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MOUVEMENT DRAMATURGIES MUSIQUES ET VOIX CINÉMA JUIN 2015 N° 278 CINÉMA

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Niort • Moulin du Roc

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MOUVEMENT

DRAMATURGIES

MUSIQUES ET VOIX

CINÉMA

—JUIN2015 N° 278—

CIN

ÉMA

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Du 20 mai au 16 juin

TROIS SOUVENIRS DE MA JEUNESSEDE ARNAUD DESPLECHIN

Après un séjour au Tadjikistan, Paul Dédalus revient en France. Arrivé à la douane, il est interpellé par la police. Paul doit expliquer l’existence d’un parfait homonyme, qui aurait effectué un séjour en URSS à la fin des années 1980. Paul revient alors sur cette époque. Cette remontée dans le temps lui fait dérouler le fil de son enfance, sa jeunesse et sa rencontre avec Esther, qui va devenir son premier grand amour...

Desplechin retourne dans la tête de Paul Dedalus, son héros de Comment je me suis disputé, et fait de la spéléologie virtuose dans la grotte de son inconscient, ses trau-mas enfantins, ses premières blessures amoureuse.Jean-Marc Lalanne / Les Inrockuptibles

(…) Narrés avec une certaine distance, un ton décalé, souvent beaucoup de drôlerie, mais aussi un sens certain du lyrique et du tragique, ces Souvenirs… sont portés avec brio par Quentin Dolmaire, repéré au Cours Simon, et Lou Roy-Lecollinet, tout droit venue – ou presque – de sa classe de terminale option théâtre. Ces deux-là, très prometteurs, s’épanouissent sous l’œil de la caméra d’Arnaud Desplechin, qui n’a pas son pareil pour puiser chez ses acteurs la matière la plus sensible, la plus fragile, de son film.

Arnaud Schwartz / La Croix - 19 Mai 2015

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Du 20 mai au 16 juin

LA LOI DU MARCHÉDE STÉPHANE BRIZÉ

De profil sur l’écran, en amorce gauche, Vincent Lindon parle avec quelqu’un que l’on ne voit pas encore, qu’un mouvement de la caméra révélera bientôt comme étant un conseiller Pôle-Emploi : la scène dure près de 7 minutes, et d’emblée elle scotche le spectateur. L’acteur incarne Thierry, 51 ans, au chô-mage depuis près de deux ans, face à lui, un inconnu.

Dans La Loi du marché, le seul comédien professionnel est Vincent Lindon, les autres n’étaient pas acteurs avant, mais tous interprètent un rôle, qui parfois est, ou a été, le leur. À aucun moment la différence entre lui et les autres n’apparaît. C’est comme si Lindon jouait dans un documentaire… dont chaque scène aurait été décidée et dessinée au préalable, où chacun pourtant s’exprimerait à sa guise.Qui de l’acteur ou des autres est le plus sidérant ? Impos-sible à dire. Ce que l’on sait, en revanche, parce que cela se voit, parce que cela s’entend, c’est que Stéphane Brizé a réalisé un film à nul autre pareil, moderne, puissant, en-gagé. Un film où le monde d’aujourd’hui se dévoile dans sa nudité, obscène. (…)Ce monde est sinistre, le film ne l’est jamais, qui montre des gens qui, sans rien dire, résistent, et détournent le couteau qui leur est placé sous la gorge. Pour dire la vie telle qu’elle est, il n’y a que le cinéma, ce cinéma-là plus encore que les autres, quand un Brizé, un Lindon, des inconnus inoubliables s’en emparent.

Pascal Mérigeau / L’Obs – 19 mai 2015

— France – 2015Durée : 2h

avec : Quentin Dolmaire, Lou Roy-Lecollinet, Mathieu Amalric

Prix SACDQuinzaine des réalisateursFestival de Cannes 2015 —

— France – 2015Durée : 1h33Scénario : Stéphane Brizéet Olivier GorcePhotographie : Éric DumontMontage : Anne Klotz

avec Vincent Lindon, Karine Petit de Mirbeck, Matthieu Schaller

Vincent Lindon prix d’interprétation masculineFestival de Cannes 2015—

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LE DOULOSFrance - 1962 / Durée : 1h48avec Jean-Paul Belmondo, Reggiani, Michel Piccoli

Le Doulos, œuvre exemplaire mettant en place un nouveau type de film noir, a pu influencer, de façon plus ou moins directe, divers cinéastes. L’exemple le plus notoire en est Quentin Tarantino affirmant constamment qu’on ne saurait concevoir un scénario aussi parfait, et le cas le moins connu, Léos Carax : la séquence où Maurice, blessé, court en chancelant le long d’un mur, est reprise dans Mauvais sang où, appuyée, prolongée, une mise en scène similaire devient un moment clé.

UN FLICFrance - 1972 / Durée : 1h38avec Alain Delon, Richard Crenna, CatherineDeneuve.

Ce film donne à Delon l’occasion de choisir le rôle du policier, après les truands magnifiques des volets précédents. Dans ce film crépusculaire, les gangsters sont montrés tantôt comme les fantômes d’une tradition criminelle, tantôt comme les derniers êtres vivants d’un univers en carton-pâte.« Mal reçu à sa sortie, Un flic s’impose progressivement comme une étape dans l’histoire du genre et comme l‘un des premiers films postmodernes. Son influence n’a pas fini de croître. »

L’ARMÉEDES OMBRESFrance – 1969 / Durée : 2h20avec Lino Ventura, Simone Signoret, Paul Crauchet

À sa sortie, le film a été attaqué pour sa « noirceur » et pour l’image qu’il donne des résistants – comparables, selon certains critiques, à des gangsters. Depuis, il s’est imposé comme le chef-d’oeuvre incontesté sur cette thématique, grâce à la complexité de son propos, jointe à une mise en scène d’une éloquence tragique intemporelle. Fait sans précédent : sa sortie tardive aux Etats-Unis lui a valu le Prix du meilleur film étranger de l’année 2006, décerné par la critique new-yorkaise.

LE CERCLE ROUGEFrance - 1970 / Durée : 2h21avec Alain Delon, Bourvil, Gian Maria Volonte.

Le Cercle rouge est un nouveau défi , son scénario étant des plus complexes, organisé autour de cinq personnages importants et impliquant un délicat équilibre entre les différentes lignes du récit. Des vedettes du film, Delon était le seul initialement prévu ; les rôles de Gian Maria Volonté, Bourvil et Yves Montand leur ont été attribués assez tardivement, sans que cela empêche Melville d’en tirer le meilleur.

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N Tenu pour le père de la Nouvelle Vague au début des années 1960, Jean-Pierre Melville a subi par la suite le désamour de la critique,

avant de devenir la référence majeure d’une nouvelle pléiade de réalisateurs européens, américains et asiatiques. Outre son statut d’auteur de films cultes, il est le maître français qui a inspiré mieux que tout autre les tendances du cinéma contemporain. La réédition en salles de ses œuvres majeures permet à de nouvelles générations de (re)découvrir un cinéaste qui n’a jamais quitté les feux de l’actualité.

DU 10 AU 23 JUIN : LES FILMS D’HIER DANS LES SALLES D’AUJOURD’HUI / TARIF UNIQUE 4,50E

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Du 10 au 16 juin

L’OMBREDES FEMMESDE PHILIPPE GARREL

Pierre et Manon font des documentaires avec rien et ils vivent en faisant des petits boulots. Pierre rencontre une jeune stagiaire, Elisabeth, et elle devient sa maîtresse. Mais Pierre ne veut pas quitter Manon pour Elisabeth, il veut garder les deux.

(…) L’Ombre des femmes a la pureté d’un diamant. Diamant noir et diamant blanc, comme les images somptueuses taillées dans la lumière et dans l’ombre par Renato Berta, diamant qui éclaire les relations entre les êtres telles que tous les humains les vivent, diamant dans l’eau duquel se reflètent les trahisons, les plus banales, allumées par l’étincelle produite par le frottement de deux peaux qui se découvrent, les plus secrètes, dissimulées au fil des dé-cennies par un homme qui n’était certes pas le héros dont Pierre croyait raconter l’histoire. Tout dans le film s’associe, rien n’est laissé au hasard, sauf peut-être quand celui-ci décide de bien faire les choses, par exemple en rendant possible la rencontre miraculeuse entre un personnage et une actrice, en l’espèce entre Manon et Clotilde Courau, dont on igno-rait qu’elle atteindrait un jour les sommets qu’elle tutoie dans L’Ombre des femmes.Et puis, il y a Paris, les rues, les cafés, les appartements, tout ce que l’on a vu au cinéma des milliers de fois et que l’on découvre pourtant, comme régénéré, comme réinventé. Le mystère du cinéma est là tout entier, c’est aussi ce qui dans le nouveau film de Philippe Garrel, assurément un de ses plus beaux, séduit et fascine.

Pascal Mérigeau / L’Obs – 14 mai 2015

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Du 17 au 30 juin

MUSTANGDE DENIZ GAMZE ERGÜVENMustang porte bien son nom. Fougueux, sensuel et puissant comme un cheval au galop, il raconte l’histoire de cinq sœurs – la benjamine a 12 ans, l’aînée, 16 – confrontées à la difficulté d’être des filles dans un coin reculé de la Turquie d’aujourd’hui. Aussi solidaires que les cinq doigts de la main, Sonay, Selma, Ece, Nur et Lale sont depuis longtemps orphelines. Leur grand-mère les a élevées seule. Elles ont poussé en herbes folles, libres et indociles. Mais un jour, leur oncle est appelé à la rescousse afin de mettre de l’ordre dans le petit gynécée. Pour montrer que le mâle est le maître en Turquie, rien de tel que quelques mariages forcés.

Dans le bled où vivent les sœurs, à 1 000 kilomètres d’Istanbul, la virginité est une valeur en soi. Pour la préserver, on peut aller très loin, jusqu’à mettre la vie sous cloche. Jusqu’à faire de ses enfants des of-frandes de chair à sacrifier sur l’autel des traditions, des convenances et du patriarcat. (...)Mais la force de Mustang réside moins dans le réa-lisme et la justesse avec lesquels il croque la cruauté des situations que dans sa jubilation à prendre une revanche sur la vie. Car ses héroïnes ont beau être vic-times, elles ne se comportent jamais comme telles. A l’image de la plus jeune des sœurs, petit corps mus-clé qui n’entend pas ployer, elles débordent d’énergie pour contourner les interdits. (…)

Mathilde BlottièreTélérama – 19 mai 2015

France – 215Durée : 1h13Scénario : Jean-Claude Carrière, Caroline Deruas, Arlette Langmann, Philippe GarrelMusique : Jean-Louis Aubert

avec : Clotilde Courau, Stanislas Merhar, Lena Paugam,

Quinzaine des Réalisateurs, Festival de Cannes 2015

Turquie – 2015Durée : 1h37

Scénario : Deniz Gamze Ergüven, Alice WinocourPhotographie : David Chizallet, Ersin GokMusique : Warren Ellis

avec : Günes Sensoy, Doga Zeynep Doguslu, Tugba Sunguroglu

Prix Label Europa Cinémas Quinzaine des Réalisateurs, Festival de Cannes 2015

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Du 17 au 30 juin

L’ÉVEIL D’EDOARDODE DUCCIO CHIARINI

C’est l’été sur la côte italienne. Pour Edoardo, 17 ans, le temps des premiers émois est venu. Mais maladroit et timide avec les filles, il découvre que le sexe est plus compliqué que ce qu’il pensait…

L’idée du film était de raconter la fragilité et les fai-blesses du sexe masculin trop souvent représentées selon des stéréotypes machistes. La problématique sexuelle, vécue par le personnage d’Edoardo, était pour moi un outil narratif pour raconter le passage de l’adolescence à l’âge adulte de façon plus intime et profonde.L’histoire vient d’une expérience autobiographique, même si je ne m’identifie pas à Edoardo. J’ai juste es-sayé de me souvenir de ce qu’on ressent quand on est amoureux d’une jeune fille que l’on voit chaque été, parce que j’avais vécu quelque chose de similaire.Je voulais raconter une histoire qui arrive quand on a 17 ans. Pourtant, je considère que ces adolescents sont très matures, peut-être plus que les adultes, ils s’ef-forcent de comprendre leurs sentiments et essayent à tout prix de les exprimer.

Duccio Chiarini

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Du 24 au 30 juin

L’ANNÉE PROCHAINEDE VANIA LETURCQ

Clotilde et Aude ont 18 ans et sont meilleures amies depuis toujours. Leur relation est forte et fusionnelle comme peuvent l’être les amitiés adolescentes. Elle doivent décider ce qu’elles feront l’année prochaine, après le bac. Clotilde choisit de quitter leur petit village pour aller faire ses études à Paris et entraine Aude avec elle. Mais les deux amies vivront différemment leur nouvelle vie …

Vania Leturcq nous emporte là où se fane non sans aveuglement l’adolescence et, épousant l’énergie de ses protagonistes, nous transporte au fil d’un parcours vers l’âge adulte. Judicieusement écrit et mis en scène avec panache, L’année prochaine nous plonge proprement dans le tourbillon sensible de l’éveil à soi. (…)Dirigeant avec soin ses comédien(ne)s, Vania Leturcq parvient à sublimer l’énergie de ses personnages. La réalisatrice signe un premier film enchanteur et mé-lancolique.

Nicolas Gilsonwww.ungrandmoment.be – 21 avril 2015

Italie – 2014Durée : 1h26

Scénario : Duccio Chiarini Ottavia Madeddu, Marco Pettenello Miroslav MandicPhotographie : Baris OzbicerMusique : Woodpigeon

avec : Matteo Creatini,Francesca Agostini, Nicola Nocchi, Miriana Raschillà

Sélections officielles, Mostrade Venise 2014, Berlin 2014

Belgique, France – 2014Durée : 1h48

Scénario : Vania Leturcq, Christophe MorandPhotographie : Virginie SurdejMusique : Manuel Roland

avec : Constance Rousseau, Jenna Thiam, Julien Boisselier, Kévin Azaïs

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Mercredi 17 juin 21h

THE CUTDE FATIH AKIN

Anatolie, 1915. Dans le tumulte de la Première Guerre mondiale, alors que l’armée turque s’attaque aux Arméniens, le jeune forgeron Nazaret Manoogian est séparé de sa femme et ses deux fi lles. Des années plus tard, rescapé du génocide, Nazaret apprend que ses fi lles sont toujours en vie. Porté par l’espoir de les retrouver, il se lance dans une quête éperdue...

Appliqué, patient dans sa meurtrissure intérieure, Nazaret trouve dans cette belle idée, et l’interprétation élégante que Tahar Rahim lui donne, l’étoffe d’un grand et beau person-nage, de ceux que l’on aime à garder en tête et dans les yeux, lorsque l’occasion se présente de puiser dans la fiction un peu de courage. (…)

Noémie LucianiLe Monde – 13 janvier 2015

— Allemagne, France – 2014Durée : 2h18

Scénario : Fatih Akin, Mardik Martin

Musique : Alexander Hacke

avec : Tahar Rahim, Simon Abkarian,Makram J. Khoury, Hindi Zahra—

Lundi 22 juin 21h

GAUDÍ,LE MYSTÈRE DE LA SAGRADA FAMÍLIADE STEFAN HAUPT

La Sagrada Família de Barcelone, un projet de construction unique et fasci-nant, poursuivi par Antoni Gaudí, architecte de génie. Mais aussi une histoire ponctuée de sombres abîmes et d’envolées sublimes. La biographie de cet édifice, toujours en construction depuis 1882 est le point de départ de ce film où la question de l’acte de création est au coeur du récit.

« Dieu n’est pas pressé » : cette phrase de Gaudí éclaire la passionnante histoire sans fin de ce « temple catho-lique de l’expiation », dont la beauté gothique fait sou-dain passer les châteaux de Game of thrones pour du classicisme !

Guillemette OdicinoTélérama – 14 mai 2014

— Suisse - 2014Durée : 1h29

Scénario : Stefan HauptPhotographie : Patrick LindenmaierMontage : Christof SchertenleibMusique : J. P. GoljadkinCommentaire : Stefan Haupt, Martin Witz—

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LMLA LONGUE NUIT DE L’ARMÉNIEAvec la participation des classes de flûte, hautbois, clarinette, basson, cor et orchestre à cordes du Conservatoire Auguste-Tolbecque.Afin de commémorer les 100 ans du début du génocide arménien (24 avril 1915), La longue nuit de l’Arménie veut à la fois puiser dans les souvenirs collectifs pour réparer l’impensable, mais aussi solliciter nos propres mémoires pour nous échapper le temps d’un rêve dansé.

20h : concert 1.Ensemble de flûtes, contrebasse & petite percussion / direction : P. Fardet & C. Ribrault 2. Orchestre à corde & solistes / direction : I. Langlait-Marillot & C. Verdon

21h : projection du film

QUI ÉTAIT GAUDI ?Peut-on poursuivre l’oeuvre d’un architecte disparu ?

20h : présentationpar Renaud Barrès, architecte - historien de l’architecture et directeur du CAUE de l’Aude

21h : projection du filmProjection unique organisée en collaboration avec le CAUE des Deux-Sèvres(Conseil d’Architecture, d’Urbanisme et de l’Environnement Deux-Sèvres).

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Lundi 18 juin 19h

IL ÉTAITUNE FOISLE RSAAux côtés de trois assistantes sociales de l’antenne médico-sociale de Melle, et d’un médiateur numérique du dispositif « Solid’R net », sept allocataires ont travaillé un an et demi sur ce projet. D’un simple groupe de parole baptisé « Paroles en images », le projet a évolué vers le tournage d’un film de 45 minutes sur le RSA. Une approche à la fois collective, participative et créative.

Projection suivie d’un débat Entrée libre

Lundi 29 juin 18h

LE LAITET LE MIELDE NICOLAS KERSZENBAUM

Reprise en Avignon dans le cadre du festival Contre Courant Samedi 11 juillet 2015 à 22h / Ile de la Barthelassela création de Nicolas Kerszenbaum présen-tée la saison dernière, sera répètera dans nos murs.

La compagnie vous invite à découvrir ou re-voir cette histoire d’amour impossible qui rend compte de la complexité israélienne.

Répétition publique Accès libre

Mensuel cinéma du Moulin du Roc, Scène Nationale de Niort. 9 boulevard Main CS 18555 - 79025 Niort Cedex / Tel : 05 49 77 32 30

www.moulinduroc.asso.fr / [email protected]édaction et choix des textes : Jacques Morel, Marc Lanel

Directeur de la publication : Paul-Jacques Hulot.

Les salles de cinéma du Moulin du Roc sont classées Art et Essai avec les labels «Recherche et Découverte» et «Jeune Public».Le Moulin du Roc est adhérent de l’ACOR, de l’AFCAE, de l’ACID, de l’ADRCet sont labellisées Europa Cinemas.I.S.S.N.1161 - 7799 .Licences spectacles n°1-1061165/ n°2-1061166/ n°3-1061167

Conception graphique : BANG / Réalisation :S. Bourdin / Imprimé sur les presses de Raynaud Imprimeurs sur papier Magno satin, en 3000 ex.

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N° 278—

DU 10 AU 16 JUIN MER. 10 JEU. 11 VEN. 12 SAM. 13 DIM. 14 LUN. 15 MAR. 16

TROIS SOUVENIRS ... 15h45 - 20h30 15h45 20h 15h45 17h45

LA LOI DU MARCHÉ 18h 16h 18h30 20h30 20h15 18h 16h30 . 18h30

L'OMBRE DES FEMMES 20h 18h 17h . 21h 20h 16h 18h30 . 20h30 16h15 . 20h30

L'ARMÉE DES OMBRES - 20h - - - - 20h

LE DOULOS - - - 18h 18h - -

UN FLIC - - 19h - - 16h30 -

LE CERCLE ROUGE - - - - - 20h -

DU 17 AU 23 JUIN MER. 17 JEU. 18 VEN. 19 SAM. 20 DIM. 21 LUN. 22 MAR. 23

MUSTANG 20h30 16h . 17h 19h . 21h 16h30 . 18h30 . 20h30 16h30 . 18h30 . 20h30 16h30 . 18h 16h . 20h30

L'EVEIL D'EDOARDO 18h30 20h30 16h30 . 18h30 20h 16h . 18h 16h 16h30 . 18h

L'ARMÉE DES OMBRES - 18h - 15h30 - - 20h

LE DOULOS 16h30 - - - - 20h30 18h30

UN FLIC - - - 18h - 18h30 -

LE CERCLE ROUGE - - 20h30 - 20h - -

THE CUT 21h - - - - - -

GAUDI - - - - - 21h -

IL ÉTAIT UNE FOIS LE RSA - 19h - - - - -

DU 24 AU 30 JUIN MER. 24 JEU. 25 VEN. 26 SAM. 27 DIM. 28 LUN. 29 MAR. 30

MUSTANG 16h . 19h 16h . 18h . 20h 21h 18h30 - 18h 16h30 . 18h30 . 20h30

L'ANNÉE PROCHAINE 21h 20h30 19h 20h30 18h30 20h 20h

L'EVEIL D'EDOARDO 18h . 20h 18h30 - - 20h30 16h 16h . 18h

TARIFS CINÉMA Plein tarif : 6,50 F Carte AMDR : 5 F Carte JMDR : 4,50 F Moins de 14 ans : 4 F - 26 ans avec carte : 4,50 F Lundi tarif réduit : 5F Forfait ciné 10 : 45F

FERMETURE ESTIVALE - COMMUNIQUÉ DU PERSONNEL DE LA SCÈNE NATIONALESi, comme le public du Moulin du Roc, nous saluons l’investissement de la ville de Niort pour la rénovation des fauteuils et du revêtement de sol du grand théâtre, la fermeture estivale du Moulin du Roc durant les travaux ne doit pas masquer une mesure parallèle de chômage partiel pour motif économique, votée en conseil de surveillance ; et ce en raison du sous-financement structurel avéré de l’établissement. Soucieux d’assumer et remplir de notre mieux l’ensemble des missions de service public dévolues à la Scène nationale, les salariés permanents et intermittents du Moulin du Roc ont souhaité exprimer ici leur inquiétude. Ils appellent l’Etat et l’ensemble des collectivités territoriales concernées à engager les mesures de soutien indispensables à la pérennité de l’activité de la Scène nationale.

Durant les travaux, Le Moulin du Roc sera fermé au public du 1er juillet au 7 septembre 2015.Présentation de la saison 2015-2016 et réouverture du Grand Théâtre le mardi 8 septembre à 19h.

Reprise de la programmation cinéma le mercredi 9 septembre.

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