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1

Document 1

2

observateur

.-

.

H

D

ha

b

ca'

b'

Document 2

Document 3

Document 4

3

1m2

2m2

4m2

Document 5

Fréquences Indice de fréquence Espèce végétale

F < 20% I Accidentelle

20% ≤ F < 40% II Accessoire

40% ≤ F < 60% III Assez fréquente

60% ≤ F < 80% IV Fréquente

80% ≤ F ≤ 100% V Très Fréquente

Document 7

Document 9

Document 19

4

Numéro du relevé

1 2 3 4 5

Caractéristiques du site

Altitude Orientation

Pente Surface

Fréquence Indice de

fréquence Nature du sol

Dominance

Strate

arborée

Strate

arbustive

Strate

herbacée

Famille Nom latin

(scientifique ou

binominal)

Nom commun

Pinacées Pinus pinea Pin parasol

ou pin pignon

Pinus radiata

Cupressacées Cupressus

macrocarpa

Cyprès de

Lambert

ou cyprès de

Monterey

Fagacées

Quercus coccifera

Chêne des

garrigues

ou chêne kermès

Quercus toza Chêne tauzin

Quercus faginea

Chêne faginé

ou chêne

portugais

Quercus suber Chêne-liège

Caprifoliacées Viburnum tinus

Viorne tin,

laurier-tin

ou laurentin

Apocynacées Vinca major Grande

pervenche

Rosacées Rubus ulmifolius Ronce à feuilles

d'Orme

Ericacées

Arbutus unedo Arbousier

Erica arborea

Bruyère

arborescente,

bruyère blanche

ou bruyère en

arbre

Erica scoparia bruyère à balais,

brande

ou bruyère mâle

Erica umbellata Bruyère en

ombelle

Calluna vulgaris Callune Document 6

5

Numéro du relevé

Famille Nom latin

(scientifique ou

binominal)

Nom commun 1 2 3 4 5 Fréquence Indice de

fréquence

Cistacées

Cistus populifolius

Ciste à feuilles

de peuplier

ou ciste de

Narbonne

Cistus salviifolius Ciste à feuilles

de sauge

ou ciste femelle

Cistus monspeliensis Ciste de

Montpellier

Cistus crispus Ciste crépu

Cistus ladaniferus

Ciste

porte-laudanum

ou ciste à

gomme

Rubiacées Rubia perigrina Garance

voyageuse

Crucifères Sinapis arvensis Moutarde des

champs,

sanve ou sénevé

Polypodiacées Pteridium aquilinum Fougère-Aigle

ou grande

gougère

Urticacées Urtica dioica

Grande ortie,

ortie dioïque

ou ortie

commune

Ombellifères Asplenium onopteris

Doradille des

ânes

Ou asplénium

des ânes

Astéracées Leontodon hispidus Liondent hispide

Labiacées Lavandula stoechas

Lavande

papillon,

lavande

stéchade,

lavande à toupet

ou lavande des

îles d'Hyères

Liliacées

Smilax aspera

Salsepareille

ou salsepareille

d'Europe

Asphodelus

microcarpus

Asphodèle à

petits fruits

Document 6 (suite)

6

Numéro du relevé

Famille Nom latin

(scientifique ou

binominal)

Nom commun 1 2 3 4 5 Fréquence Indice de

fréquence

Légumineuses

Calycotome villosa Calicotome velu

Genista anglica

Genêt

d'Angleterre,

petit genêt

épineux ou

genisette

Acacia albida

Balanzan,

kadd,

ou gao

Acacia raddiana Acacia raddiana

Asparagaceae Ruscus hypophyllum Herbe aux

langues

Oléacées

Phillyrea

angustifolia Filaire à feuille

étroite

Phillyrea latifolia Olea europea var.

oleaster oléastre

Palmiers Chamaerops humilis

Palmier nain,

palmier doum

ou doum

Myrtacées

Eucalyptus globulus

Eucalyptus

commun

ou Gommier

bleu

Eucalyptus ficifolia

Eucalyptus à

fleurs rouges

ou gommier à

fleurs rouges

Document 6 (suite)

Document 10

7

Au cours d’une étude statistique, on a divisé les strate arborée et arbustive en sept relevé. Les résultats sont

résumés dans le tableau suivant :

Espèces de la strate arborée Espèces de la strate arbustive A B C D E F G H I J

Relevés

1 1 9 6 6 8 2 8 2 2 2 3 2 3 12 1 2 9 25 4 4 22 2 2 2 3 1 5 17 60 24 35 3 6 11 9 44 1 1 53 40 1 7 22 11 6 8 6 17 10

Nombre de relevés

contenant l’espèce

Fréquence de l’espèce (%) Indice de fréquence Abondance : nombre

d’individus

Nombre d’individus de la

strate

I- complétez le tableau.

II- Dessinez l’histogramme de fréquence de cette forêt.

III- Sur le même histogramme, dessinez la courbe de fréquence.

IV- Comment appelle-t-on ce type d’association végétale ? Justifiez votre réponse.

Document 8

Carte de distribution du chêne-liège dans les

environs de Rabat

Cartes de distribution des types de sols dans les environs

de Rabat

Document 12

8

Carte de distribution du chêne-liège dans les environs de

Tanger

Cartes de distribution des types de sols dans les

environs de Tanger

Document 11

Le tableau suivant montre les principaux sites ou on trouve une autre espèce de chêne : le chêne -vert.

Site Nature des roches mères du sol supportant le chêne-vert

Chefchaouen Calcaires

Azrou Calcaires et dolomies

Massif du Zerhoun Calcaires et dolomies

Oulmès Schistes, quartzites et granites

Zaer Schistes, quartzites et granites

Ketama Calcaires et grès

Massif de Beni-Snassen Calcaires et granites

Que peut-on conclure de l’analyse de ce tableau ?

Document 15

Station Nature du sol supportant le chêne-liège

Mamora Sables

Zaer Schistes, quartzites ou granites

Oulmès Schistes, quartzites ou granites

Souk El Arba du Gharb Sables

Document 13

+ ++ +

++

+

+

+

+

+++

+ + +++ + +

++++

++

++

+

++

++

+

+

++

++

+

+

+

+

+

+

++

++

++

+

+++

++

+

+

+

+

+

++

+

+

++

+

+

+

0 5km

++

+stations de chêne-liège

baie de

Tangercap spartel

grottes

d'Hercule

embouchure du

Oued Tahadart

9

Le document ci-dessous représente un profil phytogéographique de la forêt de Temara et du plateau de Zaer.

1- Quelle est la nature pétrographique des terrains ou pousse le chêne-liège.

2- Quelle est la nature pétrographique des terrains ou ne pousse pas le chêne-liège.

3- A partir de ces observations, donner une hypothèse qui détermine le facteur responsable de la

distribution du chêne-liège dans cette région.

Document 14

Pour déterminer le facteur qui contrôle la répartition du chêne-liège dans la forêt du Mamora, on réalise les

deux expériences suivantes :

- expérience 1 :

Expériences Résultats après quelque semaines

Sol A : sol de la forêt du Mamora Plantation de jeune pied de

chêne-liège Bonne croissance des plants

Sol B : sol de la forêt du Mamora

additionné de calcaires Plantation de jeune pied de

chêne-liège Faible croissance des plants

Sol C : sol de la forêt de Merchouch

(voir document précédant) Plantation de jeune pied de

chêne-liège Mort des plants

- expérience 2 :

A la fin de l’expérience 1 ; on analyse les composés chimiques des plants de chêne-liège. On obtient les

résultats suivants :

* Plants du sol A : grande concentration en fer.

* Plants du sol B : forte déficience en fer.

- analysez ces expériences.

- Quelle est l’influence du calcium du sol sur la croissance du chêne-liège ?

Document 16

Pour mettre en évidence la présence de la matière organique dans le sol, on chauffe au rouge un échantillon

de sol placé dans un creuset recouvert. Après refroidissement, on constate la présence d’un résidu carboné.

Document 18

Document 18

Déterminez la texture d’un sol dont la composition granulométrique est la suivante :

Sable Limon Argile

6% 71% 23%

Document 21

10

Après avoir enlevé, à l’aide d’un tamis à larges mailles (3 mm), les grosses particules d’un échantillon de

sol, on verse le reste de l’échantillon dans un bécher puis on ajoute de l’eau oxygénée. On observe une

effervescence (indiquant le départ d’un gaz : le CO2) et la décoloration de l’échantillon (cette dernière demande

plusieurs heures). Les fragments clairs surnageant peuvent être observer à la loupe binoculaire : ce sont des

restes de végétaux non oxydés par l’eau oxygénée. La substance sombre qui a disparu est l’humus. Les

constituants minéraux tombent au fond du bécher ou restent en suspension (suivant leur densité).

Document 17

Document 22

Document 23

Document 24

11

argile

sable limon1 2

13

12

6

11

7

8

9

10

5 4

3

1- sableux 6- limoneux 11- limono-argileux

2- sable-limoneux 7- limoneux fin 12- limono-argilo-sableux

3- argileux 8- limoneux-argileux fin 13- limono-sableux

4- argilo-limoneux 9- limoneux fin-argileux

5- argilo-sableux 10- limoneux très fin

Document 20

Document 25

Sol sableux Sol argileux Sol intermédiaire

Document 27 V1 5 27 21

Vg 3 12 11

Vr 2 15 10

Sol sableux Sol argileux Sol intermédiaire

V1 5 27 21

Vg 3 12 11

Vr 2 15 10

Document 27

12

Pour mesurer la capacité de rétention en eau du sol on réalise l’expérience suivante :

- placer 100g de sol séché dans le tube A.

- fermer le robinet R1 et R2.

- remplir d’eau l’éprouvette graduée B.

- ouvrir le robinet R2.

- ouvrir le robinet R1 jusqu’à ce que l’eau couvre la surface du sol, puis fermer le robinet R2.

- mesurer sur le tube gradué B le volume V1 écoulé du tube B vers le tube A (V1= porosité).

- détacher le tube C.

- ouvrir le robinet R1 pour laisser l’eau s’écouler dans le bécher D. Le volume (Vg) recueilli représente

l’eau de gravité.

Document 26

Pour mesurer la perméabilité du sol on réalise la manipulation suivante :

- prendre un tube à essai dont les deux bouts sont ouverts.

- fermer un bout du tube avec un morceau de mousseline.

- mettre un échantillon de sol dans le tube.

- verser un volume (V1) d’eau dans le tube.

- on détermine le temps t1 ou la première goutte d’eau tombe dans l’éprouvette graduée.

- on détermine le volume d’eau recueilli dans l’éprouvette graduée après un certain temps (t2).

Document 28

sol frais

eau de chaux trouble eau de chaux claire

Document 29

13

tamis

Document 30

Document 31

Photo au début de l’expérience Photo un mois après

Expérience mettant en évidence le rôle des vers de terre dans le mélange des constituants du sol

Document 32

14

Document 33

Pour étudier la vitesse de décomposition des feuilles de chêne et de hêtre, des chercheurs ont préparé des

rondelles (d’un diamètre de 2.5cm) de feuilles fraiches de ces arbres. Ils ont réparti ces disques dans deux

types de sacs faits de tissu filet, le diamètre des mailles du premier type de sac est de 7mm et de 0.5mm pour

le deuxième type. Ces sacs ont été enterré le 1 juillet dans un sol fertile à une profondeur de 2.5cm. Tout le

long de l’année, les chercheurs ont analysé le contenu des sacs et déterminé la réduction de la surface des

rondelles de feuilles.

Les résultats sont résumés dans le tableau ci-dessous (exprimés en pourcentage de surface de feuilles

d’arbres décomposées au cour d’une année).

Espèce Diamètre des

mailles en mm

Date de l’analyse des sacs

1 aout 1 octobre 1 décembre 1 février 1 avril

Chêne 7 20 65 85 90 92

0.5 5 17 32 38 40

Hêtre 7 3 36 56 67 70

0.5 3 13 26 32 35

* Représentez sous forme de courbes (sur le même graphique), pour les deux espèces et les deux

diamètres de mailles, l’évolution de la décomposition des rondelles de feuilles en fonction du temps.

(Échelle : 1cm→1mois ; 1cm→10% de surface de feuilles décomposée)

* Comparez les courbes obtenues, et expliquez les résultats.

Document 34

Station Altitude

(m) J F M A M J J A S O N D

Moyenne annuelle

(mm) Ifrane 1635 181.8 141.8 121.2 117.7 74 34.6 8.7 11.2 30.3 81.9 133.6 168.4 1055.2 Ketama 1520 308.4 294.2 237.2 140.9 77.2 27.2 4.5 4.7 28.6 106.7 259.7 119 1609.2

Midelt 1508 15.3 16.8 24.7 38.3 31.6 21.2 6.3 4.6 18.6 15.7 19.7 16.9 231.5

Ouezzane 300 146.3 123.5 98 91.5 48.5 12.7 1.4 1.2 9.8 76.4 124.9 171.8 906.0

Document 37

Station Altitude

(m) J F M A M J J A S O N D

Ifrane 1635 2.1 3.5 6.5 9 11.4 16.8 21.2 20.9 17 11.7 7.5 3.3

Ketama 1520 3.2 4 3.7 6 7.5 18.5 18.5 19.7 17.2 11.2 5.7 2.7

Midelt 1508 6.1 7.1 9.9 12.8 16.1 20.3 25 24.5 20 14.8 10.5 6.6

Ouezzane 300 10.3 11.6 14.2 16.1 18.2 22.7 25.9 26.3 23.7 19.9 15.3 11.4

Document 38

15

Afin d’étudier l’impact des techniques de labourage, on réalise les expériences suivantes dans des zones

arides. Le tableau suivant résume les conditions des deux premières expériences et les résultats obtenus.

Manipulations Masse de sol perdu

pendant 7 mois (en t/ha)

Epaisseur du sol perdu

pendant 7 mois (en mm)

Expérience 1 Labourage avec charrue à

dents et semis normal 45 3

Expérience 2 Labourage avec charrue à

disques et semis normal 185 12.5

a- Analysez le tableau.

b- Que peut-on conclure ?

Sachant que :

- les zones arides sont plus sensibles à la désertification (la moyenne annuelle des précipitations ne

dépasse pas 150mm et le sol est peu profond et riche en sables fins)

- la charrue à disques retourne la terre et détruit le couvert végétal.

c- Expliquez les résultats de l’expérience 2.

Le tableau ci-dessous résume l’expérience 3 et ses résultats.

Expérience 3 Manipulations

Masse de sol perdu

pendant 7 mois (en

t/ha)

Densité des plants d’orge

(en pants/m2)

a Labourage avec charrue à disques

et semis normal 120 30

b

Labourage avec charrue à disques

et semis normal, puis le sol est

couvet de paille (paillis)

18 49

d- Que représente l’expérience 3a ?

e- Expliquez les résultats de l’expérience 3 ?

f- Proposez d’autres mesures participant à la protection des sols.

Document 35

Document 36

16

Station Moyenne annuelle des précipitations(mm)

Tanger 752

Kénitra 608

Rabat 587

Casablanca 461

Safi 337

Agadir 248

Document 39

Station Distance à la mer(Km) Moyenne annuelle des précipitations(mm) Safi 1 337 Youssoufia 31 305 Ben Guerir 113 233

Document 40

SafiYoussoufia Ben Guerir

Océan

Atlantique

Document 41

Station Altitude (m) Précipitations annuelles moyennes (mm)

Tiflet 350 495

Khémisset 460 526

Meknès 548 623

Document 42

Rabat

Salé

Tiflet

Khémisset

Meknès

10km

Océan Atlantique

Document 43

Station Distance à la mer

(Km)

Température maximale

du mois le plus chaud

(M)

Température minimale

du mois le plus froid (m) Amplitude

thermique (M-m)

Rabat 28.5 °C 07.7 °C 20.8 °C Meknès 100 34.2 °C 04.4 °C 29.8 °C Sefrou 160 32.9 °C 02.6 °C 30.3 °C Midelt 240 34.1 °C 00.3 °C 33.8 °C

Document 44

17

20

40

60

80

100

120

140

160

180

0-3 3 7 10m (°C)

Q

Domaine saharien

Domaine aride

Domaine semi-aride

Domaine subhumide

Domaine humide

tempéréhiver

^

>

froidhiver

très froidhiver hiver

chaud

20

40

60

80

100

120

140

160

180

0-3 3 7 10m (°C)

Q^

>

Document 45 Document 46 (suite)

On se propose d’étudier les exigences climatiques du chêne-liège.

Au voisinage de la ville de Kénitra se trouve une grande partie de la forêt de la Mamora qui est composée

en grande partie par le chêne-liège.

Le tableau ci-dessous donne les moyennes des précipitations mensuelles ainsi que les températures

moyennes mensuelles.

Mois 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12

Moyenne des précipitations

(mm)

92.9 81.7 74 50.2 25.9 5 0.2 0.9 8.8 55.4 95.7 117.6

Température moyenne (°C) 11.6 12.4 14.5 16.4 18.7 21.8 23.6 24.3 22.4 19.2 15.3 12.4

1- Dessinez le diagramme ombrothermique de la station de Kénitra.

2- Quelles sont les caractéristiques climatiques de cette station ?

Le tableau suivant donne les caractéristiques climatiques de huit stations où se développe le chêne-liège.

Station Altitude (m) P (mm) m (°C) M (°C)

Tanger 15 751.6 9.6 26.8

Ketama 1520 1609 0.5 25

Tiflet 350 495.5 5.6 35.8

Oulmès 1260 816.4 2.6 33.1

Souk Larbaa du Gharb 30 586.2 5.8 35.3

Larache 5 755 7.8 27

Rabat 75 587.5 7.7 28.5

Kénitra 25 608.4 4.8 31.6

3- Calculez le quotient pluviométrique (Q) des différentes stations.

4- Localisez ces stations sur le diagramme pluviothermique.

5- Déterminez, sur le même diagramme, l’aire de répartition du chêne-liège sachant que ce dernier ne

supporte pas des minima inferieures à -2 °C.

6- Que peut-on conclure en ce qui consterne la répartition bioclimatique du chêne-liège.

Document 46

18

Le profil ci-dessous montre la répartition de trois espèces végétales dans un massif du Moyen-Atlas.

0 1Km

1900

2000

2100

2200

2300

2400

Nord Sud

Altitude(m)

a- Qu’observez-vous en ce qui concerne cette répartition ?

b- Comment expliquez-vous la distribution du cèdre des deux flancs du massif.

Document 47

Les deux espèces sont réunies Les deux espèces sont séparées

Type de relation Espèce A Espèce B Espèce A Espèce B

La prédation :

A= le prédateur

B= la proie

Le parasitisme

A= le parasite

B= l’hôte

Compétition

Coopération

Symbiose

Neutralisme

Document 49

Soit les êtres vivants suivants :

- Circaète - Monte religieuse - Criquet

- Serpent - Crapaud - Souris

- Plantes - Lion - Gazelle

1- Dessinez, sous forme de schémas, les relations trophiques qui existent entre ces êtres vivants.

2- Déterminez les niveaux trophiques de ces êtres vivants.

3- Définissez les notions de chaine trophique et de réseau trophique.

Document 50

19

Dans la nature on peut observer la scène suivante : des pucerons entrain de sucer la sève des plants de fèves.

Derrière ces pucerons, on voit des fourmis qui se nourrissent du miellat (excréments riches en sucre) de ces

pucerons, et donc participent au nettoyage de ces derniers. En plus les fourmis fournissent une protection pour

les pucerons.

1- Quel type de relation existe-t-il entre les plants de fèves et les pucerons ?

Sur deux groupes de plants de fèves, on réalise l’expérience résumée dans le tableau suivant :

Conditions Résultats

Groupe 1 Plants de fèves mis en présence de

pucerons seuls.

- Faible croissance des pucerons.

- Faible prolifération des pucerons.

- Bonne récolte de fèves.

Groupe 2 Plants de fèves mis en présence de

pucerons et de fourmis.

- Bonne croissance des pucerons.

- Prolifération des pucerons.

- Mauvaise récolte de fèves.

2- Déterminez le type de relation qui existe entre les pucerons et les fourmis d’un côté, et les plants de

fèves et les fourmis de l’autre.

Les larves de coccinelle consomment entre 20 et 40 pucerons par jour, alors que les coccinelles

adules dévorent plus de 200 pucerons par jour.

3- Quel type de relation existe-t-il entre les pucerons et les coccinelles ?

Le tableau ci-dessous résume les différentes interactions qui peuvent exister entre les organismes

d’un milieu :

Relation Impact de de l’espèce A

sur l’espèce B

Impact de de l’espèce B

sur l’espèce A

a Absent Absent

b Bénéfique Bénéfique

c Bénéfique Néfaste

d Néfaste Néfaste

e Absent Bénéfique

4- Déterminez les types de relations des différents cas.

Document 48

20

Afin d’étudier la biomasse océanique, des chercheurs ont réalisé le tableau suivant :

Niveau trophique Masse (kg)

Phytoplancton (producteurs) 1000

Zooplancton (consommateurs I) 250

Poissons mangeurs de plancton (consommateurs II) 18

Poissons mangeurs de Poissons (consommateurs III) 2

1- Représentez, sous forme de pyramide, l’évolution de la biomasse de cette chaine alimentaire (échelle :

1 mm→ 10 kg).

2- Calculez le rendement global de la biomasse dans l’océan.

3- Calculez les rendement partiels (qui accompagnent le passage entre les différents niveaux trophiques)

des biomasses dans l’écosystème océanique.

Le document ci-dessous présente la distribution de l’énergie dans les différents niveaux trophiques d’un

écosystème terrestre.

4- Transformez ce document en pyramide d’énergie.

5- Calculez le rendement global de l’énergie dans l’écosystème terrestre.

6- Calculez les rendements partiels de l’énergie dans l’écosystème terrestre.

7- Que remarquez-vous ?

8- Comment peut-on expliquer les pertes d’énergie et de de biomasse le long des chaines trophiques ?

Document 51

21

L'oranger (Citrus sinensis) a été introduit au Maroc au 14ieme siècle depuis la Chine. Cette

introduction a été accompagné par la propagation de quelques parasites de l’oranger comme les

cochenilles (qui causent d’importants dégâts dans les plantations). Pour combattre ce parasite on

a recours à des insecticides comme le D.D.T.

Le graphique suivant donne l’évolution du nombre de cochenilles dans deux plantations : une

traitée avec du D.D.T et l’autre sans traitement.

1- Est-ce- que le D.D.T a donné les résultats escomptés ?

2- Sachant que les cochenilles sont des proies pour différents insectes (comme les

coccinelles), proposez une hypothèse pour expliquer ces résultats.

3- Donnez une méthode efficace pour lutter contre les cochenilles.

Document

52

Les anchois forment une famille de poissons (Engraulidae) dont de nombreuses espèces sont

consommées par l’homme et sont utilisées pour fabriquer de la farine de poisson (source de

protéine pour les volailles et le bétail). Les anchois représentent aussi des proies pour de

nombreux animaux comme le cormoran (oiseau marin).

Pour estimer les quantités d’anchois pêchées et l’évolution du nombre de cormorans, une étude

a été mener au large du Chili entre 1955 et 1971. Les résultats obtenus sont résumés dans le

graphique ci-dessous :

^

1955 1960 1965 1970

2

4

6

8

10

12

^

5

10

15

20

25

30

Nombre de cormoran

(en millions d'individus)

Quantité d'anchois pêchée

(en millions de tonnes)

Années>0

1- Analysez ces résultats.

2- Expliquez l’évolution du nombre de cormorans.

3- Que peut-on prédire si ce pays continue à pratiquer la pêche intensive de l’anchois ?

4- Proposez une solution.

Document

53

22

Au Maroc, la majorité des villes rejettent directement les eaux usées et les déchets liquides soit dans les

rivières soit dans la mer, ce qui provoque leur pollution.

On se propose d’étudier l’impact des eaux usées et des déchets liquides sur quelques espèces de vers vivants

dans l’oued Sebou au voisinage de la ville de Fès. La carte suivante montre la position des stations étudiées

alors que le tableau 1 résume les résultats de cette étude :

Stations S1 S2 S3 S4

Pourcentages des vers (n) par rapport à l’ensemble des invertébrés n1<60 n2>80 80<n3<n2 60<n4<80

Pourcentages de six espèces de vers annélides

oligochètes

Espèce 1

Espèce 2

Espèce 3

Espèce 4

Espèce 5

Espèce 6

1.7

2.3

2

0

27.3

61.4

51.1

15.2

33.7

0

0

0

48.7

19.5

29.2

0

0

0

16.1

16.6

18.2

35.8

4.4

0.8

Pourcentages des autres espèces de vers annélides oligochètes 5.3 0 2.6 8.1

Tableau 1

Remarques :

- Les études ont été menées pendant le mois de septembre.

- Les annélides sont des organismes vermiformes mesurant entre 0,5 mm et 3 m de long. Ils possèdent

un corps cylindrique, composé d’une série d’anneaux (les métamères). Les annélides sont divisés en trois

grandes classes :

* les Polychètes qui ont des métamères recouverts de nombreuses soies (exemple : les arénicoles).

Document 54

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* les Oligochètes qui ont des métamères porteurs de soies moins abondantes (exemple : les vers de

terre).

* les Achètes dont les métamères sont dépourvus de soies (exemple : les sangsues).

1- Quels enseignements tirez-vous de l’analyse de ces résultats ?

Le tableau 2 donne les teneurs en dioxygène et en matières organiques dans les différentes stations :

Stations S1 S2 S3 S4

Teneurs en O2 (%) 99 30 32 83

Teneurs en matières organiques 5 21 10 5

Tableau 2

2- Sachant que dans les eaux polluées vivent des bactéries aérobies, comment, expliquez les données du

tableau 2.

3- En vous aidons des éléments de réponses précédents, expliquez la répartition des vers pour les quatre

stations.

4- Quel est l’intérêt écologique des vers étudiés en ce qui concerne l’évaluation de la qualité de l’eau ?

Document 54 (suite)