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Association Luxembourgeoise du Diabète Périodique paraît 4 fois/an PRIX: 5 € Gratuit pour les membres de l’ALD 04 | 2017 Journée mondiale: Les femmes et le diabète Les légumes oubliés Insulin: immer noch spritzen, aber …

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Association Luxembourgeoisedu DiabètePériodiqueparaît 4 fois/an

PRIX: 5 € Gratuit pour les membres de l’ALD

04| 2017

Journée mondiale:Les femmes et le diabète

Les légumes oubliés

Insulin: immer noch spritzen, aber …

Comité de rédaction: Marc Keipes, Sylvie Paquet, Elke Dietrich, Françoise Kinsoen, Sabrina Dell’Aera Monteiro, Delphine Schumacher, Angela Duraes, Catarina Andrade, Martina Berthoux, Martine Tavernier

La rédaction n’est pas responsable du contenu des annonces publicitairesÉditeur: Association luxembourgeoise du diabète a.s.b.l. B.P. 1316 – L-1013 LUXEMBOURG Tél.: 485361 C.C.P. IBAN LU95 1111 0215 7238 0000Layout: print solutions s.à.r.l.Tirage: 1600 exemplairesPhoto couverture: shutterstock

3 Editorial

5 Journée mondiale du diabète 5 Journée mondiale du diabète 2017

7 Les femmes et le diabète

9 Frauen und Diabetes

11 Wëssenswäertes iwwer d’Zockerkrankheet 11 Le traitement à l’insuline : il faut encore toujours l’injecter, mais…

16 Insulinbehandlung: leider noch immer Spritzen, aber…

18 De Regime 18 Le retour des légumes oubliés

20 Die Rückkehr der vergessenen Gemüsesorten

22 Rezeptsäit 22 Salsifis au gratin

23 Pastinakensuppe mit Räuchertofu

24 D’Säit vun de Kanner 24 Segelcamp 2017

27 Accrobranche 2017

29 Rätselsäit

30 Témoignage: T1D Challenge 2017

32 Internes aus der ALD 32 Ausfluch 2017 Maria Laach / Andernach

34 Coin de nos lecteurs portugais

34 As proteínas ao detalhe

IMP

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9S O M M A I R E

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16 24

NOTRE DROIT À UNE BONNE SANTÉGUIDE DE LA JMD 2017AGIR AUJOURD’HUI POUR CHANGER DEMAINwww.worlddiabetesday.org

LES FEMMES ET LE DIABÈTE

3Assoc iat ion Luxembourgeo ise du D iabète – ALD

Editorial

Dëst Joer steet de Weltdiabetikerdag ënner dem Moto „D’Fraen an d’Zockerkrankheet“ a mir hunn an dëser Editioun e puer spezifesch Aspekter vum Diabetis bei der Fra, mee och d’Ënnerscheeder tëschent Mann a Fra vis à vis vun dëser Krankheet erausgegraff.

Et dierf ee net vergiessen, dass op dëser Welt net all d’Fraen Zougang op di bescht méiglech Behandlung fir hiren Diabetis hunn, an dofir sëtzt di international Diabetesfederatioun sech an. Och an der Behandlung vun der Krankheet, spillt d‘Fra eng wichteg Roll, ass ët net si, di meeschtens kacht a fir d‘Wuel vun der Famill suergt, a net ze vergiessen d’Mammen vun diabetesche Kanner, fir déi dat oft e Fulltimejob ass.

Insulin ass eng liewensrettend Behandlung fir vill Leit mat Diabetis. Leider muss dës Hormon nach ëmmer gesprëtzt ginn, fir am Kierper wierksam ze bleiwen. Wat fir Méiglechkeeten et ginn, fir dës Behandlung fir di Betraffen esou angenehm wi méiglech ze maachen, a wat sech mat de Joren geännert huet, hu mir fir iech nogesicht.

Des Weideren gi Dir gewuer, wéi eng Plaz di al, vergiesse Geméiszorten an enger gesonder Ernärung hunn an dir fannt vill Fotoen vun eisen Aktivitéiten, dem Ausfluch vun der ALD, dem Accrobranche vum Grupp ParEnD an dem Segelcamp am Ijsselmeer.

Nieft eiser traditioneller Rätselsäit, gëtt et och e flotten Temoignage vun enger jonker Diabetikerin, di mat op den T1D Challenge am Sequoia National Park a Kalifornien war, a fir eis portugisesch Lieser ginn et Informatiounen iwwer Eewäissquellen.

Cette année, le thème de la Journée mondiale du diabète est «Les femmes et le diabète», et dans cette édition, vous trouverez des informations sur les spécificités du diabète chez la femme, mais également sur les différences entre l’homme et la femme face à cette maladie. Il ne faut pas oublier que dans le monde, toutes les femmes n‘ont pas accès à un traitement adéquat pour leur diabète, et la Fédération Internationale du Diabète essaie de lutter contre cette inégalité. Mais la femme joue également un rôle important dans le traitement de la maladie, c’est souvent elle qui cuisine et prend soin de la famille, sans oublier les mamans d’enfants diabétiques, pour lesquelles il s’agit souvent d’une tâche à plein temps.

L’insuline est un traitement vital pour de nombreuses personnes diabétiques, mais malheureusement cette hormone doit encore toujours être injectée pour rester active dans notre corps. Nous avons recherché pour vous quels moyens existent pour rendre ce traitement le plus agréable possible, et comment ils ont évolué avec le temps.

Par ailleurs, vous découvrirez quelle place ont les légumes oubliés dans une alimentation saine et vous trouverez de nombreuses photos de nos activités, l’excursion de l’ALD, l’accrobranche du groupe ParEnD et le camp de voile dans l’Ijsselmeer, ainsi que notre page des énigmes.

Vous pourrez également lire un beau témoignage d’une jeune fille diabétique qui a participé au T1D Challenge au Sequoia National Park en Californie, et nos lecteurs portugais pourront s’informer sur les sources de protéines.

Editorial

LES FEMMES ET LE DIABÈTE

NOTRE DROIT À UNE BONNE SANTÉ

AGISSONS AUJOURD’HUI POUR CHANGER DEMAINwww.worlddiabetesday.org

2 FEMMES SUR 5 SONT EN ÂGE DE PROCRÉER

LE DIABÈTE EST L’UNE DES PRINCIPALES CAUSES DE DÉCÈS CHEZ LES FEMMES

LA PROBLÉMATIQUE

LE DÉFI

UNE SOLUTION

199 MILLIONS DE FEMMES ATTEINTES DE DIABÈTE

313 MILLIONS EN 2040

LA CONSÉQUENCE

LES FEMMES ATTEINTES DE DIABÈTE DE TYPE 2 ONT PRESQUE 10 FOIS PLUS DE CHANCES D’AVOIR UNE MALADIE CARDIOVASCULAIRE

LES FEMMES ATTEINTES DE DIABÈTE DE TYPE 1 ONT UN RISQUE ACCRU DE FAUSSE COUCHE OU D’AVOIR UN BÉBÉ MALFORMÉ

TOUTES LES FEMMES ATTEINTES DE DIABÈTE ONT LE DROIT À UN ACCÈS AU SOIN ET À L’ÉDUCATION ÉQUITABLE ET ABORDABLE AFIN DE MIEUX GÉRER LEUR DIABÈTE ET AMÉLIORER LEUR ÉTAT DE SANTÉ

L’ACCÈS AUX MÉDICAMENTS ET AUX TECHNOLOGIES ESSENTIELS POUR LE DIABÈTE ET À L’ÉDUCATION À L’AUTOGESTION EST INDISPENSABLE AFIN D’ATTEINDRE DES RÉSULTATS OPTIMAUX

LES FEMMES ET LE DIABÈTE

NOTRE DROIT À UNE BONNE SANTÉ

AGISSONS AUJOURD’HUI POUR CHANGER DEMAINwww.worlddiabetesday.org

2 FEMMES SUR 5 SONT EN ÂGE DE PROCRÉER

LE DIABÈTE EST L’UNE DES PRINCIPALES CAUSES DE DÉCÈS CHEZ LES FEMMES

LA PROBLÉMATIQUE

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UNE SOLUTION

199 MILLIONS DE FEMMES ATTEINTES DE DIABÈTE

313 MILLIONS EN 2040

LA CONSÉQUENCE

LES FEMMES ATTEINTES DE DIABÈTE DE TYPE 2 ONT PRESQUE 10 FOIS PLUS DE CHANCES D’AVOIR UNE MALADIE CARDIOVASCULAIRE

LES FEMMES ATTEINTES DE DIABÈTE DE TYPE 1 ONT UN RISQUE ACCRU DE FAUSSE COUCHE OU D’AVOIR UN BÉBÉ MALFORMÉ

TOUTES LES FEMMES ATTEINTES DE DIABÈTE ONT LE DROIT À UN ACCÈS AU SOIN ET À L’ÉDUCATION ÉQUITABLE ET ABORDABLE AFIN DE MIEUX GÉRER LEUR DIABÈTE ET AMÉLIORER LEUR ÉTAT DE SANTÉ

L’ACCÈS AUX MÉDICAMENTS ET AUX TECHNOLOGIES ESSENTIELS POUR LE DIABÈTE ET À L’ÉDUCATION À L’AUTOGESTION EST INDISPENSABLE AFIN D’ATTEINDRE DES RÉSULTATS OPTIMAUX

5Assoc iat ion Luxembourgeo ise du D iabète – ALD

Journée mondiale du diabète

Journée mondiale du diabète 2017

Cette année, le thème de la Journée Mondiale du Diabète est «Les Femmes et le Diabète». Le diabète peut avoir des conséquences sur les différentes étapes de la vie d’une femme, et inversement, les différentes phases de la vie d’une femme peuvent influencer la maladie. Voici donc quelques spécificités du diabète au féminin.

PubertéLe diabète de type 1 n’induit pas d’anomalie pubertaire particulière.

En revanche, pour le diabète de type 2, cer-tains désordres, comme le syndrome des ovaires polykystiques, caractérisé par des troubles précoces des cycles menstruels, un excès de pilosité et une résistance à l’insuline, sont souvent détectés lors de la puberté. Ils imposent un suivi spécifique et des mesures de prévention du diabète de type 2.

Par ailleurs, le diabète de type 1, maladie auto-immune, est associé à un risque accru d’insuf-fisance ovarienne prématurée (diminution de la production d’ovocytes), ce qui peut être une indication pour le recours à la procréation médicalement assistée.

De même, un déséquilibre glycémique chro-nique ou une atteinte rétinienne non stabilisée sont des obstacles (temporaires) à un projet de grossesse.

GrossesseLa grossesse chez une mère diabétique doit être préparée en amont et particulièrement suivie tout au long de son déroulement.

En début de grossesse, un déséquilibre gly-cémique peut augmenter le risque de malfor-mations et de fausses couches. Il faut donc veiller à un terrain glycémique favorable avant la conception, avec des valeurs d’HbA1c idéa-lement inférieures à 6,5%.

Le traitement et le suivi pendant la grossesse doivent être intensifiés, les doses d’insuline doivent être adaptées aux besoins croissants en fin de grossesse. En effet, des glycémies trop élevées en fin de grossesse peuvent

entraîner une croissance excessive du foetus (macrosomie), qui peut être à l’origine de pro-blèmes au moment de l’accouchement, mais qui peut également avoir des répercussions sur la santé du bébé.

Enfin, pour certaines femmes, la grossesse peut être le premier contact avec le diabète, lorsqu’elles développent un diabète gestation-nel.

Ménopause

ContraceptionLe choix de la méthode contraceptive, en par-ticulier de la pilule, doit être adaptée et étudiée avec le médecin traitant, car toutes les pilules ne sont pas indiquées en cas de diabète.

FertilitéLe diabète, surtout s’il n’est pas bien équilibré, peut participer à certains troubles de la ferti-lité.

Le diabète n’est pas un facteur de ménopause prématurée.

Cependant, les symptômes liés à la méno-pause (bouffées de chaleur, troubles de l’humeur et du sommeil...) peuvent influencer la prise en charge de la maladie, notamment parce qu’ils peuvent être confondus avec ceux de l’hypoglycémie.

De plus, la carence en œstrogènes méno-pausiques a une influence sur la composition corporelle et la répartition des graisses, ce qui peut influencer l’insulinorésistance et l’équi-libre glycémique.

Si nécessaire, il faudra alors réviser le traite-ment du diabète.

Source : Le diabète au féminin, Equilibre N°318 /2017

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7Assoc iat ion Luxembourgeo ise du D iabète – ALD

Journée mondiale du diabète

Les femmes et le diabète

Les femmes sont différentes, les hommes aussi – ou comment l’évolution des différences entre l’homme

et la femme influence également le diabète.

Les hommes ne viennent pas de Mars ni les femmes de Vénus, comme prétendait J. Gray en 1991, mais il est indéniable qu’il y a des différences

entre les deux sexes, et non seulement anatomiques. Les différences psychosociales notamment, peuvent expliquer

pourquoi il existe aussi une différence dans l’évolution du diabète.

Remontons un peu le temps pour voir d’où nous venons. Il y a 14 000 ans, l’homme, et bien-sûr la femme, montraient encore plus de différences, si nous pouvons nous fier aux différents squelettes retrouvés, notamment ceux d’un couple appelé « Adam » et « Eve » par les chercheurs, trouvé dans une tombe près de Bonn en Allemagne.

Le squelette masculin témoignait de sa vie de chasseur et collecteur, avec des muscles forts, mais aussi endurants. Le squelette fémi-nin était nettement plus petit et plus gracile. Les rôles respectifs dans la vie étaient bien définis : l’homme chassait et protégeait la famille, la femme s’occupait de la famille et de

préparer la nourriture. C’est ainsi que se sont développés les compétences et en consé-quence le corps.

La sélection naturelle a favorisé des variations de gènes qui apportaient un avantage pour la survie. Les hommes se focalisaient sur la force, des blessures légères ne les arrêtaient pas, par contre l’hygiène n’était déjà à l’époque pas leur point fort. Les femmes développaient une intelligence émotionnelle et de l’empathie pour gérer la famille. Avec les ustensiles trou-vés dans la tombe, les chercheurs concluent que déjà la femme préhistorique s’occupait de son apparence et de son corps.

Ces différences d’évolution ont également en-trainé des différences de prédispositions pour les maladies. Ainsi, de nos jours, les femmes vivent plus longtemps que les hommes. Actuellement, au Luxembourg, les femmes ont une espérance moyenne de survie de 84,8 ans, les hommes de 80,2 ans. L’espérance de vie en bonne santé, élément peut être encore plus important, est de 67,1 respective-ment 65,8 ans.

Il y a toute une série de raisons pour cela : l’hérédité, un style de vie différent... Les hommes prennent plus de risques et se soignent moins bien (en général moins de visites chez le médecin, moins d’examens de

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les garçons ont souvent des valeurs d’HbA1c meilleures dans leur jeunesse et adolescence. Une possible explication est que le cycle des règles perturbe l’équilibre plusieurs jours chaque mois. De plus, pour ne pas prendre du poids, les filles et jeunes femmes ont ten-dance à corriger des hyperglycémies avec moins d’insuline que les hommes.

Et pour le diabète de type 2 ?

Dans une étude de cohorte de l’Institut Robert Koch, on constate que dans la population générale 7,4% des femmes sont atteintes de diabète de type 2, contre seulement 7% des hommes. Là encore, l’explication actuelle est que les hormones produites durant les gros-sesses ou un éventuel diabète gestationnel soient responsables pour cette différence.

A l’inverse, si on compare les BMI (Body Mass Index ou indice de masse corporel, qui met en relation le poids par rapport à la taille) les hommes ont plus fréquemment un BMI au-dessus de 25 que les femmes, de même qu’un tour de taille plus élevé, ce qui signe la forme masculine de surpoids ou d’obésité.

8 ALD – Assoc iat ion Luxembourgeo ise du D iabète

Journée mondiale du diabète

Dans nos propres études, où nous mesurons aussi la masse grasse par rapport à la masse musculaire, nous constatons par contre, que les femmes dépassent plus souvent leurs normes de masse grasse que les hommes. Cf http://www.gesondheetszentrum.lu/blog/ubergewicht/

L’hypertension et les problèmes de choles-térol sont également plus fréquents chez les hommes que chez les femmes.

Conclusions

Si la vie d’Adam était encore surtout menacée par la chasse et la guerre et celle d’Eve par les dangers de grossesses répétées, l’évolution a fait diminuer les différences, autant du point de vue anatomique que du point de vue social. Globalement, les 2 sexes ne se comprennent toujours pas, mais deviennent de plus en plus similaires face aux maladies, et en particulier en ce qui concerne le diabète. Adam et Eve, nos ancêtres préhistoriques seraient bien sur-pris s’ils pouvaient nous observer.

Dr Marc Keipes

ZithaGesondheetsZentrum

dépistage que les femmes). Ils fument encore légèrement plus (23% respectivement 18% pour les femmes) et boivent plus d’alcool. Pratiquement 2/3 de tous les accidents et sui-cides, ainsi que 90% des accidents de travail avec décès surviennent chez les hommes. Les maladies cardiovasculaires et les cancers sont également plus fréquents chez les hommes. Par contre, les femmes ont plus de problèmes psychologiques, comme des problèmes d’anxiété, de dépressions ou des troubles de comportement alimentaire. Elles consultent également plus souvent des médecins et sont plus souvent en congé de maladie. « Women are sicker, but men die quicker ».

Une étude intéressante, faite en Bavière publiée en 1998, a analysé les dates de nais-sances et de décès de 6 154 Sœurs et 5 470 Frères vivant dans des cloîtres (Klosterstudie, Cloister-Study). Les Sœurs ne vivaient pas plus longtemps que les femmes de la popu-lation générale. Les Frères vivaient à 1 année près aussi vieux que les femmes, par contre les hommes de la population générale avaient une espérance de vie plus courte de 6 années.

Les causes évoquées sont une consommation de tabac quasi inexistante (par rapport aux hommes en général), mais des cancers du sein plus fréquents chez les Sœurs. De plus, le quotidien dans un cloître est moins stressant, car bien ritualisé, il ressemble à un environ-nement familial (en effet, les hommes céliba-taires vivent nettement moins longtemps que les hommes en couple ou vivant en collecti-vité), et il y a très peu d’accidents de travail.

Qu’en est-il du diabète de type 1 ?Si en général les femmes vivent plus long-temps que les hommes, les espérances de vie de femmes et d’hommes atteints de diabète de type 1 deviennent cependant équivalentes. En effet, les femmes diabétiques ont une augmentation du risque RELATIF de 86% de plus de mourir de maladies cardiovasculaires et une augmentation de 44% pour des mala-dies rénales mortelles. Parallèlement le risque d’attaques cérébrales augmente.

L’équilibre glycémique est également généra-lement moins bon, du moins chez les femmes plus jeunes. En effet, le registre allemand (Ge-sundheitsbericht Diabetes 2016) montre que

9Assoc iat ion Luxembourgeo ise du D iabète – ALD

Journée mondiale du diabète

Frauen und DiabetesFrauen sind anders, Männer auch –

oder wie die Evolution der Unterschiede zwischen Mann und Frau auch den Diabetes beeinflusst.

Männer kommen nicht vom Mars und Frauen nicht von der Venus, so wie es J. Gray 1991 behauptet hat! Es ist allerdings unbestreitbar, dass es Unterschiede zwischen den Geschlechtern gibt – und diese sind nicht nur von anatomischer

Natur. Vor allem Unterschiede im psychosozialen Bereich können erklären warum es auch beim Verlauf des Diabetes ein Unterschied gibt.

Sehen wir uns die Entwicklung des Menschen etwas näher an. Vor 14 000 Jahren, in der Zeit des Steinzeitmenschen, waren die Unterschie-de zwischen Mann und Frau viel deutlicher, wie Funde von Skeletten, unter anderem in einem Grab in der Nähe von Bonn zeigen, die von den Wissenschaftler „Adam“ und „Eva“ getauft wurden.

Das männliche Skelett belegt, dass Männer als Jäger und Sammler gelebt haben und sehr muskulös und ausdauernd waren. Das weib-liche Skelett hingegen ist deutlich kleiner und von schmalem Körperbau. Die Rollen waren damals klar verteilt: der Mann ging zur Jagd und beschützte die Familie vor Gefahren, wäh-rend die Frau sich um die Kinder und die Fami-

lie kümmerte und Nahrung zubereitete. Durch diese Rollenaufteilung entwickelten die beiden Geschlechter unterschiedliche Fähigkeiten.

Die natürliche Selektion hat die Abwandlung von Genen gefördert, die zum Überleben von Vorteil waren. Männer fokussierten sich mehr auf die Kraft, kleine Verletzungen hielten sie nicht auf – von Körperpflege hielten sie jedoch nicht ganz so viel. Frauen hingegen entwickel-ten ein empathisch- fürsorgliches Verständnis im Umgang mit der Familie. Die Fundstücke im Grab lassen darauf schließen, dass Steinzeit-frauen ihren Körper pflegten und sich schon mit Schönheitspflege beschäftigten.

Diese Entwicklungsunterschiede führten auch zu einer geschlechtsspezifischen Veranlagung

für Krankheiten. So leben Frauen heutzuta-ge länger als Männer. In Luxemburg liegt die aktuelle, durchschnittliche Lebenserwartung für Frauen bei 84,8 Jahren und für Männer bei 80,2 Jahren. Die Lebensjahre bei guter Gesundheit, ein eventuell noch wichtigerer Aspekt, liegen bei Frauen bei 67,1 Jahren und bei Männern bei 65,8 Jahren.

Es gibt eine ganze Reihe von Gründen, die diesen Umstand erklären: von der Genetik bis hin zur Verhaltensweise. Männer verhalten sich risikoreicher und weniger gesundheits-bewusst (im Allgemeinen gehen sie seltener zum Arzt und machen weniger Vorsorgeun-tersuchungen als Frauen). Sie rauchen etwas mehr (23% der Männer und 18% der Frauen

10 ALD – Assoc iat ion Luxembourgeo ise du D iabète

Journée mondiale du diabète

sind Raucher) und trinken mehr Alkohol. Fast zwei Drittel aller Unfälle und Selbstmorde sowie über 90 Prozent aller tödlichen Berufs-unfälle betreffen Männer. Auch Herz-Kreislauf-Erkrankungen und Krebs treten bei Männern öfter auf als bei Frauen. Dagegen erkranken Frauen häufiger an psychischen Erkrankungen wie Depressionen, Angst- und Essstörungen. Sie gehen auch öfter zum Arzt und sind öfter im Krankenstand. «Women are sicker, but men die quicker».

Eine interessante Studie, die 1998 in Bayern publiziert wurde, hat die Geburts- und Todes-daten von 6 154 Klosterschwestern und 5 470 Klosterbrüdern (Klosterstudie, Cloister study) analysiert. Die Schwestern lebten nicht länger als Frauen aus der Gesamtpopulation. Die Or-densbrüder hingegen lebten +/- 1 Jahr gleich lange wie die Frauen, wobei die Männer der Gesamtbevölkerung eine um 6 Jahre kürzere Lebenserwartung aufwiesen.

Die Gründe für diese Ergebnisse liegen in einer fast kompletten Tabakabstinenz (ver glichen mit Männern der Gesamtbevölkerung), aber mit einer erhöhte Brustkrebsrate bei den Schwestern. Zusätzlich ist der Alltag in einem Kloster wegen seiner Rituale wenig stressig, ähnelt dem Familienleben (tatsächlich leben Singlemänner weniger lange als Männer die in Partnerschaften oder Gemeinschaften leben) und es gibt sehr wenige Arbeitsunfälle.

Was hat es mit dem Typ-1-Diabetes auf sich?

Auch wenn Frauen im Allgemeinen länger leben als Männer, ist die Lebenserwartung bei Männer und Frauen mit Typ-1-Diabetes ähnlich. Frauen mit Diabetes haben nämlich

ein um 86 Prozent höheres Risiko an Herz-Kreislauf-Versagen zu sterben und ein um 44 Prozent höheres Risiko für tödliche Nieren-erkrankungen. Zusätzlich ist das Risiko für einen Schlaganfall erhöht.

Auch die Blutzuckereinstellung ist, zumindest bei jungen Frauen, eher schlechter als bei Männern. Der deutsche Gesundheitsbericht Diabetes 2016 verweist auf bessere HbA1c-Werte bei Jungen und jugendlichen Männern. Wahrscheinlich spielt hier die monatliche Menstruation, die öfters mit Blutzuckerer-höhungen verbunden ist, ebenso eine Rolle wie der Umstand, dass Mädchen wegen des Gewichts eher weniger Insulin zur Korrektur verwenden als junge Männer.

Und bei Typ-2-Diabetes?Bei einer Erhebung des Robert Koch Instituts (es werden Gruppen von Menschen unter-sucht die für die Gesamtbevölkerung reprä-sentativ sind), wurde festgestellt, dass 7,4 % aller Frauen, aber nur 7 % aller Männer von Typ-2-Diabetes betroffen sind. Eine mögliche Erklärung für den prozentuellen Unterschied könnten die Schwangerschaften oder das Auf-treten von eventuellem Schwangerschaftsdi-abetes sein.

Wenn man im Gegensatz dazu den BMI (Body Mass Index – der aus Körpergewicht und -größe ermittelt wird) vergleicht, weisen Män-

ner häufiger als Frauen einen BMI über 25 auf und haben öfter einen erhöhten Bauchumfang – zwei Faktoren die auf Übergewicht und Fett-leibigkeit hinweisen.

In unseren eigenen Studien, wo wir zusätzlich die Körperfettmasse im Vergleich zur Muskel-masse messen, stellen wir dagegen fest, dass Frauen öfter eine erhöhte Körperfettmasse aufweisen als Männer, siehe http://www.ge-sondheetszentrum.lu/blog/ubergewicht/.

Bluthochdruck und Cholesterinprobleme wer-den ebenfalls häufiger bei Männern als bei Frauen festgestellt.

Schlussfolgerung

Wurde das Leben von Adam noch vor allem durch Jagd und Kampf bedroht, und musste Eva bei jeder Geburt um ihr Leben bangen, so hat die Evolution die Unterschiede zwischen Körperbau, Aussehen und gesellschaftlichem Benehmen erstaunlich verringert. Generell verstehen sich die beiden Geschlechter noch immer nicht, aber in Bezug auf Krankheiten, vor allem auf Diabetes, werden sie immer ähnlicher. Unsere Urvorfahren Adam und Eva wären sehr erstaunt wenn sie uns heute be-obachten könnten.

übersetzt von Martina Berthoux Quelle: Diabetes Journal 10/2016

Wëssenswäertes iwwer d’Zockerkrankheet

11Assoc iat ion Luxembourgeo ise du D iabète – ALD

Parmi nos lecteurs plus âgés, certains repensent surement avec un sentiment mitigé aux seringues en verre qu’il fallait désinfecter dans l’eau bouillante,

et aux aiguilles longues avec lesquelles il fallait administrer les doses d’insuline. De nos jours, beaucoup de choses ont évolué et il existe heureusement

d’autres moyens bien moins offensifs et mieux adaptables aux besoins individuels de la vie quotidienne.

Les seringues à usage unique

Une première percée était sûrement les serin-gues à usage unique avec des aiguilles très fines. Aujourd’hui, il est préférable de les uti-liser seulement en cas d’urgence.

Le « pen » ou stylo à insuline

Il ressemble à un gros stylo à bille et l’insuline peut être administrée par une dose prédéfinie avant l’injection. Son utilisation est très dis-crète et il est facile à emporter.

L’utilisation est pratique et facile, car le pré-lèvement de la dose d’insuline du flacon n’est plus nécessaire, donc moins de manipulations et d’erreurs

Le traitement à l’insuline : il faut encore toujours

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Wëssenswäertes iwwer d’Zockerkrankheet

13Assoc iat ion Luxembourgeo ise du D iabète – ALD

Il existe deux différentes sortes de stylos injecteurs :

- le stylo jetable, pré-rempli. Une fois la car-touche vide, vous jetez tout le support à la poubelle des déchets ménagers.

- le stylo réutilisable, où la cartouche d’insu-line est remplaçable.

Le réglage de la dose se fait par des étapes d’une unité d’insuline. Pour des personnes sensibles à l’insuline ou pour les enfants, il existe des stylos ajustables par doses de 0.5 unités. Différentes firmes proposent des sty-los qui mémorisent la dernière dose injectée et ceci pendant 12 heures.

Il existe sur le marché des aiguilles de diffé-rentes longueurs, 4 mm, 6 mm ou 8 mm, qui rendent les injections moins douloureuses et permettent que l’insuline commence à agir au bon endroit.

Les stylos peuvent être obtenus sur ordon-nance du médecin ou achetés à vos propres frais à la pharmacie.

Chaque fabricant produit ses propres stylos, il existe différents modèles et couleurs. Pour garantir un bon fonctionnement et l’adminis-tration de la dose exacte, il est important de ne pas mettre les cartouches d’insuline d’un producteur dans le stylo d’un autre.

Pour les personne utilisant deux insulines dif-férentes, il est préférable d’utiliser des stylos de couleurs différentes, afin d’éviter la confu-sion entre l’insuline à action rapide ou lente.

La pompe à insulineCette forme d’insulinothérapie est pour l’ins-tant exclusivement réservée aux diabétiques de type 1. L’insuline est administrée par un cathéter (téflon ou métallique), qui reste im-planté pendant maximum trois jours sous la peau. La pompe garantit une délivrance d’in-suline rapide en continue sur 24 heures, ceci couvre les besoins primaires de base (= débit basal). La dose qui est nécessaire pour cou-vrir les glucides pris lors des repas, appelée « bolus », peut être ajoutée manuellement. La pompe prend en compte le taux de glycémie du moment, les glucides mangés ainsi que l’insuline encore active dans le corps.

De nos jours, il existe des pompes facilement programmables et adaptables aux besoins du

moment de la journée de chaque utilisateur. Il existe différents programmes qui permettent d’augmenter ou de baisser la dose de base, ceci permet de mieux adapter la thérapie en cas d’activité physique ou de réagir rapide-ment en cas de maladie.

Les pompes sont munies de multiples alarmes pour signaler un cathéter bouché ou avertir si le niveau d’insuline dans le réservoir est bas,

ce qui garantit un bon fonctionnement. Ac-tuellement, les pompes à insuline permettent d’ajuster individuellement et de façon très pré-cise les doses aux besoins.

La pompe peut être fixée à une ceinture ou, pour les femmes, attachée au soutien-gorge, certaines personnes la glissent simplement dans la poche de leur pantalon.

Wëssenswäertes iwwer d’Zockerkrankheet

14 ALD – Assoc iat ion Luxembourgeo ise du D iabète

On trouve sur le marché une panoplie de pompes, munies de différentes fonctions. Pour faire le choix le mieux adapté à vos besoins, il est préférable de bien s’informer avant, et d’évaluer les avantages et désa-vantages des différents modèles. Certaines transmettent par Bluetooth les taux de gly-cémie d’un lecteur directement à la pompe. D’autres sont synchronisées avec un sensor de mesure en continue du glucose sous-cu-tané (CGM). Celles-ci sont capables d’arrêter automatiquement l’administration d’insuline en cas d’hypoglycémie et reprennent le fonc-tionnement d’une façon autonome une fois que la glycémie se normalise.

Depuis peu la pompe « patch » est également arrivée sur le marché luxembourgeois. Il s’agit d’une pompe sans tubulure, qui est directe-ment appliquée sur la peau.

Que va-nous apporter le futur ?

En été 2017, le « hybrid-closed-loop system » a été commercialisé en Amérique. Ce système innovateur gère d’une façon autonome les doses de base.

Le dispositif est composé d’un capteur sous-cutané mesurant le niveau de glucose toutes les cinq minutes. Selon le taux mesuré, la pompe perfuse des doses adaptées d’insuline

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ou arrête carrément l’administration si néces-saire. Toutefois lors des repas, il faut encore commander manuellement les doses d’insu-line à injecter.

A ce jour, le producteur Medtronic n’a pas encore obtenu l’accord de commercialisation

par l’union européenne, il est donc difficile de prédire quand ce système prometteur qui faci-litera beaucoup la vie des patients, sera sur le marché luxembourgeois

Martine Tavernier-Hurt Infirmière

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1. Zhong a. Et al, effectiveness of automated insulin management features of the Medtronic 640G sensor-augmented insulin pump. Diabetes technol ther. 2016; 18(10): 657-663.

© 2017 Medtronic. Tous droits réservés. Ne pas distribuer en France. Medtronic Belgium S.A. | Avenue du Bourgmestre Etienne Demunter 5 | BE-1090 Bruxelles

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Bei unseren älteren Mitmenschen, denken manche von ihnen sicher noch mit Schrecken an die Glasspritzen zurück, die ausgekocht werden mussten, und an

die langen Nadeln, mit denen Insulin gespritzt wurde. Vieles hat sich seitdem geändert und in der heutigen Zeit gibt es andere Möglichkeiten, Insulin auf eine

etwas angenehmere Art zu verabreichen und die Insulintherapie bestmöglich an die Gewohnheiten und den Alltag jedes Einzelnen anzupassen.

Die EinwegspritzenDer erste Durchbruch waren die Einwegsprit-zen mit einer sehr dünnen Nadel. Diese sollen heute, wenn überhaupt, nur noch zur Notfall-ausrüstung gehören.

Der InsulinpenEr hat die Form eines dicken Kugelschreibers, mithilfe dessen das Insulin durch eine vorein-gestellten Menge einfach zu verabreichen ist.

Insulinbehandlung: leider noch immer

Spritzen, aber…

Er lässt sich einfach transportieren und seine Anwendung ist unauffällig.

Die Handhabung ist einfach, denn das Aufzie-hen des Insulins aus der Ampulle wird vermie-den.

Es gibt zwei verschiedene Arten:

– die vorgefüllten Wegwerfpens, wo, wenn die Ampulle leer ist, der ganze Pen im Hausmüll entsorgt wird.

– die wiederverwendbaren Pens, bei denen man die Insulinampulle austauschen muss.

Die Pens können in Schritten von einer Insuli-neinheit eingestellt werden. Für Menschen, die sehr sensibel auf Insulin reagieren oder Kinder, gibt es auch Pens in 0,5 Dosierschritten. Ver-schiedene Hersteller bieten jetzt auch Pens an, die die letzten Injektionsdosen bis zu 12 Stun-den speichern können.

Unterschiedliche Nadellängen, 4 mm, 6 mm, oder 8 mm werden angeboten, damit das Ste-chen weniger schmerzhaft wird und das Insu-lin an der richtigen Stelle anfängt zu wirken.

Die Pens können vom Arzt verordnet werden oder in der Apotheke auf eigene Kosten ge-kauft werden.

Jeder Insulinhersteller hat seine eigene Pens, die in verschiedenen Modellen oder Farben zu erhalten sind. Die Patronen eines Herstel-lers sollten nicht in einem Pen eines an-deren Herstellers verwendet werden!

Wer zwei verschiedene Insuline benutzt, sollte diese auch in 2 Pens mit verschiedener Farbe aufbewahren, somit wird die Verwechslungs-gefahr gemindert.

Die InsulinpumpeDiese Form der Insulinverabreichung ist aktuell nur Typ 1 Diabetikern mit einer inten-siven Insulintherapie vorbehalten.

Wëssenswäertes iwwer d’Zockerkrankheet

17Assoc iat ion Luxembourgeo ise du D iabète – ALD

Was bringt die Zukunft?Das Hybrid-Closed Loopsystemwurde im Sommer 2017 in den USA auf den Markt gebracht. Es ermöglicht eine automatische Anpassung der Basalinsulindosis. Das System ist an eine kontinuierliche Blutzuckermessung gekoppelt, das im 5 Minutentakt die Glukose-konzentration misst. Es gibt automatisch eine, an den Wert angepasste Dosis an Insulin ab oder unterbricht bei Bedarf die Zufuhr. Bis

zum heutigen Zeitpunkt bleibt die manuelle Zufuhr an Insulin zu den Mahlzeiten erforder-lich.

Im Moment hat der Hersteller Medtronic noch keine CE-zulassung bekommen, deshalb ist es noch ungewiss, wann diese Insulinpumpe auf dem europäischen Markt kommt.

Martine Tavernier-Hurt Infirmière

Das Insulin wird über einen Katheter (Metall- oder Teflonkanüle), der bis zu drei Tage im Un-terhautfettgewebe bleiben kann, verabreicht. Die Pumpe dient zur kontinuierlichen Abgabe von kurzwirkendem Insulin über 24 Stunden, die die Grundversorgung abdeckt (Basalrate). Die Insulinmenge für den Bedarf der Mahlzeit wird zusätzlich verabreicht, dies nennt man Bolusgabe. Das schon im Körper wirkende „aktives“ Insulin, der aktuelle Blutzuckerwert und die gegessene Kohlenhydratmenge kön-nen, je nach Eingabe, von der Pumpe berück-sichtigt werden.

Heute stehen vielfältig programmierbare, bat-teriebetriebene Insulinpumpen zur Verfügung, die das einfache Anpassen der Insulindosis an den Tagesablauf und den wechselnden Bedarf erlauben. So verfügen die Pumpen über ver-schiedene Programme zur temporären Ernied-rigung oder Erhöhung der Basal- oder der Bo-lusrate, die es erlauben im Alltag verschiedene Aktivitäten oder akute Krankheitsfälle einfach einzuberechnen.

Die Pumpen sind mit einem integrierten Alarmsystem ausgestattet, das anzeigt wenn der Katheter verstopft ist oder ein Wechsel der Insulinampulle nötig wird, dies erhöht da-mit die Therapiesicherheit. Die derzeitige Ge-neration der Insulinpumpen verfügt außerdem über eine hohe Dosiergenauigkeit.

Die Insulinpumpe kann am Gürtel oder am BH befestigt werden, manche stecken sie einfach in die Hosentasche.

Es gibt verschiedene Firmen die Insulinpum-pen mit unterschiedlichen Funktionen anbie-ten. Um die geeignete Pumpe zu finden, sollte man sich im Vorfeld schlau machen um die Vorteile und Nachteile zu erforschen. Einige Pumpen leiten die Werte mittels Bluetooth von einem Blutzuckerapparat automatisch an die Pumpe weiter. Andere sind mit einem kon-tinuierlich messenden Sensor im Unterhaut-fettgewebe (CGM) verbunden. Sie können bei Unterzuckerung automatisch abschaltet und, wenn der Wert sich normalisiert, die Insulinab-gabe wieder selbständig aufnehmen.

Kürzlich hat die Insulin-Patch-Pumpe auch ihren Weg nach Luxemburg gefunden. Es han-delt sich hier um eine schlauchfreie Pumpe, die direkt auf die Haut geklebt wird.

Les légumes oubliés connaissent un véritable regain d’intérêt de la part des consommateurs. Ce retour est marqué par le désir de manger plus équilibré,

plus varié et surtout plus authentique. Mais plus qu’un effet de mode, les légumes oubliés permettent d’apporter de nouvelles saveurs et aussi de réagir

face à l’uniformisation de l’alimentation et à l’agriculture intensive.

Pour que les légumes oubliés ne le soient plus, partons à leur découverte !

Les légumes oubliés pour plus de diversitéPoireau, carotte, courgette … nous avons vite fait le tour des légumes sur les étals. En plus, selon la saison, le choix est plus ou moins li-mité. D’où l’intérêt de redécouvrir les légumes oubliés pour de nouvelles saveurs et pour plus de variété. Même si visuellement ils sont peu appétissants, osez les acheter, car ils sont une mine de saveurs. Les légumes oubliés permettent d’apporter plus de diversité dans l’alimentation et ainsi de favoriser la consom-mation de légumes.

Laissez libre cours à votre imagination et inté-grez sans hésiter dans vos prochains menus : le panais, le radis noir, le topinambour, le pâtis-son, le rutabaga ainsi que différentes variétés de carottes et de tomates (tout en respectant la saison).

Le retour des légumes oubliés

Le saviez-vous?

Le topinambour est parfois appelé «la pomme de terre du diabétique», car contrairement à la pomme de terre, les tubercules de topinambour ne contiennent pas d’amidon, mais de l’inuline, un glucide qui se décompose en fructose au cours de la digestion et qui peut donc être assimilé par l’organisme sans l’aide d’insuline.

19Assoc iat ion Luxembourgeo ise du D iabète – ALD

De Regime

Les légumes indispensables à l’équilibre alimentaireLes légumes sont indispensables à l’équilibre alimentaire en raison de leurs apports en eau, fibres, minéraux, vitamines et antioxydants. Varier les légumes est essentiel tant pour la santé que pour le plaisir gustatif et visuel. Chaque légume apporte des vitamines et fibres en teneurs variables et des antioxy-dants différents selon la couleur du légume.

Pourquoi certains légumes, pourtant délicieux, sont-ils tombés aux oubliettes ?Les légumes n’ont pas disparu naturellement mais par la volonté des consommateurs et des agriculteurs. L’agriculture intensive a éli-miné les plantes de faible rendement et l’ali-mentation s’est uniformisée petit à petit, aussi sur demande du consommateur à la recherche de légumes « beaux » et plus faciles/rapides à cuisiner.

Les légumes oubliés pour éveiller vos papilles Pour changer des courgettes, petits pois, poireaux et carottes, osez goûter les légumes oubliés. Non seulement riches en nutriments, ils sont aussi très goûteux et permettent d’apporter de la variété dans vos plats et favoriser la consommation journalière de légumes avec plaisir.

Le saviez-vous?

• Tous les légumes sont autorisés pour les personnes diabétiques.

• De préférence achetez-les frais, même si leur version congelée reste aussi une bonne alternative.

• Evitez toutefois la conserve, riche en sel et pauvre en antioxydants.

• Certains légumes comme les petits pois peuvent aussi contenir du sucre ajouté par l’industrie.

• Pensez aussi à varier la couleur des légumes pour bénéficier de différents antioxydants.

Le saviez-vous?

Selon un rapport de la FAO (Food and Agriculture Organization), 75 % de la diversité des cultures a été perdue au cours du XXième siècle

Les recommandations en terme de consommation idéale de légumes sont de 3 portions par jour

Par exemple :

1 portion de légumes sous forme de soupe

+ 1 portion sous forme de légumes cuits

+ 1 portion sous forme de légumes crus

Pour en savoir plus sur les légumes, leurs valeurs nutritionnelles, la saison et avoir des idées de recettes, visitez le site très intéres-sant:

http://www.lesfruitsetlegumesfrais.com/

Sabrina Dell’Aera Monteiro Diététicienne

20 ALD – Assoc iat ion Luxembourgeo ise du D iabète

De RegimeDe Regime

In Vergessenheit geratene Gemüsesorten stoßen zurzeit auf reges Interesse bei Verbrauchern. Diese Entwicklung folgt dem Wunsch der Konsumenten sich

ausgeglichener, variierter und vor allem authentischer zu ernähren. Aber noch stärker als der Modeeffekt ist die Tatsache, dass vergessene Gemüsesorten

neue Geschmäcke auf unseren Teller bringen und einen Gegensatz zur Vereinheitlichung der Nahrungsmittel und Intensivlandwirtschaft darstellen.

Damit die vergessenen Gemüsesorten wieder aus ihrer Versenkung auftauchen, begeben wir uns auf ihre Entdeckungsreise!

Alte Gemüsesorten für mehr Abwechslung

Lauch, Möhren, Zucchini… schnell haben wir alle verfügbaren Gemüsearten aufgezählt. Saisonal bedingt ist die Auswahl noch weiter eingeschränkt. Deshalb bietet die Wiederent-deckung alter, vergessener Gemüsesorten neue Geschmacksrichtungen und mehr Ab-wechslung auf unsere Teller. Auch wenn sie visuell wenig ansprechend sind, wagen Sie

Die Rückkehr der vergessenen Gemüseklassiker

sich an die vergessenen Sorten heran – sie sind wahre Geschmacksschätze. Mit Hilfe der vergessenen Gemüsesorten können wir mehr Abwechslung in unsere Ernährung bekommen und so den Gemüsekonsum fördern.

Lassen Sie Ihrer Fantasie freien Lauf und inte-grieren Sie sie zukünftig in Ihren Speiseplan: Pastinake, schwarze Radieschen, Topinambur, Patisson (Bischofsmütze), Steckrübe, genau-so wie verschiedene bunte Karotten- und To-matenarten (saisonal angepasst).

Assoc iat ion Luxembourgeo ise du D iabète – ALD

De Regime

21

Wertvolles Gemüse für eine ausgeglichene Ernährung

Gemüse ist für eine ausgeglichene Ernährung unumgänglich, da es reich an Wasser, Ballast-stoffen, Mineralien, Vitaminen und Antioxidan-ten ist. Die Gemüsearten zu variieren ist nicht nur für die Gesundheit wichtig, sondern freut auch Augen und Gaumen. Je nach Farbe ent-hält jede Gemüseart unterschiedliche Mengen an Ballaststoffen und Antioxidanten.

Wussten Sie schon?

• Alle Gemüsearten sind für Diabetiker geeignet.

• Kaufen Sie sie idealerweise frisch oder eventuell tiefgefrorene.

• Meiden Sie Konserven, da sie sehr salzhaltig sind und nur wenige Anti-oxidanten enthalten.

• Einige Gemüsearten, wie zum Beispiel grüne Erbsen, können auch beigefüg-ten Industriezucker enthalten.

• Denken Sie auch daran, die Farben der Gemüsesorten zu variieren um die verschiedenen Antioxidanten bestens zu nutzen.

Wussten Sie schon?

Der Topinambur wird manchmal auch „Diabetikerkartoffel“ genannt, weil seine Knollen, im Gegensatz zur Kartoffel, keine Stärke, sondern Inulin enthält, einen Zuckerstoff der während der Verdauung in Fruktose umwandelt und deshalb vom Organismus ohne Insulin abgebaut werden kann.

Wussten Sie schon?

Laut einem Bericht der FAO (Food and Agriculture Organization) ging im 20. Jahrhundert 75% der Pflanzenvielfalt verloren.

Die Richtlinien für einen idealen Gemüsekonsum sind 3 Portionen pro Tag

zum Beispiel:

1 Portion in Form von Suppe

+ 1 Portion gekochtes Gemüse

+ 1 Portion Rohkost

Wieso sind manche Gemüsesorten, auch wenn sie noch so gut schmecken, in Vergessenheit geraten?

Gemüsesorten sind nicht auf natürliche Weise verschwunden, sondern durch die Entschei-dung von Konsumenten und Landwirten. Einerseits hat die intensive Landwirtschaft ertragsarme Pflanzen verdrängt, andererseits bestand der Wunsch des Konsumenten nach „schönen“ und einfach/schnell zu kochenden Gemüsearten.

Vergessene Gemüsesorten erwecken unsere Geschmacksnerven Um eine Abwechslung von Zucchini, grünen Erbsen, Lauch und Karotten zu bekommen, probieren Sie doch mal alte Gemüsesorten. Diese sind nicht nur reich an Nährstoffen, sie sind auch länger haltbar als ihre mo-dernen Verwandten und werden sogar mit der Zeit aromatischer. Dadurch sind sie ge-schmacksintensiv und sorgen für neue (alte) Geschmackserlebnisse auf ihrem Teller.

Um mehr über alte Gemüsesorten zu erfah-ren, besuchen Sie die Internetseite: http://www.ndr.de/ratgeber/kochen/warenkunde/So-lecker-schmecken-alte-Gemuesesorten-,altegemuesesorten100.html

übersetzt von Martina Berthoux

22 ALD – Assoc iat ion Luxembourgeo ise du D iabète

D’Rezeptsäit

Salsifis au gratin

Ingrédients pour 4 personnes

800 g de salsifis frais, surgelés ou en verre

600 ml de lait demi-écrémé

1 c.às. bombée de Maizena (30 g)

50 g de fromage à pâte ferme maigre râpé

(ex.: Leerdamer light, …)

peu de sel, poivre, muscade

20 g d’amandes

Préparation

Cuire les salsifis à la vapeur pendant environ 7 minutes. Egoutter et réserver dans un plat allant au four.

Pour réaliser la sauce:

Tamiser le Maizena dans une casserole. Ajouter petit à petit le lait froid à l‘aide d‘un fouet pour obtenir une pâte lisse;

assaisonner (peu de sel ou bouillon de légumes, poivre, muscade).

Chauffer et porter à ébullition en mélangeant sans cesse avec le fouet. Maintenir l‘ébullition pendant 5 minutes sur feu

doux pour cuire la farine de maïs. Ajouter le fromage râpé et bien mélanger.

Verser la sauce sur les salsifis. Répartir les amandes sur la préparation. Gratiner au four préchauffé à 200° pendant

15 minutes.

Le salsifis

Les salsifis sont injustement qualifiés d’« asperges

du pauvre » ou « asperges d’hiver » alors qu’ils

ont des qualités propres, différentes de celles de

l’asperge.

Ils sont notamment une très bonne source de

fibres et, comme le topinambour, ils contiennent

des glucides sous forme d’inuline

En collaboration avec le service nutrition du

23Assoc iat ion Luxembourgeo ise du D iabète – ALD

D’Rezeptsäit

Pastinakensuppe mit Räuchertofu

Zutaten für 4 Portionen

4 Pastinaken (à 150 g)

2 kleine Zwiebel

700 ml Gemüsebrühe

8 Stiele Kerbel

140 g Räuchertofu

300 g Joghurt

Salz, Pfeffer

Zubereitung

1. Pastinaken waschen, schälen und in Scheiben schneiden.

2. Zwiebel schälen und fein würfeln.

3. Gemüsebrühe in einem Topf aufkochen. Pastinaken und gewürfelte Zwiebel zugeben und

zugedeckt bei kleiner Hitze 18-20 Minuten garen.

4. Inzwischen Kerbel abspülen, trockenschütteln und die Blätter abzupfen.

5. Den Räuchertofu in kleine Würfel schneiden

6. Die Hälfte des Kerbels in die Suppe geben. Mit einem Stabmixer fein

pürieren und vom Herd nehmen.

7. 3 EL der pürierten Suppe

unter 100 g Joghurt rühren,

dann in die pürierte Suppe

geben und mit dem Stabmixer

nochmals durchmixen. Mit

Salz, Pfeffer abschmecken.

8. Mit den Tofuwürfeln

anrichten, restlichen

Joghurt unterziehen und mit

restlichem Kerbel garnieren.

Alternative:

Räuchertofu kann mit

Speckwürfeln oder

Nordseegarnelen ersetzt

werden

24 ALD – Assoc iat ion Luxembourgeo ise du D iabète

D’Säit vun de Kanner

Segelcamp 2017Vum 22-29 Juli wor et nees esou wäit, 11 Jugendlëcher mat Diabetis aus Lëtzebuerg, zesumme mat 3 Betreier aus der Kannerklinik , hunn um internationale Segelcamp Deel geholl an eng Woch voller Spaass an Abenteuer am Ijsselmeer erliewt.

25Assoc iat ion Luxembourgeo ise du D iabète – ALD

D’Säit vun de Kanner

La gestion du diabète est sur le point d’être perçue sous un nouveau jour. Le lecteur deglycémie CONTOUR® NEXT ONE et l’application mobile CONTOUR® DIABETES sont connectés en continu pour enregistrer des valeurs glycémiques d’une précision remarquable.1,2 Ce nouveau système vous permet de partager vos données glycémiques avec vos professionnels de santé, ce qui vous permettra d’avoir des échanges plus ciblés avec eux. De plus, ce système vous permet d’enregistrer vos activités quotidiennes pour mieux visualiser comment celles-ci influencent vos valeurs glycémiques. De cette façon, vous pourrez gérer votre diabète encore plus intelligemment.

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27Assoc iat ion Luxembourgeo ise du D iabète – ALD

D’Säit vun de Kanner

Rencontre parents-enfants au Parc Le’hComme chaque année, le groupe ParEnD avait organisé une activité d’accrobranche au Parc Le’h à Dudelange, suivi d’un pique-nique convivial.

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29Assoc iat ion Luxembourgeo ise du D iabète – ALD

D’Säit vun de Kanner

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30 ALD – Assoc iat ion Luxembourgeo ise du D iabète

D’Säit vun de Kanner

Témoignage T1D Challenge 2017Bonjour,

Je m’appelle Sophie Sutherland, j’ai 17 ans, et je suis diabétique (type 1) depuis 4 ans. Cet été, j’ai participé au ‘T1D Challenge 2017’ dans le Sequoia National Park en Californie, pour jeunes diabétiques entre 17 et 21 ans. Nous étions 12 jeunes (de différents pays) accompa-gnés de 2 adultes diabétiques, 4 médecins et 4 guides. Nous avons fait un trekking dans les montagnes du Sierra Nevada, avec pour ob-jectif le Mount Langley haut de 4.277m. Cette aventure était organisée par SWEET (Pediatric diabetes), Sanofi Diabetes et Diabetes World Tour. C’était une semaine inoubliable, et je me suis sentie très privilégiée d’avoir été choisie pour participer à ce défi en représentant le Luxembourg.

Dès la première rencontre, toute l’équipe s’est bien entendue. On s’est immédiatement

senti connecté de par notre point commun (le diabète) et nous avons même plaisanté ensemble sur nos expériences vécues à tra-vers le diabète. Nous avons passé de très bons moments ensemble.

Durant la semaine, nous avons tous utilisé le Dexcom G5, qu’on nous avait donné. C’est un moniteur de glucose continu (CGM) connecté à nos téléphones portables par Bluetooth. Pour moi, ce système a très bien fonctionné et je crois que tous les autres l’ont également apprécié. Le Dexcom donne des alertes en cas d’hypo- ou d’hyperglycémie – et on peut changer le son de ces alertes ce qui est rigolo. Un des participants avait opté pour le bruit d’un bébé qui pleure (ce qui était d’ailleurs assez irritant )

Chaque jour, nous faisions une marche de 10-15 km pour s’entraîner et pour arriver plus

prêt du sommet. Chacun portait son sac à

dos contenant les objets nécessaires pour

la journée, et des mules portaient les autres

bagages, tentes etc. Il y avait également 2 cui-

siniers qui préparaient des délicieux repas sur

les sites d’arrêt. Chaque soir, chacun avait un

check-up avec un des médecins, pour discuter

de l’évolution de son diabète en fonction de

l’augmentation d’activité physique et de l’alti-

tude (de 3000 à 4.200 m).

Le jour où nous avons grimpé jusqu’au som-

met était le plus éprouvant (on a dû se lever

à 2.30h du matin!). Mais le fait d’avoir atteint

ce but – avec tout le groupe! – était telle-

ment impressionnant et gratifiant que nous

en avons tous oublié nos efforts et nos petits

bobos ! Nous étions tellement satisfaits et

heureux ! Quelle merveilleuse aventure… qui

porte bien son nom: «Challenge» !

31Assoc iat ion Luxembourgeo ise du D iabète – ALD

D’Säit vun de Kanner

Si vous voulez en savoir plus, vous pouvez

consulter Facebook:

Every 1 Matters et

WORLD DIABETES TOUR

ou lire mon blog : www.sincerelysophie.net

et si vous avez plus de questions, vous pouvez toujours me contacter via l’ALD.

J’espère que chaque lecteur de ce compte–rendu sera aussi inspiré que je l’étais. Il n’y a pas de barrières physiques, les personnes dia-bétiques peuvent atteindre ce qu’elles veulent!

Et qui sait, peut-être l’année prochaine ce sera à votre tour de vous surpasser?!

Sincerely, Sophie

http://www.infirmiere.lu

Soins à domicile Commune de Luxembourg et Hesperange

Monique DidierInfirmière diplomée et agréée

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32 ALD – Assoc iat ion Luxembourgeo ise du D iabète

Internes aus der ALD

ALD-Ausfluch mat Visite vun der Abtei Maria Laach an dem Geysire Andernach

33Assoc iat ion Luxembourgeo ise du D iabète – ALD

Internes aus der ALD

33

Internes aus der ALD

Toutes nos condoléances à la famille en deuil et un grand merci pour les généreux dons au profit de l’ALD

In Memoriam Madame Monique DEITZ

Projet Life for a Child

La section enfants-adolescents de l’ALD remercie vivement

la famille SUTHERLAND

pour les dons récoltés à l’occasion de leur fête de famille.

Avec le soutien de SERVIER LUXEMBOURG

34 ALD – Assoc iat ion Luxembourgeo ise du D iabète

Coin de nos lecteurs portugais

As proteínas ao detalheExistem três grandes grupos de macronu-trientes indispensáveis para o organismo: as proteínas, os glícidos e os lípidos (gordura). Cada um destes nutrientes tem um papel fun-damental no organismo.

As proteínas têm uma função estrutural, são precisas para reparar, construir e renovar os tecidos do corpo (pele, cabelos, unhas, mús-culos,…); e uma função metabólica em que participam na síntese das enzimas e das hor-monas ou nas defesas imunitárias.

Que alimentos contêm proteínas ?

As proteínas podem ser de origem animal ou de origem vegetal.

As proteínas animais encontram-se em car-nes, peixes e ovos. Também encontramos pro-teínas de origem animal nos lacticínios: leites e derivados (queijos, iogurtes…).

As proteínas de origem vegetal são muito uti-lizadas nas dietas vegetarianas. Incluem toda a família das leguminosas (grão de bico, feijão frade, feijão seco,…), soja, seitan, tofu, etc...

As proteínas não fazem aumentar a glicémia, bem pelo contrário podem ajudar a equilibrar a glicémia e a melhor controlar a diabetes. O facto de a pessoa ter, numa refeição, alimen-tos ricos em proteínas e legumes que são ricos em fibras, atrasa a absorção do açúcar presente nos farináceos. Para além do mais, as protéinas promovem a sensação de sacie-dade, colaborando para o controlo da fome.

É aconselhado consumir alimentos ricos em proteínas a cada refeição principalmente ao pequeno almoço. Se o pequeno-almoço for composto por: pão, manteiga, doce ou mar-melada, essa carga importante de açúcar vai provocar uma hiperglicémia em comparação com um pequeno-almoço onde introduza pro-teínas (por exemplo: pão com queijo). As pro-teínas evitarão um pico elevado de glicémia.

Que quantidade consumir?Como se diz na gíria: ”nem 8 nem 80”: Uma alimentação pobre em proteínas, principal-mente nas pessoas mais velhas, pode provo-car uma perda de massa muscular e também pode favorecer a desnutrição.

Um excesso de proteínas pode aumentar o valor do ácido urico mas também originar substâncias que os rins têm de eliminar e isso faz com que tenhamos de solicitar demasiado os nosso rins.

Para compor um prato saudável divida o seu prato em 3 partes: ¼ do prato de proteínas (carne, ou peixe ou ovos ou alternativas vega-tarianas como soja, tofu ou queijo), ½ do prato de legumes e ¼ do prato de farináceos (arroz, massa, batata...)

Aconselha-se a que o consumo diário de pro-teínas seja equivalente a 0.8g por Quilograma de peso da pessoa. Na sociedade atual, este

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valor é frequentemente ultrapassado pelo grande consumo proteico, geralmente come--se muita carne.

O risco de consumir em grande quantidade alimentos ricos em proteínas é de consumir ao mesmo tempo uma grande quantidade de gordura má (ácidos gordos saturados) que é nefasta para o sistema cardio vascular. De facto, muitos alimentos ricos em protéinas são ricos em gorduras más (tiras de porco,

carnes gordas, queijos, enchidos, charcuta-rias,...).

Por isso é fundamental uma boa escolha dos alimentos proteicos. Prefira carnes magras (perú, galinha, frango sem pele, coelho,...) e consuma 2-3 vezes peixe por semana. Os pei-xes são ricos em proteínas mas também em gorduras benéficas como os ácidos gordos ómega 3.

Não se esqueça de incluir alimentos com pro-teínas vegetais como as leguminosas, o tofu

ou a soja. Porque não fazer uma refeição ve-getariana por semana sem carne nem peixe e incluir estas proteínas vegetais? Exemplo: couscous com grão e legumes, ou curgete recheada com legumes e queijo mozarela e acompanhar com arroz ou com quinoa? Vai ver que vai gostar! Bom apetite!

Angela Duraes Dietista-Nutricionista

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Metab_ 2012; 38 (S2): A96-97

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