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79, année. 3111
AïJPAlNISTRAT? fd F REOACTION ' RIDE SAINT-ROME 41,
Tentasse Impr. DOULADOURE-PRIVAT.
a"OULOU8E, Ville) : Un sa, 40 Te. Bis mv v, 21 in -- TrcDlSPAItq'liàt l'NIS .,. .> s0 rr. 01ï iv
E 'ras.=-anm w..-jree.:wr.u aamn':e x.., .:-:
Toulouse, °s î Décembre Ja eeaueailrâpé,déclare
gss âtmx c tb , a-
8ULLETII POLITIQUEn'ouuaos""' dur 1. nonae B de
é areM. Champeauz ttend, peur reprendreIlti ditne reaons ponl otiques avec le nou-
veau roi, que la France l'ait reconnu.La commission financière du Sénat adéposé, samedi, son rapport sur le bu-reau dn Sénul. Ce dépôt a été précédéd'une déclaration Ine par M. Calmon etqui contient les réserves habituelles.
Autrefois, le droit de contrôle, attri-
bué à la haute assemblée par la Connu.lutiori de 1875, dénié par la Chambredes députée, était affirmé dans le rap-port général Mais cette innée, la com-mission aSté forcée de porterà la tribuneses justes doléances. Nos lecteurs trou-vorontpins loin le texte de cette décla-ration, déclaration platonique, qui n'om-péchera pas le retour de semblable.faits.
M. Clovis Hugues a demandé tdieoceài'am irai Pryren au eujetdetla grève
Toua tes ana à pareitte époque la si des chauffeurs et dio d Mill,-es morsearsee.taair.. est la méme, Les sénateurs duContre
Oauobe fout entendre de timide.Protestations contre le sana-gédd de la
Chambre, et le résultat ainsi obtenuest do retarder encore davantage, l'an-née suivante, la communication dubudget
Évitera t on celle année le vote d'on
Il pnruîteait dans certains milieux de Mer-saille, ton l'on considère que par l'aidedonné pur l'Elot aux paqueh.ta- pas le, legouvernement prend para coutre les gré-vistes
On croit que le ministre répondra àM LI is H,aguss q lo sel vice des pa-q 1 t p t. h tain née par l'Etxt,I peut pe ét "ôté par les d fiér.udal te
les u - po g des et ses égnllag'e.douzième prousoire 4 C est peu proba. Le Nalioernt met savait quo le mer
qu s do'l'ble, dira ton, ailés la déclaration lueseng, qui va dama n eu Angle-par M. Calmon. Mais il faut compteravec la cabinet et la majorité sénato-riale, disposée à font. les coueesaiens,
à toutes les eompiaisances.
L'importation des viandes de porcsalé d'Amérique a été Inocule au roi-nistro d I commerce, Mais NI. Pont Dortce retirera aucun Droit do sa facile vi.e-tuire anr ce personnage dontl'i.rapaeitéest formellement reconnue. M. Héris-son va rapporter son décret et M, Paul
Bort en sera pour des frais d'éloquence.
Déjà les officieux escomptaient le re-maoimnent ministériel nécessité par laretraita de M. Hérisson. La Ga!11 ra-dieule était, par oe fait, exclue du cabi-net; 'Union démooralique et l'Unionrépublicaine constituaient seules db-
Bnitivemeut la majorité, Mais une telleeo uibinaison ne pouvait faire l'aBaireque des tahitiens.
Le décret visé par l'interpellation deM. Paul Bort avait ôté arrôté en conseildes ministres et sur les instances, pa-
rait-il, de M. Jules Ferry. Dans ces con-ditions il na pourrait y avoir de criseministérielle au sujet d'une question se-condaire. Le président do l'Union répu-blicaine devra attendre une meilleureoccasion.
A une gronda majorité, la Chambrea adopté le projet ajournant au mois demai lo r..oueeliemer,t des conseils mu-nicipaux. L'Eitréme-Oaucdro seule acombattu le projet,
Nos lecteurs trouveront plus loin lesvotes des députés do la région sur l'a-mendement Dieseuil et Jeun David,
P É VPAR FIL SPÉCIAL
Paris, 23 décembre, 11 h., mati.Le Pelite lidpublioae franpaiee n
doute P. que la de Soa-'l'n -(tuesalrutairementeur les dispositinasl drugouver.nets chinois et des diplomates chi-nois, d'autant plue, ajoute-t-elle, que t'at-
fuire n été conduit. de façon à leur faireanpr.:aéra qua la France peut hardi-
ment futra valoir ses prétentions légitimes.
Londres - Dos meeurs. de précaution.IlLit à être prises cotre les agisse-
ments féniaas.M. Otadetune ne sort plus qu'entouré de
policemen. Il est probable qua M. Clade-tmle, dont la santé laisse à désirer, irapasser, quelques semaines à Cannes avant1. Le.... rlure des chambre..
Paris, 23 décembre, 7 h. 30 soir.NOUVELLES DE L'ANNAM
Une dépôche de M. Thempsoa apportedes nouvelles du tracé,
Le conseil de régence a notifié an gou-vernement et au gouveuour de la Cochin-ghrun l'abdication de Hiep-Hoa, en fa-'de son neveu Kieapbifog, âgé dequinze aa.
Leininietre des finances, hostile auxfrançais. est nommé président du cou-eeil
La crise u duré quelques heures, pendantlesquelles les portes de Hué ont été fer-méos.
Iiué a été mis eu état de siège. Quandles portos ont été ouvertes, on a annoncéque Hiop Hoa avait été ralliement.
Le pays a été agité. Qoelgoes bandes ar-mées sot occupé les faubourgs, et menacéla légation et la mission. Le poste de la lé-gation a été renforcé de cent hommes.
NnUVI,: LI.Ea I,L' To-INLe Nese, YOrh Hé,«dd publie cas dé-
péche de Hong Kong du 22 décembre.Cette dépêcha dit que les Pavillons aille-saut retires dune la direction de Laokai etdes montagnes; leurs pertes qui .'bat pasété constatées doivent être considérables,car les f'rnnçais étaient exaspérés par ladécapilation do huit cadavres.
Les Turcos n'ont fai t aun e n geartiar.Si l'attaque de Bac.Ninh n'est pas fille-
rée, il est prohable que cette puce seraprise sans difôouLié.
Les Chi mois de Hong-Koog prétendentquo Sontay a été repris par les Pavillonsnoirs, ruais personne ou les croit.
reviens ra à Paris dan. les premiersjouta de janvier.
Le National os croit pas que la based'une tri..aetloe amiable entre la Franceet la China soit encore trouvée.
nrf.eAaT aa Titooers eo Clt. Llt TonclNToulon. Le transpl tl Pi gioag est
par ti aejoord hui avec la général Mm l it et.Est maj or Il va à Aine, ma belqu'ranie
nel
tie des fion os d'Afri uL
portransportl'YCUropéen partira demain
pour poudre d'autre partie.Le ministre do la enr duo vient de dos-
er des ordres pour que les grande trans-porte revonxnt Ue Cochioehine remontentA la haie d'Aleur po, r prendre les [soldatsm Iodes. En outre, le service régulier quise luisait outre Toulon et Saloon tous lesdoux [noie, aura lieu dorénavant tous lesta Lje.
e prochain départ est Osé au 20 j1--Nier piochai..
home. - Le Montieur de Rome dituon présenrodes vexations dont le clergé
français est l'objet, et de l'interprétationi .acte du Concordat, lalape n'augmen-terait pas le nombre des
ncardinaux fran-
çUs.
Saint-Péfensbourp. - Le Messagerdugouuernernent donne lieu re...a.
ruemeo te
l'acoidait arrivé au Czar.La denleur à lepaule diminue, mais on
repos absolu est nécessaire pendant quel-s tee
qua la Russie adhéra à une action navale euChine, à coalition que cette sali.. ne
gercera qus pour la protection des étran-gers dosa les ports Chinois, dans o. butpurement humanitaire, sans qui1 T t lamoindre immixtion ea tussor de l'an ou del'astre belligérant.
INCEND1. lino 50110010
Constantinot te. - L'école i raélile deOaie. a été i[cendiée dans ie matinée,Plusieurs e.f,ielr ont été
taules
; seize eu-
davres ont été retrouvés.Les JOURNAUX un sala
La France, commettant l'adopton duprojet d'ajournement des élections munici-palee, dit: sLa vérité cet que le gouverne-ment, en sachent condamné d'avance, avoulu a. mépris de 1. loi échapper à cetteeondamnxtien et gagner quelques ..la. e
Le Naliouat dit quo M. Ferry a fait sespreuve, et qû il n'a pus à craindre leu ma-nifestations du suffrage universel. Le aie.pie bon sonindiqued'uillenrs qu'il est ion.file de faucilles élections aloi
clorontava,
un eyetéme qui sera changé dans deux moisa. plus tard Enfin il faut être insensé pour
ir dues cet ujuur.ement une tentativede coup d'État.
Le Temps fait use réflexion ¢nalogue,'l ajoute: a Ni le gouvernement, ni la ma-jorité os méditent au attentat contre la
''deté nationale. D'ailleurs si quel-quevmenace surgi.aaii subitement, les oiesdu Capitole sont là pour anus avertir etnous sauver. Et baisais les oies du Capitolen'ont été si .ombreuses et aussi en voix..
Le Fronçait répondant ... emmenonsdu discours de M Ferry dut : Eu réalité letraité de 1874 quia fourul le prétexte del'i. torveation au Tonkio était destiné àcouvrir noire retraite, nécessaire .prés le
art de licencie Oar.ier et non A cacherdes convoitises ambitieuses,
Plusieurs journaux s'occupent de la si-tuation faite au Sénat par le retard dudépôt du budget.
L Liberté croit quo ce retard rat impu-table
à la Chambre,Le Temps croit que ee retard n a été
prémédité par personne. La Chambre nevaut certainement pas porter atteints auxdroits du Sénat au contrôle du budget,mais oa A gaspillé du temps en interpella-tions et en questions secondaires, et un n'acommencé que tardivement à s'apercevoirque l'.xumou du budget était eu 'tard.Le Temps eri conclut qu'il faut changernos meurs parlementaires.
Le Télégraphe demande à I. Chambrede réformer eue injustifiables lecteurs. La
déclaration de M. Calmon est juste etnage.
Paris, 23 décembre, Il b, soir.nouvroN roi nlxmèclo ARRONDI.BLM6NTAujourd'hui a ea lieu une réunion des
électeurs de la première c vcriptioadu dizibroe m resdissement dsoau laquelleM Ltlèvre, député, u rendu compte dea.. douillet
La réunion a approuvé à l'unanimité laconduite de M. 1.efebre et A émis an vmaen faveur de la réunion d'eue assemblésconstituante cbelges de raviser la Coa,ti-tution de 1875.
La nuNOUi.T Da cannas Procureur de la Répu bligse prés le tri-Cognac. - Un bouquet a eu lieu eu- bn mal de pire fière tustance de Saint-Pons
jeurtl'hui en l'honneur de M. Riva ud, pré- (Hérault), M. Constantin, jugo au siège defel de la Charente Ce bouquet était otrert Narbonne, en rnecplaceaent de M. La-par les républicai ns de Cognac ; 1,200 rou- tour- Dej -an, de mission noire.vives étaient présente. Juge suppléant A. tribunal de première
On remarquait dans l'assista use 4f M. Do' ",taure do' . Cahors (Loi), M. Lagarn',gucclaud et MaTrot, députée; les eonn-préfets (Jean Mai ie-Alain Edmmld), avocat, enet un grand nombre de maires du dépar- remplacement de M. Lurguie, qui a étéliement. sommé président.
M Pichon, trésorier du comité répnbli- r Juge auppléant au tribunal de premléreuuhxité la bienvenue au nouveau I,'tsuce de Foix (Ariège), M. Oounaé (Je-col
prnfet ssph.Vinecn t 0e.rgo. Ber. au d), avocat, en
M. Léon 'hotte,, a'prononcé un discoure Iemplacemnnt de M. Lu pté. décédé.dans lequel ii e pal lé de mouvement aam- Juge suppliant au tribunal da premièrene, rcial entre la Fi,ouco et les Etais Unis rvslanco de Li n,uz (A Ode), M. Rires, nn-
M,v1. Sunquet, avocat, Delumain, maire de rial msgistrst, ce arepiaaenent de MJurnpo; Ducland, député, planat, maire de Rival,, qui a été n substitut du p,.-
eColinot, ont plis e ic000evement la pu-J
ça d t R pvbl qu.7 ,iôlat au 1r banal de prorote f, pl
M Rivaud, préfet de la Charente, a cens-' talé t de Vlllefrar clic (Aveyron),tate pet d . h tueo clos la i te est ac- M F iq tJ -A Itmun M Ie) vo
quine au parti Iêpubtc iu deus tout le de- ont remplace t de M. E-nival., dé-partement. edé. _ -v-
oa nu velte ...élitaire.Rome. - Ou e omis ère comme dénuées Le mirais tr te la guerre a décidé, le 12
de tout finalement les informations pu- I décembre 1883, qua la brigade de gendar-blié c par le Monite,ar de Home sur les merle à che,al de Négrepelisae (Tarn-et-diepoaitorn. dont le Pape serait a ira. u Oaronule) pe"u uteralt aven celle à pied denojetd 1 .tonde oonv ana cal dl- Laura'le, mtmo départemnt.eaux Flot ç O tienttain une, I p o.h.uimia domin ttlon de amlt-
nxonmprendra an noms deux cardé VOTES DESREPRESEidTANTSDELAREGIONnoua frnnçain.
JERNIÉRES DF'PÉCIOES
Demain, 24 décembreHier, réunion des mee,hres de syndiest
des mines il,, Deuain; 1.800 a eistaslr-MRoudot, délégué de Saint-Etien ne, a eaa-
niné les différents projets ronce art lesvrlars, déposés à la Chalubre, ret A..-
gagé les mineurs à attendre le vole de laChambre, déclarant que ai la décision n'é-tait P. celle attendue, la grève géoér'alede l'indushlio niti ôte toute donère en r6-sulterait.
La réndine u adopté à l'unanimité l'or-dre du jour Ronde , décidant d'ajournerfa grève jusqu'à oe que tous les groupesdes minours syndiqués et le Conseil fédéralait statué eu plaise coei.aiesance de cause.Deuain est calme.
0. croit que la Compagnie d'Anzin de.-sera satisfaction aux demandes des mi-
eurs
Paris, 21 décembre, 6 h. enfin.Dislibutiau des récompenses de la So-
ciété cationale de topographie militairea eu lieu hier, roua la présidence
des généraux Lewal et M. Hec-nequin, directeur de lu Société, 01 uneaonfére.ce irés applaudie sur le râletaire taduelriel en Allemagne.
- Une lettre de M. Arthur Meyer àM. Jourde demande la convocation dusyndicat de la presse parisienne afin d'or .-gnniaeruaelsouecriptiou patriotique onune grands fût. eu faveur des soldats duTonkin.
- Le Figaro dit qu'c. va étrangler Inccritiques budgétaires ,lu Sénat, mais leSénat est responsable du dédain avec le-quel ou le truite; il a perdu son autoritéet son prestige parce qu'il a manqué à sonrôle do modérateur.
- La République française dit qua leSénat peut liés bien, avant la fin de l'an-née, voler au mous le budget des recettes.
- Le lJOUrnal des Débats dit que siles dousièmee provisoires ôtaient 0éoes-saires' le Sénat n'en est paa responsable,car on lui rand impossible l'axone. d'unefoute de questions.
Le Parlement dit que le Sénat sesuiciderait en volant le budget sans dis-cussion,
- Le Soleil dit que l'humiliation desdouzièmes provisoires sera tette entièrepeur le gouvernement qui proluuge les
vaoaneoa parlementaires au-delà de touteInuits légitime,
CHRONIQUE LOCALE
M. Fart, conseiller à la Cour d'appel,vient d'être admis col ea demande à fairevaloir ses droits à la retraite. Homme dedevoir avant tout, ce magistrat, pendant enlongue carrière ai honorablement par'-course, 5551 toujours tenu à l'égard descompétitions et des intrigues politiques.
Substitut à Saint-Qirone et à Castres,procureur à Saint-Oaudens, président a
UEUX!E 1E ÉDITION
partout acquis la conCavae et l'estime deshommes d'affaires. Aussi cette retraite
ause-t-elle au palais ae légitires et uni-vereele regrets. Les justiciables per-dent eu lui un juge, et le Cour un mugis-trot.
Par décret de 21 décembre, ..et aom-ms :
Pr-mureur de in République prés le tri-belle[ de premlére instance de BesanCan(Dauba), M. B,rot-Lotnurneux, procureurde ls République près le siège de Vesou 1.
de Narbonne Aude 1M
OrreMae in,meiillleyrev
jUgolopplé-L du règlement desm éme
cs
8e.
L'amendement Bisseuil (péréquationde l'impôt foncier), dont dors avonsparlé hier, a été adopté par 237 voixcontre 218.
Ont voté pour:MM. Cavai ii, Cayrade, Chabrié, Cibiel,
Colnpayr6, Dzynand, Faire, Lira nier deC,asuguaq La,baysaea, Laeserre, BernardLavergne, Malleviallr, Marcou, Pagés, Pa-piaud, Pua'-Paris, baron Raille, Sente-nce, Frédérie'l'humae.
On voté 'autre :MM. Alicot, Bongues, Came, Constaos,
David, Devis, Duportal, Germain, Latour,Masslp, Mir, Moutané, Routé, Ténot.
N'oot pas pris part au vote :MM. Devis, Rodai.Absents par congé :MM. C...ans, Descampe, Mas.L'amendement Jean David (indemnité
pour les victimes du 2 décembre) a étérejeté par 264 vol. contre 188.
Ont voté pour :MM. Cavalié, Cayrade, Case, Chabrié,
Constans, Duportal, Fabre, Cermaiu, Les-baysece, Bernard-Lueergne, Mar-
Maesip, Papinaud, Rongé, Sentenac,Teint, Thomas.
Se sont abstenus :MM. Compayré, Devis, Malleviaile, Mir,
Radai.Nos lecteurs connaissent les noms des
députés absoute. Tous les autres repré-sentants de 1. région ont voté coutrel'amendement Jeun David,
CK?r43LlL MUNICIPALNous avons ...créé la décision prise
par le Conseil municipal duos l'affaire duc...cet des Carmes.
Les Code on, ten-bons de la commissioutlent a è ci des ep esitionsp été
adoptées par treize voix son ire onze et deuxabstentions.
Los conseillera qui ont voté pour, sont :MM. Lavigne, Cmnire, Fmal , Combes,Barthélemy, Rouquler, Savy, Gamète,Bacquié, Marqués, Voisin, Culviuhao etHaLe.
as eooeeülers , qui ont voté contre,saut: MM. Loygue, Serres, Rue, Goal ut,Miqu 1, Petit, B oyer, Roumeus, Aube,Lasserre, l'rodal.
MM. Rameau et Henri se sont abetesus.M Boula.d, qui étui t, parait-il, opposé à
l'vocal, n'est absenté pendant le vote etn'a pu, à da rentrée fous la salle, prendrepart au sera
M. le Maire avait donné lecture d'unelettre de M. Esquié, pem laquelle eo con-seiller muuioipal déclarait vuterausst con-tre l'achat.
En outre, le Réuell alfa M. Estenuen,qû une grave indisposition retenait danson domicile et qui litait dans les mêmes
sentiments .N,.a publierons demain le rapport de
M. Rameau sur la question des étala-gistes.
Conseil des Prud'hommes.Jeudi soir, à huit heures, dons la salle
t ii ' E' E SLes Aassueva aeat estocs à ix'. liccie.3 aexorate dc.a Aauonce a ZAa44xa, e..e0srrM a'n 10'
A 't ee,eo..e, ras ,.'O e, 40- - A Pana , plie. de le Beur e, n
cade, président du Tribunal de eommprce;M. Larrieu, syndic des agents de change;M. Ozenoe et M Delorme, notions prési-dents I. ocnseil de prud'hommes, assis-talent à la séance.
Le rapport de l'exercice 1884 A été lupar M. Dévies, préaident du conseil et ter-
m' flot soo mandat.A 1'issne de cette rosi. llution, le conseil
'est air",,, assemblée gé.érale pourprocéder aux élections du bureau pour1 année 1884
M. Dévies a été réélu président à l'una-n mité.
M. Montés a été réélu vice-président àl'anenira u lé.M. A. lieu}nec, secrétaire, n été con-
firmé dans ces functiaus.
malt o AlétroPOlitalne.Mardi prochain, eolemtité de la Nativité
de Notre Seigneur, ll dix heures, Inermepontificale ; la maitries avecra ladeuslém messe eoleunelle de Hum mal.Après lu messe, S. Em. Mgr le cardinal-
topais.oisheures, v épres puotificales ; pre-
mier Magnircat da Miué. Après le ser-su salut soleuuel de tréa saint Sacre-o.t i 010nlu de la messe ee fa de Chd-
rubiui ; Tanlum ergs de Beethuweu.
Itibliolhéguc da la utile.Nos lecteurs liront avec l o t ,bi l'iu-
tèaura u article q li a été publié par leMessager de Toulouse
Dou, prer m s d autant plus volontiersle aheln n de la Rlblinlhéq ue publique riela ville que, tout en poursuivant nus étu-des préférées, nous ponvone, gr$ea A la
nplaisnnee et à la auu moisie de al. Eu-gène La pierre, uot'e calé bibliothécaire,y faite de abat man ms ezcursiuus dama lo
onde de l'Art et la la Curiosité.u Combielt da rieheeses- laissées à l'écart
et g ju q c e ll nt notre etoot et 1 t te-, nos inetiocts de
bibliophile I. talle page e,, revue l'unveineux Incunable évoqua mmmédia-
teruentdevantnotreespmt une acAnevt-ante de roman de chevalerie. Combien
encore elle noue ouvre un horizon lumi-neux sur l'époque flamboyante de la Ite-
anael Volcl une ]minable reliureportant les ac mes de Riehelieu, et qui afait eertainemenE bonne figure dans saprécieuse collection Aillenra, et dans plu-sfeors volumes, la signature et les aono-tationsdo Racine charment les admira-100es du grand poète. ici, é est nue figaroénergique, c'est nne scène puissante quel'on est lenté d'attribuer à Albert Dorer.Là, sont prodiguées les gracieuses pro-ductions du dix-h" itiémo siècle, aura lesdessi;Ln de Bouchot, de Coypei, de àforea u,d'Elsa., qui ont illustré nos principauxd
lasiliques.
Tout cela constitue le r de raffinés,égalIn joie des amoureux da loure, des heureux
c et amateurs de belles choses.coMaistous ceux - et ils sont si -
breux - que le travail bonnetier réclame,qui ont eu besoin incessant des biblio-thèques pour y
n,puiser la vraie science,
pouf-ôtre la leço 1L'articlo, la pièce na lelivre de l'brame présente, eaux-là ne peu-rat s'attarder aux belles eu osilés. . , Il
faut marcher, c'est-à-dire travailler tou-
jours. Ce travail doit être rendu facile etfructueux. C'est ici la tâche ingrate desbibliothécaires.
Or, à ce point de vue, nous pouvonsaffirmer la bonne volonté de M. La pierre,le nouveau bibliothécaire de la Ville, etson déslr ardent d'arriver à une organisa-tion irrépecohable,Il cet le premier'à ne-gcotter L'xbeenc.> d'un Catalogue Lare, I. ,
destiné à venir an secours du publie t àle guider dans l'immense et riche dépôtdont Toulouse est justement fsàre.
Les travaux opérés jusqu'à ce jour sontenpendaat nombreux et utiles, L'ancienbibliothécaire, M. pont, seul r tout réviséet tout classé, au moyeu de tartane et defiches qui smlt conservés. Les déplace-ment, forcés des ouvrages, les 50000mase.
menus successifu ont rendu très iucom plateces Cou oguas provLSoirer. Ils focrois -eilE des I0, 1 C09 journaliers, mais lis sent
uanffisal.ELe catalogue des M numerus est ter-
miné. Huit cent geotre-vingtcool nmé-out remarquablement analysés daine
cestrarnil, qui avait été conté pur le go.-MelmAMOlinierYanmé.nlélève
ode l'Ec edes Chartes Co catalogue sert mis a la j
dispoaltinu du public, dés quo l'imprime-rie nationale aura livré à la ville leseæemplaires commandés.
Ou Sait que le eafaloque d'une partie desIncunables du quinzième eieele a été im-primé, aux frais ,Ie la ville, avec unecompétence toute enerptlounelle, par leregre tt§ biblfopbile, le docteur D.abar-
ux Bernard.reDèsson entrée eo fonctions, M. Lapierre
d'est empressé de classer et à".Lot
lesManuscrite et les Incunableu eatnlugués,de façon à c o l lre les recherches faciles.Ce travail minutieux a exigé plusieursmois. Ce fonds a maintenant sa place dé-finitieesacs la galerie anpérieure. quo lavivo a sait restaurer tant récemment, sl'insistance bien avisée du
bibliothécaireur
Voilà ce qui est terminé.Disons un mot de ce qui va être ..ira
prie :
Lundi 2l Décembre 1883
.dans la Bibliothèque. Ce travail aura l'a-aatnge de autisfaire aussi vite que pu.-
sible les piua impatients. Ou songera nu-saite auz rsuseign.meuta blbliographf-ques, auz groupements des matieres etdes épogues, toutes choses intéressant plu.particuluéremeut les chercheurs et la.érudits.
Cesidées, présentées par Ni. Lapierre,ont été appronvéea par le comité d'lospec-timt de la Bibliothéquo et pxr l'admioiatra-tion.
Si l'on songe an nombre considérable(cent mille environ) des volumes à reti-ure et à eulaioguer, on accordera cernai.nement ua délai pesez rAie...able au vail-lautbibliothécaire, pour mener à à. larude besogne,
Mais les dispositions sont prises, le tra-vail est organisé, et, plus que perstrio,noue sonna certains de boa résultat,
Touluneo est usades plu. riches de France, elle sera anssiavant trois en gnalne années, nne de.micui orttaniaées
UN TRAVAlLL.L`a.
A l'occasion de la téta de Noël, grandis lemtité religieuse à l'Eglise Saint-Jé-éme.A la messe de minuit au amateur de no-
tre ville fera entendre le Noie de M.Szes.
A la grand'messe. 8 heures 314, massaeIl set Iu mémeantem ; pendant lu cmnmun nnr Hcvanna le M Loin,mus MDrilles, chant,v,ol n, pluno et ,rgue pur Màf O, leneuve,Brbet, votre ezcellenty ennuis Lesea
piste. et S-1, moiisedo.h
ll.LeLesoir à s(ye e, Noêi (Sises) p. pa,r
MM.
Ou-
'azancave et l 8-olé Clémance-Isaur¢,
dont M. Sizesest directeur.
rr,U oE mm are - U. feu de cheml-néelest t- medl, vers une heurede I apr és midi, da s la rue du Tua-, 13;il a été éteint par les pomper, du poste1u Capitole. Ce feu a été attribué au dé-
1faut de ramonage. Proeés-vorbui da cmt-traventiou a été dressé contre le proprié-tatre,tasruTlons.
- Deu arrestations ontété opérées, dent une pour vol et une pourvagabcndage.
I'.i CIILlli nues anI[CNCA.Lundi 24 décembre 1883.
Coure le Butuniq oc, à 4 heures 112 duseil. M. Clos.- Plrofessenr,
sujet du faune : Étude do la rouies.
Cours de Chimio, à 2 heures du soir. --Professeur, M. Sabotier,
Sujet du Du l'ensemble des loisnumériques qui régissent tee eumbiuaiso..chimiques. - Théorie atomique.
Lundi 24 décembre 1883.Cours libre d'Anthropologie, à 8 heures
du soir. - Prol'esseu r, M Cartailhac.Sujet du cours : I: origine do l'bomme-
BULLETIN M-1201101-xluuParis, 22 décembre.
La dépression qui existait a. nord del'Ecosse abords ce matin la Noravéga. Elleest suivie comme nous l'annoncmou hierd'une seconde dépression qui passe actuel-temantaularge ,le l'Irlande. Le ventrétrugr.dé vers le Sud Ouest à Valencia
il souffle très fort, il fraîchit sur noscôtes de 1. Manche oh des maavaie tempsemgloel prochains. La Méditerranée est
oalme, toutefois elle est menacée par debasses pressions qui se trouvent prés deil le, IL qui pourront se propager ra-pidement sera 1Est.
La température monte partout, l'lsc-thermo Ae 5, s once jusqu'à Berlin etcelle de 10" aborde l'Irlande. Les eztremeaetaiont ce matin de - 3- (Arkengel) et do10' (Alger).
Eu N'rance, un régime pluvieux va corner dans l'Ouest et le Nord, et .'éten-
dre peu à peu aux autres régions.
aslrservatleae météeeeIsmRlgsees,Due 22 et 21 Décembre,
-.lis F. L'OBSEItVAa'Olan Da T.IJLU.aALTITUDE 194--
a.. ! .nM- aaa I reNx..
n h, .. 749.3 + 4.0lp.nuag. S6 faible,9 h, e. 04il 44 id. Es. falbla,
mi suit. 7[d 91-1-
t..0.
clair. id. id.an, m. 7iï! 0, 3.3, uonv, cil faible,
91:. 8E calme,emidjh. 702.nI
8.
7,e t.clair
rang., SSP, calma.3 . e. 7nr.0 t 9 . SSO id.
Tnermomélre centigrade:Maximum lu 23 .......... ...F 6.9Minimum aa la unit eaivante.. + 2 1
' AR E SENTSHaute-Garonne.
On sous écrit de MuretLe Conseil général doit décider, dans sa
.'tai-Un Catalogue rn éllaodique revoita. Tribunal de commerce, M. de nement l'ouvre bibliograpbiqu o la pics
Lut arthq consei lierdo
préfecture, délé- disi table; mais il faut aller nu pl us pressé I prochaine sessioe la question du cheminSoi't-iliro.s et à Mouton ban, conseiller à ) gué pur M. le préfet de la Haute-Cure.ne, et, ajoelaoe, à l'économie. Ainsi qu'on l'a de fer d ni léret local dn 'Ico!ouse à Mout-la Cour de l'anlouse, il n'a
'aces avan-
1
a procédé à l'installation et à la prestation fait a la-Bib linthéq ne nationale, et pour Ii')oa u. Non, pouvons affirmer que le seulcemen in qu'à ses qualités prufessiun nettes. do serment des membres du entrait de répondre aux justes exigences du public, tracé qu', n impose est celui Il0001hr la
La droiture et I'iudépendnnce de son prud'hommes de la ville de'i'ouloaso, sou- il csu ce'entiel d'entreprendre la confection tête do Ligne à Muret. Le Conseil gêne 1.1cal artère, cas eentimen te élevés, sa ron- vellement élus, d'un Catalogue sommaire aipirabéligue i aura à tenir compte dos nombreuses p4ti-naiaeaaceapprofondie du droit, lui ont M, Commère, adjointau maire; M. Four. de tous les ouviagos imprimis coateuus tiens jointes eu dossier de l'enquête, 6 t
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'inspirer de l'lntér6l local que doit avoirDelta voie Portée; le vote, dans ce sens, denotre esse nblee dépac ne nouaeemble pas douteux.
U. conseiller mautctpnl en retraite
ror.o De enla@T-Le 29 1 c bru courant, Muret tiendra
sa tell f e Noua rappelons aux Pin -pI
.
I d, vaste champ de foire estLui, gratu,ue,nent à leurs dispositions.
Arieg,e.1Jroq OUS nn 11.11,0 AU sOnr
Par araété de M le Préfet à la dote du15 lécum bre, les époques du tirage ausont Client si L r sti vante..
D e t, 1 Dl. --,,aBacille-de S le mord, 29 janvier,
à h du soir.nomL le mare, edi 30 janv.', à dis
h tu matin1 I j s sd1 31 janvier, :t once barres1(
tahan nos, le veodiedi t., février, à une
h lt2 il" s"'..nuls 2 février, à dix heures duA le 1lumin.
1 1 t, le eud, 7 février, à midiQ [.samedi 9 tav'i." à m'dr.
rtatlcIls...NT .1.IPAmtnus.Mirepoix, le mares edi 23 janvier^, à une
heure ]u soir.Mas d Azil, le jeudi 24 ,janvier, à une
h u soir.I .at, le v-oodredr 26 jaueior, à une
h e dn doteVarlho,, le samedi 26janvier, à deux
he ar 1/2 du soir.", dn 28 janvier, d neufS' 1 s, le
maheures t demie du matin.Paniers, le mardi 29 janvier, à neuf
heures du matin.AiaiONDlssi'DSGN'r Dr SAINT-0I00Ne
Massai, la mercredi 23 janvier, d disheures du matin.
Osai, le jeudi 24 janvier, à dix heuresdumate.
5 t On r 1 25 janvier, àh h e d Il .
Si mi- L' I. i le saine L 26 Janvier, A dixhe .stil'Castillan
, le Jeudi 28 janvier, à dix heu-res du matin
S-ulle Oe ils, le mardi 29 janvier, à dixheures du mafm. -
o- v 1I"N
Par arrêté 1 M. le d tsar général del'anreg,stlrem t, les domaines et du tm-bec, M. Orcival, receveni re[acte ,r pros1 di et n de Foix, a été somme véricaleu d I eni g' t t sas doua, nés etdu timbre ira département du Ooie.-
Palmiers, 21 décembre.P '] mecs ép,soopale. M. l'abbé
R p sera 'taira de l idvéshé, a étéI .noirs honoraire L'installatou
t e fu samedi dernier 16 décembre, à4 boue,.
. ,uns, S te,Salon 1 en lieu dans la chapelle du
O, nd S ses Pordmatrnn dite de laN i pr
D. s I M. Lé mord Sabra,de S'gum, M Paul Tisseyre, de M.-Ù, ,,, ;
Et trois tonsurés, M. François F gnrol,de AI epnsx; M. Abat seule, do I,irrogao Iloh.. M. Français Celui, d Cstau.
Au,h-'JrNrAIIV. n'ASS,SlIIIAr en" LA Ilr Na DI,
un a. niwnnm A s cl.
Narbonne, 22 décembre.L, n lit dernière, dans le train 811,
la l'gi e de Narbonne a Ce béae, un roui-vide a tenté 1 r n voyageur.
Ce ']mn erfui
t t è. vi ve résistance:ilà t ette clip icit on, 1Assaasin a dûat i - en pane
Ln quittant la oo,npartnnent dans le-quel il avuilt t le O orme ttre son cran..il a coupé le tuyau en cLou tchonc qui sert
p 1, laie comprimé pour sou erle e-relue.
Ire lrai0 s'est sic Lu,elburon t erré là et lemal6,ileur:r pris la fuite, non loin de lasublima d'L'Iir,,.
FU.UILLEl'ÔN DII JOUieNAL DE TOULOUirEDu 24 Dbcarnbne 1883.
N^ 4
FLEUR DE THÉPAR
Francis TESSON
Et, joignant l'action à ha parole, la pau-vre persécutée sm'lit de lu chambra etgravit d'une haleine l'escalier for coudai-sait h ,ire.
tient IL? O'a I vieil[.Q a subite-m t Ilee.
1 t ne cri. pas, .'appelle pas1 1 L .st moi, Fleur de 'P'oOu O.
Mc maîtresse, m. bonne maitresse?mu Dieu, Qsi vous uméue? Vous est-il
arrivé roalheurtN rien. c'est à 1 r- plus
la"], j U lirai tant, je te conclut tout;dis vite, vite, flan s'ioe, cache-moi. Et
surtout qua personne ne u un luchoici,
personne, entends-tu? Il y va de ma vie,de la tienne.
Ohl n Oï vivante, ma bourre mat-irosso, ils aeivous eurent pas.
- Chéris nourrice) mais tu es faible, etils soet forts. Chut! liai-je pas entendudu brut, de pas? Ils viennent peut-étre.Oh! cechse.os quelque part, pur pitié[
- La, dans ee cabinet obscur : personnene sm,g's a à v ms y chercher.
El d,.nnt ces mrts, la bonne vieillepoussa Fluor te-Thé un fond J 'on cabinet
e à l'outrée duquel orle su tossas es, elitablo barrière d'étoffes cldevé-hurlents.
Le voyageur, interregd, a pu donner lusignalera t de o .g,""",.
ai' ouI'lut
dumême
train811, n t I lrvid,a en questionau
balfllee t
t d NN b e, a immédiatementprévenu le gendarme ,le e
L'aotrur preuu rué d c.te t statived'assass,u t t p+jn t l t A ét ,evvayé de, e la fuite l maployer de la gare et il, gendarme, le et-lu it à sa pomsu,te, soit parveeusà 1 rat-traper et a le mettre état d'arresta-tion.
A vcyraice,
M. J ss pb P I i , d 14 palme, vient defaire a s. ville ma laie ail ao avenu dort de200,000 Daims
Certes ) E x19000 f -sb fut l'Ja l
églisedont le mag,iflque plan O. ,O rait pasréalisé saur cette loyal,; ..,il 0cenoe.
Les nouveaux 209,000 f, xncs auront affastes à à l t t t hrenne, a [O r I le l IL lspme etd d ont es vies aux d util té publique
C grand t bel 1 donné parM. Js Ih P 1 c ,,Il
tp tentai ou poutre l'égal eu e univer l doe époque
mais bienfaits loi rat déjà dominé unepeemme récompense. La reconnaissancepublique lui prouve combien sa abouté est
'P,"" ,I.""rai sou noie n'est p ion o, cé qu a
sec I. pi Igt lu, admirait nt 10 plussympathl eet
M. Ja, ph Po 1 est né A Kspaliou en1811. Après de fentes éludas [m Usa a scollage de cette ville, il alla élu lier à l'é-cole ds
ph .acier de pi amb re dusseal
`dans la capitale, M J .euh Poaienc se fita,-n- 'têt p r sou intelligence et
dos habitudes i ir t de travail.Il est n eh eto distnvguv. `prés corsé
deus la l'tt t i t benne, il traduit envers les ."vues de Pet q
11 vit ajourd hu dans 1 1 sirs biencangn's d'oie -Paient' retrait.. Sa vipasse à fane ]e hier' avec le coecours de safille men aimée, Mlle Cl I le loi quisecundo. soli père demi t t. e s musses etpartage tout son dérobaient pour la villed Espalion.
A l'époque de son dernier p01erinagead lzansua, Mgr l'Evêgne oét nt pour luile tare de ehevcher de Samt-Orégonele Grand qui lui fut octroyé par Sa Sain'tété Léon XII[
M Jos h Pa uleno a un fière n ambrede le Camp g u de Jésus et rmssioonairoen Chine slopufs pus de vingt sas.
Il a perdu nsgubrc un autre d.Gères qui avait le même esprit de gê,iéro-unité. Malle. mémmre bénie s, rv,t dansses m,fauts qui jument à Paris ira ris-blissmuent d,ndustrie et de commerce desplus prospères.
Ithdne.Lyon, 22 100e,ehee.
LA e]rlivs0e o nA elle n0001aRue Da o r o 81 a fond d'une con,
sombre, deus nu taudis r I ait, habitelue femme mée Cla a lue ]Suisses,nom
00t lg x
. il cesle
n I q t
u,s 8 de ae
ounérnos centra i ds t t e
gao sl,e qui rappelle les explojts dos hrigadsdes Aloi ,es.
C let, eu elfe t, Clau aine Boisson qui,dans la prison lits bO s, oà elle était ditenue pour val, m 13claié avoir assisté sud a de I Ils Bui be
Il pu, ait même qu'aile a s alaté le sténodu o, irae 50 ec mi lux0 de léta, I.e qui rembleot dénoter q.r'olle a vu dépéeer la malheureuse victime.
Il va sans dire qu'ellac.... ît les autoursdn tac cible focf il
Nous avons voulu voir cotte Pennons, etnous nia o dus da se l'autre dela python ..r la femme B nseon res-emble bleu à une de ces bohenl,esnev qui,
dans les fanes, dsseut la bonne aven tire.Le céd suit est puant et rnystéeiensClaudine B sbunn este ! .dans un
soli; mue farta ode u d eau do vc ee ré-pan 1 dans 1a p,éae sombre
Suva hi, il il e femme, ce que disaut les joui culs-lest
- Sais pas lino; quoi qu'y disent lesjeu, nairsses, e
- Que vous connaissez les auteurs du
XI
Nnus avons laissé le bon Kou-oi-li-angse félieimnt de l'inspiration qu'il avait euede mettre, suivant sa pi ttorosquo expres-sion,rmes(rois voourses à s ast-h-dise,e tel c
an
b scheeeaind,s , lles fco s e
fourme. pour e défdaite
e le sept e
Aux aboiements furidox du .bien O.-' s Iujoue e de,âgéI'ndo'Tlrs, fil un se tint pas , j
- SI su é t à bl ma prictu sonie
mhlisvtrameinra babile., fitcan s1rieaol
-des s Le màtm est de belle venuo; il ades doute à vous dévorer une nouzai,mde mandarins ventrus. Il na va faire qu'unebouchée d'une faible femme.Les aboiements du chien se prolougè-
rent l'ospeno de dix ninutes, puis mu4
1
Dieu du ciel et de la taire, de F0 qui, s'ilomble, pendant eu certain lumps, laisser
les méchants agir à lieur guise, las frappe
retomba dans le sifmme.- Bon, l'alfnre est terminée, murmura
d' 1 blt maf
Jet trgIPomm. nousI f
demaind pl rude f - unies
Le loge [ p le g, l e t 1 la es'ch u il 1 l'attache ;ssh 1 n' mua
le tuerons. Tout va b on. Pan,, cF Icur-de-Thé ! D'est dmnmage, elle était bien jolie;non., qla ehinouét it surnt,e. Peut 'soc-ro,
taluté:queje
is, je n'è pas Ix puissance d'emI étherles ch,ona de dtvenir enragés, peutêtre 1P a
femmooi, oltoyens de O.. for, I j'aloi;ejeune, jolie, aimable, aimées
jeile choyais cousina u e idole, v s eat v ei q.'.. chien seoE été témoins ; e
"trouve sur sou passage, et voici que toutl'édlhce de mon bonheur s'écroule. Ah Iplaignez moi; tout riche et tout vice-roi
qui je sais, seau uoycdouant vous le plus
- Eh I eh I continua le ban Kou -oi-li-aug en ricanant, onn petite harangue dansle genre de celle eu feu a de manu uu exce ilent effet sur le public.
C'était, comma voua le voyez, un habilerenard qac eut este m,hIe heri tler de lalointaee jeune. Malhnureasoment, da ns sescalculs il avait fail ebstruettnn de Fé, le
JOURNAL DE TOULOUSE
Crime do l'Ile-Barbe; la femmo u été cou-péeo s( t ami 1 f .t
trais uy , bmouq homcneç sali incapablede Ça..
C.pon] nt vou[ e d t et affhméqua" I . et0z e l p à A b
Ah j'tu d t 1 tles coma01 uniras e t l 1- ç o
porte pa, à coméquence, jsu suis nu peufolle
F attendat, voilà Ce que Pou dit.-- O d t-R le M tacha et votre homme
senti e
-Je vous lis que je sui, bien tran-quille..
Ni pas insi'fé < 11e 'heu-reuse t 0 ie t .brute pa
Il n.soni.I de. 4181élu
uit ttel
So rs
fs
mielIl >qu
'meslI,,
1
M. Vrai, juge, l u
mIt d, tpeux . t à I,.
l1lLa bohé o enne
qu'eu. itul, nlame lt ehes, elle.
r dru au magst "ettour ner. tau igeil
Da q Iq t p t f I I is'1rendraet et uIàde
noira lac bit ,e, qui ,ou.
nera Ileuveaux arberes de jour-naux. r
(Gorrespondnnce pneli"uliAee)
Par 2 I .i.beo 1883.Nr n fl t de S
Une l p h 1 I I V S[mou v p J q e I'dn l7 Il ,til, s
cube cette v,llo ul fo de sise'llcurec a s x heure d q I assautdéIsu t t a tau l' à cinq h etIueas dflar clos trou[ ont de con-
tage et, entrain, aval nt,re ml,sie rPrinheure, em pur Ee tel, tes les positronI de 1 eu..ni ,'ât.iL consi t q. ut aqui
terne t 1 quelle f e t o l e 51 na il
pot rmoinritf- a t ont I 1X111 e d sesee
poGeten oiei, la del00h' offl"elle on anacape ldnn' il, t l'là i.ta dise s
Pavillons hoirs, Annamites et'Chrnots Jooutg d
.fia dlen Toillin, gnele
qu il u ,il ta. de luieut g s l n
u, d« g ers 1blee sd rio, I s
rm péric'inle
Ie sr..iit me,
allaalto s
lit -1111OCh nois L'p a, a
no>iu h ot,nl o t à
d ce.ss ffo't lécauln ibt, que
lee
s d".iài,e t à M Jules
p- y p M 1 a q l t b nos, n'Att ndu lu pt00 de lay pour se pro-Il,
amieVous verres, nep- d t q M J" es
le ,y 1 Pfl au+t j," s 1,11 paix avco Iv CIA te Em
nd p t q P unir ,
ll t plus 00
est le chiils iole,he udu New Yok Hie-
. r 1 l C' h t
etquec lt ]Ai n g sl rlèvre le d ffl I q a t l subsoranaj t l ot le qui paraitmnp, ,., te da la p10 ç, i tl rade
o Le uh,(f e de s,. ! t e leva lt Soetayu na pas depassu 70 tus. et IOé blesséss dam la p fI 1 tués etu 60 h! . u dans la le o L total>, dr 8 tés et 210 bl I1s c. chPn fies t Isr s 4 ff osera r- tu la bl . n O oit qn il y Icur de la
i chi9e le 1,000, télégraphié pur np lait de IIong Kong à uuj orr-
n ual ô ait gorAicsi qu'il cal ;'usage, n'est seulement
lorsqua m, rapports concernant ies co n-bats livrés devant Soetay et remis pur les
tût ou taril avec les propres instrurneulsde Imire crimes.
Le vice-rni s'émit; armé ,'nn long poi-gnard jnpnmaie, qu'il avait détaché d'unepanoplie. Cette arme était Doloire d'unpoison subtil et donnait la must à choquecoup.
Maintenant, dit il allons nnm a su-ral par nos propres yeux que t tsestpuI.Iu selon nos désira.
Il descendit à pas légers, tt franohi t ra-pidement la distance qui ,épurait son pa-luls de l'appartement de Fleur-de-Thé.L'anxidté loi,nouait des ailes.
Arrivé près rlu pavillon réservé à safemme, il s'arrélu prudemment à distance,à cause du chien.
Mais, contre son attente, le chien nebouge. pas, et la lune qui se dégagea en oecmoment d'un nuage, éclairant le sol, il vit
que la niche était us le et qu'aucun oada-riétai t couché dans les environs.
0h l oir ! songea-t-il, les shnses secompliquent ; qu'eut-il donc advmlu ?
Coin t It t à lt entureun bru t, laull I 'tg ou, uoment, r t IILI a cri.
L en! le bien enragé, murmura-t-il
n
avec stupeur.Citait, ea etFst, la bête sauvage qui,
lasse d'erreridans les jardins et ayan, flairéae proie nom sella, b lissait sors lui ea
grondant.Lnpossible de fuir : l'animal lui ouu-
past la retraite. Une seuls channe de sa-lut loi restait: c'était de pénétrer dans Ilsapparlmnents de Fleur-de=ohé avant quele ,bien n'eût [ranchs la dlrtaneo qui l'enséparait encore. Il courut à In porte, ma"s
s efforts pour l'ouvrir furenl inutiles:elle était verroasllée ou dedans.
Le chien approchait toujours : le dangercroissant de secoule eu socende.
Kou-oiIl ruse était brave; cependaint,,nie l t 1 ra q b ie.mue du
h n, il e E le fr 'aon, 11 t claquaientdo0ri
- Oh I mes palais, mes titres, mue dlgnités, mue riehansecs à qui .e délivrera decette bbte mudite I s'écria-t-il.
Mais mut le monde dormant dans le pa-lus, et sl avait le temps d'être dévorévingt fois avant que ses cris loi eussent at-tiré du secoure,
mandants dae différentsus corps à l'ami-ral Cou chat se or t pur ven au goaver-neno-et I s fer, co naître les .an,.dNh t t de,bl é,
oie lln't 1
e t ssitot si u plu, lot rf,c mée quenon, It, éléormians, qui lis 1,
ul tu
p,11 il lamy pou. rague use fois de p.asn t C e t o p 1, tà l I l 1( un ParleIl .ai,q f t Il t de nitre cu.q t I P c l r de gravesIlh. lI L 2 e te loi grement
,let, ot I o est pas dit0cile de voir,ap L 11, 11 utn e d on riel >, q m ce
t p - t d As d I Ch e
mend t 1 sb La
1 t I i'.tton! slè 1 r gn 1 I l ocra t' d t t J k n
9 't pi t -or' z I
n A R i,àID titaUs Mâ e est Li_u
fa I, t 1, i F t la Ch' bm S:.at a Lenbre silélendant p u
q l cabnut d I,Rt 1 fn"Iài' vin p y, tt. L f t q' t
le b rt q L p t I f p qart ,ui,I t nnnantt, "Il'
Oq l h t t a I r e , p l irei M J A y p t q le
e dt il ut qi 5lev
t i
'xil et p.>i ait d-, e sur In qui ion. Lxp.rt Is, ,e osabiltés nec suait que
leciacLa q p élent c i t
gL,o
avec la s t f I I lehlyde chezle président du II glor eux que
tétait iii qa andat os t0 lesdevant 9u laye D t s le is ontpus ,u p'a'ir e qua M. Jules erry,r I p enc0,patocs
geaeFreles,
affi l t e, hôt de c soir q e lap de no ope nt sI C 'sI
le,he pas I, et aciat- sde coupose, e .n t e] 6 1 0
il, du jeun r, o cette 5l-abie
lus militaires annt-al les être
ltè la ,ci e Sel, t Y P
4 P é. l ,onP t ? O It elle
ier e u r ne t p qac la Chia,a 8 Pa 1 Le tr i g' 1' p r_, an luOnorb t j t d j I see
q l' t- t,p è. pi d 5 t y
d , o d .cintere, qei, !ni-'t as p. .xe.
n L , dipl , d aujourd hu , pe: la pn , t 1 >rse,l, à l'hà
uger parle et In qua é Aes convives, alhier que par les préparatifs dout i estl' bjot "sis puer tous ses devoirs ersdel s Rpbq Dp sle m
d1é
o
d L ,Imaoe
t' 1ffsu' t
de NIJulesFerre' et Ic,h 'leY Je re sas
g gr
t i eq 1 la onA t- et toute In ..e deT
iLt ue a vront pas u festin de
O a fut cou^u tout 1 0, 1
b' t: jets I él tuf u d M Unltie,,oà L lry L l d t flair ht 3altea l t dé. r, ! t
d'atoo i,=um l t dsma
g I t It t p tout I, ,
tri L 1 q I t t d -
à ses électeurs e pumet Cas O e -Inpn ar gx.ls bau,s il Ilsp ale eg,,nmt ta,me la dru nlor dqui de d,et,ju. i ede,Gnod etdos na,ie'. mises eu contre loi pao s
,Ili, pré à pluI mtI
L a ons pas ts éta sl dit il ,
it1g é te lui. L q a Il ieM htp,,ll or env y 't sé n asitua o,dootilee lev electears et otar pour soloin,lotiteoi Il t t I l'es ove, para la
digmts et la mur t d uffrage uiail, qua la lam'è C ese Il tutt que
toI L'Ille
tout t11 Ct ftf ppéOtb
h' i
Ira t sla napl,i e,d pua de quel gi Dopa ale, sel et a coin[ t,f 1 to
** On dit que [emprunt vmod,a dansl0 p jeu rs nej xnv,eu, gc'ua y ira-laille dtj1IsOs il ivemeatan minus aère desfluaucos et qu'il atteindra peutétrea00mil-Iron
Uss ) ourual a parlé de lu dote du 10jan-
Tout A coup il poussa une exclamationdoj sue. Il vouait d'apercevoir à gcelquessa' du dol, uio fenéi re fermée var une ja-
lousie en titres de bambous. Cette Ienétrecuit sur la chambre de Fleur-deThé,
sur Dette momo chambre d'où avons,u l'infortunée femme s'enfuir pour se ué-fug chea roll ce.
C p j q h 1 t r déchirer lajal" reàeoopse p.lign atl, [ouvrisprécipiter an travers, tout cela fat pourle vice-rol l'a1aire d'une minute.
Il était temps. Le chien, dont la ragedécuplait les forces, s'était élancé d'ocbond pour le dévorer; mais, ue reucon-front que le vide, la bête furieuse alladonner tête baissée eootre la muraille.
- Sauvé! je suis sauvé[ dit Kou-ei-li-qui respira hruyammen t dés qu'il se-
vit hure des atteintes du dogue.IL se secoua, se rata, es palpa, peur voir
s'il n'avait pas laissé dehors, entre lescrues Je l'animal, ira bras, une jambe, unepe tc ql 9 le o l' idu.
N Us lit t dit d A1dê,idé
Ion er i. t I t e t p ur moi, j ennu lev M d h d t s mo is
n I ss s n i y voig
t goutte; ilfait nie, r ,me dans un four.
Il fi t un pis en avant, les bras tendus,pou, reconnaître la localité S'mia'n unsilfleme,t aigu le 0t bals.tl hri ou entes']ait en mère le nps oe brnisee,nent, serabloble au froissement de plusieore c esqu'eu eurou le, et qui avait déjà effrayéFleur-de-'rhé.
- Uel. I qu'est cola? demanda-t-il.Il fit de nouveau quelques pas eo uvent,
De uoaveaus siffloments es 0reuteatenuire,plus distincts cette fois : ils emhleientpartir de tous les posata de la chambre. Le
e-roi en éprouva une commotion quilui ébranla tout le systéme verveux.
- Les .serpents! b osseur--t il d'unevoie étranglée. Malédiction 1 Je suis dansla chambre de Flous de Thé; ete'est In
nichée de serpents que j'avais déposéedans son lit, qui rampe entour de mos, quiVa nl'enlacér, pont-étre. Fuyons)
Il courut à le fenêtre. Mare, à penne eut-il perché la tâte dehors, qu7l se rejeta snarrière. IL venait d'apercevoir en bas le1hiers qui, l'or[ flamboyant, la gueule ou-verts, guettait son passage.
vie, ; e'ect beaucoup s'avavear , ,ar lebu1gatuepo a p ail t t otép ai fi, Sa at q p é I d ]rla I i,. Le 3 010 nt ,atl noteque 78, et il a Oéi h le 2 l sor
oupon do 76 cc stucs Le ,.ou rs d dujours bai correspond à celui de 77 2b e
PJ o r.,Il u àf Tlra,q rl épro
`PI du 1 sers put Il I t tfera t 51
11
't 1 1 par eq t d' q.1 I. t aifof
hI o d. l hnq Il
a', il udit on,
p ocedar a ro dessous do!
s
78,m[
bl rl taux demis ion da pl empruntpreeeden t.
* La R été fe. l'sole rte ta luk,a d S hy I h tI, ni^
t I 1 h.elte
q q -il t a t l hitat.en resulta,t les t "al tia,s 1O,Iei,e.
at i be
n'fic , cuit I I p eva d j u de
3d ehe t i . { Leedta,..
7--180 ; PAsusorIs ssbe A 77n105 N 112 ; l1 cal à91 071121 ,n
Taro 02 112 F,. rte,no à 3162bI R m Ina ote,mano à 618 76 ; le Sui1,902.
La Déclaration a propos dnbudget,
Voici le texte de la da laraton luesa sn d j r M Calmou, p 5 é d '. de lu
u en fi anciére du _Luat :VI) t II co'l, M sa il) il d 0 L'a Il ces n'a 1 a 3
os ,,ai o,oo,sen I d
p-' P se au gousern' t le dspo.,r1 b are. 1 Se t avant le 17 de
arbre' le0e budgoC P'des]
e dt.1sel .'il'cal slép fl maide l exercice 1881, p C t p la
Gham bre dos députes da sa atass o du15 lue ,bre.
Jlo e le répeedre à votre sonnaivotecOr fut t afpour vous nom tt t. p aille Itl s(,h b e I d p t la e, de, sox s ; Ot à mesure que les sersd i tète y 01s,ent ote, , elle 1 ot,
e t p tees résolu linos etc estqac, e qj apcès le ]épét à cotte
t ,hune du projet de ls,, l'honorableM D phin peut se t' mvcr e n e,urel' - aubois hr i sous o.manne le
rappel t qu'il a bran voulu es charger dele ,^Iélratefolsi votre commission croit être
este puoeitape t eintt géré'.[ dans
r cetermes de la Constitua ou, les lois de finbanet p t à1,
Chai
d d p tels t i' ll lois
,1eites
sa,ua cuit de éiruIhn1t q la,oton di S u e L Seaut e dam,un
d t b o1 c t , dra,it g'one diraO I t 1 t b -
bles t de ( b i d f a t desfi e xe à hSI l e s pa let ' l' A la l .g
- (T è bh.u ,rs ss notre, axer lue t 11
à cette tribune, par [organe de sen pie-l e s t I paf tl t q 1 1 j t ,le
b laoI 1 j -I t. tp l': a tt p jet
n't h l' Ch' b dae
d f te l 3 e d Il , I le r, il s u
ire soucas j c enI , , :t de.st ap,L-,j i. d I t 1 .te
u extra"
rlblo e, 1 Bgnavee toutela uiligeucs possi iblel vo este deux uutrois s es à pe n, à connaiser a cet
(Approbatur`GI 1e ta d r t aD o r q
1 -q ee
ptL he
1 e.,tre,ud,e le contrôle lu Sinai, cuuuI I n I ll j 1 1 m' t air7' t te t t la e ale
d c t t jours regrettable de Jouesèoles
Il 01 l ac à désirer q. e "p'o!o rouf pas atl, duos la a'rcanntanca ueruelle, le cou mission ne peut qua se le
il. àbla ds positondo Seuat (N0 celle
ppro j
La Patrie et les Lois.v Co ne soet ni les murs ci les hommes
qui billa patrie, eaeout leelois, les .mors,
In Possible d'éohapfer ru dogue- Etderrière lui, autour rle lui, uu .ilion desténébree,les serpenta redoublaient leurssifflements.
Il ne les voyait pus, l'obscurité l'empé-chair de rirai distinguer; mais il les se -lait, il les Assenait, il les venir.L b 't tl lors anneaux sur le sol 1 av . t''. le leurs mouveme sis De mineten .mate, lis se
rapprochaient.
tétaitaiutermut comme la rumeur de m maréemutante.al loi... s'étaitfaitsoudai., il eùt vu
les reptiles immondes éavaueer, péle-méle, en demi-cercle, pressés, euleoés, sehâtant, grouillant, tendant tous vers unbat commun, vers une proie commune:lui.
Ce qu'il ne pouvait voir. il se le figurait.Son poil eo hérisse , de larges gouttes desueur coulaient eus ces tempes, ses dentsulaquoleut
J ia . Iemi-psér bl a ourir an] p m tslc tt péls bl !
1 G 1 fit mouvement Feu,s r 1 lej- d'l
Mais le chies., lhniu lb.e ch en semblaitavoir commence, lui aussi, de cette posl-tio
Il datait imu se contre le mur de toutela hauleu de ,ss porlos, s
feu respirait bruyau,roent;s s il mailongeeitites Inngues dents crochues et poussait des
abo1emeu ts furibuaile, er
me pour direans serpents d0 l'intérleur tt MOi aussi,je veux ma part de le curée I s
Pris cotre le monstre ot les reptiles, levice-roi de Cantus, fou d'épouvante et dedO'esposr, les invoquait tour à tour, commes'ils avaient pu se comprendre.
- O serpents disuir ll pour les atto-(il, éloignez-vous de nui, et, fis! de
vince-
] f ai p, épar er un jard,u ingnihqu" dam. equal je lots lutter au tausles jours un eni'mt à dévorer... Oh I boadogue) as te ma lassses fuir, jmo te lors-i
instruire erra belle niche d'or assif Quedse-jo, lin, niche? uue pagode, ss tu le pré-fères; uue pagode hsept elages, dans la-quelle les bonzes te serviront et les peuplest'adoreront comme en Dieu.
Mais tandis qu'il priait et blasphémait
l'industrie, le eummorce, tontes chose, quin tp 1 f té .n
ci 0.s fortà I J-a J q Rousseau,
P 1, I M 1 ente deSnmt Fo c Igé 1, P e, demis1 r nl q bl- I q l I lo,çuàI visa, d A t -d o eut n
.t bu il l il
ul't,
'' f td Il gc odest i, g otè ff,çabirsd d ( pies I bras, et sut le.y l t t I mou d I I Ici e. Led o'4 p rze t fa re C, h . 1 retourn P oP +t e tentative i,-,, el iloset, un pas tell ograrlo vois l'état de Darbarra.
L t le '1 t bl il n,. ilp t t p' ( I f l nir rIt r part 1.1 pol,
, ri.é t q I m Ire n,, , ,.I l que lu
O' a'y b .n gquuerré tous lesc tsyoes 'ill.sou, la , sagards de luissasetl te
Loor p I.g I fable et Ioppnioc,pour pa l' tl la I ri ilp t e p l l d: ..
Il d+it t I tshir L tl' 1 et .ett l e tpr i' g i l Ié'Iee
p
o
et q I peut1 er t a,m"ao la paucrie
.t sq I f e Iefcndrecelle i, le é-uirp. let out.L ,e[ 1 t I. b ai ont pas tous
h ,u d. stn,uln ,t, ,rami faire généreu-eut le sam,0'O ']e leur v o gmaud la
patio est en danger, et nous pouvons,h camant re die a 1 armée française cettej :t e, qu'elle est le ,e"tee-sues des'm g - I b d lev oir,
1
tnultacther
qn
I à cou-pmx da tour eoog, le de-
fstd.svieulestralrtsois de gloire et dep t >fxne qui far out de tout temps sonI x npao0gec
Q ,a, d t i 1' jeoaeure recourtpour cd aug.r sol, les plis du drapeau,
-q p- e es, d .t le nom-tir le déf d et elle e ge ser-t p 5 d q 1 p t l araser.IS l q d f t de lad i f ll j I t p tée sa
t 1, q'ttr les rangs de l'aiaoni q 1 .go 1 ...,o t, ne len, aIl I
,ai,d fonces pour Iu Ole,
Mlles, la,sgn ils sen sépar ont en 010155antlents sas gloIs, le miment n'est- I pas ar-
é, p sur la pays, d'acquitter é,nm s euelarda tto de la reconnaissance f fendant le
da eepeo is 'I. ont 'more al'vie,ssuive t t sa part lobs et
d'u n sollicitane paternelle et wnstan te sTous saut ses enfants au même titre ; il
lent doit 1 tous les mêmes soins, les
mOs les ond'Ig,m de I'exis tance se modi-Ge,t, s, In v e devient pl dsff I', pluscoûteuse 1 p d 1 're deleur ven e ad IEt,tmanqueasesde-
s'1 bls 1 ,rions peur nO r adsuper q d pl j n e
Que panera t on du chef d'us grandef Ils, l 1 preux On faits, ,nibl
11 citude rosi Îsus cadets 911LOpinisrI bl q e le r 't orotr' 1 ,, er le
it I s Zr, 1 Dix pour flétrir cetteIl,1: use tr'tr t I ti à.
d boiseur pieuse ,IS'iuesoi arrive aujoor-
Ales 'l'osé dans une largeavidifel aveu r de lors les généraux, quels
qn ils soient, et dus ufhmrrs de tout gradet on, à I etra110, rile a étemiu
ses bis farts à tous les svOn-olOmers et,et-d t a pt Q t c eue
fh a, da I I t s t, elle1 a de d r so,e et lesair -Orsa ira tes par mv Ils voientilenrs cadets
non vivre l ans l'abandon, du pou.tour fart face aA exigences de la vienouvelle ; musc cas,dont la santé , àclamedos soins cohteux par q 0gO a,g-
sntele ombre et gravitéa t d r 0rites, ,Is co t 1 n à hét i la gère.TOlee,t lajuauce dise ie t 1 j r,
Et qu oppose t o Ol l lions?Des a sc r r t. j s ],a
s, o II, 1 gens e nbIr.Iea pour lelondla. On invoque contre en. la pénuriedu Trésor; co me si la Chambre n'yrampO point tant les millions qu on lui do-
anrlepourseslise-s le uu sou cictimes dullnox- Déce,nbre l On len, fait espérerdes temps meilleurs; 1a Chambre qui l'o.
si, comme pris dedélire, il snntitgrauil-terrsous ses pi,ds l'amas de cupules.
Il poussa un ràle lori ble, affermit sonpoignard japonais clans sa main drome, et,se penchant au dehors de le Ça n être, sl es-suya de le plonger dans le ventredu chien.Mas I l ' t, I ruse, t1t u saut
Je1a A
tcu
qs E les arpents, glissant
le long des jambes du vice ro , l'enrou-laient de leurs plis mortels.
Alors, hurlant de tancer, désespéré, letàte Kon-ci-li-ang se précipita àtout hasard dans le jardin.Ce fat la derniéro tentative que 0l cem-able pour échapper au chàtimeut de
Dira
Les serpents, enlacés aller, de ses jam-bes, le Prent IIébuoher1 il tomba la facecontre terre, et aussuat cep trios et china
ncérent sur lui leur ouvre de dé-I astatiou.
XIIQue vous diraije de plus 7Quand vint le ur on ne retrouvejD suris
eéue du carne+re quaque1qsue es
n l débrisnglaits. Las ae sl tetours du plais ue,qa P
as clameurs urd nus éveillés, af0r-erent evoir
soentenduleur mettre confos-
milieu des bi es, qu'il étaitautour de la mort
0 de
enosses sis premières
feraFleur-de-Thé était devenue libre.La proteolion visible dont Dieu l'avaitverte pour la soustraire aux périls qui
la menaçaient lui acquit une certaine no-toriété dans la contrée.
On parlait de son salut comme d'un mi-racle; on la regardait comme une sainte.L'Empereur, fils du Ciel, à qui l'événe-ment fut raconté, ta voulut voir.
Il se sentit pris d'ooe affection profondeà la vie d'une femme si jeune, si bol:e, siaocomphe on lents, choses et quo lu pro-tectron du 'sel avait visiblement préservéed ana mort epuuvantzhle; il l'èpousa unan après la mort de Kou-ci-Is-ang.
Fleur-do--Thé vécut heureuse e s ledialéme, et c'est d'elle 'lae desce;,d 1adynastie des Ming, qui tint si longtemps,a'ume main haute et ferme, le sceptre del'empare chinois.
FIN
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va làguo d cell' qui vilut l'obligation à la-quede et le le 1 b a legs [et huit ge,mais . qui t 6. pas, -'t 1 difi-
A I , égal dV 1 rioq que dore et
qmille eftniers. t t,x lr ta sans avoir obtej t .I
N repue 1 t I sont les boomq t .t h ô l o q t
A lg q I -t crox q td I
`i t 1 I h. l do Mponta t 1o S Iferrno, qui -t li itp l t j ry at bottes l' mur s le Il ,.P...d 1 P I
Quels t l x soldats déjà r tvin,t t: t a -t b s
sousble rl "peau aux trois cru leurs?
p ace
C t u q u,d'huèe
L Im t t 1 l p 1.
G t Ild 1 1 I d p. sP
sola p I l l IlI m I I
p [ 'té let b Elle .toa ai,.p tl l lq lu,IN i l h t t t''c tt 7 111 jrt à Ieg'rlI l g u q I f 7 '1
les t l d t I l P'lcettlsanmesal g t'n qu
n
n.L. Cos,t,u lit. OnMAanc.
LA PRISE DE SONTAY
N. 7 eut les perlas que Dons .nsép ut mes s gr i" q
ne L.,lies
l j pd
t, ILa. s't lI le t ee n l { ile tp.n
d'a, la nuit 1 10 17 I 1 lr
ne A t .t Ch' I L 7 deb!il . aid t 9 t f t'Il 1
elli g 1 6 It directs gril.Lit I _i. .i 1866surviel olé leslyn sac Et Hilo, gii,e . enalepria la ville de Saigon,
lesigt mille
Annumrtes qui le, défera da e t ut disparumorne ha: e, et ilest impossible
lont rate,.- de ,avoir par quelletout,. En ,flot, dés qu'ils ,orri ébranlés,ces soldats sa esprit militaire, commetuas les Asiatiques de l'Extrômc1Orient,0e
^oopouteur sG, ete p 11 et
t e t d . It ors foyers en se léb.t t ou plus sit Lie leurs rince et de tout
ce qui cul Ira usai raguer des autres d't l ...
11 y ` 1 do. ie L à concevoir, Idépêche lu 1 l l ff ,, ii yavoit ile
éy l' k à SL Y puisque lec 7 t l l e p i t I
c f lque
1 leu g d. l l y,ait l lt A n ue b Il.s
et Oh ' tn s Nous avoas d e tutoit. euI .s n rPgul lors de l'eril i d dieu
tl Oui p tbnble gaiIlIl
i t n
que l' ilion. no rs, q e sis-sort la. t le sein de déh.udre las ap-proche, de Snnt cy.
L. prise de utte ville nous x coûte86 hem mes tu .t 402b1 t h t-ta, sApeup' ql tll lf tftotai. Le
iiI-dit e
troc- 3o P. ,licence dons don poupet q' p t 1 mpeebter de ce, [muerJe op 't to
Q I tl ee dr'q Ilong Boa, qui est sule fl R 6 , à uns reniai uo,le kilombk'es de sontay,
Lusir
BacNah, il
vi ème 7. 'i'.-haeroo,troololi, ait
equ il ne 1'. fait dais lamoor,Il
,1 11 n.ig Bu a, la wladelle a erxceats mbtrou de tram et n'est qu'A quatre mots m'tues du fieuvo L'eneelu to cet eeustitueepar nu petit mur en brimes de trais à qua-tre ,ai, s d'épaielour, prerége par un pe-tit fossé, qai était eu musais état au
meucemout de l'anaée En une àtspe,colonne a po arriver sou' les mers de
te citadelle et t,es probablementpu, san, coup férir
Le, p tous S o Lyi 1.rm.er ta r'r été manéesa er, inc, nl
rets de coup ""I'. L'amiral Cari but atenu à agir aveu taus les nroyeris quo lamétropole avait litrigés sur 1. T'ellan, et,d q' la eu Marot os re f G et lte .I l mt il loure t J aposer 1 marchetir So o't' y avec metbe te, oe lïv,aut lie.
au hasard, et eu cala admirablemeut se-uelil avait
missépat' uo colonelxeut , auq
laisse, letrouiande'ment
si pôrieur destroupes le
teuimle
arme,.Peut à lrr oui te des év éuements die toua
lo monde connaît que D'amral Courbés aété iu vesll de tous les
pouvoiirs
n'L'oukin,t leur uiI""ration entre ses mains u e.
les plus heureux résultats. Sans porter desTouillas dbo,unue de mr r ie L'amiral Cour-be', l'otites les personnes qui le connais-
enI appas ndissaiettt ea china du minis-ter do la mutine.
L'amiral Cuti] het est un des officiers gé-déraua sur lesquels onmpte le corps x.-quel il appas tirette Tués instruis, au cou-rant de taus les détails de la science ,a,,-,
A
tentesqai emprunte tant mua urr l'hui
oo deuloi, 1, ... chass,, dosCotai bat
ua
lailes dons
les plis précieux da commandement : u
grande sagacité, une volonté é,mrgigxeic à la ténacité saris laquelle ou bute
trop cous ".et coutre les premiers ehula-eles Il a su liter an exoelloot parut desituation de c ndnh do la divisionnavads. Certain qu'iil n'avait rien à criun-tee du 'Sté de la mer, il a pris taus son
,a-,tel l",
eu vue de l'effort suprême, toutqu'il pouvait en tirer ,nus r, mitre à la xé-brise do ces bàti nient,. Et ea cela était
l'avantage de donner le commandementd'une expodltion do uaructè,e mixte à unothe,e, général de la marine.
Miaous-le, il a été vaillammeat seeoudépar les troupes le tontes armes qui étaient
ordres L'infauierio de menue etus eesles elies p.. a. 'osuend ont ait les Lion-
,.a des p s journées. LlIufa fode ,.art" ai,
tore,, - elfe avait ri plu, fort'o">'
effectif, - la logine étrangère et Les ma,uins out donné (assaut final et sont entréeles premiers dans la citadelle.
C'est à la vaillance des chefs et des sol-date et m is du corps expéditi.... iraque la France doit les brillants sucubs quivengent pi andernent la mort du comman-dact Rivière; mail il .e faut pas oublierceux qui l'ont préparé.
Lorsque l'xm irai Peyron a accepté le mi-t I I nai re du Tonkin
était e b a g e d fur ceset des moyeuxu ff - t D T l'heure où, avec cou
ut le b tpatriotique'
il u prisI p l l P yron a jamaisdm.e d suc o g I a,s il l'a spreparo
nesolloitr de le tous les eptums,alleud'atteindre le but que la France saproposait. 11 a mis en wavre tonte las ras-
,rares, de la grande administration qu'ildingo.
Le rumba/ dn 1-1 décembre.Le ministre de la marine a rega du
eo tre umual Cou ,bel m pport compictdt et t t uln 14lé b e
Le Figa o a Ill I r In o r a0aa dece rapport, qu il analyse. In la façe u-sante :
f,[ li'ort priocpa, a porté sur lest F-t ,n amen, et en I d 5 tay I
t h t él ,,a!- 1. route son,1f. tut, peint q I t' t 41110,
t b d t l d front. Cbe h à lit- 1, ,ivo f t d l' des
f l le Oh t lecol
t I L' m l p .f I t , et,PoilI t { f t 'à, l t11
i'1 t, t I. 6 1 t t
d D g l fi stil e f qu
i 1 ILft. e1 - t t 10
R d L ut 1 t S tyI t 1 liait t t,o,
in
I t i 1 y I. t p. àfb Ph àt
'
t t I Ih 1h'u llr.s,e é .p t é a
I s t y a u ep o u,
opâh1 Iét y
M'' ld tt e tbo d 1 1' tpoint, rÎ .ployé, p L f. 1
luO tt il
q ii t l or eteI
t l d I
l o i n , c r o i t , I
p,, P t l I t u l ffo d o t i y I. p. 1
Indre de ,cirai eh 'Iii ts Clavés de,loi
Phi aa chemin qui conduit de la et tadellean trouve
Nos troopes oprauv'sent dans ce pie-u e mt t 1 I t ,h1 3 fû-s
.tG7i I1 t t étét 10 ft iet Il t ,t tl, é M s -:,I
Iitt 1 b l p l i a i . d l r
ft t i d I tdellequil dcuet" tpossible d'attaquer lomtil plus f 'i l c. t l lira le, Lest s
de l'Ouestq,I 1, avaient
pis été n enI bon état ii défense que ce de
I Est, en, derutars fui. 'en t face à lal11) al.qui part ae sontay pour aboutir à Buuofquo devaient semblablement suivre cetroupe.
La tactique mnployée devait réussir. Lessuviilons noirs 'tai ont convainmis ga'au-
u.rle leu Ie batteries elexeli, remetB t } u, dos berges d ll t les nea attendaient pas d âtre attaques côté,je 111-Ta. Il -e pouvaient . e à cridub iiq m e II t et
tot 1 fes 1 ,a d
étaient -retirées à l t l SmCpd I I I I It f ne_a IL
1,la
b 1 U y 1 . I goes de retan hruts lof udeiit de oe coté les apprit h s
âo iu pi teeL' i se borna, floris I j i u 14
à 1' contre e 1 1 .Il feu trèsif avec se pi g . F P 1v
res.....e. d o fc I yf II Li Ilonger 0,000 hommes t tl . d u, .h
de façon à défi' ' tout-sont. parmitroc lias, il y a des romitognords Moi d'on.grande ont ép dt.
L htd avaient été .ig eu. tet l dit d ilte lattq. d f t
ce, rtiraierhononts ét t clairementd 0 t ûa
ll
par 1a-roll forma lepr
jet l. fe'ndrattaque soc ire tes oses 1 impers deporter le P ci [p l
d
fort S: t y _I niCe plan t I t. q d 7
outre lit citadelle et de pleuvoir, eu cas desucobs, prendre à roooors ira I
on tut ces d'op' er aile d: crsioasusceptible peut-êtee de faire abandonnerles retrauchemen tu pur une partie de leursdêfeus,ue,.
Le 1l, l'armée franchissait ,uns .final-tien le Day, à la hauteur de Phong, et lelendemain une pinne des troupes r n-Laltla rivière pour s'embarquer .sur desjnuques -lamellées grand nomb,''e tu
fi ,tIl fl fil noir lu 13 14
f t pé 1 fil- d t le batteries doBat Moï et de Cie, et à I. p rte de jourle.. troupes mataient le débarquement. UnbuLuiiloo de tirailleurs algériens fut mis àterre à Phu-Th. .nos le feu môme de len-
; il fo t l' g che du petit corpscompose promise -Détonnent de soldatsd'i afo i tarie de marine.
Pentlau1 ce tompe, un feu très vif d'ar-tillerie é échangouiI à une lieue de là, àl'est de Sontay, cure nos batteries postées
ont de Bun- lia et les ratrauchementsis de Tramp. La ville de Sontay se
ti,,nvait ainsi plumée entre les deux corpsas_salllanta Mais taudis que dans celle derai'r' direction tout se bornait à an fourolent d'artillerie, la luire était grandetir l,s borde du fleuve, où après nnejour-
née de combat nos troupes r e,,iIlota
às'empare da nq villagms fortifiés et, prsuite,
der
lalciigne
de batteries s'étendantde PhuPhi on chemin de Sentuy auà.ave. Le fer des canonnières assura eepremier saucés, qui n'a ôté rende possible
r leurs concoursgaDèsa la so r, le feu des pi'ces trouvéesdoua les historié, ennemies était tournécontre la place, et les canonnières débar-quaient l'artltlarie qu'elles avaient embar-quée eu vue d'un siège à faire.
Les journées du 15 et du 16 devaientêtre employées à se fortifier sur les pointsconquis et à faire des vil lages, enlevés àlouent de Soatay, le base des opevat,onseu. re la ville qui vouait ainsi d'être tour-
te qui permettait de l'investir pres-quecomplétement eaux seheurter sus ou-vrages extrèmemeut fortifiés cors truite àl'est de la place et qui la rendaient pres-que ion.prenable de as télé pour an aussipetit corps d'armée.
Le 17, les troopes débargnéee à Phu-'L'ha devalootI être I'enfnredes de tous Ieshom torrs i t il tait I r b de dégarnirla sew,rlelg d'ove.tsou t, ainsi quepar tous les ,.soins de la flottille, et l'as-saut devait ôtre douné contre les bastionsde l'Ouest, après vu bomherdement gêné-La[ et dès que les brtehes faites à lu pre-mière enceinte auraient été rendues prati-cables.
Les Allemands et les limeBaléares.
Barcelone, 19 décembre.Le pr ce impérial dAli g e Il
vous soi ce r est parti préar-ai'pitamme t 1 t ville, sous p'texte
qu'il av t jan t l tops d'eue end.àBee'lin fleur la N I n p dire terrentfart voile pour Gelas en quittant les côtesd'Espagne. If s'est arrâté aux îles B.-heures.
Samedi dernier, vers trois heures del'aprèe-midi, l'escadre allemande se pre-outait e u vue de M h il . . D t ires
qui lIl Il
1"Il it o1 Il I Lt eIci ne
let/, t I . 1 Part; le, leu teeslestbecet an hors.
1,' I,o eleyq t encore que vr 6ta, l rilà. et
p9i dhb itle rem s lea ln caroncte de L,p blle Mais la rat ue .
este 3 que, d'ap A I
e 11 1 po
t I
à 1 .I I qu'il f
,ne n à e 1 pI 1 tinvited I roula l", t I I I
use ch arh.,u t 1 'Il'are
ma r queue pr,oo paG da, celle
d'aller le plue let terne, t 1 Oas blé doue le arol
t gtemps
PeIi t 1 p 'geo dontI .t t l lj t i I f l, t4.10 q t p t l II G
4 t I f tf t nos tI i t t t e 1
t t0 tlIIllI3 an.[ La p d l - j q à l t
A I I t 13I t 1 l' il,, et p r: Il da
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.r . dos.'1 t q Lomi aient ofi r
le, tins Biléaf e. eu cas d évm,taalités pro,Injure t
DIVERSLe d d. 1 , do 'fusains.
Rue-
Terrine, f t siôme, sete d SI :bl tde I_Zft ,eis"I
"[aine, dirige par deux n, MM.Riein et Maurice Wé s. Ce dernier, unbure h n ode 'n'ai, e E-l nos' devait .-
er hier ao c MilleEatb
er LAvy, [no-dtste, nièce de M. G. Lévy, piopr ét edes grands magas'ns A Pulsais, et de
uteut avec ex mère, ras d'An gouiame,n 1.
Le mariage civil devait avoir lie. àonze h.cra, à 1 ait ne du Loisible.aua s C et I benédretion tel g
"do ux "rire., eu i, m pie is sel te de lase ft k D ,eooe Naza, elh,A l' h e, plus de mn,quante invités
ét it tlAag.ulên,e, mine lefi cc it pas . Ou com ç ut
c
rire quand tout à upsioni_
é MEloin,
c t tort é n uç- t I Maurice Woisc verrait dutre asea
ISarn0nvelle étmt vraie. malheureuse-tV ce q'Ij t
a
tp'u.I y I Iqu ô W avait lié
lo t t ua laine fille, MieE:i-,' Vol dies, égaiement m disle, boulevend Becuunarchais, 111. Il y avait eu tout
asda,uonr Mat il y gnolquesliej qn Else p[. t f rmsmentI la f ie d M c l loi
t reliraient é à Leleta e 9. P;
était""'P"
acolleeax
t qu'il t veuarc
fêlai seejira de Il venge,. Elle ur tllement truc pa le.Fine t y à huit heures, au moment
VVC b hll 't pour sa rendre chezLitfoi oie, Edos Verdier afriva rue de
T nomElle fut reçue par M. El,,!,,, à qui elle
de lui permettre dam brassernue dernière fois celai qu'elle ue devaitplu, revoir ...calmentvoulantL éviter a le .oeuxdale quepool, ail provoquer an ratas, il la fit .atror dans la chambre à coucher de son amiet le retira.
Un q t d'honte se passa 'Fout à coup,tot .. vint l'épouvanter. Il se-
courut. t'o ép an tabletableau I attondoit: Wons-, font babillé, gisait su, leparquet, à côté du lit, la gorge confiée,baigné dues ana large flagme de sang.
Près de lui, a rusante, le teuaut olacé d'en bras, tondus que l'autre s'agitaiteonvulsovement, El s, Verdier était éten-du,, 1. tète fracassée.
Elle s'ôtait tiré on coup de évoluerdons l'oreille droite, prés de l'artère tem-porale.
Ü. couteau catalan et an révoiver deporc exilera, encore chdegé de cinq bal-les, étaient à côté dos deux corps.
M. EIe i appela a secours.O.
allaaherrher
au,n éd s
i
avaitin qui
n at qui, Wles
aval coupéede
e vivreil avait 1 ambrea ras coupée.
Quant à Elise, n ll® respiraiteneore, maisson état est désespéré.
A 1 flot Dila, cu aile a été portée, unDroit qu'elle ne passera pas la Doit.
Tel est le drame. On a parlé un instantde double sutclde ; mais cetteversion n'estpas admissible un instant C'est bien EliseVerdier qui a apporté le couteau et lerévolter, pour punir aoo amant infidèleet se tuer ensuite.
Trente mdllo francs dan, una-alrÇO. .
M, J.-B. Vergifs, cocher chez M.OiA-volet, rue Notre Dvm drs-Vlatoi,es,sait eu la singulière Idée de cacher dans
a. caleçon toutes sea économies, représen-tant 00e somme de 30,000 fr. ou valeurs
an
porteurcroyait sa pet(te fortune bien en sû-
t for.. u on, Jet l'avertir hier,des malféttem'e s'étaient introduits danssa chambre.
Qu'on juge de sa frayenrI Il monta qua-tre à quatre che. lai, et constata que lesvoleurs avaient tout emporté... sauf lecaleçon, qu'ils avaient dédaigné.
Nous laissons à penser combien Vergièsen félicite de son idée.
Un clairon condamné à mort.Le conseil de guerre a condamné à
mort le clairet, Rougie, du 75 de ligue, engarnison à Briançon, qui, étant ivre, adonné des coups de baïonnette à un sur-port et à plusieurs soldats chargés del'nerétce
sur la demande du défenseur, le conseila signé un recours eu pi Sec.
TRIBUNAUXuses histoire de poissons.
Alphonse; d'exercer réellement ]ainxl dénomme. eC d'aimer
uu p le p.issou.I lu u t l qu le ho h i
10 t . t qualité., tantest q e aloi blalle
IIé 1 s ex
riron, aime, t i IagiAment dei fini- o It 11e peur vold.l iml . nie de deus de ces
Irais l' q'' 3 t P e tRoquen L, f. do procès sont hp bien
t par IU [bitura,tara, pourq se. p's
i,éaurte
mo.IL I le.M Je vas,.a, dire, nom pet -I
t; lh1. t là
tant'-` Leq lyCit dôr n tàtet t ila p- I- son
Il
s
-s es, ,, [ tétrsqt s ,ni jus 'or,
le p p,un IIstil,
y g.stq gItlo.j
y d il t b lie neur. Ilt t- . I . d h. tI. allaient en
l l i 1 h f h t C' t I
ç1 p'I -ao, on t l il',le
I 1 I. g t I- dvo'olooit .a1 1 le M Ion. q j'en ai [à an, Inoe
tr i . t u e q .,,j p - d e
e IllnI si mou président vent levo-Ii
le président. - C'est inutile, arriveztf' r l?
Le lerwin Voilà la ciste Julesb l IL, l , p t' t
. II
foi 1" w t I,os s'la .Ilvente, et d aque je
prévenu pa Je ,.a. bien tep
mleîr,u, mais fais aitentiou aux poi'sonsJ-0u les paies, q e .pond, ça meco 1 1
i l .vo, lems, j p
tour y fa re de oeil à 1 . ..or 's.Bien, ni voit" t l i,le,st il part avec
tu l j p pean ,m .rati t i p L
le s t 0 t l uoherejeInsu u fe lins. s Si ballais on
a,
lirons du peut. n Nos 1 q.'elleme dit,l a t liop fea£;ite, tattraç pee. e desLimite ro. - Bo,, je uch ; je dorsagité rappcrt à ,non bateau et à mes pos-sors jxno la vente; le lendemain, sitôt lejour, je vars ce uo h- h- r la berge,et, à p us d'au kilumetro, 1. retrouve mou
attoché par la chaîne à au pieu,Èadont tlïce abandonné, avec tous le,.CIi-faux de pêche dedans et ana r ou l e1 en
nioles q nnnq 't Je se bateau,plus le Litas, plus do pins n Je sursvole, que je me d s, attm,do u p que jete u'pmce, Quand, vers les quatre h es,ce joli. lb, il est revenu Ah bon Dieu,dot q-1 t tl
M I,p 2Rtte t - Que vous a ,éperdule p q Il il 1 o I oe dcr,tandàe q u é l . t e n t d'v- 1 prie; .s?Le lé,,lIhm Il ai a oN:ole vieille hôte
(lin ees )M le 7 éubdent, au prev eau - Vous
re a avoir .orst,ait le, poissonscent ... s 1a i. 1. barde.?
Laps u,oi, - Crret s ur: qui veu Il ion,' a, l'histoire do char a,,, d eau,
vmu il
quoi. Vô la t'y Pas an grand mutuelM l p étle t d IL P. é, ciel os. -
a [ t pé au vol etai partage des poissons, qu aveumoua àd ?
I ma J 'IL toujoars Suivi lo sortl'A IL h je veux pas que ça changenajuurd hul.
Errurtina - Moi, je voudrmu pee allerea pr rsoa 1
pou Alphonse et ses deaa pa ."laiu0 1 savr:1.
premieme, àtreize
2 p- son, et dos deux autres à sicmurs de la môme filon..
TRIBUNAL CORRECTIONNEL Dli LASEINE
t:nlre SavantsLa sonores a s i s et les savants
ont dos rancune0
bl ,' Je protescorrectionnel qu t de gager à or.-poil 1 fi- rr nous eu fo rait vno
..a-vois prit' e.
Il s'agit d'une querelle entre deux bot.-estea, entre M. Vauvel, jardinier en chefd
des popivièeiadu Mueénm, représentant la
-
officielle, et un botaniste amateur,M Chauré directeur da Monileur de1' &orlicullure. Les dissentiments entreces doux savants remontent essez haut,.ami qua a os Le connaissions au juste la
s, dès qu'une questiou surgis-lait, les deux botanistes o trouvaient enom plat désaccord. Si l'a S, soutenait qu'il
,,,luit mieux planter lies arbres m, pria`temps, l'un tao s'etfoeçaia de démon tuer qu' 1étuis préférable de les planter la autmuoLa science n'eût pu q, o gagna à ces dis
-.ions si elles fussent restées ,aime,,mats M. Chan.ré semblait r lacs eattaques
1"science officielle et an peu
l'institution du Moréarn; pool' M. Vauvel,sou adversaire appartenait à la classe desdémolisseurs.
La querella prit un caroctére plus aigur la questiou de savoir
Sile canna dilii
)fora appartientd lu fa mille des graminées,s cations fibreuses semblent ii.-
nu lère -peu, on à celle il- naaaxeées, -meon peut l'inférer u sas o tubérdosses A
cetCe
oecusiOn foreut
nté bich
ngéee desépithètes blessantes, aussi bien dans lejournal de M. Chaumé qua dans les articlesd0M Vas sel, Pins le Pulgarica-leundeL...-.tellure. Il y art envol detémoins;;
oeai pensèrent qu'il n'y avaitpas lieu de foira couler le sang, d'ensan-glanter 11, corolles du oanru. M. ChauméIntenta te procès actuel.
. deSn. urne très spirituelle platdolried
111*
u F. séuuO,1 poInp i
ur le jardinier en chefi , la tribusnoatondl l'a anretsnuvr oyéhqudosel. luplon
Ixpruovocation ê étaii
t venue de M. Chaumé.
V ]ÉS _]....P tir
LE PETIT JEANConte de Noël,
La neige tombait depuisdeux jours, cou-sait es toits, lesrontes, leschamps,
tassait silencieusementdnns les rocs, étouf-fait I b uit desoeitures, eucombt ait leseoil
d a t enveloppant t la ville d'unenotons iI,iI."bjlité.
L otites, P e da louis 3emau-r l e et laissant p user 1. tour-
pavés déroug(s .il ae glacent ]es pieds dosenfans.
Sous un store de gmpri f0 t des bouchot f I l II- d t, l es
dr'an ,,ans, petit 9 ç I 1 ilsregel de leu S t. bill inei ht,, l'air,et au posai sur les voues comme de plusse
h 1 air, p l froidS Plot! 't t pl sort' d
m`es-
t d 1 ch nejy P L itl p tp t rPont u a à ae I -
fie, .e te N él (,a, re pas,il tût bl, g r-
t l t1 dtpl t.rpmov
I
et é t 1 ")a, agitait jiwi.,h il y longtemps i 1 1 I
q aitlh. I 11 Îe dl l sc d la h le e,ul t,q e y,61I devait Il L I ienaro
tu F Il ' a. tambour .rC;ho col,
Il à -lI 1 Id t t oncoresudoral, l ! pan c p1eI
,1..,t pool home- 1' s t JIy
-lente t I, la ?
t t tl-g, sen f dort li t t.. g t c h.
e.,es
Le I I y et i ra v il.
t 13 6 1 l La --dis It d'une
sLes
s' vert ,eb vésàl'staticeieot peu,
séJeun ép,oi ' t 3 t pune
tInoir
Isba. oe 1:0' b1 ose o 1 t h
et t't tq tJ. vélo pouce l'.ooéI d'min c
Ion t. ,aultieole,e,otarie
pou este lela bretelle paternelle, pulser de. l'eau dosle matin, traîner dès ragots pins gros queloi, ou eepp t. do ,t., le boulanger,avec une 6 a ite imper tuibable, unénorme pie ode
P Lents, d lt Jean p r-contai fi t 1 g
'ag'0t 1 g
La l t b xles, cron- 1 aitls ' .té t plus ,art
,p'
I Iacore, [Lot, l t t t a i
e
se pat le 1bl, ils seaga«'
ont, ayantsortons dons
u't!aj t mômes pieu'eupatious, les n ê-
e Noiil songera-t-il à moi, mormuraiEJ r ac, mnlevaat do ses doigt T. I Il ceformée sir 1. fenètmn b L hisse es, dur, ilgels cnez uul us et le prix du pain aog-
ente... (o e sais, coco, je t'aie Ira comors ai nul le feu et les lî
désir,,ai n tiquent, la i'ui pas grand chose à
U g r,aeit le ara u t;p t monologue ; l'enf t 0x000 t n
b. i p 1 pue d .'t ,
t p fq rat 1 n dolente sab top r lui se,v'r d pie le il
d t à LronS, dont I ,ILh- all ,,Iàg.,,,te Il l't h t r le maiclair du i qu'il P; 1 't cite Lotirsue
eur, coi vr t
` 'la le I p1
tombée il ne sa aitdoù, 1. a,atI detnià5uadeon, une uns t glisse ,et
,ro violg,
épinoni, et la prédiction descommues pour adroites le bébé, lui tinte
col les.Ç Elle est trop chétive, trop [râle, In
p u et. ,'. l t rat le. r. mmèr es, elle nelas '. I i l Il a 1 t des couves tuIl j
eu ,.h..udes L 1 n I OCEt0 doué d g' to h Iel,
t, sîtt
'l i torons plus raies, leu le e tpion, no, pli, le lent, l'âme de sa ,.a,-,
te pets le tour attriutlcetfriouses'enre-tonur,iantau mal
De ,x larmes foulent Aor ses joues,toute; q 1 nu, t drecrili. q lai,pa t l . rue t
une lortur Dondon_
tante a i bout des sa'longue per cite, Joli.s'absorbe 'Jars uns rêverie profonde.
Il oe neigeait plus, le froid augmentait,et les étoiles, décidées à éclairer la rentede N'làl, scintillait par milliers dans l'uzars
I ois dormait dots son lit r oelleuxL000 llait, put I1. LorsqueOral lut aallie x a,ao.n de lai, iipe ltet .a-pieds, pnar ne réveiller personne,tenanl à la ruann le. cobol, s'agenouilladevant le foyer,
ON: bl, s'écria-t-il avec un élan ,le foinaivr, dounea moi a couverture pourru, Limite secs, etguéussez maman I..
5Cc d'être exaucé, car il priait avec for-star, fl regagna sa couchette, où l'dspé-rolot
cette enchanteresse, le berça desonges radteu3. . Il vit le -vole "àculé dans une ceinvert,ten épornse, blan-
ehe, snyenso, seiabiable à celles qui s'é-talent dans le, plus belles boutiques...Quelle joie ! la petite ,mur blottie dan, lasalue o rait les yeux et .cuisait A sensouvent.. .
. Le jour filtrait e,,let les vo-lets. Jean courut à la chouliner,.. hélas I
milieu des taud mea froides, le sabot étaitai,
vida...Une déception cause ee tous les figes u
amère sou0rance et le pauvre bambinpleura longtemps.
Perdant qu'il ae désole, le soleil parait,la eue s'anime, la porte bat hrusquelnet,et Louis, fanant uu grand pagne', è alsaceduel la chambre.
- Jeau, ditil, No1l t'envoie ceci.Le petit garçon, rouge d'émotion, a déjà
prattgad un veu au papier et aperçutc sta peur une couverture 1,cou, 0r-
fuLelr,é°.L Alors
du Tonkin: l'on u morne assisté en Instantà mie loge ruer tiou ; n is la spéculationest dans une il nitre telle Loi n'a pnsoutenir le chic des vcudo ils et l'on re-doute [e t 7 , les onvi...s dosco are de 1
N ras t o s -Lardant une certainsferested' le4112010gm ovaiunmo-
nt tôt y le ,a dei04 et qui do-
- Ires valeurs do Inédit laissent tort à de-6iretr
Presque toutes les admis out eu à mbr-le coutre d 1 le tch 1 11t d
eoq ,cet mises
à l l l l t b .. Il t é â com-te.
P L R raque de Fraice a ,Mat onnâ de.`310 a ,,160 pour se relovsr eus., tôt eC7t à 2fL Rente t 1 a tant bonne cette.
n'oen pr l' t I p mière parte de lami'n q ma les fonds français,
1 b1 t 1' 120 b 90 45, manaI nom
dl
Lfi le I 'll le, na le la Lote,ce,J
1 Peur [ d 1 ..s de-1
ut aI d9180.. a. or la il
1 .. t fards étrangaic sent trèsm', cotés.
1Lutèri.urc espagnole est tourelleà 5b 50
I Flotte cor pa=.e de 82 il182 9L Bngrois40;0 prop d 75175Il-Le Rose 5 0 0 1877 r i ,nos nhange-
louaenvirons de 9325I
notionuamca des compagnies d.
chemins de ter mat appriaet les lon-t 'passées Daine IElat, le 17 juilletder ter.
MARCHÉ DE MURETDu 22 décembre
D é On, les RO Ici dos . .... ... 19 50111 s mêlé, les 80 kilos 19 nrBI 6 s, -- ..... .... 18 50M tl c. ...... ... 12 »»Nl' .......... 13 sA
,trie,
.e, 50 kilos.. ......... 9 ».Oel s, les 6 Itilas..... . .... 10 25, ia e, les 75 kilos . _. ...... 18 ss
14 »»
0 kilos......;. 14 50I hect ..... 23 a»e terre. .... ..... ... 4 75
i ...... . ......... 2 50
Fmn,l,Saokilre . .... .... . . 376Soirpon, - .... .... 3 75tuer. ,,u, ..... ..... .... 3 75Paillé , - . ............ 2 00
PAIN
pain blanc, le kilo .. »» 37 112paie Lors, .... ..... s» 20
Il Loi
B f lo kdog ....... .. ...... 1 80V .h ..... ...
V r 2 »
11 Or,' 250
HERNIESG l'on 3 le pli, I l 1 .yca-
t 1 l ao n ltll frètes, .demiesp IsL t àl ll', ra
de 1A b b e il 050111 joine fêtal nom I kpl .l'on ,il s'a ppcr,ls,à1 list/L
"P'les 23, 30 37 ,l,'ccmlrre,
il, et 2 J irr, de O teueee d. "nabi,, àb l . j'as du Rot H tri Hapin, rte Clé-
e 14uOre Tr e le Bonnes) Lei,ner-u e li 2 jr ie lgù d 9 de,se Sr. Eao,aile A n;,5 cuxsr Une, leu 3 d14,
Orsr. NOTRI:-Musse. ; A "."",s,, le 5,nous-il:, 5, ; ,aI,I.a-5n, l', 6 et 7,IL,
rc 1. r'R LA DOICAna ; A ruiuPIoNAN, 11, 8et 9, teint. on
A
euio ; A m(zrx.a8, les 10et 11, nonne uo COm.aaaoe M MAlll'Arevient visiter ces cilles fous les s
cai.oasx, les 2,l, 29, 30, I.' et 2
in-11. ai,I u et e Ian-el J ll t et t J t è5itae
dater. Dc' ont .nulager lent l monde, ri-auvres, Me Mrc IllE fera de.. con-s rrit s(t
p
e. Nhkwj--.rlL21unua,.,,ar
i p - d %L°2
o. eedesu,e cm Mua al'pts s,
t se 4, mintaC(onp 56aPf '
,Fffae 41 Msci4daa-Dopéts b Tsul oaso MM I L ( v, dro-ufetc;ueltoeuterotRe,gaa, Jro,idut.; LaSont,
o du Pro grue; 0. Geste cet, pliarms-
daie do Toulouse et dàni la plupartmattes. (8,360)
art,, de sisltc à ia na,inafr.,ire anglais extr., 2 fi.2510 tort,tiré franco par retour nie courrier.vsip, une I,nfnvette, 21, et rua ALsaco-aine, 55, prés je Cil que.L
(10,266)
Spe tacles Il. k'4 déecPnbre
-de, se.. yeux ohaaarmssenL THÈME DU CAPITOLE (Direction lianddll.Sans ré t est qu'il porte dos il euRelâche.grossiers
eet une blousa de futai
,tnee,
, il ojette au son de sou visiteur et l'embrasse
TROATRE DES VARilOtlS (Diroct'AWI), h R U..,le teodressc.- BleusRemercia No'1, et doucement Louis. Le feu au Cnaaent, r, upe en mi est-- Bien rai? et ,j) réa une sono nie de :
Le droit duSiousetie,
opéra sonique en
réflexion : en rires. tu ae pouvais deviner, trois actes.toi, que n o ils avions boson. d'une couve.-
TlbP,dTRE DES NOUVEAUTÉS (Direct. Magma).Eure pour lu petite ; ",allai poufNoël ile l'a-t il pas mis. pies da
rnorqa usao
- I c 7'e[il Fawa ,i opéra-nou He su trois aatssbot ¢ et quatre tzbleaaz.
- Nobl était pressé, ,non ami, ePpligsa D(adarne yunifao,, la grand .,cela usala mers de Louis avec nu bc.. som'irq il Ro,2cs, poussa. dans las premiers jour. d.1.n'oublie md ne délaissa jamais personne; ..ruai. proohui ue.des bébés malades, des orphelins 1'atten-datent loin d'ic{, et il a chargé .non illa do CABlNO MUSICALpartager ees présents avec tai Directioa P. Roman et Caxeneuvo.
La misère grandit avec le freld ; aidoue 'Ions les soirs, an Casino, grande roprdsen-Nod,', remplaçons-le parfois ; donoer est taloon troupe d'élite.la aloiilexre des joies, Tnns les dimanches à 2 heurta eapeèlonta-
Marie oa BeINdnne bo,ds uiur.Tons losjunrs, deb haaro9 à 4 hunecs,,à-
pétstlon générale.
L e -t f- t I ce-rouculet 1 B t point y e .,a .0tt ecleur-Gé, set , L. Jorrel,a.
debaele u Jet i 1 nec p te les coure, qui d à ,_-- a- - T-.-.t rl ils 1 s logis rn li cents lu veut it fort diseulé . au moment de lu l u i-
1 êterne q, k ismIfüoPaleut atemps ée combles qui ertcou s pu In reigeperslst.ute et fies s ' daton de quiazm ne. ticloua. - )nps. UO,j C.e:DOURE-FRIVAT,'
nosue parle. fentes, incuit sa bordure a, I s'est p v ut rouis o'une adorons Iil en est un qui dépasse pp consoit
t
loa astres; c'est dos'appeler
eler deSepsoD
préré-
- cygne aux fenêtras sans rideaux, sur dosfoet
r. chaudeprorovo
gaee par ls bvéuamenta...T_..,.-__-_._-----
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