1. formulation et présentation galénique
TRANSCRIPT
1. Formulation et présentation galénique
2. Les adjuvants
3. Exemple de vaccins récents : Gardasil
Aspects galéniques des vaccins
DFAS
P-U
E3As
pect
s gal
éniq
ues
des v
acci
ns
DFAS
P-U
E3As
pect
s gal
éniq
ues
des v
acci
nsIntroduction
LEEM Plateforme vaccins 2018
DFAS
P-U
E3As
pect
s gal
éniq
ues
des v
acci
ns
Le secteur du vaccinDF
ASP-
UE3
Aspe
cts g
alén
ique
s de
s vac
cins
DFAS
P-U
E3As
pect
s gal
éniq
ues
des v
acci
ns
1. Formulation et présentation galénique
2. Les adjuvants
3. Exemple de vaccins récents :
Vaccins Papillomavirus : Gardasil® et Cervarix®
Aspects galéniques des vaccins
DFAS
P-U
E3As
pect
s gal
éniq
ues
des v
acci
ns
Les P.A. immunogènes
Une grande variété :
approche galénique cas par cas
problèmes très différents
proches des Pb de formulation des produits issus des Biotech
DFAS
P-U
E3As
pect
s gal
éniq
ues
des v
acci
ns
• stabilité
• compatibilité avec le solvant et le conditionnement primaire
• pureté
• stérilisable
• monographie fonction de la nature de la souche : bact, virus, toxine,…
Propriétés requises :
DFAS
P-U
E3As
pect
s gal
éniq
ues
des v
acci
ns
- utilisation : critère de qualité selon voie d ’adm.- critère d ’efficacité!!! NOTION D ’ADJUVANT
Selon les formes :
• solvant :- solution ou suspension- eau ppi- isotonisants : NaCl
• tampons : 7.35-7.4 (phosphate)• solubilisants• agents antimicrobiens : sels d ’ATB/ sulfate de néomycine, kanamycine• conservateurs : si ne supporte pas la stérilisation=> formol, 2-phénoxyéthanol, mercurothiolate de Na
Les excipients
DFAS
P-U
E3As
pect
s gal
éniq
ues
des v
acci
ns
• état liquide : solution ou suspensionex : polio / ampoules buvables
tétanique Pasteur : suspension inj.
• utilisation d ’adjuvants / Al(OH)3
• lyophilisats : flacon type péni + flacon de solvantex : Rouvax®, utilisation immédiate après reconstitution
• vaccins associés : permet le respect du calendrier vaccinalex : Pentacoq®
Les présentations galéniques
DFAS
P-U
E3As
pect
s gal
éniq
ues
des v
acci
ns
DFAS
P-U
E3As
pect
s gal
éniq
ues
des v
acci
ns
1. Formulation et présentation galénique
2. Les adjuvants
3. Exemple de vaccins récents :
Vaccins Papillomavirus : Gardasil® et Cervarix®
Aspects galéniques des vaccins
Objectifs:
Dans la plupart des cas, l’Ag lui-même est peu immunogène, l’adjuvant est nécessaire pour augmenter cette réponse
Orienter le type de réponse (cancer, HIV, muqueuse)
Faciliter le ciblage et/ou la libération contrôlée de l’Ag aux cellules présentatrices
Protéger l’Ag d’une dégradation
Les adjuvants
DFAS
P-U
E3As
pect
s gal
éniq
ues
des v
acci
ns
La plupart des vaccins contient un adjuvant sauf…
• Tous les vaccins vivants• Les vaccins contre la grippe saisonnière • Les vaccins quadrivalents méningococciques
conjugués A,C,Y,W135
DFAS
P-U
E3As
pect
s gal
éniq
ues
des v
acci
ns
La France est devenue un des pays au monde où la défiance vaccinale est la plus forte. Ces controverses ont lieu alors même que l’obligation vaccinale qui prendra effet en 2018 correspond au calendrier vaccinal actuel, qu’elle n’ajoute aucun vaccin supplémentaire et vise à faire en sorte que les enfants reçoivent effectivement les vaccins qu’ils auraient dû recevoir si le calendrier vaccinal était respecté pour tous les enfants.
Rationnel :- Voies d’administration- Mécanismes effecteurs mis en jeu- Efficacité- Tolérance
Les leçons du passé:Appliquer le principe du KISS dès que possible
Keep It Simple Stupidet éviter la complexité inutile
Derk T. O’Hagan, Drug Discovery To Day (décembre 2009)
Les adjuvantsDF
ASP-
UE3
Aspe
cts g
alén
ique
s de
s vac
cins
Les adjuvants : agréés et en recherche clinique
Maisonneuve et al. PNAS | August 26, 2014 | vol. 111 | no. 34 |
DFAS
P-U
E3As
pect
s gal
éniq
ues
des v
acci
ns
- Sels d’aluminium
- la plupart de vaccins (agréé dans de très nombreux pays)- tolérance prétendue et controversée- adjuvant intrinsèquement relativement peu puissant- induit une réponse prédominante Th-2
Hydroxyde d’Al : Pi = 9.4 et donc charge >0 à pH 7.0Phosphate d’Al : Pi = 4.5 et donc charge <0 à pH 7.0
Mécanismes :Adsorption Ag par interactions faibles
DFAS
P-U
E3As
pect
s gal
éniq
ues
des v
acci
ns
18 patients présentant des myalgies (12/14) , arthralgies (9/14), une faiblesse musculaire (6/14), signes généraux (6/14) : asthénie et fièvre, modifications de l’électromyogramme (4/12), élévation des CPK (6/14).Biopsie musculaire dans le deltoïde: lésions inhabituelles nommée Myofasciite à macrophages10 traités par ATB et corticoïdes: 8 améliorés, 2 stabilisés
NB: la présence de granulomes à aluminium dans les muscles où on injecte le vaccinsétait connue depuis 1982 (Mrak RE. Muscle granulomas following intramuscular
injection. Muscle Nerve 1982; 5:637-9)
Les lésions sont rattachées à la présence d’Aluminium en 2001 (Gherardi RK, Coquet M, Chérin P, et al. Macrophagic myofasciitis lesions assess longterm
persistence of vaccine-derived aluminium hydroxide in muscle. Brain 2001; 124:1821-31)
DFAS
P-U
E3As
pect
s gal
éniq
ues
des v
acci
ns
Que répondre?
• 20 ans après la publication initiale, s’il n’y a aucun doute sur le fait que la présence de granulomes à aluminium dans les muscles est bien un « tatouage vaccinal » aucune évidence n’est apportée d’un lien entre cette constatation et une quelconque maladie
• Retirer l’Al des vaccins reviendrait à arrêter la plupart des vaccinations• Des alternatives existent mais
– prendraient des années – Il est douteux que les firmes fabriquent des vaccins spécifiques pour
la France…– Il n’est pas certain que des adjuvants alternatifs aient un aussi bon
profil de tolérance…
Professeur Daniel Floret,Président du CTVHaut Conseil de la Santé Publique,Journée ARS/ IDF 25 avril 2013
DFAS
P-U
E3As
pect
s gal
éniq
ues
des v
acci
ns
A B C
Ad Ad Ad
Adsorptionséparée
Vaccin ABC
Adsorptionséquentielle
A
B
C
Ad
Ad
Ad
Vaccin ABC
A B C
Adsorptioncompétitive
Ad
Vaccin ABC
Stratégies pour la production de vaccins adsorbés
DFAS
P-U
E3As
pect
s gal
éniq
ues
des v
acci
ns
- MF59
Près de 45 millions de personnes vaccinées en Europe!
Emulsion huile/eauPolysorbate 80 (0,5%)Triolate de sorbitane (0,5%)Huile squalène (4,3%)Tampon citrate (10 nM)Eau
Viscosité faible
DFAS
P-U
E3As
pect
s gal
éniq
ues
des v
acci
ns
substance organique naturelle (plantes : olives, céréales, etc.) et fabriquée par animaux et humains (synthèse cholestérol)Composant de la peau
Triterpène isoprénoïde, précurseur cholestérol
Squalène
DFAS
P-U
E3As
pect
s gal
éniq
ues
des v
acci
ns
- AS04
Tiré de O’Haga, Chiron
3-O-desacyl-4'-monophosphoryl lipide A (MPL) adsorbé sur hydroxyde d'aluminium hydraté Al(OH)3
Ex : cervarixCOMPOSITION (début page)
p dose (0,5 ml)Protéine L1 de Papillomavirus Humain(1) de type 16(2)(3)(4) 20 µgProtéine L1 de Papillomavirus Humain(1) de type 18(2)(3)(4) 20 µgExcipients : chlorure de sodium, phosphate monosodiquedihydraté, eau ppi.
(1) Papillomavirus Humain = HPV.(2) Avec adjuvant AS04 contenant du 3-O-desacyl-4'-monophosphoryl lipide A (MPL)3 : 50 µg.(3) Adsorbé sur hydroxyde d'aluminium hydraté Al(OH)3 : 0,5 mg Al3+ au total.(4) Protéine L1 sous forme de pseudoparticules virales non infectieuses
Structure MPL
DFAS
P-U
E3As
pect
s gal
éniq
ues
des v
acci
ns
Crucell : vaccine technology
- Virosomes : basés sur liposomes
Source : www.crucell.com
GLA dans la bicouche PL
ID93 greffé sur lipides
Neuraminidase
Hemagglutinine
ID93-virosome particle architecture
DFAS
P-U
E3As
pect
s gal
éniq
ues
des v
acci
ns
Delivery SystemsMF59, PLG
micro-nanoparticules
ImmunopotentialisationCpG, MPL, ect…
AntigènesProtéines
recombinantes
Mémoire cellulaire B&T à long terme
Nouvelle génération de vaccins
DFAS
P-U
E3As
pect
s gal
éniq
ues
des v
acci
ns
Aspects galéniques des vaccins
1. Formes et Formulation des vaccins
2. Les adjuvants
3. Exemple de vaccins récents :
Vaccins Papillomavirus : Gardasil® et Cervarix®
DFAS
P-U
E3As
pect
s gal
éniq
ues
des v
acci
ns
DFAS
P-U
E3As
pect
s gal
éniq
ues
des v
acci
ns
Cancer du col de l’utérus et HPV
CIN : néoplasie cervicale intraépithéliale dont stade 3 nécessaireCIS : cancer in situ
DFAS
P-U
E3As
pect
s gal
éniq
ues
des v
acci
ns
DFAS
P-U
E3As
pect
s gal
éniq
ues
des v
acci
ns
Cas de Gardasil®
Indications officielles (AMM) :
- la prévention des dysplasies cervicales de haut grade (CIN2/3), du cancer du col de l’utérus, de lésions dysplasiques vulvaires de haut grade (VIN2/3), et de lésions génitales externes (condylomes acuminés) liées à un HPV de types 6, 11, 16, et 18.
- 5 ans de recul.
- vaccin quadrivalent HPV 6, 11, 16, 18 - AMM 20/09/2006 - en pharmacie: depuis le 23/11/2006
- vaccin préventif, avant l’infection par les types d’HPV à bas risques 6 et 11 et à hauts risques 16 et 18
- vaccin recombinant, composé de protéines L1 de capside sous forme de pseudoparticules virales
DFAS
P-U
E3As
pect
s gal
éniq
ues
des v
acci
ns
Protéine L1
Capsomère L1
Vaccins = pseudoparticules virales“HPV Viral-Like Particle” (VLP)
DFAS
P-U
E3As
pect
s gal
éniq
ues
des v
acci
ns
GARDASIL™ : vaccin contre le papilloma virus humain (HPV)
autoassemblage
DFAS
P-U
E3As
pect
s gal
éniq
ues
des v
acci
ns
GARDASIL™ : aspects pharmaceutiques
Un constat : hétérogénéité moléculaire !donc:
- nécessité de suivre :- agrégation- structure Ire et modifications post-traductionnelles- profil des impuretés
- exigences réglementaires :- essai adapté : doit discriminer toute variation de qualité (ICH Q5E)- nécessité de vérifier les structures (Ire, IIre, IIIre, Ivre) identiques dans le produit- adjuvant et complexe Ag-adjuvant : caractérisation (EMEA guideline)
DFAS
P-U
E3As
pect
s gal
éniq
ues
des v
acci
ns
Séquence AA
Structure IreCartographie
peptidiquePureté, intégrité, déamidation &
thiols libres de laforme dénaturée
Structure IIreCD
FT-IR
Structure IIIre et IVreDLS, IC50, antigénicité,
Thiols libres de la forme nativeet des oligomère L1
cryoTEM
Complexe Adjuvant-Ag
DLS, DSC, IVRP, IC50
Assemblage
Désassemblage
Relation directe entre structures et méthodes !DF
ASP-
UE3
Aspe
cts g
alén
ique
s de
s vac
cins
L Shi et al.,CLINICAL PHARMACOLOGY & THERAPEUTICS,VOL.81 N. 2, FEBRUARY 2007
Mise au point de la formulation vs stabilité
NaCl 0.15 M
NaCl 0.32 M
NaCl 0.32 M, 0,01% polysorbate, 10 mM histidine NaCl 0.32 mM + désassemblage/réassemblage M
Temps (mois)
Effic
acité
in
vitr
o
DFAS
P-U
E3As
pect
s gal
éniq
ues
des v
acci
ns
Mise au point de la formulation
HENRYK MACH et al., JOURNAL OF PHARMACEUTICAL SCIENCES, VOL. 95, 10, 2006
Temps (minutes)
Inte
nsité
diff
usée
(kps
)
Contrôle du procédé de dispersion = désassemblage
2 mM DTT (o), 5 mM DTT (), 10 mm DTT (), 20 mM DTT (x).
HPV VLP: 0.15 mg/ml; tampon 0.63 M NaCl, 35 mM phosphate de Na, 2 mm EDTA, 0.03% polysorbate 80, 100 mM Tris (pH 8.2)
DFAS
P-U
E3As
pect
s gal
éniq
ues
des v
acci
ns
Test de stabilité accéléré des VLP 6, 11, 16 et 18
Rép
onse
rela
tive
Bia
core
(%)
Temps (mois) à 30°C Temps (mois) à 30°C
DFAS
P-U
E3As
pect
s gal
éniq
ues
des v
acci
ns
Morphologies de VLP lors du traitement
L Shi et al.,CLINICAL PHARMACOLOGY & THERAPEUTICS,VOL.81 N. 2, FEBRUARY 2007
désassemblage
réassemblage
MET
AFM
DFAS
P-U
E3As
pect
s gal
éniq
ues
des v
acci
ns
GARDASIL™ : vaccin contre le papilloma virus humain (HPV)DF
ASP-
UE3
Aspe
cts g
alén
ique
s de
s vac
cins
DFAS
P-U
E3As
pect
s gal
éniq
ues
des v
acci
ns
DFAS
P-U
E3As
pect
s gal
éniq
ues
des v
acci
ns
DFAS
P-U
E3As
pect
s gal
éniq
ues
des v
acci
ns
Au cours du suivi, 3 974 cas de MAIs ont été identifiés au total (2 978 chez les non vaccinées et 996 chez les vaccinées). L’analyse n’a pas mis en évidence d’augmentation significative du risque de survenue d’une MAI (toutes MAIs confondues) chez les jeunes filles vaccinées comparativement aux non vaccinées.
Pour 12 des 14 événements d’intérêt étudiés, les analyses effectuées par pathologie n’ont pas non plus montré d’augmentation de risque chez les jeunes filles vaccinées (cf. tableau). Une association statistiquement significative avec le vaccin anti-HPV a été mise en évidence pour deux événements d’intérêt : maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI).
Conclusion:
En ce qui concerne les MICI, il est probable que la faible association observée soit expliquée par un biais de causalité inverse, par le hasard ou par des facteurs confondants résiduels non pris en compte dans les analyses. De plus, la littérature ne suggère pas que la vaccination (de manière générale) soit un facteur de risque de ces pathologies. Ce résultat nécessite donc d'être investigué par d'autres études.
Le résultat concernant l’augmentation du risque de SGB* après vaccination anti-HPV paraît robuste au regard des résultats des analyses de sensibilité et en sous-groupes. Si des études ont rapporté une association entre la survenue de ce syndrome et différentes vaccinations, nombre d’autres ne montrent aucune augmentation du risque de SGB* chez les personnes vaccinées. Bien que l’augmentation de risque rapportée dans notre étude soit marquée en termes relatifs, nos résultats suggèrent que le nombre absolu de cas qui pourraient être imputables au vaccin anti-HPV est très faible du fait de la rareté du SGB*. Ainsi, en faisant l’hypothèse (non établie) que l’association mise en évidence est bien de nature causale, le nombre de cas de SGB attribuables à la vaccination serait de l’ordre de 1 à 2 cas pour 100.000 jeunes filles vaccinées.*Syndrome de Guillain-Barré
DFAS
P-U
E3As
pect
s gal
éniq
ues
des v
acci
ns
DFAS
P-U
E3As
pect
s gal
éniq
ues
des v
acci
ns
Le dépistage organisé par frottis est le meilleur moyen connu de réduire la mortalité par cancers du col de l'utérus. Il faut encore quelques années de recul pour savoir dans quelle mesure le vaccin papillomavirus réduirait cette mortalité. Du côté de ses effets indésirables, il est plausible qu'il expose à un risque rare de syndrome de Guillain-Barré.En France, les cancers du col de l'utérus sont à l'origine d'environ un millier de morts par an. Un dépistage organisé régulier par frottis du col de l'utérus chez les femmes adultes peut diminuer la mortalité par cancer du col de l'utérus. La vaccination contre le papillomavirus diminue le risque de lésions du col, dont quelques-unes précèdent souvent les cancers du col de l'utérus. On ne connaîtra pas avant longtemps son effet sur le risque de cancer du col de l'utérus.Début 2016, selon une étude de grande ampleur menée en France, des cas de syndrome de Guillain-Barré, maladie rare mais grave touchant les nerfs périphériques, ont semblé liés à cette vaccination : environ 1 à 2 cas supplémentaires de syndrome de Guillain-Barré pour 100 000 filles vaccinées. Ce résultat est cependant fragile.Dans ces conditions, il est raisonnable que des jeunes filles choisissent d'être vaccinées en espérant réduire le risque de cancer. Il est raisonnable aussi que d'autres choisissent de ne pas être vaccinées, redoutant le syndrome de Guillain-Barré malgré sa rareté.
©Prescrire 1er juin 2016
Vaccins papillomavirus et syndromes de Guillain-Barré : gérer les incertitudes
Un contexte difficile pour les vaccins HPVDF
ASP-
UE3
Aspe
cts g
alén
ique
s de
s vac
cins
DFAS
P-U
E3As
pect
s gal
éniq
ues
des v
acci
ns
Mise à disposition en pharmacie d'officine en août 2018
DFAS
P-U
E3As
pect
s gal
éniq
ues
des v
acci
ns
Pourquoi un vaccin nonavalent ?
D’après De San José et al. Lancet Oncol 2010 - Serrano et al. Infectious Agents and Cancer 2012
Distribution mondiale des génotypes HPV dans les cancers du col de l’utérus
DFAS
P-U
E3As
pect
s gal
éniq
ues
des v
acci
ns