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1095 JOURS D’HIBERNATION ET DE LETHARGIE

Hassan BOULAKNADEL vient de

Boucler trois ans dans la

nébulosité de la gestion, trois ans

de perte énorme, de la

recrudescence des symptômes

d’une maladie incurable qui se

concrétise décemment dans la

gabegie managériale, dans

l’orientation irrationnelle et

inféconde du CDVM.

(Quel sourire factice !!!)

En d’autres termes, ce directeur incompétent – malheureusement

compétent dans l’esprit vindicatif à l’égard des deniers publics- a plongé ce

pauvre conseil dans un tunnel sans issue et il ose enfin de compte sourire

sans vergogne et sans honte. C’est en quelque sorte un sourire factice,

prétendant d’une manière ou d’une autre induire les hommes avertis en

erreur, mais ces derniers ne sont pas dupes, ils appréhendent subtilement

l’analyse sémiotique et sémiologique des trais du visage et leurs visées. Par

ailleurs, oser égrener les jours de cette présence fictive, sans butin

pragmatique, sans rendement d’aucune sorte serait incontestablement une

transgression lourde de conséquences. En effet, le travail bénéfique n’est

pas un temps de présence au bureau dans le dessein de programmer et

penser exclusivement à ses propres intérêts, mais une obligation des

résultats probants dans un cadre consensuel, de transparence, d’équité et

de mieux être avec soi-même et avec les autres. Quel est donc l’output

réalisé ? Quelles sont les performances obtenues ? Quelles sont les

prouesses accomplies au cours de ces trois ans ? Malheureusement, rien de

tout cela. On a inhumé concurremment l’esprit des choses bien faites,

l’efficacité et l’efficience de ce pauvre conseil en présence de ce directeur

qui ne possède nullement les bribes de l’éthique professionnelle. C’est la

raison pour laquelle il cherche avec diligence à compenser ses

imperfections voire ses insuffisances via la supplication des journalistes à

dire du bien sur lui. Quels propos fallacieux et mensongers ! Vouloir garder

le maintien de ce poste de cette manière révèle un cas pathologique qui

mérite d’être incarcéré dans l’asile psychiatrique. Vouloir garder la

pérennité dans le CDVM via des façons puériles, de disqualification,

d’infantilisme et de fraude cela relève d’infraction combien dramatique et

de l’aberration administrative absurde. Remplaçant l’ex-directeur Dounia

TAARJI n’a fait que plonger le CDVM dans les ténèbres du vol qualifié et

dans l’abîme du marasme gestionnaire. Pire encore, ce remplacement a fait

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éclater d’autres problèmes inopinés qui ne coïncident nullement avec la

déontologie de cette structure. Pour s’assurer davantage de ce statu quo

pernicieux, ayez messieurs les responsables le souci d’auditer de plus près

ce conseil qui souffre dans le silence d’un virus qui le gangrène de

l’intérieur et qui attend promptement une lueur d’espoir et une journée de

délivrance de ce pseudo manager qui ne pense qu’à amasser de manière

barbare les deniers publics faisant complètement fi de l’intérêt commun.

En outre, parler en termes laudatifs de ce directeur engendre ipso facto la

monstruosité professionnelle. Comment donc hisser l’étendard de l’éloge en

ignorant de plus près les rouages internes et les guerres intestines du

CDVM ? L’incompétence génère automatiquement l’échec et le désarroi

professionnel. De ce fait, il est impérieux que ce directeur arrête dans le

bref délai d’être spectateur de son incompétence car le CDVM exige

d’emblée une visibilité, une vision, une philosophie, une culture, une

conception de bon aloi, une maîtrise raisonnée et humaine de sa structure

interne, une perspicacité de gestion et une clairvoyance d’esprit afin de

l’orienter vers les rivages de la réussite et dans la voie de la compétitivité et

du défi.

Mais malheureusement, les tentatives de ce conseil sous l’égide de ce

pseudo-manager sont claudicantes. Il l’a entraîné de force dans une

régression inconcevable et dans un obscurantisme absolu. Par ailleurs, pour

entériner cette kyrielle de dysfonctionnements, ce conseil a besoin

urgemment d’un œil scrutateur, analytique et critique afin de dénicher ce

malaise gestionnaire qui inhibe directement l’élan créateur d’une minorité

du personnel -- car la plupart de ce dernier était embauché par népotisme

et de façon illicite voire illégitime par Hassan BOULAKNADEL – qui

manifeste le désir ardent d’améliorer intelligemment les processus du

CDVM, mais leurs efforts sont d’emblée avortés par une orgueil frénétique

du directeur qui est d’ailleurs un cas maladif. Il n’admet ni la concertation ni

la compréhension ni la négociation ni la communication. Il manifeste

ostentatoirement une prééminence insensée qui cache des faiblesses

répréhensibles et un individualisme trop exagéré. Ceci dit que

l’individualisme est le vestibule de la mort et du trépas, ignorant

radicalement que n’importe quel projet est automatiquement un système

interactif puis se réalise dans un cadre synergique. Et il ose exposer avec

fierté ses jours de travail. Sur quoi ce monsieur le journaliste a pu asseoir

son évaluation globale ? Quelle pénurie de mots ! Quel fléau professionnel !

Et enfin, quels étaient les projets réalisés durant l’avènement de ce

directeur ?

Rien de rien…………………………1095 jours d’hibernation et de léthargie