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•5«F; "W® •;w^ '"•?R2 Troisième Aimée, N° 28 UN'NUMERO : 26GENTIMES. Mercredi 21 Mars »28. A BOUCHERY 47, rue SL Sébastien, . OSTENDÈ. ~ Tél. 623 :-— TéL 62ï Travaux de luxe et dé labeur. — v Editions. Reproduction de, plans. Ciompte-Chèçues poaUux, 74801 QSTÈNBE Les pjages du littoral EDlTEUR-PROPRiETAIRE : BOUCHERY. BI-HEBD0MADA1RE. . RÉDACTION ADMINISTRATION : 47V Rue Saint Sébastien, 47 ;î OSTENDE . ' ••; . TÉLÉPHONES: Rédaction 1312-Administration 623 * BI-HEBDOA1ADAIRE. «ABONNEMENT : pour 1928 : lan .i.fihr-25.00 •On s'abonne au bur.ea.u du journal et"dans"tous les bureaux jde poste. £ v V7 U in», ,-M. 1er. ri I Prohibition: -r?: Je.ne vous en par-lo-: broux. Et puis, spécialité de la maison. rai iç,\que ppuivvous.diçcvqu'pjr a, jugé on étalcies hors d'oeuvi'es biéncn éyi- :n.éc^ss&iré>aô^yoter,!.un.:cï^dil, de .quinze; dence sur une immense table disposée millions dollars, qiièlqUëlçlïôse conv au'Triiliëu;'du^èstaui;aht et le client va ijxe 525:in.illlpnsid.e.X;çan.çs;beiges, pour se;éçrvir lui-même aussi copieusement îienfoicc^^^surveillance e|:pA)ur re^ qu'il en a lç-désir" si , r s s ' d i£r< , fréhVri-;ÏUïppQ^t&li.oH; ^i5 fraude, .et-;la !vent6-des-bpi§|pn^ à la •ÙM^ poiy: faire pfaisir aux prob;jûtiplnnisles...{et auxvimiideurs.^ Le seul'ï^ultàU qu'on -.stRlyt^ attëydre.dè^^^:cc.tte,;mesùre;:ç'est, 'de ' la^p^rV-.dés:-b6btiéggé^jH^dj?K:"distilla- tcurs; dftlçppls. mauxaiSr.'goût .et;tôxir . [Cpieè, une notable,.majoration djï Pçix ; de.'.ygiitë.'-,.}*pt*'du bçnéuce. ; '. ;. '"'?;; .Vf; - •••^:^/:A:i--- •"-•• v..:'-*-"'"'^ • •••' '.-•'• !." Pif(h.Àvemic. —-Là. Cinquième Ave-- riyèl/épnsti^ûeVin'cb'nleslablemenl "pour . TélràhgëJv'ùh. dés: toiit .gi'ands;-attraits et uneydés-beautéè dé:New-Yprk.Oh y admiré.les' plus b^eaux^ies piu§; nchés^ lesiplus luxueu^t,dcs=;màgasins de loué genres; pn.'y rèmarq plu-: , sieurs dès; Hôtels les; pjjis; repu tés 'et Me , ^lus^réçétàm^ •' "aùési;.la /célèbre :;.b^ïblio.tfiè(jWè^-ie Gèïi-;- .. ira) Paj:k, l^catbfed^bf^aUïblique de ;^t;.;"JBat^ieK^^numen^ qui "-'• res^eraibiè!;bea1jcoup^ /âu'Dômë^de ,Ço- îrtrvrirfv"'*!. 'viliicïÂ'iïv*c' '•'•orviinlûc*'* :r*iVYf îrtcilïïrife» s_os; /tant : protestantes que catholiques,' spnt:constrùitës' eh style, gothique. C'est lissez bizarre dans ce pàys^qu'i n'a àii-r c"unVpa^"ê"1JKi4tiqiife'"èt.''qhi,':â';ijs;"cuUo. de tou^^ëîguUesl^puyea^.- de création récente,';surtout"dé ^eàtion'-amé.rièaine. '"'"'m>'•; tous ^h'"^tonnjcrtià' 'pàè^lt'op, ; ç$,yA •êf'.-pnWfi'a'sïo niiv?'Rlal4itînis': ' ' s m ». **? tout est-contraste àùx;Etàts^Unjs/ : 'Passant.l'autre;jôur/là ÇîfrqUième Avëjiuë?'jé me; sûjs^àwçté dëyjiint ; les. magasins' Tifàùy et; ppu^sè^jpàj'-là.Vcu-- riosité, j'y .suis; jejitrêi Sans; w'môindré intention d'yr,açhétei> un çoilierude per- les pr> même' le moindres nécessaire de; voyagé.1. Tandis.iquc jefgardais çle ; tousjolies ;yeux lesfsplehdeu'rs exposées^ unCeuiployé s'apprpçKàïtcdé m o i c t riië; domahflîiit fort aima.Mçra'phf'*!ce.que Ij |; .désini&v Je. h'éprôïi\$i?ïpas;>le; moindre' ;::ëmb^ÏTàs'poufeluu;dtf^^ .••^;ët.;què:je;.Yehais!;tbttt,*èiinpléWént-,ir^ gaj!dce^san^a|Mt^^^ m ê m e amabyttéf 'l%mp.roye ëh' questioïi me ifit vbir^guantité; de;Ghqses mérveil- ;• leûsés,- et^foiut;^a;ittçûïierëmëht .une longue-Wi.ti ine..c6nten/tht> la .plus sti-. Eerbe, la plus mâ'ghif(que, la: pîiis'npmf relise CQllectioh-de colliers de perles qiîi se puisse^jp^^ne'n^ehl-ô'ùtrèf'hnë; .quantitéjîi.nimagina^lèi.'de,- diamants et '' de: .b^Uan^tsVïle .l^utej^lle mpntes^eii' bijou^; ënV b;^ en bagues,' en 'diàdèniles,: en "pendghtifs, eh- barrettes, etc. «tc.'Mais à çéM-seu- lemeht ne se-borheipas ,1'àctïvité de -là1 j^àispji; Tijfanv : pn^ëut;^ té'i'ârgeji'terië dé;-"malàpn:;'et'de'>faiitâiJ: s je <^sir^éJ; voh^'y làâmiré ;'Sussi ; lés, plus élegiihts-artiélés 'd& voyage;;ëtîà; côté.de^tput.cela,.les imprimeries' plus chic/carJpW n'estvpas cbtë^d»nS;jéLhi^H. lifC; de Me^Yprk si oh nef s&Jsert paB; dès.c^rtës'de'/Nô'ël;,ét;dë'Npuy'él:Àn dé. :chez. TifanyJ; Dans ëëtte maisônrépur '•fée,!: tout^cV'qjii^elsp-'bgpuv: p^rle/'-Briï« -lantj^ëtc?-estn'éf.itablé.^Vpus n'y trou*;. yéfëzl pas Uihë faussé perle/ pas un ; •strass.tïiaJïn'chés •dëpasséVlMmâgihàtiôhK Orif estime1 à; "30. millions de dollars la^^'aTëurTdu stock' .',;de:-;«ma^Gb'andikèj[\,;.;én»nià^àsin'..v .ilià ;ii»ppwiciiiiiisig les^ perles-0ngs, et lp,sf ^làjTiants'montés. '•''• V''i:^i^;:;i;--i;;-:î.rii*eAA ••.;;'-•':•'•""';'.•••"'"'--. - - La prècavtliàmiilïlè.';—h péih'ë avais-, je remis les, pieds sur>l.ostrottoir de la Pifth Àyenue,;qu.e ;je vis arrêter '.tout- prèsjde moi un aùtb-çamiori vertiiEieux Jionimës; en sortirent: aussitôt, l-finipôi>-. -Mon1 anii el-nipi nôiiï> avions une folle envie de nous 'offrir un verre de yéritajble...; bière, non. pas de la bière; a&ei'icàine,"sorte d'ersatz à un degré1 •ë^\dpiiti-ii.d'ftiGpp1v:nia.is^'ide-*là^Vé.ritablè biè^jëùi^péehhc. ^tùtpïîftïliasard nous demandons au patron's'il n de la bière suédoise. II ne dit pas non, mais it.nous regarde, un peu méfiant.^àîiritërviëns .alors et lui dis que flous-sommes bëi- gës'-et' qu'il :dbit:^.biën sa;vbir/ que {là Princesse/Àstrid a uni ses destinées à Cëjlës du; Prince -hérltiei'dii trône Belgique. La;:glacé!étail rompue et l'ëx- çëlleht homme nous fit serviifw U>, merveilleuse bière suédoise, de la V.od-; ka et tout ce que nous pouvions dési-" i:er. Vive la Suède ! ;> 7 f Vf.Un -autre.".soir'; -nous.-sommes allés dans = tin grand restaui'aht légalement établi dans les:sous-sols et tenu par un M. Janssens.;,Ceûïtfm m'avait frappé. J'apprisdë m ê m e soir que ce nonvbien p'slen'dais était porté par un alicmahd aMéricanisé. Bans ce rëslaurànt il; y avàit'iiaussi uii- orchestre,* d.es chan- teuses, des gymnastes-et des da'nseiirs. qui;iiousJont offert la vieille Valse Glià- lbupée^d'afltaii; ^ . ; ! (A suivre.) A B. Lb Pont sur l'Ecluse du Bassin à Flot " Le biidget extraordinaire des Travaux Pu- blics pour 1928, prévoit rôuvèrture; d'un creT dit de 50.000 francs, pour construction d'un pont'tesçulant sur 1k-tête-avài^ërs le, çKen^l);dë: l'écluse bassin'^â; flot tfii ^dûyeâù:;'port'.\dë;p*ê'çlte:'J-;!'. '- '.;; ,;v Ce'pôht rjascu.ù>nt.îsera à deux volées, et |a;Uargèur isera1;dé..4m60.. entre les garde- porpsrdéux trottoirs de. i m. 00, et une voi.e çlVafretiéré de 2m60. ;'";;' L'ouvrage,.sera;.riiû.à la main, pour être ^ttéifeûr^ - Âjputpns que Je personne/'qui^aura la manoeuvre; du pont en question et de l'écluse même sera loge' dans .l'ancienne statfon de quarantaine; deMariyé^Estdurchenal,'et que •la-jiyjilè- aura à restaurer et a approprier en' conséquence,. . -'-V . -' '••'•-'"-; v de M i - C a r ê m e LE CORTEGE DE L*ASSÔCIÀTION DES COMMERÇANTS. — LA BELLE PARTICIPATION ÉTRANGÈRE. — A L'HO- TEL DE VILLE. — LE SPECTACLE DE LA RUE. — LE BAL D'HOOP IN DE TÔEKOMST. — CONCLUSIONS. Les cors sont d'infaillibles baromètresl Ils-ont f^âit mal samedi. Une blonde, très blonde m'a confié que son cor la -faisait sotiffriret que npUs «lûrions de l'eaii. " Nous en avons ëù'dimanche, un peu, mais assez tôîitëfpis pour diminuer de beaucoup l'entrain qui aurait présider aux fêtés de ;Mi^Caremë. ; '•'' LEïCÔRTEGÉ. Dès deux heures, de tous les coins dé la ville, les sociétés dévalent,musique en' tête, vers la Chaussée de Tho.uroUt. Sa AAajésté Carnaval à cheval sur iïrié super- be baleine les s.àjuétbiitës. Elle n'ignore. pas .«.leVtëte^àJfgaùéhé'» et « le tête à: Le Congrès de la1 L i p des Contribuables à Bruxelles %Tous-deu3Èpènéfrèréut Tâpidem6h_t,dain^. la maison en'•.fa.cei de ^laquelle'M'ç c/i| .lïlioh^tai^a^rJiA.,. ^ I m coup quiërs;Ss^|ioh^v\is<'çe1^ftWn.tS ^rj'cfféc^ tuer lé' transport dés espèces niohr n^yéêé^pâr/cërfàïhëâi^Mhufé^Il n'est . juiriv^mie irpp iSpuyenfcique.des em- ployés ëtàierit ',dévàlisés' ëh': Cours dg route,; heureux encore lorsque lës.'ban* fdu% leïirv;laissaient la 'vie.' - 'î: / ;r^ À noter que pèndaul que les deux .... ho^méSjassurpnt^lârcmiseAde, i'a,rgeAt ;riif'rJésfin1^ . reslentj^dan.s. la;(,Ypi|ure,^i quoi celle-ci est' blihdèéJél rtiuhië de petites bUver- l;tWres! éjni guise âé'iriéutithëi'ès. ' - . L'autre,-souvrmaij. inséparable et ex- opllô'ht cprtipà^jon do i'outp ë^-ÀfîiéH- cftié^m'a cohdlhtv'dànéu'h restaurant de .^Broadway. ,Ce. restaurant,..établi; xlaiis, : • seànçfihavo.ol tout le.personnel est do ! la m ê m e origine. Il y a im orch.os}rje| iidn'y^prûdûit^dès/attrftotîops; diverses •H->pehdaptledlpër qt jasolréë. Qn:y:.à\w S a prik/fixeioti àxla^èa'rtp^maii lë.çjîner k à p^riaË^tf lie est ipartieul ièrom en t recom- ;;• mahdablo.: lïors. d'oeùyres très yar-iôs, iV ùri"pdissoh,~ une viande;~dos !légumo,s, ir fiîam^e^WuMPàeéser^/.^ a auK^Àmérieâins.fr,Comme,Hors .d'osur I vréS^S'n^'aSqtig^'ê^Mr^fis^dÙ'ch'oix'V ô'est le cas. de dire qu'ils soht. particu- Wt^M^è^' ' Sous la. présidence de'.'M; Dauwe, la Ligue dès contribuables a ouvert' son Congrès gé- néral, samedi dernier, au Palais;;des.Acadé- mies'à Bruxelles. ' '•' ' ' - ' 'r'Aprèâ renvoi'd'un télégramme aii Roi. ex- primant le loyalisme des congressistes et; leur désir: de rendre le régime?fiscàl'plus juste et rrtqifi^Aoùrd^fA: Pauwels à rapp;éjë lé but de la:' Lngûétet:les campagnes qù'eilë àvaït; déjà 'ëntrepVisès:^;^ ' '-;;; '''•'•-'" •'. '''•""'''•'"."•";'"": •''Aprèsilùi d'autres orateurs s'occupèrent de divers questions relatives aux modes de taxa- tion 'et perception, la fpi-àur l'alcool, i ;. Voici quelles furent les cOncjfusiphs; de ce' cprigfès' : ; v . ""**'.•'''*•:.'•'•''. y.: •'"'• ,l) Lés.impôts sont bien moins critiquables; que lès modes de perception de ces impôts; ,. 2) L'inquisition, fiscale, est. condamnable et ùoiï^^tre^upp^riméë^ ' "3) bonne' foi du contribuable devrait toujours être présumée. C'est à radrhinistra- tipn à faire'làf'r>reuvé dé'-la'-fraude et fion'iàu contribuable, à faire,la preuve ,de: sa bonne f$ï\r- /••-••'.;'-'-^ ".:!'•.'.";""/'•:' :•-; '" t^ilLést; impossible: d'appliquer strictement lés"lois^ /fiscales, à cause des ; arrêtes royaux, cirçïtlâires, minisfèriélles et décisions, diverses ;qu| sont; venùs-jçp^ fiêr.Iës lois, ^yné.simpjification 5) Nul n'est censé ignore'" la IpL Alaiâ il est 'tniqpi&':d'':iimp^^r^''â^;f6ufê'IeS' citoyens; '• la cohhàjssancë parfaite, de tputës les'lois d'imi' tiôtérî^-r;'; ':;:;; •--.••^-•••••••. •-;;•;,•; .-' 6) Lés fonctioànàires fiscaux devraient tou- jours se ïapfieler qu'ils sont autant les .^er7 vi.teii.rs du. public que les serviteurs de l'Etatj "'"•p II, fauf'dëSbrthàis :-a)";que le" contrôleur des:.contributions ne siègé: erï, première ins- tance et sôit à là "fois jugé et partie; b) que lés contpbuabies néj doivent*pluâ fournir con- tië lés taxations arbitrarrés' dës>prèùvés ••net- gativës, car il est impossible de rapporter-de telles-;prëàVé's. : ;'•'"', Pour les;-petits,commerçants : , 1 > Il est inique de. leur imposer l'obligation d'une comptabilité,; yj!s\nereîujissentjle plus souvent, .pas de çpnnàissaïicës. suffisantes pour le faire^ •; ' ,.; 2) Les timbres fiscaux et les tarifs com- M. Charles FEYS, 'Président du Comité Exécutif du Cortège Carnavalesque. . droite ». et quand apparaît le groupe des Gilles tintinnabulants, Elle perd la tête et tourne... a se rompre le.cou. ;' . ï : Mais 'yoici Sànnes;,bedpnnant, Charles ^ë^^rK^iréAix^-ÈÏ^SMissâërft^fr^ R Bockhodf imposant, A Lanoye irès énfoii- ré-et P. Meyer rayonnant. ;liësiîànfàres;rivalisent; c'est Charleroi avec sês,>idànsës::!scandées à la caisse; c'est Ath,.Âlost et Ghâftëroi aux airs sâiis .tillants, cë-sont Jes-Zigos^Jes 100 Kilos et- lesr,Pierrots ostendaisau.V-marches en- traînantes, lés Àccordéonnistes -aux ins- truments .plus paisibles. •Etvoici i|eS']groupës-e.t les .chars tous plus"fràis-les uns; que les autres. Le Comité organisateur a tôt- fait, dé- mettre tout -cela en: ordre et les Joyeux Sica^ibres de" Roùlers; reprennent ! la tête du '/cortège. . - - ^. V ^ EN VILLE. Tout le long'du parcours c'est la gran- de foule. La pilule" fait trêve et voici que "défilent, sous des flots d'hai'monie les so- ciétés ostendaises ë't'étrangères, ' Tout;'leSsHCcès vajaux;-groupes d'A- lost, !de •Charieroi, d'Ath qui' dansent, .dan.sept sans répit offrant_{e spectacle le plus,charmant d'unrmélange de'TcouIeurs joyeusesi'/.qu'i. dérnâridë'nt; dii soleil. Mais.;c'est surtout vers;;jé.groupe em- panaché des Gilles" de Chârlërpi^que va l'ehtliousiàsinëjdës foiiles. nsspnf-là-in- fatigables,agitant sonnettes, biaquàht sa-' bots,; jetant., 'orangés, ;chantant^ç!ès. bons vieux "airs wallons qu'ils se passent de père en; fils depuis des siècles. rQûant aux- groupes locaux celui des Visçhrnijnyriënden,. fout, couleur locale, nenrs. C o m m e idée c'était là une nôu veauté et elle à été très admirée. San? nul doute l'appétit n'aura point manqué à ces çohyjyes après une telle, promënjàde de santé;" Ku'nst Genegen avait tenu à présenter le berceau de S. M.;.Çarhayal 1928. C'é- tait très réussi et l'on a bien ri de tpus ces: bébés, grandeur naturelle, qui se sont promenés :en; paniers d'osier, en trottinét-; tes pour: la-plus grande joie des--foules accourues nombreuses de: partout. Lés;Joyeux Zigomars:en'voitures dé- couvertes attelées à la/Dàurnont ont évo- qué ^arrivée dù;':;Rb^:'.'0'iiâd en Belgique. Très jolie mise' êh îsèèhë digne de notre grand cercle -philàhthrppique à parti- cipation- duquël'on^ nëjfait jamais en vain appel:' "? ' ' " " ' Notre excellent ami « Jàn » a très bien rempli son rôle et plus d'un aurait bien voulu être le roi d'une reine ^aùési mys- térieuse que troublante. roi Ouad a-t-il beaucoup de ce 3 brunes aimées? Quant àûx chars : Les Joyeux Pier- rots ont présenté une scène de C.olom- bine et Arlequin bien dans 5a note, l'ps- tend Swimriiig Club un match de Watër- Polo très en vert (sans doute pour évo- quer la verdure qui recouvré inlassable- ment la « piscine » du lac Marie-Henriet- te); les 100 Kilos Ont promené, une reine i toute de belle santé (fêçiàmé pour.l'air salin et le repos au bord.de là mer cou- leur d'absinfhé) et leberceau de Kuhst Genegen recelant uri' CarnavaVpbupon plein de santé et'de prospérité." Quant au char de la Reine, iltétait bien en verdure mais au point de vue royauté. manquait de décorum.ij y a pourtant dans, les armoires, de ville (rayon M. Léon Verhaëghe), de beaux manteaux de cour et d'étincelàhtès couronnes royales. Dieu que ces royautés ont avoir froid! A L'HOTEL-DE-VILLE. ç Idée malheureuse : on a reçu la Tteine de;Mi-Carême! et ses deux souriantes da- nie^-d^hpnneiir-'pendant'le cbrtègeV Gela à* ëhievé aii'défiié'tout son charme et à fête; dé: làruê-vtoute son airimatibri. Dans la Salle" Blanche de' l'Hôtel-de- Ville,;une chaise dorée entourée de -fau- teuils-de velours râpé rouge attendait, sur;une méchante estrade, les reines en ballade.;; Nous notons, dans la salle surchauffée, la présence, d^rMM;; les échevins Ëlle~ boudt, Verhaeghë et Yrponie; de MM.'les conseillers communaux,' Mefsu, Coolen, {C)ëswaef, Bockhodt, Willëms^der^M-'Ie secrétaire communal H. Vermeire-jdeyM. H. Ràiçk président de l'Association des' Hôteliers, dé, Mi;;Dernpçr président d'hon- neur des Zigo's^ dé?MiïLàbisse auteur de l'affiche des fêtes-de Mi^Çarêmë, de nôm~ tjréuses; damés. , "/*;;. r ^Arrivés Place d'Armes tous lés grou- pes exécutent leurs plus jolies danses. Alost* livre auxtipérsorinalités massées sur le; balcon de nHôtel-dë-iVillè, un assaut auxi oignons; lés Gilles: arrosent copieuse- ment les*autprités'd'ôràngès et les fan- fares déversent dès" > flots jd'harmonie. Toonë- et -'Wanne se livrenti-âfede*folles danses, ' tandis, qu'autour r-d'eux, ; ^les Vischmijnvrienden, infatigablës;";-yatsënt et;màsurkateht aux sons1 dès accprdébns.; G'ëstittn tableau des plus animés; qu-^h^ tôhy>fixe de son mieux sur unesérië^e pëllieules et auquel il manque l'éclat d'un bë|iu;tspleil. ^MaiS. lë'comité organisateur MM. Ch. Fey'sjtiSànnes, Smissaert, A. Lanoye, L. Hîntstëre: Pnnl Mëvor pntnnrf'f'deK-'renré- escoftàhtv^b^é et^yànné;; est des;plus: rlblsters, Paul ;Meyer entouréf,des/repré ,V.v faitaires, m ê m e si elles sont élevées, idujr !évite/l|s*enifpis et là perte de femps^qii^ëes systèmes, comportent} '3>Le systèpieTforfaitaire aurait un double a.vanHige > Pour- l'Etat' 'aussi > bien que potir le çontrityiable, Il diminuerait les frais de |pèr- é^pt(orf et A é paièniëjit,des. impôts; d'autre parti il a le mérite de fixer, pour': l'Etat com- nie pour les.,contribuables, les recettes elle» dépënsèsvqu'ir rJëuP'è'n'viSiager; : .Nous,regrettons^que-: le manque de place àe hoi^sp^^ftei ^i^e^OH^ëfelrtdreldar, vantage aujourd'hui sur les travaux du jonh H^^^^ I^HIKIiHBlKfll Hnm^X^B^HXa Hbà^kBJSSmmB B^ïï?»fcBSr -'^Sj pB^SH S^Hr^^^t RM^^BP l^^^^K fPirW^H ëmlM BKiiÊ^BBo i^si^ PPlwP^fâW aliiisâ^lffc ^^p^i y*9$3(&ffîf&Tjfâ?m liSiHl hK^^BmBBI T^?ËWW«.^m 8^Mr\^'**?^m » Les Abeilles, Libellées et Papillons d'Ath, dirigés par M.1 Oilette. animés-'; On-note en.-voiture la toute gra-1 sentants des diverses sociétés étrangères cieuse reineV.des- pêcheurs. Mad.;Maer- efeèscortant la reine et ses dames d'hon- 'tehsen costume calaisiën, délicate atten- hejïr; ont fait leur entrée dans; là. Salle tion,.cêlébrant laîbellei-ëntente qui règne Blanche. entre pêcheurs français et beiges. W'ès ,que les Majestés furent ..installées 'Et ;Vbici Dédrlé le^lgs-Vàillâfit de nos M;'; l'échevin Vroome prit la r parole. Il capitaines, ybjçl, le ,comité infatigable et inlaWàWë^du'vél-'dle^Jôy'een'réfe et ses collaborateurs; voici Albert Lanoye qui couve son groupe des yeux comme une poule? surveille ses poussins; et fout cela danse dës-'-str'ieps aux sons d'accordéons mélodieux efcdoux. -^Le Cexcle Lapon, a remporté beaucoup detSiicces-aveo:son^groupesdevjoyeux dî? ëxjçusà le bourgmestre retenu -ailleurs, ^btihaifàla bienvenue à la,f|éihe et à ses darnes d'honneur. Il se déGfSï'à heureux t(é;.voir que le Carnaval riîé^it; pas mort à^Ostende et affirma ;,qu|ll:;fallàit qu'il Continue ; d'y > vivre ; pour vie plus /gra,^ bien de la cité et sa belle,vj^fité. ' ' ; #M.i Charles Feys pr:tt.ensuite parole è| cf s; tÇFîrif8 ! Monsieur l'Echeyin, Messieurs les Conseillers, Mesdames, " Messieurs, Il y a dans le coeur de tout osteridais un petit coin que ne touchent'ni les peines, n| les douleurs.'Que: voulez-vous le chant'de la mer le berce depuis son enfance et: |a iSérie des tableaux que déroulent les saisons sur.:1a digue, dans la ville/: dans la vaste plaine qui entoure sa cité chère font qu'il y a de la joie dans les yeux et dans l'âme. Un seul être a compris cette âme ostendaise, c'est ?James Ensor. Il l'a rendue dans ses ta- bleaux, dans ses dessins qui répandent au- tour du nom de notre cité une auréole Tdè grande et belle gloire, une auréole enviée, une auréole bien à nous. Il l'a figurée; erf masques, masques hilarès>'masques boursouflés de rire, masques ridés de plaisir, masques chantants, dansants,.hurlants, masques bruyants, mas- qués exubérants. '•'•"/". ;Le Carnaval défunt vous a prouvé, Mes- sieurs que. nous entendons rester fidèles' à ces fêtes... antiques et, aujourd'hui, pour. terminer ces réjouissances dans une note di- gne <te la. reine des plages; nous'amenons ici. celle qui, toute gracieuse -''préside nos fêtes de MKCarêniè. Je vous présente Messieurs, Mademoiselle Daisy Verbrugghen qu'un jury désigné par l'Association des Commerçants a appelée à la royauté. A ses côtés figurent Mésdèmoi-: selles Wittewrpngel et Van SpeybVoëck comme dames d'honneur. Elles sont les déléguées de trois de rios sympathiques sociétés ostèhdàisës -. Le cer- cle Philanthropique des 100 Kilos, La Ligue des Hôteliers et les Vereenigde Vischmijn- vrienden. Sans nul doute, Messieurs, notre Reine:et ses dames sauront, pendant un an, repré- senter dignement Osten'de et' nous osdns' formuler des voeux pour que leur grâce, leur beauté et leur charme aillent porter au loin' le bon renom de nôtre'cité. L'élection des Reines né fut certes pas tâ- che facile. C'est pour le comité organisateur. le brillant couronnement d'un travail':: contint}'. et absorbant. Lés fêtes de Mi-Caïêrrië de cet- te année ont été mises sur pied.par l'Asso- ciation des Çqmmérçahts. Un appef a été adressé- au ;*pùblic. - Jl-y/-a Tépôridu;" avec Un érnpressement auquel nbus ne. nous'/atten- dipns.'guère. Nous avons pu 'réaliser'avec l'aide de quelques généreux donateurs, et ici il me plaît de rendre hommage' ai rÂ'dniini- stration communale, au" Syndicat' d'Initiative, à MM. Bette et Sayag les dirècte'ùrs; du Kursaàl et à M. G. Marquet, président 'de la Confédération des ; Hôteliers' de '' Belgique, uii cortège qui se déroulera cet a^rés-midi dans les rués d'Osteride. . Sans nul douté ces fêtes dé' Mi-Carême constitueront pour nôtre ville 'une excéllérite publicité. L'affiche du bel artiste qu'est nôtre concitoyen d'adoption M. Labisse a été très goûtée... Il nous faut ici remercier le service de presse ëf'de publicité de la société des Chemins de Fer: Belges qui'là fit, apposer da'às toutes les principales gares dg. pays et àusâj particulièrement la presse"Ostèndàisé. ?'. L'appel de l'Association des Commerçantes n'a du reste pas été sans échos. Pertriêttez- îiioi, Messieurs, de vous présenter les délé- gués des sociétés de Charleroi, de Malihes, d'Ath/d'AIosVde Roulers qui ont tenu à faire escorte à notre Reine de Mi-Carême. II y à pàhni eux de fidèles'àmis d'Os- tende, c'est''• vpu's'f.dirë' qu'ils se s'ôuyiénrie'nt de l'accueil' cordial qui les; àttend.'ici non seulement de votre part, màié'hiênie celle la population d'Ostende .fout 'éntièVe. !c y je les en remëfcië en mon nôni personnel; et en ceiùi du comité des fêtes' et jîàdrëssë mort.saluf aux arriis de WaKënië qui'ont te nu à..venir fraterniser avec leurs;frères Fia-' mandS s"ôus i'égide dè'Ia'Rèinede'Mi-Càrême et dé nos chères couleurs osfé'ndàisës, roirgè et jaune. A vous mes amis, au nom des malheureux pour qui il esHàit une collecte Cet après- midi, merci de tout coeur. Nous' ri'oùbUeYdris, pas votre geste, et si un jour'nous pouvons' vous aider à panser des douleurs chez Vous jfutres, nous~ n'y faillirons pas. Nos sociétés philanthropiques, nos Zigo- iriars à t'aHiiré martiale, rtos Pièryôts sym-1 pathiques aux faces" blêmes, nos;;lÔ0'Kilos exubérants, nos Pêcheurs-et'nos/Pêcheuies; ait grand coeur iront ;se joindre à vous'et por- ter lâ-bas les chants flamands, chants joye\ix et frâ'ncs qui mêleront" jéàrs'échos aùx'Vô'ires dans un joyeux' crârnignon. Vn defnieï mot éhtiti Méèsieurs, pour vous remercier d'avoir bien votilu' nous soutèhir moralement et fin'àn'éièrèment dans la ^éas-' site de cette belle ;.jp'urhée. Jadis on 'pouvait' escompter des cbhèours gracieux •.'aujour- d'hui, hélas, les frais sont trop élevée et il ;f4iit'bien que l'on frappe à tôtites les por- tés. Nous n'y avons pas frappé en '-Vain ; partout on nous a répondu. ,On nous a donné et on nous: a -permis- de réaliser I'-<ieuv e; qi:e, Vous- voyez i:ët;après-'rnïdi,v03ûvrë?dôrit la réception actuelle est une apothéose char- mante. A tous nos collaborateurs, à tous les con- citoyens qui nous aidèrent de leurs conseils et de leur travail, un grand merci. Je -termine, -Messieurs, en 'demandant -"' à l'Assemblée d'acclamer le bourgmestre Mo- reaux, les échevihset.lës consèillersjqtii fônt consenti à recevoir nos reines et réinstaurer les fêtes carnavalesques si chères Aux- osfen*' dais et ostendaises. Que Mlle Verbrugge et ses dames d'hbnnéur veuillent bien ^rétevoir ici les hommages de notre admiration et de notre sympathie. Puisse leur règne éphé- mère être heureux. Vive la'Reine, vviVe''le. bourgmestre, ylve-Ostêndel ; Ces paroles furent longuement applau- dies et^^jv^Hn^^lbwntç^Bwbaniî çonne exécutée par la fanfare des Gilles à Haùfs^C'Kap'eàux5 de Charleroi que con- duit leur président M*Àhciâux, un ami d'Ostende. M . l'éfchevin G. Verhaeghe donné l'ac- colade à Reine et aux danies d'hon- riëur. Leuir apparition au balcon de l'Hô- tel-dé-Ville. est saluée d'une salve de Bràban^ô'hriês et de longues Ovations. Puis le cortège se" reforme et continue sa-pïômenàde àù travers de la ville: Tout lë'loh^ du parcOurs-il y a foule, foule sympathique qui acclame longuement les Athoisi les Alpstôis, les Carolorégièns, les - AnVersOis tous' plus remuants les uns que lés autres. - ; !.} *H. T-Et vers six heures, ce fut de par tou- tes les rues de la ville, le retour-'des so- ciétés, vers leurs locaux, aux sons de marches entraînantes. r Le soir tombait..:'et la fête de la rue était finie; population heureuse se ré- pandit dans les cafés et dancings elle s'occupa choses, plus graves : les ré- sultats du football. lE CARNAVAL DES RUES. Celui-ci fut quasi nul. Le soir, le mou- vement -alla decrescendo dès dix heures. Deci delà, dans les cafés, de la Place, des groupes plus intriguants-les Uns quelles autres;' faisant joie de gens heureux dé vivre etdë sirôteffbrce cafés bu ^de- mis, Un) membre -des Hauts Chapeaux de Charleroi. Les Hauts Chapeaux dô Gharléroi 'cir- culèrent, aux sons de'leur batterie-.éf fi- rent retentir-dans les principaux cafés le concert joyeux- de leurs' infatigables ^clo- chettes. Dans les salles, de?dansej grande ani- inatipn, sans toutefois-être exagérée. On sen|;l'approché des Pâques, nous'dit un cafetier. . 1 LE BAL DU KURSAAL. Le bal d'Hoop in de Toekom'st -f ut -tou- jours-ie'bal ostendaisipar'êxcelle'nce^Dé- puis-des années il-était agrémerité! d'un concours:de cdshimés:! Cette annécon l'a suppririié,-au grand ëtonhement'dé'beau- coup de personnes qui; âvâient'-fait des frais de travestissements. Il y avaitiquel- ques jolis 'déguisements très origihàhx et itfès1 frais, cachant de charmants'-minois, dont quelques-uns- bien aguichants. •Ah! que ne retrouve-t-pn, en ces soi- rées,- ses jambes de 'vingt ans!..;' Mais enfin! Ce bal fut-agrémenté non seulement de la présence de la souriante teifie -de-Mi-Garême' et de ses:-damés d'honneur, entourées des membres-.du co- mité organisateur très empressés et pleinS'de préyenances. : Le comité du Cercle des Hauts»Cha- pèaux-dëCharleroi et tous les-'Gilles mi- rent; dans'cevbal, la-note exhubérante et entraînante. ... Ils» eurent tôt fait connaissance-et ne furent pas les derniers aux charlèstons, fox-trotts, tangos, etc. Quant' aux vieil- les danses qui sont la spécialité'de ce bal tout à fait local, elles ont permis aux carolorégièns de mener la valsé avec no- tre ireine d'un jour, infatigable ëtVgra- çieuse/ 'Onse disputa les dames d'hortheur et les Gilles ont quitté le'Kursaàl au matin, après avoir ébauché plus d'un roman, heureux d'avoir assisté à une très belle fête^dàhsâhté^ dans'le-décor brillant de notre splendide Kursaal. 'f EPILOGUE. " C'est l'allrbre aux doigts de rose^qui mit fin aux joies Carnavalesques de Ï928. - Le--Gortiité^ des- Commerçants-a donné au Carriaval une brillante clôture. Le- cortège perdit une, grosse part de son Succès," tout d'abord"parce, que léso- ^ëHhy-étâtti'pasî ensuite par la Idffgue attente imposée aux groupes et aux chars 'dans la rue*dé la" Chapelle. tempéra- ture' de dihranche he pjertnettait pactes stations prolongées qui ont mal diâpt>sé le jblit)llç:èt";les participants. O n aurait pu faire la réception dé <a Bfèîfi6>â fimtvdu -Côrtêgé*et terrnTfter cette fête par un épilogue dansant sjiï la Grand*Place^débafràs3êe> de*tôttt-p«wfCr itèfeiK * ^^.^-*jowwNv«t!*ea«ri; S.&&%i

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Page 1: «ABONNEMENTgod.biboostende.be/DRDoc/2008/01/31/440871617953.pdf · 2009. 12. 12. · TEL DE VILLE. — LE SPECTACLE DE LA RUE. — LE BAL D'HOOP IN DE TÔEKOMST. — CONCLUSIONS

•5«F; "W® •;w^ '"•?R2

Troisième Aimée, N° 28 UN'NUMERO : 26GENTIMES. Mercredi 21 Mars »28.

A BOUCHERY

47, rue SL Sébastien,

. OSTENDÈ. ~

Tél. 623 :-— TéL 62ï

Travaux de luxe et dé labeur. — v Editions. Reproduction de, plans.

Ciompte-Chèçues poaUux, 74801

Q S T È N B E L e s p j a g e s d u littoral

EDlTEUR-PROPRiETAIRE : BOUCHERY. BI-HEBD0MADA1RE. .

RÉDACTION ADMINISTRATION : 47V Rue Saint Sébastien, 47 ;î OSTENDE . ' ••; . TÉLÉPHONES: Rédaction 1312-Administration 623 *

BI-HEBDOA1ADAIRE.

«ABONNEMENT :

pour 1928 :

lan .i.fihr-25.00

• O n s'abonne a u bur.ea.u d u

journal et"dans"tous les

bureaux jde poste.

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1er.

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Prohibition: -r?: Je.ne vous en par-lo-: broux. Et puis, spécialité de la maison. rai iç,\que ppuivvous.diçcvqu'pjr a, jugé on étalcies hors d'œuvi'es b i é n c n éyi-:n.éc^ss&iré>aô^yoter,!.un.:cï^dil, de .quinze; dence sur une i m m e n s e table disposée millions dé dollars, qiièlqUëlçlïôse conv au'Triiliëu;'du^èstaui;aht et le client va ijxe 525:in.illlpnsid.e.X;çan.çs;beiges, pour se;éçrvir lui-même aussi copieusement îienfoicc^^^surveillance e|:pA)ur re^ qu'il en a lç-désir"

si , r s s ' d i£r<

, fréhVri-;ÏUïppQ^t&li.oH; ^i5 fraude, .et-;la !vent6-des-bpi§|pn^ à la • Ù M ^ poiy: faire pfaisir aux prob;jûtiplnnisles...{et auxvimiideurs.^ Le seul'ï^ultàU qu'on

-.stRlyt attëydre.dè^^^:cc.tte,;mesùre;:ç'est, 'de ' la^p^rV-.dés:-b6btiéggé^jH^dj?K:"distilla-tcurs; dftlçppls. mauxaiSr.'goût .et;tôxir

. [Cpieè, une notable,.majoration djï Pçix ; de. '.ygiitë.'-,.}*pt* 'du bçnéuce. ; '. ;. '"'?;; .Vf; -•••^:^/:A:i--- •"-•• v..:'-*-"'"' • •••' '.-•'• !."

Pif (h.Àvemic. — - L à . Cinquième Ave--riyèl/épnsti^ûeVin'cb'nleslablemenl "pour . TélràhgëJv'ùh. dés: toiit .gi'ands;-attraits et uneydés-beautéè dé:New-Yprk.Oh y admiré.les' plus b^eaux^ies piu§; nchés^ lesiplus luxueu^t,dcs=;màgasins de loué genres; pn.'y rèmarq plu-:

, sieurs dès; Hôtels les; pjjis; repu tés 'et Me , lus^réçétàm^ •' "aùési;.la /célèbre :;.b ïblio.tfiè(jWè -ie • Gèïi-;-.. ira) Paj:k, l^catbfed^bf^aUïblique de ; t;.; "JBat^ieK^^numen^ qui

"-'• res^eraibiè!;bea1jcoup^ /âu'Dômë^de ,Ço-îrtrvrirfv"'*!. 'viliicïÂ'iïv*c' '•'•orviinlûc*'* :r*iVYf îrtcilïï rife » s_os; /tant : protestantes q u e catholiques,' spnt:constrùitës' e h style, gothique. C'est lissez bizarre d a n s ce pàys^qu'i n'a àii-r c"unVpa^"ê"1JKi4tiqiife'"èt.''qhi,':â';ijs;"cuUo. de tou^^ëîguUesl^puyea^.- de création récente,';surtout"dé ^eàtion'-amé.rièaine. '"'"'m>'•; tous ^h'"^tonnjcrtià' 'pàè^lt'op, ; ç$,yA

•êf'.-pnWfi'a'sïo niiv?'Rlal4itînis': ' ' s

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tout est-contraste àùx;Etàts^Unjs/ : 'Passant.l'autre;jôur/là là ÇîfrqUième Avëjiuë?'jé m e ; sûjs^àwçté dëyjiint ; les. magasins' Tifàùy et; ppu^sè^jpàj'-là.Vcu--riosité, j'y .suis; jejitrêi Sans; w ' m ô i n d r é intention d'yr,açhétei> u n çoilierude per­les pr> m ê m e ' le moindres nécessaire de; voyagé.1. Tandis.iquc j e f g a r d a i s çle ; tous jolies ;yeux lesfsplehdeu'rs exposées^ unCeuiployé s'apprpçKàïtcdé m o i c t riië; domahflîiit fort aima.Mçra'phf'*!ce.que Ij |; .désini&v Je. h'éprôïi\$i?ïpas;>le; moindre' ;::ëmb^ÏTàs'poufeluu;dtf^^ .••^;ët.;què:je;.Yehais!;tbttt,*èiinpléWént-,ir^ g a j ! d c e ^ s a n ^ a | M t ^ ^ ^ m ê m e amabyttéf 'l%mp.roye ëh' questioïi m e ifit vbir^guantité; de;Ghqses mérveil-;• leûsés,- et^foiut;^a;ittçûïierëmëht .une longue-Wi.ti ine..c6nten/tht> la .plus sti-. Eerbe, la plus mâ'ghif(que, la: pîiis'npmf relise CQllectioh-de colliers de perles

qiîi se puisse^jp^^ne'n^ehl-ô'ùtrèf'hnë; .quantitéjîi.nimagina^lèi.'de,- diamants et '' de: .b^Uan^tsVïle .l^utej^lle mpntes^eii' bijou^; ënV b ; ^ en bagues,' en 'diàdèniles,: en "pendghtifs, eh- barrettes, etc. «tc.'Mais à çéM-seu-lemeht ne se-borheipas ,1'àctïvité de -là1 j^àispji; Tijfanv : p n ^ ë u t ; ^ té'i'ârgeji'terië dé;-"malàpn:;'et'de'>faiitâiJ: s je <^sir^éJ; voh^'y làâmiré ;'Sussi ; lés, plus élegiihts-artiélés 'd& voyage;;ëtîà; côté.de^tput.cela,.les imprimeries' plus chic/carJpW n'estvpas cbtë^d»nS;jéLhi^H. lifC; de M e ^ Y p r k si oh nef s&Jsert paB; dès.c^rtës'de'/Nô'ël;,ét;dë'Npuy'él:Àn dé. :chez. TifanyJ; D a n s ëëtte m a i s ô n r é p u r '•fée,!: tout^cV'qjii^elsp-'bgpuv: p^rle/'-Briï« -lantj^ëtc?-estn'éf.itablé.^Vpus n'y trou*;. yéfëzl pas Uihë faussé perle/ pas u n ; •strass.tïiaJïn'chés •dëpasséVlMmâgihàtiôhK Orif estime1 à; "30. millions de dollars la^^'aTëurTdu stock'

.',;de:-;«ma^Gb'andikèj[\,;.;én»nià^àsin'..v .ilià ;ii»ppwiciiiiiisig

les^ p e r l e s - 0 n g s , et lp,sf l àjTiants'montés. '•''• V''i: i ;:;i;--i;;-:î.rii*eAA ••.;;'-•':•'•""'; '.•••" '"'--.

- - L a prècavtliàmiilïlè.';—h péih'ë avais-, je remis les, pieds sur>l.ostrottoir de la Pifth Àyenue,;qu.e ;je vis arrêter '.tout-prèsjde m o i u n aùtb-çamiori vertiiEieux

Jionimës; en sortirent: aussitôt, l-finipôi>-.

- M o n 1 anii el-nipi nôiiï> avions u n e folle envie de nous 'offrir u n verre de yéritajble...; bière, non. pas de la bière; a&ei'icàine,"sorte d'ersatz à u n degré1 •ë^\dpiiti-ii.d'ftiGpp1v:nia.is^'ide-*là^Vé.ritablè biè^jëùi^péehhc. tùtpïîftïliasard nous d e m a n d o n s a u patron's'il n de la bière suédoise. II ne dit pas non, m a i s it.nous regarde, u n peu méfiant.^àîiritërviëns .alors et lui dis q u e flous-sommes bëi-gës'-et' qu'il :dbit:^.biën sa;vbir/ q u e {là Princesse/Àstrid a uni ses destinées à Cëjlës d u ; Prince -hérltiei'dii trône dé Belgique. La;:glacé!étail r o m p u e et l'ëx-çëlleht h o m m e nous fit serviifw dé U>, merveilleuse bière suédoise, de la V.od-; ka et tout ce que nous pouvions dési-" i:er. Vive la Suède ! ;> 7 f Vf.Un -autre.".soir'; -nous.-sommes allés dans = tin grand restaui'aht légalement établi dans les:sous-sols et tenu par un M . Janssens.;,Ceûïtfm m'avait frappé. J'apprisdë m ê m e soir que ce nonvbien p'slen'dais était porté par u n alicmahd aMéricanisé. B a n s ce rëslaurànt il; y avàit'iiaussi uii- orchestre,* d.es chan­teuses, des gymnastes-et des da'nseiirs. qui;iiousJont offert la vieille Valse Glià-lbupée^d'afltaii; ^ . ; !

(A suivre.) A B.

Lb Pont sur l'Ecluse du Bassin à Flot

" Le biidget extraordinaire des Travaux Pu­blics pour 1928, prévoit rôuvèrture; d'un creT dit de 50.000 francs, pour )â construction d'un pont'tesçulant sur 1k-tête-avài^ërs le, çKen^l);dë: l'écluse dû bassin' â; flot tfii dûyeâù:;'port'.\dë;p*ê'çlte:'J-;!'. '- '.;; ,;v Ce'pôht rjascu.ù>nt.îsera à deux volées, et |a;Uargèur isera1;dé..4m60.. entre les garde-porpsrdéux trottoirs de. i m. 00, et une voi.e çlVafretiéré de 2m60. ;'";;'

L'ouvrage,.sera;.riiû.à la main, pour être ^ttéifeûr^ - Âjputpns que Je personne/'qui^aura la manœuvre; du pont en question et de l'écluse m ê m e sera loge' dans .l'ancienne statfon de quarantaine; deMariyé^Estdurchenal,'et que •la-jiyjilè- aura à restaurer et a approprier en' conséquence,. . -'-V . -' '••'•-'"-; v

d e M i - C a r ê m e

LE CORTEGE DE L*ASSÔCIÀTION DES COMMERÇANTS. — LA BELLE PARTICIPATION ÉTRANGÈRE. — A L'HO­TEL DE VILLE. — LE SPECTACLE DE LA RUE. — LE BAL D'HOOP IN DE TÔEKOMST. — CONCLUSIONS.

Les cors sont d'infaillibles baromètresl Ils-ont fâit mal samedi. Une blonde, très blonde m'a confié que son cor la -faisait sotiffriret que npUs «lûrions de l'eaii. " Nous en avons ëù'dimanche, un peu,

mais assez tôîitëfpis pour diminuer de beaucoup l'entrain qui aurait dû présider aux fêtés de ;Mi^Caremë. ; '•''

LEïCÔRTEGÉ.

Dès deux heures, de tous les coins dé la ville, les sociétés dévalent,musique en' tête, vers la Chaussée de Tho.uroUt. Sa AAajésté Carnaval à cheval sur iïrié super­be baleine les s.àjuétbiitës. Elle n'ignore. pas .«.leVtëte^àJfgaùéhé'» et « le tête à:

Le Congrès de la1 L i p

des Contribuables à Bruxelles

%Tous-deu3Èpènéfrèréut Tâpidem6h_t,dain^. la maison en'•.fa.cei de laquelle'M'ç c/i| .lïlioh^tai^a^rJiA.,. ^

I

m

coup quiërs;Ss^|ioh^v\is<'çe1^ftWn.tS rj'cfféc tuer lé' transport dés espèces niohr n^yéêé^pâr/cërfàïhëâi^Mhufé^Il n'est

. juiriv^mie irpp iSpuyenfcique.des em­ployés ëtàierit ',dévàlisés' ëh': Cours dg route,; heureux encore lorsque lës.'ban* fdu% leïirv;laissaient la 'vie.' - 'î: / ;r^

À noter que pèndaul que les deux .... ho^méSjassurpnt^lârcmiseAde, i'a,rgeAt ; riif'rJésf i n 1 ^ . reslentj dan.s. la;(,Ypi|ure, i quoi celle-ci est' blihdèéJél rtiuhië de petites bUver-

l;tWres! éjni guise âé'iriéutithëi'ès. ' -

. L'autre,-souvrmaij. inséparable et ex-opllô'ht cprtipà^jon do i'outp ë^-ÀfîiéH-cftié m'a cohdlhtv'dànéu'h restaurant de

.^Broadway. ,Ce. restaurant,..établi; xlaiis,

: • seànçfihavo.ol tout le.personnel est do ! la m ê m e origine. Il y a im orch.os}rje| iidn'y^prûdûit^dès/attrftotîops; diverses •H->pehdaptledlpër qt jasolréë. Qn:y:.à\w S a prik/fixeioti àxla^èa'rtp^maii lë.çjîner k à priaËtf lie est ipartieul ièrom en t recom-;;• mahdablo.: lïors. d'œùyres très yar-iôs, iV ùri"pdissoh,~ une viande;~dos !légumo,s, ir f i î a m ^ e ^ W u M P à e é s e r ^ / . ^

a auK^Àmérieâins.fr,Comme,Hors .d'osur I vréS^S'n^'aSqtig^'ê^Mr^fis^dÙ'ch'oix'V

ô'est le cas. de dire qu'ils soht. particu-

W t ^ M ^ è ^ ' '

Sous la. présidence de'.'M; D a u w e , la Ligue dès contribuables a ouvert' son Congrès gé­néral, samedi dernier, au Palais;;des.Acadé­mies'à Bruxelles. ' '•' ' ' - ' 'r'Aprèâ renvoi'd'un télégramme aii Roi. ex­primant le loyalisme des congressistes et; leur désir: de rendre le régime?fiscàl'plus juste et rrtqifi^Aoùrd^fA: Pauwels à rapp;éjë lé but de la:' Lngûétet: les c a m p a g n e s qù'eilë àvaït; déjà 'ëntrepVisès:^;^ ' '-;;; '''•'•-'" •'. '''•""'''•'"."•";'"": •''Aprèsilùi d'autres orateurs s'occupèrent de divers questions relatives aux m o d e s de taxa­tion 'et d é perception, dé la fpi-àur l'alcool, i ;. Voici quelles furent les cOncjfusiphs; d e ce' cprigfès' : ; v . ""**'.•'''*•:.'•'•''. y.: •'"'•

,l) Lés.impôts sont bien moins critiquables; que lès m o d e s de perception de ces impôts; ,. 2) L'inquisition, fiscale, est. condamnable et ùoiï^^tre^upp^riméë^ ' "3) L à bonne' foi d u contribuable devrait

toujours être présumée. C'est à radrhinistra-tipn à faire'làf'r>reuvé dé'-la'-fraude et fion'iàu contribuable, à faire,la preuve ,de: sa bonne f $ ï \ r - /••-••'.;'-'- ".:!'•.'.";""/'•:' :•-; '" t^ilLést; impossible: d'appliquer strictement lés"lois /fiscales, à cause des ; arrêtes royaux, cirçïtlâires, minisfèriélles et décisions, diverses ;qu| sont; venùs-jçp^ fiêr.Iës lois, yné.simpjification

5) Nul n'est censé ignore'" la IpL Alaiâ il est 'tniqpi&':d'':iimp r ''â ;f6ufê'IeS' citoyens; '• la cohhàjssancë parfaite, de tputës les'lois d'imi' tiôtérî^-r;'; ':;:;; •--.••-•••••••. •-;;•;,•; .-' 6) Lés fonctioànàires fiscaux devraient tou­jours se ïapfieler qu'ils sont autant les .^er7 vi.teii.rs du. public que les serviteurs de l'Etatj "'"•p II, fauf'dëSbrthàis :-a)";que le" contrôleur des:.contributions ne siègé: erï, première ins­tance et sôit à là "fois jugé et partie; b) que lés contpbuabies néj doivent*pluâ fournir con-tië lés taxations arbitrarrés' dës>prèùvés ••net-gativës, car il est impossible de rapporter-de telles-;prëàVé's. : ;'•'"',

Pour les;-petits,commerçants : , 1 > Il est inique de. leur imposer l'obligation d'une comptabilité,; yj!s\ne reîujissentj le plus souvent, .pas de çpnnàissaïicës. suffisantes pour le faire •; ' ,.;

2) Les timbres fiscaux et les tarifs com-

M. Charles F E Y S ,

'Président du Comité Exécutif du Cortège

Carnavalesque. .

droite ». et quand apparaît le groupe des Gilles tintinnabulants, Elle perd la tête et tourne... a se rompre le.cou. ;' . ï : Mais 'yoici Sànnes;,bedpnnant, Charles ^ë^^rK^iréAix^-ÈÏ^SMissâërft^fr^ R Bockhodf imposant, A Lanoye irès énfoii-ré-et P. M e y e r rayonnant. ;liësiîànfàres;rivalisent; c'est Charleroi

avec sês,>idànsës::!scandées à la caisse; c'est Ath,.Âlost et Ghâftëroi aux airs sâiis .tillants, cë-sont Jes-Zigos^Jes 100 Kilos et-lesr,Pierrots ostendaisau.V-marches en­traînantes, lés Àccordéonnistes -aux ins­truments .plus paisibles. •Etvoici i|eS']groupës-e.t les .chars tous plus"fràis-les uns; que les autres.

Le Comité organisateur a tôt- fait, dé­mettre tout -cela en: ordre et les Joyeux Sica^ibres de" Roùlers; reprennent ! la tête du '/cortège. . - - . V ^ EN VILLE. Tout le long'du parcours c'est la gran­de foule. La pilule" fait trêve et voici que "défilent, sous des flots d'hai'monie les so­ciétés ostendaises ë't'étrangères, ' Tout;'leSsHCcès vajaux;-groupes d'A-

lost, !de •Charieroi, d'Ath qui' dansent, .dan.sept sans répit offrant_{e spectacle le plus,charmant d'unrmélange de'TcouIeurs joyeusesi'/.qu'i. dérnâridë'nt; dii soleil.

Mais.;c'est surtout vers;;jé.groupe em­panaché des Gilles" de Chârlërpi^que va l'ehtliousiàsinëjdës foiiles. nsspnf-là-in­fatigables,agitant sonnettes, biaquàht sa-' bots,; jetant., 'orangés, ;chantant^ç!ès. bons vieux "airs wallons qu'ils se passent de père en; fils depuis des siècles. rQûant aux- groupes locaux celui des Visçhrnijnyriënden,. fout, couleur locale,

nenrs. C o m m e idée c'était là une nôu veauté et elle à été très admirée. San? nul doute l'appétit n'aura point manqué à ces çohyjyes après une telle, promënjàde de santé;"

Ku'nst Genegen avait tenu à présenter le berceau de S. M.;.Çarhayal 1928. C'é­tait très réussi et l'on a bien ri de tpus ces: bébés, grandeur naturelle, qui se sont promenés :en; paniers d'osier, en trottinét-; tes pour: la-plus grande joie des--foules accourues nombreuses de: partout. Lés;Joyeux Zigomars:en'voitures dé­

couvertes attelées à la/Dàurnont ont évo­qué ^arrivée dù;':;Rb :'.'0'iiâd en Belgique. Très jolie mise' êh îsèèhë digne de notre grand cercle -philàhthrppique à là parti­cipation- duquël'on^ nëjfait jamais en vain appel:' "? ' ' " " '

Notre excellent ami « Jàn » a très bien rempli son rôle et plus d'un aurait bien voulu être le roi d'une reine aùési mys­térieuse que troublante.

Lé roi Ouad a-t-il beaucoup de ce 3 brunes aimées?

Quant àûx chars : Les Joyeux Pier­rots ont présenté une scène de C.olom-bine et Arlequin bien dans 5a note, l'ps-tend Swimriiig Club un match de Watër-Polo très en vert (sans doute pour évo­quer la verdure qui recouvré inlassable­ment la « piscine » du lac Marie-Henriet­te); les 100 Kilos Ont promené, une reine i toute de belle santé (fêçiàmé pour.l'air salin et le repos au bord.de là mer cou­leur d'absinfhé) et leberceau de Kuhst Genegen recelant uri' CarnavaVpbupon plein de santé et'de prospérité."

Quant au char de la Reine, iltétait bien en verdure mais au point de vue royauté. manquait de décorum.ij y a pourtant dans, les armoires, de là ville (rayon M . Léon Verhaëghe), de beaux manteaux de cour et d'étincelàhtès couronnes royales.

Dieu que ces royautés ont dû avoir froid! A L'HOTEL-DE-VILLE. ç Idée malheureuse : on a reçu la Tteine de;Mi-Carême! et ses deux souriantes da-nie^-d^hpnneiir-'pendant'le cbrtègeV Gela à* ëhievé aii'défiié'tout son charme et à là fête; dé: làruê-vtoute son airimatibri.

Dans la Salle" Blanche de' l'Hôtel-de-Ville,;une chaise dorée entourée de -fau­teuils-de velours râpé rouge attendait, sur;une méchante estrade, les reines en ballade.;;

Nous notons, dans la salle surchauffée, la présence, d^rMM;; les échevins Ëlle~ boudt, Verhaeghë et Yrponie; de MM.'les conseillers communaux,' Mefsu, Coolen, {C)ëswaef, Bockhodt, Willëms^der^M-'Ie secrétaire communal H. Vermeire-jdeyM. H. Ràiçk président de l'Association des' Hôteliers, dé, Mi;;Dernpçr président d'hon­neur des Zigo's^ dé?MiïLàbisse auteur de l'affiche des fêtes-de Mi^Çarêmë, de nôm~ tjréuses; damés. , "/*;;. r Arrivés Place d'Armes tous lés grou­pes exécutent leurs plus jolies danses. Alost* livre auxtipérsorinalités massées sur le; balcon de nHôtel-dë-iVillè, un assaut auxi oignons; lés Gilles: arrosent copieuse­ment les*autprités'd'ôràngès et les fan­fares déversent dès" > flots jd'harmonie. Toonë- et -'Wanne se livrenti-âfede*folles danses, ' tandis, qu'autour r-d'eux, ; les Vischmijnvrienden, infatigablës;";-yatsënt et;màsurkateht aux sons1 dès accprdébns.; G'ëstittn tableau des plus animés; qu-^h^ tôhy>fixe de son mieux sur unesérië^e pëllieules et auquel il m a n q u e l'éclat d'un bë|iu;tspleil. ^ M a i S . lë'comité organisateur M M . Ch. Fey'sjtiSànnes, Smissaert, A. Lanoye, L. Hîntstëre: Pnnl Mëvor pntnnrf'f'deK-'renré-

escoftàhtv^b^é et^yànné;; est des;plus: rlblsters, Paul ;Meyer entouréf,des/repré

,V.v

faitaires, m ê m e si elles sont élevées, idujr !évite/l|s*enifpis et là perte de femps^qii^ëes systèmes, comportent} '3>Le systèpieTforfaitaire aurait un double

a.vanHige > Pour- l'Etat' 'aussi > bien que potir le çontrityiable, Il diminuerait les frais de |pèr-é^pt(orf et A é paièniëjit,des. impôts; d'autre parti il a le mérite de fixer, pour': l'Etat com-nie pour les.,contribuables, les recettes elle» dépënsèsvqu'ir rJëuP'è'n'viSiager; : .Nous,regrettons^que-: le manque de place àe hoi^sp^^ftei ^i^e^OH^ëfelrtdreldar, vantage aujourd'hui sur les travaux du j o n h

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» Les Abeilles, Libellées et Papillons d'Ath, dirigés par M.1 Oilette.

animés-'; On-note en.-voiture la toute gra-1 sentants des diverses sociétés étrangères cieuse reineV.des- pêcheurs. Mad.;Maer- efeèscortant la reine et ses dames d'hon-'tehsen costume calaisiën, délicate atten- hejïr; ont fait leur entrée dans; là. Salle tion,.cêlébrant laîbellei-ëntente qui règne Blanche. • entre pêcheurs français et beiges. W ' è s ,que les Majestés furent ..installées 'Et ;Vbici Dédrlé le^lgs-Vàillâfit de nos M;'; l'échevin Vroome prit la r parole. Il capitaines, ybjçl, le ,comité infatigable et

inlaWàWë^du'vél-'dle^Jôy'een'réfe et ses collaborateurs; voici Albert Lanoye qui couve son groupe des yeux c o m m e une poule? surveille ses poussins; et fout cela danse dës-'-str'ieps aux sons d'accordéons mélodieux efcdoux. • -^Le Cexcle Lapon, a remporté beaucoup

detSiicces-aveo:son^groupesdevjoyeux dî?

ëxjçusà le bourgmestre retenu -ailleurs, ^btihaifàla bienvenue à la,f|éihe et à ses darnes d'honneur. Il se déGfSï'à heureux t(é;.voir que le Carnaval riîé^it; pas mort à^Ostende et affirma ;,qu|ll:;fallàit qu'il Continue ; d'y > vivre ; pour vie plus /gra,^ bien de la cité et sa belle,vj^fité. ' ' ; #M.i Charles Feys pr:tt.ensuite là parole è | cf s; tÇFîrif8 !

Monsieur l'Echeyin, Messieurs les Conseillers, Mesdames, " Messieurs,

Il y a dans le cœur de tout osteridais un petit coin que ne touchent'ni les peines, n| les douleurs.'Que: voulez-vous le chant'de la mer le berce depuis son enfance et: |a iSérie des tableaux que déroulent les saisons sur.:1a digue, dans la ville/: dans la vaste plaine qui entoure sa cité chère font qu'il y a de la joie dans les yeux et dans l'âme. Un seul être a compris cette âme ostendaise, c'est ?James Ensor. Il l'a rendue dans ses ta­bleaux, dans ses dessins qui répandent au­tour du nom de notre cité une auréole Tdè grande et belle gloire, une auréole enviée, une auréole bien à nous. Il l'a figurée; erf masques, masques hilarès>'masques boursouflés de rire, masques ridés de plaisir, masques chantants, dansants,.hurlants, masques bruyants, mas­qués exubérants. '•'•"/". ;Le Carnaval défunt vous a prouvé, Mes­

sieurs que. nous entendons rester fidèles' à ces fêtes... antiques et, aujourd'hui, pour. terminer ces réjouissances dans une note di­gne <te la. reine des plages; nous'amenons ici. celle qui, toute gracieuse -''préside nos fêtes de MKCarêniè.

Je vous présente Messieurs, Mademoiselle Daisy Verbrugghen qu'un jury désigné par l'Association des Commerçants a appelée à la royauté. A ses côtés figurent Mésdèmoi-: selles Wittewrpngel et Van SpeybVoëck c o m m e dames d'honneur. Elles sont les déléguées de trois de rios

sympathiques sociétés ostèhdàisës -. Le cer­cle Philanthropique des 100 Kilos, La Ligue des Hôteliers et les Vereenigde Vischmijn­vrienden.

Sans nul doute, Messieurs, notre Reine:et ses dames sauront, pendant un an, repré­senter dignement Osten'de et' nous osdns' formuler des vœux pour que leur grâce, leur beauté et leur charme aillent porter au loin' le bon renom de nôtre'cité.

L'élection des Reines né fut certes pas tâ­che facile. C'est pour le comité organisateur. le brillant couronnement d'un travail':: contint}'. et absorbant. Lés fêtes de Mi-Caïêrrië de cet­te année ont été mises sur pied.par l'Asso­ciation des Çqmmérçahts. U n appef a été adressé- au ;*pùblic. - Jl-y/-a Tépôridu;" avec Un érnpressement auquel nbus ne. nous'/atten-dipns.'guère. Nous avons pu 'réaliser'avec l'aide de quelques généreux donateurs, et ici il m e plaît de rendre hommage' ai rÂ'dniini-stration communale, au" Syndicat' d'Initiative, à M M . Bette et Sayag les dirècte'ùrs; du Kursaàl et à M . G. Marquet, président 'de la Confédération des ; Hôteliers' d e '' Belgique, uii cortège qui se déroulera cet a^rés-midi dans les rués d'Osteride. .

Sans nul douté ces fêtes dé' M i - C a r ê m e constitueront pour nôtre ville 'une excéllérite publicité. L'affiche du bel artiste qu'est nôtre concitoyen d'adoption M . Labisse a été très goûtée... Il nous faut ici remercier le service de presse ëf'de publicité de la société des Chemins de Fer: Belges qui'là fit, apposer da'às toutes les principales gares dg. pays et àusâj particulièrement la presse"Ostèndàisé. ?'.

L'appel de l'Association des Commerçantes n'a d u reste pas été sans échos. Pertriêttez-îiioi, Messieurs, de vous présenter les délé­gués des sociétés d e Charleroi, de Malihes, d'Ath/d'AIosVde Roulers qui ont tenu à faire escorte à notre Reine de Mi-Carême.

II y à pàhni eux de fidèles'àmis d'Os-tende, c'est''• vpu's'f.dirë' qu'ils se s'ôuyiénrie'nt de l'accueil' cordial qui les; àttend.'ici n o n seulement de votre part, màié'hiênie dé celle dé la population d'Ostende .fout 'éntièVe. !c y je les en remëfcië en mon nôni personnel; et en ceiùi du comité des fêtes' et jîàdrëssë mort.saluf aux arriis de WaKënië qui'ont te nu à..venir fraterniser avec leurs;frères Fia-' mandS s"ôus i'égide dè'Ia'Rèinede'Mi-Càrême et dé nos chères couleurs osfé'ndàisës, roirgè et jaune.

A vous mes amis, au nom des malheureux pour qui il esHàit une collecte Cet après-midi, merci de tout cœur. Nous' ri'oùbUeYdris, pas votre geste, et si un jour'nous pouvons' vous aider à panser des douleurs chez Vous jfutres, nous~ n'y faillirons pas.

Nos sociétés philanthropiques, nos Zigo-iriars à t'aHiiré martiale, rtos Pièryôts sym-1 pathiques aux faces" blêmes, nos;;lÔ0'Kilos exubérants, nos Pêcheurs-et'nos/Pêcheuies; ait grand cœur iront ;se joindre à vous'et por­ter lâ-bas les chants flamands, chants joye\ix et frâ'ncs qui mêleront" jéàrs'échos aùx'Vô'ires dans un joyeux' crârnignon.

Vn defnieï mot éhtiti Méèsieurs, pour vous remercier d'avoir bien votilu' nous soutèhir moralement et fin'àn'éièrèment dans la éas-' site de cette belle ;.jp'urhée. Jadis on 'pouvait' escompter des cbhèours gracieux •.'aujour­d'hui, hélas, les frais sont trop élevée et il ;f4iit'bien que l'on frappe à tôtites les por­tés. Nous n'y avons pas frappé en '-Vain ; partout on nous a répondu. ,On nous a donné et on nous: a -permis- de réaliser I'-<ieuv e; qi:e, Vous- voyez i:ët;après-'rnïdi,v03ûvrë?dôrit la réception actuelle est une apothéose char­mante. A tous nos collaborateurs, à tous les con­citoyens qui nous aidèrent de leurs conseils et de leur travail, un grand merci. Je -termine, -Messieurs, en 'demandant -"' à l'Assemblée d'acclamer le bourgmestre M o -reaux, les échevihset.lës consèillersjqtii fônt consenti à recevoir nos reines et réinstaurer les fêtes carnavalesques si chères Aux- osfen*' dais et ostendaises. Que Mlle Verbrugge et ses dames d'hbnnéur veuillent bien rétevoir ici les hommages de notre admiration et de notre sympathie. Puisse leur règne éphé­mère être heureux. Vive la'Reine, vviVe''le. bourgmestre, ylve-Ostêndel ; Ces paroles furent longuement applau­dies e t ^ ^ j v ^ H n ^ ^ l b w n t ç ^ B w b a n i î

çonne exécutée par la fanfare des Gilles à Haùfs^C'Kap'eàux5 de Charleroi que con­duit leur président M*Àhciâux, un ami d'Ostende. • M . l'éfchevin G. Verhaeghe donné l'ac­

colade à là Reine et aux danies d'hon-riëur. Leuir apparition au balcon de l'Hô-tel-dé-Ville. • est saluée d'une salve de Bràban^ô'hriês et de longues Ovations.

Puis le cortège se" reforme et continue sa-pïômenàde àù travers de la ville: Tout lë'loh^ du parcOurs-il y a foule, foule sympathique qui acclame longuement les Athoisi les Alpstôis, les Carolorégièns, les -AnVersOis tous' plus remuants les uns que lés autres. - ; !.} *H. T-Et vers six heures, ce fut de par tou­tes les rues de la ville, le retour-'des so­ciétés, vers leurs locaux, aux sons de marches entraînantes. r Le soir tombait..:'et la fête de la rue était finie; Là population heureuse se ré­pandit dans les cafés et dancings où elle s'occupa dé choses, plus graves : les ré­sultats du football. lE CARNAVAL DES RUES. Celui-ci fut quasi nul. Le soir, le mou­vement -alla decrescendo dès dix heures. Deci delà, dans les cafés, de la Place, des groupes plus intriguants-les Uns quelles autres;' faisant là joie de gens heureux dé vivre etdë sirôteffbrce cafés bu de­mis,

Un) membre -des Hauts Chapeaux

de Charleroi.

Les Hauts Chapeaux dô Gharléroi 'cir­culèrent, aux sons de'leur batterie-.éf fi­rent retentir-dans les principaux cafés le concert joyeux- de leurs' infatigables clo­chettes.

Dans les salles, de?dansej grande ani-inatipn, sans toutefois-être exagérée. On sen|;l'approché des Pâques, nous'dit un cafetier. . 1 LE BAL DU KURSAAL.

Le bal d'Hoop in de Toekom'st -f ut -tou­jours-ie'bal ostendaisipar'êxcelle'nce^Dé-puis-des années il-était agrémerité! d'un concours:de cdshimés:! Cette annécon l'a suppririié,-au grand ëtonhement'dé'beau­coup de personnes qui; âvâient'-fait des frais de travestissements. Il y avaitiquel-ques jolis 'déguisements très origihàhx et itfès1 frais, cachant de charmants'-minois, dont quelques-uns- bien aguichants. •Ah! que ne retrouve-t-pn, en ces soi­

rées,- ses jambes de 'vingt ans!..;' Mais enfin! Ce bal fut-agrémenté non

seulement de la présence de la souriante teifie -de-Mi-Garême' et de ses:-damés d'honneur, entourées des membres-.du co­mité organisateur très empressés et pleinS'de préyenances. : Le comité du Cercle des Hauts»Cha-pèaux-dëCharleroi et tous les-'Gilles mi­rent; dans'cevbal, la-note exhubérante et entraînante. ... Ils» eurent tôt fait connaissance-et ne furent pas les derniers aux charlèstons, fox-trotts, tangos, etc. Quant' aux vieil­les danses qui sont la spécialité'de ce bal tout à fait local, elles ont permis aux carolorégièns de mener la valsé avec no­tre ireine d'un jour, infatigable ëtVgra-çieuse/ 'Onse disputa les dames d'hortheur et les Gilles ont quitté le'Kursaàl au matin, après avoir ébauché plus d'un roman, heureux d'avoir assisté à une très belle fête^dàhsâhté^ dans'le-décor brillant de notre splendide Kursaal. 'f EPILOGUE. " C'est l'allrbre aux doigts de rose^qui mit fin aux joies Carnavalesques de Ï928. - Le--Gortiité des- Commerçants-a donné au Carriaval une brillante clôture.

Le- cortège perdit une, grosse part de son Succès," tout d'abord"parce, que léso-^ëHhy-étâtti'pasî ensuite par la Idffgue attente imposée aux groupes et aux chars 'dans la rue*dé la" Chapelle. Là tempéra­ture' de dihranche he pjertnettait pactes stations prolongées qui ont mal diâpt>sé le jblit)llç:èt";les participants.

O n aurait pu faire la réception dé <a Bfèîfi6>â fimtvdu -Côrtêgé*et terrnTfter cette fête par un épilogue dansant sjiï la Grand*Place^débafràs3êe> de*tôttt-p«wfCr

itèfeiK * . -*jowwNv«t!*ea«ri; S.&&%i

Page 2: «ABONNEMENTgod.biboostende.be/DRDoc/2008/01/31/440871617953.pdf · 2009. 12. 12. · TEL DE VILLE. — LE SPECTACLE DE LA RUE. — LE BAL D'HOOP IN DE TÔEKOMST. — CONCLUSIONS

LE JOURNAL OC LA COTI. j j ^ j j j ^ - ^ - - " J-^ J ^

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Le couji d'œil aurait été de toute beauté et la population satisfaite.

En souhaitant que l'Association des Commerçants persévère dans son effort, félicitons M. Charles Feys, un dévoué parmi les plus.dévoués et ses collabora­teurs du succès de leur premier cortège carnavalesque. Un peu de bonne volonté de là part des sociétés locales et l'on ar­riverai faire ici ce qui se fait autre part, au prix, de grands sacrifices aussi. H fau­drait toutefois que tout le monde donne et que certain? personnages qui aiment se mettre en vue n'oublient pas que les honneurs doivent se payer... et qu'ils y aillent, eux aussi, d'un peu plus de géné­rosité! Pourrajt-on savoir pourquoi la Ville n'a offert à la Reine et à ses dames d'hon­

neur ni le vin d'honneur, ni quelques fleurs?

La réception a été bien sèche et peu digne d'une cité dont.les anciennes ré­ceptions de reines revêtaient un faste in­comparable et une courtoisie toute os­tendaise!

Quand on voit ce que d'autres villes font, en ces circonstances, on pourrait bien se demander pourquoi, cette fois, on a modifié lé décorum habituel en pareil­les circonstances.

Nous ne terminerons pas ce compte-rendu sans rendre hommage à M M . Ch. Feys, Sannes, P. Meyer, P. Bockhodt, A. Lanoye, E. Smissaert qui surent organi­ser cette fête de Mi-Carême de main de maître avec des ressources très minimes. Ils ont réalisé là un tour de forcé dont tout le commerce ostendais a profité.

H. Br. L E F I L M A O S T E N D E

I. -r- Le Club du Cinéma.

•Mercredi 14 mars. Onze heures du soir. A u Forum. Les spectateurs, très nombreux, viennent de vivre intensé­ment, avec Kru, sa famille et les gens de sa tribu, quelques chapitres du Li­vre de la Jungle... On se lève; on s'en va. Les prpmoteursvdu Club, qui, re­tardés qpeïq/ue peu par de très aima­bles agapes, n'ont pu encore, dans Pobscurité,\se rendre compte de la qua­lité des Gînéphiles présents, se deman­dent, .avèc un peu d'angoisse, si, tout de m ê m e , il en restera quelques-uns... In petto, chacun se dit : « Et s'il n'en reste qu'un, je serai celui-là ! »... Mais non ! On se retourne, on regarde, on se compte, on se reconnaît... Voici James Ensor avec son masque de faune, et Spilliaert avec son sourire narquois et cordial, et De Sutter, fluet et romanti­que, et le rubicond Permeke, et De Clerck le mandarin, voici Claude Ber-nières, et Félix Labisse, et Maxime Vanneste, voici des autorités : l'éche-vin des Beaux-Arts et M m e Georges Verhaeghe, M. le Colonel et-Mme Rin-quet, M. le député: et M m e Boens, et dès artistes, des professeurs, des médecins, des mécènes, et des clames en nom­bre imposant... Mais c'est un succès ! U n vrai succès ! M M . Cari. Vincent et Putzeys, du Club du Cinéma de Bru­xelles, expriment, devant'cette afflu-ence, leur satisfaction admirative ; M M . les membres du comité rayon­nent, Henri Storck surtout : c'est pour lui la récompense d'un travail achar­né et d'un ardent prosélytisme^

...Après la séance, un membre du Club m e dit : « Oui, évidemment, ce n'était pas mal. Mais tout de m ê m e , je m'étais attendu h autre chose. Je comptais voir l'un de ces films, d'a­vant-garde aux audaces truculentes, dont on parle tant, un film sortant de la banalité courante ; du nouveau, quoi, de l'inédit !... Alors, j'ai été un peu déçu. Fièvre n'est après tout qu'une de ces histoires de bouges c o m m e on on a tant vu déjà, et les Grenouilles qui demandent un roi sont bonnes tout au plus à amuser des gosses !... » Je me suis donné beaucoup de mal

pour faire comprendre à cet honorar ble cinéphile qu'il n*'y avait pas grand' i hose de commun, malgré,les appa-

-1 ences, entre le rythme savant de Fiè­vre et les images grossières des « sa­vions «"américairïs, et que d'ailleurs il rst toujours passionnant, et surtout dans un artJout neuf encore comme lo cinéma,:de suivre les.essais,: les tâ-( )rin'emeritssi vous voulez, des prétur^ sours. Quant au petit : film de Starè-wilçh, comment, n'en :à-t-:il :pàs goûté J i plaisante ironie,.ni "apprécié le;tour. de .forcé, que. constitue sa réalisation '" Tout de' même, comme lé « Club du-

Cinéma » ne veut'décevoir personne; et nue-d'ailleurs tous: ses mémbres/sans • xGéptirjn, sont' impatients dé: connaîr 1 -e; quelques-uns de ces films révolu-rôhnaires qu'on appelle d'avantrgarde,: h; comité, ne reculant devant aucun; .-ucrifice (ce cliché se trouve être cette fois" rigoureusement exact), offrira à s m fidèle public, dès la séance d'au­jourd'hui 21 mars, Emak-Bakia, de Man Ray. Ce poème cinégraphique est, nous

dit M. Cari Vincent dans Ylndépendan-vc belge, une des œuvres les plus ca­ractéristiques du cinéma français d'a­vant-garde. C'est le dernier essai de Man Ray, qui nous a donné déjà le Retour à la raison, et. de courts p-jènsos rinégraphiques.qui furent très discu­tes. Ce film, qui s'apparente plus à la manière d'Enlr'acle, de René Clair, qu'à

celle de Lichtspiel, de Walter Rutl-mann, est marqué d'un esprit novateur fort curieux et d'une technique dont les procédés sont des plus originaux. Au programme de la séance d'au­

jourd'hui figurent en outre : .un docu­mentaire,- d'une durée de 4 minutes. sur le mariage de la princesse Zita à la Cour d'Autriche, en 1909, et La nuit d e la SainlrSylvestre, le célèbre film de L u p u Pick dont nous avons longue­ment parlé dans notre précédent arti­cle. . " • '-' ?

Dans notre article du 28 mars pro­chain, nos lecteurs trouveront des dé­tails sur. la troisième séance du Club. II. — Les films de la semaine écoulée. Du réchauffé ?... A ce compté-là, toute critique présente la m ê m e ab­sence de fraîcheur. Nous croyons, au contraire, .qu'il' n'est, pas sans'intérêf de contrôler ses impressions, après coup, et de se demander quels sont les films qu'on a eu plaisir à voir; el quels sont ceux qu'on se h'âtera d'oublier. : Le public ostendais sera d'accord,

j'imagine, pour ranger Chang. (auvJFô-. rurh) dans la première catégorie.Ces! m film documentaire d'un&valeur con­sidérable, et qui restera. '•'. . Il est regrettable toutefois -que la" projection'en ait^été un'pè'ûtrop rapi­de;' il est tels tableaux, tels détails que l'on aurait voulu pouvoir savourer Ion guement. Quand donc viendra l'heu­reux-temps où l'absence presque cômr plète de sous-titres presque toujours inutiles, et souvent crispants, .permet­tra de dérouler les films en un rythr m e moins précipité? Après Chàng, je citerai Chariot pa­

tine, dont la seconde partie est d'un mouvement endiablé, et U n e peliler f e m m e tranquille, film charmant grâ­ce à l'interprétation de Marie Prévost et de ses trois soupirants. L a petite chocolatière, avec Dolly, Da­

vis, est un film agréable. La Marraine de Charley est un vaudeville' filmé, moins amusant toutefois que là pièce d'où il est tiré, malgré Sydney Chap­lin,

Les autres films ne méritent guère d'être retenus.

m. Les films de cette semaine.

A u Forum, la Chair et le Diable, d'a­près un roman du célèbre écrivain al­lemand H e r m a n n Sudermann. C'est l'histoire de deux amis — deux de ces jeûnes hobereaux qui sont les héros de la; plupart des histoires sentimentales d ' A l l e m a g n e — qu'unit une affection, profonde depuis leur enfance, et qui se, sont juré solennellement fidélité clans la vie et dans là mort.Les scènes qui,nous.montrent cette amitié à toute épreuve, sont' tour à "tour plaisantes et profondéniéht émouvantes- Mais... . Deux .coques vivaient en paix : une poiilé^sùrvint..." ./.','-Cette ppùl'ë,-' c'est Félicitas, une fem-

me;mariëe,; là" f e m m e fatale, là «vamp» comme'disent' les Américains. Elle est blonde et ardente, et n'a point de peine à séduire'l'un' de deux amis, naïf et novice. L'es deux amants sont surpris; dans une attitude [dépourvue de toute équivoque, parlé mari. Duel. Le mari est tué. Notre.godelureau, qui est sol­dat, "se voit contraint de contracter un engagement de cinq ans pour une co­lonie africaine. Avant son départ, Fé­licitas lui a juré qu'elle l'attendrait. Le temps" passe. L'amant, plus amoureux que jamais, retourne, après trois ans d'exil (il a été gracié), dans le pays, na­tal.' ' -,."", / . / ' . . : '

A la gare l'attend son ami, lequel lui présente sa ferfime : Félicitas... Dès A m e u b l e m e n t G . D E S M E T

:. .ni : •_ ...••••.;.• . • • . n a i a n A a •• • • •

P O U R C A U S E D E T R A N S F O R M A T I O N S ,

PROVISOIREMENT T R A N S F É R É

Hôtel de Flandre'

P l a c e L é o p o l d I

Coin Boulevard Rogier et Chaussée de Thourout

lors commence, entre ces trois êtres, une existence tragique (car l'àTçni ignorait complètement les relations entre sa f e m m e et son ami), qui îuÇse dénoue que par là -mort' .de l'épouse coupable. " ' -v Xle film intéressant est mis en .scène.

avec une grande habileté. Il. y à-'là-quelques scènes impressionnistes très-réussies, de nature a plaire aux ciné­philes ra f fines. L'interprétation esi as­surée par trois védèttes : Grë'tà' Garbo, Lars Hansen et John Gilbert. Les; deux premiers appartiennent à. la colonie suédoise d'Hollywood, et jouent ieur: rôle avec une émotion concentrée tcè» prenante. Quant à John Gilbert, bien connu depuis ses rôles déy La- Veuve Joyeuse et de La Grande'rPàntdè,°i\ semble un peu dépaysé dans son-uni­forme allemand: toutefois il iiiUîi prête .son personnage d'amoureux àA'êc .une grande intensité-dramatique. s .An Ciné-Palace paraît à l'écran, ou­

tre Masques d'artistes, dont je vous par­lai dans m a précédente chronique, uni Chariot: Chariot émigrank C'est uni réédition d'un film de la série des 12 films que ,Charlie Chapliii.tourna pour la « Mutual Film corporation », de 1916 à 1917, série, qui précède, immédiate­ment la série dés chefs-d'œuvre. O n y voit déjà, dans certaines scènes. Chariot incarnant le type * du .pauvre'.bôpgre, en tragédien accompli de l'écran, itel qu'on le verra bientôt, danstoute spii ampleur, dans U n e vie de chien^M.Lé Gossè. ;\ ' ;'t

A u Cinéma Moderne, Pas tin mol à m a f e m m e , avec Irène Rich, qui est pne des figures lès plus populaires du/•fripn-de cinématographique américain: C'est elle qui. dans un film de Ma r y Pifk-ford : Rôsifa, la chanteuse des rues, joua lé rôle de la reine d'Espagne. Irène Rich prouva dans ce film Qu'elle avait""de grandes qualités de^gàîférimà-licieuse, de- force: dans le drame, i et d'autorité. Dans Pas ûri mol a m a fem­m e , elle est mutine et charmante." •

A u St Sébastien, un film gëW'ë-Gùr-wood, qui se déroulé dans des p a c a ­ges de. neige •.••Le Barbare, avec" [la blonde Eva Noyak, le Roi du:Las'so, film .cow-boy sans originalité,?.:jnais bien interprété, par K e n .Mayn^rd;.:dôrit les prouesses équestresi égalentVcëlte's de T o m Mix, et les Révoltés, ?oiïmJus a y o n s r e m a r q u é tout.-particulièrçmerit le j e u pathétiquevd'un., .tqiitij,eufl'e.~g^rr: çôri, digne é m u l e d e Jàcki.e Cpoggïi.'

A u Path'é enfin, u n film qûejTcpiïque:: Pour les beaux yeux dé Patsy.,'.;.!. ' IV.—.Les.Hlms de la semaineîprochaine.

À tout seigneur, tout honneur1. D u 23 au 29 mars, les cinéphiles osten^ dais, et, au premier rang sans douté,1 les m e m b r e s du « Club ' du Cinéma-iront Voir, au Çiné-PàMacë, les Niebfi-luhgen de Fritz Lang, Cefilm magni-. fique sera projeté en deux fois : du 23 au 25 màrs^to Mort de" Siegfried, et dû* 26 au 29^riiars, la Vengeance de Kriernà hilde. . " ; '" Le « Niebelungenlied » fut composé

au' treizième siècle par un jongleur autrichien qui s'efforça de donner: quelque unité à de nombreuses légëhH des provenant de sources différentes: Particulièrement dans deux œuvres! de la littérature Scandinave : là Sigurdà Edda (Sigurd est le n o m islandais de Siegfried) et la Volsunga Saga; àilté"-' rieuces au Niebelungenlied, ;pn 'rek trouve les m ê m e s événements historié ques qui sont à la base de cette der­nière épopée : richesse des Burgondes établis dans le Palafinat, victoire d'At-' tila sur leur roi Gundicarius (Giinr-fher), mariage d'Aftila avec une Aller mande. .•.•;'. ', f v .•.-'L'intrigue du «Niebelungenlied» offre1 pour les réalisateurs; un. grand attrait, étant, à priori, susceptible:d'un développement, cinématographique in-. térëssàht. Aussi, bien,.'la; .scénariste, M m e Th'éà von Hârbon, lia''fort, peu modifiée. Les quelques .èhangemqntjS qu'elle y a pratiqués se justifient. :.:•;

Fritz Lang a pu,; dans;: çé.film mieux encore que' dans lès Trois Lumièrèsy s'abandonner librement; à; son, gi^hie. de la stylisation. Le réalisateur, de la. mort de Siegfried a vu' son sujet;en peintre; peintre (Je la lumière, pèïritre des blancs et des noirs^mais surtout peintre des formes et des gestes; Tous; les tableaux de la forêt, par exemple; plus* grands' que nature, c o m m e il •Con­vient,: sont de merveilleuses vision^ de légende. Autre tableau- admirable ;j 3e burg d« Brûnhildé apparaissant date-l'apothéose d'une formidable; auréolé; Puis la chasse, les cerclés "de feu {en­tourant la Vierge guerrière, l'arrivée de Siegfried au palais ^de.GuntherJVt enfin le plus beau morceau de peinturé dé tout lé film, la source où vient |'a-brelivér Siegfried avant être fnal-, treûsëment frappé par ïlageh. j

Dans La Morl delSiegf'ried, le héros «qui n'a jamais cohhu la peur» toin'r be frappé à mort et par traîtrise. jLe meurtrier est Ilagen, Vassal du -roi Gùhther. Mais Kriemhild jure de ven­ger son époux. C'est le sujet de la déû-, xième partie •: L a Vengeance de Kriem-hild. Le roi Gunther, frère dé.Kriem-hildj-ayant .tefusé de livrer à' celle-ci H.agen, elle accepte d'épouser Attll&V roi dès-Hûns,'; pensant'que ce second époux l'aidera dans ses projets (dé' vengeance. Kriemhild, à qui Hageil-à dérobé l'inestimable trésor des Niebe-luhgen. demande âceluirci de lui fàif-c' connaître l'endroit b.ù il. le tient cachée,

voyant.que Jfjagbn s'est moq[ué d!ello, elle t'âôaf égàleriVQnt:- Ët,'Sarvèngëan <i. ëtaiît" accomplie* la X'eiiye incbnsôlaMe de Siegfried se laisse, aller dans la -rnort à son iqur. '

La^grandeiîr dû sujet, cet antagonis-mfi entre' .la/brutalité des situations et la' noblesse dé- certains-motifs d'action, la constante fidélité "de l'épouse de Siegfried et son implacable justice,\ont été exprimés par Fritz Làng à l'aide d'imagés et de rythmes .magnifiques,. Devant l'éclat de ce film grandiose pâliropt, est-il besoin de le dire, les au­tres films : Chanson d'Amour (au Fo­rum),Mùrquita l'Espionne (au Ciné­m a Moderne)' J e Cercle enchaîné et la Goutte de-Venin (au St-Sébastien), et Colette, au Pathé. J'en dirai quelques mots dans m a prochaine chronique.

CÀNUDESCO. Les fêtes de "La Wallonie»

Le 20 mai, notre' cercle * La Wallonie > fêtera, te X X V e anniversaire de sa fondation. C e sera la, nous dit l'aimable vice-président actuel M . Joset, l'occasion de fêtes brillantes. Dès à présent les sociétés suivantes : L a Légia de Liège, les Moncrabeàux, lès Chi-nel de-Fosses et les Pierrots de N a m u r ont fait parvenir leur adhésion au comité des fê­tes. Us viendront au complet. La Légia se fera erftêndre au Kursaair après-midi et- le soir il y aura grand bal aux Ambassadeurs. Avant là-.fête de nuit, il y aura grand concert sur là place d'Armes avec audition de cho­rales et cortège aux lumières. • L e matin-à l'issue d'un cortège auquel le comité de la « Wallonie » a décidé d'affec­ter 25.000 fr. de primes pour participations et drapeaux, la « Wallonie » sera reçue à l'Hôtel-de-Ville par le Collège Eçhevinal et le Conseil Communal.; O n c6mpte;>ur la présen­ce de 400 invités représentârit.jës sociétés wallonnes du pays.

M : Georges : Marquet, président d'honneur de la Société, assistera à cette fête et au ban­quet du soir qui aura lieu à~ l'Hôtel de la Plage. '• ..

Nous donnerons sous peu plus de détails encore sur ces festivités qui constitueront une belle journée pour Ostènde.et un jour de gloire pour nos bons amis.'lès Wallons!.

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Chronique Théâtrale

«TYL» PAR « HET VLAÀMSCHE VOLKSTOONEEL. » « Het Vlaamsche Volkstoôneel» finira jeu­

di prochain sa saison hiverrialepaf une re-préserifàtibn de « T y l > de j'auteur flamand A. yan de jY.éldë. O n sait que le «-yiaànische Volkstoohéëï » à- obtenu avec cette pièce un succès éclatant à Paris. Citons à ce propos l'appréciation de « Cbmcedia » : le théâtre populaire flamand a interprété une tragédie comique d'Ahtoon van de.. Yelde, intitulée Tyl. Cela ;est ' incontestablement une œuvre très, intéressante; est-elle d'une absolue ori-ginalitét?;.Il serait di Hiçile. ! jde -j le ! dire ; ; et il semble bien que le futurisme/des .uns ; et le dadaïsme-dès autres, en ces; dernières an-'hées,;nous 'aient-;• préposés" à-ce;:spectàcle;et mis'èfi parfait'ëtât de'grâce' pour le -goûter. 'Il;semble,1 toutefois,' que M . Antooh,' vân de 1 Vèldë^ait réussi Jà : unjr /harmonieusement; et selon 'ùri équilibre stable dès éléments fort disparates et d'ordinaire juxtaposés : le-bur­lesque mécanique, l'extravagance de la fan­taisie et< le lyrisme le' plus- profond. M : Ân;-toôn-vah de (Velder'semble en Jean Cocteau lyrique/ .;':-: '"• • • O n voit tout ce qu'il y a dans cette œ u ­vre de nature âpre et de lyrisme tumultueux, et dans une forme très moderne de contl-iiuelle asymétrie. La misé enseèné est tout à' fait remarquable ; le bateau dans 'raurbre, le duel du marquis et de Tyl, le tableau des chimistes sont d'un extraordinaire relief. Le metteur en scène, qui est/M. Johan de Meèfr-ter junior, sait^ jouer avec là lumière en virtuose. H interprête aussi le rôle "de Tyl : il s'y montre un acteur de tout premier 6r-^dre : dons physiques, timbre sonore et chaud /de voix, âme'ardente^ ï»7-

A U ÏHEATRE ODEON. • Jeudi soir/la; société « Kunst Genegen >, sbus la présidence d'honneur de M. 0. Hul-Plàli, a donné, au Théâtre Odéon, une fête dé charité au profit des pauvres de la ville. / U n e très jolie chambrée a. fait aux àctèurs-amàteurs de ce cerclé-un succès des plus flatteurs. Ils prit tous interprété avec plus '6t' moins de talent lés divers rôles du vaudeville avec chant « Hopgër O p > de Se-rôen."

M e s d a m e s Quintens, Vander Bruggén,' Hupperts; M M . Ronsmaris, Ruysschaert, Joye> Vahdewalie, Vànbaelenberghe, Vergracht, béschacht et Hupperts contribuèrent tous au succès de cette soirée, au cours de. laquelle on a remarqué aussi l'excellent accord des chœurs. ;"'"""T•'••-' '-'. '-•'•• '-"'•'• •'"' .'.'• ";':' '^L^orchestre.était dirigé par M . Verberck-mbes. \ ; ; -Une collecte faite au profit des pauvres de la; ville, a^apporté là somme de 120 fr. 50, qui'sera remise à"M. le bourgmestre Mo-ïeaux.

C I N É M A S

Ilagen prétend qu'il a-juré de né p^y révéler rendrojt où il T a englouti tant qu'un de ses- rois-' est encore en vii Kriemhild,' d'un :côup d'éftée tranche la'tété du roi Gunttief, sofl frère, pii^

RI A L T O P A L A C E . — Son ciné-mai son' dancing- club, àon music-hall. Ouverture,'juin prochain. • — -—• çirJE-PALACÉ. Les Nlebelungen; du vendredi ?3 au dl-

man'che 25 rhaPg^ — La Mort de Sie?frîed. Du lundi 26 au jeudi 29 mars : La Ven­

geance de Kriemhild, ' metteur en '. scène, Prltz Lang.- , CINEMA M O D E R N E . — D u 23 au 29 mars : Le -, beau film « Marquita l'Espionne », drame avec la gracieuse Myrna Loy, Monte Blue et Jane^Winton. Enfants admis. FORUM. •— Plaisir et Charité. CINEMA ST-SEBASTIËN. — Programme

dû 16 au 22 fnars, èil soirées. l.Actuaiités; 2. le Barbare (drame en 6

parties) avec Jane Novak, qui ne se rappelle pas Jane Noyàk, dans le chef-d'œuvre « Nid Brisé »; 3. les Révoltés (Moulders of ."fheh). Un nouveau navire-école ?

Il l'est'question'de mettre éri service un second nàyiré-école. Mais On n'est pas d'ac-côVd sur le type du navire à choisir.Certaines pérsoiirialffés prônent lé choix d'un, petit na­vire, de quelques trois cents tonnes* 'destiné] a'fai>é''dé très brève» crdtoièreé'dans là M«r

du Nord, et à rentrer régulièrement au port. Mais d'autres préconisent par contre le voi­lier qui permet les voyages au long, cours ce qui' constitue pour les jeunes marins un. magnifique entraînement. Quoi qu'il en.soit,, souligne le «Matin» il

serait indispensable, croyons-nous, que.la Bel? gique possédât un second navire-école. Là France vient d'eii acquérir un nouveau.'L'Ita­lie en possédait plusieurs; En Allemagne, les gros armements particuliers possèdent leurs navires-écoles. On en compte plus d'une dér mi-douzaine! Tous ces pays comprennent la nécessité de ces bâtiments. _:

Chronique Ostendaise

AUX PONTS ET CHAUSSEES,;

ECONOMIES.

, Il paraît "que les escarbilles provenant des malles sont excellentes pour Je chauffage cen­trai. Ces cokes de loin supérieurs aux cokes industriels donneraient une sérieuse écono­mie subies charbons. DE CANNÉS. Pour Pâques on.annonce le retour de M;

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que !a Chambré de Commerce d'Ostende existe Le Conseil du Commerce qui existait jadis.a, en effet,, été transformé en Cham­bre de Commerce le 27/avril 1803. Voifà' èhcbrè un bel historique" à faire.

FIANÇAILLES. - ~- , Nous apprenons les fiançailles de Mad. Su­

zanne Rasse, fille du directeur du Conserva­toire de 'Liège et chef d'orchestre :des Con­certs du Kursaal et de Mad. François/Ras'së^ avec .M.v A; Ahgenot, violoniste, fondateur du quatuor Arigeriot "'=""*1 -'" ;

Le mariage ^serâ célébré fin mars. ^ v i ..^Nps^féliç^^pji^aux-;parents >et;>ux futurs jeunes époux/'// " '. J • ^ CONFERENCE THËOSOPHIQUE. :M> Oastoii "- Polâk, ingénieur dès" Mines, secrétaire général de la société Théosophi-que Belge,-donnera.une conférence publique, le dimanche 25. mars! à-5 heures, dans ; l'a' salle des fêtes du Cercle Littéraire. Il parlera siir : « Le Royaurne des Çièux: » LA GRIPPE. '•""'''' -On constate une régression/sensible du.

nombre de personnes atteintes de la grippe. L'affection n'a du reste que. peu de gravité et n'était le maudit yerit d'Est de ces dèr-; riiers temps, la plupart des malades eussent été guéris// '•"•'•".

Le bruit a couru que beaucoup de soldats du 3rne,de ligne étaient grippés et que des cas; de'•" méningite cérébrorspinale s'étaient déclarés à la caserne. • r-

Çé: bruit est absurde. Il n'y a eu aucun sol­dat atteint dé méningite cérébro-spiriàie, qui est une affêction^fbrt grave. Quelques mi.liT taires ont / été grippés, mais les /mesur/és énergiques prises imrnëdiaternent parles m é -decins ,<lè la garnison Prit 'enrayé'- le' mal dès son apparition; ^ ; ' ; : ' v

Nous p/buvôns affirmer que l'état sanitaire de la population est excellent et que sous/ce rapport, lé/3me de ligne n'a rien à lui en­vier;;'": ';"•'•';'' i:~' '-''.'' '' "' /./' '"' .''•': '•'

D'ailleurs, le printemps nous arrive, et aura yite raison des derniers rhumes et dés ultimes coryzas' '•"'"•"' '' COUVERTURE DU KURSAAL. Le Kursaal sera ouvert, à Pâques, sous la direction de M M . Bette et Sâyag. Plusieurs jolis concerts et soirées dansantes y seront organisés, en l'hônheur de la colonie éfran gère qui s'ànnônée importante si l'on en jugé d'après les locations faites et/ les appartè-mehts retenus dans/ lés hôtelé. CONSEIL DES PRUD'HOMMES.

U.n arrêté" royal du 10 mars détermine la composition des" conseils de prud'hommes, dont l'élection aura lieu probablement le pre­mier- dimanche de juin., Lé éonseil d'Ostende comprendra comme

membres effeçtfs,. quatre employeurs et et'quatre ouvriers ; çômmé suppléants deux employeurs et ïeiix ouvriers.-POUR VOS YEUX. ' v Il vous faut dé bons verres : les verres ZeiSs. , : Pour bien les adapter il faut un Opticien

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m

M. Baels, Ministre des"Travàux; Publics, a déclaré mercredi, à lai Chambre, ;àu cours de la discussion du budget dé sa^lJépârfement, que la réorganisation de l'Adnj'inîstràti'on des Ponts et'Chaussées est irnnfînehte,;èt que les arfpndissernëhts routiers seraient^supprimés. On nous demandé si de dernier/ poin/Ç inté­resse les services des Ponts/et Chaussées de-notre ville. ' " x ,. - f .'/;: /rr ; s Informations prises, la suppression des àr-

rondisserhénts ne se fera, pour le rhoment,que dâns/lès services dés rputes. Mais; on centra­liserait, dans/les directions des' serrées;' hy­drauliques, je;personnel des arrondissements qui en dépendent. " ^ *;/"/' ^ Pour Ostende — puisque noué' sominès à

Ostende ':.~ voici doné'cé qui se passerait prochainement. . Là direction; du service spécial delà côte a son siège 69,irue Longue, en cette ville. Cinq arrondissements en dépendraf,_ dirigés les quatre premiers par dès ingénieurs,' le cinquième .par^un hydrographe.

il y a 3 arrblidissements à O'sténdè : l'ar-rôndisseinént. A- et. l'jfr/ôndissément. B.,ï et le/séryiç^ hydrogrâphyliie,; qui constitué lui âusàL.ùr^ârjpndi^ement^Ces: arrondissements A:. ef'Bi"; 'seraient fuëiojnriés. / ' y; .'"'T '

Le quatrième arrôndlSement se trouve à Bruges,.Te;'jcihqUièmé^ deux arrondis/semefits. servaient/ïranférés à Ostende, où ;sefâiénV.ainS ; centralisés; fous les services dêpehdànt/qe la•/direction de la côté.' / ' Mais .ajoutons que neh n'est décidé encore dans 'cet/ordre d'idées. Tbûtë^iis;' l'avis gé­néral est qu'il erTsèjà ainstayanipeu. Quant au personnel .admihjstïBrif .qui pour­

rait, à la sùite,j;d'urirté|"môùyem ver. en surnbmbre/^ôn le; y.èf£efa[fdahs divers services des Finances; sôit-a/Ostende, Nièu-nnrt'nti 'Rîriirriac! ' S * '-'.': '-:•.' ''• • D \\T

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La Ligue des Cafetiers fera paraître, d'ici peu, un organe bilingue mensuel.?.Ellèvà>:dé­cidé dé'-l'appeler.':: « Le Journal du Cafetier de^là Côté/»;/ !/ " '..• •-' :r::î.ï\b^?ï

Le salut'a notre jeune confrère, qui aura c o m m e secrétaire dé .'rédaction,- un de nos vieux/journalistes .ostendais. .j -, •;-.• DEMANDES D'URGENCE s J '

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Vendredi, matin, le coloneJRinquet a. passé la revue du 3e-de ligne. Au cours de cette cérémonie quelques officiers et soûs-offiçièrs ont été décorés pu promus à dés; gradés p'érieurs. ';'...-'" •;••'•'.'':..'•;-.'-:.;./ ):; ":.'..'-.,••'-

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^ ^ ^ ^ ^ Ç F ^ r f <î*7!1*,J8*Ç,«gi~l ***•*;??**"»-¥*s^~K'**RFW^«çéy^^**&!**!"r^ «qsflfwTJÇS J css^v-^- «ça «- î ^ s ^ ^ f - v 4 •„* W 5 ^ "H

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R A D I O

Bulletin officiel du Radio Club d'Ostende

.., Local: Hôtel St. Denis, rue d e la Chapelle ,i :•:.—••... Réunion le vendredi à 20 h. 30.

A U CStCLE « PRVGES-gN-AVANT »,

- La séance hebdomadaire du 16 : courant a. été des plus-intéressante.

Après avoir passé,* d'abord à Texà-m e n 4 e s revues, le président a fait, un

' essai;"des"deux transformateurs, de basàe fréquence, type 4003, que la So­ciété Philips a fait parvenir à titre gra-

. çiéux,. au .club il y a deux.semaines.. - •iî'%udltiôn .était trèsvpurev Aussi ce don Tfutr-il estimé beaucoup - par tous les, membres.:; '•- - • - x : . ~ M." Vandenberghen a trouvé utile d'entrer ^dans quelques considérations sur ce nouveau transformateur. 11 doit .être cd'àprès lui à noyau, eh permallay alliage, présentant la propriété d'avoir .une .perméabilité 2: très élevée et con­stante. Le^primaiçe est eïïvfil d'argent et Te .sèçondairb, Jr'ès résistant ,en al­liage, à basé'de nickel. D'bu heureuse

. utilisation d^es.courants de - haute fré­quence; au, priniairé et dés propriétés , magnétiques aii secondaire ; V.Pui&ieçtùre fut donnée d'un article du

* Soir », concernant le récepteur A m • plivox fabriqué par un des membres M. De Meester, et exposé en ce m d ment à l'exposition de T. S. P. à Liège, article très élogieux pour notre com­patriote. " > ' ' M. De Meester a reçu commande du

Ministre, M- Lippens, d'un Amplivox portatif. M. Vande Gasteele a ensuite donné

sa deuxième conférence sur les cour­tes caractéristiques des triodes ; cette fois-ci avec une clarté très nette, ce qui fut hautement apprécié par tous les membres. '-Vendredi prochain, M. Vande Ca-

sjeele nous entretiendra de. la - Noutrpdyne à 5 lampes.

Fin du Bulletin Officiel. FAITES-VOUS MEMBRE DU RADIO CLUB

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P o u r v o s

a d r e s s e z - v o u s à

rimprimerie

Le bal travesti organisa samedi au fQKér du Théâtre par le Cercle Royal Brùges^n-avant a obtenu un gros succès et Sien que ce m ê m e jour plusieurs fêtes avaient lieu • en notre ville beaucoup de membres. avalent répondu à l'invitation du Comité»}; : Nou s avons remarqué nombre de joÛes

toilettes et les travestis étaient en raajorue. U n concours avait été institué et le public lui-même composait lé jury. : à l'unanimité les premiers prix furent obtenus : pouçjle costume le plus'original, par M m e G. y.èr-meersçh en Espagnole ; pour le plus b^au costume par M m e H. Lebacq en «Venise|. Les prix offerts par le comité étaient-' ftet beaux et furent remis aux lauréates Six applaudissements des invités. '*; Cette soirée ne pouvait se passer sans que

« Bruges-en-Avant » ' ne songeât aux déshé^ rite : après un ballot paysan, remarquable­ment dansée par les orphelins de la F. N. C., eut lieu une productive collecte au profit de L'œuvre, puis la vente aux enchères amérl-i oaines d'une œuvre d'art qui fut adjugée, après une lutte acharnée, à notre afin « B o b » de Londres. . 1-•: Grâoe aux . soins du comité, qui "" avait

abondamment pourvu les membres de boû* les de coton multicolores, une grande ani­mation ne cessa de régner et par faveur spé­ciale le bal se termina aux petites heures... trop tôt'de l'avis de bien des : danseurs ! '.[' TACT...

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•Notre jeune confrère satirique «Reinaerl de Vos», décédé après quelques semaines d'existence, avait toujours observé un ton de réserve un! t>«ct que nous nous plaisions à. reconnaître. . -. depuis peu paraît en notre ville une feuille

qui a la prétention de servir dé programme' de fêtes locales et qui voudrait bien à son tour prendre un genre' satirique et se gaùs-ser de nos concitoyens.; • :: v "• -; ,•• Hélas, cette léullj.è:manque-de. tact. Cette

semaine elle fait paraître des rimes au sujet d'une petite ; histoire qu'il vaudrait . mieux-taire parce qu'elle ne regarde que celui à qui. élle.'est arrivée et qu'il est toujours inutile. d'alimenter les cancans. ': ' :•••".' En ville cet article a soulevé une réproba­

tion universelle et nous assurons à la feuille en question que si elle continue à alimenter ses colonnes de petits potins locaux elle né fera pas Ions feu. EXPOSITION,

Notre concitoyen G. Franck De Craeke ex­posera ses œuvres en la salle du Théâtre communal, rue de Tournai, 16, à Ccurtrai, du' 25 mars au 3 avril. AU CERCLE COLONIAL.

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O S T E N D E

— T é l é p h o n e 6>23 —

A L'AVENUE DE LA REINE.

On a commencé les travaux de fondation destiné au bronze qui faisait jadis l'ornement du «quare Marie-José -et on met en ordre |e terre-plein sur lequel se" trouvait jadis la ?ta^ tion du tram. " —.-' -

\

P o r t o -2L.

dortgine.

Chronique Marïtïme

LE CINQUANTENAIRE DE LA MINQUE.

NU VOiOR LATER.

; Dimanche prochain à 3 heures, le cercle « N u Vôor Later » donnera,; au Théâtre Royal, une_ très jo'iie fête enfantine et musi­cale:' 'M ":;.'- :'-' ':' •'•'-'"• --•••' "' :;;'-.''

A u programme : < Hansje in 't Bessen-Jand.», arjangée par Ma.d..E. Maes, d'après une. flouvëliei de^M. j; Weldyanck et mise en musique par :M: Constant Aioreau. L^orçhës-'tre,.:ser j dirigé par cet eMéUënt;chet • "

Dès places aux prix dé 6, :5, 4, 3, 2, et 1 fr. 50,'peuvent être obtenues chez: le con-çiei'ge du théâtre. -: LE C O N C O U R S DES

HÉNDRIK ÇONSCIENCE'S VRIENDEN. La distribution des prunes aux sociétés; qui ont participé au concours dramatique organi­sé par le Cercle Hendrik Çpnâcience's jVrien-dén se fera, le dimanche de Pâques, à THô? tel-de-yille. > .NOS ARTISTES. C'.est le rôle de Niklaiis que notre cpnei-. toyenne Mad., câlmeyn' chantera, à Anvers, "lors de la reprise des « Contes d'Hoffmann >r

Nous lui souhaitons bon succès. DON. .v M. le Bourgmestre à reçu, d'un anonyme, pour la Mateïnité, une somme de 75 francs en souvenir d'im événement heureux.

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On nous certifie que la ville a décidé de fêter officiellement le 50me anniversaire de la Mirique. Il y aurait une réception à l'Hô-tel-de-Ville par le Collège et les membres du Conseil. LES MALLES OSTENDE-DOUVSES.

Le Conseil d'administration des chemins fer. a repris l'examen de la question des mal­les Ostende-Douvres. Celles-ci continuent d'être exploitées par l'Etat. Deux solutions sont envisagées: d'Une

part, l'adaptation par l'Etat dé l'horaire du service de ,ces malles aux horaires des che­mins de fer anglais, belges et allemands; d'autre part, la réprisé du service par la Société Nationale. La .Commission Halleux continue l'étude

de la' question. Son. rapport tféfinitif-n'étânt pas rédigé,, fe Conseil d'administration a dé­cidé d'ajourner sa décision. Il est dès à pré­sent acquis que les Chambres de Commerce dé Londres et* de Berlin préféreraient user de la. ligne OsJënde-QOuyrés Plutôt -que de ;la ligné dé Calais, si le transport s'effectuait dans des conditions plus avantageuses par la voie belge. -POUR LES PECHEURS.

Le poisson sera classé dans la 3e catégo­rie au lieu de la 2e, ce qui abaissera le prix du transport; On étudie la possibilité d'assu­rer l'acheminement du poisson par bacs con­gelés, ce qui aurait aussi pour conséquence une réduçtion^du ; tarif <Iè transport. LES IPERRY-BOATS.

Samedi.M. le docteur Dcrscheid a donné au Cercle Colonial une. très inléresante confé^ rence sur le «Parc national Albert », a Kivu'. que notre pays a créé au Congo, pour établir une'-- réserve à l'abri de la destruction humai-" n e : . ••• . •••.'•:'••': 1/orateur, relata toutes les péripéties de la;

mission Akelèy-perscheidt et adressa un sou­venir é m u à la'mémoire de. son chef, le Dr. Akeley qui mourut au. cours, de l'exploration." Cette conférence : très appréciée était ac-i

compagnée de. remarquables projections lu-' mineuses AUX « AMITIES». ;

Dans un numéro précédent,nous avons re­laté la façon scandaleuse dont cette société de jeunes gens était malmenée par un cor­respondant flamingant néo-activiste d'un con­frère peu digne. Le «. Ôssenclub » a admira­blement répondu à ces viles attaques par la fête qu'il a organisée dimanche dernier au profit de la Ligue de l'Enseignement (School-bond) de Knocke! Avec le concours de « Van Peene 's Kring >

de Ledeberg, il avait composé un program­me fort agréable où différents morceaux de chant étaient entrecoupés de petites pièces dramatiques ou d'opérettes. La salie était très bien remplie et le public ne ménagea pas ses applaudissements. Le président du « Ossenclub » déclara que

lui et ses amis étaient indignés de l'attaque dont ils avaient été l'objet, il remercia le pu­blic d'avoir si bien répondu à leufs espéran­ces en les encourageant-pour l'avenir; et iro­niquement il remercia le calomniateur anony­me .qui a fait pour eux une merveilleuse pu­blicité. •-•-•• La fête se termina par le bal traditionnel

où jeunes et vieux s'en donnèrent à cœur joie. A LA SOCIETE D'ARCHEOLOGIE.

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Le 23 mars, M m e Marie Gasquet donnera. une conférence à. la tribune des «'Amitiés' Françaises ». Mfrie Gasquet est un écrivain de talent,-au-;

.teur. no.tàmment d ^ U n ç enfance, prp.yèn-çft^e»; '«.'Le métier de Pénélope»-; « -Tante \lal. Capucine»; « Une fille de St. François;»,"efc. Cette conférence clôturera le cycle'dès réu­

nions d'hiver 1927728; des «Amitiés». f, CHEZ LES «VRYE BUROERS ». Le Comité des Vrije Burgers organise le 26 mars en son local orne conférence qui sera donnée par M. le député ' Standaert. Sujet : L'Association familiale. SOCIETE DE MUSIQUE DE BRUGES. •La troisième séance de la Société de.Musi-

que aura lieu le samedi 21 avril, à 4.30 h., à la salle du «.-Vieux Bruges », et sera réservée uniquement aux abonnés. , Les non-abonnés peuv^nty assister moyen­nant paiement abonneirient anticipatif saison 1928-1929 de 20 fr. par personne. S'adresser rue Général Léman, 1, Bruges. CHEZ LES ETUDIANTS. Le 30 mars les étudiants de Louvain don­neront au « Vieux Bruges »-une revue in­titulée «Je Glose... elle aussi»,' de Nargel. Lés 10 et H avrlj les étudiants ftrugeois

donneront une revue locale, qui promet d'être un succès. TOURNEE BARET.

Jeudi 22 mars, au « Vieux Bruges ». Tournées Barét donneront « Fanny et Gens».: THEATRE.

les ses

Le Consejl d'administration des Chemins de fer a entériné vendredi l'accord intervenu avec la Compagnie des ferry-boats, pour la revision de |a cbnventiph, en vigueur. EXAMEN DE PECHE MARITIME.

Les examens de capacité pour la pêche maritime auront lieu le 2 avril 1928.

EN ROUTE POUR LA

'S'- O R A N D E AVENTURE,

;• La police d'Ostende remarqua les allure» '/a.usçKçtei d.e tt"0îs jeunes gamines, d'environ ;;'J6 ânà,;cjUi dé'ambujaiént par les rues de la ; station balnéaire. Appréhendées et irfierro-gées, les aventurières décïaièrent être venues

i'de Moll, où elles résident et que, après avoir j' yiàîté's lès Villes de Liège et d'Anvers, elles -««^liurenj 16; projet de se rendre en Amérique

" S f engager•comme artistes dans une ...,,„ -prfee :, çitiématographique,, La^ police a

::'',îirïVeftfi''Tè'8< aft'nfe'' et a fait reconduire les filmMtars en herbe à leur domicile. Piteux

Brugeojse

LE CARILLON.

La conférence que Mme Paulés a donnée au « Vieux-Bruges » sous les auspices de la Société d'Archéologie a eu un beau succès. M m e Paulés nous a parlé avec émotion de la dentelle en France et en Belgique. Au X|Ve et XVle siècles ce sont les den­

telles de Flandre et d'Italie qui jouissaient de la faveur de la clientèle européenne tant mas­culine que féminine. Cet art constituait une source de richesse telle pour ces deux pays, qu'en 1665. la France par l'entremise de Col-bert, dans le but d'empêcher l'exportation des capitaux, décréta l'organisation d'une in­dustrie nationale. Les ouvriers durent travail­ler d'après des modèles approuvés par l'ad­ministration. -•' • -Cette mesure porta un coup mortel à la

concurrencé étrangère et favorisa la produc­tion nationale, qui tout en s'inspirant des anciens modèles étrangers, produisit néan­moins des œuvres originales d'une grande perfection. C'est la période de splendeur. Au XVIHe siècle sous « La Régence »,

sous Louis X V et XVI, ainsi que sous l'Em­pire, l'art français s'exprime dans des den-îtelles caractéristiques en rapport avec les différentsv styles. , " L'è XIXe siècle vit Ja période .de décadent c"e 'oïij' est Caractérisée par un art d'imitation, pafifpis baroque et recherché sans grande ori­ginalité.: En Belgique c'est la dentelle de Bruxelles

'qui évolué et produit des chefs-d'œuvre qui, ditron, auraient inspiré l'école italienne elle-même.' Oahd, Bruges et plus tard Binche, Malines,

"Anvers et Valenciennes puisèrent à la'même source bruxelloise eh gardant leur génie pro-prèv Des applaudissements chajeureux qui clô­

turèrent cette causerie prouvèrent l'intérêt que'le public y. avait pris.

A Y P R f i S

LA CHAMBRE DE COMMERCE^

Pendant la semaine de P&qucs, les airs dés sonneries du carillon seront changés c o m m e suit ; Pour les heures « Ecossaise » de Schu-m a n n ; quarts après l'heure : « De deur ult», PI. Van Dùyze; les demi-heures: «Spores lied», Fr. Boogaerts; quarts avant l'heure : «Dansen Hopsasa», de F. Andelhof. ' LE M O N U M E N T OUTDO OEZELLE. La commission Stédenschoon, s'est ralliée à l'avis du comité central quant à l'emplace­ment où s'érigera le monument Guldo Ge-zèlïe, près de la maison natale du poète West-flamandi .. ' ^ REVUE. •Le 3 avril au Vieux Bruges : « Revue Gi­bet », avec - les meilleurs artistes de 6rû-jftllfc...-'.v...._-:-... •--.-_ x'. .v.".:.-.

Le 3 avril auralieu au Théâtre c o m m u ­nal la dernière représentation d'opéra de la saison. A u - p r o g r a m m e : «Faust* COUR D'ASSISES DE BRUGES.

Le 5 novembre 1927, des passants aper­çurent un cadavre d'enfant flottant sur le ca­nal à Ôudenbourg-lez-Ostende. Le corps put être identifié assez rapidement : c'était l'enfant, âgé de vingt mois, de la nommée Madeleine BIdmme,. célibataire.

L'enqUête établit que l'enfant avait été ren­du à. sa mère par lès personnes chez qui il ••avait été placé, parce qu'elles ne touchaient plus de mensualité* A peine rentrée en pos­session du bébé, Madeleine Blomme demanda à l'homme avec qui elle cohabitait', Aloïs Waernioes, de le reconduire auprès de ses nourriciers. «• Peu après, dit-elle, prise su­bitement d'une vague inquiétude, je pris la même route que Waermoes;. arrivée au pont de Waertbrugge, j'aperçus celUi-ci, portant l'enfant sur les bras et longeant la rive du canal. Je lui criai. : « Qu'allez-vdus faire? > Ne recevant pas de réponse, je'le rattrapai, mais il m'ordonna de m'àrrêter. je n'osais plus regarder, quand soudain j'entendis un plongeon. Je lui criai : qu'avez-vous fait? et l'ai-suivi, en courant, sur une distance de 500 "mètres... Wàèrmbës, qui avait pris la fuite,» fut ar­

rêté à Sr|âèskerke; après avoir déclaré que l'enfant était tombé accidentellement dans le canal, il ne tarda'-lias" à faire des aveux com­plets; il avait plongé le pèfiot dans l'eau, la tête en avant, tout en maintenant ses jam­bes. La victime se débattait longtemps, jus­qu'à ce que ses membres fussent immobili­sés par l'asphyxie. L'accusation appuie sur le fait que ce dra­

me ne peut pas être attribué à la misère, le père et la'mère de l'enfant possédant' les moyens de relever; d'autre part, le bureau de bienfaisance. deiPhisfellës, s'était engagé à assurer son placement. . Waermoes. a été condamné aux' travaux forcés'4 p«'rj>ftdtt. '

La. Chambré* de Commerce d'Vpres est vraiment à citer à l'ordre du jour pour son initiative dans tous les domaines. L'on est en pleins préparatifs pour la Foire commer­ciale qui. s'ouvrira le Jeudi-Saint, 5 avril. Une affiche coloriée, figurant à la vitrine des commerçants exposants, constitue une ré­clame artistique et personnelle à la fois. Mais il n'y a pas que la Foire commercia­

le dont on est redevable à la Chambre de Commerce, on lui doit encore les agréables soirées1 cinématographiques de l'Université Gin'égraphique. Belge.

On. doit, aussi à la Chambre de Com-céreë son intervention chaque fois que l'in­térêt général est en jeu. Il y a longtemps qu'elle exerce son activité pour obtenir la re­misé en état du canal, de meilleures commu­nications ferroviaires, des abris pour voya-geursà la Gare d'Ypres, des conférences Co­loniales, fiscales.* Aussi n'este pas sans uni-certaine satisfaction que l'on voit que le travail persévérant et courageux de ces con­citoyens trpuvè sa récompense clans la ré­surrection de cette ville. L'Orfèvrerie JflDEH

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Messieurs les actionnaires sont invi­tés à assister, à l'Assemblée Générale Ordinaire qui se tiendra au siège so­cial à Nieuport, le samedi 7 avril 1928, à trois heures de l'après-midi.

ORDRE DU JOUR : 1) Rapport du Conseil d'Administra­

tion; v 2) Rapport des commissaires; ?) Approbation du bilan et du compte

de- profits et perles arrêtés au 31 décembre 1927;

4) Décharge de leur gestion aux Ad­ministrateurs et aux Commissaires;

5) Divers. Pour être admis à l'Assemblée, M M -

les actionnaires sont priés de se con­former à l'article 18 des statuts. Ils de­vront déposer leurs actions, au plus tard cinq jours avant l'assemblée, au siège social ou bien:

A Rruxelles, chez M. Pol Vanhecke, roo du Midi, 91.

A Ostende, chez la Banque d'Osten-do cl du Littoral. 967

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RESULTATS ET CLASSEMENTS DIVISION D'HONNEUR

R. Standard G.—R. Racing C. B. .. Bercheru Sport—Un. R. St. Gilloise R. Daring C. B.—R. Beerschot A R. R. C. Gand—R. Antwerp F. C. .. Liersche S. K. —A. R. A. Gantoise .. S. G. Anderlecht—R. G. S. Brugeois R. F. C. Brugeois—R. C. Malines

CLASSEMENT GENERAL.

2—2 1-0 1 — 1 1 — 1 5—i 3-3 1—0

1. R. Beerschot A. 2. R. Standard C. L. 3. R. C. S. Brugeois -t. Berchem-Sport 5. Liersche S. K. 6. A. R. A. Gantoise 7. R. C. Malines 8. R. Antwerp F. C. 9. R. F. C. Brugeois 10. R. R. C. Gand 11. R. Daring C. B. 12. Un. R St Gilloise 13. R. Racing c;B. U . S. C. Anderlecht

J. G. 21 18 21 16 21 13 21 11 22 10 10 21 9 10

P. 1 3 7 S

21 21 21 20 21 21 20 20

8 11 7 10 8 11 7 10 7 11 7 12 5 10 3 15 DIVISION I.

C. S. Tongrois—Héron F. C White Star A. C.—R. C. S. Verviét. C. S. Forestoise—Turnhout F. G. ..... F. C. Malines—R. Uccle Sport ........ Boom F. C.—T. S. V. Lyra R. Courtrai Sp.—Oude God Sp CLASSEMENT.GENERAL.

Goals p. C. P. 66 24 33 75 35 34 53 40 27 42 32 24 42 47 22 4044 20 46 50 18 44 53 18 37 49 18 3S 46 17 35 48 17 30 16 16 39 41 15 34 67 S ..... 4-2

3-1 2-0 5-2 1—4 0-1

A. S. 0. :i ST 0 NICOLAS S. K

Malgré la coiieurreiiep du collège de carnaval, il y avait assez bion du mon­de quand l'arbitre Pabel aligna les deux équipes. 1er Time : Auguslus gagne le toss

el Oslende slarte. Les deux équipes sont lentes à se mettre en train et nous n'as­sistons guère à du beau jeu. Ce n'est qu'à la t5e minute que, se passe réelle ment une phase émotionnanle : Au­guslus manquant de marquer de la tô­le contre sa propre équipe. La balle dévie heureusement en corner, qui est dégagé. Des deux côtés, les joueurs se contentent de shoter au petit bonheur et les rares combinaisons ne réussis­sent guère.A la 35e minute l'A.S.O. ob­tient un t'ree-kick près du pcnalty-area. Martinscn shote de peu à coté, cl voilà que l'half-tirne arrive avec un score toujours vierge (0-0). 2 m e Time. Le jeu changera complè­

tement de physionomie. Les avahlsde l'A. S. O. s'y mettent enfin et voilà que déjà à la 2e: minute le kccp.er doit••arrê­ter un dur shot de Martinscn. La balle lui échappe, elle dévié vers Van llalme mais celui-ci shole fort à coté. Ce ne sera que partie remise car à la loe mi­nute Dew-itte parvient à s'échapper. Ce-J

3 5 5 7 S 8 T

S 9 7 9 8 11 7 12 6 11 4 15 4 16

4 4 4 6 4 3 5 6 6 4 1 4 1

72 29 32 71 39 30 61 38 30 59 56 26 42 43 26 59 49 25 50 55 25 50 60 20 50 60 20 44 55 20 41 50 1S 45 53 18 '44 78 12 41 79 9

C y c l i s m e

t \ * **'

A U V E L O D R O M E . -

Le Vélodrome d'Osteiïde réouvrirn s portes le 9 avrils lundi deJ'àques, à celte occasion une épreuve* de cent

1 ilomclres à l'Américaine sera dispu­tée. La seconde réunion pour profession

i.els aura lieu le 29 avril et fa troisième '.(•> 17 mai. à l'occasion d u T o u r des Flandres.

P e t i t e s A n n o n c e s .

MARDI 20 MARS 1928.

H o c k e y

LA HOLLANDE BAT LA BELGIQUE, PAU DEUX A RIEN.

L'équipe belge a. été battue pin .plus forte qu'elle.

De l'avis de toutes tes personnalités présentes et qui peuvent être considé­rées comme, des compétences en hoc­key, la-Belgique a bel et bien été bat­tue par;meilleur qu'elle. M ê m e , plus, , - - ••.•,.-• , i i-r i seule son arrière défense, lions sauva

!u,1cls5:'.CfHlc ™ 1 ^ Z ° ? 1 ^lJÎ,ol<;.sm:;d'une défaite plus accentuée. Koning dans ses bois et la jeune paire d'arriè­res Vanderstracten-Wellens fui splcn-

1. F. C. Malines 21 14 2. T. S. V. Lyra 22 13 3. R. TilleurF..C. 22 13 4. C. S. Forestoise 23 10 5. R.F. G. Liégeois 23 IL 6. Uccle-Sport 22 11 7. Boom F. C.' 22 10 8. White Star A. G. 22 S 9. C. S. Tongrois 22 7 10. R. C.S. Verviétois 23 11. F. C. Turnhout 23 12. Courtrai Sports 23 13. Ôude God Sport 23 14. FléronF.C. 21 PROMOTION A. Borgerhout S. K.—A. A. Termonde .r.... 1—2 A. S. Ostende—St. Nicolas S. K 3—0 A. S. Renaix — V. G. Ostende ... 5—1 Cappellen F. C.—Club Renaisien 5—1 R. C. Wetteren—Knocke F. C 2—3 S. V. Blankenb.—R. C. Tournaisien 4 — 1 St. Ignace S. C—S. K. Roulers 1—0

CLASSEMENT. GENERAL. 1. A. S. Ostendaise 21 14 4 3 57 30 31 2. Knocke F. G. 23 14 6 3 714131 3. sCappellen F. C. 2* 14 6 3 59 45 31 i. A. S. Renais 22 12 4 6 50 33 30 5. Club Renaisien 22 12 8 2 60 41 26 6. Borgerhout S. 23 8 7 8 41 39 24 7. A, A: Termonde 23 7 7 9 39 39 23 8. S. V. Blankenb. ,23 10 10 3 ,67 69 23 9. St. Nicolas S. K. 23 10 10 3 39 43 23

10. St.-Ignace S. C, 22 8 12 2 47 53 18 11. S. K. Roulers 23 7 12 4 37 43 18 12. R. C. Tournai 23 6 13 4 F6 52 16 13. R. C. Wetteren 23 5 16,2 38 80 12 14. V: G. Ostende 22" 2 14 ' 6 24 53 10 PROMOTION B. Union Jeinappe—0. C.è Charleroi 0—l Charleroi S. C—Vilvorde F. C 2—2 Zw^ieeuw Vilv—U. S;, Liège 3—3^ Namur Sports—A. S. Herstal ' 2—2 F: C. Sérésien—Excelsior Virton 10 — 0 Jeunesse Arlon—A. E. C. Mons 1 — 4 iHumbeek F. C—C. S. Schaerneek 0-2

PROMOTION C. Hoboken S. K.—Jeunesse E.upen 3—0 Si R. U. Verviers—Tubantia A. C 4—0

; Ri Dplhain F. C—Victoria Louvain 0—1 •Stade Louvain—R. C. Montegnée 2—0 R. F. C. Brossoux — Rasseltsche V. 7—0

• Excelsior Hass.—R. Léopold C 3—0 Ixelles S. C.—R. C. Tirlemont 3—0 FLANDRE OCCIDENTALE II.

le keeper. De nouveau la balle dévie vers Martinscn, le keeper resauve, il perd le contrôle de la balle et finale­ment Van llalme marque. L'A. S; O. est celte, fois-ci bien lan­

cée el 5 minutes après Van den Broec-ke passe à Van llalme. Celui-ci d'un beau shot marque le 2me goal malgré un plongeon désespéré du keeper Mi-chiels.

St-Nicolas change son équipe et se" rue littéralement à l'attaque. Auguslus se démène comme un diable mais rien ne réussit. H faut dire aussi que la chance ne leur sourit guère. Huit mi miles avant la fin Martinscn sur passe de Van llalme marqué le 3e goal,'le'. keeper laissant glisser la balle des mains. Tout à la fin Van Craenbroëk' manque de sauver l'honneur pour son, équipe, mais Vcrtruyen sauve pénible­ment.

L'A. S. O. remporte donc une nou­velle victoire entièrement méritée.

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Les quatre leaders gagnent. Roulers perd à,SI-lgnacc. A. S. O. for ever.

Eh oui, les A. S. O. mon restent en tète, totalisant le même nombre de points que Knocke el Cappellen, mais avec deux malches en moins à son ac­tif. Les hommes de Dcclerck ont fourni

., un très beau deuxième lime, et sur leur forme d'aujourd'hui, l'on peut fonder les plus beaux espoirs. L'horizon s'éclaircit et d'ores et déjà, l'on escompte avec certitude la montée en division I. Il faudrait une déveine peii ordinaire, pour voir s'évanouir cet espoir. Au bas de l'échelle, le V. G. O. s'en

est revenu de Renaix, ou il a perdu par 5 à L R. Desmcdt, jouait, ayant inter­jeté appel, contre la décision du coniilé sportif. Cela peut lui coûter très cher ! Cappellen a gagné contre le Club de

Renaix, qui de ce fait lie doit plits es­pérer remonter le courant,

Blankcnberghe a fourni un mauvais match; son équipe était amputée clc

i l'excellent joueur Van Kcrkvoorde. La victoire est cependant revenue à J'cquirr' pe locale par 4 à 1. St-Ignace a battu. le S. K. Roulers, qui doit,prendre garde. Wetteren enfin a été battu par Knocke, maïs de pou.

A.S. RENAIX. 5—V.G. O S T E N D E , 1.

M Peu de monde quand l'arbitre Vercautcren aligne les équipes. •Notons que Denys, qui ne s'était pas

déconvoqué, doit être remplacé au pied levé par Defever. Larnoc choisit le camp avantagé par

le vent. Pendant les cinq premières mi nutes, le jeu reste cantonné au milieu du terrain. Petit à petit, les locaux s'a­vèrent supérieurs cl h. la septième mi­nute, Larnoc ouvre la marque. Les vi­siteurs n'entendent pas se laisser faire et forcent corner, sans résultai. L'Assa en fait de m.ëme, sans succès! Prce-kick pour les 'littoraux. Maesschaelk, d'un bel heading, sauve. A leur tour, les visités oblieiinenl. free-kick, que Rau. fait dévier en corner. Celjii-ci, bien donné, provoque une mêlée eturi back c o m m e t hands. L'arbitre accorde pe­nalty que R. Desmel convertit. Le jeu est partagé; les littoraux forcent ;ç.orr nor, sans suite. A noter encore un bou­let de Larnoc qui s'écrase s.ur la lâllc Quelques niinules se sont à peiné écou­lées que Larnoc, passe irrésistablemcnt la défense des visités et porte le score. à 3r0. Les V. G.men jouent courageu-courageusement et Segers doit saiiver un goal,certain au prix d'un plongeon. Le repos, arrive avec la m a r q u e dc;:'ô-0.

D e suite après les citrons, les Assa-m e n , attaquent mais la bonne cohésion fait défaut et les backs adverses ajihi-hilcnl. leurs efforts. Larnoe, repre­nant un centre de Spileérs, envoie,au dessus.

Le jeu n'est pas de bonne facture, seuls les grands déplacements., parles ailes el les: «kick and ,Rusli » provo­quent des situations dangereuses. 11 faut attendre la vingt-quatrième m i ­nute pour voir Declercq sauver l'h.on-néur d'un shot inarrêtable. Thyscbacrl passe h l'insidc droit, cl profite d'un centre de Schicttecatle pour se faufiler entre les backs cl inscrire le quatrième goa!. ' •'""•'' •'"' :'"'"".••" .'.-. Prec-kick pour Renaix,^qui est en­voyé à côté. À la Irchlé-néuyième mi­nute, Larnoe s'en: va marqucivle cin­q u i è m e et dernier but sur acsçchle gé­nérale des avants. Plus rien de saillant jusqu'à la fin.

E c h e c s

—- . * * * LA RENCONTRE BRUGES-OSTENDE

Le Cercle des Echecs de Br sorti vainqueur du match, joué

uges est diman-

clic, dernier au café « Cécll » contre le Cerclé d'Ostende,. par 5 points

Eii voici.les.résultais leehnk] --Bruges ;

Priem E., llimpens J., Ryckbosl <L, Van Allemcersch J., Roosc ÇÏi.', Ghysclinck, Bourguignon, Fielporle, Dcman,

Ostende : Goris, Boddaerl. Van Lierde, Vàn'IleiTewegho, Decosler, Redelé, Boedl. jScherpiiig, Lnu.>ycr.eyns,

hh, [.nos ;

0 0 1 i 0 1 i y2 %

5

l 1 0 0 1 0 0 % Mr

I

splcn dide. L a ligne de demis, composée de' trois anciens, fit son ippssiblc., pour i;é ; sister à la redoulablc coalition que for­maient les cinq excellents avant Oran­ges. Quant à nos avants; peu;-servis, ils ne reproduisirent pas là formé es­pérée, Godi (blessé à l'œil) îiefùl pas lé Godi des grands jbïirç:;Lcs intérieurs ne furent pas heureux. Gorjcu peu servi ne put faire montre de toutes ses qualitési: Et Secldraey'ers fit l'impos­sible pour percer, mais ne réussit pas toujours. Malgré la défaite, le match fourni par les Diables Rouges a con­tenté plus d'un belge présent à A m ­sterdam, car s'ils ont été battus,<.rio's représentants n'ont succombé,7 qu'a­près, avoir fourni un malcli spléndide de cran et de courage.

Quel sera le résultat de cette défaite dans nos débuts dés rencontres intèr-i nationales? 11 faut espérer que nplreî îboral neserapas.alteint, nous avbns été battus, oui, mais;pàr beaucoup^plus fort que nous. :: -.1? ' ' lin Championnat de Belgique. (Promo­

tion).-Le match remis U. C. Bru-geois-Brussels B. S. C. voit une.vic­toire Jbrugeoise. • • ;••;'-' //. C. Brugeois-Briissels B. S.; Cl [3^? Les Anglais, m'.vt-on dit n'ayàient

aligné qu'une équipe de huit lioninies! Depuis quelques temps déjà/ Ous avons pu rcfiiarquer cela, rd>'guîg.aé. s'est acharnée contré les Noirsj:el Mait-ves; Sweency blessé, les malades, djs voyages d'affaires au pay&'în'aial, tirtil cela et surtout te manque'de résciA^, point capital font perdre :aùvBrussels les qu.elqucs points qui'hii auraieïit donné la seconde place d u classemJf|in(t tes meilleurs joucurs.sii.r lé terraingPul Stacçy et Alison. ;\$i} A Ostende en un match amical le ÏLjC.

Oslcîidais cl l'Université de Gond (champion de Belgique inlcruniyejf • 'SilèsJ jouent mdlch nul.- •'••$••.

//. C. Ostendais — Université dc-Gànd I à 1. . " ;;J

M. Charles Pleyn, le candidat arbi­tre ostendais, aligne à 14.30 h. précisés les formaiions suivantes'.':"'. î

11. C. Ostendais : Kesleloot; Ghaye éi Royon; Galeyn, Delodder etElleboudt; P. Laroye, Dèméyer,-Mértens, J. La;?; roye et Timmermans. ' '''ri Université deiGand : Rotlisbcrgér'-.;.

Chemay. et- Delori ; >Sloop, 'de Meulej' mecslcr el de Ifempline; :Rollisbergert De Waele, Bcernaerl, Bruniér el Gié|v goire. : V ' - :

A u coup de sifflet initial, Merlens et kesteloot, manquent à l'appel, une nia£ lencontreuse panne de tram en est la ca^isé. Malgré celte infériorité n n m é i rique Ostende prononce, les première!• attaques, mais peu à peu les Gantois supérieurs en n o m b r e attaquent, 'é) bientôt au m o m e n t m ê m e ou le pprli.èjr ostendais prenait place à son poste é,t s'apprêtait à attacher ses guêtres Rptr' lisberger marque un très joli but s;u£ effort personnel. L e jeu se"."poursâi| calme cl monotone aucune des dcinç équipes ne semblant vouloir s'enfë ployer vraiment. G a n d a cependant iin léger avantage, quelques belles attâ| ques des visiteurs se terminent sur le tandem arrière ostendais. Sur un ccri| tre d'une précision rare Kesteloot est très heureux de sauver ses filets aii; prix d'un coup de tête magnifique. El la fin .de cote mi-tcitips est siffléc suj* la m a r q u e de un but,à,^éi;o en faveur des 0Hanl>RiQns-V ^ il;

La reprisé "voit cnfjn le réveiLdéé; « Casaques Rouges ». Ceux-ci s'y metf lent sérieusement l'on sent qii'ils: vop|, fiinrquer. L a vitesse dii jeu a u g m e n t a et l'on' as.sjsje à de belles phases/di). be.aujeu se pr.oduij.0and s'y'rhet c a H r é m w i sentant lp; danger,"niais ltf (j| gnê de demis ostendarsc, qui fit uft très be<1inmafch potièsp- Jjttér'àlérncrit s U avarits, finalement sur une" rnêlôe MeH,. telis'tpucho In làttb, Delodder reprend. 00111' égaliser. Los Ostepdfiis en vetif,,

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NAISSANCES. 9. mars. -—. Lucien^Nieuwcnhujse, de Hcn6

el de Mathildç Glémenl, r. de l'Avenir, <>. s 10. Marguerite.'yandichel," de Léon et de Justin ;P4iele;- r.'de* la Corderie,wfô. i~- Chris­tian Mahie.û,: de -Germain et de Marie Verbe-ke, r. dé.ljeffinghe, 80. — ' Rosà Griem.: de Arthur -eti de" Godeliève; Godderis, squ. Slé-' phanie, 45:-•'.— Tlacliei ÎJoley, de Albert et de Marie Puppjnck, r. des Beleliers, 50. . , • il. Raclieî'>pbvrien/.lt, de .Chai-lés et <le Au-' guslc Metbnv,;'r. de Blankcnberghe, 57. •

d2. Gllberte Vandendriesche,; de Adernar- el de Delphine Meyns, r. de la Fralcrniti;.— Fer­nande Kooy, de Edouard et de Hosàlie lîroo-' genbroot, V. des-; Cfarriots; .58.'.•••" • •.'

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