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Jeaii Bapliste l,efèvie, âgd de 69 an», m d Z ià h de chanter gatnie.it une ciianson baelii.,.,,., est t«mbé à h le « v Z pour ne plus se relever. Il venait d’ôtre fiai.péid’une atlan.ie d'apm plexie finidroyante. Le iiiédeci le elian.j., u’à p„ r-.o. peler a la vie .•<! brave pompier, qui est inoi i, du resle. comme il avait toujours desi. é moui ir, le vei re en main, • . • • Un mortel expiré; Son étoile tombe à riiisuiiit. Entre amit que la joiç ii)«piro, Cclui.ci buvait en chantant. \ Heureux, i! s'endort immobile, Auprès du vin qu'il célébrait. BékAMoxa. Ses obsèques ont ru lieu militairemeni, le siirlendeinain à 11 llt*lii'ea (lu iiiulitia i Un ponqiier qnj aime à s’a|>piiyer sur l’antoi ilé, ou, si vous Vou lez, sur le pivsiige de la Irudilion, nous a dit qu’il ignorait, à qilel propos leNc nionniers avaient adopté sainte B irbe, puni'patnnie, et qu’il voudrait bien le savoir. Voici la chose j qU --------------------------- v.i..sei Saillie Barbu, vierge de Niconiéilie, éi.sil fille de Diuscore. Ce perc ilénainré n’ayani pu, ni par caresses ni par ineiiaeés, lui faire abaiidonnerla foi deJésns-Uhrisr(ceri se (tassait l'an 340 environ] lin trancha lui.méme la tète. Mais, a l’iiistaut, la foudre veiig-resse toniha du ciel sur lui et le |mlv'^Asa. ‘Oiqniis Cette éj)oque, ou a Ion- jom-8 invoqué sainte Barbe, (teiolant les orages, pour être garanti du toiiiierre. Comme les ravages eaipés par la (loiidre à canon sont aussi terribles et (leiit-èlre plus terribjes encore que ceux de la foii- dre, les eanniniiers et surtout ceux île la marine ont invoijiié parti, cidieremeiit sainte Barbe, (tour se garantir des explosions; ils ont inéine ilhnnë le nom de sainte Barbe an magasin à pondre îles vfis- seaiix.Telle est l'origine, (tour les àrtilleùi s cl les j>oil.piér», dé la fête patiuiiale de la Sainté-Barbe. -'A Natis„al«ulHH» quo)-aap>latpraposi(ioii de pinsienrs gardes iia- tioiiaiix deSenlis, une souscri|itiuii eut été ouverte (tour un bal, '•b."lk l'fftiluit doit ètie,pai tagdciiircliaiimiiguiit»d«4a.«iUc,*t.4a» |(ttUï(fon. > Tn arrives (lien è propos, rai.h cli/tr ilégrahdl dit M. aiminer, vu se Jetant dans les bras de soii aiiii, priipriétaire à S niis. ®nis elieliantë, ié|.ond M. Legiand, que ma venue ail de I a-propos. ^n qUbi puis-je t'être utile ? ’ " ®*bnat^hioi si, an lièo dé'iu'iiiforiiier de ta saiitéi jecnm'meiice par te parler de mes (leiiies; inai's'il y a si ïong-tennis qiie Je les m o ■enneen moi-même, qpe j'étouffe. ' ' Tu tta’elfraiès.'Qà’est-ce qu'il y a tloiicÿ. '■ ' ' ni ** X * **“ ® ™e trompe ii|digiiemént| et que je suis le plus malheureux des hommes ! ' - - Mou êhér Rininler, ëo'te fâché pas de ce que je vais ié ‘dire; la euose va te paraître dure, cruelle, brutale : uii éutre do mes amis «0 parlerait comme tn viélis lie iëe j.arlér ] que je pàriagerais ses «mintes; mais de ta part, ce langage ne me produit |,as le même cf- «I. paPce que je sais ^qn'opiniou sur la fidélité des femmés. . “ - Il ne S’agit paS' ici d’hnè opinion, il s’àgit d’iiii fait : tous les flü.'*’ Itnhdhe '’iéhl ici, sons prétexte de demander à ma iname déhoMivelles d’une de ses meilleures amies. Quels contés me fais-tù là! ' t Je te dis’hl Vérité. ~ Et Gohliàis-la cette meilleure amie ? . ï "® •El fini «II? est .» et je me suis bien gardé de meninformerl * o ®’e«^““ l'Oinine d'esprit et de hpn sens comme toi D •'*"“* «vener que tu es un fier maladroit ! mais me « a a Pans pour plusieurs jours; j'aurai doue tout le temps de t'é. iiioiidéH (Je la Loin*; lt? fiiii ,aui •’ i - i,-.,; s . . . IKOVUATIOiV OK loi M U tl';. Sixième liate de timiscriafiomu » ftawi.» . i Aimeii de» lnoud»«oiii* 4e IB re»u»iièi Vm montT-Mf7 ,^.Tam 'b '“- t'“ '■ '' “ l" ilioniaitl (le lu sixmiiif . rp . , , . V ’««-• l"lul (les cinq piemiercN liüf >s. Total jusqu'au 2 décembre iii ;|i Les sonseri|dions continuent à Manie, et chez JUL les N„iai,e» . ilf li oO fi*. » • (». 30U2 ôü 30o2 fr. 5U c. ! irc* reçues ait .Sccrétai iat Ue la iu ville (le Sciilis. t..~ * C’irnnt, p. ofesseiir de liiuisqiie, élèvUi distingué de Kalk- brcnner, n a jias quitté S uhs, coiiXe (.lusieiiis personnes l’avaient fliTrêf '*® » jnurs, iiccasinni.é j.«r ses af- faiie», ,1 cont nue a donner des |X „ s de, violon et de piano et rnln'i” R'"!'®'*''®''"”'".' élcveilia l'habitude de l'acernupagne- ™ait l’e T a l ^ t 'd e M ' / ' ' T « « é . Tout b-..«..«h.Ln- '® ' » *'■ sonviendra au besoin. ~ ' ' V ® ' ® ' " ' ' l i i t conseîl'mhnlei- pal, sur I iiivitulien de .41. Jacqiiin. maire, uni fait une souscrii.tiuii au piolit des iiinndes de la Loire. Tons, riches cumnie (laiivres, mil répondu a cet u|i|ie|, et celte soiisclijiiion a piodiiit 89U francs 40 centimes. Plusieurs jiersunnes ont aussi donné des effets d'Iiahil- lemuiit. Depuis les deux Chasses faites (lar LL. A A. HR. le duc de Ne- !" ' ’""®® •“» 19 et 21 novembre dernier, dans la foiot d Halatte, jionr la destruction des sangliers, trois nouvelles chasses ont eu heu dans cette foiêi iioin- le iiiême motif. A la (ireinière, di-UX de ces atiiniaiix ont été détroits, dont un pris fusil *'* “ • ‘® '"®“ •*'' *' l’anh e tué à coulis Je A la deuxième, le iniinvais teni|is n'a pas permis d'attaquer. Les Princes, toujours eoiisianls ilans l’iiitéiêl qu'ils prennent au bien êtic des cultivateurs, iissisiai-nt à la troisième; une grande laie a ete tuée a coups de fusil, a,,, è- avoir été forcée par le même équi- page, ^ Il estaes|iérerquecesaiiiniutis, qui so trouvent actuellement ré duits a un bien jiullt nombre’ , |.iiisi|ue einq d’entre eux ont été dé truits depuis peu de teni|is, jiernieiironl à la classe agricole de tra vailler aux récoltes avec nue (deine el cniière sécuiité, LL. AA. IW ., ajiics lu chusse, ont diiié à Seulis et sont reiiarties enauite pour Paris. COMMUNE DE NANTEUIL LE-HAÜDOUIN. Manocriliston n i ftaveor dea imMiàléa «le la im ire. MM.Lemaire, député, maire de Nanteuil, 200 fr.; Laveiiere, ad- joiiit du maire, S fr.; Lejeuiie, conseiller muiiicijial, 3 fi.; Petit’, ii| Il •'! H- * f’-i «•nbm» (Victor), id. 5 fr.; Moreau (Mar^ cet). Jd- 10 fr.; Hissa, docteur-médecin, 20 fr.; Duriez, officier re traite, 20 fr.; Maisondicu, recovenr de l'enregistrement, S fr.- La- Imureix, cliaudroiiiiier, I fr.; Laloue fils, bouriier, I fr. SO c.- Volh, pru|irictaire, 5 fr.; Villain, marchand tailleur, 2 fr.; Vilcociî jiére, mai chaud é(iicier, âOc.; Lassiége, propriétaire, 5 ^r • Le brun, id. 5 fr.; Hébert V. id. 5 fr.; Lefèvre (Cbarles), cultivateur. 10 fr.; Leg.and, arquebusier, I fr. SO c.; Bourgeois, marchand é|,i- nalo'er ï ’f m 10 fe-; Chiqneville, limo nadier, I fi.; Mezy (Pierre). com|iagnon maçon. SOc.; Ploque V Imste a â T o ir - '-®’»»i’efilo, propriétaire, maître d^ poste, 2o fr Buiivallet, suiis-iiispecteur des écoles primaires, 2 fr • Grignon, olficier retraité. 3 fr.; Meignan. propriétaire, 3 fr.’ Fav’ brigadier de geiidai mene retraité, I fr. 40 c.; Magdelaiii (Charles)! peie, membre du Coiisnt municipal. 3 fr. Total pour la commuiië de Nauleiiil, . . gyo f|._ jq ^ COMMUNE DE BOREST. MM- Roussel, maire, 20 fr.; Deberry. proprié taire, 20 fr. COà^HUNE DE LAGNY-LE-SEC. Moulant de la collecte faite à domicile par les soins de H. Lemaire, et dé|iosé au secrétariat de la mairie de Nanteuil ................................... 40 48 85 TotpI aé.nëral. Les pompiers de Crouv-eii.Thelle ont fait, lé jour de la Sainte- Barbe, en faveur des inondés de la Loire, une collecte oui a pioduit 30 francs. — M. André Tronchon, ancien député de l'arrondisseroeiit de Compiègne, ancien membre du conseil général de Seiiie-et-Marne, vient de mourir à Posse-Hartin, à la suite d’une courte et lioiiloii- reuse maladie. Les funérailles de ce digne citoyen ont été célébrées avec |ioiii|>e, le mardi 8 décembre. Plus de six cents personnes ac compagnaient son cercueil; là foule était si grande que l'église pou vait à peine la cimtenir. M. Lemaire. dé|iiité du notre arrondisse ment, ancien collègne et intime ami du défunt, a prononcé sur sa tombe quelques paroles vraies et bien senties, qui retraçaient briève ment tontm les bonnes actions de cet homme si recommandable par sa générosité et son patriotisme- — S. M. la reine des Français, dont la charité sa multiplie à me sure que le nombre des malheureux à soulager aiigiiiente, vient, sur la deniande de M. lecu.é de Villers-Saint-Framliourg. d'accorder lin secours de 100 francs pour les besoins lus plus urgents de l'é glise de cette commune. — H. le curé de Villers-Saint-Frambourg a remis entre les mains clair, r sur ce qui te paraît loiicli.'. cl ,|e le rendre le repos : car j'ai line trop hante opinion de nnnianie Riinmvr, pour ne (lasêtre sûi <|ii II sulhra d un mot jmur te la iiienirer telle qu'elle a toujours été. — t^iii: coni|ites-tn faire? — (je qu'il y a do plus simple, jiarbleul Lui demander fioiir qui vient ce jeune homme. — Garde-t-eii liieiil Pourquoi .loue? _ Tu me ferais (tasser pour utr jaloux. — N est-ce (tas ce que tu es, un affreux jalouxl C'est (lossible, mais ma femme iigiiorer; el je veux qu’elle Ignore toujours, si cela se peut- C'est Ueu assezi que. je sois mal heureux par mou caractère, sans qu'elle le soit aussi avec mhi. . Bon et géiiërouxjusqi,e dans tujaloluMV je te recouiiais bien la. Mats pourquoi, diabjf J #ve« un telasaraclère, t’es-tu marié! Dès a yan t ton mariage, a force de «hercberqnelqu’assorance sur la fidé lité des femmes j q«s||rauu« qfie lu étais asSex malheureék ptmé ne (tas trouver, tu e» ibveuu presque fOii rcélibatsire et n’ayant pas do maitrmse, tou Mflvro peryeau élaR |q|jamenl malade, qu’on au rait ctm déjà que ,ta femme te trompafi,., *^’®fi fie® ééjà je songeaîa à me marier, cfqne cette absence de coi tttnile mè tournait la te|e. — Parce que, comme tous les grataés raisonneurs, tu allais trop loin. Au reste, ce ti est pas de tha fantb si tu u’és pas resté gàrçOn. .TT'.Q?® y j’avais des démangeaisons de mariage, m a toiijonrs fait croire que je suis poitrinpire . car tu sai"' poitrinaires sont avides des (irérogalives attachées à ce lii —• Voila nn Uiagnostic auquel je n’aurais jamais songéi — Puis, continua Rimmcr, le mariage n’est-il (las la expression de l’amour? — Il y en a qui disent que ça le tue. — Et connaîs-tu rien de plus beau et de plus honorable que d'étre un lion père de famille? — Soit. Mais si tu veux bien le permettre, nous reprendrons cel entretien plus lard. Ma nièce Oaçoiiur, qui est venue avec moi à Paris, et que j’ai laissée chez sa marraine, ici près, an (lassage Cliéi- seul, va se marier; j’ai rendez-vous ce matin avec mon notaire (lonr avoir des renseiguements sur son futur, et voici l'heure qu’il m’a indiquée. ^ Rimmer reconduisit son ami jusqu’au bas'de l’escalier et alla ré fléchir dans son cabinet sur le peu de part que son ancien camarado avait pns i' ses peines. Pendant ce temps, tSiarles de Bannière, le jeune homme dont il a été parlé, entrait, et madame Rimmer le recevait, suivant son lu, bitude, dans le grand salon. -^Eh_bien, dit Charles, avez-vous reçu une lettre ce matin madame? i . . Eas en^re, M. Cliarlespdonnta donc le temps au facteur d’ar river. Que les amoureux sont impatients I — Voulez-vousqneje vous dise, madame, je commence à o»«ir« que ce inanage ne se;fera- pea. __ ^ Selon ce que me disait Caroline d .ns sa dernière lettre dit "uMutlr “ “‘"S «lisposé qnè jamais à y Vous voyez bietil'dit Charlra avec tristesse. '-îe vous désespérez pas pour cela. Oh n’est jamais si près d'ac sou cousentemeiitque quand ou paraît plus ferme à lorefû- iroliiio vous aime soujours.. le veux le croire.. M

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Page 1: A f lîm w e Ë s : ; J r b i G i A IË E Sbmsenlis.com/data/pdf/js/1843-1847/bms_js_1846_12_12_MRC.pdf1-----I'Ii I, 1:____ , 1 — O I.,

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A MX heures, a eoinaieiité, dans la salle de» pu,„niers décoréeavec loiil I a|.|jaréil nulilaire, leban.|<iel qui ipuinssail a'i'nL.mbre desconvive^ M. le 8 0 us.|,réfet. M. 1 n .ai/e . f i , le c.n..n,a..daui el plubUüis officiels lie la gardé iialioiiale, ainsi qm* M le eamiaii »

* c j.unna.^an lle dépôt de ré.uoUle. Ce re,:,.»; o ù i ; ^ “ i, Uelle cordialilé, s est passé avec l’ordre le plus pàrfaii ^ Apres le diner, bal, dans ia inê.ue s a lle ,‘jusqu’’ S liepres ^n

' Le inêine malin, les pompiers se soiii péiniis i ,e „ „ s pour

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aêieables lie . usseiit pas se term iner sans ii.albeiir, 'A la fin d» déjeuner, vers deux lienres. je dnyeii d ls sergeiiU de

la conipagnie M. Jeaii Bapliste l,efèvie, âgd de 69 an», m d Z i à h de chanter gatnie.it une ciianson baelii.,.,,., est t«mbé à h l e « v Z pour ne plus se relever. Il venait d’ôtre fiai.péid’une atlan.ie d'apmplexie finidroyante. Le iiiédeci le elian.j., u’à p„ r-.o.peler a la vie .•<! brave pompier, qui est inoi i, du resle. comme il avait toujours desi. é moui ir , le vei re en m ain,

• • . • • Un mortel expiré;Son étoile tombe à riiisuiiit.Entre amit que la joiç ii)«piro,Cclui.ci buvait en chantant. \Heureux, i! s'endort immobile,A u p rè s d u v in q u 'i l c é l é b r a i t .

BékAMoxa.

Ses obsèques ont ru lieu m ilitairem eni, le siirlendeinain à 11 llt*lii'ea (lu iiiulitia i

Un ponqiier qnj aime à s’a|>piiyer su r l’antoi ilé , ou, si vous Vou­lez, su r le pivsiige de la Irudilion, nous a d it qu’il ignorait, à qilel propos leNc nionniers avaient adopté sainte B irbe, puni'patnnie, et qu’il voudrait bien le savoir. Voici la chose jqU --------------------------- v.i..se i

Saillie Barbu, vierge de Niconiéilie, éi.sil fille de Diuscore. Ce perc ilénainré n’ayani pu, ni par caresses ni par ineiiaeés, lui faire abaiidonnerla foi deJésns-U hrisr(ceri se (tassait l'an 340 environ] lin trancha lui.méme la tète. Mais, a l’iiistaut, la foudre veiig-resse toniha du ciel sur lui et le |mlv'^Asa. ‘Oiqniis Cette éj)oque, ou a Ion- jom-8 invoqué sainte Barbe, (teiolant les orages, pour ê tre garanti du toiiiierre. Comme les ravages eaipés par la (loiidre à canon sont aussi terribles e t (leiit-èlre plus terribjes encore que ceux de la foii- dre, les eanniniiers et surtout ceux île la m arine ont invoijiié parti, cidieremeiit sainte Barbe, (tour se garan tir des explosions; ils ont inéine ilhnnë le nom de sainte Barbe an magasin à pondre îles vfis- seaiix.Telle est l'origine, (tour les àrtilleùi s cl les j>oil.piér», dé la fête patiuiiale de la Sainté-Barbe. ’

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■ Natis„al«ulHH» quo)-aap>latpraposi(ioii de pinsienrs gardes iia-tioiiaiix deSen lis, une souscri|itiuii eut été ouverte (tour un bal,'•b."lk l'fftiluit doit ètie,pai tagdciiircliaiimiiguiit»d«4a.«iUc,*t.4a»

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— Quels contés me fais-tù là! ' tJ e te d is’hl Vérité.

~ E t Gohliàis-la cette m eilleure amie ?. ï "® •El fini «II? est .» et je me suis bien gardé de

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! irc* reçues ait .Sccrétai iat Ue la iu ville (le Sciilis.

t . . ~ * C’irnnt, p. ofesseiir de liiuisqiie, élèvUi distingué de Kalk- brcnner, n a jias quitté S uhs, co iiX e (.lusieiiis personnes l’avaientfliTrêf '*® » jnurs, iiccasinni.é j.«r ses af-faiie», ,1 cont nue a donner des |X „ s de, violon et de piano etrnln'i” R '"!'® '*''® ''"” '".' élcveilia l'habitude de l'acernupagne-™ait l’e T a l^ t 'd e M ' / ' ' T « « é . Tout b -..« ..« h .L n -

'® ' » *'■ sonviendra au besoin.~ ' ' V ® ' ® ' " ' ' ™ l i i t conseîl'mhnlei-

pal, su r I iiivitulien de .41. Jacqiiin. maire, uni fait une souscrii.tiuii au p io lit des iiinndes de la Loire. Tons, riches cumnie (laiivres, mil répondu a cet u|i|ie|, et celte soiisclijiiion a piodiiit 89U francs 40 centim es. Plusieurs jiersunnes ont aussi donné des effets d'Iiahil- lemuiit.

Depuis les deux Chasses faites (lar LL. A A. HR. le duc de Ne- !" ' ’""®® •“» 19 et 21 novembre dern ier, dansla foiot d Halatte, jionr la destruction des sangliers, trois nouvelles chasses ont eu heu dans cette foiêi iioin- le iiiême motif.

A la (ireinière, di-UX de ces atiiniaiix ont é té détroits, dont un pris fusil *'* “ • ‘® '"®“ •*'' * ' l’anh e tué à coulis Je

A la deuxième, le iniinvais teni|is n 'a pas perm is d 'attaquer.Les Princes, toujours eoiisianls ilans l’iiitéiêl qu'ils prennent au

bien ê tic des cultivateurs, iissisiai-nt à la troisième; une grande laie a e te tuée a coups de fusil, a,,, è- avoir é té forcée par le même équi- page, ^

Il e sta e s |ié re rq u ec esa iiin iu tis , qui so trouvent actuellement ré­duits a un bien jiullt nombre’, |.iiisi|ue einq d’entre eux ont é té dé­tru its depuis peu de teni|is, jiernieiironl à la classe agricole de tra ­vailler aux récoltes avec nue (deine el cn iière sécuiité,

LL. AA. IW ., ajiics lu chusse, ont diiié à Seulis et sont reiiartiesenauite pour Paris. •

COMMUNE DE NANTEUIL LE-HAÜDOUIN.

M a n o c r il is to n n i f ta v e o r d e a im M iàléa «le l a i m i r e .

MM.Lemaire, député, maire de Nanteuil, 200 f r .; Laveiiere, ad- joiiit du maire, S fr .; Lejeuiie, conseiller muiiicijial, 3 f i . ; P etit’, ii|

Il •'! H- * f ’ -i «•nbm» (Victor), id . 5 fr .; Moreau (Mar^cet). Jd- 10 fr .; H issa, docteur-médecin, 20 fr .; D uriez, officier re ­tra ite , 20 fr .; Maisondicu, recovenr de l'enregistrem ent, S fr .- La- Imureix, cliaudroiiiiier, I fr .; Laloue fils, b o u riie r , I fr. SO c.- Volh, pru |irictaire, 5 fr .; Villain, marchand tailleur, 2 fr .; Vilcociî jiére, mai chaud é(iicier, âO c.; Lassiége, propriétaire, 5 ^r • Le­brun, id. 5 fr .; H ébert V . id. 5 fr .; Lefèvre (Cbarles), cu ltivateur. 10 f r .; Leg.and, arquebusier, I fr. SO c .; Bourgeois, m archand é |,i-nalo'er ï ’f ‘m ’ 10 fe-; Chiqneville, limo­nadier, I f i .; Mezy (Pierre). com|iagnon maçon. SO c.; Ploque VImste a â T o i r - '-®’»»i’efilo, propriétaire, m aître d^poste, 2o fr Buiivallet, suiis-iiispecteur des écoles prim aires, 2 fr • G rignon, olficier re tra ité . 3 fr .; Meignan. propriétaire, 3 fr.’ F av ’ brigadier de geiidai m ene re tra ité , I fr. 40 c .; Magdelaiii (Charles)! peie, membre du Coiisnt municipal. 3 fr.

Total pour la commuiië de N auleiiil, . . gyo f|._ jq ^

COMMUNE DE BOREST.MM- Roussel, m aire, 20 f r .; Deberry. proprié­

ta ire , 20 fr. ‘

COà^HUNE DE LAGNY-LE-SEC.M oulant de la collecte faite à domicile par les

soins de H. L em aire, e t dé|iosé au secrétariat de la m airie de N an teu il ...................................

40

48 85

TotpI aé.nëral.

— Les pompiers de Crouv-eii.Thelle ont fait, lé jo u r de la Sainte- Barbe, en faveur des inondés de la Loire, une collecte oui a pioduit 30 francs.

— M. André Tronchon, ancien député de l'arrondisseroeiit de Compiègne, ancien membre du conseil général de Seiiie-et-Marne, vient de m ourir à Posse-Hartin, à la suite d’une courte e t lioiiloii- reuse maladie. Les funérailles de ce digne citoyen ont é té célébrées avec |ioiii|>e, le m ardi 8 décembre. Plus de six cents personnes a c ­compagnaient son cercueil; là foule était si grande que l'église pou­vait à peine la cim tenir. M. Lemaire. dé|iiité du notre arrondisse­ment, ancien collègne e t intime ami du défunt, a prononcé su r sa tombe quelques paroles vraies e t bien senties, qui re traçaien t briève­ment tontm les bonnes actions de cet homme si recommandable p ar sa générosité e t son patriotisme-

— S . M. la reine des Français, dont la charité sa m ultiplie à m e­sure que le nombre des malheureux à soulager aiigiiiente, vient, su r la deniande de M. le c u .é de Villers-Saint-Framliourg. d 'accorder lin secours de 100 francs pour les besoins lus plus urgents de l 'é ­glise de cette commune.

— H . le curé de Villers-Saint-Frambourg a rem is en tre les m ains

clair, r sur ce qui te paraît loiicli.'. c l ,|e le rend re le repos : car j 'a i line trop hante opinion de nnnianie Riinmvr, pour ne (la sêtre sûi <|ii II sulhra d un mot jmur te la iiienirer telle qu'elle a toujours été.

— t^iii: coni|ites-tn faire?— (je qu'il y a do plus simple, jiarbleul Lui dem ander fioiir qui

vient ce jeune homme. ’— Garde-t-eii liieiil

Pourquoi .loue? _ Tu me ferais (tasser pour utr jaloux.— N est-ce (tas ce que tu es, un affreux ja loux l

C 'est (lossible, mais ma femme iigiiorer; e l je veux qu’elle Ignore toujours, s i cela se peut- C 'est U eu assezi que. je sois mal­

heureux par mou caractère, sans qu'elle le soit aussi avec mhi. .Bon e t géiiërouxjusqi,e dans tujaloluM V je te recouiiais bien

la. Mats pourquoi, diabjf J #ve« un telasaraclère, t’es-tu m arié! Dès a yan t ton mariage, a force de «hercberqnelqu’assorance su r la fidé­lité des femmes j q«s||rauu« qfie lu é ta is asSex malheureék ptmé ne (tas tro u v e r , tu e» ibveuu presque fOii rcé liba tsire e t n’ayan t pas do m aitrm se, tou M flvro peryeau élaR |q|jam enl malade, qu’on au­ra it ctm déjà que ,ta femme te trompafi,.,

* ’®fi fie® ééjà je songeaîa à me m arier, c fq n e cette absence de coi tttnile mè tournait la te |e .

— P arce que, comme tous les grataés raisonneurs, tu allais trop loin. Au reste, ce ti est pas de tha fantb si tu u’és pas resté gàrçOn.

.TT'.Q?® y j ’avais des démangeaisons de mariage,m a toiijonrs fait croire que je suis poitrinpire . car tu sai" ' poitrinaires sont avides des (irérogalives attachées à ce lii

—• Voila nn Uiagnostic auquel je n’aurais jam ais songéi— Puis, continua Rimmcr, le mariage n’est-il (las la

expression de l’am our?

— Il y en a qui disent que ça le tue.— Et connaîs-tu rien de plus beau e t de plus honorable que d 'é tre

un lion père de famille?— Soit. Mais si tu veux bien le perm ettre, nous reprendrons cel

entretien plus lard . Ma nièce Oaçoiiur, qui est venue avec moi à Paris, e t que j’ai laissée chez sa m arraine, ici p rès, an (lassage Cliéi- seul, va se m arier; j ’ai rendez-vous ce matin avec mon notaire (lonr avoir des renseiguements su r son futur, e t voici l'heure qu’il m’a indiquée. ^

Rimmer reconduisit son ami jusqu’au bas'de l’escalier e t alla ré ­fléchir dans son cabinet su r le peu de part que son ancien cam arado avait p n s i ' ses peines.

P endan t ce temps, tSiarles de B annière, le jeune homme dont il a é té parlé, en tra it, e t madame Rimmer le recevait, su ivant son lu, bitude, dans le grand salon.

-^E h_bien , d it C harle s, avez-vous reçu une le ttre ce matin madame? i .. Eas e n ^ r e , M. C liarlespdonnta donc le temps au fac teur d ’a r

river. Q ue les amoureux sont impatients I — V oulez-vousqneje vous dise, madame, je commence à o»«ir«

que ce inanage ne se;fera- pea. __^ Selon ce que me disait Caroline d .ns sa dern ière le ttre d it

" u M u tlr “ “‘"S «lisposé qnè jam ais à y

Vous voyez bietil'dit Charlra avec tristesse.'-îe vous désespérez pas pour cela. Oh n ’est jam ais si près d 'a c

sou cousentem eiitque quand ou para ît plus ferm e à lorefû- iroliiio vous aime soujours..le veux le croire..

M

Page 2: A f lîm w e Ë s : ; J r b i G i A IË E Sbmsenlis.com/data/pdf/js/1843-1847/bms_js_1846_12_12_MRC.pdf1-----I'Ii I, 1:____ , 1 — O I.,

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<1e M. lo recevear de la commune, le 4 de ce mois, la somme de francs poor les în o u d ^ ^ ^ Loii'o.

Nons avons Vécu avec iiivilalion de l’insérer dans le •/oum a/<Ar S e n lù , b

■ Il vient de se passer, à àUY*le*long, nne rixe assez liizarre parsa uainre, entre Ja mèi envie à ces fem m es di cartes, exécuté par la avait agi de superchei faire savoir que cette ji de cent ans et un rooi tranche de jambon. Voi dissemeiit! »

Dans nne soirée «je gailj^^ j,l p rit e t ^1* un eotfûdei

(^Ite detiiièren ie id a pri

itëe di iseeslj^ n ^red es répa's copieux avep 1 . ijtfttéa V a r o ^ ^ ^ .1-----

loi^eiiiM»; Il est bon de â d ê T i uiiiSt et,la m ère

— Notre im partialité, d ’une p a r t , e t de l’an tre , la loi su r le Droii de réponse, nous font un devoir de publier la réclti|natioii suivante, qui nous est adres$ée,.à J’occasion du coinple'rendu U’uiie. affaire de Police correctionnelle, du 28 octobre dernier :

« Ormo^r-Villers, ce 26 novembre 1846.>» Monsieur le rédacteur du jonrtia! deSeiilis veuillez insérer dans

» votre prochain N“ ces quelques ligne relative à votre N* du jour* » liai en date du 7 novembre courant.

» Vous avez donné avis ou rapporté les faits suivant qu’à la date H du 28 octobre dernier, je m’étais présenter dev.aii|.|ç tribunal * pour uq raporl fait par moi e t que je m’étais expliquer comme im M homme sans nsage et sans instruction, mais une personne d’usage » e t d’espril telle que celui ou ceux qui ont fait insérep ces fait que' H vous avez rapporté, est ou sont beaucoup plus liâtes que moi » dans celte circonstance car celui qui méprise son semblable est » un ignorant. J ’ai l’honiieur de vous saluer Dvcav, garüe<liampâ* » ire d’Ormoy*Villers. ■

^oficc (« rrcc tio ttiw rit h t icnfis.

Audience da 25 Novemb*e 1846.Présidence de M. VATIN.

— Le 25 octobrè dernier, le nommé |lau le re i. manliHiid forain, demeurant à Clianülly, é ta it venu faire sa tournée urdinaire dans la commune de R ully, où demenrç une dame M argiirite Vidé, feinnie Siméon, sa belle*sœur; celle*ci l’ayant apei qu, ém it surtié de sa mai* son, e t saisissant nu manche à balai, lui en aurait asséné sur la téle un coup tellement violent que le sang aurait jailli à rin s tan i; puis non contente de ce prem ier coup, ellé aurait saisi une arm e à feii (c’é ta it sa pelle) e t se serait disposée g recommencer sans l’interveu* lion d’un passant. Qui a.pu, en tre frère e t sceiir, causer une telje exaspération? ce n’est point jajuusie i|*état, car Siméou e t sa femme sont m anouvriers. Les débats nous rapprcndioiit,

Six témoins sont alteriialivemeiit entendus; le prem ier ne sait rien, n’a rien vu , e t ne sait pas même ce qu’il vient faire à Seiilis; un au tre a désarmé la feiuuie Siméon de sa pelle à feu; il a vu du sang su r la figure de Bauléret, mais il n’a pas vu les coups qui lui ont é té portés. Un troisième a vu la prévenue arm ée d ’un bâton,^ mais il ne l’a pas vue s’eii serv ir contre le pldignaiit. Le quatrième témoin a entendu crier à l’assassin, il a. vu la femme a r t i ^ dpi bâ­ton, mais elle ne frappait pas. Le cinquième a vu «bt^iitilage. |1 a vu la prévenue porter le coup de buto'ii^ e t le smig ja illir . le sixième^— ohî pour celui-là, i la lo il vu, il connait tout; on eu juge, à sa démarche, à ses manières, à son ton; il va tout expliquer, d it un m ot. ■— j 'a i 22 ans, dit*ïl. et je s u isc lu r ie lie r de ferme, j ’é­tais entrain de raser mon beau-père, lorsque j ’entends c r ie ra l’as­sassin, aussitôt je sors, le ra so irà la m ain,'ét que vois-j»*? ce mon­sieur tout ensanglanté —- puis s’arrê tan t tout-à-roup; i— continuez, lui d it M. le P r é s id e n t :— c’est tout, monsieur, dit le témoin, ail grand désappointement de l’auditoire, qui u’en sait pas plus main* tenant que lors du dcveloppcménl îles faits. La prévenue interrogée jv lle ensuite un grand jou r sur'cette affaire qui, selon sesexp li^* lions, est d’une grande siinplicité. — J ’étais à Pi^ris en service; là. Bauleret est vcnn me voir, e t, pour se fourpir des marchandises, il m’a em prunté soixante e t quelques francs; Jepuis ce teins jé su is venue demeurer à Rully; e t malgré mes démàiidès réitérées, je n’ai pu obtenir un sou de Bauleret, mon beau-frère, qui vient à tout ip'' ment me narguer en me préposàîii deà'liiarchandises, quand je lui.lift ...kft.ft rA .a A nA .A . * .

blessé comme on le djl; c’est lui qui s’est accroché la tête au balanêt il l’a d’ailleurs i| ii’avàil qu’a né lias wViwyiVfrr Comme

Au moins voilà nne explication sous forme d’aveu, qui met le tri- bmial au courant des faits e t des circeiistauces; e t la prévenue est

condamnée à 24 b Mires de prison, 25 francs de dommages in téiôts et aux frais; e t le ii ibuiiaj fixe à six mois la contrainte par corps.

A u d a c e da 9 Décefabre,

— Jean-Nicolas-Toussaini Tliomas, vannier, dem eurant à Bé* tliisy-Saim -Pierre, v it en très mauvaise iiilelligeiice avec le sieur

.'Cimrou, sou voisin, pi les itiimitiés n 'jaillissetit su r tout ce qui en* toapeces rivaux^ les |NHile8 mêmes de Choron, dépb iseiit à Thb* m e t ce iletiiier, poq r s’eu défaire, avait, le 24 novem bre dpi^ liier, tendu un p i è ^ à bascule, dit piège à ra ts , dans la baie qui sé* p M les deux ja n lin ^ e | pour allécher la volaille, il a vait collé stir

:|^ii|i5Gule de dniuiàgd; iiM jab lette de pâte de levain su r biauelle il ? tm ii semé du 'cnètieYis. ^ u le s , dont on connait l'av id ilé e t la gloutonnerie, sont friandes de ce genre de céréale; une des quatre que i>OHsède Choron a voulu mordre d / ’Aumccoa, d it le plaignant, ^ t q l l ^ a perdu b vie. CTiuVon l’a bien entendue c rie r, il ÿ a cburu; m é b ihqnv is qui sîmx.dqiute était en embuscade avait déjà soulevé la prisonnière, lui avait tordu le cou e t l’avait cacliée dans son ca­binet d’aisance où la gendarmerie l|a trouvée.

Le prévenu déclare au tribunal que puisqu’il est mal avec Cho­ron, les poules dudit Choron ne doivent pas venir détru ire 1rs vers, les limaçons e t les insectes du son ja rd in ; qu’ayant considlé su r cq point,-on lui « dit qu’il avait le droit de les tuer si elles y vtMiaienI; qu’en coiisé<|Ueiiue avant surveillé, il en a saisi une, l’a étranglée et l’a eiri|K>riée. Ju squ ’à ta strangulation, le prévenu se trouvait en­core iiiiioceiit; mais le cpus^il donné à Tlioiiias é ta it ou insidieux on inconipb i; car ou a omis de lui dire qii’upiè» r»s>ussinat. il devait laisser la victime sur place, on la rejetiT ch< z le voisin propriétaire. Quant au piège, Thoiiias préteiMl que, tout tendu qu’il é ta it, il n ’é ­tait pas destiné a p ieiidre des poules, mais bien d’antres animaux uu isi^es; cependant le chétievis l’accuse ass«z d in cteiiieiit.

Choron prétend lui, ne jdiis vouloir de poiiie>; il va veniire le»: trois qui lut r«‘slent puisipi’elles sont un sujet d edéso rd ie . Ciiurun cl Thoinas prétendent ne devoir pas se ra p a tr ttr de sitôt.

Lu attendant de iioiiVi'aux incideiis, le laibunal condamne Tho­mas à 16 francs d’anieiide e t aux frais, et prunoiice la confiscji'tioii du piège cumiueproliilæ, quan ta l’usage qu’un veut faire luprévènu.

— On se rappelle que le 6 imveiubre dern ier, le nommé Félix Préel, fabi'icaiit d’oiiiils de curduniierie, dem eiiiant à Verberi• u uiiftiin uu buinuiiiiriiiT, iieiiiuiiiaiii H veiuerie,ayan t laiské iiii|n uiIimiiiiii'IiI vuurir un ruri-l d an s sa inuisun |ie n d an l (|ii’il é ta it p a rti au x i'liaiii|is, ue pe tit an im al, natiiri'Jli'ini-iii c a rn a s ­s ie r , dévora ml jé n n e enra iit de sejit s rn ia in rs , seul h é r i tie r jn s iju ’a- lo rs d iid it P ié e l; ipi’il lu i iiiaii^i'a h- nez en tiè ren ie iit, lu i suça le sang e t le mil dans un é ta l t n i-m de la n in r i . C ependan t le iiiédecinayant apporté tous ses s cette cure, avait mis l’enrant en cite.niitl de guérison, lorscpt’il pi it fantaisie à Piéel ipii en r< ç a t le con­seil, de porter c« t enrant à Paris; la il conrnt d’Iiuspice en litispice sans pouvoir faire adm eitie suit enfant; et l’ityanl rapporté à Ver- herie, le inédeein fut appelé pett de jours iipi ès. mais seulenient poiir constater la m u 'l de l’enfant. M. le Piocitrenr dit Itui, informé île cet acciiletit. avait anjnurd’liiii appelé Ptéel devant le trihunal de police correctionnelle. ,

C ' t homme prétend ipt’étaiit parti aux chainps e t sa h'ininc an la­voir, son furet s’échappa de la |irisou ilans lai|uelle il le retenait, et alla manger nne pw lic île la figure de son fils iioiivean-né; cepeti- tlatit plu,sieurs téniotns entendus pi étendent avo ir é té suiivent chez Ptéi l et avoir tunjnura vu cet animal cnnrir lihre dans la maison. Ce qui fixe pusitivement l’opitiifin su r les causes dti inalhenr a t- rivé. Mais pourquoi Péel étatt-il en possession d’un furet ? le hriita-

.. s t . . t . . ® j,

Préel en cotttraventiim h la gueule îles terriers; iiiTiis ÏnT Î, qn’t'l’s" demande également si cet humme peut avoir un animal de cette na­ture pour d’autre plaisir que celui du hraeonn.ige. C ep iévenn in­terrogé l'é|ioiid que c’est une hranche ajoutée à son tmliisl' ie- nue ce fin e t est une femelle, et qu’il fournit avec elle de jun tes fni cts à ceux qui veulent en acheter; un de niessienrs les jiige.s hii rappelle alors que cette femelle ne peut pulluller seule. Kt Préel étourdi de celte ohservution lépoinl en hésitant, que quand il a f.iit l’aciiuisi- tton de la héle. il la croyait |i|eine. ainsi ipi un le lin avait assuré;mats qu un I avait trom pé. ........ ne pouvait se contenter d ’iniepareille excuse, et I nnpriidencedn ptéventi était palpahle. aussi le Iribiinal a-t-tl coinlatinié Préel a 20 jours île prison et aux frais

Ott a paru siir|iris que ht peine infltgée an délif fut aussi niitiime e t aussi ,,eu p ropurlum nrt à la loupabU inalU nlion de Ptéel-, mais que 1 un se rappe ||e que renfaiit avait été tra tté et guéi i, selon la déposition même du iné,)ecin, e t que P .éel, par un excès de dé- str d inte prompte gnei ison radicale, a eu rim prm ience de pot ter I enfant a P a n s , de le fatiguer, l’epuiser, et ipie c’est cei excès d’a- uiour paternel qui aqni causer la moi i de renfant; que Préel en eoii- séqueiice, ne doit ê tre considéré que comme coiniahie du hlessui es par impruuunue.

— Auguste Bloiiiluau a iléjà été condamné, en septem bre 1845,

pour chasse avec filets; e t le 98 rtoveinbre dornièr, il â voulu cS* sayer s’il jrêqssirait m ipux, pu jeud iiiitfte , co ik ts . Cqtte loaiiière, il eat Trfti',tall ifioinft.tle'hi4fit’o tirë ik lage ,’niÉn ii*édt'|iils plus sû re ; « • r non# sav o q . qa^i V erberie rla gsnitarm erie se trotifte en' mèmê' trm s, a la ville e t à la cam pagne, dans les bois e t dans les plh'ines; Aussi, au moment où Bloiideau venait pour v isiter les collets dlêir evaiU endnsi la veille, i l (itIsaM M r un gendarm e. Il ne pense pas à n ier, é t le tribiint|l le condiènïte a'SO francs d’amende, à la confis-' cation êeaicajle tsé l aux fra is i :

so in le"liüigar de sa inaison; m aisV est tout; je n’ai pas toncbé au lapin qui éta it dans la clapier. Q uand il m e l'a demandé, an m om ent où J e m’en allais, je lui ai dit qu’il é ta it encore datis sa niché, comme de fait il y é ta it. J e ne dis pas que s’il ne m’avait pas vu sous le Ixttigar, je n’aurais pas pris le lapin, mais je ne l’a i toujours pas *

Ainsi le jeune Caron é ta it venu p our consommer un vol, il a man­qué son coup par une circunstance indépendante de sa volonté, e t ceprmdant le trihunal, pour ne pas flé trir l’aveliir ê,’uii jeune homme à peiné en tré dans le luopde, l’a Condamné seulem ent à 48 heures de prison e t aux frais.

— Un jeune hrossier, né a P.iris, e t nommé R oty, é ta n t venu travailler à V erherie. s’est re tiré de celte cominiine, devant à soii hôtesse nne somme île d rnx 'frdncs 'Irén te centim es. Le jo u r de sou départ. ipieh|iies objets il’hahillement ayant é té soustraits chez sou aiilHoglste, les soupçons tonriiés sur lui, furent la conséquence de sa cnndoiie. Cependant le iiihiinal ii!a |>asjugé ce de im er vol suffi- saiinurut é lah li, mais il a trouvé la filouterie île deux francs tren tecentimes parf.iitein'ent prouvée e t a coiida Roty à 8 jo u rs dep. i»uti C l aux fi ai».

Eloy StMiei, âgé île 27 aiH, e t Napoléon Tuîoux, âgé de 35 ans, deiiilMiraii! à ftloiittgiiv-la-vijle, soutpiéveiiiis«le iiii'iidicilé eu rémiioii et avec menaces. O iiis une saison uomine celle-ci, quand on sait que le pain e«it à un taux difficile à alteindi’e pour ceiMaiiius . gens, ilu.s plaisanteries de la nature de celles qui sont reprochées aux prévenus sont iMCOiivenantes, e t inêdies püi illenses, S Miet et Thioux veulent f.iire passer loiir action poqr iiii badinage, ilà n’a­vaient aiiciitic intention lualveilbinte, iU élaienl ivres;°vüità leur défense. Mais quand on sait «pie ces hoiùiiies sont assi’z mal famés- que dans la nuit du 26 an 27 novem bre, ils sé sont présentés, la i

de Iroiible. présentés à la ferme «le M. C m nat .pi’iU àvuient cr.i ab- seni; ils lancèrent des pierres contre bi jmrie en ciiaiit qu’il b m- julluit du pain. M. C irr ia t qui n’est pas homme a purdn* sonfroid devant deux gai île cette espèce, pi it son TiimI,MMitua ces m eiidiatis effronté.s et le u r dem anda ce qn ’ib: voiiluicnl • du pa tn vu la r/m r/, d ire n t nos vagabonds; — E i b ien! du pain! y n is II en au re z p as , m a is je va is vous d onner la inurl, si vous ledesirez , car j ’ai apporté mon fusil avec cette in te n iio n . O pun-dan l M. C arriat qui n’avait aucune inlenlion de tuer ces mauvais sujets, \e» chassa, ap iès les avoir nienaeés «l’une an tre m am cre et avoir t iié e n l’a ir quatre coups de IumI , poqr le sé | o ivanter. L’un 11! m! ‘«availié fort longlein» dans la lurniO^'i

L.-S faits so n t avoués p a r les p ié v e iiu s , il s c r s i l .lifficilo .lo les Il Cl piiisqii ils o u i p asse ru rev u e le village île T liu ry .l,.us ses ilif-é eu es p a r t i e s , .v a u t .le s ’a .h e s s e r a la fe i i i ie p a r l l iu ë f le ils a ie n t ilû coiiim eiice. p o u r que le s. au .lah- cessâ t plus p r»u ,,,tem eu t

L -i- huiiim es p ié teu ile iil qu ils é ta ie n t iv re s , ce q u i p a ra ii .léiiienti p a r es raisoiiiieiiieus q ii’uii le u r a llr ih i i -. Cepeii.l.iiit le Irib iiiia l lus

r m ë “.‘h ë ’f « i ! ! “ ' ' '" ‘ >”’li’l»'"-iiii ii I

T l I K A 'r R K » K S1.21XIH.

D ia e c T io x G nésanu.

Lundi prochain t

Un M ari ç tti se dérange, vamleville eu 2 aele-. par MM Ciir-

i i i . a c I . s . parM M . Devei t et L siisaiiue; UademoUrlle Bernard “ugeT.“ vau.leville eu I acte, par M. ilippolyié

— Ne vous laissez doue pas abattre. Tenez, je vais aUer chercher pour vous la relire, la dernière le ttre qu’elle m’a écrite , cela vous rendra le courage.

— Q ue débouté]L’excellente personnel se dit O ia rle s , quand madame Rimmer

fut sortie. Ce n est cerlaiiiement pas elle qui resterait , comme Ca­roline, quinM jour» aans écrire , aio lle aim ait q ndqa’nn- J e ne puis me faire a 1 idee que Caroline m’oublie, e t ce|>enilsiit lon t semble nie convaincre que, cédant aux sollicitatioos de sa famille, elfe cou- M n t a épouser celui qu’elle lui propose.

A ce m om ent»!. Rimmer ouvrit tout doucement une des portes «lu salon, en se disant : mon ami Legraïul |ien t avoir raison, ce Jeune homme ne vient sans doute pas dans l’intenticii que je lui snp iu id i Au reste, pour savoir à nnni noiiü «*ii tfsi,:.. .,^1:____ ,Au reste, pour savoir à quoi nous eii tenir, je v a ls ë ih iw n t " J^ d lë

B chez moi ; cette question; est ce qii’il y aI!*»'ili**' ®0 qu il v ient faire ; e ,-„e quesiioii; est ce qu'il y a

l l a s f c r s à h ™ ' 'Il frappe su r Pépanle de C harles. , .

Abl c’est vous. Monsieur, d it celui-ci.

rv ë T s ^ a î™ ’ *™"'’ comment .«pponez . vous

— Lé iBoins mal que je puis, Miansienr- 'Lt les plaisirs, commeut les menez-vAos?

— UiVQaottcemènt. ' ■. ‘ Ti i- •

reux

ma je u o e ^

Amaislunumené s’étaU moinsamu«! qneRim m er, m ai, U meu-

ta it pour tire r à a w r le s le . ver» d în iez ; celui-ci n’en « ivait rien , aussi lui dit-il : '

— Comment, von.s... H onsieiir...— C hut! au moins, gardez-m’en lu secret. Ainsi vous n’êtes pas

amoureux ? '— Si, Monsieur, d it vivement Charles.AltOfisdimcl d it R im m er, em iii-inênir, ou s bien d e là peine à

lui fair*« avouer ta chose.— D’uiie brune ou d’une blonde ?— D ’une bruue. 1

i^ans doute de jobs yeux, une jolir iKiucbe?— O ui, Monsieur.

femme! ■ « ab le m e n i, c ’est de ma

<lc Caroline.

^ • " c.

Lé d r t ie d’ho ttine , pensa Chartes, il n 'est guèra prudent de venir dire a un jeune homme qu'il n é jéti'erait pas feu e t flamme fit o n 1. cour’à s ite m h ib .’ Cortibftfi'i’é i i ^ l i i i , Sui, è ë ^ '*

doux a lors méioiéliii’i l . ' Km Ia aaas .------------------ ^«..v.r.v.a I vyuiiais qui, BU contrairéa dut soin

“v ’ '« p»»- : ,. . . B ll^esl jo lie , nuêam e Ritwqçi;.,. e t je devrais bien, puisuue

Caroline m onblie.,. Cî e st mai ce que je dis là Vkvm* «a ' l'influéiiçedés paroles do m ari... (3 t! ( i a r o l in o CaroHine' qS’a â ë fait pnorqde-vous lie in ’aimiez plus!...' Q ue cette pensée me fait Jè mal I e t d iré l|vé je ne puis la chasser de mon e sp r it . .. Lécidémriit il faut nousélou rilir.... oui, il faut nous é tourdir!!

Un jalotix eat m, fou, un homme qui cherche à s’étourdir est auasiT 'Ie o“.'’d V '“T »o rencontrer, un ue doit pas s’atteudiea ce qu II eu r fasse fan e rien de raisuunahie, tout au contraire.eotë“l7 'i faire à madame Rim m er une ridi-dAt» L f»"l lotis ceux qui, se croyantdM aigués Ile la feinine qu’ils aim ent, voudraient dans leur dépit se faire aim er tout de suite d’une an tre .

Madaim- Rimmer r tenant une le ttre à sa main.Teiiuz, voici celle le ttre , ju vais vous la relire f

i’aiëi.. w ë ’J diiiiü autant que vous ne la lisiez pas.•— Pourquoi donc?

q n ë ii j î ië w .r ie :^ :! ! ! : ;* " " '’-^ pa..les.«ection. se défouruent— Que vooléz'-'vqusdii^? ' ^

‘«îner si fort en longueur, je coroi meiice a perdre courage. .. o » jEt votisêles décidé à en aimer un antre?

— Penl-êire. ■î?’ i® ®®"» m®» èompliment anr votre

conataqce- A yrat dire, j avais de vottp pipj||pqre,opinion, je vous■l"*'® ^ ® r ! P ® . é b r a n l e r le

coùrtge êl la honté, e t avec de tpls mérR®s chez un nwri,vweje , Caroline ne pourra qu ê tre heureuse eq méùàgq, , , , ,

Adolphe Bouasiaa. , -------- J i f t taue au proekai» numéro.)

r ( l

Lé MOI dê Péhigmé du dernier numéro ett Osoui.

Reiiai'i Lad

lière | iiièru,

Üeiii I Tili'iiii-;

ytleint Il SM

; ÉliNabc 'Claoile iiieiiru i

I Jiiiilé, (I Lmlji

I «l’u iihcAyaii

'ti'ibiiiia Pl'Oft <

I qui pouI ’iiébtgiia

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^kriNoifCEfl’l5 c. lo Ilg09*,

A nnonces Judiciaires;— - ' •' .1 I I__I

- A 1V 1V 01V C E 8 m V E K s S j S "

A b t ,

Mmém! l .

Etude de M* J u l e a avoué à Seiilis. ’

v i E N T E E T A b j i ü D I C A T I O l VaU'R'. -L TO 'lT ift.T JO 'jii, ‘

< Entr^'M ajeiirsy£ ,, rétaJe et par h m inù tiK d e U ' de M iisTEHiai.

>> Notaire à Crépy^oommU • à cet e ffe t,

Sites à C rèpÿ (O ù ê ), ru ia rue Saint^Latare,• . { n“*, 53 et ^7»

Kii deux Lots qui poun ont ê ire réunis.

ADJübiCATioft, le Ù i^anche trois Ja n vier 1847,/ " t : heure d e 'm iiii précis, •. *

Ou fait sàvûii‘'à làU's qu'il a |i|iarlieudra , qii*cii vtfriu 1*1.eu eXëéiiiioM d*uù jngeiU'eiit ëoiiicailiclbi- reiueiil l'aiiUif |)a r le Iribiiua) d h i l de prem ière in . slaiice ^eaiil p seii|is. le ^rois iiow inbre dernier, «nrcgistié è i signifié; ,

E tau x requête, poursuite e t diligence de l"M Louis-rierie.A ugustin Gillaiid, j.iid iiiier, deiiieu^ n u l a Cl é|>y, Agissant en son nom personnel comme avniit

«le vuiiiinun en liieiis avec Louise-Joseplie-l-iore Hoiiiè» son épouse, décédée; .

I 2 Oaine Luiiise*Apülliiic G illaiid, épouse tie M. Jean-Bapliste-Iljraclnllie R enard, jard in ier, avecle.|iiel ellé deiiiéiire à C iépy , e t iltidit sieilrRenard, jioiir la validité.

Ladite dame Refiard, au nom et coniine liéri- tiere pour moitié de la feue daine (iilland , sa inere,

U einandenrs, ayant pour avoué M' Ju les 1 Tlu iury, exerçant p iès le tribunal civil de Senlis.

ydeiiitnraiit, n ied u C liâ te l;Il sera, en piésence de niadanie lUaric-Luiiise.

b isalietli G illaiid, é|ioiisedii s ieur Cliai les-Luiiis- Llaude Sorel, niauouviier, avec lequel elle de- iiieure à Crépy, et diidil sieiir Sorel, pour la va-

I Jidile, 011 eux dâineiit appelés,Liidiie dame, an nom et coniiiie liéritière pour

J aiiirc moitié de la feue dame G illaud. sa mère Ayant pour avoué M 'G odin , e.xeieaiit p .ès lé

■triliuiial civil de Seiilis, y dem euran t.'IVoiedé a la vente et adjudication en deii.x lots

■ sjui poiii ront é tro lé iinis, des immeubles dont la I slebigiialiun suit :

I sigms!' ** poorsuivant sous*

Studis, cè liilit décembre 1848.Signé JidesTiiKMRT,

« '8 1 6 .[ « i te ^ îo m p r i s : « '« c e u tid ie ,. „ i

Sigué BonHeval.P our inserlioii.

Signé Ju les T hehry.

A r t , 2 .

Etude de M- T h e m r r , avoué .à Senlis,snccesseiir de MM. BEBTiioa et DuaA«im.

V E N T E E T A D J U D I C A T I O NSU R LIC IT A T IO N ,

E ntre Alajenrs e t H iiieiire,En Tétude et par te ministère de M" CHARTIÉB

Notaire^ à Sen tit, ’rue de B elton , tom m is à te l e t /r t ,

D 'U N E M A IS O NStse a r tn e u d , eom m anede S a in l F trm in . c w ,„ n

A . e e C o i i r , J a r d i n e t B é p e n d a n e e » ,EN UN SE U L LO T,

, > d « r m ir ta tnaiton, su r les lu a x ,& h s remeignements t 9 “ j Titeuav, avoué poursuivant,•1 lo-lpiianl)

^ « k u r d e s

sigrié; • ' '» “« poorsuivant sous

Senlis, le huit décembre 1848.

I AmroNOW m verskr, ’ ' 'Ad tu Jadigiic.' ■

P«..ne.‘ « d, . TnBMRY.r-S é ^ ^ r S ^ R e e ? r 'léceinbre 1846,comp’r L ^ 6« ièm o

Sigiié Bonnkval, P our iiiHcrtiun.

Signé .Iules T abney,

A r t . 3 .Etndede W 'H e n r i M u fa y ,a v o ué à SenlisfOise.l

P U R G E L E G A L E .

ADjimicsTioM DéFiaiTiva. le D im an, he d m J a n - vter 1847, hrure de m id i préris.

DésigiiRlioli.P r e m i e r I^ a t .

1 r “""''•■rte en cliainne, sise àI Lrépy. .......... ii« 53 , e t coiisistaiil euI «lie piece a feu, cliainbre à côlé, g ren ier auJde.s.I sus. lient luiiigard. cour e t ja rd in ensuite entouré ■ rte tiaies vives et m urs, le tout d ’nn seul ensembleI * ' “ " I l avec la superficie des bàiinients, deuxl a r e s CM», centiares, e t tenant d’iiii c ô té d ’orient la ii siem Garon, e t par le jard in fesaiit bacbe am I J i diu depeudaul de la ma.son ci.a |,rè» désignée

1 li lè i V-‘*’ i *'■ Pierre-LouisI lillirrt d «11 bout nord au sieiir Citaintiomiel cl

biens coin-I I ■ ut au cailastre de la coininiiiie de Crénv les I ■luilicro» «88 e t «89 de le section G ,.

D e in x lè m e E o t .

Iv e J ;! ." " ''i‘" “ ’ ’‘ à bas étage, coi,L i 1»»*; "■^'O'^rne, n” 67,im e '" “ ' l ’ieee a feu, g ren ier au-dessusl la d ir i l ' ru ' «iné. e t m. petit’I lise I I e '®''.'’ '« *«"t d ’nt. seulI tri. î ; «'eux ares quaraiité centiares,l i l ’an 1 • . ''"'■S «Ifietit au sieur Lesrinier| m.Î ci t“ ‘® 0“ *'®“ ou ja rd in de la mai-■bout iiar *'^*'6'"'® l’ir t ic lé préiiiier, d ’nii I b t ' •‘r® "* “ •l’au tre 'im nt au s ieur■ 'dogue, (Section,G e | 691,}

M IS E S A P f U X .

1 " * le j..S««ie..l duditI ■ r I , * ""•'•"ulu'e dern ier, savo ir : ■

■ .Mlle j u preiniqr lo t, à . .. . . . 2 0 0«elle du deuxième e t dernier lot, à 200

400 fr.ci.** ® ®*"‘*

L’ad- fha •‘ ditnanche trôiajan-

rMèro i l mis®? '** nndiiiemnéiude et par te ml-l ^ i i i ^ c e î ' e t e

^«dresser p o a r voir les biens, su r Us lieux;

P* '»»/ /« e e n l"

« M de MstNiïNAMT, notaire à Crei

ve«II ' f , I d ’ll «l'Iioilieiidra, qu’en vertu d 1111 jiigeineiit contiadicto inuieiii leiidii ^ r le tnbiinal ciVil de prem ière instance séant à& . j l» , le vingt-buit ju ille t 1846, enregistré e t si-

II sera, aux requête, potiisuite e t dilig uce de I I madame Loiiise-Aiigiistim üc lav ille ,'v eu v e du

sieur R ieii|.|. i ai.çms I iii|iré, jard in ie r, ladite ilaine dem euianl ci-devani a Vtncuil, coniinuue .1. Saint- biriniii, e t aetnellem ciit i Senlis, cliez M. Delà-' fusse, p la te aux vins;

en b fm m àv eeV 'r" ..... . diécoiniunueen D iensavecJe fcn mpiit son mûri,

2" El madame Paulnie-Félicité D unié, énoiise dii sieur A ugustin Laville, soldat au cinquième lé- ger, deiixieine carabiniers, en garnison a Nantes domtcilié de d ro it à Vnieuil, cminii.nne de& iim : birm iii, tiidilo dame deiueuraiii ainlii ViuenrI- et. dudit s ieur LaVille, poni raiitorisation nécessaire asOiiepoiise e t la validité d e là procédure.

Ladite dame Lavi.le, agissant au i.oui ei coin.neï) , ' R ieul-|.| aiieoisUupre. sou pere siisnoniméi lan to is

J o ^ r T i r " " ”"""®* “î “ " ' «oiistitué M-GbdieL à Seuils, rue du

Procédé contre I" M. I^ieiil-Augu.siiii |)„ ,„ é employé a 1 hospice Saint-Aiitoine, à Paris y m euiaiit, » « c-aiif*, ^ ,u.-

2" E t M, Louis Lalaiide, garçon boulanger, di- meiiraiit a P arts , i ne de la Comète, n" 13,

aturel e t légal de Eugénie Lalande, sa «île mi­neure, issue de son m.iriage avec la feue diiiie laniise-Augiistiue ü tip ié , son épouse,

ci n r è ' L a l a n d e , celle- ci I a r lepréseniation de sa m ère, héritiers chacim pourn ii tiers du feu sieur Rieul-Francois ü , né leur pere e t aïeul, ' c i ip i t .

Ayant pour avoué constitué M 'Buffard demi... MM a Sciilis, rue Neuve tie P a ris ; *

En présence de M. Rieul-Augus’tin Diinré em ployé a I hospice Sumi-Aiitoiiie a P aris Y^dcnieii- ran t, ou lui dûment appelé, *

E u ^ I ' i e 6» ' • «uiiteuio CiU^eiiie Lalaiiile, bUsiiuiniuec,

A la vente e t adjudication su r licitation, au plus offianl e t dern ter enchérisseur, eu un seul lot^ de la maison et ses dc(,eiid«iices ci-apiès désignées

Désignation.Une maison situee a Viiieuil, commniie de Saint.

Firm in, canton «l «rrondissem eiHtleSeiilis (6iao), en la m e Poissonnière, consistant é n une s a l l e » ttnecuistne au rez-deuilianssée, g renier au-dessus un petit cabinet, uné pe tite cour, un j . rd in T v w une cave e t au tres endroits en dépendant, t»—),. Vers orieht an .sieur G auth ier, vebs occident à la

E ’T M I S E A P H I X .

v ijM H d f'l!* * ”" î '" " . '!® " '« «""'«uclie d ix ja ii. Y itr 1847. heure de initli précis, en réliide 1*11»®..e luinisieredo M* C liarlier, iiolaire n Stmli.s coin-

uns a cet effet, su r la mise à prix fixée luir le iu gcmciit diidtl jo u r v in g t-b u it juillet derniér’

■ ■ ■ ■ fr.

D’iiii exploit du ininistcre .le Balsac, huissier à

f in c 'i ’stlé - “ il"" "“Î 'T '" - - '"^®®“ ‘t ' i . . “ ''PP‘‘i t : qu a la requête de I” Mlùieutni Cailleiix, d.iiiiesiiipic,.lemeuraiità Beau-

lii u, cou.iiiune.le Baion, 2~ ,|.. .si,,ur Marie Fré- tioiit. ciiltivaieiir, .leiiieurant a Rnily, 3" du sieur

Ldiiis.,Iose|,h R nhé, c u ltiv a i.u r . dem eurant à Riilly. 4 .lu sien. J .^ -B a p lib te Frém ont. ciilti-

"'«"I ô% ully , 6“ du sieur CyprieuCoiniet, .l..i..e»ii.p,e, .Icmeiirant à Hully, 6* dos eur,Io»cph-|.r«uçois.Sylve»tre Leqüenx^nitteurChafî ® R ""y . « du sieurLha h s Marie brappart, e iihivateur, denieuianté té “ “ ".V: - Notification ae vil c ; <*" «"< Ptès le tribunaliribui’ia'i d ' " s “’ t“ V " " S®®"® ''"6Rtribunal .le S. iilis, le tren te novem bre ileruieri-nr. gi.>t, e , cousialaut le .lépôtum lit greffe, de la’c«|.ie collalmuiige, eun g ist.ée à Senlis le vingt.trois novembre .h rn ie r, par M. Bouiieval, qui amÇM les .Irons, d un procès-ve. bal .Iressé par M*

.m T è iX ’e'VsTfi S®««». '« Jouxnove ib .e 184 b enregistré, contriiant vente e t n t. M ? ‘‘® *'• Loiii.s-Angustcfèa i r ” ’! « " • * " ««"■chan.l de iiou-vea ilés,.l. m. u.antaSeiili,s, lu Cliàtel, 2" denonlann- biançoise-Stépliani.' Oebuolte, veuve dusieur J . au-Bapii5te-Nicolas-EiigèneSéiiot, en son'iiém !r“‘“ 'i " " " dame pro-

.‘'•■""iU'^aul a Senlis, rue dtp Cliatell ie d ’ * ‘! r ' '“ '’‘^ ’‘" 'l ’' " ' p r o p r i é t a i r e , an-

à qu’ilaantonséeli io eusem de à PaiU , rueNeuve Plum.d, u*5, f tna.lrinoiselle Agnès-Ma-

saiite piofi'.ssion, dem eurant à Baron r-.n- um de N.n.i.-iiil-le-Haii.louin. 5 ' et viiailamc A’s’nès-p ié v ô s i V*®"’' ’'* ' , d r M, Paul-Ainoine Prévost fa. ..11. 1 , la litc .la ii.e in s tiiu t.ice , demeu-

.nn. " f " '" " ' 'f '" " ’ •»'“ «" *»»....... pe.sunuel q u e .. quali.é de tutrice'.■•.■orc le e, L ,

lnn - J u h e -S iej h an iep .év o st, sans profession ® S*"''» . “ S"® <lo ma. iage des s ieur r i. a.uo P ré v o s t , e t par laquelle m ineure ladite

H ."ven .''" ’" ’»* ‘‘® f®'®® ®®‘*fi*®

K O .i o '“” ’ '■ " " ®*'« •<" nord à la veuveB.n .1 .1 au tre cote a M. Victor Oelaunay, ,1’un bout d orient a ma.lame Boussès de Fourcault e t .1 «litre Imut aux acquéreurs Boiicliard; moyen- .«.. I . mimmede rente /ra n cs . - I te u x iè C -

lit, M. Marie Fremont, f de six ares quaraute- cei.tiares de terre , susdit te rro ir de Rnily,

ImiMlit le o mmp de Sain t-G ennaiii, tenant d’uii i. «•*'d®"‘ « mailamc Boussès de Fourcault,

.1 ont. e côte aux acquéreurs Boucliard, d ’un bout da imrd au sieur Marie Frém ont, d ’au tre bout à

®®®® 6ix centiares do terre, sôs.lit te rro ir J e Ruilÿ, à la Pierre-Lage et au Moulin de Ruily, ténalU d’ùii côté du nord à A.S ■ '« ®‘ madame Gerberoy, d ’antre

«Oté a U . O elessert, d’un bout d’occident à M. Gayaiit e t au tres, d’au tre bout «u chemin de Cha»llR. nrnviannwwélm A____ ________ >.

. « .n io n o n ia Ml DeleM ert, ipoyennani la apo tne «te bute len t so txante jra n cs . — èjxièmem efit, M. Eeq.ieux, dedix-buic ares quatre-vingt-dix cèpe tiares .le lei-re, te rro ir de h u lly , au -d eü o u sd u vieux chemin de Cré/.y, et traversés p a r celui de Boasne, tenant d’un côté du midi à M. Benjamin Ljnionie, d au tre côté à M. Sulpice Thiou, d ’u.i ^ u t d orient a M. Ü elessert, e t d’au tre bout à M. Victor Delaunay, moyennant la solumè de n e ts /

“ Seplièmemeiit, M. Frai.- pâ I de huil ares soixante-quatre caniiares de terre , situés ad te rro ir de R arây, p iès dé ïa JfiiS' ice et p. es du chemin de RuIly à R aray , tenan t un coté d occident aux acquéreurs Charbonnier,

d a iitre côté aux représentants Chenizotr d’nn M ut dunor.1 a M. Lecoiirt, d’an tre bout à M. Jean-- Eaptiste Frém ont, m oyenhan tlasom inedcuùatee rente /rancs. Iæ s sommes ci-dessus form ant te» p n x p rin c ip au x , outre e t a n par- dess.is des c liargeé, clauses e t cihiditiana cx- ini.iiérs audit procès-verbal d'adjildiéation. —

^ d i t dépôt effectué pour parveiiir à purger b s hyiioibeques légales pouvant g reverles immeubles acquis par ley e q u é ran ts , — Avèc déclaration à mon. it sienr le procureur du roi, prem ièrem ent, que I® présenté notification lui é ta it faite pour qn H eût a requérir si bon lui sem blait dans le dé- a. de .1. 011, e t an profit de qui il appartiendrait,

tontes inscriptions pour léison d’hypothèques lé- p es. DeiixiemeiDeiity que les anciens proprië-.h-nr’ i?« iî* ù “ '“ *“ '''®* ^'®'®“ f ' 0“‘ie les ven­deurs, I AI"; M artine-M axence Salleutin; 2* M"- I-^uise • Tiiérése C ham brelent, 3* M*** Géoe- vieye-Célestiiie-Florence Cliambrelent, 4* Made-fi!.iü? v " ® î ‘‘t®f® S®!'®"'», s« E t Jean-Bap- , liste Lenoir.— ’Troisièmeriient, e t quêtons ceux d n chef desquels il pourrait ê tre requis .les iuscriu . lions pour raison d’hypothèques légales, n’é u i i t pas connus des requéran ts, ceux-ci feraient j» p .eseute public®tioii conformément à l’avis du

sm 'reut " " ® ' ®®"®‘*®‘' “« '« jn i'iPour insertion.

> Signé Henri D c ra r,

A r t . 4 .

Étude de M - r t e U P u f a y , avoué à Senlis.

P U R G E L É G A L E .

, ---IM o u tic iiou iau cnemin d e u ia a -iis, m im u in n tla s o m m e d e ra a m cent d ix trm cs ,

**■ '*'®'’®' detjuarante ares cin- o n an tM M k .tim tiaresde terre , te rro ir de Ruily,

**î ■“ ““ ‘•gnedoC brnon, tenant d ’un coté du nord-ouest a .J L .F o r tib , d ’au tre o ité à p lu s i ^ r v d’n n b o u tà la p ièo B du grand F lobart e t a M. Oelaunay, e t d’autre bout à M. Jean-Bap- liste |>réfflont, moyennant la korome d e r fù s m il sent f ^ t p ^ i n g t s f r m e s . — Q natrièm em ent, H . Jean-Baptiste Frem ont, de aeisa ares soixantr- qtiatoree tseniiares de terre, te rro ir de Ruily, lieu Ihl le M ènster Bjanc, tenant .l’un côlé d’orient e t tl un bout du nord à M, Jcan-Raptisie Frém ont,I «aire côté a »l. Isi.lore Frémont, et d’au tre bout du «mil a la v.-u ve Tarlé, moyennant la somme île „ . ®rn/ w » g#y ,uu„ . — Cinquièmem ent, M.Coi- inri, do dix-srpi aivs cinqu«nte<iui) een liarra de

Suivant exploit du m inistère de Balsac

Ï8i>7:nrêgi™!^*.’ “E ta la reqnêtede M, le comte .le Ranibnteau

conseiller d’E tat, P ié fe t du dé,«rten .e ..t de la Seine, demeurant a Paris, à l’Hôtel-dc-Villc au nom e t pour la ville de Paris , *

Notification a été faite à M, le Procureur dn Roi près le tribunal civil de S en lis , eu son nar- qiiet SIS auditSenlIs, au palais de justice.

D ’un acte fait au greffe dudit tribunal,’le trente novembre 1816, enregistré, constatant le dénôl fail.andil gi'cffe, de la copie collationnée e t enre­gistrée, d’un acte sous signatures privées eu date a La Ferté-Ililon, du dix janv ier 1846, enregistre à Paris, le vingt-quatre août suivant, F 51, v- c . 3 et 4, par Valleran, qui a reçu quatorze francs c in­quante-deux centimes, ilécime compris, contenant vente an profit .le la ville .le Paris, par I* Jean - P ie ire G i.be pèie, propriétaire, dem eurant à taFerlé-M ilon,cantondoNeuilly-Saint-Front(Aisnrl-2*Jërouie Girbe, oiarchaiKl «juincailler à La Perlé- Milon, y demeurant; 3’ JoscpleLam bert-Julieii G irbe, aussi niarcliand quincaillier, dem eurant à Vilikrs-Cdttercis (Aisne}; 4" E t Barthélem i G irbe ma. riiaiid de bois, demeurant à La Ferté-H iloii' des biens ci-après désignés, destinés à la cons­truction du canal de l’Ourcq e t de ses dépen­dances, et spécialement au redressem ent de la r i . vière d'Ourcq, savoir :

La quantité .le se|.t a res quatre-v iagis ceotiarvs < e terre , en nature d’aulnaie, situés au te rro ir ,1e Marelle, canton de B ell, arrondisaem eut de S « i. hs, dé|wrtement de l’Oise, lieu d it le clos B an as «Il deux pièces; *

La prem ière, de .leiut arcs qaalre-v ii« la ce», tiares, tenant d un cote nord-ouest au su .p lus de la piece, d autre côté à la pièce suivante e t à M- Beriiier de Neuilly, d’un bout nord-est audit s ieur Bernier, et .l’autre bout à M, le baron de ÏVcnilbr -

ên v ire r;"“ "I *-® deuxième, de cinq ares, tenaiii d’un eôiitI 1101.l-esi a M, Bernier de N euilty ,d*antreôM je

Imimi de Frenilly. d’nn bout nordm aest ô h pièce ot-<le«so», e t d’au tre bout au surplus do l « 7 i » T cette poition fait partie d’une pièce do x i e e t S L • re s «■nvirou.

‘ P P fo i 'x ^ e e l acceptée p» r H I . P iéfe t ^ la Seine, faite moyennant U -o-Ynaii m i i ! e iH e d e d etstcen t tren ts-ftm ttr, iliai’Ses, cUuaea et t x m d î W ^ J Î S ^ ^ contrat de vente. audit

| j . l i t dépôt e f f é e tu é p e a i rp a rv e u ie ô p a y ^ s , , h ,|m U > ^ u ., tegate» p o a re S

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' ' À ïcT T W S araîîuu^i^ l-Ik Procm eiir ihi Hui, |>l'i;iuiùioinoiitvituefii(lilciioliricaMon toi élail faite jionr qu’il éû> àw eqnétir si bon srinblait, daiis- le

: délai <k> droit, r4usori|,tiau de toutes liy|iotiièqiies légaiRS iJOu,yi|Utgi;yver.lesiUts,))iqus; , ,

' ' 'I)èuxièiiiéiné|i<; tilié‘ lei'àit/îiens propriétaires dkdilsblubb.oulfrb'ÜjéVeudenrs,'étaient : l°daiiie

• 'José|lhiiil--Aimée'Oémiéftey’dééédéé épouse de Jeaii-Pi'erre G irbé pèré; 2'’ t ’i'àiiçoise Taiielioii, Veuve de PUilibért-lsi'doigCocliarl; 3" Jiaii-Louisj Sianislas-Feidiiiaiid Lbiroiideile; 4" Cliaiies-f-'ruui i-o'is Lefèvre, e t dame-Miirié-Josephe-l.aUieile<j

' ^oliguet, sou épouse, 5" Jt-aU-Louis-Slauislas' LUi* ruiillelléV ' ^ ;

Troisièriienient, et, f|ué Ions ceux du elufiléslipiels il pourrait ê tre rt-quis des insériptiuns pour r a i s o n d’Iiypotbèques lég.'.les ii'élant pas cnniins dii .requéralit èsiioins, il ferait faire la presèiiiq publication coiiforménieiil a l’avis du conseil i l ’ê l a t

du neuf mai 1807, saiicliomié le premier juin sui.

Puni' iiiserlio ii. IS igné H enri DupiV'. j

’ ■ 1

A r t . 5 .

Suivant acte passé devant M' Tliibaiit, iioiaiiu à Neiiilly-en-Tlielie, le onze novembre I84ti, eut registié, M. Jeaii-Franqois Lemaire et dame Murj eelin&Basélice Langlois, sou épouse, denieiiraiit

,.à Neuilly-en-Tbelle, ont cédé à M. Auguste^iuns- lant Aiigot, le fonds de eomiuerec de inaiebaMij Juiueber qu’ils font valoir à Nenilly-en-Tlieile, eU" semble les nstensilcsel objets mobiliers en dépen­dant, moyennant un prix stipulé payable dans les termes exprimés audit acte. ,

Annonces Diverses.

A V E N D R E IPAA AllYDBKCATlOSr,

En ï'ètude et par le.ministère r/e M* </tfMAiNTF.NANT,| Notaire à Crépfi '

, liC D in u iiic lie tO j a m i e r 1949^ à i i i i il l ,ek 3 LOtS.

1*' Lot. — 1® U n fo r t Hfoulii^ silno à Diivy, canton de Ciépy (Oise), sur la route dô|taricinejH laie de Sentis, à rorigine de la livicre Sainte^' Marie,“coroposé de trois moulages» munis de lons les accessoires et us\eiisiles composanl la prisée; avec les magasins* bâtiments, cour, jardin, lavoir cl terrain en culture eu dépeiidaiil, cuntcnam dans; sou ensemble 83 ares.■ 2° U n a n c ie n E ta n g en culture, plantations

et marais* situé en avant dudit moulin* d’un seul tenant* clos de fossés avec eau courante dans la majeure partie,contenant 25 lieclaies45 ares, en ce compris 1 hectare 9 ares pour les sources et le lit de la rivière* offrant l’utile et l’agréable*: une très belle eau ne gelaul jamais, une péclie et une chasse abondantes, une culture facile.

Orne ^ f jn Corpfi» F « rn ie situé à Duvy* sur la route de Senlis à Crépy, proche ledit moulin* composé d’une maison d’habitation fai* saut face à la route* de grange, écurie, vachern-s, bergeries, et autres lieux, cours et dépendances,' Avec une belle carrière à la suite.

Cette propriété peut se diviser et convenir pour une auberge ou tout atitieéiablissemeut.

3«>« Lot. — U n e RKaBHon distribuée pour le logement de deux particuliers, avec jai-flin et lcr- rein en culltire au poui tonr* situés à Duvy, rue d’Orléans* dite maison du charron.

Et C a r r i è r e d e p i e r r e d e ia iù e en cxpli/t tatioiif

S*adresser pour visiter les biens à vendre,A Duvy, à M. Frbnkl, propriétaire,E t pour connaître les conditions de Vadjudi-

cation :!• A Crèpy, à M* de MAiNTkNàNT, notaire;2*’ A Pontoise [Seine^t'Oise), à M* Ûelacour,

nptairf;E t à Paris, rue Vivienne, n® 13, à M. Lam­

bert V m w h, Jabricant d*eaux minérales.

A V IS .Le Maire de la ville de Creil fait savoir que le

20 déceihbre, il sera procédé par-devant lui * en la salle de la . mairie de Creil* deux heures de levée* à l’adjudication aux enchères*. it” Iles Proltii à percevoir mur les Pis-

ces» Foires et ülareliés de ladite ville» pendant les snBéés 1949; 1949, 49#^

•''.lies,Droits s pereevoir sur le pfrt de la mêfne ville*

Le même jour sera adjugé l’enlèvement des 'Boues de Is ville de Creil» pémdont Tsm |oëei949.. ■ , hj.lfj-..;,

,Etui|e d e ^ * U lereicr» qoiairc; à Précy-stir-Ôise.

Terres, Prés cl Doisa,, i'^ontenant ensemble 14.Hectares 40 Ares

54 Centiares, >.t A’n 68 pièeei situées sur les terroirs de Ciresdes-

M illo. MeVü, T ilîtl, NeniUÿ-en~Thel, VoU' laug^e,TÏtér^in, ■

A VEM D R E, l’AR AiyiJpiüATlON yOLONTAIRB,

En là demeure «le.M. Flàii. aubergiste a Mello, . Par le ministère dé M e r c i e r , noiaitfi à Prce^ï JLe DirtidBèlUe'99 JD £eem bré‘ l'94^S» nüdi^

' ' “ Fdcilités pour payer.S*a4iésser ahdit M* IVlEftciER.

Euiiié de 91 ClsorHeP» iiuüiire

IA5' Arbres siir pfcd,’E T X H O M C * . p 'A M B E S , '

Essence d’ornie et <le peuplier.SurU. terroir de Boreslt. i -.^.:

A V E N D R E jPAU A D JÜ D IG Â T IO I^Siîr b'S lieux, . .(*,

T ie D im o n e lie t 9 D é c e n ib ré 1 9 4 D , m idi»Ear le ministciv de M® C i i a r t i e r , Notaire à Séniis.

S'adresserandit M ’ C i i a r t i e r .

. .V.- EiuUe.de JH. U h a r tie r» nuiaire a nli.'t.

CINQ PIÈCES DET erre, P ré et lîoîS

S u r les te rro irs c tO rry-la^V iU e et d e Pontarrs^.,A VEÎVDiiE PAK ADJUÜICAÏlOiV

A P un tu finé ,,eii la inuhoii ronim iine ,Ué J o i l r d é l i p i l D è e e iu b re 1^49»

b «m e laeiu*e»Par le ministère de M ’ C i i a r t i e r , notaire à Sentis.

Pour entrer en joiiissanee le ii noveuibre i84^ »Il y 0 tonte sûreté pour acquérir, j,,

On donneràdes facilités pnui lepaicinciii du prix. S*adresser pour avoir des rcn.tciÿn€nients, audit

M ’ C h a r t i e b , notaire.Etude de 91' IH oitre-lK 'vo llon» nutaiie

à Chainbly (Oiae.)

8 hectares de T erreS u r les te rro irs de M esn ib S a tn t'D én is; C ham bty,

B e lle -E g lise i B erhes et P ersan ,A V E N D R E

PA R nA D JU D IC A I ION V O L O M A IR E ,

En Vétade et par le miniitére de M* Maître- KtAJW., notaire à i'hambhj,

U e D in io n e h e 9B D éeen iib re 1 9 4 9 , m id i .

S*adresser autlil M' Muiirp-Déviillon, Uhlaire.

Etude de IM F ra u e b e » notaire au Ple»sin- Uelleville.

A V E K D U EPAR ADJUDICATION V ü tÜ N T A IR E ,

En la salle de la mairie de Nauieuii-ie-llaiidoniii. sise place.du Marché,

Par le ministère de M" Francuk , notaire un Plessis’BellevUle,

l ie D im o n c h e 9 9 D é c e m b re 1949*. d e i i s h e i i r e s a p r è s m idi»

rDôtel de Casernem entDe la Géiidamierle département en station à

Nanteuil-le-Haudoiiin.A vec J a r d i n e t P la c e à b â t i r y e o n tlg iis .

Il y a toute sûreté pour acquérir. S*adrester andit M* Fràuche, nolatre.

Elude de 91' F ra n c h e » notaire au Plei:si>-l$i‘lle- ville(Oise.)

A V E N D R E' PAR ADJUDICATION VOLONTAIRE,

lie 9amedi 99 Décembre 1949, midi»Dans la maison sise à NanttMiil-ie-lfaudouin, i

l’tiucoiganrc'di'S rup.sdelu Coulure et de Reau- rég^i d, !éù ébl'décédé jjly Frfiii^js Maj^d||âii|*' 'Par 7e ministère de M ’ F r a n c h e , notaire au

Plessis^Belleville,.-.o PREMIEREMENT t < 4 - .. • ' PREMIEREMENT J < 4 - . l

r o C a R P S O S F E R S I l lCoinjiosé de Maison d’habitation et do Raiimeiité

d’exploitation, Cnnr et grand Jardin, ' Situé audit Na^teuil:.à Petuoignure des rues de. , j Bt(\uregard.itde laCoutpre.; ,

, DEUXIÈM EM ENT : j

ET HECTARÉS 57 ARES 5(,CÉIVTMRESde: te: k r e

En 10 pièits sises sur le terroir de Nantetiilde^■. Haudomn.

Il y a toute sûreté poiirncquérir.On pourra liuiler à l’amiable avant rudjudication»

s’il est fait de.s offre.s sufllsuiiles.S* ad cesser audit M’Franche, notaire.

Etude de 91" DelminoliBe» iiotairf à Réthisy- S'iiui-Pietre.

A V£N DD £PAR ADJUDICATION V O LO N TA IR E,

El sur les lieux*liC Dimanche 99 Dèee«nb«*e 1949» midi.F</r (e mini.itère de M" Deloumuse, notaire à Betlu.^'

Saint-Pierre,1?7 Ix^aux Crisards

Se frnnvant j<ur une pièce d^ pré sise'En teiToir de Réthisy-Sainl-Piei're, lu'ii dît Sur |ù ChauS' sée de Piiisières à Bélhisv-Silhit-Piérre,'

'V EN 4 LÔTS.Il aéra anisMl vendu 4 déelMtèrea envi-

ron dé Boit* de griaard.

S*adres.ter audit M* Delanuoise.

Elude de 91" Uhartiér» notaire à Seidis.

T R O IS M A IS O N S4.nr,linii| e t « iran K e

Situes à Orrÿ,KT 3 IIECTAfflîS DE

TCIlRSi; ET PUESitués terroir i t Or ry,

. A V E N D U Ei'AR ADJUDICATION V0LU; TA1RR.

A O rry , en la dem eure.<le M. l-u iiibard in . P a r le m inisfère de M " CiiARii.KR, N o tm re à S e n lis

iiC 99 Déeembee 1949» à S henrea*

On entrera en joui.ssaiice tout'de suite.Il y a toute sûreté pour arquérir

On aecorderu de giuiidrs facilités pour le paiement. S*adre.i.ser, pour les renseignements, à M* Charticr,

notaire à Senits.

Elude de 91® Delannoiae» notaire à Rélhisy.

A V E N D U Ep A l t ADJUDICATION y O l.O N T A lR R ,

liC Dimanehe 9 Janvier 1949» 9 heiirea,En la maison commune de MurieiivnE

Par le ministète de M* Delansoisb, notaire ABéthisy,

Eu M arché de T erreSitué au lerhtir de Mor 'unval,

On enlieta en jouissance après la récolte > e 1848. (jiaiides facilités pour le paiement.

S*adrtsser audit M" Delanuoise, notaire. ^

Elude de 91" UèroiiaH» huissier a NantetiiE

" ■ ' VEÏ«TÉValanlii^ et aux Enchères.

A de csfsptipin]4e cml$ar»jp$)4 . .cçmterce";». Ën l’ auberge d e M. Eartier» à NruImiU-

le-Haiidonin, lie Dimanche 99 DéèC^bre 1949» midi.

' t'DlslONATION; '''' fA 'i. ’j Chevaux* vaches* voitures, charrues* herses,

liiniais'. ' . ' ‘ ‘ J Üvî ‘i f \ ’(f \ 'l l ' / .

Couchers complets composés de couchettes, ma. telas, lits de plume, traversins* couvértiirés* li. deaux.

Tables* huche* armoires» buffet et quantitéd*autrea>^qbjets roubiliers^ w;;

Elude de n* .U i» iipét» ,po la ire^^e tz .

ADJUD1UATI09T VBUMVÉ'AIBEEn l’école d’Ivors, canton de Belz*

liC Dimanche ID Janvièlp 1949» midi»P a r le ministère de M* C ^ ix e t» no/mrç à Beii,

d'itiu Corps de Ferm e Situé commttne.iPIvors, t

ET de; ,1Ô, HECTjyRÈ$ 7J A R ^ .4 7 ÇÉNtJ ARESdé ■iWrès, Prés et Bois,

En 4S pièces sises terroir d*Ivors,En 50 Lots qui pourront cire réunis eii toiit ou en , partie.

Il sera accordé des facilités pour le paiement du prix, Il y a toute sûreté pour acquérir.

. S*adresser à M* Gaillet* notaire à Betz.

Elude do 91"Paiii«» huissier à Poiit-Sle-Maxence.

BEAUX IIAGASIXSA usage lie Marcliafi'cl île Grainè,

Jolie petite 91alMon d’hiàbitatlouA Poiit->ainle-Maxcnce, carrefour de la Pôcherir,

A VFdVDRE A U’A9fIABliE,Par suite de cessation de coinmerce.

Pour eiilrer en jùiii.ssnnre tout de suite.

On accordera pour le puicnieni toutes les facililé désirables.

S*adres5tr audit M" P a lin , huissier.

Elude de 91' Caron» notaire à Chaiilillv. 1- - - - - - - -

A U O U E B A l4*A911ABliK»

UNE

Pursoni lu coup d’ et chacun, thies pour nhire.

Il est Cl tic, e»t po dv se cou

|])(’iil, des< traités, et cuniine s’i si le gouve n’«‘.st pas 11 que; s’il c ineiil les ti il serait pl

Mais, il aîs .savait

de Craoov i celle ép< sommer le

Gui le od pas no» plu pleinent, e piTilrc dut iiistère; casitiuii : Ote

Située à Gouvieux, rue Pavée, Coiinuti sous le nom d’ANCI^N MOULIN

BIMONT.S*adrc.t.ter audit JVP CaroD*

E T A T C l Y i L D E S E l^ L IS .H aisiianccM .

■ Drugfon (Matie).Lrfori (Alphousiiie-Isinérie).Dambly (Luuise-Angustine).

' 9Iarlag;cs.Deferée (PieiT< )*etGoinot (Lollisc•Alexulldlill^

Victoriiie*Eulalie).Décèc.

Lefèvre(Jean-Fronçois-Damiuiis), 69 ans ! I m. Thutllier (Adolphe), 37 ans.

., Massoii (Jeun-Ciiarles). 82 ans.

PAÉN.PR IX D ü - ____(i®* ( p i i i iz à in â ' d e D c c e m h ré ) .

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A jiE V 4 v * * V .* A * ^ E » . , 1

F il par nous M aire d e ta v ille d e g e n lis , pour légalitation de la tikna lure de il/ . Regnier, ipoiée à l'a rt. . 6’e i s Décembre i 8tO.appoiee a

E n reg ittré à S e n lis , teAefu un j'ra n e d ix ceniitnes; d ixièm e compHk.

i840, f*

A -TYI>0GRAPHIE e t IJTIIO O U ÀPIIIED E REG N IE R, BREVETÉ DE S. A. R. MONSEIGNEUR LË DUC D’AUMALË.

— La vi M. Jean 0 hre. à l’ûg d’hiiaiieiir, dsiu’loul I ’ljnicra J»

tiingistral, raclère, bitlie ei d*an ■uieiil IfS

M Odeni. Kou.v ne

i>i|i|i('latit ««i 1843, à,

îiii’ix.sîi* IIIOIl

de pfisfiiii»H'il(s foi

” dans luiili Cttllls." E» i’fft M 0 ,1,...i »i>lrativi'< Mce , Pu,.

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