALLE DE CHIMIE ATELIER EST

Maître d’Ouvrage LYCEE GALILEE 124 avenue du Général Leclerc 38200 VIENNE

Mai 2015

Restructuration du lycée Galilée VIENNE Création d’une salle de chiimie

1224-PRO-CCTP-01-A-Electricité - VDI CH.doc 2 sur 24

SOMMAIRE

1 GENERALITES ADMINISTRATIVES 4

1.2 DESCRIPTION DE L'OPERATION 4

1.3 RAPPEL IMPORTANT 4

1.4 OBJET DU PRESENT DESCRIPTIF 4

1.5 DOCUMENTS A CONSULTER 4

1.6 TEXTES REGLEMENTAIRES ET NORMES A OBSERVER 5

1.6.1 TEXTES ET NORMES 5

1.7 ETENDUE DES PRESTATIONS 5

1.7.1 COORDINATION AVEC LES AUTRES ENTREPRISES 5

1.7.2 PREALABLE AU CHANTIER 5

1.7.3 CONDITIONS GENERALES D'EXECUTION ET LIMITES DE PRESTATIONS 5

1.7.4 LIMITES DE PRESTATIONS 6

1.7.4.1 En gros œuvre 6

1.7.4.2 En peinture et finition 7

1.7.4.3 DIVERS 7

1.8 FONCTIONNEMENT ET SECURITE DU CHANTIER 7

1.8.1 MATERIEL DE CHANTIER 7

1.8.2 ORGANISATION DU CHANTIER 7

1.8.3 ASSURANCES 8

1.9 ESSAIS 8

1.10 GARANTIE 8

2 TRAVAUX D’ELECTRICITE 9

2.1 TRAVAUX PREALABLES 9

2.1.1 Consignation réseaux 9

2.2 EQUIPEMENT DE LA SALLE DE CHIMIE 9

2.2.1 Alimentations électriques 9

2.2.1.1 Alimentation générale 9

2.2.2 Armoire divisionnaire 9

2.2.2.1 généralités 9

2.2.3 Alimentations diverses 10

2.2.4 Equipement électrique 11

2.2.5 circuit de terre, liaisons équipotentielles 11

3 INSTALLATION VDI 11

3.1 PRESENTATION 11

3.2 ARCHITECTURE 12

3.3 LOCALISATION GEOGRAPHIQUE DU LOCAL TECHNIQUE SECONDAIRE VDI (LTS) 12

3.4 ALIMENTATION POUR INFRASTRUCTURE INFORMATIQUE 12

3.4.1 Distribution courants forts 12

3.4.1.1 Caractéristiques 13

3.4.2 Infrastructure courants faibles 14

3.5 IMPLANTATION DES BORNES « UTILISATEUR » 15

3.5.1 Equipement des postes de travail en plinthe, poteaux ou boîtiers : 15

3.5.2 Nombre de bornes 15

3.5.3 Position des bornes 15

3.5.4 Distribution 16

3.6 EQUIPEMENT DES LTS 16

3.6.1 Principe de brassage et de connexion 16

3.6.2 Sous répartiteurs 17

3.6.3 Agencement des baies de distribution 18

3.6.3.1 Panneaux RJ 45 18

3.6.4 Identification des prises de baies ou borne 18

3.6.5 Cordons de Brassage 18

3.6.6 Cordons de Raccordement 19



3.7 LE CÂBLAGE 19

3.7.1 Câblage de distribution capillaire 20

3.7.2 Câblage de distribution primaire 20

3.8 PRISES DE COMMUNICATIONS 20

3.9 CONTROLES, TESTS ET RECEPTION 21

3.10 CONTRÔLES ET TESTS 21

3.10.1 Câblage cuivre 21

3.11 RECETTE 22

3.11.1 RECETTE CUIVRE 23

3.11.1.1 Recette statique 23

3.11.2 RECETTE DES RESEAUX DE TERRE 23

3.12 DOCUMENTATION (OU D.O.E.) 23



1 GENERALITES ADMINISTRATIVES

1.2 DESCRIPTION DE L'OPERATION

Le présent descriptif concerne les travaux d’aménagement d’un laboratoire de chimie dans la salle A016 située d ans la zone atelier EST du Lycée Galilée à Vienne (38).

1.3 RAPPEL IMPORTANT

Il est rappelé que les marques et les références qui sont indiquées dans ce descriptif le sont pour une meilleure compréhension de l'installation. Excepté le cas ou les appareils prescris le sont par vœux expresse du Maître d'ouvrage ces marques peuvent être modifiées. Cependant les variantes proposées doivent amener un niveau de prestations techniques (qualité, fiabilité, performances, etc .... ) au moins équivalent à la solution de base et recevoir l'approbation écrite du bureau d'études.

1.4 OBJET DU PRESENT DESCRIPTIF

Le présent descriptif a pour objet la définition du contenu des travaux concernant le lot ELECTRICITE – COURANTS FABILES - VDI ELECTRICITE

• Déplacement de la coupure d’urgence sur armoire électrique principale atelier bois • Installation d’une armoire électrique divisionnaire • Distribution électrique • Equipement des locaux en prises • Eclairage de sécurité • Alimentations diverses (paillasses, sorbonne, etc…)

VDI

• installation VDI provisoire (la charte VDI de la Région Rhône-Alpes n’est pas à repecter. L'entreprise doit tous les travaux nécessaires à une parfaite et complète exécution des ouvrages tels que définis par le présent descriptif.

1.5 DOCUMENTS A CONSULTER

Chaque consultant doit prendre connaissance de l'ensemble des documents d'ordre technique, administratif et financier, et règlements ayant traits à cette consultation, soit :

* le Cahier des Clauses Générales Applicables aux Travaux de bâtiment, * le présent Cahier des Clauses Techniques Particulières, * le descriptif quantitatif joint à ce C.C.T.P. * le dossier de plans techniques "CENA INGENIERIE"



1.6 TEXTES REGLEMENTAIRES ET NORMES A OBSERVER

1.6.1 TEXTES ET NORMES

Les règles de l'Art et les textes officiels existant à la signature du contrat doivent être respectés dans l'ensemble de la réalisation des travaux du présent lot. La norme NFC 15 100 applicable est l’édition de 2002 (y compris mise à jour juin 2005 et amendement août 2008). L’appareillage de la cuisine devra répondre aux dispositions du guide UTEC 15201.

1.7 ETENDUE DES PRESTATIONS

1.7.1 COORDINATION AVEC LES AUTRES ENTREPRISES

L'entrepreneur doit se mettre en rapport avec les entreprises des autres lots. L'Entrepreneur doit commencer les travaux d'installation dès qu'il en reçoit l'ordre écrit, et les poursuivre sans interruption jusqu'à l'achèvement, et de façon à respecter les délais d'exécution qui lui sont demandés. Il suivra à la lettre les instructions qui lui seront données par le Maître d'Œuvre sous les ordres du Maître d'Ouvrage. En cours d'exécution des travaux, l'Entrepreneur ne pourra apporter aucune modification à son projet sans y être autorisé par écrit. En revanche, il devra faire tout ce qui lui sera demandé par l'Architecte ou le Maître d'Ouvrage, en ce qui concerne les emplacements d'appareils et les parcours des tuyauteries.

1.7.2 PREALABLE AU CHANTIER

L'entrepreneur doit : - présentation au Maître d’Oeuvre d'un échantillonnage complet des matériels mis en œuvre d'après liste établie par le Maître d'Œuvre. - obtention des accords écrits des concessionnaires et du bureau de contrôle éventuel.

1.7.3 CONDITIONS GENERALES D'EXECUTION ET LIMITES D E PRESTATIONS

L'entreprise prendra connaissance et appliquera le document intitulé "spécification commune à tous les corps d'état" . Règles de l’Art : Tous les travaux, de toute nature, devront toujours être conformes aux Règles de l'Art, ce qui implique une perfection totale dans tous les domaines, même si les documents indiqués dans l'énumération des pièces contractuelles présentaient une insuffisance quelconque. Vérification des côtes : L’Entreprise vérifiera les côtes et les mesures exactes des locaux avant le début du chantier et elle préviendra le Maître d'Œuvre toutes les fois qu'il sera constaté des différences entre la réalité et les plans, dans le but de provoquer les instructions nécessaires. Déplacements multiples des Entreprises : Les Entreprises peuvent être amenées par la nécessité des ouvrages, à déplacer leur personnel et leur matériel, un certain nombre de fois pour des travaux de minime importance (finition en particulier). Elles devront le faire sans qu'il soit question de leur octroyer des indemnités supplémentaires pour ces déplacements multiples. Travaux de maçonnerie et de finitions : Les percements, saignées, prises, etc... dans les murs, planchers, cloisons; les scellements de fixations, supports, pattes, berceaux, consoles, etc ... ainsi que tous les travaux de pose ou de passage de matériel, sont à la charge du présent lot.



La réalisation des rebouchages de réservations est dues selon les spécifications communes à tous les corps d'état, soit :

à charge lot GO ou charpente pour les percements en dalle à charge lots techniques pour les percements en murs

L'entreprise a à sa charge le rebouchage ou calfeutrement avec le même matériau que la paroi, des réservations, saignées, percements, qu'elle a effectués dans ses travaux, ainsi que les raccords d'enduit sur rebouchage et en général tous les raccords de plâtrerie, peinture, bardage, placage de finition, etc... après ses interventions. L'entreprise doit intervention ponctuelles sur le chantier en phase gros œuvre et ossature bois pour la réalisation des incorporations. Il ne doit être effectué aucun percement ou fixation dans les ouvrages en béton précontraint. Conformément aux notices du constructeur, toutes les saignées sur carreau de plâtre, sont faites à la rainureuse et les découpes avec une scie spéciale. Le rebouchage et le masticage sont effectués avec un mélange agréé par le fabricant. L'entreprise doit également la peinture anti-rouille et la peinture définitive des conduits, supports et pièces métalliques non protégées, les montages et démontages de matériel nécessités par les travaux de peintures définitives. L'entreprise doit la fourniture de tout le matériel, appareils, matériaux ainsi que leur mise en œuvre respective nécessaire à la finition complète des travaux définis dans le présent CCTP et par les plans. Essais : Au fur et à mesure de l'avancement des travaux, les divers essais et vérifications sont effectués (application entre autres de la loi du 4/01/78) Plans de recollement : De plus, il fournit en fin de chantier les plans d' exécution des installations et les plans de recollement des réseaux. Il met à disposition du Maître d'Ouvrage, du personnel qualifié nécessaire à l'information du personnel d'exploitation ou d'entretien quant au fonctionnement des installations réalisées. Cette assistance technique peut durer deux jours ouvrables.

1.7.4 LIMITES DE PRESTATIONS

Sont dus par le présent lot : Dépose et évacuation des réseaux et équipements existants ; Rebouchage des réservations existantes.

1.7.4.1 En gros œuvre

Sont dus par le présent lot : Les percements des murs et parois existants Rebouchage des percements et réservations avec le même matériau que la paroi ; Rebouchage des percements et réservations des anciens réseaux avec le même matériau que la paroi ; Les raccords d'enduit sur rebouchage ; Le scellement des fixations et la mise en place des fourreaux ; Sont exclus :



Les réservations dans les parois (à condition que l'entreprise de gros œuvre ait reçu les plans de ces réservations en temps utiles) ;

Les percements des murs et parois existants au-delà de 300x300 ou diamètre 350mm ; Regards intérieurs et extérieurs ; Les socles éventuels pour les appareils ; Les tranchées et rebouchement des tranchées.

1.7.4.2 En peinture et finition

Sont dus par le présent lot :

* peinture anti-rouille des supports et pièces métalliques non protégées, * montages et démontages de matériel nécessités par les travaux de peintures définitives * nettoyage des installations et locaux * protection du matériel en cours de chantier * plaque de signalisation inaltérable sur tous les appareils

1.7.4.3 DIVERS

Sont Exclus: * raccordement de tous les appareils électriques installés par les autres lots à l'attente laissée

par le présent lot dans les locaux concernés (sauf indication contraire dans la description des travaux).

Sont dus par le présent lot :

* liaisons d'alimentations décrites dans le présent CCTP y compris interrupteur de coupure de proximité

* les reports d'alarme éventuels, * les raccordements électriques des équipements du SSI (DAS des autres lots).

1.8 FONCTIONNEMENT ET SECURITE DU CHANTIER

L'Entrepreneur désigne, dès la passation du marché, un responsable de l'exécution qui doit être l'unique interlocuteur responsable en face du Maître d'Ouvrage.

1.8.1 MATERIEL DE CHANTIER

Doivent être inclus dans le prix global forfaitaire du présent lot, tous les frais d'installation, location, entretien, montage et démontage du matériel de manutention, de levage, d'échafaudage et des services d'échelles nécessaires à la réalisation des ouvrages dont il a la charge et ce jusqu'en fin de chantier.

1.8.2 ORGANISATION DU CHANTIER

L'entreprise prendra connaissance et appliquera le document intitulé "spécification commune à tous les corps d'état" et la "charte chantier respectueux de l'environnement". Généralités : L'entrepreneur veille à la mise en place des dispositifs de protection spécifiques à son lot ainsi que l'affichage des consignes de sécurités effectué selon la réglementation. Pendant toute la durée des travaux, l'entreprise est tenue, sous sa responsabilité exclusive, de garantir par tous moyens appropriés, ses matériaux et ouvrages, des dégradations et destructions de toute nature. L'Entreprise subirait toutes les conséquences qui résulteraient d'un défaut de mise en place ou d'entretien des protections de ses ouvrages, qu'il s'agisse de leur réparation, de leur remplacement et de toute incidence sur les autres corps d'état.



Planning : Le planning établi par le Maître d'Ouvrage doit être respecté sous peine de voir appliquer les pénalités définies dans le C.C.A.P. Nettoyage du chantier : Le présent lot devra enlever ses gravats de façon qu'ils n'encombrent le chantier à aucun moment et ne gênent en aucune façon le travail des autres corps d'état ni le fonctionnement normal de l'établissement. A la fin du chantier, l'entreprise doit laisser les lieux exempts de tous ses propres emballages, chutes de canalisation, gravats et autres déchets. Electricité de chantier : Le branchement général est hors lot. Le présent lot doit la distribution électrique depuis ce branchement général vers les différentes zones ainsi que la mise en place de coffrets de chantier.

1.8.3 ASSURANCES

L'entrepreneur a la responsabilité de l'installation jusqu'à sa prise en charge par le Maître d'Ouvrage, aussi doit-il veiller à éviter toutes dégradations. Il est aussi responsable des dommages et accidents causés à des tiers lors de l'exécution des travaux. Il doit être couvert par une assurance pour ces risques et les incidences qu'ils peuvent avoir sur le bâtiment.

1.9 ESSAIS

Les essais sont effectués selon les dispositions figurant dans les documents COPREC n° 1 et les résultats des essais sont portés sur des documents conformes aux modèles des documents COPREC n° 2. Tous les frais occasionnés par ces essais sont à la charge du présent lot. Un procès-verbal de ces essais est remis AVANT la r éception provisoire des ouvrages au Maître d'Ouvrage, au B.E.T. et au bureau de contrôle. Il est rappelé que LA REMISE DE CE PROCES VERBAL EST UNE CONDITION IMPERATIVE A L'OBTENTION DE LA RECEPTION DES OUVRAGES. L'entreprise adjudicatrice se doit d'obtenir la réception de ses installations par les services techniques de ErDF. L’obtention du certificat Consuel est à la charge de l’entreprise y compris les frais de bureau de contrôle électrique agréé nécessaires à cette obtention.

1.10 GARANTIE

Elle dure un an durant lequel l'entrepreneur doit remédier aux défauts de l'installation, changer gratuitement les pièces défectueuses, procéder aux réglages et équilibrages nécessaires, remplacer les parties d'installation reconnues non conformes au règlement ou au devis descriptif. Cependant, l'entrepreneur ne doit pas les travaux d'entretien courant d'exploitation. Cette garantie d'un an prend effet à la date de réception des travaux sauf les parties d'installation ayant fait l'objet de réserves lors de la réception, auquel cas la date d'effet de la garantie est celle de levée des réserves. Il en est de même pour les dates des garanties biennales et décennales. L'adjudicataire est soumis aux dispositions de la loi du 14 janvier 1978. Une visite de contrôle a lieu après 1 an de fonctionnement de l'ensemble de l'installation. L'entrepreneur doit à cette occasion, fournir tout l'appareillage de mesure et d'essais nécessaire.



2 TRAVAUX D’ELECTRICITE

2.1 TRAVAUX PREALABLES

2.1.1 Consignation réseaux

Afin de pouvoir réaliser les travaux, le présent lot devra la consignation des alimentations électriques des installations existantes de la salle. Le présent a à sa charge la dépose de l’ensemble des matériels non réutilisés. ( plinthes électriques, prises de courants mono, prises de courants tétra, tableaux électriques, câbles informatiques, prises RJ 45.

2.2 EQUIPEMENT DE LA SALLE DE CHIMIE

2.2.1 Alimentations électriques

2.2.1.1 Alimentation générale

L’armoire électrique de la salle est alimentée depuis le tableau principal de l’atelier menuiserie en aval de la coupure d’urgence. Le présent lot devra le remplacement de la protection principale de l’armoire «menuiserie» et le déplacement de la coupure d’urgence en aval du départ du laboratoire de chimie afin de ne pas couper l’alimentation électrique de la salle de chimie sur coupure d’urgence de l’atelier. Le disjoncteur à remplacer est un DPX 250 non différentiel de marque LEGRAND (calibre 250 A). . Le câble d’alimentation existant est conservé.

2.2.2 Armoire divisionnaire

2.2.2.1 généralités

Les armoires divisionnaires sont installées conformément aux plans. Elles sont constituées d'éléments préfabriqués, pour matériel modulaire, en tôle électrozinguée, épaisseur 10/10, couleur claire, avec revêtement époxy + polyester. Les armoires sont équipées de portes fermant à clé. Les armoires sont équipées des dispositifs suivants : Inter général à témoin de mise sous tension, châssis intérieur, jeu de barres cuivre vertical ou câblage, liaison jeu de barres/interrupteur général par connexions préfabriquées, bornier de jonction repère, barre collecteur de terres, tous les circuits repérés avec étiquettes gravées, filerie sous bracelets ou goulottes (dans les deux sens), schéma de câblage affiché sous protection transparente



Les différentes armoires auront toutes une coupure d'urgence par boîtier bris de glace situé à proximité et non accessible au public, à une hauteur de 1.80 m. Les armoires seront dimensionnées avec une réserve de place disponible de 30%. Une signalisation sur chaque armoire précisera clairement la présence de tension de commande dans l’armoire même après sa coupure. L’armoire électrique divisionnaire comprendra :

- Un interrupteur général - Une coupure d’urgence - - Une protection différentielle tétraphasée 30 mA calibre 40 A pour l’alimentation des

paillasses o 10 disjoncteurs calibre 16 A pour alimentation des paillasses (1 pour 3 paillasses) o

- Une protection différentielle tétraphasée 30 mA calibre 16 A pour l’alimentation des sorbonnes

o 3 disjoncteurs calibre 16 A o

- Une protection différentielle monophasée 300 mA calibre 10 A pour l’alimentation de l’éclairage

o 2 disjoncteurs calibre 10 A - Une protection différentielle monophasée 300 mA calibre 10 A pour l’alimentation du groupe

de ventilation - 4 Protections 16 A différentielles 30 mA type Hsi pour les prises des bornes informatiques ((à

raison d’une protection différentielle par disjoncteur à immunité renforcée type SI pour 3 BR regroupées dans un même local )

2.2.3 Alimentations diverses

- Alimentation des paillasses

L’alimentation électrique des paillasses des salles de sciences est à la charge du présent lot. Elle se fait par ensemble de 3 paillasses en câble U 1000 RO2V 3x2.5 mm2 (pour 3 tables). La distribution se fait sous plinthes électriques à 3 compartiments servant aussi à la distribution VDI. Ces plinthes seront à environ 1,10 ml au-dessus du plan de travail des paillasses en périphérie de la pièce. en plafond des bungalows, descendent dans les vide des poteaux puis la remontée des câbles se font dans les caissons situés sous les caissons techniques des paillasses.

- Alimentation de la pompe à vide Alimentation en câble U 1000 RO2V 3x1.5 mm2 depuis tableau divisionnaire sur protection

différentielle 30 mA non indépendante

- Alimentation des sorbonnes mobiles - Alimentation en câble U 1000 RO2V 3x2.5 mm2 depuis tableau divisionnaire sur protection

différentielle 30 mA non indépendante y compris prise 16 A+T

- Alimentation du groupe d’extraction - Alimentation en câble U 1000 RO2V 3x2.5 mm2 depuis tableau divisionnaire sur protection

différentielle 300 mA indépendante. Le présent lot prévoira le percement en toiture terrasse pour l’alimentation du groupe ainsi qu’une canne et la reprise d’étanchéité autour de celle-ci.



- Réalimentation de l’éclairage - L’éclairage de la salle sera réalimenté depuis la nouvelle armoire électrique (reprise du câblage

existant.

2.2.4 Equipement électrique

Les luminaires de la salle sont existants et conservés. Plinthes électriques : les plinthes électriques 3 compartiments sont décrites dans le chapitre VDI. Prises de courants Prise de courant normalisée à éclipse 10/16 A + terre , fixation par vis.

2.2.5 circuit de terre, liaisons équipotentielles

L'ensemble des boucles doit être interconnecté. Les dérivations principales sont munies de barrette de mesure repérées et sont installées dans le poste de transformation et dans chaque local électrique de chaque bâtiment Les différentes liaisons équipotentielles sont à la charge du présent lot. Sont notamment interconnectés et mis à la terre tous les éléments conducteurs des installations suivantes: - les paillasses des salles de sciences, divers laboratoires, etc ... - l'ensemble des réseaux d'eau, d'écoulement, de ventilation - l'ensemble des équipements des locaux techniques

3 INSTALLATION VDI

3.1 PRESENTATION

Les ateliers devant faire l’objet d’une remise à niveau générale dans les années à venir, l’équipement VDI de cette salle est de type provisoire et ne respectera pas l’intégralité de la charte VDI des lycées. Les bornes VDI de la salle seront raccordées dans l’armoire de brassage de la baie VDI de l’atelier EST. Une recette cuivre du câblage VDI des locaux provisoires sera prévue dans ce présent lot suivant les préconisations du chapitre 4. Ce câblage doit permettre de supporter simultanément les applications utilisant une bande passante de 100 MHz et un débit jusqu’au Giga-bit par seconde en full duplex sur les quatre paires torsadées. L’ensemble des équipements installés sera de catégorie 5E et assurant des liens de classe D minimum.



3.2 ARCHITECTURE

Le câblage de la salle est issu de local sous-répar titeur LTS AE : - la distribution capillaire, depuis les S.R. vers les postes de travail par câbles 4 paires cuivre écrantés type FTP - les bornes, à chaque poste de travail. Elles peuvent être de Bornes Normales (B.N) équipées de 3 prises RJ 45 ou Bornes Réduites (B.R) équipées de 2 prises R.J. 45.

3.3 LOCALISATION GEOGRAPHIQUE DU LOCAL TECHNIQUE SECONDAIRE VDI (LTS)

Il s’agit du local « LTS AE » situé au RDC de l’ateliers est au niveau de l’atelier BOIS. Il couvre actuellement l’ensemble des bâtiments. :

- longueur maxi des câbles : 90 ml. Le LTP actuel étant situé dans l’atelier il existe déjà des liaisons fibres et multi-paires sous fourreau entre l’atelier et les autres bâtiments. Ces fourreaux pourront être réutilisés. Les percements de parois existantes, rebouchages, poteaux électriques provisoires et l’ensemble des prestations (hors tranchées et fourreaux) sont à la charge du présent lot.

3.4 Alimentation pour infrastructure informatique

3.4.1 Distribution courants forts

En respectant scrupuleusement les normes, les différents circuits sont réalisés sous fourreaux encastrés grâce à des conducteurs type HO7 VR. Tous les circuits seront tirés avec conducteur de protection. Toutes les précautions sont prises afin d'éviter les déplacements, pincements, arrachages des fourreaux et des boites d'encastrement lors du coulage du béton. Les dispositions nécessaires sont prises afin d'éviter la pénétration d'eau, de fluides ou de corps étrangers dans les gaines et fourreaux (risques de gel, de mauvais glissement des conducteurs, etc...) Dans notre cas, les alimentations électriques des bornes VDI sont issues de l’armoire électrique principale de la salle. Depuis ce coffret, un réseau d'alimentation de prises de courant "informatique" sera tiré vers les différentes salles.



La distribution « courants forts VDI et courants faibles VDI» se fera sous moulure électrique à 3 compartiments La distribution des différents postes sera réalisée en faux-plafond des étages concernés jusqu'au droit des poteaux de distribution ou des plinthes électriques sur chemin de câbles. Les plinthes électriques verticales seront en PVC de taille 170 x 60 cm à 3 compartiments - 1 compartiment extérieur "courants forts" - 1 compartiment central qui sert à l’équipement en prises terminales - 1 compartiment extérieur "courants faibles VDI » Tous les angles intérieurs, extérieurs, plats, les tés et es embouts de fermetures sont réalisés avec les accessoires et pièces de forme prévus dans les gammes du constructeur. Les fixations sont réalisées par vis et chevilles appropriées tous les 50 cm maximum. Les goulottes mises en œuvre seront conformes à la réglementation NF C 68 104.

3.4.1.1 Caractéristiques

Les câbles seront conformes à la charte VDI de la région Rhône Alpes. La description est rappelée ci-dessous. Dans un souci de rendre pérenne les installations de câblage basse tension et VDI et en accord avec une démarche QEB (Qualité Environnementale du Bâtiment), les câbles constituant les alimentations BT seront au minimum de catégorie classés B2 ou C au sens de la table des EUROCLASSE validée en date du 4 avril 2006 et ratifiée le 27 octobre 2006. Caractéristiques des câbles : · Câble basse tension industriel ; · UTE NF C 32-323, CEI 60502-1 et CEI 60228 ; · Âme cuivre ; · Isolant PR (Polyéthylène réticulé) ; · Gaine de bourrage facultative ; · Gaine extérieure polyoléfine sans halogène vert ; · Tension nominale 1000 V ; · Température maximale de l’âme 90°C en permanence et 250°C en court-circuit ; · Marquage extérieur NF USE U 205 FR N1 X1 G1R ; · Rayon de courbure, 6 fois le diamètre extérieur ; · Intensités : valeurs suivant IEC 60364-5-52 (2001) ou NF C 15-100 (2002). Le câble BT ne doit pas être déroulé et posé lorsque la température est inférieure à -20°C. Cette remarque prévaut lorsque le câble est déstocké de l’extérieur vers l’intérieur puis posé. Les câbles BT issus des armoires existantes ou à créer, sont proprement fixés par colliers rilsans à l’intérieur des chemins de câbles. La fréquence des attaches rilsans est de 60 cm. Matière PVC rigide Réaction au feu Arrêté du 28/08/91 M1,q<2.5 réaction au feu BS 476,1989 classe 0 Inflammabilité des matières plastiques

UL 94 classe 94-V0

indice d’oxygène L.O.I. NF T 51-071 concentration %>=52



coefficient de dilatation linéaire 0.07 mm/°C.m rigidité diélectrique NC C 26 225 >=240kV/cm marque de qualité NF C 68 102 certification NF sur la totalité

de la gamme température de service -20°C<= T <= 60°C essai au fil incandescent NF EN 60-695-2-1 960°C sans inflammation protection contre les chocs mécaniques

NF C 68 102 IK 09 pour la goulotte IK 07 pour l’appareillage

protection contre la pénétration des corps solides

NF EN 60529 IP 4X (fixé au mur)

ouverture de couvercle NF C 68 104 à l’aide d’un outil pièces de forme et adaptateurs d’appareillage

NF C 15 100 en 2 parties avec adaptateur et recouvrement du couvercle

Film protecteur sur l’ensemble des parties visibles du profilé et des couvercles

perforation du socle oblongue, 2 perforations tous les 25 cm.

Les câbles de transmissions de courants forts doivent être éloignés au maximum des courants faibles et des sources parasites.

3.4.2 Infrastructure courants faibles

Afin de réduire au mieux les surfaces de boucle de masse, il est nécessaire de rapprocher les câbles d’un même système (câbles VDI et courants forts associés) pour prendre en compte le critère d’immunité électromagnétique et limiter notamment les effets du champ magnétique de la foudre Cheminements internes: Les liaisons entre le local LTS et la salle de chimie chemineront sur les chemins de câbles existants non dédiés uniquement au VDI. Lorsque le câble VDI quitte le chemin de câbles, celui-ci doit obligatoirement emprunter un autre support physique qui peut être :

- un autre chemin de câbles pour des longueurs supérieures à 5 mètres - un tube IRO ou fourreau en cheminement non apparent - une goulotte à 2 compartiments ou fourreau encastré pour le câblage capillaire à la descente des prises ou à 3 compartiments lorsque l’appareillage s’effectue sur la goulotte.

- rappel des principales règles de mise en oeuvre d es câblages Les câblages de communication devant être mis en œuvre seront éloignés des sources de perturbations comme suit, au moins : - 120 mm des éclairages incandescents - 300 mm des éclairages fluorescents - 1000 mm des sources d’énergie supérieures à 10 KVA - 2000 mm des moteurs électriques - 3000 mm des lignes HT ou des sources émettrices rayonnantes en HF, VHF, UHF, SHF. En cas de cheminements parallèles les câbles seront au moins éloignés de :



- Longueur du chemin Source Source Source parallèle <2KVA <2 à 5 KVA >5 KVA 3 m 10 mm 20 mm 40 mm 5 m 15 mm 40 mm 80 mm 10 m 30 mm 70 mm 140 mm 15 m 50 mm 120 mm 240 mm 20 m 60 mm 150 mm 300 mm > 30 m 120 mm 300 mm 600 mm

3.5 IMPLANTATION DES BORNES « UTILISATEUR »

3.5.1 Equipement des postes de travail en plinthe, poteaux ou boîtiers :

Les différents locaux sont équipés de bornes utilisateurs dont l’emplacement et le nombre sont indiqués dans le tableau suivant : Chaque borne utilisateur normale (BN) est équipée de :

* 4 prises 2 x 10/16 A + T "informatique" spécifiqu es rouges sans détrompeur * 3 RJ 45 informatique (Les RJ 45 sont des prises RJ 45 ISO 8877, à 9 contacts) (les prises 2 x 10/16 A + T "informatique" avec détrompeur et les prises RJ 45 sont au lot VDI)

(voir schéma en annexe) Chaque borne utilisateur réduite (BR) est équipée de :

* 4 prises 2 x 10/16 A + T "informatique" spécifiqu es rouges sans détrompeur * 2 RJ 45 informatique (Les RJ 45 sont des prises RJ 45 ISO 8877, à 9 contacts) (les prises 2 x 10/16 A + T "informatique" avec détrompeur et les prises RJ 45 sont au lot VDI)

(voir schéma en annexe)

3.5.2 Nombre de bornes

Le nombre de bornes utilisateur prévu est conforme aux préconisations. (les préconisations sont définies par le programme de la Région « 3e partie : Prestations techniques par local » qui renvoi directement au premier cahier de la « Charte de câblage des lycées » du 10/01/02) Des adaptations ont été faites dans les secteurs :

- Documentation, information et orientation - Vie scolaire et accueil

afin de s’adapter à l’équipement réel de ces locaux (imposé par la surface immuable des salles).

3.5.3 Position des bornes

Elle est spécifiée dans le tableau ci-dessous : (Les prises courants faibles type RJ 45 sont fournies et posées par le présent lot).



BA

TIM

EN

T

Niv

eau

Piè

ce

BR

BN

Atelier est 0 LABORATOIRE DE CHIMIE 10 SOUS-TOTAL 10 Toute l’infrastructure du précâblage est réalisée par le présent lot. Cela comprend :

- amenée de courant au LTP - amenée de terre et mises à la terre - distribution, alimentation et prises sans détrompeurs pour l’informatique (indépendant des autres

prises) - tableaux électriques - chemin de câbles, fourreaux - plinthes électriques, poteau ou boîtier de prises intégré dans les tables des salles spécialisées - circuit onduleur des LTP et LTS

3.5.4 Distribution

Poteau de distribution double ou plinthe murale verticale alimenté depuis faux-plafond niveau courant. Professeur : plinthe électrique murale verticale.

3.6 EQUIPEMENT DES LTS

Les local LTS AE est existant

3.6.1 Principe de brassage et de connexion

Les répartiteurs seront constitués au moyen de bandeaux de raccordement modulaires blindés équipés de connecteurs de type RJ45 catégorie 5 pouvant admettre les équipements de protection permettant la conformité par rapport aux contraintes d’environnement liées à la CEM. Le raccordement des bornes à 2 prises RJ45 sera effectué sur des bandeaux qui comporteront 32 connecteurs RJ45, le raccordement des bornes à 3 prises RJ45 sera effectué sur un ensemble de 2 bandeaux qui comporteront 32 connecteurs RJ45 pour le raccordement des prises /A et /B, la prise /C étant raccordée sur le bandeau à 16 positions placé en-dessous du bandeau à 32 positions. Chaque répartiteur sera réalisé de façon homogène, les ensembles de raccordement des bornes à 3 prises et des bornes à 2 prises seront groupés et repérés sans panachage Les emplacements sur les bandeaux modulaires, non équipés de prise RJ45 seront munis d’un obturateur.



Chacun des câbles de 4 paires est raccordé en face arrière de panneaux 19 pouces (16 ou 32 ports), par des contacts auto-dénudants. (voir position des panneaux de brassage sur le schéma des baies). Le dénudage et le dépairage des câbles sera le plus court possible pour ne pas affecter les performances des liaisons. Pour éviter des tractions et limiter le risque d’arrachement, les câbles seront maintenus au panneau par des cavaliers de maintien de câble. Les câbles seront regroupés en faisceau et maintenus au support 19 pouces, soit à l’intérieur des montants ou dans des chemins de câbles fixés latéralement pour les châssis, soit à l’intérieur de la baie. Des chemins de câbles verticaux installés de chaque côté de chaque baie permettront de guider l’arrivée des câbles ainsi que leur épanouissement. La partie supérieure du panneau est destinée à recevoir une étiquette adhésive pour le repérage de l’installation. En face avant du SR, le brassage des liaisons est réalisé, sur les ports RJ45 blindés des panneaux, avec des cordons RJ45/RJ45 (voir description détaillée au paragraphe 3.7.8), (une protection plastique est montée sur chaque modular plug dans le but d’augmenter la longévité du cordon par un meilleur maintien de la gaine dans le plug). La longueur maxi de ces cordons est de 3 m. Entre chaque panneau, un guide passe cordons est installé. Des guides passe cordons doivent pouvoir être vissés sur chaque côté des panneaux de brassage, afin de donner une autre possibilité de guidage des cordons, sans encombrer des « U » supplémentaires. Le raccordement et le brassage des liaisons optiques passent par des panneaux optiques (ou tiroirs) fixes ou mobiles situées en partie haute de la baie. Mise à la terre : pour s’affranchir des problèmes de compatibilité électromagnétique (CEM), tous les drains d’écran des câbles sont raccordés sur les CAD des cœurs des panneaux. Les panneaux de brassage seront équipés de reprise de masse à 360° à chacune de leur extrémité. L’installateur devra interconnecter de chaque côté (droit et gauche) les panneaux entre eux par 2 câbles V/J section minimale de 6 mm² qui descendront jusqu’à la barrette de terre de la baie elle-même raccordée sur la barrette de connexion des terres de chaque répartiteur par des câbles de 6 mm² au minimum. Les rocades aboutissent à chaque extrémité (LTP et LTS) sur des panneaux 19 pouces version blindée de 16 ou 32 Ports RJ45 par des contacts auto-dénudants. Ces panneaux seront situés en sommet de baies. Prévoir étiquetage. Elles sont connectées à raison de 4 paires par port. Enfin, des panneaux 19 pouces de 16 ou 32 ports sont posés dans une baie du R.G. pour les ressources téléphoniques. Ces panneaux seront lacés sous les panneaux d’arrivée des rocades. Ces panneaux de ressource téléphonique seront connectés à une ferme téléphonique comprenant : - 1 ferme aluminium avec support, anneaux de guidage et tresse de masse - réglettes CAD à coupure (pour le nombre des postes équipés (avec réserve 30 %) et les liaisons des opérateurs - des portes-étiquettes. NOTA : les baies des matériels réseaux et éléments actifs seront équipées de deux rails de 8 prises de courant avec protection différentiel 30 mA type SI.

3.6.2 Sous répartiteurs

Il comprend :



- baies fermées avec porte vitrée (19 pouces, 80 x 80, 42 unités de hauteur) y compris panneaux de 16 ou 32 ports RJ 45 blindés par CAD et répartiteur fibre optique

- des chemins de câble de guidage et protection des câbles - les cordons de brassage - les équipements actifs (serveurs, onduleurs, HUBS) (NON INCLUS) (prévoir 30 % place

disponible). Dans notre cas la baie est existante et le présent lot devra juste rajouter un panneau de brassage 32 ports.

3.6.3 Agencement des baies de distribution

La répartition des différents éléments s’établit de la manière suivante à partir du haut de la baie : - Les rocades de données (les tiroirs optiques pour les rocades optiques) - les plateaux supportant les équipements actifs - Les BR regroupant un panneau de 32 ports RJ 45 - Les BN regroupant un panneau de 32 et 16 ports RJ 45 en respectant un alignement vertical

pour une même borne - Les rocades voix/images (les panneaux 16 ou 32 ports pour les rocades cuivre) - des guides passe cordons entre chaque groupe de panneaux ou tiroirs

et dans le RG

3.6.3.1 Panneaux RJ 45

Les panneaux seront équipés de 16 ports maximum sur 1U (ou 32 sur 2U). Ces panneaux seront équipés à l’arrière d’un organisateur de câbles. Ils seront composés de ports indépendants, amovibles et avec blindage individuel à 360°. Un panneau passe cordon d’une ou 2 U de type à peigne, à anneaux ou à lyres sera installé entre chaque bloc de panneaux RJ 45.

3.6.4 Identification des prises de baies ou borne

Les prises RJ 45 doivent être clairement identifiées : - une lettre pour le local technique dont elles sont issues - un numéro d’identification de la borne (1 à 16) du panneau RJ 45 au niveau du sous-répartiteur - une lettre pour chaque prise d’une même borne (A, B et C) pour les 3 prises d’une borne

normale , et par exemple D et E pour les 2 prises d’une borne réduite, et ainsi de suite).

Toutes les étiquettes seront de type dylophane gravé sur fond bleu avec écriture blanche . Exemple : sous répartiteur A comprenant 39BN et 60 BR

- les BN seront identifiées A-1A(B et C) à A39A (B et C) - les BR A-1D et E à A-60D et E

3.6.5 Cordons de Brassage

Les cordons de brassage permettent d’établir les connexions entre : * le matériel actif VDI et les prises terminales



* les rocades téléphoniques et les prises terminales Ce sont des cordons RJ45-RJ45 blindés réalisés avec un câble souple 4 paires, droit écranté, FTP, 100 ohms, LSOH, catégorie 5e minimum, avec embout surmoulé. Ces cordons devront provenir du même fabricant que les câbles capillaires de l’infrastructure, ou être homologués par la maîtrise d’ouvrage sur présentation de tests certifiés. L’identification des cordons de brassage en place fonctionnelle dans les répartiteurs doit être facilitée par un dispositif optique permettant le repérage rapide et sûr des deux extrémités de chaque cordon, par éclairage d’une extrémité après illumination colorée de l’autre.. Répartition des cordons de brassage à fournir

LTSAE Longueur 0.6m 1.2m 1.5m 2.1m Nombre cordons

2 6 6 6

3.6.6 Cordons de Raccordement

Ce sont des cordons RJ45-RJ45 réalisés avec un câble 4 paires écranté (FTP), 100 ohms, LSOH, catégorie 5e minimum. Les prises RJ45 seront blindés avec embouts surmoulés. Ces cordons devront impérativement provenir du même constructeur et de même caractéristiques que celui du système de câblage pour des questions de performances et de garantie. Deux types de longueurs sont définis : 3 mètres et 5 mètres. Ils seront du type 4 paires droits et provisionnés comme suit :

Si N’ est le nombre de prises RJ 45 terminales. prévoir : - N’/6 cordons de 3 ml - N’/6 cordons de 5 ml

Répartition des cordons à fournir

LTS-AE Longueur 3 m 3 m Nombre cordons

3 3

3.7 LE CÂBLAGE

NOTA L’infrastructure passive de câblage de communication devra impérativement être exclusivement réalisée avec des composants homologués en « Catégorie 5E», elle assurera des liens de classe De avec un rapport



signal/bruit minimal de 17 dB et dans les conditions fixées par la norme ISO 11801 qui sera considérée comme le texte général de référence pour l’installation.

3.7.1 Câblage de distribution capillaire

4 paires torsadées écrantées catégorie 5e (100 Ω), zéro halogène AWG 24 pour chaque RJ 45 jusqu’au sous-répartiteur. Le câble sera de type 1 x 4 paires pour chaque prise RJ 45. De longueur maximale 90 m, ils empruntent les poteaux, plinthes, chemins de câbles posés par le lot électricité en respectant les éloignements prescrits. Ils sont posés et non tirés. Leur parcours emprunte les plinthes électriques ou poteaux de distribution, les faux-plafond, les gaines courants faibles verticales existantes à chaque cage d’escalier.

3.7.2 Câblage de distribution primaire

- EXISTANT

3.8 PRISES DE COMMUNICATIONS

Les prises de communication seront de type RJ45 à 9 contacts. Elles seront de catégorie 5E. Les prises seront blindées et permettront une reprise de l’écran sur 360°. Ces prises seront installées selon le local dans les plinthes électriques, des goulottes ou des poteaux. Selon les cas le boîtier « communication » comportera deux ou trois prises RJ45. Le boîtier « communication » sera dans tous les cas associé à un boîtier « énergie » comportant trois prises de courant munies d’un détrompeur et de couleur différente des prises « domestiques ». Les prises du boîtier « énergie » seront alimentées au moyen d’un réseau de distribution spécifique pouvant être alimentée éventuellement par une source d’énergie indépendante et/ou autonome. Les boîtiers devront être équipés de plastrons comportant un ou deux portes-étiquettes qui recevront les repérages. Le point d’accès sera numéroté conformément aux plans. Il est rappelé que les usages sont banalisés, de ce fait les prises RJ45 seront numérotées à l’exclusion de tout repérage d’affectation (Info. Tél. ou Vidéo). Identification des prises Les prises doivent être clairement identifiées :

- une lettre pour le local technique dont elles sont issues - un numéro d’identification de la borne (1 à 16) du panneau RJ45 ou niveau du sous-répartiteur - une lettre pour chaque prise d’une même borne (A, B, C pour les 3 prises d’une borne normale,

et par exemple D et E pour les 2 prises d’une borne réduite, et ainsi de suite). Les ensembles « Communication et Energie » ainsi formés sont appelés « Bornes Normales (BN) et Bornes Réduites (BR) ». Ces bornes seront implantées selon la règle générale suivante : Les bornes normales BN et les bornes réduites BR sont équipées de 4 prises électriques spécifiques rouges sans détrompeurs.



- pour les salles de cours, implantation d’un BN à gauche du tableau lorsque la lumière naturelle arrive par la gauche (cas général), à droite dans le cas contraire (qui doit être exceptionnel et justifié par une impossibilité technique d’appliquer la solution générale). - Pour les salle de TP, implantation de la BN comme précisé plus haut, implantation des BR dans des poteaux ou sur les paillasses. Dans le cas de salles non entièrement équipées du point de vue mobilier, on retiendra une solution d’attente évolutive (câblage terminé et en attente dans le faux-plafond par exemple).

3.9 CONTROLES, TESTS ET RECEPTION

3.10 CONTRÔLES ET TESTS

L’installateur devra s’assurer, en fin d’exécution des travaux, de la bonne qualité technique des installations et de la conformité au cahier des charges. La recette doit être conforme aux normes pour un objectif performanciel de classe De. Les contrôles et test respecteront les prescriptions de la charte cahier 3 §8.

3.10.1 Câblage cuivre

L’ensemble des liaisons sera testé, afin de vérifier que chaque paire torsadée :

- est correctement connectée à chaque extrémité - n’est pas croisée avec une autre paire du même câble - est bien isolée par rapport aux autres paires et par rapport à la terre.

Ces tests permettront en outre de : - mesurer la longueur des câbles - d’identifier chaque prise par rapport au plan d’installation.

Modalités de mesure des liaisons de distribution On appelle liaison de distribution l’ensemble comprenant : - la prise RJ 45 - le câble 4 paires de liaison RJ 45/Répartiteur - le panneau 19 pouces 16 ou 32 ports RJ 45 - les cordons de l’appareil de mesure. Les mesures d’affaiblissement et de paradiaphonie entre le répartiteur et les prises seront faites dans la bande 10 - 100 Mhz avec un appareil adéquat (Pentascanner de Microtest par exemple). L’appareil sera réglé pour vérifier un réseau classe De (noté sur certains appareils catégorie 5) et la liaison sera réputée bonne si les valeurs suivantes sont obtenues : - atténuation inférieure égale ou inférieure à 23,2 dB à 100 Mhz - diaphonie entre paires égale ou supérieure à 24 dB à 100 Mhz.



L’infrastructure cuivre (hors rocades cuivre catégorie 3) devra être recettée en Classe De catégorie 5e FTP suivant la norme ISO 11801 (SC 25 N696). (avec applicatifs Ethernet 100 Base-Tx , Ethernet 1000 Base-Tx, .1000 Base Sx et 1000 Base-Lx )

3.11 RECETTE

La réception valide les résultats des tests et mesures réalisés en fin de travaux par l’installateur avant le branchement de tout équipement actif. La recette de l’installation aura lieu selon la procédure suivante : - Etape 1 : Tests et mesures effectués sur l’installation de manière exhaustive par l’Entreprise (100 % des Prises, Rocades cuivre et optique). - Etape 2 : Constitution du cahier de recette par l’Entreprise. - Etape :3 : Remise du cahier de recette et du dossier DOE au Maître d’Ouvrage pour examen. - Etape 4 : Tests et mesures de la recette « Maître d’Ouvrage », conduite par le Maître d’Ouvrage : 10 % des tests sont refaits par l’Entreprise en présence du représentant du Maître d’Ouvrage. - Etape 5 : Le Maître d’Ouvrage analyse les résultats des tests de l’Etape 4 et en fait le compte-rendu. Dans le cas où l’ensemble des valeurs obtenues sont en concordance avec les valeurs annoncées par l’entreprise, la recette peut être validée dans son ensemble. Dans le cas contraire, le Maître d’Ouvrage se réserve le droit de demander des contre-mesures aux frais de l’Entreprise d’installation. Le mode opératoire sera conforme aux dispositions prévues par les normes en vigueur, les mesures et tests seront effectués au moyen d’un appareil portable de type NEXT SCANNER ou WIRESCOPE connectable à un PC pour l’impression des feuilles de tests au format A4. Une mise en page synthétique après traitement des informations sera appréciée. Un exemple des feuilles de mesures prévues par l’installateur devra figurer dans les documents accompagnant l’offre. En complément des conditions énoncées ci-avant, il est précisé que : - la recette ne pourra pas avoir lieu avant que l’entreprise titulaire du lot n’ait remis le cahier des tests « installateur » au Maître d’Ouvrage ou son représentant. - la recette consistera au minimum en un contrôle visuel et qualitatif, un contrôle technique quantitatif des chaînes de liaison et un contrôle des plans DOE. - les résultats seront analysés dans les conditions prévues par la norme ISO 11801. Ces vérifications donneront lieu à l’établissement d’un rapport dressé et signé par les différents intervenants. Il est précisé que la réception définitive est subordonnée : - au respect des recommandations du Cahier des Charges et du Cahier des Clauses Techniques Particulières - à la fourniture de la documentation, conforme à la réalisation - à l’achèvement complet des travaux.



3.11.1 RECETTE CUIVRE

3.11.1.1 Recette statique

Les mesures ont pour but de vérifier que chaque paire torsadée est conforme au plan d’installation. - qu’elle est correctement reliée à chaque extrémité

- que sa continuité n’a pas été interrompue - que sa polarité est respectée - qu’aucun court-circuit n’a été provoqué entre ses conducteurs - que son isolement par rapport aux autres paires et par rapport à la terre est correct - que sa longueur n’est pas supérieure à la valeur autorisée - que les 2 fils qui la compose sont bien ceux d’une même paire. - que son identification sur le plan d’installation correspond bien à la réalité

Ils permettront de vérifier que les limites des paramètres décrits dans les chapitres 8.1.3 de la charte de câblage des lycées jusqu’à des fréquences de 125 MHz ne sont pas dépassées. Les mesures seront réalisées en mode channel avec les cordons préconisés par le constructeur. La recette des câbles cuivre capilaires sera réalisée selon les prescriptions de la catégorie 5e FTP, classe D, suivant la norme ISO 11801 (2ème édition de septembre 2002 SC 25 N696 ou suivantes)

3.11.2 RECETTE DES RESEAUX DE TERRE

La recette réalisée par l’installateur doit apporter la preuve que les réseaux de mise à la terre des répartiteurs et des cheminements qu’il a installés ont été correctement réalisés. Pour cela, il devra à partir de chaque répartiteur et jusqu’au puits de terre, vérifier à l’aide d’un milliohmmétre la continuité du trolley de mise à la terre des cheminements et du câble de mise à la terre des répartiteurs. La résistance mesurée devra dans les deux cas montrer une résistance linéique des câbles inférieure à 10 ohms.

3.12 DOCUMENTATION (ou D.O.E.)

Cette documentation remise est appelée au Dossier des Ouvrages Exécutés (DOE), en ce qui concerne les infrastructures de communication ce dossier doit être organisé de la manière suivante : Le dossier technique du câblage à fournir par l’entreprise sera constitué des documents suivants :

- les plans des bâtiments avec implantation et identification des prises RJ 45, des cheminements et des équipements installés (exemplaire papier et informatique sous AUTOCAD version 14 minimum)

- les plans des locaux de brassage avec implantation des baies des différents matériels (exemplaire papier et informatique sous AUTOCAD version 14 minimum)

- la documentation technique de tous les composants utilisés avec les certificats d’agrément (présentation sous forme de classeur)

- Le dossier de recette cuivre par répartiteur et dans l’ordre avec en tête les synoptiques VDI, les plans des baies avec implantation et l’identification de tous les équipements, le résumé des tests et enfin les feuilles individuelles de mesures. Les mesures seront fournies au format papier et informatique (Word, Excel ou acces) Les synoptiques et les plans des baies seront fournis sous forme papier et informatique (AUTOCAD version 14 minimum).

- Le dossier de recette optique avec en tête les synoptique, le tableau récapitulatif et les courbes de réflectométrie de chaque fibre brin dans les deux sens et sur les deux fenêtres.



Le dossier technique des réseaux de mise à la terre sera sera constitué des bordeaux de mesure des résistances relevées au milli-ohmmètre à partir de chaque répartiteur jusqu’au puits de terre sur les réseaux de mise à la terre des répartiteurs et de mise à la terre des cheminements. : L’entreprise doit remettre impérativement au maître d’ouvrage 5 exemplaires du dossier des ouvrages exécutés DOE :

- 2 exemplaires pour le maître d’ouvrage accompagnés des fichiers informatiques - 1 DFI - 1 DPAT

- Deux exemplaires pour l’établissement

1224-pro-cctp-01-a-electricité - vdi chmapa.aji-france.com/mapa/file/marche/18791/lot 2 cctp... ·...

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